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Blog - Page 1664

  • Le laboratoire Novartis répond à Bachelot

    Le laboratoire Novartis a annoncé mardi qu'il évaluerait "au cas par cas" les demandes des gouvernements souhaitant éventuellement résilier des commandes de vaccins contre la grippe H1N1.

    "Novartis évaluera les demandes de gouvernements au cas par cas, dans le cadre des accords contractuels qui obligent les différentes parties", écrit le laboratoire suisse dans un communiqué.

    Cette annonce intervient après que la ministre de la Santé Roselyne Bachelot a déclaré avoir résilié l'achat de 50 des 94 millions de doses de vaccin contre la grippe H1N1 initialement commandées par la France. Cette annulation concerne notamment, selon Mme Bachelot, 7 des 16 millions de doses commandées auprès de Novartis.

    "Nous avons bien pris note de la décision du gouvernement français qui consiste à ne plus accepter de livraison de vaccins H1N1 précédemment commandés", a déclaré Novartis.

    Le Figaro - 05.01.10

  • Le FN demande la démission de Bachelot

    Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, a réclamé aujourd'hui la démission de la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, l'estimant responsable de la "catastrophe financière de la campagne de vaccination antigrippale".

    "Si gouverner c'est prévoir et si le principe de la responsabilité ministérielle n'est pas obsolète, le ministre de la Santé, responsable de la catastrophe financière de la campagne de vaccination antigrippale qui va coûter aux contribuables français plus d'un milliard d'euros, Mme Roselyne Bachelot, doit démissionner", écrit Jean-Marie Le Pen dans un communiqué. Selon le président du FN, "au Japon, un simple accident ferroviaire entraîne ipso facto la démission du ministre des transports".

    Le ministère de la Santé est au centre d'une polémique pour sa gestion de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1, après l'annonce de la revente d'un certain nombre de doses de vaccin. Roselyne Bachelot a également annoncé lundi la résiliation des commandes de 50 millions de doses.

    Le Figaro - 05.01.10

  • Le nazi n°1 vit libre à Budapest

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    Sandor Képiro, 95 ans
    Depuis le début du procès d’Ivan Demjanjuk à Munich ce mois-ci, le prochain sur la liste des traqueurs de nazis n’est autre que Sandor Képiro, ancien capitaine de la gendarmerie hongroise. Il est accusé d’avoir dirigé la razzia de Novi Sad de son propre chef, trois jours durant en janvier 1942. Ironie du sort, après 50 ans d’exil en Argentine, Képiro, 95 ans, vit depuis 1996 dans la quiétude du 2ème arrondissement de Budapest, juste en face de la synagogue Léo Frankel.

    La razzia de Novi sad


    Juste avant l’Holocauste, la capitale de Voïvodine traversée par le Danube comptait 4000 juifs parmi ses 80 000 habitants. Le 21 janvier 1942, l’administration d’Hitler n’a même pas eu besoin de faire pression sur les autorités hongroises ou serbes pour que l’extermination des juifs, des tziganes et de certains autres serbes commence à Novi Sad. Au contraire, c’est Budapest qui va mettre un terme au massacre deux jours plus tard et condamner les responsables en 44, dont le plus gradé d’entre eux, Sandor Képiro. C’est une petite rébellion de la communauté juive de Novi Sad qui a servi de prétexte à la vague d’arrestations individuelles, de tortures et d’exécutions menées par la gendarmerie hongroise et un régiment de l’armée serbe. Pendant trois jours, la répression a gagné les rues de la ville, mais elle s’est rapidement concentrée sur les bords du Danube gelé, où ont été jetés les corps de plus de 1200 victimes.
     Les premiers procès

    Lors de son premier jugement Képiro affirme avoir demandé une preuve écrite de l’ordre donné par son commandant. Aujourd’hui encore, c’est sa seule ligne de défense face à l’accusation d’avoir pris l’initiative isolée d’organiser des rafles meurtrières massives. En 1944, le tribunal militaire le dégrade et le condamne à dix ans de prison, mais il va échapper à sa peine. Quelques semaines après son procès, les allemands envahissent la Hongrie, cassent le verdict et réhabilitent Sandor Képiro. En 1946, alors qu’il est exilé à Buenos Aires depuis la fin de la guerre, la justice hongroise, sous le régime communiste, le condamne à 14 ans de prison. Ce n’est qu’à la chute du bloc soviétique qu’il reviendra au pays.

    Un dernier procès embarrassant

    Lorsqu’il lui arrive d’être à nouveau interrogé, Képiro continue à nier en bloc sa responsabilité, en affirmant qu’il n’a fait qu’obéir aux ordres de sa hiérarchie. Il n’a cependant jamais nié avoir participé au massacre, au contraire, des témoins auraient rapporté qu’il s’en vante. Depuis septembre dernier, la Serbie a réclamé son extradition. Il a été entendu par la justice hongroise le 14 septembre dernier, mais aucune procédure n’a encore été lancée, comme si ses deux premiers jugements n’avaient aucune valeur. La justice hongroise prend ostensiblement son temps pour étudier le dossier: deux ans pour décider si Képiro doit être jugé. Avec un peu de « chance » , Képiro sera peut-être mort d’ici-là et la Hongrie évitera de remettre son antisémitisme viscéral sur le devant de la scène. La collaboration hongroise est d’autant plus difficile à assumer que les arrestations et les déportations ont bien plus souvent été l’oeuvre de la gendarmerie hongroise que de la Gestapo elle-même.

    Le protégé du quartier


    Pour un chasseur de nazis chevronné comme Efraïm Zuroff, le directeur du centre Simon Wiesenthal, Sandor Képiro est le dernier gros poisson à capturer. Pourtant, bien que celui-ci habite tranquillement à Budapest depuis 13 ans maintenant, il ne l’a découvert qu’il y a trois ans. Comment le vieil homme a t-il fait pour rester aussi discret? Dans son quartier, beaucoup d’habitants le connaissent. Nombre d’entre eux estiment qu’il aurait fallu agir plus tôt et qu’il faut désormais laisser le vieillard tranquille. Tenter d’approcher Képiro n’est également pas chose facile… il est protégé par ses voisins, qui n’hésitent pas à proférer des menaces à l’encontre des étrangers qui viennent frapper à sa porte. La est certainement le secret de la discrétion du nazi hongrois: un retour aux sources.
     04.01.10

  • VIDEO Bachelot: "la commande de 50 millions de doses est résiliée"

    http://videos.tf1.fr/jt-20h/bachelot-sur-tf1-la-commande-de-50-millions-de-doses-resiliee-5623367.html

  • Yémen: "des implications mondiales" selon Clinton

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    Marché aux esclaves de Zabid au Yémen - XIIIème siècle
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    La présence d'Al-Qaïda au Yémen ainsi que les tensions internes dans ce pays représentent une menace internationales, a estimé la secrétaire d'Etat américaine Hillary Rodham Clinton. La situation au Yémen a "des implications mondiales" et le gouvernement de Sanaa doit agir pour rétablir la stabilité dans le pays, a déclaré Mme Clinton lors d'une conférence de presse à Washington en compagnie du Premier ministre du Qatar Hamad Ben Jassim Jaber al-Thani.

    "Nous voyons évidemment des implications mondiales à la guerre au Yémen et aux tentatives actuelles d'Al-Qaïda au Yémen pour faire de ce pays une base pour des attentats bien au-delà de la région", a déclaré Hillary Clinton. La secrétaire d'Etat s'exprimait alors que les ambassades de plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne à Sanaa sont fermées jusqu'à nouvel ordre, en raison de menaces d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique.

    Lundi, l'Italie a fait savoir qu'elle ne se déciderait pas avant vendredi sur une éventuelle fermeture de son ambassade. Rome attendra que l'Union européenne prenne une décision commune lors d'une réunion prévue vendredi à Bruxelles, a indiqué le ministre des Affaires étrangères Franco Frattini.

    Alors que se profile une conférence sur le Yémen à Londres en janvier, Hillary Clinton a déclaré lundi que les Etats-Unis et leurs alliés y feraient part au gouvernement yéménite des "attentes et conditions" qu'il doit remplir pour pouvoir conserver le soutien des pays occidentaux.

    Le Figaro - 04.01.10

  • Laura Smet: tentative de suicide ou overdose?

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    Selon nos informations, Laura Smet, la fille de Johnny Hallyday et Nathalie Baye, a fait une tentative de suicide lundi peu après 14h dans l'église Saint-Germain-des-Prés, à Paris, en ingurgitant des médicaments et de l'alcool. La jeune actrice, âgée de 26 ans, a été transportée dans un état grave par les pompiers à l'hôpital Val-de-Grâce. C'est son compagnon qui a prévenu les secours. Une tentative de suicide confirmée par une source proche des secours.

    Mais selon son agent, qui confirme l'hospitalisation, la comédienne n'a pas tenté de mettre fin à ses jours mais été victime d'un "simple malaise" et son état n'est "absolument pas préoccupant". Son avocat avait déjà affirmé peu avant qu'elle "se portait bien" et qu'elle n'était "pas en danger". Une source policière avait de son côté confirmé que l'état de santé de Laura Smet était sérieux, ajoutant qu'on ne pouvait établir en l'état des investigations qu'il s'agissait d'une tentative de suicide.

    Laura Smet avait donné une tribune au JDD ce week-end, dans laquelle elle démentait avoir imposé à son père le docteur Stéphane Delajoux, pour son opération de la hernie discale, à la suite de laquelle le chanteur a été réopéré en urgence à Los Angeles début décembre. Une mise au point car son compagnon est le frère du Dr Delajoux. "Non, je ne suis pas écartelée, écrivait-elle, Mon père connaissait le docteur Stéphane Delajoux avant ma rencontre avec son frère Julien. D'ailleurs, le docteur Delajoux l'avait opéré sans le moindre problème, à ma connaissance. Oui, je n'ai rien dit sur l'état de santé de mon père, contrairement à tous ceux qui ont parlé à tort et à travers, sans rien savoir ni respecter."

    TF1News le 04 janvier 2010 à 17:55
  • Le mensonge de Pierre Sarkozy!

    Pierre Sarkozy a-t-il frôlé la mort ?

    Cette "information", est curieusement publiée par plusieurs médias étrangers, dont CNN et le Daily Mail.
     « Ils ont pu voir la coulée de boue de la fenêtre et ils ont entendu des bruits terrifiants« , explique la source diplomatique du Daily Mail.
     
     Mais les coulées de boue se sont produites dans l'île d’Ilha Grande, montagneuse et pauvre, faisant des dizaines de victimes.
     
     Or le jeune hippy riche faisait la fête sur une autre île brésilienne, l’île des Cochons, propriété du célèbre chirurgien esthétique Ivo Pitanguy (dont une des patientes est Carla Bruni-Sarkozy). Cette île est plate et aucune coulée de boue n'est venue troubler ce havre de milliardaires.
     
     Une tentative de faire oublier sa récente tentative d'abus de confiance auprès de la Société Civile des Producteurs de Phonogrammes (SCPP) ?
     
     A l'heure où ces bouffons nous entraînent dans une crise sans précédent et peut-être même vers la guerre, ces impostures sont obscènes et doivent être dénoncées.

    Alter Info - 04.01.10


  • Les voeux "politiquement corrects" de Bruno Gollnisch

    bruno gollnisch

    Vœux « politiquement corrects » de Bruno Gollnisch, député européen, Vice-président exécutif du Front National.
    1er janvier 2010
    Avertissement préliminaire : Le principe de précaution est maintenant inscrit dans la Constitution, tandis que des lois pénales sévères prohibent toute discrimination, et toute analyse hérétique de l’histoire contemporaine, sous peine de prison et de ruine des coupables. Enfin, le fait de parler d’étrangers ou de certaines communautés pour autre chose que pour en dire du bien est sanctionné des mêmes peines. Par prudence, je vous adresse donc pour 2010 des vœux que j’espère « politiquement corrects », et surtout en conformité avec la législation en vigueur dans notre libre démocratie.
    Bien cordialement.

    Je vous prie d’accepter, sans aucune obligation implicite ou explicite de votre part, nos vœux à l’occasion du solstice d’hiver et du premier de l’an :
    - en adéquation avec la tradition, la religion, ou les valeurs existentielles de votre choix ;
    - dans le respect de la tradition, de la religion ou des valeurs existentielles des autres, ou dans le respect de leur refus, en la circonstance, de traditions, religions ou valeurs existentielles, ou de leur droit de manifester leur indifférence aux fêtes populaires programmées ;
    - la santé, ceci ne supposant de notre part aucune connaissance particulière relative à votre dossier hospitalier, ni l’intention de nous immiscer dans le dialogue confidentiel établi avec votre médecin traitant ;
    - la prospérité, étant entendu que nous ignorons tout de la somme figurant sur votre déclaration de revenus, de votre taux d’imposition, et du montant des taxes et cotisations auxquelles vous êtes assujetti.

    NB : Le concept d’année nouvelle est ici basé, pour des raisons de commodité, sur le calendrier grégorien, le plus couramment utilisé dans la vie quotidienne de la région à partir de laquelle ces vœux vous sont adressés.
    Son emploi n’implique aucun désir de prosélytisme. La légitimité des autres chronologies utilisées par d’autres cultures n’est absolument pas mise en cause.
    Le fait notamment de ne pas dater ces vœux du yaum al jum’a, 15 Muharram de l’an 1431 de l’ Hégire (Fuite du Prophète à Médine) ne constitue ni une manifestation d’islamophobie, ni une prise de position relative au conflit israélo-palestinien.

    Le fait de ne pas dater ces vœux du yom shishi, 15 Tevet 5770, ne constitue ni un refus du droit d’Israël à vivre dans des frontières sûres et reconnues, ni le délit de contestation de crime contre l’humanité .

    Le fait de ne pas dater ces vœux du 17ème jour (Xin Haï) du 11ème mois (Ding Chou) de l’année du Tigre, 78ème cycle, n’implique aucune prise de position dans l’affaire dite « des frégates de Taïwan ».

    Le fait de ne pas dater ces vœux du duodi de la 2ème Décade de Nivôse, an 218 de la République française, ne saurait être assimilé à une contestation de la forme républicaine des institutions.

    L’emploi de la langue française ne sous-entend aucun jugement de valeur. Son choix tient au fait qu’elle est la seule couramment pratiquée par l’expéditeur, bien que celui-ci ait fait profession de linguiste. Tout autre idiome a droit au respect, ainsi que ses locuteurs.

    Clause de non-responsabilité légale

    En acceptant ces vœux vous renoncez à toute contestation postérieure. Ces vœux sont insusceptibles de rectification ou de retrait.
    Ils sont librement transférables à quiconque, sans indemnité ni royalties. Leur reproduction est autorisée.
    Ils n’ont fait l’objet d’aucun dépôt légal.
    Ils sont valables pour une durée d’une année, à la condition d’être employés selon les règles habituelles et à l’usage personnel du destinataire. A l’issue de cette période, leur renouvellement n’a aucun caractère obligatoire et reste soumis à la libre décision de l’expéditeur.
    Ils sont adressés sans limitation préalable liée aux notions d’âge, de genre, d’aptitude physique ou mentale, de race, d’ethnie, d’origine, de communauté revendiquée, de pratiques sexuelles, de régime alimentaire, de convictions politiques, religieuses, philosophiques, d’appartenance syndicale, susceptibles de caractériser les destinataires. Leurs résultats ne sont en aucun cas garantis et l’absence, totale comme partielle, de réalisation n’ouvre pas droit à compensation.
    En cas de difficultés liées à l’interprétation des présentes, la juridiction compétente est le Tribunal habituel du domicile de l’expéditeur, c’est-à-dire le Tribunal correctionnel de Lyon.

    Nations Presse Info - 04.01.10

  • Pierre Sarkozy a failli périr dans une coulée de boue

    pierre-sarkozy-246517.jpg
    Un miracle. Une coulée de boue aurait pu tuer le fils aîné du président de la république. Au Brésil où il était en vacances le 1er janvier, les inondations ont causé des dizaines de morts dans les états de Rio de Janeiro, Sao Paulo et Minas Gerais. Selon le Daily mail et CNN, Pierre Sarkozy se trouvait près des torrents boueux qui auraient pu l’ensevelir. L’information n’a pourtant pas été commentée par l’Elysée.
     
    Pour les fêtes de fin d’année, le fils aîné du président se trouvait chez un ami de la famille Sarkozy, le chirurgien plasticien Ivo Pitanguy, sur l’île des Cochons, située au large de Rio de Janeiro.
     
    « Le 1er janvier, de fortes précipitations ont entraîné des innondations et des glissements de terrain » précise Libération. Des coulées de boue sont passées à proximité de la maison où se trouvait Pierre Sarkozy qui, Selon le Daily Mail, « a attendu les secours dans le calme, avant d’appeler son père, pour lui donner des nouvelles rassurantes ». D’après une source diplomatique à Paris, qui s’exprimait dans le quotidien, « ils pouvaient voir la boue depuis leurs fenêtres. Ils entendaient des bruits terrifiants. C’est vraiment un miracle qu’ils aient pu s’en sortir »
    AgoraVox - 04.01.10

  • Le fou récidiviste était en "sortie d'essai"! Il a tué...

    Cinq ans après, il est revenu sur les lieux de sa pour frapper à nouveau. Samedi en début de soirée, David Guebre-Johannes, un homme de 27 ans qui avait des antécédents psychiatriques, a fait irruption dans un immeuble de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes), la «Villa Jade», où il avait habité par le passé.

    Il est monté au quatrième étage et a mortellement poignardé un homme d'une soixantaine d'années, qui avait la malchance d'être le nouvel occupant des lieux.

     

    Un voisin, entendant les , est venu à son aide. Il a été à son tour poignardé à la gorge. Gravement blessé, il a été hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger. L'épouse de ce dernier est alors intervenue, et a elle-même été blessée à l'épaule par l'arme blanche. L'agresseur présumé a été interpellé peu après par la police de Menton, grâce aux descriptions données par des témoins, et a été placé en garde à vue.

    La préfecture des Alpes-Maritimes a indiqué dimanche soir que le déséquilibrté bénéficiait d'un «régime de sortie d'essai» et ordonné une administrative pour déterminer les conditions dans lesquelles il était suivi. 

    Une première agression en 2004

    Dans la résidence, entre prins parasol et tilleuls, c'est la consternation. «Tout le monde savait qu'il était dangereux et pourtant il se baladait dans la nature», s'insurge le syndic de l'immeuble, Joël Trepier. L'homme avait vécu plusieurs années avec ses parents et son frère jumeau dans la résidence, où il avait tenté à deux reprises de mettre le feu, d'abord au palier du quatrième étage puis en arrosant de combustible la haie qui entoure l'immeuble.

    En mai 2004, David Guebre-Johannes avait en effet eu une querelle de voisinage avec un couple de voisins, qui lui reprochait de mettre la musique trop fort. Il avait menacé ses voisins d'un couteau, avant d'être interpellé, et avait frappé de dix-huit coups de couteau le gardien de l'immeuble quelques jours plus tard. Ce dernier avait survécu après être resté une semaine entière dans le coma.

    Revenu sonner à la même porte

    L'agresseur avait alors été jugé irresponsable et interné, puis relâché après avoir été soigné. Le couple qui se plaignait du bruit a aussitôt déménagé, persuadé que le jeune homme reviendrait tôt ou tard. Mais c'est précisément à la porte du studio qu'ils habitaient, entre-temps racheté par le retraité, que le jeune homme est venu sonner samedi soir.

    «Visiblement, il focalisait sur l'appartement. Il ne savait pas qu'il avait changé de propriétaire depuis six ans», commente le syndic. Selon le quotidien Nice-Matin, l'agresseur vivait dans un «appartement médicalisé» à Nice, d'où il pouvait sortir librement, à condition de prévenir. Des voisins l'avaient vu rôder autour de l'immeuble. «On savait qu'il était en liberté depuis l'été dernier», indique Joël Trepier. «Même quand on voyait son frère jumeau, on était terrorisé», ajoute un voisin.

    Le parquet de Nice s'est refusé dimanche matin à tout commentaire sur cette affaire «avant la fin de la garde à vue», probablement lundi. 

    Le parisien avec l'AFP - 04.01.10

     

  • Les ambassages américaine et britannique ont fermé au Yémen

    ambassade USA à Sanaa.jpg
    Ambassade des Etats-Unis à Sanaa

    Les ambassades américaine et britannique à Sanaa ont fermé dimanche en raison de menaces d'Al-Qaeda, qui a revendiqué l'attentat suicide manqué du 25 décembre contre un avion de ligne américain , au moment où Washington et Londres vont coopérer davantage dans la "lutte contre le terrorisme" au Yémen et en Somalie. En fait, Al-Qaeda préparerait un attentat à Sanaa, a déclaré dimanche le conseiller antiterroriste du président Barack Obama, John Brennan, afin d'expliquer la fermeture de l'ambassade des Etats-Unis. "Selon certaines indications, Al-Qaeda prépare un attentat contre une cible à Sanaa, qui pourrait être notre ambassade, et nous prenons toutes les mesures possibles pour garantir la sécurité de nos diplomates et de nos concitoyens présents à l'étranger", a déclaré John Brennan sur la chaîne de télévision CNN. "Nous avons donc pris la décision de fermer l'ambassade. Nous travaillons étroitement avec les autorités du Yémen afin de prendre les précautions nécessaires", a-t-il ajouté. Selon John Brennan, il y aura toujours un risque d'attentat au Yémen "jusqu'à ce que le gouvernement yéménite ait repris le dessus dans sa lutte contre Al-Qaïda", a-t-il également souligné sur la chaîne Fox.

    A son tour, un responsable yéménite a annoncé la fermeture de l'ambassade britannique, confirmée à Londres par un porte-parole du Foreign Office qui l'a justifiée par des "raisons de sécurité". Aucune précision n'a été donnée sur la durée de ces fermetures.

    D'autre part, l'Espagne a décidé de restreindre l'accès public à son ambassade "par mesure de sécurité", selon une source diplomatique espagnole, confrimant une information du quotidien El Mundo . En revendiquant l'attentat manqué perpétré à Noël par le Nigérian Umar Farouk Abdulmutallab sur un vol Amsterdam-Detroit, l'Aqap a promis la mort à "tous les croisés" et affirmé que l'attaque était une riposte à l'un des deux raids menés en décembre contre ses membres au Yémen. Sur la télévision ABC, John Brennan, le conseiller antiterroriste du président Barack Obama, a évoqué des rapports du renseignement faisant état de la possibilité d'une attaque d'Al-Qaeda contre l'ambassade américaine à Sanaa. "Nous avons décidé qu'il était prudent de fermer l'ambassade mais nous travaillons étroitement avec les autorités yéménites pour faire face à la menace", a-t-il déclaré.

    "Nous allons collaborer avec les autorités américaines" (Brown)

    Après avoir été longtemps taxé de laxisme contre Al-Qaeda, le Yémen est passé à l'offensive, avec le soutien des Etats-Unis, contre le réseau. Après les raids aériens des 17 et 24 décembre, qui ont fait plus de 60 morts parmi les membres présumés du réseau, Sanaa vient de dépêcher des renforts militaires dans l'est du pays pour les pourchasser. Samedi, le commandant des forces américaines en Irak et en Afghanistan, le général Petraeus, a affirmé au président yéménite Ali Abdallah Saleh le soutien de son pays dans la lutte contre le terrorisme. Ce dernier s'est félicité du "succès des opérations" lancées récemment contre Al-Qaeda, qui montrent la détermination du Yémen à pourchasser les "éléments terroristes" et à soutenir les efforts de la communauté internationale.

    "Nous allons collaborer avec les autorités américaines pour améliorer la lutte contre le terrorisme menée par les autorités yéménites", a déclaré dimanche le Premier ministre britannique Gordon Brown sur la chaîne BBC1. Pour sa part, John Brennan a indiqué que Washington n'avait pas l'intention d'ouvrir au Yémen un "deuxième front" dans la guerre contre le terrorisme, ni d'y déployer des troupes "pour le moment". Il a toutefois souligné la détermination des Etats-Unis à "anéantir" Al-Qaeda. "Le gouvernement yéménite fait preuve de bonne volonté pour combattre Al-Qaeda et est enclin à accepter notre aide. Nous fournissons tout ce qu'ils demandent. Ils ont vraiment progressé", a-t-il déclaré sur la chaîne Fox.

    Londres et Washington prévoient notamment de financer une unité spéciale de police antiterroriste au Yémen et de fournir un soutien plus important aux garde-côtes yéménites, selon Downing Street. Une source gouvernementale à Sanaa s'en est félicitée. "Nous avons besoin de donner plus de moyens à ces unités et de les développer", a ajouté cette source qui a souhaité qu'elles soient équipées d'armes modernes et de moyens de transport aérien.

    Le Point- 03.01.10

  • Rencontrez Kieron Williamson, un mini-Monet de 7 ans!

    Kieron Williamson 7 ans peintre mini Monet.jpg
    Kieron Williamson peint des aquarelles et des pastels dans la cuisine familiale
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    Déroulez l'article jusqu'au bout pour voir ses tableaux

  • Un survivant d'Auschwitz: "Mengele m'a volé mon rein"

    "Mengele m'a volé mon rein": un survivant d'Auschwitz révèle pourquoi il évite

    les médecins depuis 64 ans

    http://www.dailymail.co.uk/home/search.html?searchPhrase=Mengele

     

    http://www.dailymail.co.uk/news/worldnews/article-1235014/Mengele-stole-kidney-Auschwitz-survivor-reveals-avoided-doctors-64-years.html

     

     

    Des cardiologues viennent de sauver la vie d'un Israélien qui depuis 64 ans

    refuse de voir un docteur - et ils ont appris quel était le terrible secret

    de sa défiance à l'égard de la profession médicale.

      Lorsque Yitzchak Ganon, 85 ans, s'est réveillé de son anesthésie dans un

    hôpital de la région de Tel Aviv, on lui a annoncé qu'il n'avait qu'un rein.

      "Je sais", a-t-il répondu. "La dernière fois que j'ai vu l'autre, il

    palpitait dans la main d'un homme du nom de Josef Mengele. Lui aussi était

    médecin."

      Mr Ganon a révélé à sa famille stupéfaite la raison pour laquelle il

    n'avait jamais vu un docteur depuis qu'il avait été libéré du camp de la

    mort d'Auschwitz en janvier 1945. Aucun d'eux n'était au courant des

    souffrances qu'il y avait endurées là-bas entre les mains du célèbre

    Mengele.

      Juif grec, il avait été déporté à Auschwitz en 1944 en même temps que sa

    mère, son père et cinq frères et soeurs. Son père était mort pendant le

    trajet, sa mère et ses frères et soeurs avaient été gazés quelques heures

    après leur arrivée.

      Mais, lui, il avait été choisi par Mengele, le médecin diabolique qui se

    présentait à l'arrivée de chaque convoi pour pouvoir prélever des cobayes

    humains pour ses expériences atroces.

      Une fois son bras gauche tatoué du numéro 182558, Mengele - que ses

    victimes appelaient "l'Ange de la mort" - avait fait attacher Mr Ganon sur

    une table d'opération:

      "Il a plongé son couteau dans moi, sans anesthésie", a dit Mr Ganon. "La

    douleur était indescriptible. Je sentais chacune des entailles du couteau.

    Et puis j'ai vu mon rein qui palpitait dans sa main. J'ai crié comme un fou,

    j'ai crié cette prière: 'Ecoute, O Israël: le Seigneur est notre Dieu, le

    Seigneur est un...' Et j'ai prié pour que vienne la mort, afin de ne plus

    subir une telle souffrance."

      Mais Mengele, qui voulait trouver comment cloner des surhommes SS

    parfaits pour son Führer, n'en avait pas fini avec lui.

      "Après l'opération on ne m'a pas donné d'antidouleur et on m'a mis au

    travail", dit-il. "Je nettoyais la pièce derrière les opérations sanglantes

    pratiquées par Mengele."

      Six mois plus tard, Mengele l'a rappelé. On le plongea dans un bain d'eau

    glacée que Mengele venait observer par intermittence: il voulait voir

    comment fonctionnaient ses poumons.

      "Puis j'ai été sélectionné pour le gazage parce que mon corps ne leur

    servait plus à rien", dit-il. Un matin, il était le 201e à être envoyé à la

    chambre à gaz - mais au bout de 200 personnes la pièce était pleine: "C'est

    ce qui m'a sauvé la vie", dit-il. "Et on m'a renvoyé au camp."

      On le renvoya en Grèce quand Auschwitz fut libéré, il retrouva un frère

    et une soeur qui avaient survécu aux rassemblements des SS, et il émigra en

    Israël en 1949.

      Les membres de sa famille s'étaient toujours étonnés de sa réticence à

    consulter un docteur au cours des années. Chaque fois qu'il avait un rhume,

    une infection, une ecchymose, une coupure ou quelque maladie, il s'en

    débrouillait tout seul. Sa femme raconte: "Quand il était malade, il disait

    qu'il ne l'était pas, il prétendait qu'il était seulement fatigué."

      C'est alors qu'il a été victime, il y a un mois, de cette attaque

    cardiaque et que cette visite obligatoire révéla le secret qu'il avait gardé

    en lui pendant si longtemps.

      A présent qu'il a un stimulateur cardiaque, il dit: "Je crois bien que

    j'ai trompé la mort une seconde fois. Mais cette fois ce sont les médecins

    qui me sont venus en aide au lieu du contraire."

      Mengele s'est enfui après la guerre en Amérique du Sud et a reçu pendant

    des années le soutien de sa riche famille et de ses vieux camarades nazis

    avant de se noyer au Brésil en 1979 à la suite d'une attaque cérébrale au

    cours d'une baignade.

     

    Daily Mail -11 décembre 2009

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    SS Doctor Josef Mengele
  • VIDEO Avant les élections, Sarközy promet de lutter contre les bandes...

    http://www.dailymotion.com/video/xbpvay_sarkozy-promet-de-renforcer-la-lutt_news

    Pitoyable!

  • Le scandale des vaccins contre la grippe porcine

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    Roselyne Bachelot le 12 novembre
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    Pour lutter contre la grippe A-H1N1, Mme Bachelot avait mis en place un dispositif quasi militaire, guerre psychologique à l’appui avec une campagne médiatique qui dure depuis des mois. Curieusement, comme nous l'indiquions dès le 12 novembre, après six mois d’une pandémie qui a d’abord frappé l’hémisphère austral, où l’hiver fini, la crise est désormais passée, on comptait alors 5.857 décès dans le monde entier, infiniment moins que pour n’importe quelle grippe saisonnière.

    N’est-il pas surprenant par ailleurs que certains laboratoires travaillaient depuis trois ans sur ce vaccin, alors que la forme H1N1 du virus ne serait officiellement apparue que depuis moins d’un an ? Et qu’on retrouve parmi les bénéficiaires de cette opération un certain Donald Rumsfeld, artisan de la fabrication des fausses preuves ayant conduit à la « busherie » irakienne ? Côté français, des liens existent également entre les politiques et l’industrie pharmaceutique, à commencer par le propre frère du locataire de l’Élysée, le Docteur François Sarkozy, vice-président du conseil de surveillance de Bio Alliance Pharma, sans oublier que la Ministre de la santé elle-même, Roselyne Bachelot, a longtemps travaillé pour le laboratoire ICI-Pharma, etc…

    Aujourd’hui, malgré une relance massive de la campagne médiatique avec des spots visant à faire peur, moins de 8 % des Français se sont fait vacciner, en dépit des communiqués triomphants de Mme Bachelot.

    Résultat : 5 millions de doses utilisées sur les 94 millions achetées. Désormais, le gouvernement cherche à revendre les excédents à des pays du tiers-monde, oubliant que ces pays étant majoritairement situés dans l’hémisphère sud, l’épidémie y est terminée !

    Il y a longtemps, devant un tel gâchis, que les parlementaires auraient dû exiger une commission d’enquête. Encore faudrait-il pour cela qu’il y ait des parlementaires indépendants…

    NPI -03.01.10

  • Les talibans nient avoir enlevé les deux journalistes français

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    Un soldat français contrôle les passages sur l'axe Vermont
    (Cliquez sur la photo)

    Les talibans assurent ne pas être impliqués dans l'enlèvement des deux journalistes de France 3, kidnappés mercredi au nord-est de Kaboul. Les forces françaises sont mobilisées pour retrouver les otages.

    «Nous ne sommes pas impliqués». La petite phrase d'un porte-parole des talibans relance toutes les hypothèses sur l'enlèvement des deux journalistes français kidnappés mercredi en Afghanistan. «Nous avons demandé à nos combattants de nous informer s'ils avaient fait quelque chose mais nous n'avons aucune information venant de cette zone», a-t-il ajouté.

    Cette déclaration, à prendre avec prudence, ajoute un peu plus à la confusion qui règne autour de la disparition des deux français. Selon Véronique Veber, une consoeur des journalistes, ils ont été enlevés par «des talibans qui leur ont tendu un guet-apens» dans le village d'Omarkheyl, à une dizaine de kilomètres au sud de Tagab où se trouve la base militaire française la plus proche.

    La région où s'est déroulé l'incident est instable et sous l'influence du Hezb-e-Islami, groupe armé rebelle du chef de guerre historique Gulbuddin Hekmatyar, qui avait revendiqué l'embuscade du 18 août 2008 contre les militaires français. Mais les hommes d'Hekmatyar nouent des alliances ponctuelles avec des talibans contre les forces américaines et de l'Otan.

    La plupart des étrangers enlevés en Afghanistan et qui sont restés détenus par leurs ravisseurs dans le pays ont été libérés relativement rapidement, après quelques semaines. Mais la situation se complique lorsque les ravisseurs donnent ou revendent leur otage à des groupes rebelles qui les emmènent dans les zones tribales instables, montagneuses et reculées, situées le long de la frontière afghano-pakistanaise.

    Ce fut le cas d'un journaliste américain du New York Times, David Rohde, kidnappé en novembre 2008 au sud de Kaboul avec un journaliste afghan et un chauffeur. Les deux journalistes avaient été emmenés chez des talibans dans le Waziristan du Nord, un fief tribal des rebelles au Pakistan, et n'en étaient sortis qu'en juin 2009, plus de six mois après leur enlèvement.

     

    Les recherches continuent

     

    Pas question pour autant de ralentir le rythme des recherches. Les forces françaises, appuyées par des éléments de l'armée et de la police afghanes, se mobilisent ce dimanche pour retrouver les deux otages. Au total, près de 800 des 3.300 militaires que la France compte sur le sol afghan sont déployés en Kapisa. Pour eux, la recherche des otages français est devenue une priorité.

    «Nous organisons en permanence des points de contrôle aléatoires sur l'axe Vermont», une route stratégique nord/sud qui permet de rejoindre Kaboul depuis Islamabad, au Pakistan, indique le «chef opérations» des forces françaises en Kapisa, tenu à l'anonymat, depuis son QG de la base de Tagab. Selon lui, «tous les véhicules remontant vers le nord en direction de Kaboul sont fouillés, 24 heures sur 24» depuis que la disparition des deux journalistes de France 3 a été signalée afin d'empêcher leur «exfiltration à bord d'un véhicule».

    Participant également aux recherches, une trentaine de gendarmes français ont épaulé dimanche matin la police afghane près de la «base d'opérations avancée» de Tagab où ils ont établi un barrage de contrôle.

    Mais les recherches sont difficiles à mener dans cette zone dangereuse, où les attaques sont fréquentes.Dimanche matin, les troupes françaises étaient impliquées dans un nouvel accrochage avec des insurgés. L'incident n'a fait aucun blessé mais a nécessité l'intervention dissuasive de deux chasseurs F-15 américains.

    Le Figaro - 03.01.10

  • La France veut revendre ses vaccins

    Depuis deux mois, la tente discrètement de revendre à des pays étrangers une partie de ses vaccins contre la grippe A, achetés en juillet dernier, à une époque où la menace était supposée très grave.

     

    « Le Parisien » - « Aujourd’hui en » décrypte une opération commerciale qui pourrait permettre au gouvernement d’alléger « la facture grippe A ».

    Quand la décision a-t-elle été prise ?
    Le 1er novembre, le ministère français de la Santé reçoit une note de l’Agence européenne de la santé (Emea) qui indique qu’une seule injection de vaccin est nécessaire pour être protégé contre le virus, et non plus deux, comme les experts le prétendaient jusqu’alors. « Ce jour-là, on a compris qu’avec les 94 millions de doses achetées en juillet, nous détenions trop de vaccins », explique-t-on au ministère de la Santé.
    Une réunion est alors organisée dans le bureau du directeur de cabinet de Roselyne Bachelot, où la décision est prise formellement de vendre des vaccins aux pays qui en feraient la demande. Ces ventes devraient s’ajouter aux 9,4 millions de doses que le président de la République a choisi, dès septembre, de donner à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les pays les plus démunis. Des dons qui ont d’ailleurs déjà été effectués.

    Qui dirige l’opération de vente ?
    Une opération conjointe est menée depuis la mi-novembre entre le ministère des Affaires étrangères et celui de la Santé en direction des ambassades étrangères. Les diplomates sont priés de faire remonter rapidement l’information vers Paris si les pays font état d’un manque de vaccins. « Nous avons travaillé ensemble sur ce dossier avec les équipes du ministère de la Santé », explique-t-on au ministère des Affaires étrangères.
    La question de la revente des vaccins est abordée succinctement en cellule de crise interministérielle : « Madame Bachelot a indiqué que des négociations étaient en cours avec différents pays, mais sans donner les noms, pour des raisons de confidentialité », indique Gérard Gachet, porte-parole de la cellule de crise interministérielle, au ministère de l’Intérieur. Matignon et l’Elysée sont régulièrement tenus au courant des contacts et ont le pouvoir de validation final. Des négociations ont été rapidement engagées avec le Qatar, l’Egypte, le Mexique, la Bulgarie, la Roumanie et l’Ukraine.

    A quel prix sont cédés les vaccins ?
    La France a adopté une position de principe : elle vend au prix où elle a acheté les quatre types de vaccin (soit : 6,25 € la dose pour le Sanofi-Pasteur, 7 € le GSK, 9,34 € le Novartis et 10 € le Baxter). Les pays demandeurs sont ceux qui n’ont pas pu se procurer suffisamment tôt le vaccin. La France doit aussi faire face à la concurrence internationale des autres « grands pays » qui veulent revendre leurs vaccins. C’est le cas en Ukraine, où la France et l’Allemagne ont soumis des offres aux autorités. La Suisse et les Pays-Bas, qui avaient acquis beaucoup de lots, ont ouvertement proposé à la revente une partie de leurs stocks.

    Le parisien - 03.01.10

     

     

  • La politique de vaccination sévèrement critiquée

    La revente d'une partie de 94 millions de doses de vaccin contre la à des pays étrangers, révélée ce dimanche dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui en France, suscite de vives critiques sur la façon dont le a géré la campagne de vaccination, et notamment son coût.

      Le professeur Bernard Debré, député UMP de Paris et membre du Comité consultatif national d'éthique, a affirmé sur France Info que «le principe de précaution a été poussé à l'extrême stupidité». Il estime que la France a acheté de 50 à 70 millions de vaccins en trop et un tiers des réserves mondiales de l'antibiotique Tamiflu. La facture pourrait s'élèver, selon lui, à près de deux milliards d'euros, soit plus que les déficits additionnés de tous les hôpitaux de France

    Le professeur Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses et ancien président de la Croix-Rouge française, est «très sévère sur la façon dont on a agi parce qu'on n'a pas accepté un dialogue vrai sur les risques que faisait courir ce nouveau virus (...) alors que, globalement, il représente une mortalité inférieure à celle de la grippe saisonnière». «Je conçois très bien qu'on veuille prendre une assurance tous risques, mais quand une assurance coûte beaucoup plus cher que le risque, on doit quand même s'interroger», a-t-il poursuivi. 

    Le médecin estime aussi qu'avec «une mise hors-jeu du service de santé principal constitué par les médecins libéraux, on courait un risque de non-acceptation par la population». Il critique également une «campagne dispendieuse», en notant le prix des pages de publicité achetées par le ministère de la Santé pour promouvoir la vaccination, les 2 milliards de masques «gardés je ne sais où, et dont personne ne s'interroge sur leur utilisation». 

    Le député Jean-Marie Le Guen, médecin et spécialiste des questions de santé au PS, a réclamé dimanche une mission parlementaire pour faire le bilan du «fiasco» de la «la politique vaccinale» et «tirer des leçons pour le futur». «Nous avons le plus faible taux de personnes vaccinées des pays développés», écrit encore l'élu socialiste.

    Le parisien - 03.01.10

     

  • C'est Axel le premier bébé français né en 2010

    Axel Roubaix.jpg
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Il s'appelle Axel, pèse à peine plus de 3 kilos et postule au titre officiel de premier bébé de l'année 2010 en France.

    Dans la région en tout cas, il est sans rival.

    L'équipe de la maternité Paul-Gellé de Roubaix a officiellement enregistré sa naissance vendredi à 0 h 02.

    Deux minutes qui ne changent pas grand-chose pour ses parents, Caroline et Hervé, qui sont surtout heureux que tout se soit bien passé.

    La Voix du Nord.fr - 01.01.10

  • VIDEO Nos soldats en Afghanistan

    http://videos.tf1.fr/jt-13h/charlotte-de-turckheim-fait-rire-nos-soldats-5619049.html

    Les troupes postées en Afghanistan ont également fêté le passage à la nouvelle année, avec à leur côté le ministre de la Défense Hervé Morin. L'actrice et humoriste française Charlotte de Turckheim y était elle aussi, pour offrir un spectacle aux soldats français.