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Blog - Page 1661

  • Mohamed Rouichi: l'effroyable parcours du "violeur mélomane"

         Il aura fallu douze années aux enquêteurs pour mettre un terme à la terrible dérive criminelle de Mohamed Rouichi. Entre 1994 et 2006, l’homme qui comparaît aujourd’hui, à 50 ans, devant la cour d’assises de , a violé dix-sept Parisiennes, âgées de 16 à 74 ans, sans que rien ni personne ne parvienne à l’arrêter.

    Sans domicile fixe, l’homme, particulièrement violent et pervers, a finalement été interpellé le 26 juillet 2006 gare de , dans le XIIe arrondissement, formellement confondu par le Fnaeg (fichier national automatisé des empreintes génétiques) qui avait enregistré son ADN lors d’une tentative de commise à Boulogne (Hauts-de-Seine) au mois de mars de la même année. En arrêtant celui qui figurait sur les synthèses de police sous le nom de « violeur scatophage », les enquêteurs s’aperçoivent alors que Rouichi a déjà été condamné en 1983 par la cour d’assises pour meurtre, sans connaître encore l’ampleur de ses crimes.

    Une violence inouïe

    En fait, les actes de Mohamed Rouichi ont mis les policiers sur les dents durant plus d’une décennie.
    Chaque fois, aux quatre coins de la capitale, surtout dans les XIVe et XVe arrondissements, il répète le même scénario. Après avoir repéré sa victime, il pénètre dans son appartement et suivent de longues heures d’horreur. Séquestrées, abusées à plusieurs reprises avec une violence inouïe et des sévices particulièrement sordides, les femmes sont ensuite délestées de leur argent, leurs bijoux et leurs cartes bancaires. Etrangement, l’homme parle littérature, art ou politique et lorsqu’il prend enfin la fuite, c’est sur quelques notes de musique classique. Cette manie de mettre un disque lui a également valu le surnom de « violeur mélomane ». Ce rituel, Rouichi l’exécute avec une terrible précision, et à un rythme d’un ou deux viols par an. Durant les deux mois qui ont précédé son interpellation, l’homme avait commis trois méfaits. Le dernier a eu lieu dix jours seulement avant que les policiers le repèrent dans l’enceinte de la gare de Lyon. C’est d’ailleurs là qu’il passait le plus clair de son temps, en compagnie d’autres sans-domicile-fixe.
    Son procès, au cours duquel ne seront évoqués que quatorze des viols commis, devrait s’achever le 15 janvier.

    Le Parisien - 11.01.10 

  • Israël va construire un mur à la frontière égyptienne

    Le projet est destiné à combattre l'immigration clandestine. Benjamin Netanyahou a indiqué qu'Israël continuerait d'accueillir des réfugiés, mais "ne permettra pas une inondation de travailleurs illégaux".

    Le gouvernement israélien a approuvé la construction d'une barrière destinée à combattre l'immigration clandestine à sa frontière avec l'Egypte, a indiqué, dimanche 10 janvier, un responsable gouvernemental. Selon ce responsable, qui a requis l'anonymat, trois barrières seront construites le long des 250 km de frontières au coeur du désert qui bloqueraient les principales voies d'entrée des clandestins. Le projet, présenté par l'armée, devrait coûter entre 1 et 1,5 milliard de dollars, a-t-il précisé à l'AFP.
    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a souligné dimanche que l'Etat hébreu continuerait à accueillir les demandeurs d'asile, en provenance majoritairement du Darfour. "Israël autorisera l'entrée de réfugiés en provenance de zones de conflit mais ne permettra pas que ses frontières soient utilisées pour inonder le pays de travailleurs illégaux", a déclaré un haut responsable gouvernemental, citant M. Netanyahu.

    20 migrants tués en 2009


    Selon le ministère israélien de l'Intérieur, environ 300.000 étrangers illégaux - dont 100.000 immigrés, touristes restés dans le pays et Palestiniens - vivent en Israël. Les organisations de défense des droits de l'Homme estiment que ce chiffre est exagéré.
    La frontière égypto-israélienne, actuellement signalée par des rangées de barbelés, est empruntée par de nombreux clandestins, demandeurs d'asile et trafiquants de drogue. L'Etat hébreu critique l'Egypte pour son manque de contrôle, alors que la police égyptienne ouvre régulièrement le feu sur des migrants africains tentant de se rendre en Israël. Vingt migrants ont été tués en 2009.

    (Nouvelobs.com avec AFP) -11.01.10

  • Un sous-officier français tué en Afghanistan

    afghanistan-soldats 11 janvier 2010.jpg

    Un sous-officier français est lundi matin en Afghanistan et un officier a été très gravement blessé lors d'une attaque contre une patrouille franco-afghane dans la vallée d'Alasay, au nord-est de Kaboul. C'est l'Elysée qui a annoncé l'information dans un communiqué en milieu de journée.

    Le a précisé que ce sous-officier était décédé lors d'une «attaque meurtrière» lundi matin «contre des militaires français qui patrouillaient avec une section de l'armée nationale afghane dans la vallée d'Alasay, au nord est de Kaboul».

     

    37 soldats français tués en Afghanistan

    Dans son communiqué, le chef de l'Etat a fait part de sa «vive émotion». «Un sous-officier a payé de sa vie l'engagement de la France au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan, tandis qu'un officier a été très grièvement blessé», a poursuivi Nicolas Sarkozy, en s'associant « à la douleur de leurs familles et de leurs proches».

    Ce décès porte à 37 le nombre de militaires français ayant trouvé la mort en Afghanistan.

    Nicolas Sarkozy a ajouté que «ses pensées (allaient) également à leurs compagnons d'armes de la 1ère Brigade Mécanisée et du 402ème régiment d'artillerie de Châlons-en-Champagne». Il a réaffirmé en outre «son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes». Condamnant «avec force cette violence aveugle», il a «exprimé la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au sein de la Force Internationale d'Assistance à la Sécurité».

    Le Parisien - 11.01.10

    «Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan», a-t-il conclu.

    Le Parisien

  • Fadela Amara veut "nettoyer au Kärcher" la violence dans les cités...

    Amara karcher.jpg
    ... et imposer le métissage de la France!

     

    C’est Fadela Amara qui se fend de cette saillie dans un entretien à paraître lundi dans le quotidien Le Progrès. La secrétaire d'Etat à la Ville y cite «le "Kärcher" de Nicolas Sarkozy», assurant qu’«on a oublié qu'il a dit cela alors qu'un jeune de 11 ans avait été tué en nettoyant la voiture de son père!».
     
    «Oui, il faut nettoyer au Kärcher, nettoyer cette violence qui tue nos enfants dans les cités», a-t-elle poursuivi. Pour Fadela Amara, «il existe une vraie insécurité dans certains quartiers populaires, avec des voyous qui prennent en otages les habitants» et «le droit à la sécurité n'est pas réservé aux bourgeois» mais «existe d'abord pour les plus pauvres».
     
    Le débat sur l'identité nationale est «nécessaire»
     
    La secrétaire d'Etat à la Ville en profite pour affirmer que le débat sur l'identité nationale est «nécessaire pour créer les conditions du vivre ensemble». Elle reconnaît cependant avoir «entendu des choses désagréables, des dérapages», mais estime qu’«il faut libérer les non-dits, mettre des mots sur les souffrances».
     
    «Le principe de la République métissée est accepté par l'immense majorité des Français», a assuré Fadela Amara, citant «Yannick Noah, Zizou et Dany Boon qui a un papa kabyle comme personnalités préférées» des Français. Mais selon elle, «il reste maintenant à imposer cette République métissée à une certaine élite, par exemple celle des grandes écoles».
    20minutes.fr - 10.01.10
  • Le Pen contre le vote des étrangers

    Vote des étrangers Le Pen.jpg

    Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, s'est déclaré dimanche soir "évidemment contre" la proposition du ministre de l'Immigration, Eric Besson, en faveur du vote des étrangers aux élections locales dans les "dix ans à venir".

    "Je suis évidemment contre. Le vote appartient aux nationaux exclusivement. Il n'est pas question à aucun niveau de la vie politique que les étrangers participent à la désignation des gens qui sont chargés de diriger ce pays", a déclaré M. Le Pen, lors de la Tribune BFM.

    Eric Besson, qui est également secrétaire général adjoint de l'UMP, avait annoncé peu auparavant sur i-Tele: "Nous devons aller à terme vers le vote des étrangers aux élections locales" mais en fixant cette possibilité dans les "dix ans à venir".

    Lors de la campagne présidentielle en 2007, Nicolas Sarkozy s'était également déclaré en faveur du droit de vote des étrangers aux élections locales mais n'avait pas retenu cette option dans son programme.

    Début septembre 2009, le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, avait affirmé qu'il n'était "pas favorable au droit de vote des étrangers aux élections municipales", ni même au débat alors préconisé par Eric Besson sur ce sujet, car cela "détournerait l'attention des priorités des Français".

    Le Point-fr - 11.01.10

  • Des inscriptions sur une poterie indiquent que le Royaume d'Israël existait au Xème siècle avant l'ère commune

    Brique hébraïque inscriptions.jpg
     
    Une percée dans les recherches bibliques donne un nouvel éclairage sur la période pendant laquelle vivait le Roi David, il y a environ 3 000 ans, a annoncé l’université de Haïfa fin de la semaine dernière.
     
    Le professeur Gershon Galil du département d’études bibliques de l’université de Haïfa a récemment déchiffré une inscription datant du 10eme siècle avant le début de l’ère commune, et a montré que c’était une inscription en hébreu, rendant ce texte le plus ancien des textes hébraïques connus.
     
    Cette percée indique qu’au moins certaines des écritures ont été composées des centaines d’années avant les dates précédemment retenues, et que le Royaume d’Israël existait déjà à l’époque, comme le dit depuis toujours la Torah. Le 10ème siècle avant l’ère commune est la période pendant laquelle vivait le Roi David.
    L’inscription elle-même, qui a été écrite à l’encre sur une poterie trapézoïdale de 15cm x 16.5cm a été découverte il y a un an et demie lors de fouilles menées par le professeur Yossef Garfinkel à Khirbet Qeiyafa, près de la vallée d’Elah.
     
    Bien qu’elle ait été rapidement datée du 10eme siècle, il n’était pas immédiatement clair si l’inscription était en hébreu ou dans une autre langue locale.
     
    Le décryptage du professeur Galil témoigne du fait que ce soit bien de l’hébreu, l’étude étant basée sur l’utilisation de verbes spécifiques à la langue hébraïque et à un contenu spécifique à la culture hébraïque et pas adoptée par les autres cultures de la région.
     
    « Ce texte est une instruction sociale, relative aux esclaves, aux veuves et aux orphelins, » déclare le professeur Galil. « Il utilise des verbes qui sont caractéristiques de l’hébreu, tel que ‘assa’ (a fait) et ‘avad’ (a travaillé), qui étaient rarement utilisé dans d’autres langues régionales. Des mots particuliers qui apparaissent dans le texte, tels que ‘almana’ (veuve) sont spécifiques à l’hébreu, et sont écrits différemment dans d’autres langues locales. »
     
    La transcription en français donne ceci :
     
    vous ne devriez pas faire (cela), mais adorez l’ (Eternel).
    jugez l’escla(ve) et la veu(ve) - Jugez l’orphe(lin)
    (et) l’étranger. (pl)aidez pour l’enfant - plaidez pour le pau(vre et)
    la veuve. réhabilitez (le pauvre) aux yeux du roi.
    protégez le pau(vre et) l’esclave – (soute)nez l’étranger.
    Juif.org - 10.01.10

  • Le Chef des juifs: l'Antéchrist

    http://debriefing.org/29729.html

    et: http://www.la-question.net/archive/2009/12/17/joseph-de-maistre-et-les-juifs.html

     

  • La Journée de la Langue Hébraïque

    Journée de la langue hébraïque.jpg

    La Langue Hébraïque aura désormais son jour anniversaire, ainsi en a décidé la Knesset. Il s’agira du 21 Tevet (cette année, jeudi 7 janvier), date de naissance d’Eliézer Ben Yehouda, qui fut le « réinventeur » de l’hébreu à la fin du 19e siècle. Né en 1858 en Lituanie, Eliézer Ben Yehouda – de son vrai nom Perlman – fut élevé dans la pure tradition juive. Comme jeune adulte, il subit l’influence des idées de la Haskala au point de s’éloigner presque totalement de la tradition juive, mais à une exception près: son amour pour la langue hébraïque.

    Comme beaucoup de penseurs juifs de l’époque, il adhéra ensuite peu à peu à l’idée du retour du peuple juif sur sa terre ancestrale, et en 1877, il disait: « Les Juifs ne peuvent être un peuple vraiment vivant que s’ils retournent au pays de leurs pères et s’ils retrouvent la langue hébraïque. » C’est à cette tâche qu’il s’adonna dès lors durant le restant de sa vie, en utilisant l’hébreu biblique et traditionnel pour en faire une langue vernaculaire nationale.

    Il monta en Eretz Israël en 1881, mais continua à se rendre dans les plus grandes bibliothèques d’Europe pour y accomplir un travail de titan, et élaborer le premier dictionnaire d’Ivrit moderne. Le « Comité de la Langue Hébraïque » qu’il avait créé, devint en 1953 « l’Académie de la Langue Hébraïque », 31 ans après sa mort.

    En plus de la fixation de ce jour anniversaire, le gouvernement a décidé de mettre sur pied une commission interministérielle qui sera chargée de définir les moyens de préserver et renforcer la langue hébraïque dans la vie quotidienne. Il a été également décidé d’accorder un « Prix du Premier ministre » d’un montant de 70.000 shekels qui sera remis annuellement à des personnes, organismes ou institutions qui auront contribué à la langue hébraïque. Un timbre et une médaille seront également créés et décernés aux 200 personnes qui auront le plus œuvré en faveur de la renaissance et le maintien de la langue nationale.

    Rappelons qu’il y a quelques semaines, le ministre de l’Education, Guidon Saar s’était dit « très inquiet de la déliquescence de l’hébreu parmi la jeunesse et particulièrement dans les écoles ».

    Juif.org - 04.01.10

  • Gaza: trois Palestiniens tués...

    Trois Palestiniens ont été tués ce soir dans le centre de la bande de Gaza lors d'une attaque aérienne israélienne, a-t-on indiqué de source médicale palestinienne.
    Les trois victimes, qui appartiennent au mouvement radical Jihad islamique, ont été tuées par des explosions de missiles air-sol, selon cette source.

    Un porte-parole militaire israélien a confirmé le raid à l'AFP.
    Auparavant, quatre obus de mortier avaient été tirés en direction d'Israël, sans atteindre le territoire israélien, selon une source militaire.

    Dimanche, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti que l'armée israélienne réagirait avec une "force maximale" à tout tir de roquette ou d'obus en provenance de Gaza.

    Les incidents armés à la frontière de Gaza ont nettement diminué depuis l'offensive israélienne de décembre-janvier 2008-2009. Le cessez-le-feu est globalement respecté en dépit d'accrochages et de violences sporadiques.

    Selon l'armée israélienne, quelque 280 roquettes et obus ont été tirés à partir de Gaza depuis la fin de cette opération dévastatrice qui a fait plus de 1.400 morts côté palestinien, selon l'organisation islamiste Hamas qui contrôle la bande de Gaza.

    Le Figaro - 10.01.10

  • VIDEO Marion Maréchal-Le Pen en campagne

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafIT9n.html

    Marion Maréchal-Le Pen, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen, fait ses premiers pas en politique. Candidate du Front national aux élections régionales en Ile-de-France de mars 2010, elle était dimanche sur le marché de Poissy (Yvelines) au côté de la tête de liste du FN, Marie-Christine Arnautu. Agée de 19 ans, la jeune femme a été désignée en deuxième position sur la liste départementale dans les Yvelines. Sa mère, Yann Le Pen, est la fille cadette du président du FN et son père, Samuel Maréchal, fut longtemps l'un des cadres du parti avant le divorce du couple.

     

  • Immigration: les armes à l'école

    Le ministre de l’Intérieur, qui s’est déplacé hier au lycée Darius-Milhaud, a pris soin d’éviter l’effet d’annonce, rappelant au contraire qu’il n’y a pas de solution unique pour éviter que l’école devienne, de plus en plus, le théâtre d’actes violents. Des plans et mesures se sont succédé ces dernières années après chaque .

      

    Un policier à l’école. En Angleterre, certains collèges hébergent un « bobby » à plein-temps. Impensable en . Il a déjà fallu des années pour persuader le monde de l’enseignement de coopérer avec la police et la . Peu d’établissements ont souscrit au principe du référent police un policier qui intervient régulièrement à la demande , que Nicolas Sarkozy avait lancé dans les Hauts-de-Seine quand il présidait le département et qu’il a toujours voulu généraliser.

    Le portique. « Le » remède, jurait déjà Gilles de Robien dès 2006. A nouveau poussé l’an dernier par Nicolas Sarkozy et Xavier Darcos, alors ministre de l’Education, le détecteur de métaux ne fait pas école. Jugé absurde par les chefs d’établissements, qui relèvent qu’« aux Etats-Unis, on en est revenu ». « Imagine-t-on de faire venir les élèves à 6 heures du matin pour le cours de 8 heures ? Entre les compas dans les trousses et les piercings, ça sonnerait tout le temps ! » s’exclame-t-on au conseil régional d’Ile-de-France (PS), qui refuse d’investir dans l’achat de portiques pour ses lycées. Dans les Alpes-Maritimes, le conseil général (UMP) en a acquis trois cet été. Mais aucun collège n’en a réclamé.

    Les caméras. Impossible de savoir combien d’établissements sont, à ce jour, équipés de caméras de vidéosurveillance, qui ne peuvent être imposées par les régions ou les départements que pour l’extérieur. 58 % des lycées franciliens en sont pourvus. Les établissements commencent à en réclamer pour l’intérieur. Elles n’empêchent toutefois rien et permettent juste d’interpeller parfois les agresseurs après coup.

    La fouille. Pour éviter que le couteau ne voisine incognito avec la trousse au fond du cartable, Xavier Darcos voulait autoriser la fouille et habiliter les chefs d’établissement. Devant le refus des proviseurs, la mesure a été abandonnée.

    Les équipes mobiles de sécurité.
    Expérimentées l’an dernier dans l’académie de Créteil, ces brigades volantes de 20 à 50 personnes, pour moitié éducateurs ou profs et pour moitié policiers ou gendarmes auxiliaires, ont été généralisées en octobre. D’ici la fin de l’année, chaque académie doit avoir son équipe, susceptible d’intervenir en prévention ou en réaction à des violences.

    Le parisien - 10.01.10

     

     

  • Expulsion en urgence d'un imam antisémite

    L’Imam d’origine égyptienne Ibrahim Al-Soudani a été expulsé hors du territoire français pour avoir prononcé des prêches antisémites et appelé à la violence contre l’Occident. Al-Soudani « officiait » dans des mosquées de Paris et de la banlieue, et selon les services du ministère de l’Intérieur, « il était surveillé depuis 2008 ». Le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, a fait la déclaration suivante : « Al-Soudani a exprimé à maintes reprises son mépris pour nos valeurs. La République respecte la liberté d’expression, mais quiconque appelle à la violence n’a pas sa place sur notre territoire… »

    ACTU.CO.IL - Israël actualités

    08.01.10

    Et si on expulsait TOUS les imams étrangers?

  • Sarközy est "énervé" par les journalistes otages

    À cause de cette affaire de prise d'otages, on a détruit le travail de plusieurs mois. On a tout arrêté depuisle 30 décembre pour ne plus s'occuper que de cela», déplore une source proche du dossier.

    Interrogée sur le sort des journalistes de France 3 retenus en otage en Afghanistan, une source proche du dossier évoque la «lassitude» de Nicolas Sarkozy. «À cause de cette affaire, on a détruit le travail de plusieurs mois», déplore cette source en soulignant les conséquences de cet enlèvement, le 30 décembre dernier dans la province de Kapisa, sur la mission des soldats français déployés dans la région. Depuis cette date, «on a tout arrêté pour ne s'occuper que de cela», souligne cette source fiable en affirmant que son analyse est partagée par le chef de l'État.

    «Pour mettre la pression sur les ravisseurs, on a fouillé tous les véhicules, on a gêné la vie de tout le monde», explique-t-on. Or, poursuit notre interlocuteur, «quand on veut faire de l'aide au développement et de la sécurisation, il faut établir un niveau de confiance avec les populations».

     

    Mobilisation totale

     

    Selon lui, «en faisant ce que nous avons dû faire, on perd une grande partie du crédit que nous avons mis des mois à construire». S'y rajoute, d'après cette source, la question du coût, en termes de moyens déployés, notamment en heures de vol d'hélicoptères. Un aspect qui, selon Europe 1, aurait fait sortir Nicolas Sarkozy de ses gonds en Conseil des ministres. «Il faut que les Français sachent le coût de cette histoire», se serait insurgé le président de la République.

    Quelle peut donc être la marge de manœuvre de la presse, dans un contexte où, on le découvre avec quelque étonnement, celle-ci peut s'avérer aussi perturbante pour le dispositif militaire français ? Pour la source proche du dossier, il ne s'agit pas de remettre en cause le travail des médias en Afghanistan. Mais il faudrait notamment, préconise t-elle, avoir davantage recours, sur ce type de terrain très sensible, à des «journalistes spécialisés».

    La mobilisation n'en demeure pas moins totale pour obtenir la libération des deux journalistes français. «Nous n'avons pas de preuves qu'ils soient en vie mais un faisceau de présomptions renouvelées tous les jours», indique-t-on à Paris. En tout cas, «au moment où je vous parle, nous attendons toujours une revendication crédible», affirme la source proche du dossier en se retranchant derrière les précautions d'usage.

    Le Figaro - 10.01.10

       
  • VIDEO Calabre: des centaines d'autres Africains prennent la fuite

    http://videos.tf1.fr/jt-we/italie-une-veritable-chasse-aux-immigres-60-blesses-5630721.html

    Des centaines d'autres Africains venus récolter des agrumes en Calabre, dans le sud de l'Italie, ont décidé de fuir, même sans avoir été payé, après les violences des derniers jours à Rosarno.

  • Mariage marocain à Brest - les policiers humiliés et traités de "clochards"

    Vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=m6bcxZQL6bk

    09/01/2010 – 09h00
    BREST (NOVOpress) –
    Trois mois après une manifestation réunissant une centaine de Marocains dans le centre-ville de Brest (Finistère), la police ne digère pas les couleuvres qu’elle a dû avaler. Le 3 octobre 2009, un cortège bruyant de voitures luxueuses (Ferrari, Aston Martin, Lamborghini, BMW, Audi R8, Mercedes AMG…) déferle dans les rues du port breton (voir vidéo). Moteurs agressifs, musique à plein volume, coups de klaxon, drapeaux marocains déployés… une partie de la communauté marocaine de la ville prend prétexte d’un mariage pour troubler l’ordre public.

    Comme dernièrement avec la communauté algérienne en France, cette intrusion dégénère rapidement : plusieurs véhicules roulent sur les trottoirs, d’autres empruntent les ronds-points à contresens. Cette anarchie paralyse rapidement le centre-ville brestois. La police est contrainte alors d’escorter tant bien que mal le cortège marocain. Notre confère, Le Télégramme, constate que « certaines têtes qui s’exhibent par les fenêtres des luxueuses voitures sont bien connues des forces de police ».

    Le lendemain de ces abus, la police parvient quand même à interpeller l’un des convives, sans permis de conduire. Près d’une dizaine de ses proches vont alors organiser une descente au commissariat central afin d’exiger sa libération immédiate. Les policiers sont traités de « clochards ». L’un des Marocains leur jettera dédaigneusement des billets de dix et vingt euros. Aucune interpellation ne sera tentée pour ne pas « mettre le feu » au quartier où se déroulait le mariage. « Quel message croyez-vous que l’on donne en laissant de telles choses se produire ? », déplore un policier. Une France où tout le monde n’est pas logé à la même enseigne.

    NOVOPRESS INFO

     

     

     

  • Besson a peur du FN: il décommande son débat public avec Marine Le Pen

    Feuilleton autour du débat sur l'identité nationale à Liévin dans le Nord-Pas-de-Calais.

    Dernier rebondissement? Le débat sur l'identité nationale avec Marine Le Pen et Eric Besson prévu le 13 janvier prochain, à Liévin, est finalement annulé, a annoncé ce vendredi la préfecture du Pas-de-Calais. La vice-présidente du front national, qui comptait s'y rendre, ne cache pas son indignation. "Cette annulation démontre la supercherie, l'imposture, la forfaiture de ce débat", déclare la leader frontiste.

    C'est que d'autres annulations ont précédé celle du débat lui-même. Quelques heures après que Marine Le Pen a annoncé son intention de participer au débat, les services d'Eric Besson ont annoncé qu'il ne pourrait pas y participer. Ce dernier doit assister le même jour à la présentation des voeux du président de la République aux parlementaires.

    Mépris des élites, selon Le Pen

    Or, la préfecture avait annoncé lundi la tenue de ce débat, près de Lens dans le fief de la vice-présidente du Front national, en soulignant que le ministre de l'Immigration y serait présent. Marine Le Pen refuse donc de croire à la version du ministre. Selon elle, l'organisation du débat avait été fixée en fonction de l'emploi du temps du ministre afin de lui permettre d'assister aux voeux présidentiels.

    "D'après le cabinet de la préfecture du Pas-de-Calais, Besson devait assister aux voeux du président à 18h puis prendre un hélicoptère pour rejoindre Liévin. C'est pour cette raison que le débat avait été fixé à 20h45 et non pas à 19h comme c'est le cas dans les autres régions", explique la conseillère municipale d'Hénin-Beaumont.

    Marine Le Pen avait indiqué jeudi soir qu'elle participerait tout de même au débat, "avec un certain nombre de militants du FN". "Un certain nombre de Français devaient participer à ce débat: son annulation démontre le mépris absolu des élites à leur égard", a-t-elle ajouté.

    Finalement la préfecture du Pas-de-Calais a décidé d'annuler la manifestation: "Au fait de contraintes d'emploi du temps survenues depuis l'annonce de la table ronde sur l'identité nationale prévue à Liévin, plusieurs personnalités devant y intervenir ne pourront finalement être présentes. Dans ce contexte, le préfet du Pas-de-Calais a décidé d'annuler cette manifestation dans l'arrondissement de Lens", précise le texte.

    Notons que Marine Le Pen et Eric Besson doivent par ailleurs débattre le lendemain sur France 2 dans l'émission "A vous de juger".

    L'EXPRESS.fr - 08.01.10

  • Italie: le calme revient à Rosarno qui se vide de ses immigrés

    Car d'immigrés qui repartent.jpg
    Car d'immigrés qui repartent
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    ROSARNO (Italie) - Environ 700 étrangers ont déjà quitté samedi la ville de Rosarno après des violences, notamment une "chasse à l'homme" contre des immigrés, qui ont fait 67 blessés dans cette localité de Calabre (sud de l'Italie), tandis que 200 autres se préparent au départ.

    "Environ 700 étrangers ont été évacués vers Crotone et Bari", deux autres villes du sud de l'Italie, "et 200 immigrés supplémentaires partiront dans le courant de la nuit", a déclaré à l'AFP le préfet de police Mario Morcone, tout en précisant que "la situation revient lentement à la normale".

    Signes du retour au calme, les barricades érigées par la population ont été levées, l'occupation de la mairie par des habitants a pris fin et les magasins ont ouvert dans la matinée.

    Rosarno a été le théâtre jeudi de violentes manifestations d'immigrés protestant contre des agressions dont certains d'entre eux avaient été la cible: elles avaient été marquées par des heurts avec la police, et suivies, le lendemain, d'exactions de la population à leur encontre.

    Pour faire face à ces tensions, le chef de la police italienne Antonio Manganelli avait annoncé dès vendredi soir l'envoi d'un "important contingent de policiers" en renfort, plus de 200 selon la presse.

    Le dernier bilan des violences à Rosarno et dans ses environs depuis jeudi est de 67 blessés, à savoir 31 étrangers, 19 policiers et 17 habitants italiens de cette petite ville de 15.000 âmes.

    La majorité n'ont subi que des contusions ou des blessures légères. Mais six immigrés sont encore hospitalisés, parmi lesquels deux grièvement blessés vendredi soir à coups de barres de fer.

    Les incidents ont débuté à Rosarno après une manifestation jeudi soir de plusieurs centaines d'ouvriers agricoles immigrés -pour la plupart employés illégalement dans la région- qui protestaient contre des tirs de fusil à air comprimé ayant visé plusieurs d'entre eux.

    Les manifestants ont incendié des voitures et brisé des vitrines à coups de bâton et des affrontements se sont produits avec la police.

    Des immigrés attendent d'être évacués dans un bus de la ville de Rosarno (Italie) après des affrontements avec le population locale le 9 janvier 2010

    Vendredi, la population locale a cherché à se venger en procédant à une "chasse aux immigrés" au cours de laquelle plusieurs étrangers ont été blessés.

    Samedi après-midi une manifestation de soutien en faveur des immigrés s'est déroulée à Rome, non loin du siège du ministère de l'Intérieur. Elle a donné lieu à des échauffourées entre policiers, dont un a été légèrement blessé par un jet de pierres, et manifestants qui tentaient de forcer un cordon de sécurité autour du bâtiment, a constaté un photographe de l'AFP.

    Au cours de cette manifestation, les immigrés présents ont demandé la démission du ministre de l'Intérieur Roberto Maroni.

    Selon la presse, au moins 4.000 immigrés sont employés, en général illégalement, chaque année à Rosarno pendant deux mois pour cueillir clémentines et mandarines.

    Le Haut commissariat de l'ONU pour les réfugiés et le principal syndicat italien, la Cgil, ont dénoncé leurs "conditions de vie inhumaines: cabanes insalubres, sans eau, sans hygiène" et des "salaires de misère" (25 euros par jour).

    Le rôle de la mafia a été montré du doigt. "La mafia qui contrôle le territoire, exploite les immigrés avec cynisme et une détermination impitoyable. Les cerveaux criminels savent que les immigrés clandestins ne peuvent même pas tenter de se rebeller car ils sont privés de documents d'identité et donc de la protection de l'Etat", a déclaré à La Stampa don Luigi Ciotti, un prêtre ayant fondé l'association antimafia Libera.

    L'EXPRESS - 09.01.10

  • Recrudescence des délinquants Roms

    Quelque 2 500 interpellations ont été effectuées pour vols à la tire dans les transports parisiens l'année dernière, soit le double de 2008.

    Placés souvent sous le joug de gangs mafieux et subissant des conditions de vie délétères dans quelque 110 campements de fortune en région parisienne, les ressortissants originaires d'Europe de l'Est - de Roumanie en particulier - sont, selon la police, poussés à une délinquance de plus en plus préoccupante. Exilée en France après la chute du mur de Berlin pour s'installer dans le début des années 1990 aux portes de la capitale notamment, cette population serait même à l'origine d'une «recrudescence de la petite et moyenne délinquance».

    À titre d'exemple, la Direction régionale de la police des transports (DRPT) a procédé au cours de l'année dernière à 2 500 interpellations de jeunes femmes qui, par groupe de 3 à 10, s'attaquaient aux voyageurs et aux touristes pour les voler. Multirécidivistes, elles passent à l'action lors de la montée en rame, aux périodes de grande affluence. «Cela a mené à 1 800 mesures de garde à vue, soit plus du double de l'activité répressive de l'année 2008, illustrant ainsi la montée en puissance du phénomène», précise-t-on à la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP).

     

    Spécialisation géographique

     

    Selon les estimations policières, 3 000 personnes issues de la communauté rom sont aujourd'hui installées en banlieue. Écumant les lieux les plus touristiques, les pavillons déserts, les stations de RER, et plus récemment les abords des distributeurs automatiques de billets, elles se livrent à un panel d'infractions allant de la mendicité agressive aux «vols à la tire» dans les poches et les sacs, en passant par les escroqueries à la charité publique et les cambriolages en série.

    «Les auteurs d'infractions se sont spécialisés en fonction de leur ville d'origine et se regroupent, par lieux de naissance, par familles ou par connaissances dans les mêmes campements. Ils ne se mélangent pas ou très peu, établit une synthèse du service d'investigation transversale. À chaque communauté, émanant d'une origine géographique particulière, correspond également une activité économique spécifique.»

    Ainsi, les mendiants seraient réputés venir de Timisoara et ceux qui lavent les vitres des voitures aux portes de la capitale proviendraient des faubourgs de Bucarest. Quant aux voleurs postés près des distributeurs de billets, ils seraient tous originaires de Tandarei et de Slobozia, à une centaine de kilomètres à l'est de la capitale roumaine. «Une majorité des cambrioleurs mis en cause en France viennent de Tulcea», précise le rapport tandis que «les “Maradona” ou faux policiers ayant sévi à Paris sont de Bucarest».

    Pour se soustraire à la loi française, ces organisations criminelles «hiérarchisées et structurées» emploient comme exécutants des mineurs de 12 à 15 ans maximum. Dépourvus de tout document d'identité et refusant en bloc les examens médicaux pouvant déterminer leur âge, ils sont formellement connus des fichiers anthropométriques sous de nombreux alias. «L'enquête établit le cas échéant la certitude d'avoir affaire à la même personne, mais sans connaître son identité officielle, déplore un haut fonctionnaire. Dès lors, cette absence d'identification formelle empêche la procédure judiciaire de s'appliquer normalement pour rendre une décision de justice dans le sens d'une condamnation.» Non soumis aux obligations de quitter le territoire français (OTQF), les mineurs jouissent donc d'un réel sentiment d'impunité qui s'enracine dans les esprits.

    N'hésitant pas à parler d'«esclavagisme moderne», ces délinquants sont avant tout des victimes contraintes de rembourser la «camata», la dette contractée par les familles auprès des donneurs d'ordres retranchés en Roumanie. Les milliers d'euros qu'ils amassent sont envoyés au pays par Western Union. Eux tutoient la misère. «Cantonnés dans des terrains vagues souvent contaminés au plomb, l'état de santé des Roms est inquiétant : 15 % d'entre eux sont vaccinés et la mortal ité infantile est cinq fois supérieure à la moyenne française , confie Olivier Bernard, président de Médecins du monde. L'impossibilité d'accès au logement et au marché du travail est un obstacle majeur à toute tentative d'intégration.» Dans le cadre d'une coopération internationale amorcée dès 2002 par Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, la Préfecture de police accueille désormais en son sein des policiers roumains afin de mieux prendre en considération le phénomène.

    Le Figaro - 09.01.10