Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 789

  • Reportage: "Mettre l'église au centre du village"

    http://www.valeursactuelles.com/fonton-mettre-l%E2%80%99%C3%A9glise-au-centre-village-pere-palcoux

  • Ukraine : Moscou compare des prisons de détention provisoire aux camps nazis

    Ukraine : Moscou compare des prisons de détention provisoire aux camps nazis

     

    MOSCOU, 28 avril - RIA Novosti/La Voix de la Russie Les prisons de détention provisoire que l'Ukraine construit pour les immigrés clandestins rappellent les camps de concentration nazis, a déclaré lundi le ministère russe des Affaires étrangères.

    « Nous sommes préoccupés par les informations sur la construction accélérée de grandes prisons de détention provisoire en Ukraine qui seraient destinées à accueillir des milliers d'immigrés clandestins. L'Ukraine ne compte pas un si grand nombre de clandestins. Selon les médias, les sites en chantier ressemblent beaucoup aux camps de concentration nazis. Une question de pose si le régime de Kiev envisage d'y placer des opposants du sud-est du pays », a indiqué le ministère dans une déclaration mise en ligne sur son site internet.

    Des actions de protestation contre la politique des nouvelles autorités ukrainiennes se déroulent tous les week-ends dans le sud-est du pays. Les protestataires, pour la plupart des russophones, ne reconnaissent pas la légitimité des nouveaux gouverneurs nommés par Kiev suite au renversement du président Viktor Ianoukovitch le 22 février dernier et réclament la fédéralisation de l'Ukraine. Kiev estime que l'Ukraine doit rester un Etat unitaire.

    RIA Novosti
    Lire la suite:
    http://french.ruvr.ru/news/2014_04_28/Ukraine-Moscou-compare-des-prisons-de-detention-provisoire-aux-camps-nazis-5473/

    Des photos !

  • Essonne : un « séducteur en série » maghrébin jugé pour assassinat

    28 avril 2014

    « Séducteur ou assassin ? Lundi s’ouvre à Évry le procès de Jamel Leulmi, défendu par pas moins de quatre avocats dont l’un des ténors du barreau, Me Éric Dupond-Moretti. Ex-professeur de génie civil reconverti en chef d’entreprise, ce Franco-Algérien de 36 ans est accusé d’assassinat, de tentative d’assassinat et d’escroquerie aux assurances.

    Selon les psychologues qui l’ont expertisé, l’accusé a un «ego surdimensionné», un «narcissisme sans faille» et chez lui «la séduction est utilisée comme une arme». Entre 2006 et 2010, Jamel Leulmi a séduit trois jeunes femmes qu’il a convaincues de souscrire des assurances-vie à son profit. À leurs risques et périls.

    Kathlyn Vasseur, ravissante brunette de 26 ans, rencontrée dans une salle de sport, a été tuée en janvier 2007 dans un accident de vélo deux mois après avoir épousé Jamel Leulmi et huit mois après l’avoir rencontré. Il était avec elle lorsqu’elle s’est fait percuter par une voiture. Selon des témoins, il aurait tout fait pour retarder les secours. Kathlyn Vasseur avait souscrit plusieurs assurances vie. [...] »

    Source et suite Le Figaro

     

    Contre-info.com

  • Toulouse: disparition inquiétante d'une jeune mère de famille

    3796677_ide-toulouse.jpg

    Une jeune mère de famille est portée disparue depuis mercredi dernier à Toulouse, selon la Dépêche du midi. Audrey, âgée de 27 ans avait accouché récemment d'un petit garçon. Mercredi dernier, vers 14 heures, la jeune femme, infirmière en congé maternité, avait quitté son domicile, près de la route de Seysses, à Toulouse, pour «faire des courses», au supermarché.

     

                                

    Cette dernière avait confié son enfant à sa sœur.

      Cette mère de famille, dépressive, suit un traitement médical et souffrirait d'un syndrome post-accouchement, détaillent ses proches. Toujours selon eux, Audrey avait évoqué l'idée d'un départ afin de «prendre l'air».

    La police a lancé un avis de recherche

    Les policiers de la brigade de protection des familles de la sûreté départementale ont ouvert une pour disparition inquiétante. Au moment de sa disparition, la jeune femme était vêtue d'un tee-shirt noir à manches longues avec des volants blancs à hauteur de la poitrine, et d'un pantalon gris. Elle portait une paire de baskets noirs avec des lacets blancs, selon la Dépêche du midi.

    La mère de famille n'a pas emporté son téléphone portable. Son dernier retrait sur sa carte bancaire remonterait au 16 avril. 

    Pour toutes informations concernant sa découverte, la police a mis en place un numéro d'urgence, joindre l' de police ce week-end au 05 61 12 77 77 ou la brigade de protection des familles, dès lundi 05 61 12 74 25.

    LeParisien.fr - 26 04 14

  • Nice: l'église Saint-Roch a été vandalisée

    3801713_eglise-nice_640x280.png

    Vitres brisées, meubles renversés, mur abattu… L’église Saint-Roch de Nice a été vandalisée dans la nuit de samedi à dimanche. Aucun objet religieux n'aurait été subtilisé.

    C'est le personnel religieux qui a fait la découverte ce lundi matin en arrivant dans l'église. «Des portes et des tabernacles ont été fracturés.

      

    (Les auteurs) sont entrés en perçant un trou dans le mur de l'aumônerie», décrit un Dans le bureau d’accueil, les tiroirs ont été éventrés, les documents saccagés et les meubles renversés, le tout ne ressemblant plus qu'à «un vaste champ de ruine», continue Nice Matin.



    Un mur cassé à coups de masse

    « Dans une salle, ils ont cassé un mur à coup de masse », décrit Richard Vitale, économe paroissial, pour souligner la détermination des vandales, continue le journal qui rapporte que trois tabernacles où sont conservées les hosties consacrées ont été fracturés. «Soulagement relatif : "Celui qui était plein a résisté et ne s’est pas ouvert. C’est assez miraculeux", note le gestionnaire de l’église» dans Nice Matin.


    L'édifice, de style néoclassique, est classé monument historique. Une pour avec effraction a été confiée à la Sûreté départementale des Alpes-Maritimes.

    Les Niçois choqués

    Le député-maire de la ville Christian Estrosi (UMP) a condamné «avec la plus grande fermeté cet acte gratuit et malveillant perpétré à l'encontre d'un lieu de culte». Il a par ailleurs indiqué dans son communiqué mettre «à la disposition des enquêteurs tous les moyens de la Ville, et notamment les enregistrements des caméras de vidéo-protection, pour retrouver, au plus vite, les auteurs de ces actes inqualifiables». Eric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, a lui aussi sa condamnation sur Twitter.





    LeParisien.fr  - 28 04 14 

  • A Béziers, Robert Ménard impose un couvre-feu aux moins de 13 ans

    PHOb0edcaf2-cedb-11e3-974d-cd56b5502e0e-805x453.jpg

    Selon l'arrêté municipal publié par le nouveau maire de la ville, les mineurs de moins de 13 ans ne pourront plus circuler librement certains soirs de la semaine. Dans d'autres villes aussi, cette mesure est parfois appliquée en période estivale.

     

    Robert Ménard avait promis pendant sa campagne des «gestes forts». En voilà un: le médiatique maire de Béziers dans l'Hérault a fait passer un arrêté instaurant un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans. Déposé vendredi en préfecture, le texte précise que «tout mineur âgé de moins de 13 ans ne pourra, sans être accompagné d'une personne majeure, circuler de 23 heures à 6 heures». L'ancien président de Reporters sans frontières, élu le 31 mars avec le soutien du Front national, avait fait connaître ses intentions en la matière dès le 16 avril, lors d'un conseil municipal.

    Cet arrêté sera applicable du 15 juin au 15 septembre pour les nuits des vendredis, samedis et dimanches, ainsi que pendant l'ensemble des nuits des vacances scolaires. Il ne concernera en revanche que deux zones prédéfinies: l'hypercentre-ville de Béziers et la Devèze, le quartier «sensible» de la ville. «Les jeunes contrôlés seront soit ramenés chez eux par la police, soit accompagnés au commissariat en attendant que leurs parents viennent les chercher. L'idée est de responsabiliser les adultes pour qu'ils ne laissent pas traîner leurs enfants seuls la nuit. Nous voulons éviter qu'ils se mettent en danger ou qu'ils portent atteinte à la tranquillité publique», explique Robert Ménard au Figaro. Pas de sanctions, toutefois, du moins au début. «Nous n'avons pas prévu de système d'amendes, seulement des avertissements. Bien sûr, il ne faut pas que cela se répète trop souvent», menace l'édile.

    L'été voit généralement les couvre-feux se multiplier en France. Débarrassés de toute contrainte horaire et encouragés par le climat, les jeunes ont tendance à veiller plus tard que le reste de l'année. Chez eux, mais aussi dans la rue, où des tensions peuvent avoir lieu, notamment dans les quartiers défavorisés, où les adolescents ne partent pas tous en vacances. Tapage nocturne, échauffourées, troubles à l'ordre public… Ces dernières années, plusieurs maires, plutôt ancrés à droite, ont opté pour un encadrement strict des sorties nocturnes estivales des mineurs afin d'éviter tout débordement. C'est le cas dans plusieurs villes de l'Essonne, comme Brunoy ou Étampes.

    Précurseurs

    Dans le sud de la France aussi, les moins de 13 ans sont invités à ne pas sortir tard seuls. À Antibes-Juan-les-Pins et Cagnes-sur-Mer (Alpes-Maritimes), les maires UMP Jean Leonetti et Louis Nègre se considèrent même comme des précurseurs en la matière puisqu'ils ont tous deux instauré un couvre-feu au début des années 2000. À Mazamet, dans le Tarn, le premier arrêté de ce type avait été publié en juillet 2009. Il sera de nouveau reconduit cet été.

    Jusqu'en février 2010, seuls les maires avaient, en temps normal, la faculté d'interdire la circulation nocturne des mineurs non accompagnés sur la voie publique. Le cadre de ces couvre-feux a été fixé le 9 juillet 2001 par une ordonnance du Conseil d'État. Il impose aux édiles d'en limiter l'application dans l'espace et dans le temps et de prouver que son application est justifiée par des risques particuliers. Mais, il y a quatre ans, les députés ont aussi donné cette latitude aux préfets dans le cadre de la loi de sécurité intérieure, dit Loppsi 2. Selon l'article 43, possibilité leur est donnée «d'instaurer un couvre-feu pour les mineurs de 13 ans entre 23h et 6h lorsque la présence sur la voie publique pendant la nuit, sans être accompagnés de l'un des parents, (…) les exposerait à un risque manifeste pour leur santé, leur sécurité, leur éducation ou leur moralité».

    LE FIGARO - 28 04 14

  • Afrique du Sud: un meurtrier cannibale en cavale arrêté

    3794379_lehlohonolo-scott1-cannibale.jpg

    http://www.aujourdhui-en-france.fr/faits-divers/afrique-du-sud-un-meurtrier-cannibale-en-cavale-arrete-25-04-2014-3794379.php

  • C’était un 28 avril…

    28 avril 2014

    1945 : les troupes allemandes en Italie ont capitulé mais les dernières troupes italiennes de la RSI se battent encore.
    Une course-poursuite s’engage entre services secrets britanniques et américains pour enlever Mussolini.
    Winston Churchill, qui veut faire oublier son admiration pour Mussolini jusqu’en 1939, a décidé de le faire disparaître afin d’éviter qu’il ne soit jugé et qu’il ne parle.
    Ce samedi 28 avril, Mussolini et Clara Petacci, qui l’a de nouveau rejoint, sont soustraits des partisans locaux par une équipe de tueurs qui agissent sur ordre de Londres. Sans avertissement, ils sont abattus à la lisière du village de Mezzagra. Les deux cadavres, ainsi que ceux de six dignitaires fascistes, sont emmenés à Milan où ils sont outragés puis pendus par les pieds à la façade d’un garage, place Loreto, face à une foule haineuse.

    1946 : décès, à Croissy, du colonel de La Rocque, né en 1885, des suites de sa déportation par les Allemands en mars 1943, puis de son internement ne France en 1945 par le gouvernement français de la Libération. Le colonel de La Rocque fonda le Parti social français (PSF) et se rallia au Maréchal Pétain. Il est enterré à Saint Clément (Cantal), près du hameau de La Rocque.

    Contre-info.com

     
  • 600 millions d’euros déversés sur les banlieues ethniques

    28 avril 2014

    Quelque 600 millions d’euros du programme d’investissement d’avenir (PIA) seront accordés aux « zones sensibles », a annoncé lundi le ministre de la Ville Najat Vallaud-Belkacem qui souhaite « mettre le paquet sur l’emploi » dans les « quartiers populaires » (c’est-à-dire immigrés).

    Préférence étrangère ? Maintien de la « paix sociale » par l’argent ?
    Il s’agit quoiqu’il en soit de créer encore une quantité d’emplois bidons pour contenter les déracinés venus en France pour des raisons économiques…

    Contre-info.com

    L'argent de nos impôts est jeté par les fenêtres!

     

     

  • Rome : canonisations médiatiques en 3 D

     

    Rome : canonisations médiatiques en 3 D - Jean XXIII et Jean-Paul II sont-ils des saints ?
     

    Jean XXIII et Jean-Paul II sont-ils des saints ?



    Michel Lhomme
    le 27/04/2014
    modifié le 27/04/2014 à 15:23h
    Jean XXIII et Jean-Paul II  ne sont pas des saints catholiques et il est tout de même curieux qu'il faille un théologien païen pour le rappeler à l'Eglise. La vérité ne saurait être relative. Dès lors pourquoi Jean XXIII et Jean-Paul II sont-ils sanctifiés et canonisés ? 

    Ce furent des papes politiques, des papes « modernes », des papes mondialistes. Jean XXIII initia et Jean-Paul II médiatisa l'hérésie suprême : le dialogue interreligieux. Chacun sait que les religions sont facteurs de division (Cf un récent sondage australien du The Sydney Morning Herald), mais Jean XXIII et Jean-Paul II voyaient les choses autrement. En saints sécularisés et laïcisés, ils trouvaient dans toutes les religions, de la compassion, de l'hospitalité, de l'amour du prochain, de la paix universelle (ce cosmopolitisme kantien sur lequel Benoit XVI rédigera sa thèse de philosophie) et même, comme  le Pape François aujourd'hui, du respect de l'environnement et sans doute demain, la reconnaissance de l'orientation sexuelle invertie.

    C'est à partir de Jean XXIII que l'Eglise catholique se lancera dans son affaire du siècle : le dialogue interreligieux. Bouddhistes, chrétiens, hindous, musulmans et bien d'autres - sauf les païens - uniront leurs forces pour combattre la pauvreté (parfois même avec les communistes dans le cadre de la Théologie de la libération), défendre les droits de l'homme, ou alerter le public sur les problèmes sociaux ou écologiques. Depuis, diverses religions, toujours sous l'égide de l'Eglise catholique, se réunissent dans des forums ou des rencontres comme celles d'Assise. Des prêtres ou moines de toutes obédiences s'y assemblent pour discuter de la façon dont ils peuvent favoriser une compréhension mutuelles et célébrer ensemble leur communauté d'esprit par des fêtes, des prières, des cérémonies, en somme des shows spectaculaires pour préparer le futur gouvernement mondial totalitaire.

    Le dialogue interreligieux va-t-il apaiser les conflits religieux ? 

     
    Poser la question, c'est y répondre. L'une des plus grandes organisations interreligieuses, Interfaith Youth Core,  présente à Rome ce week-end, se vante de compter parmi ses membres des représentants de plus de 200 religions et d'être active dans 76 % des pays. Elle répond à l'appel de Jean-Paul II : « favoriser entre les religions une coopération quotidienne et durable ». Les fondateurs de cette organisation s'empressèrent de rédiger une charte commune qui ne devait offenser aucune des religions associées. Ils mirent du temps à rédiger cette charte mais surtout à la faire signer. Pourquoi ? Parce que personne n'était d'accord sur le nom de Dieu. On trancha alors abruptement : aucune référence à Dieu n'y serait faite. Dieu est mis de côté. Dieu est ainsi mort au sein des religions. C'est exactement l'aboutissement théologique de nos deux « saints » du dimanche : tuer Dieu au cœur même du sanctuaire, retourner l'autel.
     
    Peut-on encore parler à Rome de catholicisme ? 

    Quel rôle peut encore jouer la Foi catholique (Jean 3 : 16 ) si le nom même de Dieu n'y apparaît plus ? En quoi, dans ce cas, l'Eglise charismatique, œcuménique diffère-t-elle d'un quelconque organisme de bienfaisance ou philanthropique ? Jean XXIII et Jean-Paul II seront ce dimanche célébrés à Rome par les hommes politiques comme les premiers fondateurs des ONG, non pas en tant que  religieux catholiques mais en tant qu'humanitaristes ce qui ne les empêchera pas de verser le sang en Ukraine ou en Syrie et demain, en Iran.

    Selon le Dalaï-lama, autre partisan du rapprochement interreligieux, « toutes les grandes religions délivrent plus ou moins le même message: un message d'amour, de compassion et de pardon. L'important, c'est que ces qualités fassent partie de notre quotidien ». Admettons mais nous ne pouvons nous empêcher de poser une question aux Bouddhistes comme aux Catholiques sans Dieu : la vraie foi ne consiste-t-elle qu'à encourager au Bien ? La seule raison d'être de la religion n'est-elle que morale ? Qu'en est-il alors effectivement de l'Eveil ou de la Sainteté ? Faut-il dès lors rappeler aux chrétiens les principes de leur fondateur Paul (Romains 10:2, 3; Mathieu 7:21-23; 2 Corinthiens, 6:14-17) ?

    Il y a des cultes vains. Il y a certes du « Heureux les pacifiques »  dans le message évangélique qui, soit-dit en passant, nous rappelle surtout le roman de Raymond Abellio  , mais il n'est pas du tout de la fonction de l'Eglise  de créer des ponts entre toutes les religions pour qu'elles puissent vivre en paix. Le Christ ne s'est jamais associé aux autres dans leurs pratiques religieuses. Jésus face aux Pharisiens, face aux Sadducéens, s'est refusé à tout partenariat religieux (Mathieu 15:14). L'Eglise n'est pas une entreprise humanitaire, une société œcuménique d'entraide. Jusqu'aux « gentils papes » (Jean XXIII et sa suite), l'Eglise a toujours condamné le rapprochement interreligieux car on ne saurait parvenir à l'Unité par le patchwork ou le mélange des rites. Après plus de cinquante ans d'église conciliaire, le dialogue interreligieux est en panne.
     
     
    En religion, la doctrine et la morale resteront toujours des sources de conflit car chaque texte sacré comporte ses normes de Dieu et en appelle, certes à l'unité mondiale mais par le triomphe de ses valeurs, par son purisme propre.
    Dans 
     
    Chesterton face à l'Islam qui vient de paraître chez Via Romana, Philippe Maxence décrit la nature profonde de cette religion. Chesterton faisait un rapprochement entre l'Islam et l'hérésie unitarienne, qui consistait aux débuts du christianisme à nier la Trinité pour ne considérer Dieu que comme une seule personne. Cela rejoint totalement le dogme intangible de l'affirmation de la foi musulmane d'un « Allah Akbar», d'un Dieu-Un, d'un Dieu Unique et Très-Haut. Cette théorie forte et puriste du Dieu Unique, dans sa substance et sa personne, manifeste forcément une volonté conquérante intrinsèque, inscrite profondément en lui. Car comme l'écrit Chesterton, « la conquête est permise et si l'on peut dire, elle est naturelle pour les disciples d'un Dieu qui étant seul ne peut pas aimer et ne connaît dès lors que la loi de la soumission ».
     
    Tous ces Chrétiens œcuméniques réunis ce dimanche, finissent par n'adorer que ce Dieu-Un, cette unicité abstraite de Dieu, en ignorant au nom de la tolérance et du dialogue interreligieux et sous la bannière mondialiste de l'amitié des peuples, le caractère quasi polythéiste du catholicisme.
     
    L'insistance, dans ces cérémonies de canonisation sur l'unicité d'un Dieu-concept des religions, d'une sorte d'Absolu, fondement universel de toutes les religions, est bien celle d'un Dieu, très proche de celui des disciples de Mahomet ou de la fin hégélienne de l'Histoire. Le Dieu des Chrétiens et des Musulmans, comme celui des Juifs et des Bouddhistes, des Rastafaristes ou des Hindous n'est pas le même et toutes les répercussions théologiques de cette différence sont politiques et participent de la politisation du monde. La cérémonie de ce week-end sera bien une grande messe  mais ce sera celle de la dépolitisation du monde.
     
     
    METAMAG
  • Louis de Bourbon : "Je suis prêt à servir la France"

     

     
    Marseille / Publié le Dimanche 27/04/2014 à 05H17
     

    L'héritier du trône de France était à Aigues-Mortes pour célébrer Saint Louis

    20140427_1_6_1_1_0_obj6346222_1.jpg

    Le prince Louis et son épouse la princesse Marguerite sont venus à Aigues-Mortes à l'occasion du 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis.

    Photo Maxppp

     
     

    Si la France était encore une monarchie, le prince Louis de Bourbon, duc d'Anjou, serait notre souverain sous le nom de Louis XX. Le prince, qui s'est rendu vendredi à Aigues-Mortes pour commémorer le 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis, a accepté de répondre aux questions de La Provence.

    Monseigneur, vous vous êtes rendu, vendredi, à Aigues-Mortes pour commémorer le 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis. Que représente ce roi, majeur dans notre histoire, pour vous ? Et pourquoi célébrer sa naissance, qui est aussi le jour de votre quarantième anniversaire, à Aigues-Mortes ?
    Louis de Bourbon : C'est vrai que la concordance des dates et des prénoms est amusante : Saint Louis est né le 25 avril 1214, je suis né 760 ans plus tard et nos épouses se prénomment Marguerite... Mais plus sérieusement, oui, il m'a paru important de venir à Aigues-Mortes à l'occasion du 800e anniversaire de Saint Louis. J'ai accepté cette invitation des autorités civiles et religieuses car honorer ce saint roi, bon époux et bon père de famille, est tout un symbole. Il fonda cette cité en 1240, ouvrant à la France une porte sur la Méditerranée qui ne s'est jamais refermée depuis. Roi réformateur, bâtisseur, juste, il était très aimé car il avait grand souci du faible. Tout cela est présent à Aigues-Mortes, mais j'irai cette année dans d'autres lieux, tant en France qu'à l'étranger, à commencer par le Grau-du-Roi pour la restauration d'un reliquaire.

    Alors que notre pays semble de plus en plus divisé, quel serait, selon vous, l'intérêt d'une restauration de la monarchie ?
    Louis de Bourbon : L'avantage de la royauté, c'est précisément de faire l'union. D'ailleurs, ce fut tout au long de l'Histoire le leitmotiv de nos rois : unir, rassembler, lutter contre les intérêts particuliers au profit de l'intérêt général. Un roi, par nature, est au-dessus de tous les partis. Il est au service de tous. Au service de son pays et c'est naturellement qu'il mettra tout en oeuvre pour le transmettre à son successeur en bonne santé. C'est la concordance commune d'intérêts qui est l'un des secrets de la réussite du système, et cela est unique et irremplaçable.

    Peut-on encore concilier modernité et monarchie, notamment en ce qui concerne les problèmes de société ?
    Louis de Bourbon : Déjà, on peut constater que des monarchies existent en Europe et, en général, les pays concernés révèlent une adaptation plus dynamique, tant sur le plan social qu'économique. La France est très attachée à son système de protection sociale que Saint Louis aurait sûrement soutenu, lui qui, à l'époque, créait les grands hôpitaux et les premiers fonds de retraite pour les soldats. Mais pour garder cette protection, il faut être vigilant et lucide. Rien n'est pire que l'utopie. La royauté, elle, s'est construite sur du réel, c'est-à-dire, au départ, une famille, des fiefs, des communes, des artisans, des commerçants, des entrepreneurs, etc. Tout un tissu social travaillant chacun pour soi et pour le bien de tous, grâce à un contrôle minime mais efficace exercé par le minimum d'État qu'est la royauté. Ce système donnait ainsi beaucoup de libertés aux individus. Où en sommes-nous avec les libertés ?

    Dans la France actuelle, quel rôle entendez-vous jouer ?
    Louis de Bourbon : Un rôle à la fois discret et concret. Les autorités, tant civiles que religieuses, qui m'ont invité savent très bien qui je suis et c'est bien en tant qu'aîné de la Maison de Bourbon, descendant direct de Saint Louis, que je suis venu à Aigues-Mortes. Les choses sont claires et je suis très heureux de pouvoir incarner cet attachement profond des Français à leur Histoire. Chaque année, le programme des Célébrations nationales présente beaucoup d'occasions d'évoquer ce lien si particulier qui existait entre le Roi et son peuple, un lien à la fois charnel et spirituel, là encore quelque chose d'irremplaçable. Que vous dire d'autre ? J'existe, je suis là et si je peux un jour oeuvrer plus concrètement pour la France, je prendrai mes responsabilités. J'ai aujourd'hui 40 ans, trois enfants, une vie active, je sens bien que ma génération et celle qui suit attendent un changement profond et pacifique.

    La Provence

  • Saint Jean-Paul II embrasse le Coran au Vatican - Rome 14 mai 1999

    1902985_739179666103922_7241443059124356790_n.jpg

    (Alexandre Simonnot sur Facebook)

    http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-32851059.html

  • Hermann Van Rompuy au sujet des élections européennes : « les vraies décisions sont prises ailleurs »

    herman-van-rompuy.jpg

     

    27/04/2014 – BRUXELLES (NOVOpress) - Le Président du Conseil européen Herman Van Rompuy a récemment reconnu que le manque d’intérêt des citoyens européens pour les élections européennes est l’expression d’un sentiment instinctif. Dans une interview accordée au Süddeutschen Zeitung, il a confié que « les vraies décisions sont prises ailleurs », c’est à dire pas au Parlement européen. Cette affirmation démontre que l’Union européenne est une institution opaque et autoritaire, sur laquelle les citoyens n’ont que très peu de prise.

    Source :deutsche-wirtschafts-nachrichten.de – crédit photo : Guillaume Paumier via Wikimedia (cc)

    Mais alors où sont-elles prises? Et par QUI ?

  • L'histoire de Paris - Sur la place du Châtelet, il y avait jadis la forteresse du Grand Châtelet

    proxy.jpg

    (Musée Carnavalet)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_Ch%C3%A2telet

  • Allemagne : un candidat de la CDU (droite) modifie le logo de son parti pour séduire l’électorat musulman

      

     

    27/04/2014 – NEUSS (NOVOpress)
    Des élections locales vont avoir lieu le 25 mai prochain dans la ville de Neuss et la chasse aux électeurs musulmans vient de franchir une nouvelle étape.Cette chasse désespérée au vote immigré devient évidente quand le candidat CDU (Union chrétienne démocrate), Yasar Calik – lui-même d’origine turque et musulman -, a rajouté un croissant et une étoile sur le logo de son parti, qui paradoxalement est chrétien-démocrate (photo ci-dessous)… Il convient aussi de noter que son principal adversaire, le candidat du SPD (Parti social-démocrate), Hakan Temel, est aussi Turc et musulman.

    Allemagne : un candidat de la CDU (droite) modifie le logo de son parti pour séduire l’électorat musulman

    Allemagne : un candidat de la CDU (droite) modifie le logo de son parti pour séduire l’électorat musulman

     

  • Repentance et ethnomasochisme à propos de l’esclavage : le FN dit non !

     

      Partager sur Facebook Tweeter 

     

    27/04/2014 – VILLERS-COTTERETS (NOVOpress via Kiosque courtois)
    Alors que la doxa dominante entend culpabiliser les Français pour mieux les contraindre à se résigner au Grand Remplacement, Franck Briffaut, le nouveau maire Front national de Villers-Cotterêts a quant à lui refusé d’organiser une commémoration le 10 mai prochain pour l’abolition de l’esclavage. « Je perçois cette commémoration comme étant un peu à la mode, dans le cadre d’une auto‑culpabilisation permanente, d’une culpabilisation systématique, alors que l’esclavage existe encore ailleurs dans le monde » a ainsi déclaré Franck Briffaut.

    Une décision que l’association des amis du général Dumas, mort à Villers‑Cotterêts, a déplorée, rappelant que le père du grand écrivain Alexandre Dumas était descendant d’esclaves par sa mère. Franck Briffaut a répliqué en déclarant qu’il était prêt à célébrer la personne et les exploits du général Dumas dans une démarche positive, mais pas à entretenir la culture de repentance.

    Photo : Château François Ier à Villers-Cotterêts où François Ier signa probablement l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, faisant du français la langue officielle du droit et de l’administration, en lieu et place du latin. Sans doute le plus ancien texte encore directement en vigueur en France. Crédit : Benjism89, via Wikipédia, (cc).

  • Le 27 avril 1702 : mort de Jean Bart, corsaire dunkerquois au service du Roi Louis XIV.

     

    Statue de Jean Bart à Dunkerque

    Né à Dunkerque le 21 octobre 1650, Jean Bart commence à naviguer dès l'âge de 12 ans, comme mousse dans l'escadre hollandaise commandée par Ruyter, dont il observe le savoir-faire tactique. Il fait ses premières armes durant la guerre de Hollande. A partir de 1672, il navigue en course pour le compte de la France et s'y révèle. Le 2 avril 1674, il s'empare de sa première prise, un dogre hollandais, le premier d'une longue série. Pour la seule l'année 1676, ses prises s'élèvent à dix-sept. Il commence alors à attirer l'attention du ministre de la Marine, Colbert, et du Roi lui-même. Ce dernier lui envoie une chaîne en or en guise de récompense. Il accumule plus de 50 prises entre 1674 et 1678. Admis dans la Marine royale avec le grade de lieutenant de vaisseau en janvier 1679, il se bat en Méditerranée contre les Barbaresques et est promu capitaine de frégate en août 1686.

    En 1689, il est chargé, en compagnie de Forbin, un autre corsaire du Roi, de conduire un convoi de Dunkerque à Brest, il est fait prisonnier par les Anglais, mais le convoi est sauvé par son sacrifice. Il s'évade et revient à Saint-Malo en traversant la Manche à la rame. Il est promu capitaine de vaisseau en juin 1689, en récompense de cette action.

    De 1690 à 1697, Jean Bart devient la terreur des mers pour les ennemis de la France. En 1694, la France subit le blocus de la Ligue d'Augsbourg. Cela fait monter le prix du grain, car les négociants spéculent. Pour éviter la famine, Louis XIV achète alors cent dix navires de blé norvégien.

    Le lendemain de son départ de Dunkerque, Jean Bart rencontre cette flotte de 130 navires marchands entre le Texel et la Meuse. Le problème est qu'elle a été capturée par huit vaisseaux de guerre hollandais, dont l'un porte pavillon du contre-amiral Hidde Sjoerds de Vries.

    Malgré un rapport de force qui lui est défavorable, car il ne dispose que de sept bâtiments de rang inférieur, Jean Bart engage le combat. Après une lutte acharnée, au cours de laquelle l'amiral hollandais est grièvement blessé et capturé, il parvient à reprendre la flotte et la ramène en France.

    C'est en sauvant ainsi le Royaume de la famine, qu'il devient un véritable héros. Cette victoire du Texel, de 1694, car il y en aura une autre au même endroit 3 ans plus tard, lui vaut l'anoblissement et la reconnaissance personnelle de Louis XIV. Sa popularité est telle que les Grands du royaume, comme le duc de Bourgogne, le duc d'Anjou, le prince de Conti, participent à l'armement de ses vaisseaux en contrepartie d'un tiers des prises.

    Ainsi Jean Bart « … sauva la France en lui donnant du pain » comme le chante une « Cantate à Jean Bart » de l'époque. Pour cet exploit, Jean Bart reçoit des mains du Roi, la croix de chevalier de l'Ordre de Saint-Louis, institué l'année précédente. Une médaille est frappée en souvenir du combat du 29 juillet 1694, et Jean Bart est anobli. Dans les lettres de noblesse qu'il lui envoie, Louis XIV autorise Jean Bart à porter une fleur de lys d'or dans ses armes ; le Roi écrit :

    « De tous les officiers qui ont mérité l'honneur d'être anoblis, il n'en trouve pas qui s'en soit rendu plus digne que son cher et bien-aimé Jean Bart. »

    Trois ans plus tard, il est nommé chef d'escadre pour avoir préservé Dunkerque des bombardements anglais.

    En 1702, Jean Bart commande le Fendant, en rade de Dunkerque, lorsqu'une pleurésie l'oblige à débarquer à la veille de la guerre de succession d'Espagne. Il meurt à Dunkerque le 27 avril 1702, à l'âge de 52 ans. Il est inhumé en l'église Saint-Éloi dans sa bonne ville de Dunkerque. "Le Renard des Mers" comme on le surnomme, a capturé 386 bâtiments au cours de sa carrière. La France a, depuis, rendu hommage à Jean Bart en donnant son nom à 9 bâtiments de la Marine.

    Le Salon Beige

  • Alstom abandonné par le gouvernement français au profit d'un dépeçage américain ou allemand !

     Communiqués / 27 avril 2014 / Mots-clés : , , /

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    La passivité et l’inaction du gouvernement sur le dossier Alstom soulèvent l’écoeurement légitime de nombre de nos compatriotes. Ce fleuron industriel français, dont l’avenir serait forcément américain ou allemand, est ainsi sans vergogne abandonné à ses concurrents étrangers.

    Avec le dépeçage d’Alstom, c’est un pan entier de l’industrie stratégique française qui est en danger, en particulier la filière électronucléaire (turbines, alternateurs, etc), condition de notre indépendance. Cette perspective nous est intolérable.

    L’Etat qui avec succès avait pu sauver Alstom en 2003, en prenant 21% du capital, butte à présent sur le barrage de l’Union européenne construit par les traîtres de l’UMP et du PS. Ce que la Commission avait jadis toléré du bout des lèvres, nous est à présent sèchement refusé, marquant là le désastre de notre soumission.

    Sauver Alstom et ses 18 000 emplois directs sur le territoire, par une solution nationale, est donc une obligation stratégique, sociale et morale. Il faut refuser le faux choix du dépeçage américain ou allemand et y préférer une voie patriote, française, par le rachat des parts de Bouygues, principal actionnaire, par la Caisse des Dépôts et Consignations.

    Pieds et poings liés par l’Union européenne, M.Montebourg montre aux Français qu’il n’est qu’un figurant au milieu d’une pièce dramatique, qui se joue sans la France et à son préjudice exclusif.

  • Catastrophe de Tchernobyl 26 avril 1986

    http://www.dissident-media.org/infonucleaire/special_tcherno.html

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Catastrophe_de_Tchernobyl

  • Prisonniers du FLN : Raphaëlle Branche nous parle de son livre-enquête

    L’historienne Raphaëlle Branche, spécialiste de la guerre d’Algérie, présente le contenu de son dernier ouvrage « Prisonniers du FLN ». Première enquête historique sur les prisonniers de Front de Libération Nationale, page méconnue de la guerre d’Algérie.
    Ces prisonniers du FLN furent aussi bien des militaires que des civils.
    Réalisation vidéo : Jeanne Menjoulet

    Raphaëlle Branche : Prisonniers du FLN, essai, 284 pages, éditions Payot, décembre 2013, Paris

    ALTERMEDIA