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Blog - Page 790

  • Manuel Valls hué à Rome pendant la double canonisation

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    Le premier ministre était en déplacement au Vatican dimanche pour représenter la France. Des pèlerins français ont sifflé son image lorsqu'elle apparaissait sur des écrans géants.

     

    Interrogé par France Info, Manuel Valls a indiqué avoir fait samedi soir une petite visite de Rome «pour mieux sentir l'ambiance de cette ville incroyable», au sortir de son dîner avec son homologue italien Matteo Renzi. Une ambiance rapidement refroidie par l'hostilité de pèlerins français réunis dimanche matin place Saint-Pierre.

    Par deux fois, certains parmi les milliers de catholiques français présents au Vatican (le centre pastoral d'accueil parle d'au moins 15.000) ont hué le premier ministre lorsque son image est apparue sur les écrans géants. Les cris ont retenti une première fois alors que Manuel Valls s'approchait de la tribune place Farnèse, avant le début de la cérémonie.

     

    Selon notre envoyé spécial Jean-Marie Guénois, le premier ministre a été une nouvelle fois hué quand l'écran géant l'a montré saluant le pape François après la messe de canonisation. La présence de Manuel Valls avait été présentée comme un geste d'apaisement envers les catholiques français après les tensions cristallisées autour de la Manif pour tous et du Printemps français, deux mouvements qui comptent de nombreux croyants dans leurs rangs.

     

    Manuel Valls devait initialement se rendre à Rome en tant que ministre de l'Intérieur et du Culte, le calendrier gouvernemental en aura décidé autrement. Mais devenu premier ministre, il a maintenu cette visite «pour représenter la France et son gouvernement (...) un État laïc mais respectueux de l'Église».

    Des voix se sont élevées à droite pour dénoncer une manipulation des religions:

     

    A gauche, Jean-Luc Mélenchon interrogé jeudi sur la chaîne KTO avait estimé que la présence du premier ministre n'était pas une bonne idée, estimant «que la circonstance ne le concernait pas», au nom du respect du principe de neutralité de l'État face au culte.

    LE FIGARO - 27 04 14

  • Évacuation du camp de Roms à Lezennes : 3 jours de travaux pour sortir 400 tonnes de déchets

     

    Lu dans La Voix du nord :

    « Vingt-quatre heures après l’évacuation du camp de Roms du boulevard de Tournai, les entreprises mandatées pour assainir le site poursuivaient leur tâche ce mercredi.

    Près de 400 tonnes de détritus devraient être mises en décharge et le site sécurisé. De l’autre côté de la route, les riverains ne cachent pas leur soulagement.

    De la ferraille, du bois, du carton, de vieux appareils électroménagers, des câbles mais aussi des vêtements [sortis d'où ?! - NDCI]. Après une première journée de nettoyage mardi, les entreprises chargées par LMCU et le conseil général de faire place nette boulevard de Tournai étaient à pied d’œuvre ce mercredi encore pour remplir plusieurs dizaines de bennes. »

    Des riverains qui évoquent en vrac :
    « Des rats de belle taille dans le jardin »
    « Des nuits très agitées »
    « Nos maisons étaient invendables tout ce temps »
    « On a subi un tas de nuisances »

    Source et détails

    Contre-info.com

  • Conducteur d'un "go fast" abattu : des centaines de kilos de cannabis à bord du véhicule

     

     
    Lançon-Provence / Publié le Dimanche 27/04/2014 à 16H32
     
     

    Autour de trois cents kilos de résine de cannabis ont été découverts à bord du Porsche Cayenne ayant tenté de forcer le barrage douanier au péage de Lançon-Provence vers 13 heures.

    Alors que le véhicule fonçait sur une voiture des douanes, un fonctionnaire a ouvert le feu occasionnant le décès du trafiquant qui serait "un peu connu" des services de police.

    La Provence

  • Jean-Marie Le Pen : "Je veux une Europe des nations souveraines"

     

     Publié le Dimanche 27/04/2014 à 12H31
     
    Actualités - Jean-Marie Le Pen : Je veux une Europe des nations souveraines
    "Nous ne pouvons accepter les arrivées massives d'immigrés alors que nous n'avons pas de travail à leur donner. Nous ne pourrons pas les assimiler", a soutenu hier Jean-Marie Le Pen, lors de la présentation de ses colistiers pour les européennes.

    Photo DR

     
     

    Jean-Marie Le Pen, tête de liste du Front national dans le grand Sud-Est pour les élections européennes du 25 mai prochain, était hier à Marseille pour présenter ses colistiers. À bientôt 86 ans, le président d'honneur du FN compte bien être réélu pour la 3e fois dans cette eurorégion. Pour conserver son siège à Bruxelles, Jean-Marie Le Pen multiplie les déplacements et les meetings. Pour le moment, sa liste est donnée très largement en tête dans les sondages.

    Votre slogan c'est "Non à Bruxelles, oui à la France". Pourquoi êtes-vous anti-européen ?
    Jean-Marie Le Pen : Je ne suis pas anti-européen. Je suis l'adversaire de l'Union européenne. Je l'accuse d'avoir vidé la société française de sa substance et de nous avoir, en quelque sorte, réduits en servitude. Les Français l'ignorent généralement, mais 80 % des lois qui s'appliquent en France sont seulement transcrites par l'Assemblée nationale. Elles viennent de Bruxelles ou de Strasbourg.

    Quelle est l'Europe que vous souhaitez ?
    Jean-Marie Le Pen : Mon Europe, c'est une Europe des nations souveraines, capables de se coordonner comme nous l'avons fait pour Ariane ou Airbus, pour lesquels l'Union européenne n'a joué aucun rôle.

    Les nations peuvent être dangereuses. On va peut-être avoir une guerre entre l'Ukraine et la Russie pour une question territoriale.
    Jean-Marie Le Pen : Non, si la Russie devait intervenir, ce qu'à Dieu ne plaise, ce serait pour protéger ses minorités, pas pour une question de conquête. Il faut se souvenir que la Russie est née à Kiev et que l'Ukraine faisait partie de l'Empire russe avant 1917.

    Dans votre programme, vous voulez toujours revenir au franc alors qu'une majorité de Français, selon les sondages, préfèrent conserver l'euro.
    Jean-Marie Le Pen : Pour l'instant, nous ne sommes soutenus que par une minorité très importante, de 30 ou 40 %. Mais surtout, beaucoup d'économistes ont changé d'avis. Ils mettent aujourd'hui en doute la viabilité de l'euro. L'euro est surévalué, ce qui nuit énormément à la compétitivité de nos entreprises et à la possibilité d'exporter. Nous sommes prisonniers de cette monnaie. Or, je vous signale que le jeu de nos adversaires consiste à décrire de façon apocalyptique ce qui se produirait si jamais on revenait à la monnaie nationale. Alors que beaucoup d'autres pays ont gardé la leur sans problème. Par exemple, la Grande-Bretagne et la Suisse.

    Vous avez connu les dévaluations constantes du franc, cette guerre monétaire entre les pays européens. Vous voulez revivre ça ?
    Jean-Marie Le Pen : Il faut que la monnaie corresponde à l'état de l'économie, faute de quoi, un jour ou l'autre, il y aura une remise en ordre qui sera extrêmement brutale. Les États-Unis ne pourront pas continuer à imprimer des dollars comme ça impunément sans relation aucune avec leur capacité économique et nous de même. L'euro est trop fort et c'est vrai que nous voulons retrouver les composantes de notre souveraineté, la possibilité d'écrire nous-mêmes notre destin et ça comprend une souveraineté monétaire, une souveraineté budgétaire, militaire et diplomatique.

     

     

    Propos recueillis par Olivier Mazerolle et Farida Setiti (extraits)

    La Provence

  • Agression du métro de Lille: l'abjection

    « J’avais peur. Il m’a dit que j’étais une pute, qu’il allait appeler son cousin, qu’ils allaient me violer à plusieurs. » C’est ainsi que s’exprimait, sur RTL et sous le choc, la jeune femme victime d’une agression dans le métro de Lille. Le mercredi 23 avril 2014, à 22 h 30, l’innommable se produit. Plus de 30 minutes d’agression, sans aucune aide extérieure : un film d’horreur.

    Cette femme, mère de quatre enfants, est entrée dans une station de métro, située au sud de Lille, afin de rentrer à son domicile de Tourcoing. Les menaces ont immédiatement commencé. Monsieur Abdelnour B., Marocain de 19 ans, est saoul, lubrique, bien décidé à faire vivre un enfer à sa victime. Dans son esprit – désinhibé par l’alcool et probablement un mode de vie dans lequel les mâles sont tout puissants –, les femmes n’appartiennent même plus au genre humain, elles sont destinées à satisfaire les envies sexuelles les plus basses et les plus immédiates, ni plus ni moins que des bouts de viande. Il se sent fort, il est un dominant, personne n’osera s’opposer à lui ; d’ailleurs, les autres passagers empruntent volontairement l’autre rame, laissant la jeune femme à son sort. Son témoignage est édifiant et révélateur : « Les gens sont partis dans l’autre rame tout au fond. Ils m’ont laissée toute seule et ils me regardaient me faire agresser ! »

    Quel genre d’hommes et de femmes peuvent laisser une femme apeurée, seule auprès d’un voyou violent et en état d’ébriété, au risque d’être assassinée et violée ? Où en sommes-nous quand, dans la France du XXIe siècle, plus personne n’a le courage de s’opposer à l’arbitraire de la rue ? Pas un n’a même tiré le signal d’alarme à disposition dans la rame, pas un n’a eu ce sens civique élémentaire ! Ce fait est tristement révélateur d’une époque abjecte, où tout altruisme a disparu, dans laquelle plus personne ne prend le parti d’une femme sans défense. La France devrait être mortifiée de honte par ces actes ignobles, qui ont cours tous les jours dans les établissements scolaires, les transports en commun et les boîtes de nuit.

    Les jeunes identitaires ont été traités de tous les noms, pour avoir effectué des tournées de sécurisation dans les transports en commun, et notamment dans le métro de Lille. Accusés d’alimenter l’insécurité, le traitement journalistique les a dépeints en milice d’un genre nouveau, alors qu’à l’aune de cette affaire, on peut estimer qu’ils ont justement dénoncé une insécurité invivable pour les usagers des transports en commun. Mais aussi, et c’est peut être plus grave encore, le silence coupable des gens, trop lâches et égoïstes pour même tirer sur un signal d’alarme.

    Français, réveillez vous, car ça n’arrive pas qu’aux « autres », et demain ce seront peut-être vos enfants ou votre femme qui subiront cela ! Quant au ministère de l’Intérieur, il doit prendre la pleine mesure de cette insécurité et arrêter de mettre des pansements sur une jambe de bois. Nous serons vigilants.

    Gabriel Robin

    BOULEVARD VOLTAIRE

    NdB: ce triste fait-divers peut se résumer d'un seul mot: "immigration"

  • La plume de Valls est membre du Crif

            

    L’homme chargé d’élaborer les discours du Premier ministre est un militant communautaire et sioniste.
    Délicate omission de la part des médias traditionnels : en identifiant le "conseiller pour les discours" -officiellement nommé le 11 avril- du nouveau Premier ministre, Le Monde, Paris Match et Le Journal du dimanche ont passé sous silence ses connexions idéologiques pour le moins singulières. Âgé de 37 ans, Benjamin Djiane, désormais présenté comme la "plume" de Manuel Valls, n'est pas seulement un produit typique de l'élite française, passé par Sciences Po Paris et l'École de management de Lyon.

    L'homme est également le vice-président de Socialisme et judaïsme, une association fondée à la fin des années 70 et devenue adhérente du Conseil représentatif des institutions juives de France en 1985.

    Son but ? Selon son site (désormais hors-ligne), elle vise à "être un trait d'union entre un judaïsme de progrès, ancré dans les réalités de la société et la gauche française" et "faire vivre, au sein de la gauche française, une vision plus équilibrée de la question israélo-palestinienne". Benjamin Djiane en est le "vice-président chargé de l'animation intellectuelle".

    Opération séduction à Tel Aviv

    En 1990, un livre intitulé "Mitterrand, Israël et les juifs" et rédigé par le tandem Yves Azeroual-Yves Derai donnait une définition plus explicite des objectifs de l'association créee par Jacques Attali, Robert Badinter, Maurice Benassayag, Georges Dayan et Michel Dreyfus-Schmidt : "double mission : amener la majorité des voix juives dans l'escarcelle du PS et initier les cadres de ce dernier aux charmes de l'État d'Israël".

    Sur ce dernier point, le président actuel de l'association n'a pas démérité : Patrick Klugman, conseiller de la ville de Paris, avait accompagné Anne Hidalgo lors de sa visite guidée en Israël et dans les Territoires palestiniens occupés. Un autre homme influent faisait également partie du voyage : Pierre Aïdenbaum, maire PS du 3ème arrondissement de Paris, ancien président de la Licra, membre du comité d'honneur de Socialisme et judaïsme et ex-organisateur (en 2006) d'un colloque islamophobe initié par un think-tank américain. Le 8 mars 2012, Pierre Aïdenbaum mettait d'ailleurs les locaux de la mairie à disposition de son association afin d'organiser un débat avec Julien Dray et Jean-Yves Camus.

    Ancien assistant de Patrick Bloche, l'ex-maire du 11ème arrondissement de Paris, Benjamin Djiane a été élu, le 31 mars, conseiller du 3ème arrondissement parisien auprès de son camarade de Socialisme et judaïsme : Pierre Aïdenbaum, réélu à la tête de sa mairie. Candidat aux élections municipales, Benjamin Djiane se présentait durant la campagne comme un simple "passionné de littérature (...) qui travaille auprès du ministre de l'Intérieur". Aucune mention du groupe communautariste dont il fait partie et aucun éclairage sur son rôle exact auprès de Manuel Valls.

    Querelles d'opérette au sein du lobby

    Notons également que son association a été récemment encensée sur le site du "Centre communautaire laïc juif" de Belgique par Laurent-David Samama. Souvenez-vous : il s'agissait de ce journaliste des Inrockuptibles viscéralement hostile à Frédéric Taddeï et dont Panamza avait révélé son passage antérieur dans un lobby ultra-sioniste américain. L'homme collabore aussi à la revue de Bernard-Henri Lévy comme c'est également le cas de Benjamin Djiane : ce dernier y avait fustigé l'avocat UMP (et membre de la direction du Crif) Gilles-William Goldnadel en raison de son rapprochement tactique avec le Front national (et non pas à cause de ses positions extrémistes sur la question israélo-palestinienne). Rappelons ici que le mépris de l'ancien résistant Stéphane Hessel par Goldnadel est partagé par Valérie Maupas, une élue PS également membre de Socialisme et judaïsme et signataire -comme Djiane- de l'appel "Français juifs et de gauche" publié en février 2012 par Libération.

    Enfin, il convient de souligner que l'une des rares manifestations publiques de Benjamin Djiane dans le débat d'idées a visé à ternir, comme le tente actuellement Frédéric Haziza, la réputation de Pascal Boniface. En mars 2012, lui et son ami Jérémy Sebbane rédigèrent une tribune pour encourager le candidat François Hollande à s'inspirer de "l'amitié de la gauche pour Israël" incarnée par François Mitterrand. Au passage, ils égratignèrent le géopolitologue pour avoir antérieurement dénoncé la position indulgente du PS envers l'occupation israélienne des territoires palestiniens. Pascal Boniface leur avait alors répondu en affirmant que leur objectif réel consistait à "faire triompher le communautarisme de gauche sur le communautarisme de droite". Le tandem Djiane-Sebbane a rétorqué en niant curieusement leur appartenance proclamée ailleurs ("notre supposée judéité") et en procédant par amalgame, laissant entendre que le géopolitologue se serait arrêté à leur patronyme : "en lisant nos noms, sans regarder nos qualités, Pascal Boniface a établi son diagnostic : il s'agit d'une parole juive".

    Benjamin Djiane : tel est l'homme désormais placé au sommet de l'État pour peaufiner les discours d'un Premier ministre ultra-sioniste (déjà assisté par Harold Hauzy, conseiller en communication et membre depuis 2011 -comme Manuel Valls- d'un "programme éducatif" sur Israël) qui n'hésite pas à présenter publiquement les "juifs de France" comme "l'avant-garde de la République et de nos valeurs".

    Ironie du sort, le nouveau conseiller prend ses fonctions deux mois seulement après le départ contraint de Paul Bernard, ancien co-rédacteur des discours de François Hollande et membre du comité directeur du Crif.

    En résumé, deux hommes, dévolus à l'art oratoire du pouvoir, se sont presque croisés : un militant communautaire et sioniste, à peine installé à Matignon, succède ainsi à un autre militant du même bord, tout juste évacué de l'Élysée.

    Il suffit d'imaginer une analogie avec deux citoyens intellectuellement similaires au duo Djiane-Bernard mais qui seraient, quant à eux, des musulmans identitaires et pro-palestiniens assumés pour comprendre l'extraordinaire d'une situation pourtant passée sous silence par les médias traditionnels.

    Cela porte un nom dans le monde du grand banditisme : omerta.
     
    SOTT.NET
    Signes of the times

  • Photo du jour : les monts Dolomites

     

     

    « (…) Nous continuons. Les sommets, maintenant que le soleil se couche dans les vallées de l’Ouest, sont couverts de reflets. Ils prennent un aspect ancien et glorieux. Ils sont dorés et pourpres, dans un ciel pur qui a l’air encore plus haut et lointain. La masse diaphane des vapeurs qui émanent des vallées et des forêts montent lentement jusqu’à eux, qui se dérobent tout à coup à nos regards quand la route plonge dans la forêt. Nous ne pouvons les voir de nouveau que lorsque nos voitures, sortant de la forêt après avoir négocié de nombreux virages en épingle à cheveux, entrent dans San Martino di Castrozza.

    De là, la vue est féérique : seuls, suspendus entre les vapeurs et le ciel de couleur cendrée et filigranée, les sommets flottent dans un fondu. Clarté désincarnée, ils ont l’air de souvenirs ou d’échos immatériels. Ils sont là, incroyablement hauts, alors que l’air devient froid, sec et mordant. »

    Julius Evola, Méditations du haut des cimes.

    Crédit photo : settebart via Flickr (cc)  

     

    NOVOPRESS
  • La Russie renforce sa législation contre le révisionnisme et le nazisme

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    La Douma a confirmé cette semaine la mise en place d’une loi interdisant la remise en question des verdicts du procès de Nuremberg et toute forme de « réhabilitation du nazisme ». Les contrevenants risquent trois ans de prison et 6 000 euros d’amende (300 000 roubles).

    Le dispositif est le résultat d’un processus entamé depuis plusieurs années. Il vient ainsi renforcer des lois déjà existantes interdisant la remise en cause des crimes nazis ou la victoire militaire soviétique sur le Reich allemand.

    L’OSCE, l’instance de dialogue entre les nations européennes, par la voix de sa représentante chargée de la liberté de la presse, a exprimé son inquiétude face à une loi qui va « plus loin que la simple interdiction de la glorification du nazisme » et qui pourrait bien limiter la liberté d’expression.

    À noter que l’organisation avait aussi émis des critiques lors de l’adoption de la loi française sur le génocide arménien, mais ne s’est jamais exprimée négativement vis-à-vis des autres lois mémorielles ouest-européennes.

    Si l’utilisation de l’histoire à des fins politiques est une constante de la Fédération russe, il est fort probable que l’adoption de cette loi ait un sens géopolitique plus prosaïque. Les Russes prennent ainsi peut-être acte des ingérences étrangères passant par le soutien occulte à n’importe quel type d’opposant, y compris les organisations néo-nazies, comme cela a été le cas en Ukraine ou lors des manifestations anti-Poutine ces dernières années. Il s’agirait ainsi d’être mieux équipé d’un point de vue législatif pour faire face aux tentatives de déstabilisation.

     E&R

  • Italie: nouveau dérapage verbal de Berlusconi

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/26/97001-20140426FILWWW00161-italie-nouveau-derapage-verbal-de-berlusconi.php

    + VIDEO

  • Aymeric Chauprade à la conférence de Marine Le Pen pour les Européennes 2014

    Le mardi 22 avril, Marine Le Pen a lancé la campagne du Front National pour les élections européennes 2014. Aymeric Chauprade y était présent en tant que tête de liste pour la région Ile-de-France et les Français de l’étranger.

  • Florian Philippot débat sur BFM TV

  • L’UMP, parti du repli, partisan du déclin

     

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    Le  sondage CSA pour BFMTV et Nice-Matin sur les élections européennes,  paru hier, confirmerait que le FN virerait en tête au soir du 25 mai. Les listes frontistes recueilleraient une moyenne de 24 % des voix, et séduiraient même   30% des électeurs de la tranche d’âge des  25-34 ans,  34% des  35-49 ans.  

     En seconde position, l’UMP  est créditée de 22% devant le tandem PS-radicaux de gauche (20%),  l’UDI (9%), le Front de Gauche (7,5%) et Europe-Ecologie-Les-Verts (7%). Pour autant, il s’agit comme toujours de garder la tête froide et d’appréhender cette nouvelle enquête avec le recul nécessaire. D’abord parce que la marge d’erreur reconnue par les sondeurs eux-mêmes est de plus ou moins trois points, ensuite parce ce que l’abstention, la meilleure arme du Système  en ce  qu’elle lui profite principalement, peut enrayer cette dynamique.

    Ce  même sondage précise  en effet que seulement   63% des personnes interrogées  se disent sûres de leur choix,  tandis que seuls 35% des  sondés   se disent  certains   d’aller voter. Plus précisément,   41% des sympathisants du PS iraient voter, 40% de ceux de  l’UMP,  38% de ceux du  FN. Chacun l’aura compris, le travail de mobilisation de l’électorat frontiste devra être mené avec force dans les quatre semaines à venir.

     Ce sondage CSA indique aussi que 39% des personnes interrogées affirment qu’elles voteront le 25 mai aux  pour sanctionner la gauche  au pouvoir. Une  fenêtre de tir dont l’UMP espère tirer quelques bénéfices en campant dans le rôle du seul parti crédible, dit de gouvernement,   capable de porter une alternative à la politique menée par le gouvernement et sa majorité. C’est pourquoi, sans surprise, au regard des sondages indiquant que le FN à le vent en poupe, Jean-François Copé a concentré hier ses attaques, lors de sa conférence de presse de lancement  de sa campagne des européennes, contre l’opposition nationale.  

      Le FN est un  «parti populiste», un gros mot dans la bouche de M. Copé,  « europhobe »,  dont les électeurs seraient des crétins puisqu’ils seraient   « moins exigeants »   que les Français qui continuent de voter pour l’UMP, avec un  «projet absurde de sortie de l’UE»,  qui «dit tout et n’importe quoi».  Les seconds couteaux, Hortefeux, Morano, Lavrilleux ont été chargés d’en rajouter  dans la description d’un Mouvement national aux idées délirantes, avec sa volonté « démagogique » de « rétablir les frontières », de  protéger nos compatriotes des ravages de la mondialisation, avec  « son programme dangereux pour l’influence de la France en Europe »

     En l’absence d’un parti souverainiste allié,  jouissant d’une certaine influence électorale,  capable de  prendre des voix au FN et/ou de les rabattre vers l’UMP, Jean-François Copé a ressorti  les formules magiques, censées dissuader l’électeur droitier, patriote de voter FN.

     Le très contesté patron de l’UMP a donc décliné des propositions, souvent peu crédibles, inapplicables, pas à la hauteur des problèmes ou des enjeux  et irréalistes dans le cadre rigide de l’Europe bruxelloise. Propositions surtout,     que la droite précédemment au pouvoir n’a jamais été en capacité de formuler et de tenter d’imposer. Certes, de Chirac à Sarkozy, la droite européiste a toujours fait sienne la célèbre formule énoncée par Charles Pasqua, « les promesses n’engagent que ceux à qui elles sont faites »…

     Au nombre de celles-ci ont été citées  une « Europe à géométrie variable »,  la fin de l’élargissement de l’UE, la réforme  l’accord de Schengen de libre circulation, la  création d’un poste de commissaire européen à l’immigration,  une politique de sanction, voire de suspension ou  d’exclusion d’un Etat qui manquerait à ses obligations concernant ses frontières, le renforcement des moyens de l’agence Frontex.

     Jean-François Copé s’est aussi saisi de cette occasion pour tacler sévèrement le vice-président de l’UMP, Laurent Wauquiez, auteur d’un  livre fourre-tout  «  Europe : il faut tout changer ». Dans celui-ci, l’homme qui expliquait   qu’il était prêt à voter PS pour faire « barrage » au FN,  se garde bien de s’attaquer  à la religion  de la monnaie unique il faut garder l’euro car  il nous protège » (sic) avance-t-il prudemment.  Partant du constat  évident que  la construction bruxelloise « ne marche plus »,  il  propose un «protectionnisme» européen, un retour à une Europe des six (les Etats originels, auxquels il ajoute l’Espagne à la place du Luxembourg…), la sortie de  l’espace Schengen…

     « Laurent Wauquiez a des positionnements individuels parce que populistes », «il n’y aura pas de proposition démagogique à l’UMP» a affirmé M. Copé, qui a dénoncé point par point les  vœux de ce dernier Comprendre, volens, nolens,  au-delà des propos d’estrade  et des aménagements à la marge, que l’UMP n’entend pas   remettre en cause l’effacement de la France,   sa  soumission à l’idéologie bruxelloise. Idéologie supranationale dont la philosophie, le  but ultime, est  la mise en place d’une gouvernance mondiale,   qui est par essence, Bruno Gollnisch l’a souvent évoqué,  contraire au véritable génie de l’Europe, « espace qui inventé  la liberté et  l’égalité des nations.»  

     Dans les faits, Aymeric Chauprade le rappelait hier en compagnie de Marine Le Pen lors de la présentation de sa liste francilienne pour les européennes, l’UMP porte la pleine responsabilité avec le PS du déclin dramatique que nous subissons.  « L’UMPS  porte le bilan d’une Europe qui a détruit les économies des différentes nations européennes, qui a produit plus de chômage, plus d’immigration, plus de fiscalité, plus de délocalisation, plus de travailleurs détachés venant concurrencer nos travailleurs en France ».

     France info le soulignait implicitement, il n’est pas étonnant que cette collusion de fait entre les deux partis européistes apparaissent de manière flagrante, puisque dans le dernier exercice,  élus de l’UMP et du  PS ont voté conjointement 70% des textes présentés dans l’hémicycle du parlement européen.

    Bruno GOLLNISCH

  • Lille : c’est facile d’accuser les Français de lâcheté, quand on est procureur…

     

    « Cette société m’inquiète. C’est vraiment chacun pour soi dans les moments difficiles ». Propos du procureur du tribunal de Lille après l’agression sexuelle d’une jeune femme dans le métro de Lille, en présence de plusieurs passagers qui n’ont rien fait.

    Réponse au procureur : « Dites, vous vous foutez de moi là ? » (Louis de Funès dans le film Les grandes vacances)

    Agir contre un « défavorisé venu d’ailleurs », c’est risquer gros… très gros, en France !

    D’abord se faire planter, parce que la vie des autres ils s’en tapent ces gens-là.

    Ensuite, si on a survécu, c’est se manger des plaintes d’associations gavées de subventions ; c’est se faire mater par des juges complaisants avec l’intouchable exotisme ; et c’est, au final, de très probables représailles des petits camarades dudit étranger. Agir, dans ce cas, c’est presque admettre le suicide social.

    Alors, non je ne trouve pas ça chouette d’abandonner une gamine à ce sort. Pauvre petite Cécile, en effet, qui ne demandait rien d’autre que de rentrer chez elle et dont la voix effrayée retentit comme une honte personnelle.

    Mais à qui la honte ? A ceux qui nous vendent l’immigration comme une chance !

    Quant aux passagers, juste un mot : je ne vous condamne pas, mais tout de même… A plusieurs, vous pouviez avoir raison de cet immonde individu. Je l’ai déjà fait avec des potes qui se reconnaîtront peut-être : métro Trocadéro à Paris dans les années 1990. Autre temps, autres mœurs me répondrez-vous. Hélas, vous auriez raison.

    Et aux journalistes soudain courroucés : si vous commenciez par relater l’information telle qu’elle est et non telle que vous la fantasmez, peut-être que le courage reviendrait à mes compatriotes accablés par votre mépris de leur identité. Vous avez aussi votre part de responsabilité, à « éduquer » les masses à la lâcheté et au dégoût de soi.

    Cependant, songez qu’un jour il s’agira peut-être de vos filles. Ne vous laissez pas tétaniser par la loi présente d’un pays qui nous force à nous détester en tant qu’autochtones : plus nous serons nombreux à nous rebeller, plus les juges auront des problèmes d’incontinence quand nous nous dresserons devant eux !

    Bilan : l’agresseur – sûrement « irresponsable des actes » ! – a été condamné, en comparution immédiate, à dix-huit mois de prison ferme, aménagements de peine non compris, et… à deux ans d’interdiction de territoire. Je ne vais pas encore demander si on se fout de nous, j’ai déjà la réponse ! Interdiction at vitam aeternam m’aurait plus convaincu !

    « Parce que chez ces gens-là Monsieur, on ne s’en va pas On ne s’en va pas, Monsieur On ne s´en va pas Mais il est tard, Monsieur Il faut que je rentre chez moi. » (Jacques Brel)

    Charles Demassieux

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Italie : des religieuses refusent d’accueillir des clandestins atteints de la gale

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    26/04/2014 – CHIETI (NOVOpress) – Ouvrir sa porte aux frères migrants, oui, bien sûr, mais il y a des limites. Surtout quand la porte est vraiment la vôtre. C’est apparemment ce qu’ont pensé les Filles de l’Amour de Jésus et Marie, une communauté de religieuses fondée en 1980 par la Sœur Vera D’Agostino, et établie à Brecciarola, à côté de Chieti, dans les Abruzzes.

    Les Filles de l’Amour de Jésus et Marie gèrent le « Village de l’Espérance », créé à l’origine pour les victimes du tremblement de terre des Abruzzes en 2009, et récemment transformé, à la demande de la Préfecture, en centre d’accueil pour les migrants de Lampedusa – qui débarquent désormais par flux ininterrompu et que le gouvernement italien cherche à répartir sur tout le territoire. Les religieuses reçoivent 30 euros par immigré et par jour. Les arrivées sont incessantes, puisque les « réfugiés » ont tendance à prendre la fuite sitôt installés. Comme l’explique avec philosophie la Sœur Ada, « responsable des relations avec la presse » du couvent, « un soir, nous les avions laissés dans les tentes, le matin ils n’étaient plus là. La police les a ramenés, puis ils se sont enfuis de nouveau ».

    « Certains ont dit que l’Italie était le seul État à utiliser la force armée pour se faire envahir. On a parlé d’invasion silencieuse. »

     

     

    Le blogueur local qui interroge la Sœur Ada ne mâche pas ces mots. « Certains ont dit en plaisantant que l’Italie était le seul État à utiliser la force armée pour se faire envahir. On a parlé d’invasion silencieuse. Que dites-vous aux critiques ? » Réponse de la religieuse : « Je suis bien d’accord que c’est un gros problème, que cela peut être une invasion silencieuse. Mais à partir du moment où des personnes demandent à être accueillies, nous, comme religieuses, nous ne pouvons pas refuser. » En tout cas, souligne-t-elle, il n’est pas question de prosélytisme : « l’Église fait cela uniquement par charité, sachant que la majeure partie de ces immigrés sont musulmans ».

    Mercredi soir, les religieuses ont vu arriver un autobus rempli de jeunes clandestins érythréens, tout frais débarqués de Lampedusa. Elles ont catégoriquement refusé d’accueillir ces « nouveaux arrivants, atteints d’une maladie très contagieuse et présentant un gros risque pour les résidents du couvent » : ces clandestins avaient la gale. Après des pourparlers infructueux, l’autobus a été renvoyé aux urgences de l’hôpital de Chieti.

    Là, l’accès a aussi été refusé, à cause du danger pour les personnes qui se trouvaient dans la salle d’attente, dont des femmes enceintes et des enfants. Finalement, le médecin responsable des urgences est parvenu à installer les clandestins dans le centre des maladies infectieuses : impossible, en pleine nuit, de trouver la clé mais on a défoncé la porte. L’infectiologue de garde a été réveillé et est venu examiner les Érythréens. Il a constaté que ceux-ci avaient déjà subi une visite médicale lors de leur débarquement et qu’on avait commencé à leur donner un traitement. Ils ont donc tous reçu des papiers certifiant qu’ils ne présentaient pas de danger. Puis on leur a servi un repas abondant. La Préfecture a été informée et a envoyé un inspecteur reprendre les clandestins pour les ramener chez les braves sœurs du Village de l’Espérance.

    Comme l’écrit le journal local, « au moins du point de vue de l’urgence sanitaire, tout est rentré dans l’ordre dans les premières heures de jeudi matin ».

    Photo : Photomicrographie d’un sarcopte de la gale. Crédit : Kalumet, via Wikipédia, (cc).

  • Le gouvernement français dément avoir payé une rançon de 18 millions de dollars pour ses otages en Syrie...

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    PARIS (Reuters) - Le gouvernement français a démenti "catégoriquement" samedi une information du magazine allemand Focus selon laquelle il aurait versé une rançon de 18 millions de dollars pour la libération des quatre journalistes otages en Syrie.

    "Le gouvernement dément catégoriquement les informations" de Focus, a indiqué un porte-parole du ministère de la Défense. "Il réitère la position de la France sur la question des libérations d'otages telle que Laurent Fabius l'a rappelé samedi dernier", a-t-il ajouté.

    "L'Etat français ne paie pas de rançons", avait alors déclaré le ministre des Affaires étrangères à l'occasion de la libération, le 18 avril au soir, des journalistes Didier François, Edouard Elias, Nicolas Hénin et Pierre Torres, qui ont passé dix mois aux mains d'un groupe islamique en Syrie.

    "Tout est fait par des négociations, des discussions", avait-il ajouté.

    Citant des sources proches de l'Otan à Bruxelles, Focus indique que le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian en personne a apporté à Ankara dans la semaine précédant leur libération l'argent de la rançon, qui est parvenu aux ravisseurs via les services secrets turcs.

    (Yann Le Guernigou à Paris et Madeline Chambers à Berlin; édité par Henri-Pierre André)

    Yahoo!Actu  26 04 14

  • C’était un 26 avril… 1937 : bombardement de Guernica (Espagne),

     

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    ... qui donnera lieu lui aussi à de gros bobards.

    Durant la guerre civile espagnole, Franco bénéficie d’un soutien étranger et ce 26 avril, l’aviation allemande bombarde Guernica.
    Les objectifs sont trois fabriques d’armes et les 2000 républicains chargés de défendre ces sites.
    Exploité internationalement, le nombre de victimes figurant sur les registres d’état-civil s’élève à 126 (et non les 1654 morts et les 889 blessés de la propagande rouge).
    Quant au célèbre tableau de Picasso, qui porte le nom de Guernica et qui émeut les bonnes consciences à propos du bombardement, il a été rebaptisé ainsi plusieurs années après.
    Il avait été réalisé lors d’une série sur la Minotauromachie, lorsque le gouvernement espagnol lui commanda et paya (1 million de francs) une toile pour l’Exposition universelle de 1937 à Paris.
    Il suffit de regarder ce tableau pour constater qu’il n’illustre en rien les horreurs de la guerre (version officielle), mais la corrida.

    Source : Éphémérides nationalistes

    Contre-info.com

  • Carpentras: le domicile de Marion Maréchal-Le Pen a été cambriolé

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    La maison louée par la députée FN du Vaucluse, Marion Maréchal Le Pen, dans le centre de Carpentras, a été cambriolée cette semaine, a-t-on appris vendredi auprès du parquet.

    «Marion Maréchal Le Pen a été victime d'un par effraction à son domicile de Carpentras», a indiqué le procureur de la République de la ville, Yves Badorc, confirmant une information du quotidien «La Provence».

                           

     

     Le cambriolage aurait été commis ces derniers jours, la députée, absente depuis le 18 avril selon le parquet, aurait découvert les faits jeudi à son arrivée.

    Seul un trousseau de clefs volé

    Le ou les malfaiteurs «sont rentrés par une fenêtre du deuxième étage, a priori ils ont escaladé» et n'ont volé qu'un trousseau de clés, a précisé son attaché parlementaire, Rémi Rayé. La voiture et l'appartement de la députée ont été fouillés, selon M.Rayé.

    «C'est toujours contrariant, mais elle n'avait pas l'air traumatisée», a-t-il indiqué, précisant que Marion Maréchal Le Pen était surtout ennuyée d'avoir dû décaler ses rendez-vous pour effectuer les diverses démarches administratives liées à ce vol. La députée de la troisième circonscription de Vaucluse occupe une maison de deux étages dans le centre-ville de Carpentras.

    LeParisien.fr