Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 880

  • Arafat: les experts français écartent le thèse de l'empoisonnement au polonium

    Les experts mandatés par la française pour enquêter sur la de , décédé en 2004 près de Paris, écartent la thèse d'un empoisonnement du leader palestinien.

    «Ce rapport écarte la thèse de l'empoisonnement et va dans le sens d'une mort naturelle», selon cette source qui confirme une information de France Inter, qui affirme que le leader palestinien est «mort de vieillesse».



    De récents rapports d'analyses médicales suisses et russes sur les échantillons de la dépouille du chef historique palestinien avaient révélé la présence de quantités anormales de polonium-210 sur la dépouille et confortaient la thèse d'un empoisonnement. «Nous avons mesuré des activités de polonium-210 dans les os et les tissus qui étaient jusqu'à 20 fois supérieures aux références de la littérature (médicale)», indiquaient les experts suisses de l'Institut de radiophysique (IRA) de Lausanne.

    La thèse de l'empoisonnement avait été relancée en juillet 2012 par la diffusion d'un documentaire d'Al-Jazeera révélant la présence de quantités anormales de polonium sur des effets personnels confiés à la chaîne qatarie par sa veuve. 

        

    LeParisien.fr - 03 12 13

    NdB: Voilà qui n'empoisonnera pas les rapports d'amitié entre la France et Israël

     

  • La petite noyée de Berck-sur-Mer: une offrande à Mami Wata ?

    AnonymeMamy-Wata-1978-565x250.jpg

    Et si, quoi qu’on en dise, cet infanticide-là était à considérer sous l’angle culturel ?

                            

    La maman de la petite fille retrouvée noyée sur la plage de Berck a été arrêtée, confondue par son ADN. C’est une Sénégalaise de 36 ans, pas en boubou et colifichets, non. Une jeune femme très « européanisée », vivant avec un compagnon de 33 ans son aîné, sculpteur. Elle est étudiante en philosophie. Coupée, nous dit-on, de sa famille : elle n’a pas vu son père depuis dix ans, ne sait pas en quelle lointaine ou proche contrée vit sa mère. Bref, « une intégration parfaitement réussie », si l’on considère la rupture culturelle comme un franchissement sans retour.

    Froidement, posément, Fabienne Kabou a donc pris le train avec son bébé, payé une chambre d’hôtel, passé une dernière nuit avec son enfant qu’elle a bercée, nourrie, emmitouflée chaudement avant d’aller la déposer sur une plage du nord à marée montante. Et tout aussi posément a laissé les vagues la rouler dans l’écume et le sable jusqu’à ce que mort s’ensuive. Alors elle est partie sans se retourner reprendre son train et sa vie d’avant.

    Tout le week-end, on a entendu les psys convoqués autour de la mère infanticide nous débiter leur habituel couplet. À quinze mois de vie, le déni de grossesse est dur à plaider, le blues post-partum également. Alors on brode : solitude, problèmes de couple… mais tous nous vantent les qualités de cette femme dont l’avocat assure qu’en tuant l’enfant, elle a accompli « un acte d’amour ». Décrivant cette femme « calme, très intelligente, cultivée, qui s’exprime très bien », elle ajoute « c’est un personnage hors du commun. Elle est dans une logique qui nous échappe, parallèle à la nôtre. C’est un personnage très particulier. »

    Mais encore ? C’est quoi, cette « logique parallèle », quoi, ce particularisme ?

    Dès la découverte de l’enfant noyée sur la plage, un proche ami qui a pas mal fréquenté l’Afrique et ses rituels a senti ses neurones s’agiter. Quand on nous a montré la photo de la jeune mère et déroulé le scénario, il a dit : « Ça, c’est une histoire de Mami Wata ! »

    Et s’il avait raison, et si, quoi qu’on en dise, cet infanticide-là était à considérer sous l’angle culturel ? Si, malgré l’intégration apparemment réussie, tout le freudisme de comptoir et le lacanisme de plateau TV étaient inopérants à expliquer ce meurtre parce qu’il est profondément ancré dans la culture d’origine de Fabienne Kabou ?

    Mami Wata (Mummy Water), la déesse-mère des eaux que craignent les pêcheurs, symbole de la mer nourricière et de l’océan destructeur, est une divinité éwé dont le culte est très présent sur la côte atlantique du Togo, mais aussi au Nigeria, au Cameroun, au Congo-Brazzaville comme au long du grand fleuve Sénégal. Partout, elle symbolise la puissance suprême, l’entité qu’on invoque pour réparer, obtenir, assouvir, restaurer la vie quand elle s’en va de travers.

    Dans notre monde qui prétend unifier les cultures au nom du vivre ensemble, chacun tricote en douce avec la sienne. Comme on y trouve Platon, Nietzsche, Freud ou Descartes, Internet nous offre mille recettes pour rencontrer Mami Wata. « On peut essayer de la contacter en offrant des présents à la mer. [...] Quand vous aurez terminé, sortez de l’eau et partez sans vous retourner vers la mer (en magie opérative, le fait de se retourner implique de se retourner vers le passé, donc vers les ennuis que vous êtes venu régler, et peut casser votre travail occulte). Si elle accepte votre approche, elle vous contactera par les rêves », nous dit-on.

    Comme d’autres accrochent un ex-voto à Notre-Dame-de-Bon-Secours, Fabienne Kabou a déposé son enfant sur la laisse de mer, si bien nommée. Elle a attendu que l’eau la prenne et puis s’en est allée. Sans se retourner…

     

    Marie Delarue

     

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

    NdB: Cet article rejoint les hypothèses que j'avais émises dans mes commentaires sur le blog. Il ne s'agit pas d'excuser ce crime atroce, mais de savoir que la culture magique africaine existe toujours, maintenant importée en Europe par l'immigration, et qu'il ne sert strictement à rien de le déplorer  alors qu'on détruit chaque jour notre civilisation chrétienne millénaire qui a su poser au fil des temps des frontières à l'irrationnel.

     

  • Pour s’imposer, le FN doit liquider l’UMP ! Entretien avec Alain de Benoist

     

                             

    Le 3 décembre 2013

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

    Les médias continuent de classer le Front national à droite ou à l’extrême droite de l’échiquier politique. Est-ce toujours pertinent ? D’ailleurs, cela l’a-t-il jamais été ?

    Le Front national est à l’origine un mouvement d’extrême droite qui s’est mué progressivement en mouvement national-populiste. Le populisme est un phénomène complexe, que les notions de droite et de gauche ne permettent pas d’analyser sérieusement. Non seulement le FN est aujourd’hui une force montante, qui touche les hommes aussi bien que les femmes et marque des points dans toutes les catégories d’âge ou professionnelles, mais il arrive maintenant en tête des intentions de vote aux élections européennes, loin devant le PS ou l’UMP, ce qui revient à dire qu’il est en passe de s’imposer comme le premier parti de France. Par ailleurs, Marine Le Pen est aux yeux de 46 % des Français la personnalité politique qui incarne le mieux l’opposition (sondage CSA/BFMTV). Comme l’a reconnu Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’IFOP, « il n’y a plus désormais de sympathisants types du Front national ». Dès lors, son assignation à l’extrême droite relève d’une simple paresse intellectuelle ou d’une propagande qui ne vise qu’à le délégitimer (les deux n’étant pas incompatibles). Mais cette catégorisation n’est plus crédible aujourd’hui. Elle repose sur des arguments qui ont fait long feu.

    Un boulevard s’ouvre aujourd’hui devant le Front national, car il n’est pas de jour que les événements ne creusent encore un peu plus le fossé béant qui sépare désormais la Nouvelle classe et le peuple. Dans une telle situation, il n’est plus de « cordon sanitaire » ou de « front républicain » qui tienne. Pas plus qu’on ne fera croire aux Français qu’ils sont devenus « racistes » parce qu’un hebdomadaire a fait une comparaison déplorable qui diffamait stupidement nos amis les singes et les guenons.

    On dit que Marine Le Pen a « dédiabolisé » le Front. Il faudrait plutôt dire qu’elle s’est affirmée comme une véritable femme politique – j’entends par là quelqu’un qui a compris ce qu’est la politique : un moyen d’accéder au pouvoir, pas une façon de « témoigner » ou de rassembler une « famille ». C’est ce qui la distingue de son père, et plus encore du brave Bruno Gollnisch. Personnellement, je porte à son crédit d’être restée sourde aux piaillements des excités de tout poil, des anciens combattants des guerres perdues, des revenants de ceci ou de cela, des nostalgiques des régimes d’avant-hier et des époques révolues. C’est dans cette voie qu’elle doit persévérer si elle veut doter son mouvement de cadres dignes de ce nom.

    Marine Le Pen semble avoir opéré un virage « à gauche ». Certes, dans les années 80, son père se présentait comme le « Reagan français ». Mais, dès 1972, année de sa création, le Front national publiait un programme économique éminemment « social », voire « socialiste ». Gérard Longuet en fut l’un des principaux signataires. Alors, « virage » ou « retour aux sources » ?

    Quelle importance ? L’important est que ce tournant « à gauche » ait été pris. C’est dire que je ne suis pas de ceux qui, devant le programme économique et social du Front, parlent de « démagogie gauchiste ». Que le FN semble avoir compris que la priorité est de lutter contre l’emprise du système capitaliste libéral, contre la logique du marché, contre la globalisation libre-échangiste, contre la colonisation des imaginaires par les seules valeurs commerciales et marchandes, est d’une importance que je n’hésiterai pas à qualifier d’historique, après quarante ans d’« orléanisation » des milieux « nationaux ». C’est ce qui lui permet de toucher les classes populaires, les ouvriers, les artisans, les anciens communistes que scandalise le ralliement au système dominant des anciens révolutionnaires « repentis ».

    Pour s’imposer définitivement, le FN doit en priorité liquider l’UMP. C’est la condition première pour que Marine Le Pen soit présente au deuxième tour en 2017. Notons que, de son côté, François Hollande a lui aussi tout intérêt à affronter Marine Le Pen à la prochaine présidentielle plutôt qu’un Sarkozy, un Fillon ou même un Copé. C’est donc là que les choses se joueront.

    Certains, souvent dans les milieux identitaires, reprochent à Marine Le Pen sa fibre jacobine. Est-ce aussi simple ? Est-ce aujourd’hui une priorité que d’aller chercher un clivage entre régionalistes et colbertistes ?

    Européen et régionaliste, antijacobin dans l’âme, je suis moi-même en désaccord avec Marine Le Pen sur ce point. Mais je suis également conscient que l’Europe politiquement unifiée, l’Europe puissance autonome et creuset de civilisation que je souhaite n’est pas pour demain. L’Union européenne n’est aujourd’hui qu’une caricature d’Europe. À bien des égards, c’est même le contraire de l’Europe. Cela dit, je crois que le souverainisme jacobin demeure une impasse. Voyez la révolte des « Bonnets rouges » en Bretagne : on ne peut rien comprendre à ce mouvement si l’on ne prend pas aussi en compte sa dimension identitaire et régionaliste.

    En 1995, Samuel Maréchal, patron du Front national de la jeunesse, publiait un ouvrage intitulé Ni droite ni gauche, Français ! La présidente du Front national semble avoir fait évoluer ce concept en ce que l’on pourrait résumer par un autre slogan : « À la fois de droite et de gauche, mais Français ! »… Progrès ou régression ?

    Outre qu’il a déjà une histoire, le slogan « ni droite ni gauche » ne veut pas dire grand-chose. « Et droite et gauche » est bien meilleur. À un moment où de telles notions ne sont plus opérationnelles pour analyser les nouveaux clivages qui se mettent en place, il s’agit de rassembler des idées justes d’où qu’elles viennent. Au lendemain de l’élection présidentielle de 2007, j’avais écrit ceci : « L’avenir du FN dépendra de sa capacité à comprendre que son “électorat naturel” n’est pas le peuple de droite, mais le peuple d’en bas. L’alternative à laquelle il se trouve confronté de manière aiguë est simple : vouloir incarner la “droite de la droite” ou se radicaliser dans la défense des couches populaires pour représenter le peuple de France. » J’ajoutai « qu’il reste au FN à apprendre comment devenir une force de transformation sociale dans laquelle puissent se reconnaître des couches populaires au statut social et professionnel précaire et au capital culturel inexistant, pour ne rien dire de ceux qui ne votent plus ». Cette alternative est toujours présente. Le FN n’a de chances de l’emporter que s’il devient le parti du peuple. C’est même le nom que j’aimerais lui voir porter.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Dupont-Aignan provoque un esclandre sur Canal+ 14 04 12

    Par Francetv info

    Mis à jour le 14/04/2012 | 13:55 , publié le 14/04/2012 | 13:25

    Le candidat de Debout la République à l'Elysée Nicolas Dupont-Aignan s'en est pris vendredi 13 avril aux "éditorialistes de bazar" lors du "Grand journal" de Canal+, espérant "s'en débarrasser un jour", ce qui a provoqué les réactions indignées d'Ariane Massenet, Michel Denisot et Jean-Michel Aphatie, les animateurs de l'émission.

     

    FRANCE ETERNELLE 02 12 13

  • Les Croates refusent le mariage homosexuel par référendum

     

       Les Croates refusent le mariage homosexuel par référendum, réactions sur Twitter   

    02/12/2013 – 19h25
    ZAGREB (NOVOPress) –
    Décidément les peuples européens sont à rebours de leurs « élites ». Dernière preuve en date le refus par référendum du mariage homosexuel par les Croates.

    A la question de savoir si la Constitution devait définir le mariage comme étant « l’union entre un homme et une femme », plus de 6 Croates sur 10 ont répondu oui. Conséquence : la possibilité de légaliser le mariage homosexuel est écartée.

    A quand un tel référendum en France ?

  • Le Système vs le syndicat des indigènes - Par Bruno Gollnisch

     

    durer

    « La France paradis pour fainéants, fraudeurs, délinquants,  enfer pour les bosseurs, m…à l’Europe,  m…à cette France ». Voilà ce que l’on pouvait lire sur une pancarte brandie bien haut dans la manifestation des Bonnets rouges « contre l’écotaxe et pour l’emploi en Bretagne », qui a réuni selon les sources entre 17 000 et 40 000 personnes samedi à Carhaix (Finistère) . Un slogan qui résume assez bien l’état d’esprit des hommes et des femmes participant à ce rassemblement, mais que ne partage peut-être pas le maire Divers gauche de Carhaix, Christian Troadec, porte-parole (médiatique) de ce mouvement.

    Le succès d’audience de cette lutte des Bretons, qui rassemble au coude à coude ouvriers, paysans, chefs d’entreprise, employés, ce symbole de la résistance au fiscalisme confiscatoire, a fait bouillir de rage Jean-Luc Mélenchon. Le co-président du Parti de Gauche (PG) et ex  candidat du Front de Gauche (FG)  à la présidentielle,  a fustigé sur TF1 «  des gens qui défendent des intérêts particuliers, (qui) occupent tout le terrain ».

    Cette amertume s’explique aussi par l’échec assez retentissant de la «marche sur Bercy», « contre l’augmentation de la TVA», «pour une révolution fiscale », qui s’est déroulée hier à Paris. Une manifestation initiée par M. Mélenchon, le secrétaire national du PC, Pierre Laurent, Olivier Besancenot au nom du Nouveau parti anticapitaliste (NPA) ou encore  Lutte ouvrière (LO).

     Les organisateurs tablaient sur une mobilisation très massive du peuple de gauche . Or cela n’a pas été le raz de marée attendu. Si le FG a claironné que cette manifestation  a réuni « plus de 100 000 personnes » (sic),  ils n’étaient  que 7000 selon la police, environ 15 000 selon certains médias.

     Jean-Luc Mélenchon a hurlé à une  manipulation des chiffres ourdie par Manuel Valls, comme il l’avait fait en mai dernier lorsqu’il clamait   que la manifestation du Front de Gauche (FG)  contre l’austérité avait réuni 180 000 personnes,  là où la préfecture de police de Paris n’en avait décompté que  30 000…

     Au-delà de cette polémique, l’échec de la démonstration de force de l’extrême gauche, même sur un thème porteur, fédérateur,  illustre bien son incapacité à profiter de l’impopularité du gouvernement socialo-européiste au pouvoir. Il confirme aussi ce que les derniers scrutins ont révélé, à savoir que pour les Français, l’alternative à ce Système inique reste bien  le Front National. Et certainement  pas un Front de Gauche largement  pétri d’archaïsmes, de démagogie, d’immigrationnisme et  d’internationalisme.

     Le bide encore plus retentissant de la Marche contre le racisme samedi à Paris en est une autre preuve éclatante. A l’appel d’associations ultra-marines de gauche (Collectif Dom et CM 98) du PS, du PRG, du PC, du PG, de  SOS racisme, de la LDH, du Mrap, de la Licra, de la CFDT, de la CFTC, de la CGT, de FSU, de Solidaires, de l’Unsa, du Grand Orient de France, de collectifs d’immigrés clandestins etc., seulement 3900 personnes ont défilé dans la capitale et quelques centaines en province à Nantes, Bordeaux, Toulouse, Lille, Rouen, Marseille…

    Chiffres communiqués la aussi par une préfecture de police de Paris dont on voit mal l’intérêt qu’elle aurait  à minimiser la participation à un rassemblement soutenu par le gouvernement. George Pau-Langevin, ex présidente du Mrap et actuelle ministre délégué chargé de la Réussite éducative, représentait l’équipe de Jean-Marc Ayrault  dans le cortège.

     Rien de nouveau sous le soleil, les Alain Jakubowicz (Licra), Bernadette Hétier (MRAP), Cindy Léoni (SOS racisme) et autres vieux potes fatigués comme  Harlem Désir et David Assouline, ont débité devant les micros leurs mantras  habituels.

     Ils se sont surtout montrés incapables d’analyser  l’échec de cette manif : «Je suis déçu et n’arrive pas à comprendre pourquoi nous sommes si peu », a déclaré Steevy Gustave, à l’origine d’une pétition intitulé  France ressaisis toi , de soutien à Christiane Taubira.

     Le président de la LDH, Pierre Tartakowsky a bien tenté une explication assez pathétique : « le poison raciste a pénétré la société (…) Le racisme est aujourd’hui très désinhibé, il faut être plus courageux (sic) pour manifester contre le racisme aujourd’hui qu’il y a trente ans ».

     Cet échec est pourtant très simple à comprendre. Ces responsables de clubs, d’officines, de partis, de groupuscules antinationaux qui vivent grassement depuis des décennies du chantage au racisme, de la culpabilisation de Français, de mensonges et d’intoxications,  sont tellement aveuglés par  l’idéologie  subversive qui est la leur, qu’ils sont totalement déconnectés du réel.

     Les Français de Métropole et  d’Outre-mer  affirme  Bruno Gollnisch, y compris des Français issus de l’immigration qui ont eu la volonté de s’assimiler, ne veulent plus des flux migratoires torrentiels qui ont tiers-mondisé notre pays, ne veulent plus de leçons de morale. La vérité c’est que les Français sont horrifiés par la politique de substitution de population initiée par l’UMPS.

     Une politique matérialisée par les slogans aperçus sur les pancartes dans les cortèges  antiracistes de ce samedi comme : « Nous sommes tous Arabes, Noirs et Musulmans », « On est tous pareils!», «Nous sommes tous des immigrés!». Et bien non  justement ! Et c’est également  parce  que le Front National, qui est aussi mais pas seulement le syndicat des indigènes de notre pays, refuse ce cosmopolitisme mortifère accepté et encouragé par la  totalité des dirigeants des  partis du Système, que nos compatriotes placent leurs espoirs en lui.

  • Aurélie Filippetti contre le FN qui flatte "un certain nombre de bas instincts"


    Aurélie Filippetti : "Le FN flatte un certain... par rtl-fr

     

    NOVOPRESS

  • Grande-Bretagne : des enfants menacés de sanctions disciplinaires en cas de refus de participation à une formation sur l’islam

     

    Littleton-Green-600x389.jpg

     

     

     

    Grande-Bretagne : des enfants menacés de sanctions disciplinaires en cas de refus de participation à une formation sur l’islam

    Grande-Bretagne : des enfants menacés de sanctions disciplinaires en cas de refus de participation à une formation sur l’islam - Cliquez sur le document pour l'agrandir.

    02/12/2013 – 18h00
    LONDRES (NOVOpress) - Des parents d’élèves de CM2 de l’école primaire de Littleton Green, à Huttington, ont reçu un courrier de la direction indiquant que toute absence de leur enfant à cette sortie sera considérée comme de la discrimination raciale et figurera dans leur dossier scolaire tout au long de leurs études : « Refusal to allow your child to attend this trip will result in a Racial Discrimination note… »

    Cette menace a déclenché une forte réprobation chez les parents qui ont bloqué les portes de l’école le jour prévu pour cette activité “culturelle”.

    Lire la suite

  • Grâce à l'Eglise, échec à l'homosexualisme en Grèce

     Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "La Cour européenne des droits de l’homme avait jugé que l’union civile instituée en Grèce était discriminatoire parce qu’elle n’était pas ouverte aux homosexuels.

    Le gouvernement a donc inclus l’union civile élargie dans un projet de loi contre le racisme.

    Mais la droite a obtenu qu’elle soit retirée du projet de loi.

    L'évêque Seraphim avait menacé d'excommunication tout député qui voterait en faveur de ce texte."

      

    Le Salon Beige  02 12 13

  • Poutine : "Les événements en Ukraine évoquent plus un pogrom qu’une révolution"

     

    Le président russe Vladimir Poutine a fustigé lundi les manifestations en Ukraine protestant contre la décision de Kiev de ne pas signer un accord d’association avec l’Union européenne et de se rapprocher de la Russie.

    "Les événements en Ukraine ressemblent plus à un pogrom qu’à une révolution", a déclaré M. Poutine lors d’une visite en Arménie.

    "Cela n’a pas grand chose à voir avec les relations de l’Ukraine avec l’Union européenne", a-t-il ajouté.

    "Ces actions ont été préparées de l’extérieur. Nous voyons comment des groupes bien organisés sont impliqués", a-t-il affirmé.

    "C’est une tentative de déstabilisation du gouvernement légitime", a ajouté M. Poutine.

    Il a estimé que les manifestations étaient liées aux luttes politiques internes à l’Ukraine et jugé que c’était un faux départ pour l’élection présidentielle de 2015 en Ukraine.

    Les manifestants de l’opposition pro-européenne bloquaient lundi le siège du gouvernement, avec l’intention de forcer le pouvoir à partir, après son refus de signer l’accord d’association avec l’UE.

    La veille, une manifestation avait rassemblé à Kiev au moins 100.000 personnes - des centaines de milliers selon l’opposition. Des affrontements ont fait de nombreux blessés samedi et dimanche lors de manifestations monstre.

    Il s’agit de la plus forte mobilisation depuis la Révolution orange de 2004.

    À voir également, sur E&R :

    « Vladimir Poutine protège le marché russe face à l’offensive libérale de Bruxelles »

     

    E&R

  • Par dépit, les nouvelles Marianne pissent sur le président ukrainien

     

    article_femen_-_Copie

    Voilà ce qu’est devenue la République sous François Hollande. Bienvenue en France, laboratoire du monde de demain, où toutes les expériences publiques, des plus viles aux plus malsaines, sont possibles et même encouragées au nom de la liberté chérie.

    C’est en sachant cela que les Femen, dont la chef de file n’est autre que la nouvelle Marianne qui figure sur vos timbres, se sont donné rendez-vous devant l’ambassade de l’Ukraine à Paris pour manifester leur mécontentement du refus de Viktor Ianoukovitch de signer l’accord d’association avec l’Union Européenne à Vilnius. Après s’être soulagées sur le trottoir et braillé quelques slogans creux, elles sont reparties aussi tranquillement qu’elles étaient venues.

    Où était la police ? Aux abonnés absents. Si la France était devenue le pays qui pouvait, sur ordre, refuser son ciel à un chef d’état, laisser uriner sur la photo d’un président devant l’ambassade de son pays, il me semblait pourtant qu’il était interdit de se déculotter et pisser en public sur le trottoir. Mais la République peut-elle arrêter sa Marianne ?

    vchj

    Que veulent ceux qui manœuvrent les Femen ? Punir Ianoukovitch d’avoir refusé l’annexion programmée de son pays par l’Occident, un des rares bastions de l’Europe de l’Est qui reste encore à coloniser. On veut lui faire comprendre que s’il ne veut pas d’une colonisation en douceur (juste une petite signature, ici…), il l’aura par la force. Oh, pas comme la Syrie, la Libye ou le Mali. Non, en Europe on agit de manière plus civilisée et plus subtile, surtout dans un pays où l’expérience d’une révolution colorée avait parfaitement réussi. Il suffit juste de répéter le coup en réveillant les anciens combattants et l’arrière garde, en les dotant d’un bon encadrement.

    Et, de fait, depuis l’annonce du gouvernement ukrainien de sa décision de ne pas signer l’accord d’association, la mobilisation avait commencé, savamment entretenue et amplifiée par les médias européens qui sont en fait l’acteur principal sans lequel il ne peut y avoir de révolution.  La tactique, toujours la même, consiste à déplacer les problèmes en se focalisant sur la répression policière engendrée par l’infiltration de provocateurs qui savent susciter la réaction des forces de l’ordre.  On a vu que, du jour au lendemain, on ne parlait plus du coup de tonnerre provoqué par la volte-face de l’Ukraine, mais uniquement des rapports de force entre l’opposition et le pouvoir en place, de futurs élections que l’on voudrait bien anticiper, de la répression contre « des manifestants pacifiques sans défense », bref, tout ce qui peut décrédibiliser et délégitimer un gouvernement qui, il y a à peine quelques jours, travaillait paisiblement sans trop de heurts.

    Telle est l’Europe actuelle. A l’instar de son maître, les Etats-Unis, elle ne supporte pas qu’on lui dise non. Tout refus, toute résistance est considérée comme une agression qui appelle des représailles. Même la Mafia serait plus conciliante. La France se trouve en bonne place dans cette Europe de plus en plus hystérique, déshumanisée, qui regarde le monde à travers ses livres de compte, ses courbes et ses plans, avec son armée de dégénérés, qui avec des kalachnikovs et des Allah Akbar plein la bouche, qui avec les seins à l’air criant, piaillant ou pissant dans des lieux de culte ou dans la rue, ou d’autres encore agitant des drapeaux aux quatre coins du monde pour déstabiliser des gouvernements ayant osé contrarier ses desseins. La France, toujours à l’avant-garde, veut faire plus que les autres. Elle reçoit les dégénérés dans ses palais, les décore pour les hisser au panthéon de ses héros et, pour encore mieux les légitimer les identifient aux emblèmes de la nation. Après ça, elle est sûre qu’aucun autre pays ne fera mieux. Une victoire de plus dans l’humanisme et le droit-de-l’hommisme français. Cocorico !!!

    Avic

    Source Article from http://reseauinternational.net/2013/12/02/par-depit-les-nouvelles-marianne-pissent-sur-le-president-ukrainien/

     

    ALTERMEDIA  FRANCE

  • Niveau scolaire : la France recule dans le palmarès mondial

     2 décembre 2013   François Dereims

    KonkEgalitedeschancesalecole-copie-1

    « Nous sommes sous le choc Pisa, pour l’instant, et ça va être encore pire », prophétisait le ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le 23 octobre. « La France décroche totalement » dans la prochaine enquête Pisa, déclarait-il déjà le 10 octobre, sur Canal +. Depuis le printemps dernier, le ministre dispense ce pronostic de « déclin scolaire ».

    Conduite depuis 2000 par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), l’enquête Pisa (Program for International Student Assessment) est la principale évaluation internationale des systèmes éducatifs. Portant sur 65 pays et mesurant les compétences acquises par les élèves de 15 ans en lecture, mathématiques et sciences, cette enquête élaborée tous les trois ans plaçait déjà la France en position médiocre en 2009 : 21e rang en lecture, 22e en mathématiques, 27e en sciences !

    Lire la suite sur lefigaro.fr 

     

    Nations Presse Info

  • US Les chimpanzés, des personnes ?

    chimpanz-zoom_thumb.jpg

    Une association de défense des animaux a déposé aujourd'hui devant un tribunal de l'Etat de New York la première plainte destinée à faire reconnaître la "personnalité juridique" des chimpanzés. L'association Nonhuman Rights Project demande à la justice américaine de déclarer un chimpanzé de 26 ans, Tommy, "personne juridique autonome cognitivement complexe disposant du droit juridique fondamental de ne pas être emprisonnée".

    Cette association veut que soit déclarée illégale la "détention" de Tommy dans "une petite cage en ciment humide au fond d'une remise sombre comme une caverne" chez ses propriétaires à Gloversville, dans l'Etat de New York. Elle compte déposer des recours similaires en faveur de trois autres chimpanzés de cet Etat.
    "Ce sont les premiers dossiers d'une campagne stratégique d'actions en justice, illimitée dans le temps", a dit Steven Wise, le président de l'ONG, à Reuters.

    LE FIGARO - 02 12 13

     

  • Florian Philippot sur Canal+

    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
     
    Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo
     

  • Paris: Bob Dylan mis en examen pour injure envers les Croates

    http://www.leparisien.fr/musique/paris-bob-dylan-mis-en-examen-pour-injure-contre-les-croates-02-12-2013-3370585.php

     Qui est Bob Dylan ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Bob_Dylan

  • Athènes : impressionante manifestation de soutien à l’Aube Dorée

     

    Des dizaines de milliers de Grecs se sont rassemblés hier à Athènes, pour exiger la libération immédiate des prisonniers politiques nationalistes.
    L’Aube dorée peut, en dépit de la répression et des manipulations médiatiques, compter sur un important soutien populaire qui fait espérer de bonnes choses pour la Grèce.

     

    Contre-info.com

  • Le Congrès juif européen organise une réunion de concertation politique avec les communautés juives européennes

    Events%2025-26%20Nov%202013%20%20symposium%20directors%20meeting%20025_0.jpg

    Le CRIF en action
    Publié le 28 Novembre 2013

     

     
     

    Les dirigeants des communautés juives de plus d'une douzaine de pays à travers l'Europe se sont réunis à Bruxelles le lundi 25 Novembre pour discuter de questions d'intérêt commun et élaborer des stratégies politiques au sein de leur pays ainsi qu'au niveau européen.

    La réunion, qui s'est tenue dans les bureaux du Congrès juif européen à Bruxelles, réunissait des directeurs de communautés, du Royaume-Uni à la Lettonie, ainsi que des membres du Congrès juif mondial et des dirigeants de l'Union des étudiants juifs européens.

     

    Parmi les sujets prioritaires, figuraient la mobilisation des communautés juives avant les élections pour le Parlement européen en mai 2014, la montée de l'extrême - droite, les relations entre l'Union européenne et Israël, la lutte contre l'antisémitisme et la protection de la liberté religieuse.

    Les séances de travail ont inclus un échange de vue avec l'Ambassadeur de Hongrie en Belgique et au Luxembourg Tamas Kovacs Ivan, l'ancien ministre du Développement  Tamas Fellegi en Hongrie et l'ambassadeur d'Israël à l'Union européenne David Walzer. La députée européenne Cecilia Wikstrom,  était l'invitée d'honneur lors du diner de travail.

    La réunion, réalisée grâce à l'appui de Raya Kalanova, vice-présidente exécutive du CJE, s'inscrit dans le cadre de la coordination régulière entre les directeurs nationaux des 42 filiales de la CJE et le bureau de Bruxelles. Le CRIF était représenté par Pascal Markowicz, Président de la Commission Relations internationales du CRIF et Eve Gani.

    Elle a été suive par le symposium au Parlement européen sur l'antisémitisme organisé par le CJE et le Bnai Brith International, dans lequel s'est exprimé Roger Cukierman, Président du CRIF et vice-président du CJE.

     

     

  • Facebook? Le simulacre des "amis" sans amitié - Entretien avec Alain de Benoist

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

    Naguère, les polémiques politiques venaient d’émissions fracassantes à la télévision ou de dépêches de l’AFP. Aujourd’hui, c’est Twitter ; soit le règne de l’immédiateté. Comme si le temps de la réflexion avait tendance à se raccourcir…

    Toutes les dimensions constitutives de la temporalité sont aujourd’hui rabattues sur le moment présent. Ce « présentisme » fait partie de la détresse spirituelle de notre époque. Twitter n’en est qu’un exemple parmi d’autres. L’importance qu’on donne aujourd’hui aux tweets est une sorte d’assomption métaphysique de la brève de comptoir. Elle mesure une déchéance. C’est la raison pour laquelle je ne « tweete » jamais. Je n’ai pas non plus de compte Facebook. Je n’utilise ni « smartphone », ni « Blackberry », ni tablette tactile, ni iPad, ni iPod, ni aucun autre gadget pour petits-bourgeois numérisés et connectés. D’ailleurs, je me refuse même à avoir un téléphone portable ; car l’idée de pouvoir être joint en permanence m’est insupportable. La disponibilité totale relève d’un idéal de « transparence » totalitaire. Il faut lui opposer des opacités bienfaisantes.

    Vous êtes technophobe ?

    Je ne suis pas technophobe, mais je suis profondément préoccupé par ce technomorphisme qui transforme nos contemporains en prolongement de leur télécommande ou en terminal de leur ordinateur. Je crois que la technique n’a rien de neutre, et qu’elle cherche à nous soumettre à sa logique propre. De même que ce n’est pas nous qui regardons la télévision, mais la télévision qui nous regarde, ce n’est pas nous qui faisons usage de la technique, mais la technique qui se sert de nous. On le réalisera mieux encore quand nous aurons des codes-barres et des puces RFID insérés sous la peau – ou lorsqu’on aura réalisé la fusion de l’électronique et du vivant. On ne peut, dans le monde actuel, faire l’économie d’une réflexion sur la technique, dont la loi première est que tout ce qui devient techniquement possible sera effectivement réalisé. Comme l’écrit Heidegger, « Nous pouvons utiliser les choses techniques, nous en servir normalement, mais en même temps nous en libérer, de sorte qu’à tout moment nous conservions nos distances à leur égard. Nous pouvons dire “oui” à l’emploi inévitable des objets techniques et nous pouvons en même temps lui dire “non”, en ce sens que nous les empêchions de nous accaparer et ainsi de fausser, brouiller et finalement vider notre être. » Dans le rapport à la technique, c’est l’humanité de l’homme qui est en jeu.

    On peut certes gloser sur ce « bougisme » que nous impose Internet. Mais au moins a-t-il l’avantage de permettre aux citoyens de base que nous sommes de prendre part au débat. Vous qui n’aviez rien contre la « démocratie participative » prônée par Ségolène Royal lors de l’élection présidentielle de 2007, quelles éventuelles réflexions ce changement de donne peut-il vous inspirer ?

    Comme toute forme de démocratie, la démocratie participative exige un espace public où puisse s’exercer la citoyenneté, c’est-à-dire d’un espace radicalement distinct de l’espace privé où se meut la « société civile ». Internet fournit des sources d’information alternatives, mais il est avant tout un outil de surveillance totale. Rapporté aux exigences démocratiques, il n’est qu’un simulacre. Jean Baudrillard l’avait déjà dit il y a vingt ans : nous vivons au temps des simulacres. Les touristes qui visitent la grotte de Lascaux n’en visitent aujourd’hui qu’une copie. En ce moment, un théâtre parisien propose un opéra « virtuel » où la cantatrice vedette n’est qu’une image de synthèse, un hologramme. Les imprimantes en trois dimensions peuvent désormais produire des répliques d’œuvres d’art qui ne se distinguent plus de l’original, relief compris. Elles produiront demain des organes humains. Walter Benjamin avait écrit en 1935 un beau texte méditatif sur « L’Œuvre d’art à l’époque de sa reproductibilité technique ». Nous n’en sommes déjà plus là, car la réplique va très au-delà de la copie. Elle abolit même la notion de copie. Le virtuel est cette catégorie immatérielle dans laquelle nous fait vivre le monde des écrans. Il ne relève ni du réel, ni de l’irréel, ni même du surréel. Il relève de cet hyperréel qui prend peu à peu la place de la réalité sans que nous nous en rendions compte. À terme, c’est l’univers de Matrix qui se dessine à l’horizon.

    Dans votre revue Eléments, dont vous fêtez cette année le quarantième anniversaire, vous évoquez souvent la perte du lien social. Si on vous objecte que les « réseaux sociaux » peuvent être une façon de le retisser, cela vous fait-il sauter au plafond ?

    Cela me fait plutôt sourire. Ces « réseaux sociaux » n’ont de « sociaux » que le nom. Ils ne proposent eux aussi qu’un simulacre de socialité. Avec Facebook, on noue des liens avec des « amis » qu’on ne verra jamais, on visite des pays où l’on ne mettra jamais les pieds. On bavarde, on se défoule, on se raconte, on inonde la terre entière de propos insignifiants, c’est-à-dire qu’on met la technique au service du narcissisme immature. La dé-liaison sociale est le fruit de la solitude, de l’anonymat de masse, de la disparition des rapports sociaux organiques. Elle résulte du fait que l’on se rencontre de moins en moins. La socialité véritable exige l’expérience directe que le monde des écrans tend à abolir. La seule utilité de Facebook est de mettre à la disposition de la police plus d’informations sur nous-mêmes qu’aucun régime totalitaire ne pouvait hier espérer en rassembler. Libre aux naïfs de contribuer eux-mêmes à renforcer les procédures de contrôle dont il leur arrive par ailleurs de se plaindre !

    BOULEVARD VOLTAIRE