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  • Il ne pense qu'à l'Iran !

    Après la publication d'un rapport du renseignement américain sur le nucléaire iranien, Nicolas Sarközy continue de partager l'analyse du président Bush sur la nécessité de renforcer les sanctions contre Téhéran s'il ne suspend pas ses activités d'enrichissement de l'uranium.

    Selon l'Elysée, Georges W. Bush a appelé le chef de l'Etat mercredi soir pour s'entretenir avec lui d'un rapport sur le nucléaire iranien, le National intelligence estimate (NIE) publié le 4 décembre, de seize agences américaines du renseignement.

    "George Bush a exposé à M. Sarközy les conclusions du NIE et les éléments nouveaux qu'elle contient, notamment sur des activités à caractère nucléaire militaire que l'Iran auraient conduites", écrit l'Elysée.

    M. Sarkozy estime que "si ceci était confirmé, les préoccupations internationales depuis 2002 sur les finalités des activités nucléaires en Iran seraient encore renforcées".

    Lors d'une conférence de presse jeudi avec Angela Merkel, à l'issue d'un sommet informel à l'Elysée, M. Sarkozy a redit que l'Iran constituait une "menace". Le chef de l'Etat et la chancelière allemande sont tombés d'accord pour prôner à la fois la "fermeté et le dialogue" avec Téhéran.

    L'ONU soupçonne l'Iran, qui a plusieurs fois appelé à "rayer Israël de la carte", de vouloir se doter de l'arme nucléaire. L'Iran rétorque qu'il ne veut que se doter du nucléaire civil.

    "L'Iran doit suspendre ses activités d'enrichissement, comme le Conseil de sécurité des Nations unies (CSNU) l'a demandé par trois résolutions successives depuis un an et demi. Le refus de l'Iran de s'y conformer justifie une nouvelle résolution du CSNU renforçant les sanctions", a déclaré au président américain Nicolas Sarkozy, selon son porte-parole David Martinon.

    Le chef de l'Etat se range ainsi clairement du côté du président Bush, qui continue de plaider pour un renforcement des sanctions à l'égard de Téhéran.

    Il se démarque également encore un peu plus de la Chine et de la Russie (membres permanents du CSNU avec France, Etats-Unis et Grande-Bretagne), réticents à aggraver les sanctions contre la République islamique.

    Ceci au moment même où le rapport américain complique la tâche du camp occidental face aux réticences de Moscou et Pékin.

    Selon ce document - publié trois jours après la réunion à Paris, le 1er décembre, des cinq membres permanents du CSNU, plus l'Allemagne, pour mettre au point une stratégie commune face à l'Iran  - Téhéran a arrêté son programme nucléaire fin 2003, en raison, "principalement, de "la pression internationale".

    Mais le NIE considère également que la République islamique pourrait techniquement obtenir assez d'uranium hautement enrichi pour une bombe nucléaire dès 2009, et plus probablement entre 2010 et 2015.


    La Chine et la Russie semblent aujourd'hui plus difficiles à convaincre de voter de nouvelles sanctions.

    Alors qu'Israël continue son offensive diplomatique contre le programme nucléaire iranien (Jérusalem a demandé mercredi des "sanctions plus efficaces" contre Téhéran), Georges Bush s'est déclaré mercredi confiant dans le soutien de ses partenaires face à ce "problème".

     

  • Santa Klaus 6 décembre

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    Illustrations de Thomas Nast XIXème siècle

  • Explosion au 52 Bd Malesherbes à Paris

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    L'explosion d'un colis piégé a fait un mort et blessé cinq personnes, dont une grièvement, jeudi 6 décembre, à la hauteur du 52, boulevard Malesherbes, dans le 8ème arrondissement de Paris, a-t-on appris de source policière. L'explosion visait le cabinet de Catherine Gouet-Jenselme, situé au 4ème étage de l'immeuble. La secrétaire du cabinet, une femme de 60 ans, est décédée, tandis qu'un associé de Me Gouet-Jenselme, Olivier Brane, grièvement blessé, a été transporté à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Il serait toutefois "hors de danger vital", selon Me Charrière-Bournazel, futur bâtonnier de Paris, qui a pu s'entretenir par téléphone avec le juriste.

    D'après Me Pierre Ponos, un avocat de l'immeuble interrogé sur France Info, le colis était adressé "à l'attention de Mes Gouet-Janselme et Olivier Brane". L'explosion se serait produite à 12 h 50, au moment de l'ouverture du colis par la secrétaire. Deux explosifs étaient apparemment dissimulés dans une cassette en bois, a indiqué le procureur de la République, Jean-Claude Marin. "Nous relevons les prises d'image qui auraient pu être prises à l'arrivée du coursier [qui a apporté le colis]", a-t-il précisé. Ce coursier coiffé d'un casque de moto et en pantalon pourrait être une femme

    Me Gouet-Jenselme ignore, selon ses proches, le motif de cet attentat car "elle ne s'occupe pas d'affaires sensibles, mais plutôt de conflits d'assurances, d'affaires de divorce et immobilières". "Les mobiles" de l'explosion sont "pour l'instant totalement inconnus", a poursuivi Jean-Pierre Marin. La ministre de l'intérieur, qui a écourté un déplacement à Bruxelles, a confirmé sur place qu'"il n'y a pas de piste privilégiée".

    Sur le même palier que le cabinet visé, au 4ème étage, se trouve également la Fondation pour la mémoire de la Shoah. Le procureur de la République a précisé que "personne" n'était présent "dans les locaux de la Fondation au moment de l'explosion" et que, "de toute façon, le coursier s'est adressé au cabinet d'avocats".

    Par ailleurs, à la même adresse, se trouve le cabinet d'avocats Arnaud Claude et Associés, fondé par Nicolas Sarközy. Aucun lien n'a cependant été établi avec l'explosion, d'autant plus que l'ancien cabinet du chef de l'Etat se trouve au 1er étage de l'immeuble.

    La section antiterroriste du parquet de Paris a été saisie et l'enquête confiée à la brigade criminelle, assistée par la police scientifique.

    (Source: LE MONDE 06.12.07)

     

    Une bien étrange explo sion...

     

  • HARKIS: merci au site http:// ...

    http://www.reactionnaire.com

  • Les camps de la honte où ils furent parqués...

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    Les camps de la honte: Bourg-Lastic, Bias, Rivesaltes... où leurs enfants grandirent comme des parias
    C'est aussi dans le cadre des accords d'Evian, censés sceller la nouvelle paix civile des algériens, que les harkis furent désarmés par les militaires français, et invités à rejoindre leurs villages, sans que l'Etat français et le Général de Gaulle, pourtant conscient de l'impasse dans laquelle les harkis allaient se trouver placés, n'accepte d'offrir asile en France à ces populations, qui allaient rapidement se trouver condamnées.
    Les premiers massacres intervinrent avant même le cessez-le-feu et la déclaration d'indépendance. Le mouvement ne fit que s'amplifier ensuite.
    On estime aujourd'hui à un chiffre entre 100000 et 150000 le nombre de personnes massacrées, avec une cruauté parfois sordide, durant l'indépendance. Si les harkis furent si cruellement et facilement sacrifiés, c'est parce que, la guerre finie, ils furent assimilés au camp des "vaincus", et surtout livrés sans défense au vainqueur assoiffé de vengeance aveugle. Il faut bien insister sur l'innocence des personnes ainsi massacrées, restées fidèles à la France un peu trop longtemps au goût du FLN victorieux, ou plus trivialement liquidés, eux et leurs familles, dans le cadre d'actes de "résistance" de la dernière heure ou pour montrer son allégeance au vainqueur, fût-ce par le crime.
    Quant aux quelques harkis ayant échappé aux massacres et rejoint la métropole, quel sort injuste ne leur fut pas réservé ! Les harkis de France ont tout simplement été parqués dans des camps de non droit et oubliés de tous. Lorsque la France eut, quelques années plus tard, recours à la main-d'oeuvre immigrée pour alimenter sa croissance économique des trente glorieuses, ce n'est pas vers les harkis que la société française et son gouvernement se sont tournés, alors que nous avions là affaire à une population ne demandant qu'à s'intégrer par le travail. On peut soupçonner les communistes de l'époque, alors très influents sur la politique française et le monde syndical, d'avoir tout fait pour oublier cette population, accusée, par un raccourci comme les gauchistes en ont le secret, d'avoir joué le camp des colons, à l'encontre des idées internationalistes en vogue. Si par ailleurs le général de Gaulle a lui aussi oublié les harkis, sur la base de considérations aux relents xénophobes pas forcément avouables, il faut dire que ses successeurs n'ont rien fait de mieux.
    Merci au site http://


  • Les harkis: un peu tard !

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    Vers l'exil, abandonnés par la France gaulliste, en 1962...
    PARIS (Reuters) - Le président Nicolas Sarkozy a déclaré que l'Etat français devait réparation aux anciens supplétifs musulmans de l'armée française durant la guerre d'Algérie, les harkis.

     

    "Il est légitime et juste qu'ils reçoivent l'hommage solennel de la Nation car, pour les harkis aussi, si les accords d'Evian ont scellé la fin des hostilités militaires, ils n'ont pas marqué la fin des souffrances", a déclaré le chef de l'Etat, tout juste rentré d'Algérie, lors d'un discours à l'Elysée à l'occasion de la journée d'hommage aux combattants morts pour la France pendant la guerre d'Algérie.

    "A tous les harkis envers qui la France a une dette, je dis, au nom de la République, que la France leur doit réparation", a ajouté le président devant quelque 150 représentants d'anciens combattants d'Afrique du Nord et de harkis réunis dans la salle des Fêtes du palais présidentiel.

    Selon les historiens, entre 60.000 et 80.000 musulmans français ont été tués entre les accords d'Evian de mars 1962, qui mirent fin à la guerre proprement dite, et l'indépendance algérienne, en juillet 1962.

    (Sources: Le MONDE 05.12.07 et reactionaire com)

  • La Grèce submergée par les clandestins

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    Des centaines d'immigrés clandestins affluent, chaque semaine, dans des conditions souvent dramatiques sur les côtes des îles grecques de la mer Egée, venant de la Turquie toute proche. Samedi 1er et dimanche 2 décembre, près de 300 clandestins de diverses nationalités ont été interpellés près des côtes de Samos, Lesbos, Kos, Chios, Pharmakonissis.

    Les autorités grecques semblent dépassées. Le phénomène a pris des proportions alarmantes. Le gouvernement grec a demandé à l'Union européenne une aide financière et la mise en place d'un système adapté de surveillance des frontières.

    Le ministère de la marine marchande a indiqué, début novembre, qu'au cours des dix premiers mois de l'année la police maritime avait arrêté plus de 7 000 clandestins qui tentaient de pénétrer en Grèce, ainsi que 145 passeurs. Durant la même période, la police a arrêté 1 200 clandestins qui tentaient de gagner l'Italie à partir des ports de Patras et d'Igouménitsa sur la mer Ionienne, ainsi que 192 passeurs.

    Le ministère a précisé que les gardes-côtes avaient, par ailleurs, refoulé plus de 2 800 personnes. Selon les statistiques du ministère, près de 3 500 clandestins et 120 passeurs auraient été arrêtés en 2006.

    Les milliers de clandestins afghans, irakiens, pakistanais, bangladais, mais aussi africains (notamment somaliens et érythréens) font appel à des filières mais n'hésitent pas non plus à monter sur des embarcations de fortune, barques, canots pneumatiques pour enfants, pour franchir les quelques milles nautiques qui séparent la côte turque des multiples îles grecques de la mer Egée. Les vents sont souvent violents dans la région, les naufrages sont fréquents, les morts nombreux. Sur l'île de Lesbos, le cimetière accueille des tombes qui n'ont d'autre inscription qu'un numéro, les victimes repêchées étant presque toujours démunies de papiers. Une quarantaine de corps ont été retrouvés sur le littoral de l'île depuis 2003.

    Pour ceux qui réussissent à passer, les conditions d'accueil constituent un nouveau problème. Les autorités grecques sont dépassées. En octobre, le bureau grec du Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a réclamé la fermeture immédiate du centre de rétention pour immigrés clandestins de Samos, dénonçant des conditions de vie "qui portent atteinte aux droits de l'homme". Le bâtiment accueillait 391 personnes pour une capacité de 120 places, dans des conditions "contraire à toute dignité humaine". Le gouvernement a inauguré, samedi, à Samos, un deuxième centre d'accueil d'une capacité de 280 places, doté d'une unité médicale et d'un restaurant, d'un coût de près de trois millions d'euros.

    (Source: Le Monde 05.12.07)

  • COMMEMORATION OFFICIELLE DE LA GUERRE D'ALGERIE

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    Le Décret n° 2003-925 du 26 septembre 2003 institue une journée nationale d'hommage aux « morts pour la France » pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, le 5 décembre de chaque année.

     



    Le Président de la République,
    sur le rapport du Premier ministre et de la ministre de la défense,
    vu l'article 37 de la Constitution, Décrète :



     

    Article 1


    Il est institué une journée nationale d'hommage aux « morts pour la France » pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie.

    Article 2

     


    Chaque année, à cette date, une cérémonie officielle est organisée à Paris.

    Une cérémonie analogue a lieu dans chaque département, à Mayotte, en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à Saint-Pierre-et-Miquelon et dans les îles Wallis et Futuna, dont l'organisation est laissée à l'initiative du représentant de l'Etat.

    Article 3


    Le Premier ministre, le ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales, la ministre de la défense, la ministre de l'outre-mer et le secrétaire d'Etat aux anciens combattants sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

    Fait à Paris, le 26 septembre 2003.

    Jacques Chirac


    Cette journée est fixée au 5 décembre.







     

    SONDAGE  RÉALISÉ  PAR  IPSOS  LES  21  &  22 DÉCEMBRE  2001

    Estiment Justifiée la fixation d'une date de commémoration             68%
    Ne se prononcent pas                                                                               32%


     



     

     





     


     

     










  • ALGER-LA-BLANCHE, ORAN...

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    Ville et port d'Alger
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    Oran: Cercle de l'Amirauté et Fort de Santa-Cruz

  • Un petit tour en Finlande

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    La table de Noël
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    Travaux pratiques pour écoliers de 8 ans: "construire le système d'adduction d'eau de leur ville" 
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    Ecole primaire
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    Aurore boréale
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    Promenade sur une route forestière en avril

  • Baisse du niveau scolaire en France

    Les Français de 15 ans en position "moyenne" dans l'étude de l'OCDE sur leurs connaissances

      Les élèves français de 15 ans arrivent au 17e rang pour leurs performances en mathématiques et en compréhension de l'écrit, et au 19e rang en sciences, sur les 30 pays de l'OCDE, selon les résultats de l'étude "Pisa" 2006 présentée mardi par cet organisme.

    L'OCDE effectue tous les trois ans une étude sur les savoirs acquis en sciences, en mathématiques et en compréhension de l'écrit des jeunes de 15 ans, c'est-à-dire, dans la plupart des pays, à l'issue de leur scolarité obligatoire.

    "La France se situe au 19e rang en sciences et au 17e rang en mathématiques et en compréhension de l'écrit", a déclaré Eric Charbonnier, à la direction de l'Education de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), lors de la présentation des résultats à la presse.

    "C'est une position moyenne, en légère baisse par rapport" aux précédentes enquêtes Pisa (2000 et 2003). Bien sûr, on s'attendait à de meilleures performances mais on ne peut pas considérer que la France est en situation d'échec complet dans son système d'éducation", a-t-il poursuivi.

    La France est caractérisée selon lui par une "proportion d'élèves en difficulté de 20%, comme la moyenne OCDE, importante, et par le fait que l'élite est en proportion nettement inférieure à celle des pays qui réussissent dans les études Pisa", comme la Finlande par exemple.

    "La France doit diminuer sa proportion d'élèves en difficulté et augmenter sa proportion d'excellents élèves pour pouvoir s'améliorer dans les classements internationaux", a préconisé M. Charbonnier.

    Il a estimé qu'une des solutions serait "peut-être d'alléger les programmes scolaires et de mettre en place des heures de soutien pour les élèves les plus en difficulté".

    Parmi les 30 pays de l'OCDE, la Finlande arrive en tête du classement en sciences, et de celui en mathématiques et deuxième du classement en compréhension de l'écrit. En 2003, la Finlande était déjà la meilleure en culture scientifique, compréhension de l'écrit, résolution des problèmes et 2e en culture mathématique.

    En 2006, la Corée du Sud (1ère en compréhension de l'écrit, 2e en mathématiques, 7e en sciences), le Canada (2e en sciences, 3e en compréhension de l'écrit, 5e en maths) ou encore l'Australie (5e en sciences, 6e en compréhension de l'écrit et 9e en maths) sont également parmi les "plus performants" des 30 pays de l'OCDE.

    Un classement plus général publié jeudi dernier, comprenant d'autres pays que ceux de l'OCDE, faisait toutefois apparaître Hong-Kong en deuxième position du classement en sciences.

    Dans les 30 pays de l'OCDE, parmi les mal placés, figurent les Etats-Unis (25e en maths, 21e en sciences) ou encore la Grèce (27e pour l'écrit, 28e en maths et sciences) et tout en bas du tableau, le Mexique (30e en sciences et maths, 29e pour l'écrit).

    Quand on compare les scores obtenus, "les jeunes Français ont en moyenne un an de retard par rapport aux jeunes Finlandais", a commenté Bernard Hugonnier, également à la direction de l'Education de l'OCDE.


    L'étude Pisa a porté sur 57 pays représentant 90% de l'économie mondiale (dont 30 de l'OCDE), mais les résultats ont surtout été analysés mardi dans le cadre des 30 pays de l'OCDE.

  • Toute honte bue... la grande lèche!

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    ALGER (Reuters) - Nicolas Sarkozy et Abdelaziz Bouteflika se sont efforcés de dépasser leurs divergences sur le passé colonial de la France en Algérie, qui a continué de peser sur la visite d'Etat du président français.

    "Sur la mémoire, chacun a fait un pas l'un vers l'autre et aujourd'hui les choses sont vraiment stabilisées", déclarait l'Elysée au soir du deuxième jour de cette visite.

    Sans aller jusqu'à présenter les "excuses" qu'exigent de la France les dirigeants algériens, Nicolas Sarközy a fait un nouveau pas, dans un toast en l'honneur du président Abdelaziz Bouteflika, lors d'un déjeuner officiel.

    "Nous sommes prêts à regarder en face cette partie de notre histoire et à la considérer sans tabou, y compris dans ce qu'elle a de plus sombre, a-t-il dit.

    Le "partenariat d'exception" entre les deux pays doit s'accompagner "d'un travail de mémoire pour rapprocher notre lecture de l'histoire", a renchéri Nicolas Sarközy le soir, devant des représentants de la communauté française.

    Il a cependant ajouté que ce "travail de mémoire" ne devait pas être un "préalable" au développement des relations entre la France et son ancienne colonie.

    Nicolas Sarkozy a réaffirmé qu'il fallait "reconnaître ce que le système colonial avait d'injuste", sans faire d'amalgame avec "ceux qui ont construit sur cette terre" qu'ils ont dû quitter lors de la guerre d'indépendance algérienne (1954-62).

    De son côté, Abdelaziz Benflika s'était dit convaincu, dans un toast lors du déjeuner, que la visite du président français permettrait "d'aborder avec franchise et courage" les problèmes pesant sur les relations franco-algériennes et de trouver "le moyen d'y porter remède dans un esprit d'ouverture".

    Il a au passage adressé sa "sincère reconnaissance à tous les Français" qui ont apporté leur aide et leur "solidarité" aux Algériens pendant leur "guerre de libération".

    Lundi soir, dans son premier discours, devant des chefs d'entreprise algériens et français, Nicolas Sarkozy avait qualifié de "profondément injuste" le système colonial et évoqué les "crimes terribles" commis pendant la guerre d'indépendance.

    Le ministre algérien de l'Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni, a estimé mardi matin que ces propos constituaient un "progrès" mais ne suffisaient pas.

    "Nous dirons toujours que ce n'est pas assez mais ça va dans le bon sens", a-t-il dit à des journalistes à Tipasa, où le président français a visité avec lui les ruines romaines, en bordure de la Méditerranée, à 70 km à l'ouest d'Alger.

    En regagnant Alger pour des entretiens avec Bouteflika, Nicolas Sarközy a fait une étape symbolique au sanctuaire dédié aux "martyrs" de la guerre d'indépendance.

    L'Elysée fait valoir que le président français a multiplié les gestes pour ouvrir une "nouvelle page" avec l'Algérie.

    Les deux gouvernements ont ainsi signé mardi une "convention de partenariat", présentée du côté français comme une sorte de "traité d'amitié simplifié" qui se substitue à un projet avorté de "traité d'amitié" lancé en 2003.

    Cette convention de partenariat remplace et complète la convention de coopération culturelle, scientifique et technique qui liait la France et l'Algérie depuis 1986.

    La France a également paraphé un accord cadre couvrant tous les aspects d'une future coopération franco-algérienne dans le domaine du nucléaire civil, dont la négociation s'est prolongée jusque dans la nuit de lundi à mardi. C'est le premier accord de ce type entre la France et un pays arabe, fait valoir l'Elysée.

    Les deux chefs d'Etat ont présidé la signature de cinq milliards d'euros de contrats et accords d'investissement et de la prolongation des contrats d'approvisionnement de Gaz de France en gaz naturel algérien jusqu'en 2019.

    Autre geste : la France enverra des experts pour étudier les conséquences des essais nucléaires qu'elle a effectués dans le désert algérien et "assumera ses responsabilités", dit-on de source proche du président français.

    En matière de circulation des personnes, sujet sensible, la ministre française de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie et son collègue de l'Immigration Brice Hortefeux iront en Algérie "dans les semaines qui viennent pour poser les bases d'une politique d'immigration concertée entre les deux pays".

    (LE MONDE 04.12)

    Ils n'ont pas honte, ce président, ces ministres, ces hommes d'affaires, toute cette clique sans honneur, de salir la mémoire des morts français, des soldats français, des paysans français massacrés par les terroristes du FLN ? La mémoire  des Français qui ont fait l'Algérie ? Nous n'attendions pas de reconnaissance, mais un peu moins de crachats, un peu de "cimetières vandalisées", et un peu plus de respect pour la France qui accueille générteusement les citoyens algériens qui viennent (mais pourquoi?) vivre chez nous?

    ILS N'ONT PAS HONTE!

  • Etrange revirement américain envers l'Iran

    Les services de renseignement américains, qui affirmaient en 2005 que l’Iran avait un programme nucléaire militaire et la volonté de se doter de l’arme atomique le plus tôt possible, ont fait volte-face.

    Un rapport des 16 agences de renseignement, rendu public lundi, estime que Téhéran, s’il le voulait, ne sera pas techniquement capable de produire et de retraiter suffisamment de plutonium pour une bombe «avant environ 2015».

    Mais l’Iran n’aurait plus cette volonté. Son programme d’armement nucléaire a été arrêté fin 2003, affirme le rapport avec «un haut degré de confiance», en ajoutant «avec un degré de confiance modéré» que ce programme n’avait pas été relancé à la mi-2007.

    «La décision de Téhéran d’arrêter son programme d’armes nucléaires suggère qu’il est moins déterminé à développer des armes nucléaires que nous ne l’avons jugé depuis 2005», lit-on dans cette «estimation nationale de renseignement» (NIE) sur l’Iran. Ce pays, toutefois, «garde au moins ouverte l’option de développer des armes nucléaires».

    Les faucons de l’administration américaine, le vice-président Dick Cheney en tête, avaient brandi ces derniers mois la possibilité d’une frappe sur le complexe nucléaire iranien. Le président George W. Bush lui-même avait évoqué à la mi-octobre la possibilité d’une «troisième guerre mondiale» si l’Iran venait à disposer du «savoir nécessaire pour fabriquer une bombe atomique». Alarmiste, le ministre français des affaires étrangères Bernard Kouchner avait pour sa part affirmé en septembre à Washington: «Certains experts affirment que 8 à 9 mois sont seulement sont nécessaires (à l’Iran) pour avoir une bombe atomique»…

    Beaucoup de militaires américains sont fermement opposés à une attaque. Robert Gates, qui a succédé à Donald Rumsfeld au poste de secrétaire de la Défense, déclarait récemment qu’une attaque contre l’Iran «aurait des effets assez dramatiques».

    Un général, James Simmons, soulignait à la mi-novembre qu’il n’y avait pas de «preuves récentes» que l’Iran soit en train de fournir des armes aux insurgés irakiens. Les soupçons d’ingérence militaire de Téhéran en Irak étaient jusqu’alors un contentieux majeur entre Washington et Téhéran. Avec la publication de ce rapport, les néo-conservateurs bellicistes de l’administration Bush, «encore très actifs» selon un diplomate américain, paraissent en perte de vitesse.

    Les 16 agences du renseignement américain, dont la CIA, estiment avec «un degré de confiance modéré» qu’au plus tôt, l’Iran serait techniquement capable de produire suffisamment d’uranium hautement enrichi pour une bombe fin 2009, «mais c’est très improbable». «Nous jugeons avec un degré de confiance modéré que l’Iran pourrait être techniquement capable de produire suffisamment d’uranium enrichi pour une bombe pendant la période 2010-2015».

    Les Etats-Unis auraient donc largement le temps de voir les choses venir, et de poursuivre la voie diplomatique, que le NIE appuie d’ailleurs avec insistance. L’arrêt du programme nucléaire militaire en 2003 est «principalement» dû «à la pression internationale», ce qui suggère que Téhéran n’est pas engagé dans «une course à la bombe qui ne tiendrait pas compte des coûts politiques, économiques et militaires».  (Source: LIBERATION 03.12/07) 

    Cette volte-face des E.U. est-elle liée au succès électoral de Vladimir Poutine ainsi qu'à ses récentes déclarations en faveur de l'Iran?

    Les Etats-Unis sont-ils tout simplement en train de désavouer Bush et sa politique au Proche-Orient?   

  • Sarközy à la Casbah

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    Casbah d'Alger

    Le chef de l'Etat veut renouer des liens plus étroits avec l'Algérie et signer une batterie de contrats. Mais pas question de présenter les « excuses » qu'Alger réclame à la France pour les « crimes » commis pendant la colonisation.

    Le voyage d'État en Algérie que Nicolas Sarközy entame aujourd'hui a bien failli ne pas avoir lieu. Les déclarations antisémites de Cherif Abbas, accusant la semaine dernière le président français d'être l'élu du « lobby juif », ont fâché l'Elysée. Le malaise s'est dissipé lors d'un contact téléphonique, jeudi dernier, entre Nicolas Sarközy et son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika. Celui-ci a (modérément) remis en place son ministre et l'on est prié de croire, des deux côtés de la Méditerranée, que les deux chefs d'Etat sont ravis de se retrouver. Nicolas Sarközy effectue tout de même cette visite sans Enrico Macias, mais avec Yasmina Benguigui, Didier Barbelivien ou encore Alexandre Arcady...

    Deux mois après que les intérêts français y eurent été pris pour cible par Al-Qaïda, les objectifs de ce déplacement sont multiples. Il s'agit d'abord de réaffirmer la confiance de la France envers un pays qui a lutté contre le terrorisme, de renouer les liens d'une relation distendue par des orages à répétition, et même, selon la terminologie élyséenne, de rétablir les bases d'un « partenariat d'exception ». Sans oublier une importante dimension commerciale avec la signature prévue de contrats pour 5 millions de dollars, essentiellement dans le domaine de l'énergie. Dans les bagages du président français, on trouvera donc 150 hommes d'affaires, mais aussi Christine Lagarde, Bernard Kouchner et Henri Guaino, le conseiller du président qui pilote le projet d'Union euro-méditerranéenne.

    Même si Alger réclame à la France des « excuses » pour les « crimes » commis pendant la colonisation, il est exclu que le président français fasse « acte de repentance ».

    Il prononcera toutefois mercredi devant les étudiants de Constantine un discours dans lequel il devrait affirmer son désir de tourner cette page douloureuse de l'histoire franco-algérienne, et dénoncer les maux du colonialisme.

     (Le Parisien)

     

  • Mathias Duchemin, petit martyr

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    Mathias Duchemin  4 ans

    Christian Beaulieu, déjà condamné pour des attentats à la pudeur sur des mineurs, comparaîtra aujourd'hui pour le meurtre et le viol du jeune Mathias, 4 ans. L'accusé nie les faits malgré des aveux passés en garde à vue.

    Depuis sa cellule de la centrale de Moulins-Yzeure (Allier), il nie le meurtre depuis des mois malgré des aveux devant les gendarmes auxquels il avait confié « une pulsion brutale ». Christian Beaulieu, 57 ans, le tueur présumé du petit Mathias Duchemin, 4 ans, violé et tué à Moulins-Engilbert (Nièvre) dans la nuit du 6 au 7 mai 2006, sera jugé par la cour d'assises de la Nièvre à partir d'aujourd'hui et jusqu'à vendredi. Plus de soixante témoins, cinq experts psychiatres et psychologues seront appelés à la barre.

    Petit homme fluet, impliqué dans des affaires d'agressions sexuelles sur des mineurs dans les années 1980, Christian Beaulieu sera dans le box des accusés aux côtés de son ex-compagne, Marie-Jeanne Hoffmann, une femme de 49 ans poursuivie pour non-dénonciation de crime.



    Christian Beaulieu, sans emploi, avait été interpellé dans son appartement du centre de Moulins-Engilbert, moins d'une semaine après la découverte du corps de Mathias. L'enfant, second fils d'un couple d'agriculteurs de la commune, avait été retrouvé entièrement nu, dissimulé sous un amas de terre, dans le lit de la rivière le Guignon. Il avait disparu quelques heures plus tôt alors qu'il jouait avec d'autres enfants, près de la salle polyvalente où ses parents et cent cinquante convives assistaient à une soirée organisée par le Centre cantonal des jeunes agriculteurs. Ses vêtements étaient éparpillés derrière cette salle près de laquelle l'accusé avait été aperçu le soir du drame. Des enfants avaient signalé aux enquêteurs la présence d'un individu avec un chapeau « sans bord ». A la question de savoir si Christian Beaulieu était ce mystérieux homme avec un béret ou une casquette, le procureur de la République de Nevers, Christian Gongora, avait lâché un oui catégorique le jour où il annonçait les aveux du suspect. Il ajoutait que le « scénario détaillé de la disparition et de l'homicide décrit par cet individu confirmait les conclusions des enquêteurs ».

    RIP Mathias

  • In memoriam: Algérie française

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    Profanation du cimetière de Mers El Kébir (Port militaire d'Oran)

    RECHERCHE DE LA VERITE -1954  à 1962   

    MEMOIRE, NE NOUS ABANDONNE PAS

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    Première victime de l'insurrection - il avait 22 ans
    assassiné alors qu’il allait avertir la gendarmerie de Cassaigne d’une attaque de terroristes à 1h.30 du matin de ce 1er novembre 1954.
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    Enfants massacrés et mutilés par les terroristes du FLN 
    Aux êtres qui nous étaient chers et qui ne seront jamais oubliés
    La mort n'est rien,
    Je suis simplement passé dans la pièce d'à côté,
    Je suis moi. Tu es toi,
    Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours,
    Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné,
    Parle-moi comme tu l'as toujours fait.
    N'emploie pas un ton différent.
    Ne prends pas un air solennel et triste.
    Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble,
    Prie, souris, pense à moi, prie pour moi.
    Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été
    Sans emphase d'aucune sorte et sans trace d'ombre.
    La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié.
    Elle reste ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé.¨
    Pourquoi serais-je hors de ta pensée,
    Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
    Je t'attends, je ne suis pas loin,
    Juste de l'autre côté du chemin.
    Tu vois, tout est bien.
    Charles Péguy 

    (Source: www.algerie-francaise.org/ )

    Ce site par le nombre d'informations qu'il contient, permet, d'une part, à nos enfants de connaître la vérité sur le drame de leurs parents, Français d'Algérie, et d'autre part, aux prochaines générations d'historiens, d'avoir des évidences irréfutables pour que les coupables soient jugés un jour par le Tribunal de l'Histoire.

     

     

     

  • La nuit, tous les chats sont gris... (7)

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    Nénette 
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    et Figaro