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  • VIDEO Carl Orff - Carmina Burana

    http://www.youtube.com/watch?v=QEllLECo4OM

    Carl Orff, compsiteur allemand, né à Munich en 1895 et mort en 1982 à Munich.

    Carmina Burana est une cantate scénique composée par Carl Orff en 1935-1936. Son nom complet, en latin, est Carmina Burana : Cantiones profanae cantoribus et choris cantandae comitantibus instrumentis atque imaginibus magicis, ou "Poèmes de Beuren : Chansons profanes pour chanteurs et chœurs devant être chantées avec instruments et images magiques". Carmina Burana est une partie de Trionfi, une trilogie musicale incluant également les cantates Catulli carmina et Trionfo di Afrodite. Le mouvement le plus célèbre est le chœur O Fortuna, à la fois le premier et le dernier mouvement de l'œuvre.

  • "I am Providence"

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    Howard Phillips Lovecraft entouré des créatures du Mythe de Cthulhu
    (Cliquez sur l'image pour la voir en entier)
    Howard Phillips Lovecraft, plus connu sous l'appellation H. P. Lovecraft ou même HPL (Providence, Rhode Island, 20 août 1890 - Providence, 15 mars 1937), écrivain américain, est l'un des pères de la littérature fantastique et d'épouvante du XXe siècle. Il est l'auteur d'une soixantaine de nouvelles, d'un roman ainsi que de poèmes.
    Il imagina une cosmogonie fabuleuse de dieux, de créatures et de lieux étranges regroupés sous l'expression Mythe de Cthulhu, un terme inventé par l'écrivain August Derleth après sa mort et que l'on retrouve dans la plupart de ses textes.
    Il rédigea ses premiers poèmes, ainsi que sa première nouvelle, La Petite bouteille de verre (The Little Glass Bottle) à l'âge de six ans. Il passa son enfance dans la ville de Providence, le plus souvent à l'écart des enfants de son âge, enfermé dans la maison familiale dont les rideaux étaient tirés, l'enfant souffrant visiblement d'une trop grande sensibilité à la lumière. Le 3 mars 1924, il épousa Sonia Haft Greene (née Haft Shafirkin en Ukraine), et s'installa chez elle, dans le quartier de Brooklyn à New York. En avril 1926, Lovecraft quitta l'appartement de New York pour retourner vivre à Providence chez sa tante la plus âgée, Lillian Clark. Il divorcera trois ans plus tard et ne connaîtra plus d'autre femme.
    Wikipédia

  • Le préfet suspendu contre-attaque et accuse Hortefeux

    Hortefeux le 30 juillet 09.jpg
    Brice Hortefeux le 30 juillet 2009
    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Le préfet soupçonné de propos racistes et suspendu mi-août contre-attaque, dans une démarche très rare, en accusant le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux d'avoir orchestré l'affaire et de vouloir se "refaire une virginité" d'antiraciste.

    Paul Girot de Langlade, 63 ans, préfet hors cadre depuis septembre 2007, est sorti du devoir de réserve respecté scrupuleusement par la préfectorale, jeudi par voie de presse. "Je suis victime d'une cabale et je tiens à la dénoncer", affirme-t-il au Parisien.

    Paul Girot de Langlade, 63 ans, préfet hors cadre depuis septembre 2007, est sorti du devoir de réserve respecté scrupuleusement par la "Cette "affaire" a été orchestrée par l'actuel ministre de l'Intérieur, probablement pour faire oublier son passage au ministère de l'Intégration où il a mené une politique plus sévère que dans le passé et pour se refaire à bon compte une virginité de parfait antiraciste", estime le préfet, entendu lundi par la brigade de la répression de la délinquance contre la personne.

    De son côté le ministère de l'Intérieur a démenti "le moindre coup monté". "Si l'enquête démontre qu'il n'a pas commis les faits pour lesquels il est poursuivi, il sera réintégré sans le moindre problème".

    Ce que M. Girot de Langlade qualifie de "banal incident" s'est produit le 31 juillet à l'aéroport d'Orly tôt le matin alors qu'il était en transit avec un temps de correspondance très court. "Au contrôle de sécurité, les agents ont été agressifs d'entrée de jeu. J'ai été bousculé", affirme-t-il.

    Selon la version de ces derniers, le préfet, énervé, aurait dit "On est où là? On se croirait en Afrique" ainsi que "de toutes les façons , il n'y a que des Noirs ici", devant des témoins - personnels et membres de la hiérarchie d'Aéroports de Paris.

    Une agente de sécurité d'origine antillaise, employée par la société Securitas, a déposé plainte le 4 août entraînant l'ouverture le 14 août d'une enquête pour "injures publiques à caractère racial" par le parquet de Créteil.

    Le même jour, Brice Hortefeux avait annoncé la suspension du préfet de sa fonction de coordonnateur local pour La Réunion des états généraux de l'Outre-mer.

    Deux autres plaintes d'agents de Securitas ont été déposées les 11 et 12 août pour les mêmes motifs.

    Paul Girot de Langlade s'était élevé en faux contre les propos rapportés, parlant dès la mi-août d'une "manipulation".

    "Je ne suis pas raciste, je l'affirme haut et fort. J'ai servi à Wallis-et-Futuna, en Guadeloupe, de 2004 à 2006 et à La Réunion, où je viens de mener à terme ma mission consacrée aux états généraux de l'Outre-mer", a-t-il insisté jeudi.

    "Je n'ai rien dit sur la couleur de peau des agents", ajoute-t-il. "J'ai simplement déclaré: "Avec une gestion pareille, on se croirait en Afrique!". "La scène a été filmée par les caméras. Ce film conforte ma version", assure le préfet qui se dit "blessé par ce lynchage médiatique" et qui veut être réhabilité.

    AFP. 27.08.09

  • Netanyahu demande des "sanctions paralysantes" contre l'Iran

    BN et Angela M à Berlin le 27 08.jpg
    Netanyahu avec Merkel à Berlin le 27 août 2009
    BN regzarde des plans d'auschwitz à Berlin.jpg
    A Berlin, Netanyahu a examiné les plans d'Auschwitz - 27 août 2009
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a demandé, jeudi à Berlin, des "sanctions paralysantes" contre l'Iran pour l'empêcher de se doter de l'arme nucléaire.

    "Nous avons peu de temps. La chose la plus importante que nous puissions mettre en place sont des sanctions paralysantes. Il est possible d'exercer des pressions réelles sur le régime de Téhéran si les grandes puissances du monde s'unissent", a déclaré Netanyahu lors d'une conférence de presse conjointe avec la chancelière allemande Angela Merkel.

    Il a ajouté que si le Conseil de sécurité des Nations Unies ne parvenait pas à s'entendre sur un durcissement des sanctions en raison d'un refus de la Russie et de la Chine, une "coalition des volontaires" devrait adopter des sanctions de son côté.

    Mme Merkel a déclaré quant à elle que le "temps pressait" pour que Téhéran réponde aux offres de dialogue pour un arrêt de son programme d'enrichissement d'uranium.

    Sans progrès d'ici septembre, "nous envisagerons des mesures plus fermes" contre l'Iran, "dans le domaine de l'énergie et des finances", a-t-elle dit. "Nous avons déjà des sanctions, et nous pouvons aller beaucoup plus loin. Nous y sommes prêts".

    Mais elle a souligné que les sanctions seraient plus efficaces avec la collaboration de la Russie et de la Chine.

    Pressé par la communauté internationale de renouer le dialogue avec les Palestiniens pour parvenir à une solution au conflit du Proche-Orient,  Netanyahu a exprimé "l'espoir de pouvoir relancer les négociations dans un délai d'un mois ou deux".

    "Je suis prêt à rencontrer la direction de l'Autorité palestinienne, sans précondition, et qu'on s'y mette! Nous avons beaucoup de travail pour écarter les radicaux et aller de l'avant", a-t-il dit.

     Netanyahu a cependant insisté pour qu'un futur Etat palestinien reconnaisse Israël comme "l'Etat juif", une exigence que les Palestiniens ont jusqu'à présent rejetée.

    Angela Merkel a rappelé que pour l'Allemagne, comme pour les Etats-Unis et l'Union européenne, "l'arrêt de la colonisation des territoires occupés est une pierre angulaire d'une reprise du processus de paix". Et la paix passe par la création d'un Etat palestinien aux côtés d'Israël, a-t-elle insisté.

    "Il y doit avoir un changement substantiel" dans la politique israélienne en matière de colonies, a souligné Mme Merkel, estimant que "les possibilités pour un tel processus sont très bonnes en ce moment". 

    AFP. 27.08.09

  • "Se faire avorter relève du parcours du combattant"

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    Le nouveau centre de planning familial Alfred-Fournier à Paris - 27 août 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)
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    Fermetures de centres pratiquant l'IVG, refus de prise en charge par des médecins, rendez-vous tardifs: se faire avorter relève du "parcours du combattant" en France, selon plusieurs acteurs du secteur, et en particulier à Paris où la mairie a présenté jeudi un plan d'action.

    Elle montre du doigt "les tabous qui perdurent" et "un désinvestissement des médecins, les militants des années 70 étant partis à la retraite". "L'avortement, ce n'est pas la partie noble de la gynécologie et il y a un problème de coût", lance-t-elle. Une fausse-couche coûte 600 euros, le double environ d'un avortement, assure l'élue, laissant entendre que l'IVG rapporte moins.

    Immonde!

    Elle dénonce la fermeture de centres pratiquant l'IVG, notamment dans les cliniques, et des délais trop longs pour obtenir un rendez-vous.

    Pourtant en Ile-de-France, le taux d'IVG pour 1.000 femmes est de 19 contre 14 en France métropolitaine. En 2007, il y a eu 13.700 avortements dans la capitale et 57.000 en Ile-de-France. Il y en a eu 209.700 en 2006 en France.

    Comme Fatima Lalem, Sérénade Chafik, du Mouvement français pour le Planning familial, qualifie de "parcours du combattant" l'accès à l'IVG.

    "La loi n'est pas appliquée: à partir de huit semaines de grossesse, ça devient difficile de trouver un médecin qui accepte de pratiquer l'avortement", dit-elle, alors que l'IVG est autorisée jusqu'à la fin de la douzième semaine de grossesse depuis 2001.

    Et entre le moment où la femme prend conscience de sa grossesse et l'IVG, il peut s'écouler plusieurs semaines, dit-elle, puisqu'il faut consulter son médecin traitant, faire une échographie avant de se rendre dans un centre pratiquant l'IVG, où il faut patienter pour un premier rendez-vous.

    Selon le Planning, chaque année, entre 3.000 et 5.000 femmes sont contraintes d'aller à l'étranger.

    En réaction, la mairie de Paris développe l'IVG par voie médicamenteuse, sans hospitalisation, dans les centres de planification, ce qui est permis depuis un décret paru en mai. Cela sera possible dans cinq centres d'ici la fin de l'année, puis dans les 18 autres.

    "C'est très bien, ça va améliorer l'accessibilité à l'IVG", se félicite Martine Beauplet, sage-femme chargée par le département des centres de planification. L'acte est gratuit pour les femmes non assurées.

    Mais l'IVG par voie médicamenteuse est réalisable seulement jusqu'à la fin de la cinquième semaine de grossesse, contrairement à celle par voie chirurgicale (aspiration utérine), possible jusqu'à 12 semaines.

    "Il faut voir tôt la grossesse puis réagir vite pour la voie médicamenteuse", reconnaît Mme Beauplet, qui insiste donc sur "la nécessité de faire quelque chose" pour l'IVG chirurgicale. Comme de nombreux acteurs du secteur, elle interpelle le gouvernement sur ce sujet.

    D'autres insistent sur la nécessité d'améliorer la prévention pour faire baisser le nombre d'avortements, stable depuis 2002.

    Pour le Dr Michel Teboul, gynécologue à l'hôpital Broussais dont le centre IVG a fermé jeudi, "l'important, c'est de bien s'occuper des femmes qui ont recours à l'avortement et non de réduire à tout prix le nombre d'IVG". Pour lui, s'il reste stable, c'est aussi parce que les femmes ne se résignent plus à une grossesse indésirable, ce qui est positif".

    AFP. 27.08.09

     

  • JEUX - En forêt

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    Jusqu'où un homme normalement constitué peut-il s'enfoncer dans une forêt tropicale?

  • JEUX - Le vieux grimoire

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    Un chercheur de trésors est sur le point de découvrir un fabuleux butin. Sa dernière piste le conduit dans une bibliothèque où il est censé récupérer l'indice ultime. Il possède une inscription lui indiquant: "Cherchez le plus grand des ouvrages écrits à ce jour. Trouvez le tome VIII. Le plan y est caché entre les pages 115 et 116 du volume."

    Dans quel ouvrage doit-il chercher?

  • JEUX - Jadis à Bagdad...

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    Cela se passe autrefois à Bagdad, où beaucoup d’hommes étaient trompés par leurs femmes. Aucun ne le savait, mais chaque homme savait quels étaient les autres maris trompés. Un jour le Calife décida d’en finir avec cette honteuse situation et il ordonna que tout homme qui apprendrait qu’il est trompé, devait tuer son épouse. Il chargea un  héraut de passer dans les rues de Bagdad pour annoncer cet ordre. Le héraut devait passer chaque jour jusqu’à ce que toutes les femmes infidèles soient tuées. Mais pendant 39 jours il ne se passa rien. Finalement, le 40ème jour, toutes les femmes infidèles furent tuées.

    Question : combien y avait-il de femmes infidèles ?

     

  • Mort de Ted Kennedy

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    Edward et Joan Kennedy avec Golda Meir le 15 septembre 1971 à Jérusalem
    (Cliquez sur la photo)
    CITE DU VATICAN, 26 août 2009 (AFP) - Ted Kennedy: le journal du Vatican déplore sa position pro-avortement

    L'Osservatore Romano, le journal du Vatican, a rendu hommage mercredi au sénateur américain Edward Kennedy, décédé mardi soir, mais a déploré "ses prises de position en faveur de l'avortement".

    "Il a été constamment en première ligne dans les batailles comme celle sur la protection des immigrés, le contrôle des armes à feu, le salaire minimum. Malheureusement il y a également eu de sa part des prises de position favorables à l'avortement", déplore l'Osservatore Romano.

    Edward "Ted" Kennedy "a apposé sa signature sur de nombreuses lois qui - selon certains - ont redessiné l'Amérique contemporaine", ajoute le journal.

    Bien que catholique, Ted Kennedy soutenait depuis le milieu des années 1970 le droit à l'avortement.

    Le patriarche du clan Kennedy souffrait d'une tumeur au cerveau diagnostiquée en mai 2008.

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    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a loué mercredi "un grand ami d'Israël" en la personne du sénateur américain Ted Kennedy, décédé mardi.

    "Kennedy est un ami depuis trente ans, un grand patriote américain, un grand champion d'un monde meilleur, un grand ami d'Israël", a déclaré le dirigeant israélien à Londres, où il est en déplacement. "Il va cruellement nous manquer", a-t-il ajouté, cité par son porte-parole Mark Regev.

    AFP. 26.08.09

     

     

  • Heurts à Saint-Dizier... Les jeunes veulent en découdre...

    Une trentaine de jeunes se sont opposés à la police et aux pompiers dans la nuit de mardi à mercredi à Saint-Dizier (Haute-Marne), dans le quartier sensible du Vert-Bois, a-t-on appris de sources policières mercredi après-midi.

     
    Appelés pour un incendie de réverbère aux environs de 23h30, les pompiers et policiers "ont été accueillis par plusieurs jets de cailloux", a indiqué Michel Klein, le directeur départemental de la sécurité publique de la Haute-Marne, lors d'une conférence de presse au commissariat de police de la ville, mercredi après-midi.

    "La BAC (brigade anti-criminalité) a appelé l'unité territoriale de quartier et, ensemble, ils sont revenus. Les jeunes les attendaient avec des battes de base-ball", a-t-il poursuivi. "Manifestement, ils étaient là pour en découdre".

    Quelques véhicules ont été "écornés" par les jets de cailloux, dont l'un d'un journaliste local, qui se trouvait sur place.

    Les incidents se sont prolongés jusqu'à 3h30 du matin, lorsque deux véhicules ont été incendiés.

    "Les incidents n'ont toutefois fait aucune victime", a précisé le directeur départemental de la sécurité publique.

    En octobre 2007, le quartier du Vert-Bois avait déjà été le théâtre de violentes échauffourées entre les forces de l'ordre et des jeunes. Une quarantaine de jeunes encagoulés avaient notamment attaqué un fourgon de la brigade anti-criminalité à coup de barres de fer.

    La date du procès, dont l'instruction est désormais close, doit être prochainement fixée, a indiqué une source policière.

    "On est à des années-lumière de ce qui s'est passé à l'époque", a voulu tempérer le sous-préfet de Saint-Dizier, Jean-Guy Mercan, lors de la conférence de presse.

    Une enquête confiée à la police de Saint-Dizier et au SRPJ de Reims est en cours, alors que les forces de l?ordre n?ont pour l?instant procédé à aucune interpellation.

    "Parmi ceux identifiés formellement mardi soir, notamment grâce aux caméras vidéos installées dans le quartier, aucun n'est mis en examen dans le dossier de 2007", a assuré Michel Klein.

    Des dispositions "à titre préventif" seront prises ce mercredi soir, a par ailleurs indiqué le sous-préfet de Saint-Dizier. "45 hommes en plus viennent compléter le dispositif normal", soient 65 CRS et gendarmes mobiles. "On va saturer la zone en policiers", a complété le directeur départemental de la sécurité publique.

    Selon le premier adjoint au maire de la commune, Philippe Bossois, les faits de délinquance ont baissé de moitié dans le quartier du Vert-Bois, depuis 2007.

    "Mais ces derniers jours, nous avons constaté plus de feux de poubelles que d'habitude", a noté Michel Klein, qui n'avance pas de cause particulière à ce regain de violence.

    Dans la nuit de dimanche à lundi, cinq voitures et un scooter avaient déjà été incendiés dans le quartier du Vert-Bois.

    AFP. 26.08.09

    Il vaut mieux se tirer au Cap Nègre!

     

  • Retour Sarközy au Cap Nègre

    Le président de la République Nicolas Sarközy qui avait regagné Paris en début de semaine, est revenu mercredi soir au Cap Nègre, près du Lavandou (Var), a-t-on appris auprès de son entourage.

    Nicolas Sarközy et son épouse Carla Bruni avaient séjourné 25 jours dans la propriété de la famille Bruni-Tedeschi, au bord de la Méditerranée, pour y passer leurs vacances. Ils devraient y rester jusqu'à la fin du mois.

    AFP. 27.08.09

  • Retour de Sarközy au Cap Nègre

    Le président de la République Nicolas Sarközy qui avait regagné Paris en début de semaine, est revenu mercredi soir au Cap Nègre, près du Lavandou (Var), a-t-on appris auprès de son entourage.

    Nicolas Sarközy et son épouse Carla Bruni avaient séjourné 25 jours dans la propriété de la famille Bruni-Tedeschi, au bord de la Méditerranée, pour y passer leurs vacances. Ils devraient y rester jusqu'à la fin du mois.

    AFP. 26.08.09

  • Gaza: désespoir sous le blocus israélien

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    Des Palestiniens assis sur le lieu où des tirs israéliens ont fait trois morts et sept blessés mardi à Rafah, dans la bande de Gaza. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    L'étroite bande de terre dirigée par le Hamas est encerclée par une clôture électrifiée infranchissable. Rien n'entre ni ne sort sans l'accord d'Israël.

    Les cousins Abou Namous vont tous les soirs dans les décombres de leur maison. Assis sur un matelas de mousse, ils fument le narguilé en se passant le tuyau en silence. Derrière eux, les trois étages effondrés de la maison familiale sont empilés les uns sur les autres dans un chaos de béton. Huit mois après la fin de l'offensive israélienne contre le Hamas à Gaza, le petit village d'Izbit Abed Rabbo, sur une colline à l'est du camp de Jabaliya, est toujours un champ de ruines. Des bulldozers ont rassemblé les gravats, mais les habitants n'ont pas pu reconstruire leurs maisons détruites par les soldats israéliens à leur départ. Certains vivent depuis des mois dans des appartements loués dans la ville de Gaza toute proche. D'autres sont installés dans des tentes au milieu des ruines. Il n'y a pas d'argent pour reconstruire. Et surtout pas de matériaux, ciment, fers à béton, moellons, empêchés d'entrer à Gaza par le blocus israélien.

    Alors on fume. Et on attend. «À Gaza, on a l'impression d'être éternellement sur liste d'attente…», dit Kamel Abou Namous. À la nuit tombée, un lampadaire isolé clignote faiblement dans ce décor de fin du monde, puis s'éteint. «Encore une coupure d'électricité. On n'a plus que quelques heures de courant par jour. La centrale n'a pas assez de fuel», ajoute Kamel.

    La nuit, Gaza devient une grande tache noire. De l'autre côté de la clôture qui entoure le territoire palestinien, on distingue parfaitement Israël et les lumières éclatantes de Sderot, la petite ville dont le pilonnage par les roquettes artisanales du Hamas avait provoqué l'opération «Plomb fondu» en janvier dernier.

     

    «Il y a encore dix ans, j'allais travailler là-bas comme peintre en bâtiment», se souvient Kamel. Cette époque est révolue. Gaza est devenu l'un des territoires les plus fermés du monde. Les Israéliens ont édifié autour de cette étroite bande côtière une clôture électrifiée infranchissable, surveillée par des caméras et parcourue par des patrouilles. Les points de passage sont d'étroites portes gardées comme celles d'une prison de haute sécurité : Erez, tenu par Israël, et Rafah, contrôlé par les Égyptiens. Les marchandises entrent par deux points, Kerem Shalom et Karni, au gré d'un blocus tatillon qui organise une pénurie permanente et imprévisible.

    La mer n'offre qu'une illusion de liberté. Sur la plage, des adolescents surfent ou nagent dans les vagues. Mais les pêcheurs qui sortent du port circulaire de Gaza dans leurs barques jaunes ne peuvent pas s'éloigner du rivage sans essuyer les tirs d'un patrouilleur israélien qui va et vient inlassablement sur l'horizon.

    On ne meurt pourtant pas de faim à Gaza ; les Israéliens laissent entrer les produits de première nécessité. Le résultat est une curieuse ambiance de pénurie et de débrouillardise, de misère, de désespoir et d'humour noir. Les ânes et les carioles à cheval sont plus nombreux à Gaza que n'importe où ailleurs au Moyen-Orient...

    Le Figaro - 26 août 2009 

  • La forêt de Paneriai en Lithuanie cache un lieu d'horreur

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    Au Mémorial de Paneriai
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    A tout juste une dizaine de kilomètres du de Vilnius, la magnifique forêt de pins, de chênes et de sapins de Paneriai cache une horreur: ce fut le lieu de la plus grande exécution massive de Juifs en .

    En juillet 1941, quelques semaines après l'invasion de la Lituanie par l'armée du IIIe Reich, plus de 30.000 Juifs y ont été tués et entassés dans de grandes cuves que l'armée soviétique avait creusées un an plus tôt dans cette forêt pour y stocker des carburants.
    "Ils alignaient les gens sur le rebord et, une fois exécutée, la personne tombait dans la fosse", explique à l'AFP l'historien Algis Karosas, directeur du mémorial de Paneriai.
    En Lituanie, la Shoah a été menée avec des à feu. Contrairement à la Lettonie, l'Estonie ou la Pologne, aucun camp de concentration n?avait été construit sur le territoire lituanien.
    Les exécutions à Paneriai ont continué jusqu'au début de 1944. Au total, 70.000 Juifs y ont été assassinés, indique l'inscription sur l'une des nombreuses stèles, rédigée en lituanien, en hébreu et en russe.
    "Les Juifs y ont été exterminés, mais aussi des victimes russes de la guerre, des milliers d'intellectuels polonais, des ecclésiastiques, des résistants. Des personnes de 28 nationalités différentes y ont péri, il y a même eu quelques Français", précise M. Karosas.
    Selon les calculs des historiens, les 10 cuves de 6 mètres de profondeur sur 35 mètres de diamètre ont dû contenir 100.000 cadavres. Mais il reste impossible de chiffrer exactement le nombre de victimes, car les nazis ont cherché à masquer leurs exactions.
    "Vers la fin de la guerre, en 1944, ils ont déterrés et brûlé les cadavres. Mais ils n'ont pas réussi à cacher toutes les traces. Les habitants des alentours ont été témoins", raconte M. Karosas.
    Une partie de la population locale a été impliquée, plus ou moins volontairement, dans ces massacres organisés par les Einsatzkommando allemands.
    Après la guerre, quelque 8.000 personnes ont été jugées en Lituanie pour collaboration avec les nazis, dont ceux qui avaient participé à l?extermination des Juifs. Quelques dizaines ont été condamnés à la peine de mort.
    Mais le travail de mémoire a été long, car l'Union soviétique a passé ces crimes sous silence. "On ne parlait que de l'extermination de citoyens soviétiques, et non de Juifs", explique Arvydas Anusauskas, parlementaire et historien.
    Aujourd'hui, seul le passage des longs trains de marchandises trouble la tranquillité du lieu.
    "Je savais ce qui s'était passé ici. Mais quand je vois les photos de ces enfants attendant d'être tués, je ne peux plus les regarder", confie à l'AFP Romas Guigo, auteur de l'exposition à l'intérieur du mémorial.
    "Les gens savent ce qui s'est passé, mais en ont-ils vraiment conscience? Les néonazis dessinent encore des croix gammées sur la porte du siège de notre communauté", déclare Simonas Gurevicius, directeur exécutif de la communauté juive de Lituanie.
    Appelée jadis la Jérusalem du Nord pour l'intensité de sa vie juive, Vilnius a vu naître de grands courants ou institutions qui ont marqué notre temps, comme le Bund, mouvement socialiste juif. Toute cette culture a disparu quand les nazis ont exterminé 90% des 220.000 Juifs qui vivaient en Lituanie avant la Seconde guerre mondiale.

    Vingt ans après le retour de ce pays balte à l'indépendance, la question de la restitution des biens juifs assombrit les relations entre l'Etat lituanien et la communauté juive.
    Une solution est toutefois en vue pour les biens communautaires. Le parlement doit examiner cet automne un projet de loi qui prévoit de verser à la communauté juive une compensation de 128 millions de litas (37 millions d'euros), soit un tiers de la valeur estimée des bâtiments qui lui appartenaient autrefois.
    Le Parisien - 26.08.09

     

  • VIDEO Génocide caché et immigration de remplacement

    http://www.youtube.com/watch?v=384w9Nmg9_w

    Un rare moment de vérité non censurée à la télévision française. Il faut dire que l'émission était en direct, donc c'est plus difficile de tout censurer, même avec des invités choisis, mais qui parfois se contrôlent moins.

    Michel Godet est professeur au Conservatoire national des arts et métiers, titulaire de la chaire de prospective stratégique et auteur d'ouvrages économiques sur le travail ou l'évolution démographique. Il a écrit "La famille une affaire privée et publique", avec Evelyne Sullerot, Poche, la documentation française 2007.
    Il révèle la composition (interdite de publication) du fameux taux de fécondité à 2 enfants par femme en France dont on nous rebat les oreilles (taux qui de toutes les façons ne serait pas suffisant puisquil doit être au minimum de 2,1 pour renouveler les générations).

    Dans ce génocide par substitution de population, un élément important est le virus du Syndrome d'ImmunoDéficience Acquise (SIDA) mental que l'on a réussi à mettre dans le cerveau de beaucoup d'Européens et qui les amènent à vouloir avoir beaucoup moins denfants que le minimum requis pour maintenir l'existence de leur propre lignée et de leur peuple :
    "Nous pénétrerons dans ton âme, dans ton inconscient et nous te ferons vouloir ce que nous voulons que tu veuilles." [Analyse des manipulations par Sergueï Kara-Mourza. Dans La Manipulation de la conscience"]

     

     

  • Mensonges sur la natalité française

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    PARIS (NOVOpress) – L’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) vient de publier les chiffres 2008 de la natalité en France. L’année dernière, 828 404 naissances ont été enregistrées en France (dont 32 400 dans les départements d’Outre-mer). Soit une hausse de la natalité de 1,2 % par rapport à 2007.

    L’immigration pèse de tout son poids dans cette progression. Les enfants issus d’au moins un parent étranger représentaient 8% des naissances en 1998, mais désormais au moins 12, 7%. Tandis que les enfants nés dans un ménage aux deux parents étrangers se situe autour de 6,9%. Ainsi, un enfant sur cinq a des racines en partie étrangères. Chiffre sous-évalué si l’on tient compte des parents d’origine extra-européenne ayant obtenu récemment et massivement la nationalité française.

    Par ailleurs, avec un taux de fécondité de 2,07 enfants par femme, la France est toujours un pays qui se meurt, puisque le taux de renouvellement des générations est estimé à 2,1 enfant par femme, tandis que plus de 200 000 avortements sont pratiqués chaque année dans l’Hexagone. Autre mauvaise nouvelle : plus de la moitié des enfants naissent hors mariage (52 %, soit 10 % de plus qu’en 1998), signe du délitement de la cellule de base de la société.

    *** Pour la démographie européenne voir Novopress ici.

    Novopress info - 25.08.09

     

  • Preuves de trafic d'organes en Israël

    Israël trafic d'organes corps à la morgue.jpg
    A la morgue d'Abu Kabir
    Les responsables politiques israéliens fonctionnent désormais en mode panique. Après les accusations justifiées de crimes de guerre et crimes contre l'humanité commis à Gaza lors de l' Opération Plomb Durci, les 1000 plaintes déposées contre la soldatesque sioniste dans des tribunaux européens, cette affaire de vol et trafic d'organes pousse le régime sioniste à des réactions hystériques. Israël est connu comme un pays très actif dans le trafic international d'organes. Le système national de santé rembourse tout ou partie des transplantations, incluses celles majoritairement faites à l 'étranger, légales ou non.
    * * *
    "Si vous voulez des preuves du trafic d’organes pratiqué dans l’entité sioniste, en voilà. Et qu’on ne m’accuse pas d’antisémitisme puisque, selon les termes de cet article, les victimes des vols d’organes sont des soldats de l’armée sioniste.
     
    Mais pas seulement, même si l’article ne s’intéresse qu’aux dépouilles des terroristes en uniformes de l’Etat juif et certainement pas à celles des Palestiniens, ces animaux à deux pattes.

    Car à qui fera-t-on croire qu’on a pu prélever et stocker des milliers d’organes issus de soldats sionistes décédés ?
    L’article date de 2002, soit deux années après le retrait des troupes sionistes du sud Liban ; retrait au cours duquel

    l’armée sioniste n’aurait essuyé aucune perte

     Alors d’où viennent ces milliers d’organes si ce n’est des corps des Palestiniens assassinés par l’armée la plus morale du monde ?

    Et ne croyons surtout pas que les enquêtes mentionnées dans l'article ont interrompu le trafic d'organes. Il l'a probablement simplement limité aux dépouilles mortelles des Palestiniens."

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    Abu Kabir exploite un stock d’organes
    Publication: Israel Faxx, 4 janvier 2002
    By IsraelNationalNews.com, traduit de l’anglais par Djazaïri

     
    Le procureur général de l’Etat, Elyakim Rubinstein, a ordonné à la police de lancer une enquête contre le professeur Yehuda Hiss, doyen national des pathologistes et directeur de l’Institut Médico-Légal d’Abu Kabir.

    Hiss est l’objet d’une longue liste d’accusations depuis un comportement inapproprié en tant que professionnel médical à des actes criminels comme la vente illégale et des transactions d’organes et de parties du corps, l’ablation d’organes de personnes décédées sans consentement et de donner un état inexact des organes présents dans le corps restitué.

    Dans certains cas, les allégations à l’encontre de Hiss comprennent le prélèvement d’organes sans consentement, le remplacement des organes par le centre cartonné des rouleaux de papier hygiénique et des tiges métalliques pour combler les vides dans le corps et dissimuler le vol des organes.
    Une perquisition effectuée à l’institut a découvert d’importants stocks d’organes prélevés illégalement sur des cadavres. Ces dernières années, il s’avère que les dirigeants de l’institut ont donné des milliers d’organes à la recherche sans y être autorisés, tout en entretenant un stock d’organes à Abu Kabir.
    Des organes appartenant à des soldats tués en diverses circonstances ont été découverts à l’institut pendant une perquisition surprise cette semaine. Après consultation avec l’aumônier en chef, le général de brigade Rabbi Yisrael Weiss, il a été décidé, en accord avec les familles endeuillées, que les tombes seraient ouvertes et les organes enterrés avec les restes de chaque soldat concerné.
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    Sachez que le bon Dr Yehuda Hiss a été lourdement sanctionné puisqu'il a été... réprimandé.
    f
    Merci à Joachim Martillo et à son blog Ethnic Ashkenazim qui m’a permis de découvrir cette information
    Alter Info -25.08.09
  • Le petit chien Mambo va mieux

    Chien mambo brûlé.jpg
    Mambo est bien soigné
    Nous vous relations le martyre enduré par Mambo, un chien abandonné, qui avait été aspergé d'essence par deux "jeunes" le 10 août à Espira-de-l'Agly, village des Pyrénées-Orientales. La pauvre bête avait alors été brûlée au troisième degré sur 40% de son corps.
     
    Et maintenant, comment va-t-il Jointe mercredi matin, la présidente de la SPA ,Virginie Pocq Saint-Jean, venait de recevoir le dernier bulletin de santé concernant
    Mambo. Après plusieurs jours extrêmement critiques du fait de l'étendue de ses brûlures, il semblerait que le petit chien aille mieux. Le vétérinaire, un ancien du service des grands brûlés de l'école vétérinaire de Maison-Alfort, en charge de la petite bête parle de "bonne récupération". "La douleur et les soins sont très bien gérés", est-il encore écrit sur le compte-rendu. Les plaies de Mambo sont en voie de cicatrisation, il mange bien et il n'a pas peur... Mambo devrait toutefois garder de graves séquelles de ce calvaire, parmi lesquelles une très forte sensibilité aux coups de soleil. Mais il ne serait plus question d'euthanasier le chien. "Il s'est battu, il en veut", se félicite Virginie Pocq Saint-Jean.
     
    La présidente de la SPA remercie tous ceux qui ont proposé d'adopter l'animal. Elle rappelle que le meilleur moyen de les aider est de ne pas les abandonner. "Ceux qui l'ont laissé sur une aire d'autoroute ou ailleurs sont aussi coupables que ceux qui l'ont brûlé", dit-elle, toujours en colère. Et d'espérer que ce drame vécu par
    Mambo soit exemplaire.
    Le parisien - 26.08.09

  • Kouchner: "fariboles!"

    Bernard Kouchner n'est pas écouté en Iran....jpg
    Un mauvais  diplomate, mais un bon...

    Visiblement énervé par les déclarations de l'ambassadeur d' à , qui accuse Clotilde Reiss d'avoir espionné les activités nucléaires iraniennes, est vite monté au créneau, au micro d'Europe 1.

     «Arrêtez de penser que l'ambassadeur d'Iran est la justice iranienne. Ce monsieur a parlé, il a tort de le faire d'ailleurs, parce que ce qu'il dit est faux», a déclaré avec vigueur le ministre français des Affaires étrangères. «Nous l'avons reçu, convoqué plusieurs fois», a-t-il ajouté.

    La Française de 24 ans a été arrêtée en Iran le 1er juillet, et Paris a obtenu le 16 août sa libération sous caution pour résider à l'ambassade de France dans l'attente d'un jugement.

    L'ambassadeur, Medhi Miraboutalebi, justifiait ses soupçons en expliquant que Clotilde Reiss avait effectué avant son séjour en Iran, un stage au Commissariat à l'énergie atomique français et qu'elle avait rédigé un mémoire sur le nucléaire iranien. «Pourquoi va-t-elle à Ispahan (comme lectrice de français, ndlr), la région où sont précisément installés nos centres d'enrichissement d'uranium ?», s'est-il interrogé dans son entretien au Parisien.

    Bernard Kouchner a alors qualifié toutes ces accusations de «fariboles». Il a répété «craindre» qu'il faille attendre «quelques jours voire quelques semaines» le jugement de Clotilde Reiss par la justice iranienne qui pourrait ouvrir la voie à son rapatriement en France. «Le dialogue est difficile» d'une manière générale avec les Iraniens, a-t-il encore souligné. «Je téléphone toutes les semaines en Iran à mon homologue. Est-ce que cela sert à quelque chose ? Non, non et non», a-t-il conclu.

    Le Parisien - 25 août 2009