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  • Un jeune détenu accueilli à l'Assemblée nationale pour préparer sa réinsertion

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    Jean-Christophe Lagarde et Sofiane (D)

    « Il y a quelques heures, j’étais dans ma cellule. Et là, je suis à l’Assemblée nationale, avec un député. Je suis fier. Cette journée restera gravée en moi. » Hier, pendant plus de deux heures, Sofiane*, un jeune de 17 ans actuellement incarcéré à la maison d’arrêt de Villepinte, a visité le Palais-Bourbon, sous la houlette du député-maire (Nouveau Centre) de Drancy, Jean-Christophe Lagarde.

    Une première en France, organisée par la maison d’arrêt de Villepinte en partenariat avec la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) et l’Education nationale.
    « Sofiane est le premier détenu français accueilli à l’Assemblée, indique Mehdi, le surveillant pénitentiaire qui l’accompagne. Notre objectif est de rapprocher le détenu des institutions et de la citoyenneté. C’est une façon de préparer sa réinsertion. » Les cours d’instruction civique dispensés en prison ont déjà porté leurs fruits. Sofiane, qui doit sortir dans deux jours, ne perd pas un mot des explications de Jean-Christophe Lagarde. La visite de l’hémicycle retient toute son attention. « C’est petit, s’étonne-t-il. J’ai déjà regardé des séances à la télé. Ça avait l’air plus haut de plafond. »

    Le député sourit et l’invite à s’assoir sur l’un des sièges. « L’hémicycle, c’est la partie la plus ancienne de l’Assemblée. Les tentures au-dessus de toi datent de Napoléon Bonaparte. » Il lui montre ensuite les boutons avec lesquels les députés votent. Très concentré, Sofiane interroge : « Comment on fait une loi ? » « C’est la droite qui a le pouvoir à l’Assemblée ? » « Et les communistes, quand ils ont manifesté à l’Assemblée, c’était comment ? » Le député, ravi, se prête au jeu : « Les communistes, c’était du cinéma. A l’Assemblée, il y a les braillards. On les connaît. »


    Très vite, la discussion dévie sur la politique. Le jeune homme évoque les retraites, les manifestations des lycéens et la pénurie d’essence. Claire, l’éducatrice PJJ, et Emmanuelle, l’enseignante, sourient : « Il s’intéresse à beaucoup de choses. Il a tout de suite dit oui quand on lui a proposé de venir ici. »
    Sofiane découvre la salle de conférences, la magnifique bibliothèque et ses 800 000 ouvrages, la poste et ses 100 000 lettres par jour, la buvette et sa vue sur le jardin privé de l’Assemblée... « C’est l’équivalent d’une ville de 3000 habitants », précise le député.


    Il est midi et demi, l’heure du retour en cellule approche. Sofiane tire un premier bilan : « Pour moi, la loi, c’était que pour enfermer les gens. Mais il y a d’autres lois et elles servent à tout le monde. » « Le but, c’est de les respecter pour qu’on vive ensemble », rebondit Jean-Christophe Lagarde, qui l’invite à revenir avec lui dans quelques mois pour assister à une séance. « Avec grand plaisir ! »
    * Le prénom a été changé.

    Le Parisien - 19/10/10

     

  • Hallucinant: le mannequin de Sharon dans le coma exposé dans une galerie de Tel Aviv

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    (Cliquez sur la photo)

    Une exposition qui s'ouvre cette semaine à Tel Aviv présente un mannequin grandeur nature de l'ex-Premier ministre israélien Ariel Sharon dans le coma afin d'illustrer la situation politique d'Israël.

    L'installation de l'artiste israélien Noam Braslavsky montre une représentation d'Ariel Sharon, dans le coma depuis janvier 2006, allongé sur un lit d'hôpital avec une perfusion dans une pièce vide d'une galerie d'art, les yeux ouverts, son ventre rebondi se soulevant au rythme de sa respiration.

    "Cette homme n'est pas simplement un individu. Il a une énorme influence sur la vie de quiconque habite dans ce pays", a expliqué à l'AFP M. Braslavsky.

    "Au milieu de son virage politique, il est sorti de la route", estime l'artiste, qui vit à Berlin.

    Considéré comme un faucon, accusé de crimes de guerre par les Palestiniens, l'ancien général Sharon est devenu l'un des chefs de la droite nationaliste avant de provoquer la colère de son camp en retirant unilatéralement l'armée et les colons israéliens de la bande de Gaza en 2005.

     "Le corps de Sharon respirant encore est une allégorie du corps politique israélien, une existence dépendante et sous assistance, perpétuée artificiellement", écrit le commissaire de l'exposition Joshua Simon dans son introduction.

    L'ancien Premier ministre doit être prochainement transféré dans sa ferme du sud d'Israël, où l'appareillage médical pour le maintien de ses fonctions vitales a déjà été installé, selon les médias israéliens.

    AFP. 19/10/10

     

  • Flux migratoires: Michèle Alliot-Marie estime que la législation française doit favoriser les Algériens

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    MAM à Alger - (Cliquez sur la photo)

    La ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, a déclaré mardi 19 sur Europe 1 qu'il y a eu "une volonté de repartir de l'avant entre Paris et Alger", après une visite de 24 heures en Algérie. "C'est le début d'un nouvel élan. Les liens entre les deux pays sont indissolubles", a indiqué la garde des Sceaux. "Le grand défi des dix ou vingt ans à venir, c'est de savoir si l'Europe et la Méditerranée seront capables d'être des concurrents à égalité avec la Chine, le Brésil, l'Inde...", a-t-elle précisé.

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    Michèle Alliot-Marie, ministre française de la Justice, estime que la circulation des personnes entre la France et l'Algérie devrait être facilitée pour les Algériens. Elle attend, en retour, une pleine coopération en matière d'immigration clandestine.

    La France est prête à des avancées sur la législation sur la circulation des personnes, parce que celle-ci n'est plus avantageuse pour les Algériens, a déclaré la ministre de la Justice Michèle Alliot-Marie, attendue dimanche à Alger pour une visite de deux jours.

    Dans un entretien publié dimanche par le quotidien algérien El-Watan, la ministre rappelle que l'accord de 1968 sur cette question a « déjà été amendé à trois reprises ». « Le droit commun a tellement progressé, que, sur certains points, le droit applicable aux Algériens qui devait être plus avantageux, est en réalité moins favorable », a-t-elle noté. « Nous souhaitons que l'Algérie continue à bénéficier d'un régime spécial, plus favorable, ajoute-t-elle. La France est prête à ces avancées. »

    Mais elle a aussitôt indiqué que son pays avait « aussi des attentes, par exemple en matière de lutte contre l'immigration illégale ». Mme Alliot-Marie a également demandé « une véritable réciprocité entre le régime applicable aux citoyens algériens en France et celui applicable aux citoyens français en Algérie ».

    Un "nouveau rythme" dans la relation franco-algérienne

    Interrogée sur les problèmes de gardes d'enfants dans des couples mixtes séparés, la ministre a fait état d'« une quarantaine de cas ». « Le cadre conventionnel en vigueur n'est manifestement pas satisfaisant », a-t-elle estimé.

    En ce qui concerne le non-lieu décrété le 31 août pour le diplomate Mohamed Ziane Hasseni dans l'assassinat de l'opposant algérien Ali Mecili, Mme Alliot-Marie a déclaré que « l'enquête se poursuivait sur d'autres pistes ». Et sur l'affaire des sept moines de Tibéhirine, la ministre a rappelé que « les autorités algériennes coopéraient avec les magistrats français dans le cadre de commissions rogatoires internationales ».

    La garde des Sceaux, déjà venue en Algérie en tant que ministre de la Défense, puis de l'Intérieur, a estimé que « la relation entre la France et l'Algérie était sur le point d'entrer dans un nouveau rythme ».

    Coopération et investissements

    Dans le domaine judiciaire dont elle est chargée, « depuis 2005, la coopération est dense et active» dans ses deux volets juridique et judiciaire, a-t-elle déclaré.

    Mme Alliot-Marie a évoqué des jumelages de cours d'appels françaises et algériennes « d'une ampleur unique au monde ». Et pour ce qui est de l'entraide judiciaire aux particuliers et aux entreprises, « je souhaite encore l'accentuer », a-t-elle dit.

    Son homologue Tayeb Belaiz avait déclaré jeudi à l'Assemblée nationale algérienne que « la coopération judiciaire et juridique entre Alger et Paris avait donné des résultats probants ». Il l'avait qualifiée d'« excellente », notamment dans son volet de formation des magistrats.

    La visite de Mme Alliot-Marie à Alger suit celle de la secrétaire d'État chargée du Commerce extérieur, Anne-Marie Idrac, le 19 septembre, et précède celle, prévue fin novembre, de l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. Ce dernier est chargé par le président Nicolas Sarkozy de faciliter et de développer les investissements bilatéraux.

    Jeune Afrique - 17/10/10

    Il n'y en pas assez, elle en veut encore davantage!

  • 51: BRAVO à Orion!

    Le 51 était bien la Comtesse de Ségur, née Sophie Rostopchine (1799-1874). Ce portrait a été peint en 1823: elle avait donc 24 ans.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Comtesse_de_S%C3%A9gur

    Orion est le seul ou la seule à avoir trouvé la bonne réponse: félicitations!

    Indice pour le 49: il sut enchanter les enfants et aussi les grandes personnes! Il est très connu encore de nos jours, du moins je l'espère!

    Indice pour le 50: il fut l'amant d'une femme insatiable! Et il possède un point commun avec la comtesse de Ségur!

    Vous allez les identifier! Cherchez et vous trouverez: c'est facile!

    Merci de jouer à Qui est-ce?

     

  • La ville de Lyon mise à feu et à sac

    Communiqué de presse du Groupe Front National

    Depuis hier, de nombreuses villes sont mises à feu et à sac par des casseurs de tous bords, généralement des bandes constituées sur la base d’affinités ethniques.

    Lyon n’y a pas échappé. De nombreux magasins ont été pillés et saccagés, des voitures dégradées, des passants du centre-ville agressés et molestés.

    Ceci fait suite aux très violents « casses » à l’arme de guerre qui ont eu lieu récemment.

    Une fois de plus, la politique des « mesurettes » de Nicolas Sarkozy et de Brice Hortefeux a donc montrée son inefficacité totale. La population lyonnaise se rend amèrement compte du fait qu’ils poursuivent des objectifs médiatiques et électoraux, et sont incapables de s’attaquer au fond du problème.

    Le Front National dénonce également l’échec de la « politique de la ville » des partis de gauche et de droite réunis. Durant des années, ceux-ci ont préféré acheter une paix civile instable dans les quartiers plutôt que de s‘attaquer aux vrais problèmes d’insécurité. Cette lâcheté à un prix : celui de l’actuelle violence, qui n’en est hélas qu’à ses débuts, et que seules peuvent conjurer les mesures énergiques et cohérentes que nous préconisons.

    Bruno Gollnisch, Président du Groupe FN, député européen
    Christophe Boudot, Conseiller régional, secrétaire départemental FN du Rhône

    NPI - 19/10/10

  • VIDEO Un musulman somalien danse sur l'autel de la cathédrale de Florence

    http://www.youtube.com/watch?v=afT0PTVYOeg

    Un homme de nationalité somalienne, réfugié politique, a atteint ce matin l’autel de la cathédrale de Florence, il y est monté dessus. Puis il s’est lancé dans une forme de danse rituelle. L’étranger a échappé à la vigilance des gardiens de la Cathédrale, il a été arrêté par les carabiniers.

    Les militaires l’ont confié aux pompiers, puis il a été mené dans la caserne du commandement provincial. L’homme ne parlait pas italien mais il a aussi prié en arabe dans les bureaux de la police où se sont déroulés les vérifications. Aux carabiniers il aurait dit habiter dans un pays de la Scandinavie.

    [...]

    Extrait du journal italien La Repubblica Firenze du 11 octobre 2010

    NPI - 19/10/10

  • 46: enfin trouvé! - 49-50-51: Qui est-ce?

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    *****

    Le 46 était Sir Laurence OLIVIER  (1907-1989) .

    Bravo à tous ceux et celles qui l'ont identifié!

    Et merci d'avoir été persévérants et d'avoir joué jusqu'au bout!

    Voici trois nouvelles "énigmes", tous sont célèbres et connnus!

     

     

     

  • 48 - BRAVO pour BOGOMIR!

    48 - Isabelle 1ère de Castille, dit Isabelle la Catholique (1451-1504)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Isabelle_Ire_de_Castille

    Son procès en béatification a été suspendu en raison de "pressions" sur le Vatican.

    BOGOMIR est le seul à l'avoir identifiée: toutes mes félicitations!

    (Indice pour le 46: il s'agit d'un grand acteur anglais, au théâtre comme au cinéma, qui fut anobli).

    Bon courage!

  • A Versailles, le couvert est à nouveau dressé dans l'antichambre de la Reine

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Au Château de Versailles, la table du Roi est à nouveau mise dans l'antichambre du Grand couvert de la Reine, dont les peintures et le plafond ont été entièrement  restaurés.

     

    L'idée est de recréer l'atmosphère du "Grand couvert", ce souper que le Roi prenait en public avec sa famille, explique à l'AFP Béatrix Saule, directrice générale du musée et du domaine national de Versailles.

    Dans l'antichambre du Grand Couvert de la Reine, qui rouvre lundi au public après une restauration de dix-huit mois, une table est dressée et un service en argent du XVIIIème semble prêt à accueillir soupes et potages royaux.

    "Nous voulons faire comprendre au public la fonction des pièces des appartements royaux et lui rappeler que Versailles était avant tout un lieu de pouvoir", indique Mme Saule, conservateur général du patrimoine.

    Le rituel du Grand couvert a été instauré de façon quotidienne par Louis XIV, comme une manifestation de sa souveraineté.

    Ce souper, qui avait lieu à 22 heures et durait trois-quarts d'heure, se déroulait en public. Tout le monde pouvait y assister à condition d'être correctement habillé, indique Mme Saule.

    A la table du Roi, ne pouvaient s'asseoir que la Reine, les enfants et les petits-enfants du souverain. Au premier rang de l'assistance, des tabourets étaient disposés pour les duchesses. Le reste des courtisans se tenait debout.

    Le "Grand Couvert" s'est déroulé dans cette antichambre à partir du mariage de Louis XV en 1725 et jusqu'à la Révolution en 1789, précise Mme Saule.

    Au début, Louis XV observe ce rituel de façon quotidienne puis il l'espace peu à peu car cela l'ennuie. Louis XVI ne l'apprécie pas non plus et encore moins Marie-Antoinette qui se contente de passer.

    L'antichambre du Grand Couvert, qui était à l'origine la salle des gardes de la Reine, est dédiée à Mars, le dieu de la guerre. Charles Le Brun, premier peintre de Louis XIV, a été le maître d'oeuvre de ce décor, réalisé sous sa supervision.

    Les peintures du plafond, qui étaient en très mauvais état, ont été restaurées grâce au mécénat de la société Martell (cognac). Le Mobilier national a fourni une tapisserie.

    Le musée du Louvre a prêté la vaisselle en argent qui provient en réalité de George III d'Angleterre. Mais ce service a été réalisé par l'orfèvre français qui avait fabriqué auparavant le même pour Louis XVI, indique Mme Saule.

    AFP. 18/10/10

     

     

     

  • Scènes de guérilla urbaine aux portes de Paris - le gouvernement laisse la situation dégénérer

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    Les nouveaux lycéens...

    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Le préfet Patrick Strzoda a évoqué "des scènes de guérilla urbaine initiées par 250 casseurs, et non des lycéens, qui ont agressé violemment les forces de l'ordre", sans blesser personne.

    Vers 08H00, peu avant les cours, plusieurs centaines de jeunes se massent devant les grilles gardées par des médiateurs, deux élus locaux, des professeurs, des parents, et 15 gendarmes mobiles lourdement équipés.

    Les enseignants tentent d'écarter des jeunes encagoulés qui essaient de forcer le passage, mais ils doivent finalement fermer les grilles.

    "On avait réussi à temporiser mais là, nous sommes complètement dépassés, c'est du jamais vu à Nanterre", se désole Jean-François Voisin, directeur de la tranquillité publique à la mairie.

    Les forces de l'ordre se replient sous les pierres et les insultes, alors que des adultes essaient de s'interposer sur l'avenue Joliot-Curie coupée à la circulation.

    La situation dégénère: une soixantaine de gendarmes, casqués et boucliers levés, font face aux manifestants qui enflamment des poubelles et hurlent: "Police, on t'encule".

    "On est un mouvement pacifique, mais ils nous ont provoqués. Comment on devrait réagir?", tente de justifier Adrien, dont seuls les yeux bleus irrités par les gaz dépassent de sa cagoule.

    Des panneaux de signalisation arrachés servent de massue pour défoncer le reste du mobilier urbain: cabines téléphoniques, abribus, barrières de chantier, tout y passe.

    Une première voiture est renversée au milieu de l'avenue. Incendiée, elle explose rapidement. Cinq autres véhicules finiront dans les flammes et une fumée noire pestilentielle.

    Le face-à-face dure toute la matinée. Mètre par mètre, les forces de l'ordre reprennent l'avenue en tentant d'éviter le contact direct. Plusieurs dizaines de grenades lacrymogènes et quelques tirs de balles en caoutchouc retentissent.

    Sarah, en classe de première, dit avoir été touchée par une balle en caoutchouc et exhibe fièrement un hématome au mollet récolté après une énième charge policière, lorsque "les condés tiraient sur tout le monde!"

    Les jeunes bifurquent sur l'avenue Pablo Picasso menant à la cité éponyme, provoquant l'inquiétude car la sortie des classes maternelles et primaires approche. Une vingtaine de tout-petits seront coincés jusqu'en début d'après-midi au proche théâtre des Amandiers, où ils assistaient à un spectacle.

    Au bord de la route, des lycéens se racontent leurs exploits d'une voix surexcitée, d'autres filment l'affrontement avec leurs téléphones portables.

    Peu avant midi, une vieille dame en tchador arrive en hurlant: c'est sa voiture qui se consume au milieu de l'avenue Picasso. Ses hurlements calment les plus excités. Samy, 15 ans, "dégoûté" par la scène, s'énerve: "C'est vraiment des sauvages. Ils crament des voitures de gens qui n'ont rien à voir avec tout ça".

    Vers 12H30, le calme revient. Les jeunes se dispersent lentement, laissant derrière eux un spectacle de désolation et des adultes médusés. Une cinquantaine de casseurs ira encore au centre commercial du quartier d'affaires voisin de la Défense, armés de barres de fer, sans faire de dégât. Au final, selon la préfecture, deux jeunes ont été interpellés.

    AFP. 18/10/10

  • VIDEO Lapsus... Hortefeux parle d'empreinte génitales!

    http://www.dailymotion.com/video/xf8zfj_lapsus-hortefeux-parle-d-empreintes_news

    LE POST - 17/10/10

  • Des S 300 pour l'Iran

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    (Cliquez sur la photo)

    Suite aux pressions internationales, Moscou avait annulé la vente de missiles d’interception S 300 à Téhéran et avait remboursé le dépôt de 168 millions de dollars aux Iraniens. Il semble que cette transaction se concrétise par le truchement du Venezuela qui les achètera à Moscou pour les transférer ensuite en Iran.

    (Source Debkafile) Lors de sa visite officielle à Moscou jeudi 14 octobre, le dirigeant vénézuélien Hugo Chavez a informé son homologue russe Dimitri Medvedev qu’il achètera les missiles sophistiqués S 300 que la Russie a refusé de remettre à Téhéran. En fin de semaine, Israël a alerté d’urgence Washington pour que l’Administration américaine interfère auprès de Moscou afin de bloquer cette transaction parce qu’il est clair que Chavez remettra ces missiles russes aux Iraniens. Il est peu probable que Washington puisse empêcher l’acquisition de ces missiles et leur transfert en Iran.

    L’arrivée de ces missiles S 300 rendra très difficile toute raid aérien ou toute attaque sur les installations nucléaires iraniennes et risque d’infliger de lourdes pertes aux forces attaquantes.

    ISRAEL 7. com - 17/10/10

  • Marseille: des dizaines de"jeunes" arrachent les colliers en or en plein centre ville

    Le phénomène semble s’amplifier depuis plusieurs semaines dans les rues de Marseille (Bouches-du-Rhône). Des dizaines de jeunes se livrent, chaque jour, à de violentes agressions sur des femmes portant des colliers en or. Les voleurs, attirés par le cours du métal fin—de l’ordre de 30 € le gramme —, multiplient les agressions dans le centre ville de la cité phocéenne, avant de revendre rapidement leur butin à des receleurs, en échange de plusieurs centaines d’euros.

     Les services de police et la justice, souvent désarmés face au jeune âge des malfrats, tirent aujourd’hui la sonnette d’alarme.

    Les voleurs agissent en duo

    « On recense entre un à trois arrachages de colliers par jour à Marseille, assure une source policière. Le secteur le plus prisé est le centre-ville. Le week-end, les vols se multiplient dans des rues bondées. Les voleurs agissent souvent à deux : un premier s’empare du collier tandis que le second, à scooter, récupère son complice avant de prendre la fuite »

    «C’est un vrai fléau ! dénonce, de son côté, Jacques Dallest, le procureur de Marseille. Nous avons engagé une politique pénale musclée pour sévir contre ce type de fait, particulièrement traumatisant. Les auteurs, mineurs comme majeurs, sont systématiquement déférés et des réquisitions de prison ferme sont prises lorsque l’âge des mis en cause le permet. »


    Mais les vols n’en finissent pas. «Une réflexion est menée sur les circuits d’écoulement de ces bijoux volés, relate un proche du dossier. Si l’on parvient à identifier les receleurs, qui ont probablement, pour certains, pignon sur rue, on pourra réguler le phénomène. » Marseille est particulièrement touché mais d’autres grandes villes commencent à être concernées. Récemment à Paris et en banlieue parisienne, plusieurs vols à l’arraché de colliers ont en effet été recensés.

    Le Parisien - 17/10/10

  • Mortelle cueillette

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    Amanites phalloïdes - (Cliquez sur les photos)

     En cette saison de recherche de girolles et de cèpes dans les sous-bois, qui a commencé en septembre et finira en novembre, les autorités sanitaires lancent une alerte sur le nombre important d’accidents de santé graves survenus depuis septembre.

    Une femme de 68 ans est décédée à Vannes après avoir mangé une amanite phalloïde.

      Elle a été hospitalisée pour une hépatite fulgurante le 24 septembre, qui n’a pas pu être guérie. Cette femme, qui avait l’habitude de récolter des champignons, l’aurait confondue avec des bolets ou des rosés-des-prés. «En tout, seize personnes ont été gravement malades suite à l’ingestion de ce champignon, l’amanite phalloïde, depuis septembre 2010», indique Frédéric de Bels, responsable de l’unité surveillance des intoxications à l’Institut de veille sanitaire.
    En Ile-de-France, un jeune homme de 25 ans a été hospitalisé en urgence après en avoir mangé. Ces complications nécessitent parfois des interventions hospitalières lourdes, pouvant aller jusqu’à la greffe de foie, qui a dû être réalisée à quatre reprises depuis septembre. L’amanite phalloïde n’est pas seule en cause. «Onze autres empoisonnements ont été provoqués par différents champignons depuis septembre dernier : des amanites tue mouches, des inocybes et des clitocybes » ajoute l’Institut de veille sanitaire.
    Ces problèmes ont eu lieu en région Centre, Pays de la Loire, Ile-de- France et Rhône-Alpes. Selon les autorités sanitaires, « ces intoxications sont plus fréquentes en 2010 car il s’agit d’une année à champignons, ce qui ne s’était pas produit depuis 2006 ». La récolte des champignons est une pratique de plus en plus populaire, qui ne concerne plus seulement certains paysans qui ont trouvé un coin en or et le gardent secret jalousement. « C’est une pratique à la mode, qui se démocratise, mais il ne faut pas oublier de demander l’avis à des personnes au savoir éprouvé avant de les consommer », conclut Frédéric de Bels.

     Le Parisien - 17/10/10

  • Retraites: "les Français ne baisseront pas les bras" prévient le PCF

    Dans un communiqué, le PCF éreinte le ministre du Travail, Eric Woerth, qui a évoqué samedi une "baisse significative de manifestants contre son projet".

    "L'homme habitué à jongler avec des millions pour ses amis de la finance ne sait plus compter quand il s'agit de millions de manifestants ! Il est certain que les zéros sont plus nombreux sur les chèques qu'il signe pour Madame Bettencourt au nom du bouclier fiscal", écrit le parti.

    "Au lieu de jouer au commentateur, M. Woerth ferait mieux de faire son travail : retirer son projet et rouvrir la discussion avec les syndicats sur de nouvelles bases", lui conseille le PCF, avant de le prévenir: "les Français-e-s sont déterminé-e-s, ils ne baisseront pas les bras face à l'arrogance de ce gouvernement qui veut lui imposer cette reforme injuste et inefficace".

    AFP. 17/10/10

  • Marine Le Pen dénonce les syndicats complices du système

    Les manifestations des dernières semaines "sont encadrées par des syndicats que je considère comme les complices du système", a affirmé la vice-présidente du Front national, présente à Toulouse dans le cadre de la campagne interne pour la présidence du parti.

    "Ils ont en réalité accompagné l'ensemble des mesures à l'origine des délocalisations et de l'augmentation du chômage" ayant abouti à la remise en cause de "toute la protection sociale", a-t-elle déclaré, citant le traité de Lisbonne ou l'ouverture totale des frontières.

    "Ils ne se sont jamais élevés contre cela et aujourd'hui ils pleurent sur le lait renversé", a-t-elle martelé, rappelant que le FN jugeait le projet de réforme "profondément injuste et totalement inefficace".

    "Cette réforme des retraites, elle est déjà dealée entre les syndicats et l'Etat", a-t-elle accusé. Qu'il s'agisse des syndicats d'ouvriers, de pêcheurs ou d'agriculteurs, "on s'aperçoit à chaque fois que ces gens sont là pour canaliser la colère. Ils font mine de défendre les salariés et puis ils acceptent quelques miettes du gouvernement et disent "halte au feu, on a obtenu ce qu'on voulait".

    La vice-présidente du FN s'est également inquiétée de la présence de jeunes dans les défilés. Celle-ci attire des "cohortes de casseurs qui en profitent inévitablement pour effectuer des razzias" alors que "l'Etat a peur et se soumet à des bandes violentes en donnant l'ordre aux forces de police de ne pas répondre".

    Enfin, répondant à son concurrent pour la présidence du parti, Bruno Gollnisch, qui a laissé ouverte l'hypothèse d'un partage des rôles avec Marine Le Pen entre candidatures à la tête du parti et à la présidentielle, celle-ci a réaffirmé qu'elle y était hostile.

    "Je rappelerai aux adhérents du FN que lorsqu'ils éliront le président du FN, ils éliront également le candidat à la présidentielle parce que la nature de nos institutions et l'efficacité politique l'exigent". "Je réfute totalement ce partage des rôles", a-t-elle conclu.

    AFP. 17/10/10

  • Le 47 a été trouvé! Bravo!

    47 - Il s'agit bien d'Heinrich HIMMLER (1900-1945)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_Himmler

    La photo a été prise en 1907, il avait donc 7 ans.

    Courage pour le 46 et le 48! Vous les connaissez certainement!

    Ce sont des personnes qui ont été très célèbres dans leur domaine...

     

     

     

  • 46 - 47 - 48 - Qui est-ce?

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  • Une policière blessée à Argenteuil

    Une policière a été blessée, vers 11 heures ce vendredi matin, sur la Dalle d'Argenteuil (Val-d'Oise) lors d'affrontements entre jeunes et forces de l'ordre en marge d'une manifestation de lycéens.

    D'après nos informations, la fonctionnaire, isolée, aurait été tabassée avant qu'un médiateur de la ville ne parvienne à lui porter secours.

     

    La nature de ses blessures n'est pas encore connue. En fin de matinée, la tension était à son comble à Argenteuil après un début de journée très calme.

    Vers 9 heures, les lycéens du Val Nord se sont rassemblés afin de partir manifester en direction de la sous-préfecture d'Argenteuil. Sur place, plusieurs fourgons de policiers étaient déjà en position. La manifestation s'est déroulée sans incident et dans le calme. Arrivés devant la sous-préfecture, les jeunes ont sollicité une rencontre mais n'ont pas été reçus.

     

    Devant ce refus, ils ont alors fait demi-tour. De retour sur la Dalle, le dispositif policier s'était encore étoffé. Un «comité d'accueil» qui aurait mis le feu aux poudres, la situation a alors dégénéré menant aux premiers affrontements. D'après des élus présents sur place, les policiers auraient décidé de charger à la vue des mouvements de foule.

    Aux jets de pierre, ils ont riposté à coups de grenades lacrymogène et de tirs de flash ball. Vers midi, alors que l'ensemble des jeunes s'était dispersé, une centaine de cartouches usagées jonchaient le sol. La situation reste tendue dans ce secteur où les forces de l'ordre sont toujours mobilisées et appuyées par la surveillance d'un hélicoptère.

    Le Parisien - 15/10/10