Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Les Roms en France, enjeu des municipales malgré eux

    580x290x728648_jpg_pagespeed_ic_3GbYeCHFiU.jpg

     

    Souvent précarisée à l'extrême dans les grandes villes, la population rom est devenue un enjeu très discuté à l'aube des municipales. Zoom sur ces populations venues d'Europe de l'Est et sur les idées reçues.

     
    Alexandra Gonzalez
    Le 25/09/2013 à 19:03
     
     

    Rejetés dans leur pays d'origine, les Roms, venus en France depuis plusieurs années en espérant de meilleures conditions de vie, font face depuis quelques mois à une salve de déclarations hostiles de l'opposition, et parfois même de la majorité socialiste.

    Entre réalité d'une intégration difficile, et fantasmes sur un peuple accusé de nombreux maux, BFMTV.com fait le point sur cette population, devenue un enjeu politique majeur à six mois du scrutin des municipales.

    > Qui sont les Roms?

    En France, les Roms viennent de Roumanie à plus de 80%, les autres sont principalement Bulgares. Ils seraient aux environs de 20.000. Près de la moitié vit en Ile-de-France, les autres généralement à Lille, Marseille, Bordeaux, Nantes, ou encore Lyon.

    Certains sont tout à fait intégrés et travaillent. D'autres, forcément plus visibles, vivent dans des squats, des cabanes, des caravanes, ou parfois même dans la rue. Ils habitent souvent en périphérie, mais certains, notamment sans-abri, arrivent également dans les centres-villes.

    Selon Marion Cadier, chercheuse à Amnesty International, "ils ont tendance à se regrouper selon leur région d'origine, par nécessité pour survivre, mais pas par choix de vivre en communauté".

    > Pourquoi est-ce devenu un enjeu des municipales?

    A moins d'un an des élections, les maires sont de plus en nombreux à taper du poing sur la table sur la question des Roms, y compris à Paris, où à droite comme à gauche, les deux principales candidates se sont fendues de commentaires plus ou moins fermes et controversés.

    Sur RTL mercredi, le maire communiste de la Courneuve, Gilles Poux, a réclamé pour sa part l'ouverture d'une "table ronde" avec l'Etat, la région et les départements sur ce sujet en Ile-de-France. "On est concerné par ce problème de façon quasi-permanente depuis 7 ou 8 ans", déplore l'édile.

    "Je comprends la difficulté des maires qui ont des campements de Roms dans leurs villes, car dès lors qu'ils acceptent d'accueillir ces populations, les maires des alentours refusent alors les camps, et leur renvoient tout le monde. Cela devient ingérable", reconnaît le Dr Jean-François Corty, haut responsable chez Médecins du Monde, qui regrette le manque de coopération.

    > Sont-ils nomades comme les gens du voyage?

    Pas du tout, comme le rappelle à BFMTV.com le Dr Corty. "Les Roms sont des sédentaires qui migrent pour des raisons économiques et sociales. Ils n'ont pas vocation à vivre dans des camps. Ils veulent travailler, scolariser leurs enfants, avoir un toit, mais les expulsions incessantes entretiennent les clichés, en les empêchant de sortir de la précarité: là où ils trouvent refuge, il n'y a pas de ramassage de déchets, pas d'eau potable, pas de propreté. Les riverains sont incommodés, et cela crée une fracture."

    Marion Cadier confirme: "Ce sont des nomades forcés, qui fuient une situation encore plus discriminante dans leur pays d'origine". Un rapport de l'ONG sorti mercredi dénonce les traitements réservés à ces "condamnés à l'errance": "Les Roms continuent d'être chassés de leurs lieux de vie de façon répétitive sans être consultés, informés et relogés de façon adéquate, en infraction avec des engagements internationaux pris par la France". Une précarité immense dont profitent parfois certains réseaux mafieux pour organiser du travail d'enfants ou de la mendicité.

    > De quels droits disposent-ils en France?

    Le travail: les Roumains et les Bulgares, derniers en date à être entrés dans l'Union européenne, sont les seuls -avec les Croates- à être sous le coup de mesures restrictives pour avoir un emploi. Une circulaire publiée en août 2012 en a aboli une partie, comme la taxe dont devait s'acquitter un employeur qui recrutait quelqu'un de cette nationalité.

    D'autres mesures restrictives prendront fin au 31 décembre prochain, même si ces deux pays n'appartiennent pas à l'espace Schengen. Les Roumains et les Bulgares pourront travailler librement en France sans avoir d'autorisation de travail, difficile à obtenir lorsqu'elle concerne un emploi qui ne figure pas parmi la "liste des 292 métiers" qui leur sont accessibles.

    Les soins: les Roms, comme toute population étrangère, peuvent bénéficier de l'Aide médicale de l'Etat dès lors qu'ils peuvent justifier de trois mois de présence sur le territoire français.

    Le séjour: durant ses cinq premières années en France, un citoyen européen n'a pas à détenir de carte de séjour, sauf s'il est Roumain ou Bulgare. Dans ce cas, il n'a le droit de circuler librement que trois mois. Au-delà, il doit justifier d'un emploi ou de ressources suffisantes. Il s'expose sinon à une reconduite à la frontière. Cela pourrait changer avec l'adhésion à l'espace Schengen.

    Les aides sociales: les Roms n'en bénéficient pas s'ils sont en France depuis moins de trois mois. Au-delà, ils doivent généralement pouvoir justifier d'une adresse, ce qui est difficile pour ceux qui vivent en campement.

    L'aide au retour humanitaire, instaurée en 2007 par Nicolas Sarkozy, a été fortement réduite par Manuel Valls en décembre dernier. Elle est passée de 300 à 50 euros par adulte.

    > La Roumanie dans l'espace Schengen: qu'en est-il?

    Aucune date n'a été fixée pour l'adhésion de la Roumanie et de la Bulgarie à l'espace Schengen, car il faut un accord à l'unanimité des 26 autres Etats membres. Or, plusieurs pays bloquent.

    Mercredi, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls n'a d'ailleurs pas masqué ses réserves sur ces adhésions. "Si les conditions ne sont pas réunies, on ne peut pas le faire. Actuellement, non, on ne peut pas (…). La responsabilité de ces pays, c’est d’assurer la sécurité à leurs frontières. L’Union reconnaît que ces pays ne sont pas prêts. On verra plus tard".

    Le Conseil européen doit se réunir à la fin de l'année pour prendre une décision sur la circulation des touristes en provenance de ces deux pays. En revanche, au 1er janvier 2014, Schengen ou pas, les travailleurs bulgares et roumains auront les mêmes droits d'accès à l'emploi que les autres Européens en France.

    BFMTV

     

    Pourquoi devons-nous accueillir ces populations qui sont rejetées par leur pays d'origine?  Pourquoi les Roms sont-ils rejetés par la Roumanie et la Bulgarie?

  • Les propos du compagnon de la mère de Fiona deux jours après sa disparition

       

         seds_1284004.jpg

    Altercation avec des journalistes le 14 mai 2013

     

     

    Berkane Maklouf, le compagnon de la mère de Fiona, accusé par celle-ci d'avoir tué accidentellement sa fille, avait eu une altercation avec les journalistes deux jours après l'annonce de sa disparition du parc Montjuzet. 
    Excédé par la présence des journalistes au pied de leur domicile à Clermont-Ferrand, le compagnon de la mère de Fiona, Berkane Maklouf avait eu une altercation avec eux au matin du 14 mai, peu après 10 h 30, deux jours après le lancement des recherches dans les environs du parc Montjuzet.
     
     
    "Laissez-nous tranquille ! On aimerait avoir la paix ! Cécile n'arrête pas de faire des saignements. Vous voulez assister en direct à une fausse couche ?!" menaçait le jeune homme, faisant allusion aux six mois de grossesse de sa compagne. "La scientifique a tout retourné chez nous ! Même la gamine (Eva) n'arrêtait pas de pleurer: elle ne reconnaît pas sa chambre !"
     
    Enervé, le jeune homme implorait les médias: "Laissez-nous nous reconstruire un petit peu quand même ! Laissez nous nous remettre d'aplomb ! On a fait 48 heures d'audition. C'est bon quand même ! On est en train de péter un plomb. Nous mêmes on veut retrouver notre gamine, on ne sait pas où est notre pépette ! Vous croyez quoi ?!" 
     
    Ce soir, après 24 heures de garde à vue à Perpignan, la mère de Fiona est passée aux aveux et accuse son compagnon de lui avoir porté un ou plusieurs coups fatals la veille de la déclaration de la disparition. Berkane Maklouf est sorti ce soir peu après 18 heures des locaux de la police judiciaire des Pyrénées Orientales les menottes aux poignets. Il est toujours entendu dans les locaux de l'Hôtel de police de Perpignan.
     
    Il déclarait le 14 mai au matin aux journalistes : "Vous voulez vraiment nous aider ? Allez faire du porte à porte. Toquez à Montjuzet, toquez chez des gens, placardez des affiches. voilà les choses que vous pouvez nous faire."
     
    Etienne Vuillaume
     
    La Montagne.fr 25/09/13
  • La mère de Fiona passe aux aveux: la petite fille est morte sous les coups portés par son compagnon

    fiona11.jpg

    Fiona, 5 ans

     
    20 h : Cécile Bourgeon vient de passer aux aveux. Fiona aurait succombé à un coup porté par le compagnon de la mère. Le corps a été dissimulé, selon la jeune femme.
     
     
    La Montagne
     
     
     
     
    HORREUR! Cette femme savait et mentait pour couvrir son concubin. Et elle pleurait devant les caméras pour mieux tromper!  Comment une mère peut-elle agir  ainsi?
     
     
     

     

  • Le CSA met en demeure Radio Courtoisie

     

    Le CSA met en demeure Radio Courtoisie
     
     

    Qui a dit que le Conseil supérieur de l’audiovisuel ne servait à rien ?

    Il est vrai qu’au regard de la vulgarité et de la bêtise des émissions de téléréalité, du développement exponentiel des programmes pornographiques et para-pornographiques, de la partialité permanente de l’information et des disproportions de temps de parole accordé aux différents courants politiques, on pouvait légitimement s’interroger sur l’efficience du contrôle effectué par cette institution dirigée par Olivier Schrameck, ancien directeur de cabinet de Lionel Jospin.

     


    On est aujourd’hui rassuré, en apprenant qu’à la suite de son Assemblée plénière du 24 juillet dernier, le CSA a, le 11 septembre, mis en demeure Radio Courtoisie pour « manquement aux obligations déontologiques » et encouragement à des « comportements discriminatoires à l’égard de personnes à raison de leur appartenance ou non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

    La raison de cette procédure ? Les propos jugés excessifs tenus sur le mariage gay et l’islam au cours de l’émission Le Libre Journal d’Henry de Lesquen diffusée par Radio Courtoisie le 27 mai 2013, « sans qu’aucun des invités en plateau n’exprime d’opinion contraire ou nuancée », comme l’indique le CSA. Dans cette émission, le directeur d’antenne et président de Radio Courtoisie avait notamment qualifié le mariage homosexuel « d’abject et contre-nature » et comparé l’islam à une « menace pour l’identité nationale française ».

    Ce noble souci de mesure et d’impartialité exprimé par le CSA surprendra toutefois ceux des auditeurs et téléspectateurs des grands médias nationaux qui ont eu l’impression d’assister durant plusieurs mois à une intense propagande en faveur de l’union des couples du même sexe.

    Radio Courtoisie, le seul média hertzien à avoir fait entendre une voix clairement discordante dans ce concert médiatique, se voit donc reprocher sa position dissidente et est mise en demeure de la corriger.

    Un « deux poids/deux mesures » de la part du CSA qui a immédiatement déclenché l’ire de nombreux internautes, notamment ceux issus de la mouvance de la Manif pour tous, voyant là une nouvelle expression de la « dictature socialiste » et de sa volonté de faire taire les opinions divergentes.

    Une page Facebook a ainsi rapidement été mise en place pour défendre « la radio du pays réel et de la francophonie » contre ce qui est considéré comme une tentative d’intimidation et de censure.

    La mise en demeure du CSA est une procédure qui peut être suivie de sanctions telles que des amendes, voire une suspension de diffusion.

    Source : Observatoire des journalistes et de l’information médiatique, via Polémia.

    Crédit image : Radio Courtoisie, DR.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • La mère de Fiona n'était pas dans le Parc

    cecilebourgeon2.jpg

    19H25

     

     

    Cette fois c'est officiel, Cécile Bourgeon, la mère de Fiona, n'était pas dans le parc où la fillette est censée avoir disparu.

     
     
    FAITS DIVERS - 25/09/13
  • Fiona: la mère et son concubin s'étaient renseignés sur les disparitions d'enfants

     

     

     Jean-Marc Ducos | Publié le 25.09.2013, 19h40 | Mise à jour : 19h41                                    

                                    

     

                                                           

                                                    

    Selon une source proche de l’affaire, la mère et le beau-père de Fiona ont consulté quelques jours avant la disparition supposée de l'enfant, le 12 mai dernier à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), des archives de presse sur concernant des affaires de disparitions d'enfants.

    Ce sont des analyses informatiques menées par la police scientifique de la PJ qui ont permis de l’établir.
    Cet élément, très troublant aux yeux enquêteurs, est sans doute l’une des raisons pour lesquelles Cécile Bourgeon, la mère de la fillette, et son compagnon actuel, Berkane Maklouf, ont été placés en garde à vue
     
    NdB:  La "disparition" de Fiona était-elle préméditée par le couple?  

     

               LeParisien.fr

  • Roms: Bruxelles menace à nouveau la France de sanctions

    3168703_roms-carole-sterle_640x280.jpg

    http://www.leparisien.fr/politique/roms-bruxelles-menace-a-nouveau-la-france-de-sanctions-25-09-2013-3168703.php

     

  • J’ai pleuré en découvrant ce qu’était devenu le Marseille de mon enfance

     

    Je suis née à Marseille il y a 60 ans. J’y ai vécu jusqu’à l’âge de 18 ans. Quand j’étais petite c’était alors une ville agréable je pouvais me promener avec ma grand mère sur la Canebière sans avoir peur. Je me souviens d’une ville gaie, du soleil, de la nonchalance des gens se promenant ou attablés à une terrasse de café papotant de la pluie et du beau temps, ne se souciant pas de savoir si leur sac allait disparaître subrepticement volé par des Roms ou autres chances pour la France qui sont prêts à vous assassiner pour 10 euros ou vous égorger au nom de l’islam. Il n’y avait pas de femmes voilées. Certes Marseille est un port, donc forcément beaucoup d’étrangers arrivaient : arméniens au début du 20 ème siècle après le génocide qu’ils ont subi par les turcs ottomans, les italiens partis de leur pays pour trouver du travail, idem pour les espagnols, les portugais et les polonais. Pas de problème, ils étaient tous chrétiens, partageant la même culture. Tout ce petit monde se côtoyait sans beaucoup de difficulté.

    Ayant rendez vous chez un médecin avenue du Prado (pour ceux qui connaissent Marseille c’est ou c’était une avenue chic) j’y vais en bus au départ d’Aix. Arrivée à la gare st Charles, je décide d’aller sur le Prado à pied passant successivement par le boulevard d’ Athènes, la Canebière, la rue de Rome et enfin l’avenue du Prado, environ une heure de marche. J’ai voulu voir Marseille aujourd’hui. J’ai tellement été choquée que chemin faisant je n’ai pas pu m’empêcher de pleurer voyant le triste spectacle de la France d’aujourd’hui ou plutôt de la France du futur représentée par Marseille, Roubaix, le 93 et bien d’autres parties de notre beau pays. Oui j’ai pleuré, sur mon passé, sur notre passé commun chrétien, par le spectacle de cette ville sale, envahie par les étrangers. Je n’ai croisé que des noirs, des arabes, des roms, des indiens, des blancs ne parlant pas français. Arrivée sur l’avenue du Prado, il y avait le marché, un arabe vendait des corans et une multitude de femmes étaient là voilées faisant leurs achats. Une angoisse sourde m’a envahie, je me demandais où j’étais. Qu’allait il advenir de notre pays qui fut un temps le phare du monde. Aujourd’hui dans cette partie de la ville tout n’est que désolation, burkas, kamis, barbus, commerces halal, trottoirs défoncés, rues sales, des papiers partout, des saletés, des crachats, des gens qui parlent un français vulgaire avec aucun accent marseillais, aucune expression si imagée que j’avais l’habitude d’entendre dans mon enfance. Rien qu’un sabir incompréhensible, de l’arabe, du roumain, de l’indien etc. comment a-t-on pu en arriver là ? Nos politiques ont les yeux voilés c’est le cas de le dire. Pourquoi devrions nous abandonner notre façon de vivre au profit de populations exogènes qui veulent nous imposer leurs habitudes niant notre culture doublement millénaire N’a-t-on plus voix au chapitre ? Doit-on se taire et ne rien faire ? Il est temps d’agir et de se révolter. Lorsqu’un peuple n’est plus maître de son destin, il devient un instrument aux mains des autres.

    Sophie Vienne

     

    RIPOSTE LAÏQUE

     

    NdB: Tout est tristement exact dans ce témoignage. Mais vite il faut essuyer ses larmes et VOTER  pour le Front National ! Il reste une ultime chance à saisir, saisissons-là!

  • A quand une politique au service des Français et des Européens d’abord ? Par Bruno Gollnisch

    BG-france-soir1.jpg

     

    Il y a des annonces qui sonnent comme des surprises, d’autres comme des confirmations. Les médias ont ainsi relaté les accusations portées contre une des personnalités (paraît-il) préférées des Français si l’on en croit les sondages, à savoir le socialiste Yannick Noah.  Selon Le Figaro, Rabra Bendjebbour, l’ancienne nounou des Noah qui s’est occupée du plus jeune fils du couple, estime que ses patrons l’ont exploitée comme une esclave. Ils l’auraient fait travailler nuit et jour pour un salaire de misère. « Je suis arrivée chez eux dès la naissance du bébé, et dès lors je me suis retrouvée prise dans un tourbillon », explique-t-elle. Jusqu’au jour où elle a demandé moins d’heures de travail : « J’expliquais juste à Isabelle Camus (la compagne de M. Noah, NDLR) que je n’étais plus prête à travailler jour et nuit ! Elle m’a dit : Dans ce cas-là, dégage ! ».

     Les syndicats aux ordres aimeraient bien eux aussi que le FN dégage ,et que ce système d’essorage, d’exploitation de la France et des Français par la caste UMPS perdure. Et avec elle, la belle la rente de situation dont jouissent les dirigeants syndicaux et politiciens dont François Hollande, qui, toute honte bue, a même l’audace de se rendre demain comme le fit  son complice   bruxellois Nicolas Sarkozy, sur le site Arcelor Mittal de Florange (Moselle)

     A six mois des élections municipales, explique l’Afp,  «les syndicats se mettent en ordre de bataille pour contrer l’influence grandissante du Front National et trois d’entre eux, la CGT, la FSU et Solidaires, ont déjà prévu une réunion publique en janvier pour démonter les thématiques de l’extrême droite ».

     «Il s’agit de donner des armes aux militants pour combattre la propagation des idées d’extrême droite et du FN en cette année électorale», précise Frédéric Bodin, secrétaire national de Solidaires. Au-delà de la perspective électorale, «il est temps de prendre le flambeau de l’anti-discrimination et contre la banalisation des idées de l’extrême droite», souligne Francine Blanche membre de la direction de la CGT.

     Lui aussi en plein calcul boutiquier et électoraliste, le très immigrationniste  Manuel Valls après avoir insulté Marine Le Pen et le FN , a affirmé hier comme preuve de sa fermeté qu’il était « illusoire de penser qu’on réglera le problème des populations roms à travers uniquement l’insertion(…). Les solutions d’intégration ne peuvent concerner que quelques familles et il n’y a pas d’autre solution » que le démantèlement des campements et les reconduites à la frontière.

     A croire que le ministre de l’Intérieur s’est inspiré des propos de Bruno Gollnisch devant le parlement européen sur le dossier rom il y a quelques années que nous rappelions  fin août. « On parle de minorité opprimée expliquait Bruno, mais est-ce que vous pensez sérieusement, que si les Roms ne se sont pas intégrés depuis six siècles dans les pays d’Europe centrale ou orientale, où ils résident, c’est simplement parce que les Roumains, les Bulgares, les Hongrois, sont méchants, c’est parce les Slovaques, les Tchèques, les Slovènes, les Serbes les persécutent ? »

     «Votre angélisme en réalité est une autre forme de racisme, un racisme qui s’applique en fait aux populations indigènes, celles qui, comme dans mon pays, ne souhaitent pas que 12 millions de Roms viennent s’y installer et la seule solution, c’est de sortir de cette Europe-là ! ».

     Bien sûr pleureuses professionnelles ont joué leur rôle de diversion, chargées d’accréditer, de mettre en relief la pseudo fermeté de M. Valls en s’attachant à condamner son  simple constat.

     Des propos « excessifs » et méritant d’être « corrigés » selon  Arnaud Montebourg ; Valls a « franchi la ligne rouge de l’acceptable » (SOS Racisme) ; « (stigmatisé) une population) » (LDH) ; montré « une méconnaissance complète » du mode de vie des Roms qui « sont sédentaires quand ils le peuvent » ( le sénateur PS Jean-Yves Leconte) ; «  Les coups de menton à travers le micro, ça ne fait pas avancer le débat », a encore  estimé le député PS Pouria Amirshahi…

     Au 74e congrès de l’Union sociale de l’habitat à Lille, en présence de la ministre du logement Cécile Duflot, le maire de la capitale du Nord,  Martine Aubry a  déclaré hier que « La responsabilité de l’Etat, ce n’est pas de vider les terrains pour les mettre (les Roms, NDLR) dans la rue, c’est de trouver d’autres solutions. Nous sommes un pays où nous pouvons, tant que la situation n’est pas réglée en Roumanie et en Bulgarie, trouver des solutions pour accueillir les 20 000 Roms qui sont sur notre territoire. Ce qui n’est pas acceptable, c’est que Lyon, Lille et la Seine-Saint-Denis en accueillent 90% ». faudrait-il disperser géographiquement le problème pour le résoudre ?!

     Ce qui n’est pas acceptable surtout, ce sont les traités de Maastricht,  d’Amsterdam, de Nice, de Lisbonne, tous avalisés par l’UMPS qui ont ouvert sciemment nos frontières à tous ceux qui souhaitaient s’y installer. Ce qui est inacceptable  c’est aussi la tromperie entretenue par les caciques socialistes, UMP et le ministère de l’intérieur sur le nombre réel de Roms installés dans notre pays

     Nicolas Dupont-Aignan (DLR) reprenait quasiment mot pour, mot en mars dernier le constat du FN en expliquant que « Nous sommes face à une déferlante. Les chiffres officiels, données en janvier dernier par le ministère de l’Intérieur, estimaient la population rom à 15 000 personnes, mais nous sommes au moins à 100 000 personnes présentes sur le territoire national. Il n’y a qu’une seule solution, c’est le rétablissement des contrôles aux frontières », alors que la Roumanie et la Bulgarie devraient faire  leur entrée dans l’espace Schengen en janvier 2014…

     «Nous sommes face à de véritables mafias, très organisées poursuivait-il. La circulaire Valls ralentit tout actuellement. Imaginez les services préfectoraux qui viennent dans ces camps et qui demandent aux parents s’ils ont un emploi, aux enfants s’ils sont scolarisés, etc… alors que le plus souvent ces fonctionnaires se retrouvent face à des personnes qui ne parlent pas notre langue… Tout cela est indigne de notre République. »

     A Lyon notamment, la campagne municipale menée par le secrétaire départemental et conseiller régional frontiste  Christophe Boudot  ne fait pas l’impasse sur cette question. Une affiche a d’ailleurs été éditée sur ce thème   («  Camps sauvages, immigration illégale, ça suffit ! »).

     Oui, si l’arbre rom est l’arbre qui cache la forêt de l’immigration massive notait Jean-Marie Le Pen, ce dossier est révélateur du climat malsain généré par les instances bruxelloises. En mars 2010, Bruno Gollnisch tenait des propos dans l’hémicycle qui restent d’une brûlante actualité.

     Il dénonçait la mise en place par les instances européistes d’ « une hiérarchie des hommes qui place désormais au sommet la minorité Rom -10 ou 12 millions de Roms de l’UE-, puis les migrants extra-européens, puis les Européens d’origine non-européenne et enfin, tout en bas, les Européens de souche. «

     « Si l’on ajoute encore la dimension de genre et le jeunisme ambiant, on en conclut qu’il ne fait pas bon, dans votre Union prétendue européenne, être un homme d’âge moyen, Européen et d’origine Européenne ne faisant partie d’aucune minorité ethnique, culturelle, religieuse ou sexuelle identifiée comme telle par vos soins ».

     « A quand, enfin, une politique au service des Européens d’abord ? A quand la priorité à ces travailleurs pauvres, à ces classes moyennes écrasées de taxes, à ces chômeurs, à ces familles simplement européennes qui sont l’immense majorité des habitants de l’Union et des citoyens dont nous avons la charge, et auxquels vous ne pensez qu’à la veille des élections ? ».

     Gageons que les Français se saisiront des élections municipales et européennes de 2014 pour répondre à  cette question.

  • Pastaga sur toute la France

    marseille-partout-770x781-295x300.jpg

     

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Yannick Noah accusé d’esclavage

    noah-esclavage.jpg

    fabrice-robert-noah-reactions.jpg

                                                    

      
     

    24/09/2013 – 21h30
    BOBIGNY (NOVOpress) – Derrière le sourire, la « cool attitude » et la « Saga Africa », le vrai visage de Yannick Noah semble moins reluisant. L’ancienne nounou de son dernier fils, Joalukas (9 ans), l’accuse lui et sa compagne Isabelle Camus d’esclavage ! Le tribunal des prud’hommes de Bobigny (Seine-Saint-Denis) est saisi de l’affaire. Si aucun accord n’est trouvé, l’affaire pourrait être portée au pénal pour « esclavage » et « abus de confiance ».

     

    « Je les ai suivis pendant trois mois, en tournée, puis en vacances, et je me suis occupée de Joalukas nuit et jour, du lundi au dimanche, pour 950 euros par mois », explique au Figaro Rabra Bendjebbour. L’ancienne nounou décrit un couple impitoyable et superficiel : « Elle ne prenait son fils dans ses bras que pour sortir dehors, devant les gens », déclare Rabra Bendjebbour au sujet d’Isabelle Camus, la compagne du chanteur. Quant au père, il ne « venait embrasser son fils qu’une seule fois par jour, le soir, avant de le laisser dormir dans ma chambre et de me laisser s’occuper de lui comme si j’étais sa mère ».

    Liste de tâches longue comme le bras, horaires à rallonge, pas de temps libre, salaire de misère… la nounou dresse un portrait des Noah en véritables patrons voyous. La collaboration s’achève brusquement en 2004. « J’expliquais juste à Isabelle Camus que je n’étais plus prête à travailler jour et nuit! Elle m’a dit : “dans ce cas là, dégage” ». Une affaire qui écorne salement l’image de Yannick Noah.

    Et le Bloc identitaire n’a pas manqué de réagir par un communiqué titré « Escroquerie “antiraciste” : Yannick Noah n’a pas aboli l’esclavage ! ». Précisant : « [A] l’instar de Thuram, Yannick Noah, déjà entendu en 2012 par une commission d’enquête sur l’exil fiscal, aime à donner des leçons de bien-pensance à la terre entière et sans frontière. Des bancs de la fête de l’Huma aux concerts de SOS Racisme, en passant par la célébration de l’élection de François Hollande, Noah fait partie des icônes de la gauche française “antiraciste”. »

    Fabrice Robert a également réagi sur Twitter.

     

    Crédit photo Une : Huard via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

     

  • Dis moi ce que tu aimes… Par Bruno Gollnisch

     

    PS corruption

    Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, partisan de la disparition de notre souveraineté nationale, membre du Siècle, humaniste,  nouveau chouchou des médias,  est forcement un mondialiste bien sous tous rapports.  Incapable de juguler l’explosion de la délinquance,  partisan de la poursuite de la dilution de l’identité française par l’immigration de peuplement, les  naturalisations  massives et de distribution  accrue de papiers français aux immigrés non européens, M. Valls  aime pourtant  jouer au dur. Il aime aussi donner en exemple sa  servilité vis-à-vis des mots d’ordre du Nouvel ordre mondial sous pavillon américain. Ce  fut le cas hier sur Europe 1 lorsqu’il a  accusé  Marine d’être  «dans le degré ultime de l’outrance et dans le degré zéro de l’analyse politique». Et ce, vous l’aurez compris au motif  que la présidente du FN   refuse de  soutenir  les  bellicistes atlantistes  qui veulent la mort de l’Etat laïc syrien.  Régime de Bachar el-Assad qui est effectivement « la moins pire de solutions » n’en déplaise au ministre de l’Intérieur  et à ses amis.

     Marine le Pen « n’aime pas la France et est incapable de porter un projet pour la France », a encore déclaré Manuel Valls récitant la petite phrase imaginée par ses communicants. Une   saillie qui ne manque pas de sel dans la bouche d’un homme qui a fait toute sa carrière au sein d’un PS qui est devenu au fil des ans une caricature de Parti de l’étranger. Soit un  agrégat de défense d’intérêts  clientélistes et communautaires,  chargé de vendre au bon peuple de gauche  les bienfaits  l’Europe de Bruxelles, de la monnaie unique,   de l’ultra libre-échangisme  mondialisé.

     M.  Valls sait aussi mettre les mains dans le cambouis pour verrouiller sa boutique. Selon Valeurs actuelles il a chargé Yves Colmou, ancien chef de cabinet de Michel Rocard à Matignon, ex conseiller de Lionel Jospin,  secrétaire national adjoint aux élections du PS, « récemment nommé préfet sans affectation, de s’occuper personnellement des nominations pour le corps préfectoral au sein de son cabinet ».

      M. Colmou a en effet un CV qui parle pour lui : «  Fondateur, en 1995, du département collectivité locales au cabinet Progress (dont le vice-président était Jean-Paul Huchon), Colmou s’est spécialisé dans le recrutement de hauts fonctionnaires de gauche pour les collectivités. »

     « Il refusait  dans le cadre de ses activités de consultant, de recevoir et d’aider les fonctionnaires classés à droite. Valls a  en outre, chargé son homme de l’ombre de superviser le redécoupage électoral (…).   Colmou va redécouper les circonscriptions des personnes qu’il a nommées dans ses activités privées et qu’il continue de nommer dans ses fonctions actuelles ». Bref précise Pierre Guyot sur le site Atlantico, M. Colmou est chargé de  « vérifier que cette nouvelle partition du territoire des départements ne portera pas préjudice aux élus locaux de gauche ».

     Tripatouillage électoral pour sauver les meubles l’année prochaine qui s’accompagne d’annonces démagogiques sans laquelle la gauche ne serait pas la gauche. Le Figaro se faisait l’écho aujourd’hui des réflexions du ministère de la Famille de  Dominique Bertinotti sur  un «statut de prémajorité» pour les adolescents de 16 à 18 ans.

     L’objectif serait de «passer progressivement à l’âge adulte (…).  Il ne s’agit pas de basculer tous les droits de 18 à 16 ans, mais de  grappiller  ce qu’il serait possible de faire dès 16 ans. Les experts réfléchiront aussi à la façon dont on pourrait associer les mineurs aux décisions qui les concernent, en matière d’éducation et d’orientation professionnelle notamment (..). »

     Est  ainsi  étudié  «  la possibilité d’accorder de nouveaux droits aux enfants.» Une idée qui est venue à (Dominique Bertinotti)  après son expérience de maire du IVe arrondissement de Paris, où elle avait institué des conseils d’enfants et des conseils de jeunes. Une idée qui correspond aussi au souhait de François Hollande de faire de la jeunesse sa priorité»…

     La priorité de la jeunesse ce ne sont pas des mesures gadgets  de ce type, le mariage pour tous, les assemblées bla-bla, mais de pouvoir s’insérer dans la vie active grâce à des filières d’études d’études et/ou d’apprentissages  performantes.La priorité de la jeunesse   c’est de trouver du travail dans un pays dont l’Etat défend la souveraineté,  la prospérité,  l’identité,  les intérêts nationaux d’abord . Un Etat qui au lieu de l’attaquer,  défende aussi la famille, lieu  de transmission des valeurs, d’éducation, de protection,  au sein de  laquelle les enfants sont les plus aptes à s’épanouir.

     Bruno Gollnisch le rappelait, « encore faut-il que l’Etat ne favorise pas le désordre moral. Je crois que dans la vie sociale, il y a un certain nombre d’équilibres à faire respecter,  que la famille est la cellule pour l’accueil de la vie, et pour l’éducation des enfants, et  qu’elle constitue notamment  la meilleure prévention contre la  délinquance. »

     Dans ce domaine là également, la rupture avec les  politiques menées par l’UMPS sont  d’une urgente nécessité.

  • L'histoire vraie de la mafia israélienne

     

    tumblr_inline_mtmtkubnqT1r5ed6h.jpg

    10 janvier 2013, attentat en plein centre de Tel-Aviv, neuf blessés…mais ce n’est pas une faction terroriste palestinienne qui est impliquée : la cible s’appelle Nissim Alperon, le chef de l’une des familles du crime organisé israélien. Chaque semaine, on annonce des règlements de compte. Les organisations mafieuses israéliennes comptent parmi les plus violentes et les moins connues également. Certaines se contentent d’opérer à l’intérieur de l’Etat hébreu et dans les pays voisins, mais d’autres se sont implantées en Europe de l’est et de l’ouest, dans les principales villes du continent américain, ainsi qu’en Afrique du sud, en Australie et au Japon. Prostitution, blanchiment d’argent, racket, drogue, trafic d’armes, recel de biens volés, contrebande des diamants…les activités de cette mafia sont nombreuses.

    Les sommes générées par le crime en Israël, avec ses ramifications à l’étranger, sont tellement importantes que  la mafia israélienne est arrivée à corrompre des personnalités politiques. Autant la police est efficace dans le combat contre le terrorisme palestinien, autant elle semble désarmée face à un crime structuré militairement.

    À travers et des révélations et des détails inédits, ce livre retrace l’histoire des mafieux « blancs et bleus » depuis 1948. Dans une galerie de personnages tels Zeev Rozenstein, les frères Meïr et Itzhak Aberjil, Charlie Aboutboul, Rico Shirazi, le «parrain en kippa» Shalom Domrani et quelques dizaines d’autres, cette enquête décortique des organisations souvent opaques et nous entraîne dans un monde de prédateurs bâtissant leur empire illégal  grâce aux cadavres qu’ils laissent derrière eux.

    Belgo-israélien, Serge Dumont a été journaliste d’investigation à l’hebdomadaire L’Express entre 1983 et 1996. Installé à Tel-Aviv depuis lors, il a collaboré au quotidien Maariv et à l’hebdomadaire Hanachim. Il est aujourd’hui correspondant permanent des quotidiens Le Soir (Bruxelles), Le Temps (Genève), La Voix du Nord (Lille). En février 2011, lynché dans une rue Caire par les partisans d’Hosni Moubarak alors qu’il couvrait le Printemps arabe, arrêté à deux reprises, détenu au secret par les services de sécurité égyptiens, il a été libéré grâce à la mobilisation des journaux auxquels il collabore ainsi que de la diplomatie européenne.

    ZENTROPA

  • Le pape François et l’attentat au Pakistan

    24 septembre 2013

     

    Jusqu’ici, je n’ai trouvé qu’une seule réaction du pape à l’attentat qui a coûté la vie à une centaine de chrétiens pakistanais (l’attentat antichrétien le plus meurtrier de l’histoire du pays). Cette unique réaction (semble-t-il, jusqu’ici) a de quoi susciter un autre malaise. La voici intégralement. C’était dimanche après-midi, François s’adressait aux jeunes Sardes :

    « Aujourd’hui, au Pakistan, pour un choix erroné de haine, de guerre, il y a eu un attentat où sont mortes 70 personnes. Cette route ne va pas, ne sert pas. C’est seulement la route de la paix qui construit un monde meilleur. Mais si vous ne le faites pas, vous, si vous ne le faites pas, vous, personne d’autre ne le fera : c’est cela le problème ! Et c’est la question que je vous laisse : est-ce que je suis disposé(e) à prendre une route pour construire un monde meilleur ? C’est seulement cela. Et prions un Notre Père pour toutes ces personnes qui sont mortes dans cet attentat au Pakistan. »

    Il n’y a ni musulmans ni chrétiens. D’un côté il y a un choix erroné, de l’autre il y a des personnes qui sont mortes…

     

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Disparition de la petite Fiona : trois personnes, dont la mère, en garde à vue

                

    • Par lefigaro.fr
    • Mis à jour le 24/09/2013 à 22:46
    • Publié le 24/09/2013 à 20:11

    PHO86d04fe0-2541-11e3-8899-928ff90bbb9f-805x453.jpg

     

    Cécile Bourgeon affirmait jusqu'alors s'être endormie dans un parc au moment où sa fillette de 5 ans était enlevée, le 12 mai denier. Le beau-père et un proche de ce dernier sont également entendus.

    7761346618_fiona-5-ans-a-disparu-dimanche-soir.jpg

      

    La mère de la petite Fiona, 5 ans, disparue en mai à Clermont-Ferrand, a été placée mardi soir en garde à vue à Perpignan, où elle vit actuellement. Le beau-père de la fillette, Berkane Maklouf, a également été placé en garde à vue. Selon le procureur de Clermont-Ferrand, Pierre Sennès, la garde à vue a débuté «vers 18h15». L'avocat de la jeune femme, Me Gilles-Jean Portejoie, qui n'a pu parler à sa cliente, a déclaré ignorer «quels étaient les éléments nouveaux» justifiant ces gardes à vue. «Il faut gérer cela avec calme, sang froid et sérénité», a-t-il souligné. Selon le site du quotidien La Montagne, une perquisition était en cours dans l'appartement loué par le couple dans le centre de Perpignan.

    Le site du Parisien affirme pour sa part qu'une troisième personne, un proche du beau-père, était également entendu mardi, dans les locaux de la police judiciaire de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).

    Aucune piste concrète

    Le 12 mai dernier, Fiona, avait disparu alors qu'elle se trouvait avec sa mère au parc Montjuzet de Clermont-Ferrand. Cécile Bourgeon, alors enceinte de six mois, s'était endormie une vingtaine de minutes sur un banc, laissant la petite Fiona et sa sœur de 2 ans jouer ensemble. Après plusieurs jours de recherches minutieuses, mais infructueuses, dans les 25 hectares de ce parc escarpé, la piste de l'accident avait laissé place à celle d'un enlèvement.

    Aucune piste concrète n'avait jusqu'alors été découverte. Un numéro vert national avait pourtant été mis en place dès le lendemain et les enquêteurs avaient reçu plusieurs centaines d'appels, situant Fiona aux quatre coins du pays. «Là où je suis un peu déçue, c'est qu'il y a quand même eu beaucoup de témoignages qui n'ont abouti à rien», confiait au mois d'août la jeune mère de 25 ans.

    Elle s'est constituée partie civile pour avoir accès au dossier, de même que le père de la fillette, Nicolas Chaloufais, dont elle dit être sans nouvelles depuis plus d'un an, ainsi que son nouveau compagnon, père de son troisième enfant dont elle a accouché cet été.

     

     

    NdB: Cette gentille petite fille... On a envie de pleurer en la regardant sourire à la vie.

     

     

  • La France propose au Conseil de Sécurité de ne pas utiliser le droit de veto concernant la Syrie

          

     

    Par La Voix de la Russie | La  France a proposé aux membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU (composé par la Russie, les Etats-Unis, la Chine, la Grande-Bretagne et la France) de ne pas utiliser le droit de veto pour bloquer des résolutions sur les crimes de guerre, y compris en Syrie, a déclaré lors d'une conférence de presse ce mardi le président François Hollande.

     Selon Hollande, en ce qui concerne la destruction des armes chimiques en Syrie, le Conseil de Sécurité de l'ONU doit adopter une résolution « contraignante ».

     


     http://french.ruvr.ru/news/2013_09_24/La-France-propose-au-Conseil-de-Securite-de-ne-pas-utiliser-le-droit-de-veto-concernant-la-Syrie-2115/