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  • Russie: un chat promu assistant bibliothécaire

    Créé le 20/09/2013 à 16h31 -- Mis à jour le 20/09/2013 à 16h35

     

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    Capture d'écran d'une vidéo MegaNews Russia du chat russe Kuzya. Capture d'écran 20 Minutes

    Le chat russe Kuzya, nœud pap’ au cou, fait le bonheur de la bibliothèque de Novorossiysk…

    Kuzya, bibliothécaire à Novorossiysk, dans le sud de la Russie, a récemment acquis une petite notoriété. Il ramène des lecteurs à la bibliothèque, porte le nœud papillon, et est… velu. Très velu. Kuzya est un chat. Et pour ses bons et loyaux services à la bibliothèque, il a été promu assistant, rapporte RocketNews24.

    Tout droit sorti du ruisseau, Kuzya s’est un jour introduit dans les locaux. De caresses en ronronnements, le chat a réussi à être adopté par le personnel de la bibliothèque, qui l’a nourri, et lui a procuré des papiers. En effet, en Russie, en tant que chat, Kuzya a besoin d’un passeport pour résider dans un espace public.

    Il a reçu ses papiers

    Le charme du félin a agi une nouvelle fois sur le personnel de la bibliothèque (comme ici), et il a obtenu ses documents, ainsi qu’une puce d’identification et un vaccin antirabique. Avec ses papiers, Kuzya peut désormais tranquillement faire sa sieste sur les armoires, courir dans les jambes des lecteurs et quémander des caresses. A la grande satisfaction de la bibliothèque, qui a vu le nombre de ses lecteurs-admirateurs-amoureux des chats monter en flèche.

    Le contrat de Kuzya inclut 30 portions de croquettes par mois, des friandises de la part du personnel et des lecteurs, et, indispensable accessoire de tout bibliothécaire russe, le nœud papillon.

    >> Ci-dessous le reportage dédié à Kuzya (en russe) 

    A.-L.B.
     
    20minutes.fr
  • La démence destructrice de l'Amérique sanguinaire

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    http://france.eternelle.over-blog.com/article-la-demence-destructrice-de-l-amerique-sanguinaire-120145979.html

     

     

    FRANCE ETERNELLE

  • Aube Dorée se vautre dans l’antisémitisme

    Revue de presse
    Publié le 4 Septembre 2013

     

     
     
     

    Par Angélique Kourounis

     

    Le parti néonazi attaque en justice un intellectuel juif qui avait appelé à combattre le fascisme.

     

    Il a été l’un des premiers à tirer la sonnette d’alarme en 2009 et à appeler "à la résistance" contre le parti néonazi d’Aube Dorée. Il est le premier aujourd’hui à comparaître pour cela devant les tribunaux. À l’époque ceux qui traînaient Savas Michail en justice n’étaient que des militants d’un groupuscule qui faisait moins de 1 % aux élections. Aujourd’hui ceux qui hurleront au tribunal contre le "juif bolchevique" sont pour la plupart députés du parti Aube Dorée au Parlement grec. 

    « Ceux qui hurleront au tribunal contre le "juif bolchevique" sont pour la plupart députés du parti Aube Dorée au Parlement grec »

    Savas Michail concentre tout ce qu’Aube Dorée vomit : il est juif, intellectuel, marxiste, et il a de l’humour. Il est accusé de "diffamation" envers les militants d’Aube Dorée, pour les avoir traités de criminels; d’"incitation à la violence", pour avoir appelé à combattre le fascisme et d’"atteinte à la paix civile", pour avoir appelé, dans un tract, à manifester massivement contre Aube Dorée. Savas n’est pas seul dans le box des accusés. L’ancien doyen de l’École Polytechnique, Constantin Moutzouris l’accompagne. Aube Dorée l’accuse d’avoir permis à Indymedia, un média alternatif, d’utiliser les installations de l’École pour ses émissions.

     

    Les faits remontent à 2009, peu après les émeutes urbaines de décembre 2008 où, effectivement, Indymédia a joué un rôle décisif dans l’organisation et la coordination des émeutes. Un groupe "de citoyens de quartier, apolitiques", porte plainte contre des personnalités de la gauche grecque, les accusant d’"avoir troublé l’ordre public et d’avoir pris part aux émeutes". Par décision du Procureur, la police les convoque en 2012 pour interrogatoire. Tous refusent de se rendre au commissariat et envoient des déclarations légales réfutant les accusations. Après examen, le Procureur décide de traîner les seuls Savas Mikhail et Consatantin Moutzouris devant les tribunaux.

     

    Au même moment, en toute impunité, Aube Dorée déclenche une campagne antisémite digne du siècle dernier, "dénonçant" Savas Michail, comme "un agent de la conspiration juive mondiale contre la Nation grecque", qui agit pour "provoquer une guerre civile et établir un régime judéo-bolchevique". Ironie de l’histoire, ce sont les députés d’Aube Dorée qui s’estiment "calomniés".

     

    CRIF

     

  • Caen: une étudiante violée dans la rue

     

    Faits divers mercredi 18 septembre 2013    
     
     

      Une jeune étudiante ornaise a été victime d’un viol, samedi matin à Caen.

    Les faits se sont produits samedi, à l’aube. La jeune fille, âgée de 23 ans, rentrait chez elle après avoir fêté l’anniversaire d’une de ses amies.

    En chemin, rue de la Délivrande, à Caen, elle a été violemment attaquée par quatre personnes dont deux l’ont violée.

    Les quatre agresseurs sont activement recherchés par la police.

    La jeune fille a été hospitalisée, un premier arrêt de travail de sept jours a été délivré.

  • STOP aux impôts de l'UMP et du PS!

    Le journal Le Monde le révélait en septembre 2013 à sa Une : « En deux ans, Nicolas Sarkozy et François Hollande ont créé 84 nouveaux impôts ! »

    Taxe sur les sodas, hausse du forfait hospitalier, gel du barème de l’impôt sur le revenu, déremboursements de médicaments, TVA à 20% (Jean-François Copé propose même 24% !), taxe de 0,3% sur les pensions, réduction des aides à la famille,…

    La liste est longue des impôts et taxes récemment imposés aux Français !
    D’autant que les réformes promises, comme un impôt sur les sociétés progressif pour soulager les PME et les PMI, ou encore un impôt sur le revenu plus juste pour les classes populaires et moyennes, n’ont pas été faites.

    L’UMP et le PS sont forcés de matraquer fiscalement les Français parce qu’ils ont renoncé à relancer la croissance, l’activité et l’emploi. Ils sont prisonniers de leurs propres erreurs, à commencer par l’Union européenne et l’euro qui interdisent toute forme de protectionnisme intelligent aux frontières, toute politique monétaire nationale et toute possibilité de patriotisme économique. C’est pourtant ce qui marche ailleurs dans le monde.

    Leur modèle c’est l’austérité, et le marteau fiscal en fait partie.

    A l’UMP et au PS, dès qu’un problème se pose on invente un impôt ou une taxe, alors qu’il faudrait commencer par changer de modèle économique pour relancer la machine.

    Nous proposons également ce vaste plan d’économies sur la dépense publique la plus nocive, alors que sous le règne de l’UMP et du PS le gaspillage s’accélère !

    Il s’agit du coût abyssal de l’immigration massive, des plans de soutien aux Roms, des 20 milliards par an de la fraude sociale, des abus intolérables de la fraude fiscale, du coût du budget de l’Union européenne (la France verse 20 milliards par an à Bruxelles et n’en récupère que 13, aides de la PAC comprises), coût du renflouement insensé de l’euro, pour rien (déjà 72 milliards d’euros de dette française partis en fumée en Grèce, au Portugal, en Irlande, à Chypre, en Espagne !).

    Comme nous, réclamez ces changements de fond : relance de la machine économique et économies, et refusez le pilonnage fiscal !

    Signez notre pétition : http://www.frontnational.com/stop-aux-impots-de-lump-et-du-ps

     

    FRONT NATIONAL

     
  • Poutine appelle les Russes à être fiers de leur histoire

          

     

    « Nous avons de quoi être fiers », a dit le chef d'Etat. En même temps, selon lui, il nous faut nous débarrasser des estimations tendancieuses de tels ou tels événements historiques qui étaient le malheur du siècle dernier. L'histoire de la Russie doit devenir la base de l'identité nationale, a souligné le président.

    Il a également déclaré qu'il faudrait mettre en avant les valeurs morales traditionnelles  chrétiennes.
     http://french.ruvr.ru/news/2013_09_19/Poutine-appelle-les-Russes-a-etre-fiers-de-leur-histoire-1719/

  • Pour le pape François, l'Eglise doit renoncer à son "obsession" du dogme

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    Avec le premier ministre lithuanien

     

    CITE DU VATICAN (Reuters) - Le pape François invite l'Eglise catholique à ne plus être "obsédée" par une volonté d'imposer ses doctrines sur l'avortement, la contraception ou l'homosexualité, sous peine de voir sa stature morale s'effondrer "comme un château de cartes".

    Dans un entretien accordé à Civilta Cattolica, la revue des jésuites italiens, le successeur de Benoît XVI déplore que l'Eglise se soit "parfois laissée enfermer dans de petites choses, de petits préceptes" et l'invite à retrouver "la fraîcheur de l'Evangile".

    Les prêtres, dit-il, doivent être accueillants, capables avant tout de "soigner les plaies et réchauffer les coeurs des fidèles", et non ressembler à des fonctionnaires dogmatiques enfermés dans des confessionnaux qui ressemblent parfois à des "salles de torture".

    Premier souverain pontife non européen depuis 1.300 ans, et premier jésuite à monter sur le trône du Vatican, le pape François ne promet pas un changement rapide de doctrine morale, mais il invite l'Eglise à trouver un équilibre entre la défense du dogme et la compassion humaine.

    "Nous ne devons pas réduire le coeur de l'Eglise universelle à un nid protecteur de notre médiocrité", assène-t-il dans ce long entretien, salué par les catholiques libéraux mais qui risque d'accroître le malaise des conservateurs qui lui reprochaient déjà de trop s'éloigner de la ligne de son prédécesseur.

    "DIEU NOUS A CRÉÉS LIBRES"

    Parmi les ruptures les plus marquantes avec Benoît XVI, le pape François appelle les prêtres à "toujours prendre en considération la personne" lorsqu'ils sont sollicités par des homosexuels ou des divorcés-remariés.

    Aux homosexuels qui lui disaient se sentir "blessés" d'être toujours rejetés par l'Eglise, l'ancien cardinal Bergoglio raconte au directeur de la revue, le père jésuite Antonio Spadaro, qu'il leur répondait que "ce n'est pas ce que veut l'Eglise".

    Comme il l'avait déclaré dans l'avion qui le ramenait des Journées mondiales de la jeunesse au Brésil, en juillet, le souverain pontife insiste sur le fait qu'il n'a pas à porter un jugement sur les homosexuels qui cherchent Dieu avec sincérité.

    "En disant cela, je dis ce que le catéchisme dit. La religion a le droit d'exprimer son opinion au service des gens, mais Dieu nous a créés libres. On ne peut pas interférer spirituellement dans la vie d'une personne."

    François exprime également le souhait de voir les femmes jouer un plus grand rôle au sein de l'Eglise, sans toutefois aller jusqu'à envisager l'ordination de femmes prêtres.

    "Le génie féminin est nécessaire dans les lieux où se prennent des décisions importantes", dit-il.

    Souhaitant voir l'Eglise catholique "soigner les blessures de la société" plutôt que de rester "obsédée par la transmission désarticulée d'une multitude de doctrines qu'il faudrait imposer avec insistance", François invite les chrétiens à se tourner vers l'avenir davantage que vers le passé.

    "LE PAPE SAUVE L'ÉGLISE"

    "Ceux qui tendent de façon exagérée vers la sécurité doctrinale, qui veulent obstinément retrouver le passé perdu, ont une vision statique et qui n'évolue pas. Et de cette façon, la foi devient une idéologie parmi d'autres", met-il en garde.

    Cet entretien, beaucoup moins formel que ceux des papes précédents, a été reçu avec enthousiasme par les catholiques les plus libéraux.

    "Ce pape est en train de sauver l'Eglise de ceux qui pensent que la condamnation des homosexuels et l'opposition à l'avortement sont ce qui définit un vrai catholique", a réagi John Gehring, directeur de programme à Faith in Public Life (Centre pour la foi dans la vie publique), un groupe de pression américain.

    "François place un message de miséricorde, de justice et d'humilité au centre de la mission de l'Eglise. C'est un changement remarquable et revigorant."

    Aux conservateurs, qui lui ont notamment reproché de ne pas s'être exprimé sur l'avortement depuis son élection, le pape répond qu'il ne remet pas en cause le dogme, mais qu'il y a bien d'autres sujets que l'Eglise et lui-même se doivent d'aborder.

    "Nous ne pouvons pas nous contenter de parler des sujets liés à l'avortement, au mariage gay ou aux méthodes contraceptives", insiste-t-il.

    "Je n'en ai pas beaucoup parlé, et on me l'a reproché. Mais quand nous abordons ces sujets, il faut le faire dans un contexte. Les enseignements de l'Eglise en la matière sont clairs, et je suis un fils de l'Eglise, mais il n'est pas nécessaire de parler de ces sujets tout le temps."

    Tangi Salaün pour le service français

    Yahoo!Actu  19/09/13

  • Italie : les gynécologues qui refusent de faire des avortements n’ont jamais été aussi nombreux

     

    Italie : les gynécologues qui refusent de faire des avortements n'ont jamais été aussi nombreux

    Rue 89 Lyon s’inquiète de « la fin de l’IVG en Italie », alors que les médecins objecteurs de conscience n’ont jamais été aussi nombreux. Au niveau national, 70,3% des gynécologues étaient objecteurs de conscience en 2010, contre 59,7% en 2005. Et dans certaines régions, comme en Basilicate par exemple, ils étaient 85,2%. Selon Il Fatto Quotidiano, en Lombardie dans onze hôpitaux sur les 63 disposant d’un service de gynécologie obstétrique, 100% des gynécologues sont objecteurs de conscience. Et dans douze autres, entre 80 et 99%.

    Nouvelles de France

  • Roman Polanski : violée à 13 ans, sa victime publie ses mémoires

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    Avec Sharon Tate en 1968

     

                             

     

    19/09/2013 – 11h00
    ZURICH (NOVOpress) –
     « J’ai été prise en photo par Roman Polanski et il m’a violée ». Trente-six ans après avoir été le jouet sexuel de Roman Polanski (avec Sharon Tate en 1968 sur la photo) alors qu’elle n’avait que 13 ans, Samantha Geimer, publie ses mémoires. Dans ce livre intitulé « The girl » (« La fille ») et qui sortira en France le 3 octobre, l’Américaine revient sur cette soirée du 10 mars 1977 pendant laquelle le cinéaste la fait poser pour des photos, lui fait boire du champagne, lui donne un relaxant puis lui impose des relations sexuelles non consenties.

     

    Après 42 jours de prison, puis sa libération sous caution, le cinéaste franco-polonais, qui avait plaidé coupable de « rapports sexuels illégaux », s’était enfui des Etats-Unis avant le verdict, par crainte d’être lourdement condamné. Rattrapé par l’affaire en 2009, Roman Polanski avait été arrêté en Suisse suite à un mandat international américain, puis assigné à résidence avant d’être libéré par les autorités suisses. Une affaire qui avait été minimisée à l’époque par Frédéric Mitterrand et le show business. Le ministre de la culture de Nicolas Sarkozy n’hésitant pas à parler en 2009 de « processus judiciaire très ancien et donnant lieu à des appréciations exagérées »

    Crédit photo : thefoxling via Flickr (cc).

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Je me suis retrouvé comme un clochard sur le trottoir…

     

         Le 17 septembre 2013           

    Christian
    Vanneste
    Homme politique.
    Ancien député UMP et Président du Rassemblement pour la France.
     

    Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel.

    Ce dimanche, Christian Vanneste a été expulsé sans beaucoup d’égards de l’Université d’été de la Manif pour tous. Une « humiliation » nous dit-il. Explications…

    Pouvez-vous nous expliquer ce qui s’est passé à l’Université d’été de la LMPT dimanche après-midi ?

    M’étant beaucoup investi dans le combat contre la loi Taubira, en participant aux multiples manifestations, aux soirées des Veilleurs, mais aussi à travers mon association Famille et Liberté, je suis venu participer, assez naturellement, à l’Université d’été LMPT. J’ai notamment écouté avec beaucoup d’intérêt le forum « Loi, fondement et élaboration ». À l’issue de ce forum, je me suis permis d’intervenir, eu égard à ma connaissance du sujet, sur la question du référendum d’initiative populaire, référendum en faveur duquel il serait intéressant à mon sens que la LMPT milite. J’ai du reste été applaudi.

    À la sortie de la salle Denfert où se tenait ce forum, des jeunes sont venus me dire que j’étais attendu par le « service presse »… qui allait en fait me « presser » de sortir. Comme l’aurait fait la police politique d’un pays de l’est il y a quelques années, on m’a attiré dans une salle déserte près de la sortie et on m’a annoncé que, pour des « raisons de sécurité », on ne pouvait pas me garder. Quels risques pour la sécurité peut faire courir un ancien député de 66 ans ? Je l’ignore. On m’a alors poussé vers la sortie. J’ai protesté, exigé de parler à la Présidente de la LMPT, mais on m’a répondu qu’elle était occupée. J’ai demandé à prévenir un ami qui m’attendait pour déjeuner, ainsi qu’à récupérer les bagages que j’avais laissés à l’intérieur, on a refusé. Pour ameuter la foule, j’ai tenté de crier. Cinq gaillards (trois jeunes du « service presse » et deux de la sécurité du parc floral), m’ont alors littéralement empoigné et jeté derrière les grilles, avec mes bagages qu’ils avaient retrouvés. Pour être bien certain que je ne revienne pas, on m’a ensuite « escorté » jusqu’à la sortie du parc floral. Mon ami Yves Meauldre, de l’association Enfants du Mékong, que j’ai croisé à ce moment-là, et qui a manifesté avec force son indignation, peut témoigner. Je me suis retrouvé comme un clochard sur les trottoirs de Paris avec mes trois valises, à attendre mon train prévu tard dans la soirée. J’ai 66 ans, et n’ai jamais connu une telle humiliation de ma vie.

    Imaginiez-vous, en y allant, que vous pourriez être persona non grata ?

    Non, bien sûr, sinon je n’y serais jamais allé ! Je sais que Frigide Barjot, compte-tenu du procès en sorcellerie qui a été fait contre moi, ne souhaitait pas faire rentrer mon association dans le collectif LMPT. Au printemps, Ludovine de La Rochère, Présidente de LMPT, avait il est vrai, annulé in extremis et de façon un peu inexpliquée un déjeuner au cours duquel nous devions nous rencontrer. Mais lorsque j’ai fait sa connaissance par hasard à l’université d’été de la Sainte-Baume, sous le patronage de Monseigneur Rey, et que je lui ai fait part de mon souhait d’aller au parc floral en septembre, elle m’y a cordialement invité. Je me suis par ailleurs inscrit sans difficulté à l’entrée le jour J, et j’ai payé 45 euros comme tout le monde.

    Comment interprétez-vous cette affaire ?

    De deux façons possibles. Je crains la soumission de la LMPT, de façon très lâche, au politiquement correct. Lorsqu’on m’a expulsé, quelqu’un m’a glissé : « Ils veulent vous mettre dehors avant l’arrivée de la presse. » Je crains aussi une récupération totale par la « mafia » de l’UMP comme l’a appelée Fillon lui-même, avec lequel chacun sait que je ne suis pas dans les meilleurs termes. Il suffisait de voir la composition du forum « engagement politique » qui se tenait à côté de celui auquel j’assistais : Breton, Poisson, Retailleau, Mariton… tous UMP. Pour un peu d’équilibre, n’aurait-on pas pu inviter quelqu’un du centre, du FN, ou du PS ?

    Vous dites que Ludovine de La Rochère vous a appelé pour déplorer cet incident. Vous doutez de sa bonne foi ?

    Étant donné le déroulé et la gravité de l’affaire, je continuerai à en douter tant que quatre mesures n’auront pas été prises : des sanctions contre ceux qui ont « abusé de leur petit pouvoir » selon ses mots, des excuses publiques de sa part sous forme d’un communiqué exprimant le caractère scandaleux de mon expulsion, une réintégration officielle de mon association dans le collectif, et l’engagement que, dans les futures manifestations, je serai reçu de façon correcte.

     

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Livre / Utoya, de Laurent Obertone

    utoya    

     

     

    Le 17 septembre 2013

    Jean-Claude
    Lauret
    Journaliste, critique littéraire.
     

    Lisant Utoya, le lecteur éprouve dès la première page un malaise certain. Il est sensé lire le récit – soit la relation écrite d’un fait – de l’expédition exterminatrice d’Anders Breivik, en marche pour assassiner à coups de pistolet automatique et de fusil à lunette des adolescents rassemblés sur une île. Or ce prétendu récit est rédigé à la première personne du singulier, ce qui identifie, de fait, l’auteur au meurtrier.

    Laurent Obertone, par une stupéfiante métamorphose, se glisse non seulement dans la peau mais dans le cerveau de Breivik. Il pense, agit pour lui. Il a ses états d’âme, ses émotions, éprouve ses tracas. Voici le temps du premier meurtre. Obertone-Breivik sent la brise caresser son visage, regarde le ciel moutonneux, hume les odeurs d’une paisible nature… Il est surtout soucieux de l’efficacité de ses tirs, achève d’une ou deux balles dans la tête le garçon et la fille qui agonisent, toujours soucieux de bien faire le ménage.

    On est ici plongé dans une totale subjectivité que l’auteur brise, par une subtile culbute, en intercalant dans sa narration la citation des rapports d’autopsie des légistes : la balle est passée par ici, elle est ressortie par là… On a ainsi le pseudo récit des soixante dix-sept exécutions. C’est long, très long. On peut être choqué par cette complaisance morbide, véritable catalogue des hauts faits de l’assassin.

    Que l’on ne se méprenne pas, Obertone-Breivik pense. Il est le surhomme décidé à éliminer les larves plus ou moins grabataires qui polluent son univers. Il chante la compétition, paraît être sensible à l’eugénisme et à la sélection naturelle. Cela a des remugles d’une histoire nauséabonde d’un passé récent, quand la civilisation occidentale risqua d’être emportée par la démence de théories raciales. Il faut certes se méfier de rapprochements hâtifs et excessifs avec l’hydre nazie. Néanmoins, comment ne pas se sentir perturbé devant certains propos et considérations infiniment contestables.

    Breivik, en parfait robot exterminateur, exerce sa mission qui consiste à se débarrasser des travaillistes, engeance satanique imprégnée de doctrine marxiste. Il lutte aussi de toutes ses forces contre l’islamisation de la Norvège. Il veut faire table rase. À en croire l’auteur, ce sanglant nettoyeur a une âme de poète. Le voici donc interrompant sa course entre deux victimes : il est tombé devant une orchidée violette.

    Laurent Obertone ne manque pas de qualités. Il a un ton, une phrase cursive, sait camper des situations. Dans ce pseudo récit – à la limite de l’abus de confiance – il rédige un pseudo roman. Il a pourtant les qualités pour écrire une vaste fresque où il pourrait donner libre cours à son imagination en s’inspirant, pourquoi pas, de véritables monstres. Jonathan Little, avec Les Bienveillantes, a su composer ainsi une histoire dont les héros maléfiques sont emportés par la plus totale démesure. Il faut reconnaître qu’Obertone a entrepris une enquête minutieuse et pointilleuse, mais on peut maîtriser à fond un dossier sans prétendre parler directement au nom du protagoniste. Jacques Vergès, célèbre par ses flamboyantes plaidoiries, regardait, expliquait : il ne disait pas « Moi Barbie ».

    On ne peut voir un saint, un salaud, que de l’extérieur. Il est impossible de se mettre à sa place. Un texte aussi déroutant que glaçant.

     

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Les trafiquants vont devoir payer des impôts: l'argent n'a pas d'odeur...

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    Marseille / Publié le mercredi 18 septembre 2013
     

    Une convention a été signée, hier, entre le Fisc et les services de police

     
    Désormais, les trafiquants seront soumis à l'impôt sur le revenu, calculé à partir de la somme issue de leur activité illicite saisie lors de leur interpellation.

    Illustration Nicolas Vallauri

     

    La situation est catastrophique mais pas désespérée. Comme la contribution, même en augmentation, des honnêtes gens ne suffit plus à renflouer les caisses de l'État, le gouvernement a eu une idée de génie : faire payer l'impôt sur le revenu aux trafiquants ! "Attention, l'État n'est pas complice, prévient Claude Suire-Reisman, directrice régionale des finances publiques. C'est une double sanction. On tape au portefeuille."

    "Les sanctions qui touchent le patrimoine ou les biens mal acquis sont beaucoup plus efficaces que la prison, renchérit le préfet de police, Jean-Paul Bonnetain. Mais il est fini le temps du luxe ostentatoire. "Les méchants" sont plus malins. Une collaboration plus étroite, avec de nouveaux moyens juridiques, était souhaitable pour lutter plus efficacement contre l'imagination des fraudeurs."

    Pour sceller cette "coopération élargie", une convention départementale de lutte contre l'économie souterraine et la fraude fiscale a été signée hier matin, dans les locaux de la direction régionale des finances publiques (DRFIP), entre les services des Impôts et les services de police et de gendarmerie. Une première au niveau national.

    "Marseille est en avance
    , s'est réjoui Alain Gardette, chef de service du contrôle fiscal à la DGFIP. C'est la première convention appliquée aux zones de sécurité prioritaires." Hasard de calendrier, ou pas, quelques heures plus tard, à l'Assemblée nationale, la garde des Sceaux, Christiane Taubira, et le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, présentaient en seconde lecture le projet de loi relatif à la lutte contre la fraude fiscale et à la grande délinquance économique et financière.

    "Payer l'impôt, c'est un acte civique, a martelé le contrôleur en chef à la DGFIP. Ne pas le payer, est une forme d'incivisme grave." Et comme, désormais, un sou est un sou, l'argent n'aura plus d'odeur, qu'il soit sale ou blanchi !

    "Si les trafiquants mettaient leur talent au service de la société, on pourrait peut-être sortir de la crise, a lâché, un brin ironique, le préfet de police, en faisant référence aux réseaux extrêmement bien structurés qui rapportent des milliers d'euros par jour. Ils sont parfois bien conseillés par des professionnels du droit et des chiffres... Quand on sait que certains, même incarcérés, louent des pas-de-porte..."

    Les modalités pratiques de cette coopération ont été mises en place à l'issue de la signature, lors de l'installation du premier comité local de coopération.

     

    La Provence

     

    C'est les intégrer dans la société!

  • Jean-Marie Le Pen candidat aux européennes

     

    Publié le mercredi 18 septembre 2013
     
     

    Le président d’honneur du Front national, 85 ans, entend bien garder son siège d’eurodéputé. C’est en tout cas ce qu’a annoncé hier Marine Le Pen. "Il sera candidat en Paca" pour les élections de 2014, a précisé sa fille, qui elle se présentera dans le Nord Pas-de-Calais.

     

    La Provence

  • BUSTER KEATON - Le mécano de la General - 1927

    Publiée le 16 sept. 2012

    Johnnie est le mécano de la locomotive appelée la « General ». Lorsque la guerre de Sécession éclate, Johnnie a toujours du mal à choisir entre son train, et Annabelle Lee, son deuxième amour. Comme il ne peut pas s'engager dans l'armée, Annabelle lui refuse son amour. Cependant, lorsque la « General » est volée par des espions de l'Union, avec Annabelle à son bord, Johnnie n'hésite pas à se lancer à la poursuite de son train et de sa fiancée. Après s'être infiltré dans l'armée de l'Union, Johnnie délivre Annabelle. Ils s'enfuient, talonnées par l'armée ennemie. Après de nombreuses péripéties et après avoir défait l'Union en aidant les confédérés, Johnnie reçoit le grade de lieutenant, et il retrouve sa fiancée.


    Réalisé par: Clyde Bruckman, Buster Keaton
    Avec: Buster Keaton, Marion Mack, Jim Farley
    Genre: Action, Comédie, Guerre, Romance
    Nationalité: Américain

  • Affaire Jean Roucas: où est le sectarisme ?

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    L’annulation soutenue et encouragée par la Mairie de Gardanne de la représentation de la pièce de Jean Roucas à la suite de la participation citoyenne de ce dernier à une réunion publique du FN est un événement de la plus haute gravité.

    En effet, si l’on se place au niveau des principes de notre République et de notre démocratie, elle représente une atteinte directe à la liberté artistique dont devrait se saisir publiquement Madame Filipetti, Ministre de la culture, pour la condamner de la manière la plus ferme.

    Au moment où le « sectarisme » est un sujet à la mode, celui-ci s’exprime d’une façon brutale et scandaleuse qui ne peut laisser indifférents les Français mais aussi les responsables politiques qui auront là une occasion de lutter, enfin, contre une discrimination en bonne et due forme.

    Marine Le Pen et le Front National expriment leur soutien à Jean Roucas et leurs encouragements pour la création de l’ « association des Hommes libres » en coopération avec l’avocat Gilbert Collard afin que cesse dans notre pays cet odieux terrorisme intellectuel.

    19/09/13

  • Jean Roucas se dit victime de discrimination professionnelle et assigne la Mairie de Gardanne en justice

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    L'imitateur français veut poursuivre en justice la troupe d'acteurs de sa pièce de théâtre Le Secret de l'abbé Taillère qui s'est désolidarisée de lui, ainsi que la Mairie de Gardanne pour avoir déprogrammé son spectacle à cause de son affiliation au Front national.

     
     

    Il n'a décidément pas fini de faire parler de lui. Alors que sa présence à l'Université d'été du Front national avait déjà été très remarquée dimanche, Jean Roucas s'estime aujourd'hui victime de «discrimination» professionnelle à cause de la suppression d'une représentation théâtrale programmée en octobre à Gardanne (Bouches-du-Rhône). Il souhaite assigner la Mairie en justice. Il a également indiqué à l'AFP qu'il allait créer avec l'avocat et député du parti d'extrême droite Gilbert Collard, une association pour défendre la liberté d'expression.

    La Mairie de cette ville méridionale a pour sa part expliqué que la représentation n'était plus possible vu que ses producteurs et ses autres acteurs s'étaient désolidarisés de l'humoriste, un choix qu'elle «approuve». «J'étais programmé à Gardanne le 25 octobre pour jouer ma pièce Le Secret de l'abbé Taillère à la Maison du peuple», a expliqué l'imitateur à l'AFP. «Parce que je n'ai fait qu'exprimer démocratiquement ma sympathie pour le FN à Marseille, les comédiens de ma troupe ainsi que la Mairie de Gardanne se sont entendus pour supprimer arbitrairement la représentation», a accusé Roucas.

    «Pour défendre mon droit élémentaire à la liberté d'expression, j'ai l'intention d'assigner en justice la Mairie de Gardanne et les comédiens de ma troupe pour discrimination», a-t-il poursuivi. «Pour aider tous ceux que l'on essaie de bâillonner aujourd'hui, Me Collard et moi allons fonder l'Association des hommes libres.»

    «La municipalité approuve ce choix»

    La ville de Gardanne, dirigée par le communiste Roger Meï, a expliqué pour sa part dans un communiqué à l'AFP que «les producteurs et co-acteurs de la pièce se sont désolidarisés de l'humoriste Jean Roucas du fait de son engagement en faveur du Front national. De fait, le spectacle ne peut être maintenu à l'affiche et un autre le remplacera».

    «La municipalité approuve ce choix qui correspond à sa philosophie, notamment en matière de culture et de solidarité», ajoute la Mairie, en rappelant des initiatives comme Arts et festins du monde qui «vise à faire se rencontrer et donc mieux se connaître des gens de cultures différentes» ou «Musiques à Gardanne qui a proposé en juin dernier un spectacle intégrant des chansons du pourtour méditerranéen».

    Une position controversée

    Le ralliement d'un ancien membre du «Bébête Show», l'émission satirique de TF1, en a surpris plus d'un. D'autant plus que Jean Roucas y avait pour habitude de ne pas être tendre avec Jean-Marie Le Pen.

    Sur le site du Huffington Post, Guy Bedos s'est notamment fendu d'une tribune pour inviter le public à «ne pas en faire trop» et ne pas donner trop d'importance à Jean Roucas, qu'il croyait même... mort! L'ajoutant même, aux côtés de Robert Ménard et Gilbert Collard, au rang du «petit monde en mal de reconnaissance» qui sont «prêts, par bêtise ou par haine, à se glisser» dans la voie qui mène à «ce genre d'opportunisme».

    Devant les journalistes, Jean Roucas avait assuré son appui à Marine Le Pen dimanche. «J'ai grandi à Marseille et ça n'est plus possible», avait-il déclaré pour expliquer sa décision.

    Le Figaro - 19/09/13

  • Utilisation d'armes chimiques par les rebelles : des preuves seront fournies au CS de l'ONU

          

     

    Par La Voix de la Russie | La Russie remettra, peut-être dès aujourd'hui, au Conseil de sécurité de l'ONU les preuves de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie par les rebelles, a annoncé le représentant spécial du président de Russie pour le Proche-Orient, Mikhaïl Bogdanov.

    Il a souligné, en commentaire à la visite à Damas du vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Riabkov, que les dirigeants syriens étaient tout à fait disposés à une coopération complète et immédiate avec l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.

    Mercredi, Sergueï Riabkov a rencontré à Damas des dirigeants syriens, dont Bachar al-Assad.  
    http://french.ruvr.ru/news/2013_09_19/Les-preuves-de-lutilisation-des-armes-chimiques-par-les-rebelles-seront-fournies-au-Conseil-de-securite-de-lONU-5970/

  • Italie : Elle épouse son Africain, il lui arrache l’oreille à coups de dents

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    18/09/2013 – 18h00
    MONZA (NOVOpress) – C’est une histoire d’amour comme il y en a tant aujourd’hui. D’amour mondialisé. Elle, Italienne de 30 ans, originaire de Milan, était allée en vacances sur l’île du Cap-Vert. La mer, le sable chaud, la « musique métissée » (photo prise au Cap-Vert)… tout ce que promettent les agences de voyage, en toutes lettres ou à demi-mot. Elle avait rencontré un Cap-Verdien de deux ans plus âgé qu’elle, l’avait épousé sur place, ramené en Italie. Ils s’étaient installés chez elle, à Monza, en Lombardie. Ils ont eu une petite fille, aujourd’hui âgée de dix mois.

     

    Puis la femme en a eu assez. Le Cap-Verdien n’avait jamais réussi à trouver du travail. Il la battait en outre régulièrement, sous les yeux de leur enfant. Elle a décidé de le quitter, a entamé une procédure de divorce, est retournée vivre chez ses parents. Mais lui, comme écrit poétiquement le Corriere della Sera, « ne s’est jamais résigné à l’idée de voir s’évanouir leur histoire. Jour après jour, il a cherché à la convaincre de revenir sur ses pas ».

    Samedi dernier, après avoir passé la nuit au bar, il s’est rendu chez elle au petit matin. Il a commencé par lui donner quelques claques. Puis il l’a menacée avec un couteau de cuisine et lui a tailladé le bras. Enfin, il s’est jeté sur elle et lui a arraché à coups de dents un morceau du pavillon auriculaire de l’oreille gauche.

    Le père de la femme, réveillé par ses hurlements, a appelé les carabiniers. Le Cap-Verdien a été arrêté et conduit à la prison de Monza, sous l’inculpation initiale de coups et blessures. L’Italienne a été transportée à l’hôpital, où les médecins espéraient pouvoir lui reconstruire l’oreille. Mais la blessure s’est révélée trop grave pour être opérée : la lésion est irrémédiable. Le Cap-Verdien devrait désormais être jugé pour coups et blessures ayant entraîné des lésions permanentes : il encourt douze ans de prison.

    Crédit photo : Kotoviski, via Wikipédia, (cc).

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