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Blog - Page 1474

  • Un député UMP accusé à mots couverts de dérapage antisémite à l'égard de DSK

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    PARIS (EJP)--- "Ce n'est pas l'image de la France, de la France rurale, de la France des terroirs et des territoires, de la France qu'on aime bien", a estimé l'ancien ministre de l'Agriculture et député UMP Christian Jacob en parlant de Dominique Strauss-Kahn, actuel patron du Fonds monétaire international (FMI) et candidat potentiel à l’élection présidentielle de 2012.

    Ces propos sur Radio J dimanche ont déclenché la colère des proches de Dominique Strauss-Kahn, relayés lundi par une mise au point du porte-parole du Parti socialiste, Benoît Hamon, pour montrer "ce que nous accepterons et ce que nous n'accepterons pas" pendant la campagne présidentielle de 2012.

    Lors du point de presse hebdomadaire du PS, il a dénoncé "les relents très moisis" de la polémique, laissant entendre que celle-ci avait une connotation antisémite. « Je dis là-dessus : stop, tout de suite, tout de suite !  Cette déclaration est « inacceptable ».

    Pour le député PS Jean-Jacques Urvoas, "dire que DSK n'est pas à l'image de la France, c'est sous-entendre qu'il est un étranger, un apatride, membre du "parti de l'étranger ", voire malheureusement bien autre chose"...

     

    Et Pierre Moscovici, qui envisage d'être candidat à la primaire socialiste si Dominique Strauss-Kahn renonce, a jugé "la thématique derrière tout ça profondément malsaine".

    "Il y a un côté 'la terre ne ment pas', sous-entendu M. Strauss-Kahn vous êtes le parti de l'étranger. Cela ressemble à une rhétorique de l'extrême droite entre les deux guerres", a-t-il déclaré.

    Ces reproches sont "excessifs", a estimé le député maire UMP de Nice, Christian Estrosi. Jean-François Copé, patron des députés UMP,  a appelé le PS au "calme". « Il est important que chacun dans une démocratie puisse s'exprimer et appeler l'attention des Français sur les failles de l'adversaire », a souligné le patron de l'UMP. Pour lui, « M. Strauss-Kahn en a une énorme, de faille : il n'est plus en France depuis de nombreuses années maintenant. »

    Strauss-Kahn est devenu durant le week-end la cible numéro un de la droite en raison des spéculations qui vont bon train sur ses velléités présidentielles en 2012.

     
    Le Parti Socialiste doit désigner son candidat à la présidentielle 2012 par le biais de primaires pour lesquelles les candidatures doivent être déposées avant le 13 juillet. Le scrutin aura lieu en octobre.

    Le secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, Pierre Lellouche, a jugé dimanche que le directeur général du Fonds monétaire international incarnait la "gauche ultra-caviar"

    Les spéculations autour de la candidature de Strauss-Kahn ont  été relancées par les confidences de son épouse, la journaliste Anne Sinclair qui a expliqué la semaine dernière dans le magazine Le Point ne pas souhaiter qu'il brigue un deuxième mandat au FMI.

     

    Selon une enquête d'opinion Paris Match/Ifop publiée lundi,  Dominique Strauss-Kahn est au top du palmarès des personnalités les plus populaires  avec 79% d'opinions positives alors que la cote de popularité du président Nicolas Sarkozy stagne à 37% par rapport au mois dernier".

    EJP. 15/02/11

     

     

  • Montpellier: un ado d'origine algérienne en fuite suspecté de meurtre a été arrêté

    Le principal suspect dans une affaire de vol de voiture qui a mal tourné, le 2 janvier dernier, à Montpellier, a été arrêté. Un étudiant avait été tué d’un coup de couteau, et son père avait été blessé.

    Le jeune étudiant et son père avaient été témoins et tenté d’empêcher, le 2 janvier dernier, à Montpellier (Languedoc-Roussillon), d’un vol de voiture. Le, ou les voleurs en question avaient alors poignardé à mort le premier, et blessé le second. Un suspect, adolescent de 15 ans, a été arrêté hier, rapporte Europe 1.

    L’enquête de police avait fini par déterminer le profil du présumé voleur/meurtrier. Et ce dernier, se sachant recherché, avait pris la fuite vers l’Algérie, son pays d’origine, le temps de se faire oublier. Finalement de retour à Montpellier, il a très rapidement été arrêté. Selon les enquêteurs, il resterait un ou plusieurs complices à identifier.

    Nations Presse Info - 15/02/11

  • Tunisie: les parents nonagénaires de MAM ont racheté les parts d'une société d'Aziz Miled, un proche de la famille Ben Ali-Trabelsi

    Les parents de Michèle Alliot-Marie ont racheté le 30 décembre, en plein voyage controversé de la ministre des Affaires étrangères en Tunisie, des parts appartenant à l'homme d'affaires Aziz Miled dans une société, a révélé mardi l'hebdomadaire Le Canard enchaîné.

        
    Photographe : Martin Bureau :: La ministre des Affaires étrangères, Michèle Allio-Marie, et le Premier ministre François Fillon, le 15 février 2011 à l'Assemblée nationale à Paris
    Selon le journal, Bernard Marie et son épouse étaient déjà associés minoritaires (avec environ 13% du capital) dans la société civile immobilière (SCI) Ikram dont étaient propriétaires Aziz Miled et son fils Karim.

    Selon Le Canard enchaîné, les Miled ont vendu, le 30 décembre, à l'hôtel Sentido Beach à Tabarka, toutes leurs parts de cette SCI à Bernard et Renée Marie, qui sont âgés de 94 et de 92 ans, en présence d'employés de la commune de Tabarka. La ministre était alors présente dans l'hôtel, selon le journal.

    "Les éventuelles transactions de ses parents ne concernent en rien Michèle Alliot-Marie et elle n'a pas à les commenter", a déclaré à l'AFP son conseiller de communication, Guillaume Didier.

    Selon le journal, qui est à l'origine des précédentes révélations sur les vols de la ministre et de sa famille à bord de l'avion privé de M. Miled, le montant exact de la transaction des époux Marie n'est pas connu.

    L'acte reçu par ceux-ci ne mentionne, selon les usages locaux, que la valeur nominale des parts, soit 755.000 dinars, environ 325.000 euros, relève l'hebdomadaire.

    C'était une transaction, selon le journal, appelée à rester secrète mais qui était "forcément préparée de longue date", car il fallait l'accord du gouverneur du secteur, lui-même sous tutelle du ministère de l'Intérieur.

    Michèle Alliot-Marie a dû faire face à des appels à sa démission pour avoir utilisé par deux fois, durant ses vacances de Noël en Tunisie, l'avion de son ami tunisien Aziz Miled, présenté comme un proche du beau-frère du président déchu, alors que la révolution de jasmin avait débuté.

    AFP. 15/02/11

  • Toulouse: une joggeuse de 49 ans disparue en rase campagne

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/joggeuse-activement-recherchee-pres-de-toulouse-2157013/

    Une centaine de gendarmes ont ratissé mardi les alentours d'un petit village au nord de Toulouse à la recherche d'une joggeuse de 49 ans disparue depuis lundi, quand elle est partie comme tous les jours faire son footing en rase campagne avant l'aube.

        
    Photographe : Pascal Pavani :: Les gendarmes bloquent une partie de la departementale menant au village de Bouloc, au nord de Toulouse, le 15 février 2011, pour retrouver une joggeuse
    Les gendarmes qui ont mobilisé un hélicoptère, des plongeurs et des maîtres-chiens à la recherche de Patricia Bouchon autour de Bouloc (nord de la Haute-Garonne) ont retrouvé des traces suspectes sans pouvoir en déterminer la nature, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

    "On a trouvé des traces", relevées par les techniciens d'investigation criminelle de la gendarmerie, "mais on ne sait pas ce que c'est", a dit cette source. "Toutes les pistes sont ouvertes" quant au motif de la disparition, a-t-elle dit.

    Les gendarmes n'écartent aucune hypothèse, personnelle, accidentelle ou criminelle. Mardi en milieu d'après-midi, ils travaillaient "toujours sur une disparition inquiétante", a dit une autre source.

    En blouse blanche, les techniciens d'investigation criminelle s'affairaient dans un périmètre bouclé par les enquêteurs, autour de la maison de la disparue et sur une section de route départementale, a constaté un photographe de l'AFP.

    Depuis lundi, des dizaines de gendarmes fouillent les routes de campagne autour de Bouloc. Un hélicoptère a survolé la zone mardi pour la deuxième journée consécutive et des plongeurs ont sondé les quelques retenues d'eau du secteur.

    C'est le long de ces routes que cette mère de famille, secrétaire dans un cabinet d'avocats, va courir tous les matins vers 4H30, alors qu'il fait encore nuit, avant d'aller travailler.

    Lundi, elle est partie comme à son habitude en se munissant seulement de ses clés, sans emporter ni argent ni portable, a rapporté la gendarmerie.

    Entre 5H30 et 6H00, ne la voyant pas revenir, son mari a alerté les gendarmes, ont dit ces derniers.

    Il s'agit d'une disparition totalement inexpliquée, ont déclaré les gendarmes. Le mari de la joggeuse, lui, "ne comprend pas", soulignait-on à la gendarmerie.

    Les recherches menées par une trentaine de gendarmes lundi avec l'aide de maîtres-chiens et de policiers municipaux sont restées vaines et ont été interrompues à la tombée de la nuit.

    L'inquiétude grandissant, le dispositif a été considérablement renforcé mardi. Les patrouilles ont repris leur travail vers 8H00 en refaisant systématiquement à pied les itinéraires communément empruntés par la coureuse.

    Celle-ci est bien connue du voisinage pour courir le long des départementales avant la levée du jour. Elle aurait ainsi été aperçue une dernière fois par un commerçant avant de disparaître.

    Le portrait de la disparue a été affiché dans tous les commerces de Bouloc.

    Tandis qu'elles se poursuivaient sur le terrain, les investigations ont été étendues au champ judiciaire et à tout ce qui, dans "l'environnement" de la joggeuse, pourrait expliquer la disparition.

     

    AFP. 15/02/11 

  • Le Mexique refuse le retour de Florence Cassez en France

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    (Cliquez sur la photo)

    Les autorités mexicaines opposent un refus net au souhait de Nicolas Sarkozy de transférer Florence Cassez en France et annoncent leur retrait de l'Année du Mexique organisée en France et dédiée à la détenue.

    Depuis de longs mois, le dossier empoisonne les relations franco-mexicaines, et celles-ci ne sont pas prêtes de se détendre. Le gouvernement mexicain a en effet annoncé lundi soir qu'il n'avait nullement l'intention de transférer Florence Cassez en France, contrairement à la requête formulée par Paris. «Le procès de Florence Cassez a démontré sa culpabilité», a ainsi assuré le ministère mexicain des Affaires étrangères.

    Mexico est allé plus loin encore en pointant directement du doigt l'implication de Nicolas Sarkozy dans toute cette affaire. «Il est vraiment surprenant qu'un chef d'État prenne une décision de politique extérieure affectant les liens entre deux peuples et deux gouvernements en consultant une personne condamnée par la justice mexicaine pour des délits de nature particulièrement grave»,a ainsi poursuivi le ministère mexicain.

     

    «Une affaire d'État» selon Mitterrand

     

    En guise de désapprobation, le Mexique a donc annoncé dans la foulée son retrait de l'organisation de l'année du Mexique en France, qui faisait pourtant figure de symbole aux yeux de la Française incarcérée depuis maintenant plus de cinq ans pour «complicité d'enlèvements». «Le gouvernement du Mexique ne permettra pas que les artistes et créateurs, ainsi que les entrepreneurs et autres participants à ce programme, soient exposés à des manifestations étrangères aux objectifs qui les avaient mobilisés à l'origine et qui empêcheraient une appréciation adéquate de leurs œuvres et de leurs contribution», a ainsi fait valoir Mexico.

    Pourtant, Nicolas Sarkozy avait annoncé un peu plus tôt dans la journée son intention de maintenir cet événement en France, mais en le dédiant à Florence Cassez. «Le peuple de France est ami avec le peuple du Mexique» et «nous faisons la différence entre le peuple mexicain et certains de ses dirigeants», a affirmé le président français, qui a reçu pour la dixième fois consécutive les parents de Florence Cassez et s'est entretenue «longuement» par téléphone avec la jeune femme lundi. «Supprimer l'année du Mexique en France serait faire offense au peuple mexicain» et serait «inapproprié», a-t-il argué. Une décision partagée par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand, qui a réagi, mardi, à la décision mexicaine : «Cela n'est pas bien quand un État prend la culture comme instrument d'action» (...), «On est plus dans une affaire de culture mais une affaire d'État».

     

    « Le pire serait l'oubli» 

     

    Arrivés vers 18 heures lundi accompagnés par leur avocat Franck Berton et Thierry Lazaro, député maire (UMP) de Phalempin, Charlotte et Bernard Cassez avaient exprimé leur vive inquiétude après le rejet en bloc de l'«amparo» déposé en août dernier, ultime pourvoi en cassation de leur fille. Cette décision définitive, promulguée jeudi dernier, n'a fait que cristalliser le refroidissement diplomatique entre les deux pays. La ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, avait fustigé un «déni de justice » avant que les ambassadeurs deux pays ne soient convoqués dans les capitales respectives.

    Ne cessant de clamer son innocence depuis son arrestation en 2005, Florence Cassez n'était pas favorable au boycott des festivités de l'année du Mexique en France. La plus célèbre prisonnière française redoute par-dessus tout deux choses. «Le pire qui pourrait m'arriver, c'est l'oubli», martèle-t-elle. Par ailleurs, Florence Cassez actuellement détenue dans une prison pour femmes à Tapepa, au sud de Mexico, refuse d'être transférée dans des geôles d'où elle risque de ne jamais ressortir. «Elle est terrorisée à l'idée d'être transférée dans une prison de haute sécurité, a confié son avocat Franck Berton. Elle a déjà connu pendant plusieurs mois l'enfer du pénitencier de Santa Marta, et on parle même d'une île prison, très célèbre en Amérique, où elle pourrait être transférée. Dans ce cas, elle craint pour sa vie, tout simplement…» Nicolas Sarkozy, entouré des parents de la jeune fille et de Michèle ­Alliot-Marie, a solennellement demandé aux autorités mexicaines de «veiller à la sécurité» de la jeune femme. Il devrait prochainement s'entretenir avec le président mexicain Felipe Calderon et publier une tribune dans la presse mexicaine.

    Le Figaro - 15/02/11

  • Agression mortelle dans le métro de Lyon: la victime a eu la gorge tranchée pour une simple remarque

    Le meurtrier présumé d'un jeune Villeurbannais de 27 ans, hier vers 17h30 dans une rame du métro A au niveau de la station Charpennes, a été interpellé cette nuit à 3h20 cours Charlemagne à Lyon, alors qu'il sortait de son domicile. L'homme, un marginal de 47 ans, est en effet hébergé dans le quartier de la gare de Perrache.

    Connu des services de police pour des affaires de stupéfiants, de violence et d'incivilités (onze condamnations à son actif), il a été identifié grâce à son signalement diffusé à tous les services de police. Au cours de son audition, il a reconnu avoir porté un coup à la carotide -à l'aide d'un couteau Laguiole et non d'un cutter comme le laissait penser les premiers éléments recueillis auprès des témoins du drame- à un passager de la rame de métro dans laquelle il avait pris place.

    L'origine du différend est bien aussi futile qu'évoqué à l'origine. Le suspect était accompagné de son furet qu'il avait laissé en liberté au milieu des voyageurs. La victime lui en avait alors fait la remarque. Le jeune homme, grièvement blessé à la gorge, est décédé lundi à 16 heures des suites de ses blessures.

    Le marginal sera présenté au parquet demain. Plusieurs témoins devaient être entendus dans la journée par les enquêteurs, qui devaient en outre perquisitionner le domicile du marginal. La rame de métro dans laquelle s'est déroulée l'agression est elle toujours placée sous scellées au dépôt des TCL.

    Le Progrès.fr - 14/02/11

    Et on  nous répète que l'insécurité recule alors qu'elle ne cesse d'augmenter! 

  • Les bédouins s'emparent du Sinaï

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    La péninsule du Sinaï deviendra-t-elle un terreau pour le djihad mondial ? C'est ce que craint Israël, depuis la publication de rapports qui indiquent que la police égyptienne a abandonné ce territoire, poussée par des vagues de violences bédouines.

    Des dizaines de postes sont désormais vidés de leurs policiers, à la suite d'attaques de bédouins, armés de missiles et de fusils d'assaut. Il y a deux semaines, face à cette violence, Israël avait autorisé un déploiement de 800 soldats égyptiens à Charm el-Cheikh et à Rafiah. Les demandes de troupes supplémentaires ont depuis été rejetées. Ces dernières années, le Sinaï est devenu une zone de lancement des attaques contre Israël, parmi lesquelles celles du Hamas. Il y a quelques mois, le mouvement islamiste a tiré des roquettes Katyusha sur Eilat, depuis le territoire égyptien.

    L'Egypte reprendra-t-elle le contrôle ?

    L'armée égyptienne a toujours eu beaucoup de mal à contrôler la population bédouine, qui ne prête d'ailleurs pas allégeance au gouvernement du Caire. "On sait bien que le Sinaï ne se plie à aucune loi", soulignait un haut cadre de la Défense, ce week-end. "Il y a une réelle inquiétude : que les Egyptiens ne retrouvent pas le contrôle du Sinaï et que ce territoire devienne une menace majeure pour Israël."

    L'Etat hébreu a donc appelé ses citoyens à quitter le Sinaï sur le champ, et s'inquiète d'une potentielle prise de contrôle de certaines parties de la péninsule par le Hamas. Il pourrait alors fomenter des attaques contre Israël via la frontière israélo-égyptienne longue de 240 kilomètres. Autre impact éventuel de l'absence des forces de police égyptienne : l'augmentation d'armes et d'explosifs que le Hamas fait passer dans la bande de Gaza via l'Egypte.

     

    JERUSALEM POST - 13/02/11

  • Gel d'avoirs: Le Caire sollicite Paris

    Les autorités égyptiennes ont demandé aujourd'hui à la France de geler les avoirs d'anciens hauts responsables égyptiens, mais pas ceux de l'ancien président Hosni Moubarak ni de sa famille, a indiqué le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero.

    Le Figaro - 14/02/11

  • Mitry-Mory: le lycée flambant neuf mis à sac par des vandales

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    Ce week-end, le lycée , à Mitry-Mory (Seine-et-Marne), a été littéralement mis à sac par des vandales, alors qu’une partie des bâtiments venait juste d’être rénovés et agrandis. Après des mois de travaux, une aile de l’établissement flambant neuve devait ouvrir ses portes aux élèves à la rentrée des vacances d’hiver.

    Horloges, bureaux, lampes... Les malfaiteurs ont non seulement cassé le mobilier à leur portée mais aussi ouvert tous les robinets d’une salle de cours. L’eau, après avoir coulé abondamment pendant des heures, s’est infiltrée dans l’ensemble des plafonds. A l’arrivée des ouvriers du chantier, venus peaufiner les travaux lundi matin, le hall et le rez-de-chaussée baignaient dans environ dix centimètres d’eau. La région, qui finance la rénovation du lycée, a porté plainte. L’étendue des dégâts, estimés «très importants», n’a pas encore été chiffrée.
    Le Parisien - 14/02/11

  • Agression mortelle au cutter dans le métro lyonnais

    Un jeune homme de 27 ans est décédé lundi après avoir été frappé la veille d'un coup de cutter à la gorge dans le métro lyonnais et son agresseur présumé, un marginal de 47 ans, a été interpellé dans la nuit et placé en garde à vue, a-t-on appris auprès de la police.
    Hospitalisée dimanche avec un pronostic vital réservé, la victime a succombé à ses blessures lundi à 16H00, selon une source hospitalière.

    L'agresseur présumé, dont le signalement avait été donné par des témoins, a été interpellé vers 3H30 lundi dans le quartier de la gare de Perrache, selon la police. Il n'a pour l'instant pas reconnu les faits.

    "C'est un marginal connu des services de police et déjà condamné à dix reprises entre 1988 et 2005 pour vols, dégradations et violences avec arme, mais depuis un certain temps il ne faisait plus parler de lui", a précisé une source judiciaire.
    Selon des témoins de l'agression survenue vers 17H30, la victime aurait été importunée par le furet que transportait le marginal et lui en aurait fait le reproche. L'homme aurait alors sorti son cutter et lui aurait porté un violent coup à la gorge, avant de prendre la fuite.
    "Grâce à la vidéo protection du réseau Kéolis et du réseau urbain et compte tenu du fait qu'il était multirécidiviste, l'interpellation a pu avoir lieu une douzaine d'heures après les faits", souligne-t-on.
    Plusieurs témoins devaient être entendus dans la journée par les enquêteurs, qui devaient en outre perquisitionner le domicile du marginal.
    Le Parisien - 14/02/11
  • Attaque informatique contre Hautetfort

    Hautetfort a subi hier, de 14h 15 à plus de 23 h, une attaque  de type DDOS, c'est-à-dire une attaque informatique par "déni de service". 

    Hautetfort présente ses excuses à tous les blogueurs et à leurs visiteurs.

    Les problèmes ne sont pas encore tous éliminés, malgré le travail remarquable de la plateforme pour les résoudre au plus vite.

    Aussi, amis visiteurs, si vous ne pouvez pas avoir accès à mon blog, sachez que je n'en suis pas responsable, pas plus d'ailleurs que mon hébergeur Hautetfort. J'en suis la première désolée, ne pouvant pas poster de notes ni envoyer les commentaires.

    En vous remerciant pour votre compréhension,

    bien cordialement,

    Gaëlle Mann

     

  • Le lynchage de Bollène dont les médias n'ont pas parlé...

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    12/2/2011 – 16h10
    BOLLENE (NOVOPress) : Samedi 5 février dans l’après-midi, à Bollène dans le Vaucluse, un événement dramatique comme il y en a de plus en plus en ce moment est survenu entre un jeune homme de type européen de 18 ans et un jeune d’origine maghrébine de 14 ans sur des motifs non encore complètement définis. Alors qu’il assiste en spectateur à un match de hand-ball au gymnase du lycée Lucie-Aubrac de Bollène, E. J., lors d’une pause cigarette, se fait prendre à partie par un « jeune » de la cité voisine. Le ton monte rapidement, le  « jeune » frappe le premier, mais il a en face un solide garçon qui le maîtrise rapidement.

    L’histoire, qui semble au départ banale, aurait pu en rester là. C’était sans compter sur une volonté délibérée d’en découdre beaucoup plus sérieuse venant de la part de notre jeune Français d’origine extra-européenne et de ses inévitables et nombreux petits camarades ! En quelques minutes, au moins une quinzaine de « jeunes » – et de beaucoup moins jeunes, puisque, selon les témoins, il y a aurait eu quelques jeunes adultes dans le lot – investissent le gymnase et fondent sur leur proie.

    Une patrouille de la police municipale — deux agents en ronde devant le lycée – intervient immédiatement pour séparer les protagonistes et tente de maitriser la situation et, dans la confusion générale, le jeune homme sort par une porte arrière où l’attend malheureusement le reste du groupe. S’ensuit un terrible passage à tabac dans les règles, où, comme dans les pires images des « chasses aux Blancs » des manifestations du CPE, la victime, une fois à terre, a été frappée de coups de pied en plein visage et piétinée à pieds joints alors qu’elle était déjà inconsciente !

    Le jeune homme a été transporté à l’hôpital où il est resté quelques heures dans le coma, et où il a subi une première opération d’une sérieuse blessure à la tête. Son pronostic vital n’est, heureusement, pas engagé. Mais il devrait néanmoins certainement subir dans les jours qui viennent de nouvelles opérations. Il a d’ores et déjà un arrêt de travail d’un mois et demi minimum. Il est à noter que la gendarmerie a mis pas moins de 35 minutes à se rendre sur les lieux (distance gendarmerie-lycée, moins de 5 km…) et n’est arrivée que lorsque tout était absolument fini.

    Jeudi 10 février, la presse bollénoise n’avait toujours pas daigné parler de cette sordide histoire, ni La Provence, ni Vaucluse Matin (groupe Le Dauphiné). Ce n’est qu’après un communiqué officiel de la mairie, qui, devant ce silence assourdissant et pour montrer son soutien à ses agents, à la victime et à sa famille, a appelé à manifester devant le lycée vendredi à 17 heures, que la presse a daigné y consacrer quelques lignes, se permettant au passage de tromper leurs lecteurs sur la date de la manifestation, la reportant à samedi ! Le communiqué de la mairie a d’ailleurs été modifié pour « épargner certaines susceptibilités »…

    Une série de plaintes est en cours de dépôt et les agents municipaux ont formellement reconnu plusieurs des protagonistes, habitant pour la plupart dans les cités voisines du lycée et bien connus des services de police. De plus, le rapport de police fait clairement état de propos tenus par les agresseurs visant la qualité de « Blanc » de la victime et leur claire appartenance à une autre ethnie pour justifier leur violence : « Chez nous, il n’y a pas de plainte, on fait comme ça »…

    La directrice du lycée a dès à présent pris la décision, pour des raisons de responsabilité professionnelle et de sécurité, de dénoncer tous les accords entre le lycée et les associations extérieures impliquant des rencontres ouvertes au public dans son établissement. Cette situation pénalise durement au passage le club de hand-ball de Bollène qui devait jouer plusieurs matchs important dans ce gymnase dans les semaines qui viennent et qui regrette amèrement cette décision consécutive à un drame n’ayant impliqué aucun de ces joueurs mais seulement du public.

    R. B., pour Novopress


  • Comment Michel Drucker a fait censurer l'agence Novopress

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    12/2/2011 – 18h15
    PARIS (NOVOPress) :
    Jeudi dernier 10 février dans l’après-midi, l’agence de presse en ligne Novopress a brutalement disparu des écrans. Les internautes qui voulaient se connecter tombaient sur un écran blanc marqué de ces seuls mots : « Forbidden. You don’t have permission to access on this server. » (« Interdit. Vous n’avez pas la permission d’accéder à ce serveur. ») Responsable de cette interdiction : Michel Drucker !

    Copieusement assaisonné par une tribune libre de Julien Jauffret publiée le 25 janvier sur Novopress France sous le titre « Des mœurs sordides de l’édition », Michel Drucker avait réussi, par l’intermédiaire de son avocat, Me Jean-Pierre Mignard, à obtenir de la société OVH, hébergeur de Novopress sur Internet, la fermeture de l’antenne pour des propos « manifestement illicites » !

    Dans un long courrier adressé la veille à OVH, Me Jean-Pierre Mignard reprenait le texte incriminé en en soulignant les passages qui, selon son client, étaient soit injurieux, soit diffamatoires, soit attentatoires à sa vie privée. Soit… à peu près tout le texte ! Par exemple ce passage : « L’homme est une institution à lui tout seul, une sorte de girouette molle. » Où est la diffamation ? Où est l’injure ? Et de quel droit fait-il exercer une véritable censure plutôt que de recourir aux voies judiciaires classiques ? Du droit du prince du canapé rouge ?

     

    Côté « vie privée » de Michel Drucker, c’est tout aussi coquet. Novopress aurait porté atteinte à la « vie privée » de l’animateur de Vivement Dimanche en parlant de son différend avec l’écrivain français d’origine camerounaise Calixthe Beyala, relaté par toute la presse et détaillé dans un jugement (public) de la cour d’appel de Paris rendu le 13 janvier dernier. Il y figure noir sur blanc que Michel Drucker a été condamné à verser 30 000 euros de dommages et intérêts, et 10 000 euros au titre des frais de justice, à celle avec qui il avait établi « une relation intime ». Elle avait d’ailleurs raconté cette liaison, de façon romancée, dans L’homme qui m’offrait le ciel (Albin Michel, 2007). Le différend portait sur un livre d’entretiens avec Régis Debray que Michel Drucker avait commandé à Calixthe Beyala, lorsqu’ils étaient « intimes », et pour lequel elle n’avait jamais été payée.

    Vendredi matin, Novopress a pu reprendre l’antenne mais sous la seule condition de supprimer la tribune libre qui avait tant offensé Michel Drucker. Le texte de Julien Jauffret n’est donc plus accessible. Pour le moment. Et Novopress étudie la possibilité de poursuivre Michel Drucker pour son atteinte « manifestement illicite » à la liberté de la presse.

    Novopress - 12/02/11


  • Martine Aubry boycotte l'année du Mexique!

    Le pourvoi en cassation déposé par Florence Cassez au mois d’aout 2010 a été rejeté en bloc par la justice mexicaine.

    La Française est donc définitivement condamnée à soixante ans de prison pour enlèvements.

    Florance Cassez, 36 ans, vient de passer cinq ans en prison au Mexique.

    Vendredi, face à cette condamnation définitive, Martine Aubry, première secrétaire du PS a appelé les collectivités locales socialistes à boycotter l’année du Mexique en France.

    La maire de Lille a ainsi annulé dans sa ville une exposition d'estampes mexicaines, dont le vernissage avait eu lieu jeudi soir, précise Europe 1.

    Une exposition qui devait être ouverte au public, vendredi, jusqu’au 3 avril prochain.

    De son côté, Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture, a précisé qu’il déciderait, lundi, de la position de son ministère, en ce qui concerne cette année du Mexique.

    La mère de Florence Cassez, Charlotte, soutient la démarche de Martine Aubry. Elle a même réclamé vendredi à Nicolas Sarkozy l'annulation de l'année du Mexique en France, indique La Voix du Nord.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • 140: identifié par Zoé!

    140 - Edouard BRANLY  (1844-1940)  Physicien et médecin français

    Lire sa vie et ses oeuvres: http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89douard_Branly

    Bravo à Zoé, la seule à avoir donné la réponse juste!

    Merci à ceux qui ont participé!

    Le jeu continue!

  • Un témoignage accablant contre Florence Cassez (13 mai 2009)

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    Selon la police mexicaine, un membre du "gang du Zodiaque" capturé la semaine dernière a désigné Florence Cassez comme la codirigeante de la bande. Un témoignage accablant qui intervient alors que la jeune femme espérait un prochain transfèrement en France.

    Marie Desnos - Parismatch.com

    Les espoirs de Florence Cassez de voir sa peine écourtée, ou du moins d’être transférée en France s’amenuisent. Alors que la Française, condamnée au Mexique pour enlèvements et détention d'armes à une peine de 60 ans de prison, se bat depuis des mois pour faire entendre son innocence, et multiplie les interviews pour ne pas tomber dans l’oubli, un nouveau témoignage pourrait bien réduire ses efforts à néant.

    La police mexicaine a en effet rapporté hier le témoignage d’un homme qui a avoué avoir participé aux kidnappings orchestrés par le compagnon de l’époque de Florence Cassez : Orozco Hernandez, arrêté la semaine dernière, assure que la jeune femme de 34 ans codirigeait la bande en question, le « gang du Zodiaque ». Plus même qu’une complicité, Florence aurait donc organisé les enlèvements, et serait même aller récupérer certaines rançons. Une thèse qui confirme d’ailleurs les témoignages recueillis par les victimes du « gang du Zodiaque » -sur la foi desquels Florence a été condamnée.

    La « Francesa », comme les Mexicains l’appellent, affirme pour sa part qu’elle ignorait tout des activités criminelles de son ami Israel Vallarta, rencontré en 2004, un an après son arrivée au pays pour des vacances. 

    Paris Match - 11.02.11

  • Jugement d'amparo: Florence Cassez reste en prison

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    Les juges mexicains ont décidé de rejeter le pourvoi en cassation de Florence Cassez. Ils la déclarent coupable des délits d’enlèvements et de ports d’armes. La Française devra donc purger sa peine de 60 ans au Mexique.

    Clair et sans appel. Les juges fédéraux mexicains du Septimo tribunal ont émis un communiqué jeudi 10 février dans lequel ils déclarent que la justice “refuse la cassation du jugement qui a condamné Florence Cassez”.

    Les avocats de Florence avaient déposé une demande “d’amparo”, c’est-à-dire d’un jugement en cassation, afin de remettre en cause la condamnation à 60 ans de prison pour enlèvements et ports d’armes interdites, prononcée à l’encontre de Florence Cassez en 2009.

    Dans la décision que Le Grand Journal s’est procuré, les juges mexicains détaillent que la “violation des droits invoquée par Florence Cassez est infondée et inopérante”.

    “Il est inexact que Florence Cassez ait été détenue illégalement, car en cas de flagrant délit, comme dans le cas présent, toute personne peut être arrêtée”, détaillent les juges.

    Par ailleurs, dans leur examen du pourvoi en cassation, les juges mexicains refusent de prendre en compte le montage télévisé dont ont été victimes Florence Cassez et Israel Vallarta 24h après leur arrestation. “Ces images télévisées n’ont pas été prises en considération, ni pour ni contre Florence Cassez”. Ils estiment que la mise en scène de la police mexicaine “ne cause aucun préjudice” à Florence Cassez.

    Enfin, sur le fond de l’affaire, les juges ne prennent pas non plus en compte les déclarations contradictoires des victimes. “La défense (de Florence Cassez) avance l’argument que les victimes n’ont jamais vu le visage Florence Cassez, mais elles ont livré des caractéristiques qui coïncident avec Florence Cassez, telle que la texture et la couleur de la peau de ses mains, la couleur de ses cheveux, sa voix et son accent étranger”…

    A présent, Florence Cassez a épuisé tous ses recours juridiques au Mexique (jugement d’appel puis amparo). Sa défense compte présenter une plainte à la Cour interaméricaine des droits de l’homme. Une procédure qui peut durer plusieurs années.

    La décision a été prise alors qu’une polémique s’est déclenchée entre l’ambassade de France et des ONG mexicaines qui accusent la France d’avoir fait pression sur les juges mexicains.

    Raphaël Morán-www.legrandjournal.com.mx

    Le Grand Journal du Mexique - 10/02/11

  • Décès d'un adolescent: le Quick d'Avignon autorisé à rouvrir

    Le jeune Benjamin Orset y avait pris un repas avec sa famille le vendredi 21 janvier au soir avant de décéder le lendemain.

    "Cette décision administrative est indépendante de la procédure judiciaire, qui vise à déterminer les causes du décès de Benjamin Orset".

    Photo Ange Esposito

     Le préfet du Vaucluse vient de faire savoir qu'il autorisait la réouverture du restaurant Quick de Cap Sud Avignon. C'est à la suite du décès d'un adolescent d'Opède, Benjamin Orset, 14 ans, le samedi 22 janvier, qu'un contrôle avait été réalisé le jour même par le service d'hygiène et de sécurité alimentaires de la direction départementale de protection des populations. Le jeune homme y avait pris un repas la veille au soir avec sa famille.

    Un certain nombre de défaillances avaient été constatées "au regard des normes sanitaires" dit-on en préfecture, induisant le même jour un arrêté de fermeture administrative de cet établissement. "Depuis lors, la mise en conformité aux règles d'hygiène et de salubrité a été réalisée et vérifiée sur place par les services d'inspection spécialisés. En conséquence, le préfet a décidé de lever ce jour la mesure de fermeture administrative s'appliquant à l'établissement de restauration Quick situé chemin de la Croix de Noves" (Avignon sud).

    La préfecture rappelle que "cette décision administrative est indépendante de la procédure judiciaire, menée désormais sous l'autorité d'un juge d'instruction, qui vise à déterminer les causes du décès de Benjamin Orset".

    Le procureur de la République d'Avignon, Catherine Champrenault, avait révélé que l'oedème au cerveau qui a tué l'adolescent est probablement la conséquence d'une toxi-infection alimentaire. Les experts ont découvert dans son liquide gastrique la présence d'un staphylocoque doré et d'un Bacillus cereus sans pouvoir pour le moment déterminer s'il a ingurgité un aliment infesté de bactéries mais aussi de toxines la veille de son décès, ou s'il a mangé un produit portant seulement des bactéries qui ont ensuite libéré, en moyenne en trois ou quatre jours, des toxines dans son organisme. Reste donc à établir la nature des toxines.

    La Provence - 11/02/11