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Blog - Page 1479

  • Un élève handicapé de 10 ans envoie sa maîtresse à l'hôpital

    La scolarisation des enfants handicapés est un droit et une obligation. La sécurité des élèves et des enseignants, une autre. Et c’est entre ces deux principes que jonglent, depuis des semaines, les enseignants de l’école des Marais, au centre-ville de Provins.
    Hier à 10h30, alors que les écoliers rentraient en classe après la récréation, un enfant de CM 1, pris d’une crise de violence aiguë, a frappé son enseignante dans le couloir de l’école, la blessant à coups de pied alors qu’elle gisait à terre.

    Transportée en ambulance à l’hôpital de Provins, elle est rentrée chez elle dans l’après-midi, en état de choc.
    Son agresseur, âgé de 10 ans, est inscrit auprès de la maison départementale des personnes handicapées (MDPH). Il est encadré par une auxiliaire de vie scolaire et suivi de près par les enseignants et des « conseillers spécialisés ». Mais depuis septembre, il manifestait des crises récurrentes et violentes. « Il est incapable de se contrôler, précise-t-on à l’inspection d’académie de Melun. Il ne s’agit pas de violence volontaire. »

    Depuis fin novembre, il a blessé deux autres camarades

    Selon nos informations, l’élève et sa famille attendaient depuis plusieurs semaines un placement dans un centre adapté à son état de santé.
    Une mesure réclamée par plusieurs parents d’élèves, inquiets. Depuis la fin novembre, deux autres écoliers ont été blessés par leur camarade. « Mon fils a été frappé à coups de cartable au visage dans la cour de récréation, raconte Renée, qui a porté plainte au commissariat. Tous les jours, il y a des problèmes, des coups et des insultes. Les enfants ne peuvent pas suivre les cours normalement. » Depuis le 20 janvier, une autre petite fille est arrêtée, après avoir été « poussée dans les escaliers » par ce camarade. « Elle ne veut plus retourner en classe, elle a tellement peur qu’elle est prise de vomissements », assure sa mère.
    Demain, une partie des parents d’élèves doit faire signer une pétition devant la grille de l’école, pour demander « que l’Education nationale prenne ses responsabilités et mette nos enfants à l’abri, affirme Renée. On ne veut pas attendre un problème extrême… »

    L’Education nationale affirme n’avoir pas attendu. Horaires aménagés, suivis personnalisés, changements de classes… « Nous faisons le maximum depuis la rentrée, mais tout ne dépend pas de nous », assure Hervé Brun, conseiller de vie scolaire à l’inspection d’académie de Melun. Celui-ci doit rencontrer demain les parents et les enseignants de l’école. Pour rassurer. Et rappeler que « l’Education nationale a l’obligation d’accueillir tous les enfants ».
    Le Parisien - 02/02/11 

     

     

  • Une photo honteuse

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    Le magnat sud-africain Kenny Kuenene (G) mange des sushis posés sur une femme, le 30 janvier 2011 à Cape Town

    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    AFP. 02/02/11

  • Vacances en Tunisie: Alliot-Marie écarte toute démission, pour elle tout est "très clair"

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-internationale/mam-s-explique-sur-le-jet-utilise-en-tunisie-2091523/

    La chef de la diplomatie française, Michèle Alliot-Marie, accusée d'avoir profité des largesses d'un homme d'affaires lié au clan Ben Ali et déjà critiquée pour des propos controversés sur la Tunisie, a rejeté mercredi toute démission, réclamée par l'opposition socialiste.

    "Si je prends mes vacances parfois en Tunisie, c'est à mes frais, voyages et hôtels", a-t-elle assuré ensuite devant l'Assemblée nationale.

    Elle répondait à des interrogations sur l'utilisation fin 2010 par elle et sa famille d'un jet privé en Tunisie, alors en révolte contre son président. Pour l'opposition socialiste, Michèle Alliot-Marie s'est "totalement disqualifiée" avec ce voyage et n'a "plus sa place au gouvernement".

    L'hebdomadaire Le Canard Enchaîné a révélé qu'elle avait bénéficié entre Noël et le Jour de l'An de l'avion d'un Tunisien, Aziz Miled, entre Tunis et la ville de Tabarka, pour y passer des vacances dans un hôtel lui appartenant. Elle était accompagnée de ses parents et de son compagnon, Patrick Ollier, lui aussi ministre (Relations avec le Parlement). Ce voyage est intervenu deux semaines après le début de la révolte tunisienne.

    Ami du couple, Aziz Miled est présenté par Le Canard Enchaîné comme un proche de Belhassen Trabelsi, beau-frère de l'ex-président Zine el Abidine Ben Ali. Cet homme d'affaires fait partie d'une liste de personnalités tunisiennes dont la Suisse a gelé les avoirs le 19 janvier.

    Pour le compagnon de la ministre, Patrick Ollier, Aziz Miled est "une victime" du clan Ben Ali. "Certainement il connaissait le président Ben Ali, mais il a construit sa fortune de ses propres mains" et a été "spolié" par les Trabelsi qui lui ont "pris 20% de sa compagnie" aérienne, a-t-il précisé à la radio RTL.

    Cet ami "est un chef d'entreprise respecté en Tunisie", a renchéri Michèle Alliot-Marie, dont l'adjoint chargé des Affaires européennes, Laurent Wauquiez, a dénoncé une "campagne indigne d'acharnement" contre elle.

    Michèle Alliot-Marie avait récemment admis ces vacances en Tunisie. "Comme des millions de Français, je vais en Tunisie. Voilà tout", avait-elle expliqué.

    "Quand on est dans un gouvernement, on n'a pas à utiliser des moyens privés" liés à une famille controversée, a rétorqué également sur RTL la patronne du parti socialiste Martine Aubry. Avoir "des liens très personnels avec la Tunisie" rend "aveugle", avait jugé récemment Ségolène Royal, ex-candidate socialiste à la présidentielle de 2007.

    Ministre depuis plus de huit ans en France (Intérieur, Défense et Justice), Michèle Alliot-Marie avait déjà été critiquée après son offre le 11 janvier d'une coopération policière au régime de l'ex-président, alors que les manifestations se multipliaient en Tunisie.

    Après avoir dû reconnaître que la diplomatie française avait sous-estimé l'ampleur de la protestation en Tunisie, elle a aussi été sommée de s'expliquer sur la fourniture de grenades lacrymogènes au régime Ben Ali.

    Pour les socialistes, la ministre n'"a pas dit la vérité" à ce sujet. Le 25 janvier, Michèle Alliot-Marie avait assuré que la coopération policière de la France avec la Tunisie s'effectuait "essentiellement dans le cadre d'Interpol".

    Depuis, le Premier ministre François Fillon a indiqué que la France avait bien autorisé l'exportation de produits explosifs en Tunisie en novembre 2010 et janvier 2011, juste avant le départ de Ben Ali, mais que les livraisons n'avaient pas été effectuées.

    AFP. 02/02/11

    Tunisie, Maroc... ils aiment aller se reposer dans ces pays, où ils retrouvent des amis... Mais ils ne prennent jamais leurs vacances en France comme des "millions de Français"!

  • En Egypte, des centaines de blessés dans des heurts entre pro et anti-Moubarak

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    La place Tahrir au Caire, coeur de la contestation contre le président égyptien depuis neuf jours, s'est transformée mercredi en champ de bataille entre pro et anti Hosni Moubarak faisant au moins 500 blessés.

    Arrivés par milliers dans la matinée, des partisans du chef de l'Etat se sont violemment heurtés aux manifestants. Ils ont notamment jeté des blocs de pierre sur les manifestants depuis des toits et des balcons d'immeubles surplombant la place Tahrir, théâtre de la révolte depuis le 25 janvier.

    La bataille a aussi gagné les abords du Musée égyptien, qui abrite des trésors inestimables de l'Antiquité pharaonique. Les soldats ont formé une chaîne pour protéger l'établissement, mais en fin d'après-midi, deux cocktails Molotov ont atterri dans la cour du musée.

    Plus tôt, des pro-Moubarak ont chargé les manifestants à dos de cheval et de chameau, avant d'être encerclés. Au moins six personnes ont été jetées à bas de leur monture, frappées à coups de bâtons et traînées au sol, le visage en sang.

    Et les manifestants se sont jeté des pierres et battus à coups de poings et de bâtons autour des chars de l'armée qui gardent les accès à la place. A l'exception de tirs de semonce en début d'après-midi, les militaires ne se sont pas interposés.

    A la nuit tombée, des gaz lacrymogènes ont été tirés contre les manifestants anti-Moubarak près de la place, mais leur origine n'était pas claire. Selon l'opposition, des policiers en civil se trouvaient parmi les pro-Moubarak, une information démentie par le ministère de l'Intérieur.

    Un journaliste et un photographe de l'AFP ont vu des centaines de blessés, parfois transportés sur les épaules de leurs camarades.

    Des médecins volontaires à la mosquée Ibad al-Rahmane, près de la place, où un hôpital de campagne a été installé, ont indiqué avoir accueilli au moins 500 blessés.

    "Ce qu'on voit devant nous n'est jamais arrivé auparavant. Des accrochages entre Egyptiens, c'est la guerre civile", a déploré Mohamed Sayed Mostafa, 26 ans.

    En milieu de journée, l'armée avait appelé les manifestants à rentrer chez eux. "Vos revendications ont été entendues", a déclaré un porte-parole à la télévision publique, appelant les manifestants à rentrer chez eux pour que "la sécurité et la stabilité" soient rétablies.

    Dans un discours mardi soir à la télévision, M. Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans, a annoncé qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat lors de l'élection présidentielle en septembre et s'est engagé à préparer une transition pacifique.

    Mais cette annonce n'a pas apaisé la contestation. Les Frères musulmans, principale force d'opposition, ont rejeté "toutes les mesures partielles proposées" par le président et refusé qu'il reste en poste jusqu'en septembre.

    Sur la place Tahrir, où les manifestants campent par milliers la nuit malgré le couvre-feu, deux grandes banderoles étaient toujours déployées, l'une en anglais disant "le peuple veut la chute du régime" et l'autre en arabe, adressée à M. Moubarak: "dégage!".

    Le mouvement de contestation a appelé à une nouvelle manifestation massive vendredi, baptisée "vendredi du départ", dans laquelle elle entend réunir comme mardi plus d'un million de personnes.

    L'accès à internet a été partiellement rétabli en milieu de journée, après plus de cinq jours de coupure. Et le couvre-feu en vigueur depuis vendredi dans la capitale égyptienne ainsi qu'à Alexandrie (nord) et à Suez (est) a été allégé. Jusqu'à présent établi de 15H00 à 8H00, il sera désormais appliqué de 17H00 à 7H00.

    Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a jugé "inacceptables les attaques contre des manifestants pacifiques" et appelé à une "transition dans l'ordre et le calme". La Maison Blanche a appelé "à la retenue", annonçant "déplorer et condamner" la violence contre les manifestants en Egypte.

    Et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a mis en garde contre le risque que le soulèvement populaire en Egypte ne débouche sur une période "d'instabilité et d'incertitude pendant de nombreuses années" dans la région.

    Selon un bilan non confirmé de l'ONU, les heurts de la première semaine de contestation ont fait au moins 300 morts, et des milliers de blessés.

    Les Etats-Unis ont aussi exprimé leurs inquiétudes pour les médias. La chaîne Al-Jazira est interdite depuis dimanche en Egypte. Le quotidien belge Le Soir a annoncé mercredi l'arrestation et le tabassage de son correspondant Serge Dumont. Et Israël tentait d'obtenir la libération de trois journalistes israéliens détenus pour ne pas avoir respecté le couvre-feu.

    AFP. 02/02/11

  • Laëtitia: recherches dans l'étang, l'ADN du corps formellement identifié

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    Tony Meilhon, 31 ans

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    Les recherches se poursuivaient mercredi dans le plan d'eau de Lavau-sur-Loire où a été découvert mardi le corps mutilé de Laetitia, dont l'ADN a été formellement identifié mercredi.

        
    Photographe :  :: Laetitia: les habitants de la Bernerie-en-Retz sous le choc. Durée:01:20
     Les enquêteurs recherchent le tronc toujours manquant de la jeune fille, mais les recherches sont rendues difficiles par la boue qui gêne la visibilité dans le plan d'eau, qui est relativement étendu, a indiqué une source proche du dossier.

    Les enquêteurs sont déterminés à tout faire pour rendre le corps dans son intégralité à sa famille, a précisé cette source.

    Ils poursuivent aussi leur travail de fourmi pour tenter de reconstituer la chronologie des faits dans la soirée du drame, le 18 janvier, et confronter ensuite le principal suspect, qui s'en tient à la version d'un accident entre son véhicule et le scooter de Laetitia, à des éléments probants.

    Ludovic Meilhon, frère du principal suspect, a lancé mercredi sur RTL un appel à Tony Meilhon pour qu'il dise toute la vérité aux enquêteurs.

    "Dis la vérité, maintenant tu n'as que ça à faire, plus tu cacheras la vérité et plus tu vas t'enfoncer. Dis toute la vérité, dis où tu as caché le reste du corps", a-t-il déclaré. "Pour moi, c'est l'horreur, c'est un monstre", a encore dit Ludovic Meilhon.

    L'émotion était à son comble mercredi à Pornic et la Bernerie-en-Retz où vivait et travaillait Laetitia.

    Deux chapelles ardentes ont été dressées, l'une à Pornic, dans l'ancienne chapelle de l'hôpital, l'autre à La Bernerie-en-Retz.

    A l'entrée de ce dernier lieu de recueillement, un grand portrait de Laetitia près duquel on peut lire "Laetitia dans nos coeurs".

    A l'intérieur de la chapelle, un autre portrait, au pied duquel s'amoncellent les fleurs avec quelques bougies, accueille proches ou anonymes. "Tu es un peu notre fille à tous", peut-on lire à l'adresse de Laetitia sur un registre mis à la disposition des visiteurs.

    Des anonymes ont laissé aussi des messages de soutien à l'intention de la famille: "nous sommes des parents anonymes mais nous prenons part à votre douleur", "nous pensons que justice sera faite" ou encore "plus jamais ça".

    "Nous sommes anéantis par ce qui nous arrive. L'horreur de ce drame est inacceptable. Notre douleur est sans nom", a brièvement confié en début de matinée la mère d'accueil de Laetitia, Michèle Patron, à des journalistes rassemblés devant sa maison à Pornic.

    Mardi soir, lors d'une veillée de prières, le prêtre Rémy Crochu avait notamment déclaré à la presse: "Ni nous, ni encore moins eux (la famille) ne pourront pardonner, les amis ne pourront pas pardonner. Alors, on demande la force de Dieu. C'est notre acte de foi essentiel ce soir".

    Sorti de prison en février 2010, Tony Meilhon, qui a déjà fait l'objet de 15 condamnations, dont une pour le viol d'un codétenu, avait été visé par sept plaintes déposées par sa famille et ses proches ces derniers mois.

    Mercredi, le Syndicat de la Magistrature (SM) a affirmé que les "difficultés insurmontables" rencontrées par les services de Loire-Atlantique chargés du suivi de Tony Meilhon étaient connues de la Chancellerie avant la disparition de Laetitia Perrais.

    Le SM (classé à gauche) cite un mail daté du 4 novembre 2010, adressé par le premier président de la cour d'appel de Rennes au directeur interrégional de l'administration pénitentiaire de Rennes, lequel l'avait alerté sur "les difficultés en matière de ressources humaines" des services dont il avait la charge.

    AFP. 02/02/11

  • Cours d'arabe, avec enseignant arabe, grâce au ministre de l'Education "nationale"


    Enseignement des Langues des Cultures d'Origine
    envoyé par bucch. - L'info internationale vidéo.

    NPI - 01/02/11

  • Le corps retrouvé est celui de Laëtitia - elle est morte étranglée

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    Tony Meilhon (photo datant d'une dizaine d'années)

    VIDEO http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/le-corps-retrouve-est-celui-de-laetitia-2088587/

    Le corps retrouvé mardi dans un étang à Lavau-sur-Loire (Loire-Atlantique) est à 99,9% celui de Laetitia, jeune fille disparue depuis le 18 janvier près de Pornic, selon un communiqué du procureur de la République de Nantes, Xavier Ronsin.

    "L'autopsie immédiatement ordonnée par le juge d'instruction et confiée à quatre experts médico-légaux vient de confirmer en début de soirée, grâce à une comparaison dentaire, que le corps retrouvé était bien celui de Laetitia à 99,9%", déclare M. Ronsin.

    "Le corps a été découpé" et les recherches se poursuivent dans ce plan d'eau situé entre Nantes et Saint-Nazaire, alors que le tronc manque encore, déclarait le procureur en fin d'après-midi.

    Le magistrat a précisé que le lieu était "fréquenté par Tony Meilhon qui y allait souvent pour pêcher".

    Le principal suspect qui a été mis en examen pour enlèvement suivi de mort n'a pas coopéré avec les enquêteurs. La découverte du corps "est le fruit d'un processus scientifique et technique qui a conduit à explorer une vingtaine de points d'eau du département", comme l'a expliqué le procureur.

    Franck et Sylvie, les parents biologiques de Laetitia sont "complètement effondrés", car ils avaient "l'espoir qu'elle soit retrouvée au minimum intacte", selon leur avocat, Me Emmanuel Riglaire.

    "La froideur, le calme, la méticulosité qu'il faut pour sectionner tous ces organes témoignent de la plus haute barbarie", a-t-il dit à l'AFP alors que Franck Perrais se rendait sur place.

    Laetitia, 18 ans, a disparu après avoir quitté son travail, un hôtel-restaurant de la Bernerie en Retz, à quelques kilomètres de son domicile. Le principal suspect, Tony Meilhon, 31 ans, avait été vu en sa compagnie le soir de sa disparition.

    Cet homme violent au passé judiciaire chargé a affirmé en garde à vue l'avoir tuée accidentellement, mais sans dire où se trouvait le corps. Mis en examen pour enlèvement suivi de mort, il est ensuite resté muré dans le silence, laissant les enquêteurs envisager les pires scénarios.

    Laetitia vivait depuis six ans avec sa soeur jumelle Jessica chez Gilles et Michèle Patron, une famille d'accueil de la commune de Pornic chez qui elles avaient été placées à l'âge de 12 ans par les services sociaux du département. Les deux jeunes filles avaient choisi d'y demeurer après avoir fêté leur 18 ans, il y a six mois.

    La disparition qui a suscité une vive émotion dans la région a relancé le débat sur le suivi judiciaire et la récidive.

    Les ministres de l'Intérieur et de la Justice ont épinglé lundi les "défaillances" des acteurs de la chaîne pénale dans le suivi de Tony Meilhon et prévenu qu'il y aurait des "sanctions". Les professionnels et les syndicats, eux dénoncent le manque de moyens.

    Sorti de prison en février 2010, Tony Meilhon, qui a déjà fait l'objet de 15 condamnations, a été visé par sept plaintes déposées par sa famille et ses proches ces derniers mois. Il était sous le coup d'une mise à l'épreuve de deux ans, suivie au service pénitentiaire d'insertion et de probation (SPIP) de Loire-Atlantique.

    AFP. 01/02/11

     

  • Suspicion de traces de porc: Casino retire de la vente des saucisses halal

    Le groupe Casino a annoncé mardi le retrait de la vente de saucisses certifiées halal de la marque Herta (Nestlé), au centre d'une polémique après la publication d'un rapport d'analyses faisant état de traces de porc dans ces produits destinés aux musulmans.

        
    Photographe : Sebastien Bozon :: Charcuterie hallal dans un supermarhé, le 21 août 2009 à Illzach.
    Le groupe de distribution avait déjà suspendu il y a quelques jours les approvisionnements de ces saucisses de volaille. Il va désormais plus loin en annonçant "sa décision de retrait de la vente des deux références de saucisses Knacki Herta Halal", selon un communiqué adressé à l'AFP.

    Casino a décidé parallèlement de lancer des "études indépendantes complémentaires afin de garantir le plus strict respect de la certification halal".

    Un site internet a révélé il y a quelques jours un rapport d'analyses d'un laboratoire faisant état de la présence de porc dans les saucisses de volaille de la marque Herta.

    Le groupe Nestlé récuse toute présence de porc dans les saucisses halal suite à des analyses réalisées à sa demande par un autre laboratoire.

    "Nous sommes pris dans un débat" sur la certification halal, a souligné Valérie Bignon, porte-parole de Nestlé France, interrogée par l'AFP. "Si les procédures de certification doivent être modifiées, nous nous adapterons sans problème", a ajouté la responsable.

    La Mosquée de Paris est chargée de la certification des produits halal de Nestlé. "Le laboratoire qui a effectué les contre-expertises est réputé indépendant et comme le plus fiable d'Europe", a-t-elle assuré dans un communiqué.

    "Les résultats des analyses très poussées sur le lot concerné et sur d'autres lots sont scientifiquement sans équivoques (aucune trace d'ADN de porc !)", ajoute l'institution qui évoque "un marché hyperconcurrentiel" et s'interroge "sur les conditions d'analyse faite par ceux qui jettent l'anathème sur la certification de la Grande Mosquée de Paris".

    Il n'existe pas dans l'Hexagone de label halal, reconnu par l'ensemble de la communauté musulmane, estimée à environ 5 millions de personnes, soit la plus importante d'Europe.

    Dans les faits, trois mosquées --Paris, Lyon, Evry-- sont habilitées à délivrer des cartes de sacrificateurs, mais ce sont ensuite une multitude d'organismes, qui effectuent des contrôles, notamment dans les abattoirs, avec des méthodes et des définitions du halal différentes.

    L'alimentation halal -- conforme à la religion musulmane -- représente un marché à fort potentiel de développement. Les principales marques et les grandes enseignes ont décidé ces dernières années de se positionner sur ce secteur.

    AFP. 01/02/11

  • Netanyahu: tout gouvernement égyptien doit respecter la paix avec Israël

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    (Cliquez sur la photo)

    Israël a appelé mardi la communauté internationale à "exiger" de tout gouvernement égyptien le respect du traité de paix avec l'Etat hébreu, selon un communiqué du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

    L'Egypte a conclu en 1979 un accord de paix avec Israël en échange du retrait, réalisé en 1982, de tous les territoires égyptiens conquis par l'armée israélienne durant la guerre de juin 1967.

    Si cette paix, contestée par une partie importante de l'opinion égyptienne, et qui a isolé Le Caire dans le monde arabe dans les années 1980, a toujours été "froide", se limitant à des relations diplomatiques, elle a résisté à deux guerres au Liban (1982 et 2006), deux intifadas palestiniennes (1987 et 2000) et aux échecs successifs du processus de paix israélo-palestinien.

    "Israël est une démocratie et encourage le progrès de la démocratie au Moyen-Orient. Mais si cela permet à des forces extrémistes d'exploiter le processus démocratique pour prendre le pouvoir et faire avancer leurs buts antidémocratiques -- et nous l'avons déjà vu en Iran et ailleurs--, les résultats seront dommageables pour la paix et la démocratie", a averti M. Netanyahu.

    Les dirigeants israéliens agitent le spectre d'un régime à l'iranienne en Egypte depuis qu'une révolte populaire sans précédent menace le pouvoir du président Hosni Moubarak.

    Le président israélien Shimon Peres a ainsi relativisé l'intérêt d'élections libres dans des pays où des pouvoirs autoritaires seraient renversés, mettant en garde contre l'avènement d'un régime islamiste extrémiste en Egypte.

    "Si, au lendemain des élections, on a une dictature religieuse extrémiste, à quoi bon ces élections démocratiques?", s'est-il interrogé avant de rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel, en visite en Israël.

    "La démocratie ne peut commencer et finir avec les élections. La véritable démocratie commence le lendemain des élections en garantissant les droits de l'Homme et en se préoccupant du bien-être des citoyens", a ajouté M. Peres.

    "Il y a un grand consensus sur la question de savoir comment le processus politique peut évoluer en Egypte et on ne peut qu'espérer que tout se déroule pacifiquement", a estimé de son côté Mme Merkel.

    "Nous avons tous eu de l'estime pendant des décennies pour l'engagement de Moubarak en faveur de la paix" mais "il y a manifestement en Egypte des problèmes qui sont apparus au grand jour et qui n'étaient pas connus jusqu'ici avec tant de netteté", a-t-elle reconnu.

    Selon les médias israéliens, M. Netanyahu a rencontré mardi les chefs du renseignement et des services de sécurité ainsi que les membres du cabinet de sécurité, qui regroupe les ministères stratégiques. Cet échange annuel était prévu de longue date mais il a été largement dominé par la situation en Egypte, ont précisé les médias.

    AFP. 01/02/11

     

  • Pourquoi la crise égyptienne inquiète Israël

    La chute d'Hosni Moubarak, contesté par un mouvement sans précédent dans les rues égyptiennes, pourrait isoler encore davantage son voisin israélien.

     

    Le soulèvement qui menace le régime d'Hosni Moubarak rend les Israéliens anxieux. Le sujet est si sensible que le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, a interdit à ses ministres et conseillers de le commenter. Il s'est borné pour sa part à affirmer sa volonté de focaliser ses efforts "sur le maintien de la stabilité de la région." "La paix avec Le Caire dure depuis plus de trente ans, insiste-t-il, et notre objectif est de s'assurer de la poursuite de ces relations, quelle que soit l'évolution de la situation."  

    La "paix froide" instaurée entre l'Etat hébreu et l'Egypte par les accords de Camp David, en 1979, revêt une importance stratégique pour Israël. Elle lui a permis de déployer ses forces sur d'autres fronts, notamment au Nord, à la lisière du Liban. De même, le régime Moubarak contrôle la douzaine de kilomètres de frontière partagée avec la bande de Gaza, où elle a limité les trafics d'armes.  

    Le triomphe de la rébellion exposerait Israël à un isolement accru. D'autant que l'Iran, proche allié jusqu'à la chute du Chah, est devenu la source d'inquiétude majeure des Israéliens. Et que, plus récemment, l'opération "Plomb durci" menée à Gaza et l'affaire de la flottille anti-blocus a conduit la Turquie à prendre ses distances.  

    L'opinion égyptienne demeurant foncièrement hostile, l'Etat hébreu redoute de voir s'installer à sa porte un pouvoir ennemi doté d'une armée aguerrie. Selon les renseignements israéliens, l'Egypte est pourvue de forces "à l'occidentale, qui ont bénéficié de l'aide américaine", dotées de milliers de tanks, de centaines de chasseurs à réactions et de douzaines de vaisseaux.

    L'Express - 01/02/11

  • La tête retrouvée dans l'étang ressemble à celle de Laëtitia

    Des morceaux de corps ont été trouvés mardi dans un étang à Lavau-sur-Loire (Loire-Atlantique) et la tête ressemble à celle de Laëtitia Perrais, a déclaré le procureur de Nantes, Xavier Ronsin, au cours d'un point de presse sur les lieux.

    "En l'état ce corps n'est pas formellement identifié", a-t-il insisté en précisant qu'une autopsie était prévue à Nantes dans la soirée pour confirmer qu'il s'agissait bien de la jeune fille de 18 ans disparue le 19 janvier près de Pornic.

    "Le corps a été découpé" et les recherches se poursuivent alors que le tronc manque encore, a-t-il dit. Le corps retrouvé dans le plan d'eau était lesté par un grillage, a-t-il précisé.

    "Il s'agit d'un lieu fréquenté par Tony Meilhon qui y allait souvent pour pêcher", a-t-il ajouté.

    Le principal suspect qui a été mis en examen pour enlèvement suivi de mort n'a pas coopéré avec les enquêteurs et la découverte "est le fruit d'un processus scientifique et technique qui a conduit à explorer une vingtaine de points d'eau du département", selon le procureur.

    Selon les riverains, le trou d'eau est d'une profondeur de cinq à dix mètres. L'endroit est un lieu de promenade familiale en été.

    AFP. 01/02/11

  • Marine Le Pen sur le racisme anti-blanc


    31-01-11 - 2 - Marine Le Pen sur le racisme anti-blanc
    envoyé par FN-Nord-Pas-de-Calais. - L'info internationale vidéo.

    NPI - 01/02/11

  • Laëtitia: un corps non encore identifié retrouvé dans l'étang de Lavau

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    Plongeur dans le trou d'eau où git le corps

    Le corps partiellement démembré d'une jeune femme, non identifié, a été retrouvé mardi près de Saint-Nazaire. «Un corps a été retrouvé à Saint-Nazaire, il n'est pas identifié», a déclaré pour sa part à l'AFP Xavier Ronsin, procureur de la République de Nantes, qui a ajouté qu'il se rendait sur place avec le médecin légiste.

    Il a précisé que, outre l'affaire Laetitia, plusieurs enquêtes pour disparition étaient en cours dans la région. Cependant, selon nos informations, un certain nombre d'éléments «techniques» laissent penser qu'il pourrait s'agir du corps de la jeune Laetitia. Il y a d'abord le fait que ce corps a été retrouvé dans un trou d'eau à Lavau-sur-Loire, entre Saint-Nazaire et Nantes, sur la rive nord de la Loire, non loin de la zone de recherches qu'explorent depuis ce matin les gendarmes. Il semblerait aussi qu'il soit enroulé dans du grillage, similaire à celui retrouvé dans la voiture du suspect.
    Les enquêteurs ont décidé de ne pas remonter le cadavre à la surface, mais de procéder à des analyses techniques sous l'eau. Des spécialistes de la police scientifique sont attendus sur place pour procéder à ces recherches.
    Le Parisien - 01/02/11
  • Le corps incomplet de Laëtitia aurait été retrouvé près de Saint-Nazaire

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    Le ministère de l'Intérieur a indiqué au Figaro qu'un corps, repêché mardi dans un étang à Lavau, a de fortes chances d'être celui de la jeune fille disparue depuis deux semaines à Pornic.

    Le corps de Laëtitia probablement retrouvé. Après deux semaines de recherches intensives, les enquêteurs auraient fini par retrouver le corps de la jeune femme, disparue dans la nuit du 18 au 19 janvier à Pornic, en Loire-Atlantique. Un corps sans vie, partiellement démembré, de sexe féminin, a en effet été découvert mardi dans un étang à Lavau, près de Saint-Nazaire : le ministère de l'Intérieur a indiqué au Figaro qu'il y avait de grandes chances qu'il s'agisse de celui de Laëtitia Perrais, 18 ans. Une information que seul le procureur sera à même de confirmer.

    Mardi matin, un groupe d'environ 35 gendarmes avait commencé à ratisser les abords de la maison où avait été interpellé Tony Meilhon, le principal suspect dans cette affaire. Les gendarmes ont inspecté minutieusement les champs, dans un rayon de 1 à 2 kilomètres autour de la maison, située à Arthon-en-Retz, à une dizaine de kilomètres de Pornic. C'est finalement près de Saint-Nazaire qu'une autre équipe, constituée de plongeurs, a fait la macabre découverte.


    Afficher Disparition de Laetitia : un corps retrouvé sur une carte plus grande

    Tony Meilhon a été mis en examen pour «enlèvement suivi de mort en état de récidive légale» dans le cadre de cette affaire. Du sang appartenant à la jeune femme a été retrouvé dans son véhicule. Depuis son arrestation, ce multirécidiviste de 31ans s'est muré dans le silence, se bornant à assurer qu'il s'agit d'un accident mortel de circulation. Il affirme avoir percuté avec son véhicule le scooter de la jeune fille, alors qu'elle rentrait chez sa famille d'accueil après une journée de travail.

    Le Figaro - 01/02/11

  • Les clés magnétiques des chambres d'hôtel

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    Vous êtes-vous déjà demandé ce qui est conservé sur 

     les clés magnétiques des hôtels ?  Celles qui ressemblent à des cartes de crédits ?
        
      Regardez la réponse et changez vos habitudes :
       a)    Le nom du client ;
      
      b)     Le domicile du client ;
      
      c)      Le numéro de chambre de l'hôtel ;
      
      d)     Les dates d'entrée et de sortie ;
       e)    Le numéro de la carte de crédit du client ainsi que sa validité ;
      
      f)       Le numéro du permis de conduire, de la carte d'identité, du
    passeport ou autre.
         
      Quand vous rendez les clefs à la réception de l'hôtel, l'information
      reste disponible pour tout employé ayant accès au scanner de  l'hôtel.
      
      Plus encore, l'employé peut l'emporter chez lui et, au moyen de
      l'utilisation d'un scanner magnétique, avoir accès à l'information
      contenue dans les clés et l'utiliser, peut-être pour acheter sur Internet.
      
      En général, dans pratiquement tous les hôtels, l'information n'est PAS
      effacée des clefs magnétiques avant une nouvelle utilisation pour un
      nouveau client.
      
      Jusque là, la clé reste dans un tiroir de la réception de l'hôtel
      avec toute l'information du client précédent, disponible pour être
      utilisée.
         
      En résumé : 
       pour éviter des problèmes, gardez vos clés magnétiques, emportez-les et  détruisez-les.
      
      Ne les laissez pas dans la chambre, ni dans la poubelle et ne les rendez JAMAIS à la réception quand vous payez la note.
      
      Les hôtels ne peuvent pas vous faire payer parce que vous ne les auriez  pas rendues, c'est illégal. Ainsi, vous aurez l'assurance de ne pas laisser d'informations d'accès facile qui puissent être utilisées par
      des tiers.
      
      De même, si à l'aéroport vous vous rendez compte que vous possèdez toujours  la clé de l'hôtel, ne la jetez pas à la poubelle, mais emportez-la à la maison pour la détruire, surtout la bande magnétique, avec une
     paire de ciseaux.
        
      Faite-le savoir à vos amis afin qu'ils soient avisés.
       
  • L'Intérieur renonce à fermer deux compagnies de CRS

    Le ministère de l'Intérieur a renoncé lundi soir à un projet de fermeture de deux compagnies de CRS à Lyon et Marseille, qui avait provoqué une grogne inédite dans leurs rangs.

    La semaine dernière, en marge de voeux d'un syndicat, le ministre avait confirmé "des études en cours sur la fermeture" des compagnies de Marseille et Lyon.

    Mais, au nom du "dialogue social et (de) la concertation", le ministre a expliqué lundi soir qu'il privilégiait finalement le redéploiement de 280 CRS, soit l'équivalent de deux compagnies, "prélevés sur les effectifs globaux de 12.000 CRS".

    Ce choix a été unanimement salué par les organisations syndicales à la sortie de leur réunion avec le ministre, annonçant la fin d'une grogne à l'ampleur inédite chez les CRS, une des deux forces mobiles de maintien de l'ordre en France.

     Plusieurs compagnies avaient été décimées par une multiplication des arrêts maladie comme à Nancy ou à Troyes, des actions symboliques avaient été menées et des CRS venus de Marseille avaient même entamé une grève de la faim à Rungis.

    L'annonce de la place Beauvau est intervenue alors que le mouvement semblait se répandre et que les syndicats avaient mis en garde contre son extension, avec même la menace de manifestations, forme de protestation rarissime chez les policiers.

    La CRS 39 de Nancy s'est ainsi mise "majoritairement en arrêt maladie" dimanche. Elle devait assurer lundi la sécurité du déplacement du Premier ministre, François Fillon, sur le site de la Ligne à Grande Vitesse Rhin-Rhône et a été remplacée par une autre compagnie.

    A la CRS 35 de Troyes, qui doit assurer mardi la sécurité d'un déplacement du président Nicolas Sarkozy dans le Cher, une quarantaine de CRS se sont fait porter pâles et une même démarche avait été engagée au sein de la compagnie de Sancerre (Cher) devant la remplacer.

    Les CRS du nord de la France ont refusé lundi de verbaliser les automobilistes et limité les interpellations, avaient également fait savoir des sources syndicales policières.

    Mais le mouvement devrait désormais s'éteindre. Alliance, le deuxième syndicat de gardiens de la paix, "se félicite de la décision du ministre de l'Intérieur", tandis que Unité police SGP-FO (1er syndicat) a salué le fait que le ministre ait "été à l'écoute des syndicats".

    Le projet de fermeture a été critiqué tous azimuts par la classe politique avant son retrait. Benoît Hamon, porte-parole du PS, a assuré que son parti était "favorable à un moratoire sur les suppressions de postes".

    Le premier adjoint UMP au maire de Marseille, Roland Blum, a écrit à M. Hortefeux lui demandant de revenir sur la suppression envisagée dans la cité phocéenne.

    La présidente du Front national, Marine Le Pen, a apporté son soutien "total" aux CRS mobilisés, en jugeant que le gouvernement "n'a jamais aussi bien servi les intérêts des délinquants".

    AFP. 31/01/11

  • Les CRS, nouvelles victimes de la folle politique anti-sécuritaire du gouvernement !

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    L’État aurait-il encore les moyens de faire face à de nouvelles émeutes de 2005 ? Rien n’est moins sûr.

    Les CRS sont en effet les nouvelles victimes de la grande casse des services de police et de gendarmerie, à laquelle se livre avec méthode le gouvernement Sarkozy depuis des années. Derrière les discours musclés et la communication électoraliste permanente, le pouvoir supprime en réalité comme jamais sous la Ve République des effectifs de police et de gendarmerie. Déjà 16.000 postes en moins depuis 2005, auxquels s’ajouteront 6.000 suppressions supplémentaires d’ici 2012 (chiffres du ministère de l’Intérieur) !

    Concernant les CRS, la dissolution possible de deux compagnies à Lyon et Marseille, qui en annonce d’autres, est une décision d’une irresponsabilité folle, au moment même où les violences contre les personnes explosent, et alors que les émeutes se multiplient.

    Avec les gendarmes mobiles, rappelons que les CRS sont directement chargés de réprimer les émeutes et de rétablir l’ordre républicain. Déjà, le gouvernement a fermé huit escadrons de gendarmerie mobile en 2010, et il s’apprête à en dissoudre sept autres cette année. Où s’arrêtera cette vague destructrice ?

    Il est piquant de constater qu’au moment où Michèle Alliot-Marie proposait d’aider les autorités tunisiennes à rétablir l’ordre, l’État démantèle nos forces de police sur le territoire français.

    Marine Le Pen, Présidente du Front National, soutient totalement les CRS qui à Lyon et Marseille se battent non seulement pour leur survie, mais aussi pour la sécurité des Français. Elle dénonce l’équation criminelle d’un gouvernement qui n’a jamais aussi bien servi les intérêts des délinquants : multiplication des émeutes = suppression de compagnies de CRS.

    Ce funeste projet doit être retiré, et les effectifs des forces de police et de gendarmerie reconstitués. Ce n’est pas sur le dos de la sécurité des Français qu’il faut faire des économies, mais sur les immenses dépenses qui nuisent à la vie de la Nation : l’immigration, la fraude sociale, les dérives de la décentralisation, et l’argent versé chaque année à l’Europe sans retour équivalent.

    Nations Presse Info - 31/01/11

  • Le Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n°214


    Emissions FN : Le Journal de Bord de Jean-Marie Le Pen n°214
    envoyé par polecom. - L'info internationale vidéo.

    NPI - 31/01/11

  • Que le président du Consistoire s'occupe de son culte et laisse le FN travailler en paix!

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    Communiqué de Louis Aliot, vice-président du Front National

    Le président du Consistoire, M. Joël Mergui, vient d’écrire dans un journal communautariste (Actualité juive – janvier 2011) une tribune intitulée « L’emballage, voilà la différence ! » qui est un tissu de mensonges et d’anathèmes qui relèvent du procès d’intention à l’égard de Marine Le Pen et du FN.

    J’avais cru comprendre que cette institution, création napoléonienne, avait comme mission exclusive de s’occuper de l’organisation de son culte. Il semble que désormais son président veuille l’engager dans un combat politique vis-à-vis duquel pourtant, et conformément au principe de laïcité, il devrait observer une prudente neutralité.

    Au moment où des millions de Français, de toutes conditions et de toutes origines, sont victimes des effets dramatiques de l’immigration sauvage, le Front National déplore et condamne cette prise de position politique qui n’honore pas cette institution et discrédite son responsable.

    Le FN appelle ses compatriotes de confession israélite à ne pas tomber dans ce piège et à entreprendre à ses côtés le long et difficile combat contre une immigration de masse qui menace les fondements de notre civilisation judéo-chrétienne ainsi que notre liberté.

    Nations Presse Info - 31/01/11

     

  • Marine Le Pen invitée de Dimanche+