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Blog - Page 1616

  • Communiqué de presse du Front National

    Le Front National s’incline devant la mémoire des victimes de l’accident de l’avion du Président Kaczynski, patriote polonais, militant contre les totalitarismes passés et en gestation, ardent défenseur des valeurs traditionnelles de la culture latine et chrétienne que le peuple français a reçues en héritage avec le peuple polonais, au deuil duquel nous nous associons pleinement.

    Bruno GOLLNISCH
    Vice-Président Exécutif du FN chargé des Relations Internationales

    NPI - 10 avril 2010

  • Jean-Paul II était hostile au départ des prêtres

    L'ex-évêque du diocèse d'Oakland, qui a écrit au Vatican dans les années 1980 pour réclamer qu'un prêtre californien accusé de pédophilie soit défroqué, affirme que le pape Jean Paul II était hostile à l'époque au départ des prêtres, rapporte aujourd'hui le New York Times.

    L'ancien évêque John Cummins a expliqué qu'à l'époque, l'Eglise était confrontée au départ de nombreux prêtres, ce qui fait que le pape Jean Paul II "a vraiment ralenti le processus, et l'a rendu beaucoup plus mesuré", indique le quotidien.

    Une série de lettres échangées entre le Vatican et le diocèse californien d'Oakland, dont l'AFP a obtenu copie hier, mettaient en cause le pape actuel Benoît XVI pour avoir traîné les pieds dans les années 80, pour défroquer le prêtre californien, mais ne mentionnaient pas le pape de l'époque Jean Paul II.

    Le Figaro - 10 avril 2010

  • Encore une infâme opération de diffamation contre Benoït XVI

    Dans une lettre de 1985, le futur pape se montre très réservé sur la destitution d'un prêtre californien ayant abusé d'enfants. De quoi relancer les accusations d'étouffement des scandales pédophiles pesant sur Joseph Ratzinger.

    Pas de répit sur le front des scandales pédophiles pour Benoît XVI. Une lettre vieille de 25 ans, rendue publique par Associated Press vendredi, devrait relancer les spéculations sur d'éventuels étouffements ou blocages de cas de pédophilie par le pape. Dans cette missive, issue de la correspondance entre le diocèse d'Oakland aux Etats-Unis et le Vatican, le futur Saint-Père se montre très réservé sur la destitution d'un prêtre californien reconnu coupable d'abus sexuels. Joseph Ratzinger est alors le directeur de la Congrégation pour la doctrine de la foi, qui peut sanctionner les religieux responsables d'abus.

    Au cœur de cette nouvelle polémique, la destitution du prêtre Stephen Kiesle. Ce religieux de 38 ans a été condamné à trois ans de liberté surveillée en 1978 pour avoir attaché et agressé deux garçons. A la fin de sa peine, le religieux demande à quitter la prêtrise. Son dossier est envoyé par John Cummins, l'évêque d'Oakland, en 1981 au Vatican mais avance lentement : requête de suppléments d'informations en 1982, puis perte du dossier en 1983. L'Eglise californienne écrira trois fois à Joseph Ratzinger pour savoir où en est l'affaire. La lettre obtenue par AP est une réponse signée par le futur pape à la troisième et ultime relance de 1985. Joseph Ratzinger y explique que les arguments pesant pour la destitution de Kiesle sont en effet très graves mais qu'une telle décision exige une évaluation méticuleuse et davantage de temps. «Il faut prendre en compte le bien de l'Eglise universelle», écrit Joseph Ratzinger.

     

    «Des effets négatifs parmi les fidèles»

     

    «La destitution d'un prêtre aussi jeune (Kiesle a alors 38 ans, ndlr) peut provoquer des effets négatifs parmi les fidèles», poursuit-il. Il prie John Cummins d'avoir envers Kiesle une «attention aussi paternelle que possible» en attendant l'avis du Vatican. «Cette lettre démontre que le cardinal Ratzinger était plus préoccupé d'éviter le scandale que par les victimes», a fustigé à AP l'avocat de certaines des victimes de Stephen Kiesle. Des accusations réfutées par le Vatican. Un porte-parole du Saint-Siège a assuré que le cardinal Ratzinger «n'a pas tenté d'étouffer l'affaire» mais, «a insisté sur la nécessité d'étudier l'affaire plus attentivement, en tenant compte des intérêts de toutes les parties impliquées». En outre remarque un des avocats américain du Saint-Siège, la missive a fait l'objet de «jugements hâtifs». «Durant tout le processus, le prêtre est resté sous le contrôle, l'autorité et l'assistance de l'évêque local. «L'affaire d'abus sexuel n'a jamais été transmise au Vatican», ajoute Jeffrey Lena. «Jusqu'en 2001, la Congrégation pour la Doctrine de la Foi n'était pas compétente pour les cas d'abus sexuels. Etaient compétents les évêques locaux», souligne-t-il. Les critères de l'époque ont été respectés, insiste l'avocat.

    Finalement Stephen Kiesle est défroqué en 1987. Les documents fournis à AP ne mentionnent pas le rôle qu'a pu jouer Benoît XVI dans cette décision. Mais rendant l'affaire encore plus sensible, AP explique qu'en attendant le verdict du Saint-Siège, Kiesle a travaillé à l'Eglise St Joseph de Pinole où il conseillait des enfants. Malgré son expulsion de l'Eglise, le Californien reste encore quelques mois au contact des jeunes. Kiesle retourne de nouveau devant la justice en 2002 et 2004 pour des affaires d'abus et écope d'une peine de 6 ans de prison pour avoir agressé en 1995 une petite fille. Inscrit au registre des délinquants sexuels, il a depuis été relâché.

    Ces révélations sont très embarrassantes pour le pape qui ne cesse d'être remis personnellement en cause. Ces dernières semaines, il a été accusé par des médias allemands et le New York Times d'avoir gardé le silence sur des abus quand il était archevêque à Munich puis chef de la Congrégation pour la Doctrine de la foi. Les tensions sont telles que le quotidien L'Osservatore Romano, la voix du Vatican, a dénoncé «une infâme opération de diffamation» contre Benoît XVI tandis que le prédicateur du Vatican a indirectement dressé un parallèle entre les accusations portées contre le pape et l'Eglise et l'antisémitisme avant de s'excuser. Soucieux de montrer qu'il prend le problème à bras le corps, le Saint-Siège devrait publier lundi sur son site Internet ses «lignes directrices» de la lutte contre la pédophilie.

    Le Figaro - 10 avril 2010

  • Des dizaines de milliers de Polonais devant le palais présidentiel à Varsovie

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    (Cliquez sur les photos)

    Des dizaines de milliers de personnes étaient rassemblées samedi soir dans le quartier du Palais présidentiel à Varsovie en hommage aux victimes de l'accident de l'avion du président Lech Kaczynski survenu samedi matin en Russie, a constaté un photographe de l'AFP.

    L'avenue longeant le Palais, proche de la Vieille ville, les rues adjacentes et l'immense place Pilsudski toute proche étaient noires de monde et illuminées de bougies apportées par la foule.

    Jerzy Grabowski 55 ans, agent comptable, est venu avec sa femme. Ils ont allumé une bougie d'abord devant le palais présidentiel et ensuite à l'endroit où le pape Jean-Paul II avait célébré sa grande messe sur la place lors de son premier pèlerinage en Pologne en 1979.

    "Une pour le président, l'autre pour Jean-Paul II. Il y a pas longtemps, nous avons commémoré sa mort aussi", a-t-il dit à une journaliste de l'AFP, "nous sommes une nation particulière: nous nous unissons à des moments tragiques de l'histoire".

    Le président polonais Lech Kaczynski, ainsi que plusieurs hauts responsables du pays, ont été tués samedi dans l'accident de leur avion près de Smolensk, dans l'ouest de la Russie, où le Premier ministre russe Vladimir Poutine est arrivé dans la soirée.

    Le Tupolev-154 transportait 97 personnes, selon les autorités russes, 96 selon le gouvernement polonais. Parmi elles M. Kaczynski et son épouse, le président de la Banque centrale polonaise, Slawomir Skrzypek, le chef d'état-major des forces armées, Franciszek Gagor et d'autres responsables polonais. Il n'y a eu aucun survivant.

    AFP. 10 avril 2010

  • L'armée polonaise est décapitée

    Les principaux chefs de l'armée polonaise ont péri avec le président Lech Kaczynski, selon une liste des passagers de l'avion qui s'est écrasé ce matin près de Smolensk, dans l'ouest de la Russie.

    Quatre-vingt seize personnes se trouvaient à bord de l'avion du président polonais Lech Kaczynski qui s'est écrasé ce matin près de Smolensk, dans l'ouest de la Russie, tuant tous ses occupants, selon le bilan rectifié du ministère russe des Situations d'urgence.

    Le Figaro - 10 avril 2010

  • Le président Lech Kaczynski représentait la Pologne profonde

    Conservateur et nationaliste, Lech Kaczynski représentait la Pologne profonde et aimait jouer les trublions dans les cénacles européens.

    La communauté internationale l'a découvert en 2005. A la tête de son parti, Droit et Justice (PIS), il est élu à l'arraché devant son rival libéral Donald Tusk. Le tandem qu'il forme avec son jumeau -monozygote- Jaroslaw, devenu dans le même temps premier ministre, fera longtemps les choux gras des gazettes. Tout comme ses relations exécrables avec Lech Walesa, dont il fut le proche conseiller avant de devenir l'ennemi intime.

    Les Polonais, eux, le connaissaient depuis longtemps. A l'âge de 12 ans, il est, au côté de son inséparable frère, la tête d'affiche d'un film devenu culte, «Les petits voyous qui décrochèrent la lune». Cette lune, Lech et Jaroslaw vont la décrocher pour de bon aux élections de l'automne 2005. Ils raflent d'un seul coup les législatives et la présidentielle.

     

    «L'élément modérateur» du tandem

     

    Lech et Jaroslaw ne se sont jamais quittés. Ensemble au sein du mouvement Solidarité, ensemble toujours dans leur lente ascension vers le pouvoir. Jaroslaw, l'aîné de 45 minutes, passait pour «le cerveau» de ce curieux tandem, celui , dit-on, qui «donnait les ordres». Lech en était «l'élément modérateur».

    Lech Kaczynski -à moins que ce ne soit Jaroslaw- n'avait jamais accepté la décision de ses anciens compagnons de lutte de «tirer un gros trait» sur le passé. L'anticommunisme était son cheval de bataille. Un fonds de commerce électoralement payant. A peine arrivé au pouvoir, il n'eut de cesse, au nom d'une «révolution morale», de «décommuniser» les institutions polonaises, détricotant allègrement tout ce que ses prédécesseurs avaient réalisé depuis 1989 pour réconcilier la Pologne. Dénoncée par l'ensemble des figures de proue de Solidarité, cette campagne dite de «lustration» qui vira très vite à la «chasse aux sorcières», fut en réalité un instrument de «nettoyage» politique visant à contrôler tous les leviers du pouvoir.

    Conservateur et nationaliste, Lech Kaczynski affichait ses principes moraux. Il n'aimait pas les homosexuels et condamnait l'avortement. Il n'eut cependant aucun scrupule à s'acoquiner avec une radio intégriste (Radio Maryja) ouvertement xénophobe et antisémite -ce que lui même n'était pas- ou à s'allier à des partis extrémistes peu recommandables.

     

    Déplorables coups de théâtre diplomatiques

     

    Lech Kaczynski représentait la Pologne profonde. Il combattait l'ultralibéralisme qui avait permis à l'économie polonaise de décoller et se posait en champion des perdants de la transition. Il connaissait peu le vaste monde avant d'être élu président. Passionné d'histoire, ce juriste de formation cultivait une vision passéiste des relations internationales qui expliquait de déplorables coups de théâtre diplomatiques et une évidente propension à jouer les trublions dans les cénacles européens. Il ne cachait pas son euroscepticisme. L'Allemagne lui inspirait, autant que la Russie, une méfiance inextinguible et, face au couple franco-allemand, soupçonné de «visées hégémoniques », il se montrait intraitable pour, croyait-il, défendre les intérêts de la Pologne et des petits pays membres. En 2007, il se distingua ainsi par son obstination à bloquer l'adoption d'un traité constitutionnel simplifié destiné à supplanter le Traité de Nice. De même, en 2009, il renâcla longtemps à ratifier le Traité de Lisbonne pourtant déjà approuvé par le parlement polonais.

    Aux législatives anticipées de 2007, les Polonais sanctionnèrent la dérive populiste et autoritaire des frères Kaczynski. Jaroslaw dût céder la place à Donald Tusk. Jusqu'au bout, la cohabitation se révéla houleuse, Lech Kaczynski, à l'instigation peut-être de son frère Jaroslaw, ne ratant pas une occasion d'opposer son veto à des projets de loi ou de critiquer publiquement la politique étrangère du gouvernement.

    Le Figaro - 10 avril 2010

  • Une école primaire incendiée dans les Yvelines

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    AFP - L'école primaire Victor-Hugo de Clayes-sous-Bois (Yvelines) a été en partie détruite par un incendie d'origine criminelle dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-on appris samedi de source policière et auprès des pompiers.

    L'enquête a été confiée à la sûreté départementale des Yvelines, selon une source policière.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, une porte de l'école aurait été fracturée avant que l'incendie ne se déclare vers 3h00 à l'intérieur de l'établissement, situé rue Pablo-Neruda à Clayes-sous-Bois.

    Les 194 élèves de l'école doivent être répartis dès lundi dans les autres établissements de la commune, a-t-on précisé.

    10 avril 2010

  • Le Président polonais se tue dans le crash de son avion en Russie

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    L'appareil, qui transportait notamment Lech Kaczynski et plusieurs hauts responsables, aurait accroché des arbres au moment de son atterrissage à Smolensk dans l'ouest de la Russie. Il n'y aurait aucun survivant, selon les autorités russes, qui suspectent une erreur du pilote.

    La Pologne est orpheline de son président et d'une partie de ses élites. L'avion, qui transportait Lech Kaczynski et plusieurs hauts responsables polonais, s'est écrasé samedi matin à son atterrissage à Smolensk en Russie, vers 11 heures. Aucun des 96 passagers à bord n'ont survécu, d'après un nouveau bilan des autorités russes. Le corps du chef d'Etat a été retrouvé.

    Selon les premiers éléments, le temps était au brouillard aux environs de Smolensk. Le Tupolev 154 aurait accroché des arbres, se serait écrasé avant de prendre feu.Une erreur du pilote pourrait être à l'origine de la catastrophe, expliquent les forces de l'ordre russes. L'agence Interfax révèle que les autorités russes ont ainsi proposé à l'équipage polonais d'atterrir à Minsk ou à Moscou en raison de la mauvaise visibilité, mais le pilote a décidé d'atterrir près de Smolensk. L'avion serait tombé lors de sa quatrième tentative d'atterrissage.

    Si le Tupolev de conception soviétique était utilisé depuis vingt ans, il n'était pas vétuste, a insisté l'ambassadeur polonais en France sur France 24. Selon lui, l'avion avait été révisé en décembre dernier sans que rien d'anormal ne soit remarqué. De nombreux appareils de ce type ont été impliqués dans des accidents au cours des dernières années, principalement en Russie et dans l'ex-URSS. Moscou a promis une investigation minutieuse sur le drame, en coopération avec les autorités polonaises. Les services secrets russes sont sur place. Les deux boîtes noires ont été retrouvées. Le premier ministre russe Vladimir Poutine présidera la commission d'enquête. En signe de solidarité, le président russe Dmitri Medvedev a décrété lundi journée de deuil national.

     

    Lech Kaczynski allait rendre hommage aux victimes de Katyn

     

    Outre Lech Kaczynski, l'appareil transportait son épouse, le vice-ministre des Affaires étrangères Andrzej Kremer, le chef d'état-major des armées, l'ancien président polonais en exil à Londres Ryszard Kaczorowski et le gouverneur de la banque centrale polonaise. Le président du comité polonais veillant sur les lieux de la mémoire nationale, Andrzej Przewoznik, des députés et des historiens figuraient aussi parmi la délégation. A Varsovie, le premier ministre Donald Tusk a convoqué une réunion extraordinaire de son cabinet. Le président de la Diète, chambre basse du parlement polonais, Bronislaw Komorowski, va assurer les fonctions du chef de l'Etat.

    Le président polonais Lech Kaczynski et des familles d'officiers polonais exécutés il y a 70 ans par la police de Staline étaient attendus, samedi matin, à Katyn près de Smolensk, pour se recueillir.

    Une première cérémonie d'hommage aux 22.000 Polonais tués en 1940 avaient réuni mercredi le premier ministre russe Vladimir Poutine et son homologue polonais Donald Tusk. La catastrophe survient alors que les relations entre la Pologne et la Russie, longtemps empoisonnées par le massacre, s'amélioraient.

    Agé de 60 ans, le conservateur et eurosceptique Lech Kaczynski avait été élu à la présidence de Pologne en décembre 2005 aux dépens de Donald Tusk. Il avait pour frère jumeau le leader de l'opposition polonaise, l'ancien premier ministre Jaroslaw Kaczynski. Lech Kaczynski avait affiché son intention de briguer un second mandat à l'occasion de la présidentielle prévue cet automne. Ce scrutin devait l'opposer au président du Parlement Bronislaw Komorowski, candidat de la Plate-forme Civique, le parti de Donald Tusk.

    Le Figaro - 10 avril 2010

  • L'Iran déterminé à poursuivre son programme nucléaire en dépit des menaces internationales

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    L'Iran a réaffirmé vendredi sa détermination à poursuivre son programme nucléaire et dévoilé la maquette d'une nouvelle centrifugeuse d'une capacité d'enrichissement supérieure à celles dont il dispose actuellement, en dépit des menaces des grandes puissances occidentales.

    Les menaces internationales ne feront que "renforcer la détermination de l'Iran", a déclaré le président Mahmoud Ahmadinejad à l'occasion de la Journée nationale de l'énergie atomique.

    Les Occidentaux qui cherchent à imposer un nouveau train de sanctions internationales contre l'Iran en rétorsion à sa politique d'enrichissement d'uranium "doivent comprendre qu'ils se trompent", a affirmé le président.

    La politique nucléaire iranienne est "engagée dans une voie de non-retour", a-t-il ajouté, réaffirmant que "l'Iran est une nation nucléaire, que ses ennemis l'acceptent ou non".

    Le président iranien a par ailleurs réaffirmé que son pays était "contre la bombe atomique", critiquant les puissances nucléaires qui se sont dotées de cette arme et défendent désormais la non-prolifération. "Nous considérons les armes atomiques comme inhumaines", a-t-il affirmé.

    Il a également pointé du doigt, sans le nommer, Israël "qui possède des stocks d'armes nucléaires mais est soutenu" par les Occidentaux.

    "Si vous voulez la non-prolifération et le désarmement, désarmez-vous et désarmez vos amis", a-t-il lancé aux puissances nucléaires occidentales.

    "Les commentaires (de M. Ahmadinejad vendredi) ne font que prouver plus encore que malgré ses dénégations, nous devons conclure que l'Iran a des intentions malfaisantes concernant son programme nucléaire", a réagi le porte-parole du département d'Etat américain Philip Crowley.

    A Londres, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a affirmé que son pays avait de "de profondes inquiétudes concernant le programme nucléaire de l'Iran qui a échoué à rassurer la communauté internationale que son programme est à visées purement pacifiques".

    Les déclarations iraniennes interviennent alors que les six puissances chargées du dossier du nucléaire iranien (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne et Allemagne) ont entamé jeudi des discussions sur un renforcement des sanctions internationales contre Téhéran.

    Elles interviennent également peu après l'annonce par Washington d'une nouvelle politique nucléaire ciblant l'Iran et la Corée du nord comme deux pays susceptibles d'être visés par une attaque américaine.

    M. Ahmadinejad avait violemment dénoncé dès mercredi cette menace contre Téhéran.

    Le président iranien a en outre dévoilé vendredi la maquette d'une centrifugeuse de 3ème génération, d'une capacité d'enrichissement d'uranium six fois supérieure à celles de l'usine de Natanz (centre).

    Cette centrifugeuse, dont la construction avait été annoncée en décembre, a été "testée avec succès", et Téhéran espère commencer à la déployer d'ici le printemps 2011, a indiqué le chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique, Ali Akbar Salehi.

    L'Iran dispose actuellement à Natanz de quelque 8.600 centrifugeuses qui lui ont déjà permis de produire plus de deux tonnes d'uranium enrichi à 3,5%, selon les estimations de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

    Téhéran a lancé en mars la production d'uranium enrichi à 20%, déclenchant un tollé des Occidentaux et d'une parti de la communauté internationale qui y ont vu la confirmation de leurs craintes quant aux intentions iraniennes.

    M. Salehi a précisé que l'Iran était en train de préparer la production, à partir de cet uranium, du combustible dont il a besoin pour son réacteur de recherche médicale de Téhéran, l'une des principales justifications de Téhéran à la production d'uranium hautement enrichi.

    Le Point - 9 avril 2010

  • USA: à 7 ans, sa mère adoptive le renvoie en Russie...tout seul!

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    Artyom et sa mère adoptive - (Cliquez sur la photo)

    Les démarches des Américains qui souhaitent adopter des enfants russes risquent d'attendre longtemps. Le chef de  de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, entend geler les démarches. Le motif ? Une histoire édifiante.

    Artyom Saveliev, 7 ans, est arrivé vendredi dans l'un des aéroports de Moscou tout seul, avec un sac à dos contenant quelques biscuits et confiseries pour la journée, des crayons de couleur.

    .. et une lettre dactylographiée de sa mère adoptive. Torry-Ann Hansen, âgée de 34 ans, y avait écrit qu'«elle ne voulait plus être la maman de cet enfant une minute de plus».

     

    Dans le courrier, elle explique que l'enfant est violent et qu'il souffre de «problèmes psychotiques graves», ce que lui aurait caché l'orphelinat de Vladivostok (à l'extrême est de la Russie), lorsqu'elle l'a adopté l'an dernier, pour qu'il commence une nouvelle vie dans le Tennessee. «Comme il est de nationalité russe, je le remets entre vos mains et je souhaite annuler l'adoption», conclut la mère.

    Indignation en Russie

    Selon le quotidien britannique «Daily Mail», jeudi avant de le mettre dans l', l'Américaine et sa mère auraient expliqué à l'enfant qu'il partait en excursion à Moscou, sans évoquer un quelconque abandon. Lorsqu'il a été pris en charge par les services sociaux moscovites, à son arrivée sur sa terre natale, Artyom était totalement déconcerté.

    Son cas a suscité une tempête médiatique en Russie. «Mon épouse et moi, nous sommes profondément bouleversés», a déclaré l'ambassadeur des Etats-Unis à Moscou, John Beyrle. «Nous sommes en train d'enquêter sur toutes les circonstances entourant le retour d'Artiom en Russie pour voir si un délit a été commis», a-t-il ajouté.

    De nouvelles conditions fixées pour l'adoption

    Aux Etats-Unis, l'administration Obama souhaite que des familles américaines puissent continuer d'adopter des enfants russes, mais comprend l'inquiétude de la Russie à cet égard. Un porte-parole a fait une déclaration officielle en ce sens après que Moscou ait annoncé vouloir geler le processus.

    «Nous avons pris une décision - et le ministère des Affaires étrangères va insister fermement - proposant que toute adoption par des familles américaines soit gelée jusqu'à ce que la Russie et les Etats-Unis concluent un accord» en ce sens, a déclaré le chef de la diplomatie russe à Moscou, dans une interview à la télévision qui sera diffusée samedi. Ce document doit prévoir «les conditions sous lesquelles l'adoption peut avoir lieu» et «les engagements» des familles adoptives, a-t-il expliqué.

    Une responsable du ministère de l', Alina Levitskaïa, a indiqué à l'agence de presse RIA Novosti vendredi que la Russie avait suspendu la licence de l'agence américaine World Association For Children and Parents ayant aidé l'adoption du garçon.

    Le parisien - 9 avril 2010

     

  • VIDEO Hommage à Eugène Terre'Blanche

    http://videos.tf1.fr/jt-we/eugene-terreblanche-l-hommage-sous-haute-securite-des-africaners-5804805.html

    9 avril 2010

  • VIDEO - "Du danger de l'islam" par Anne-marie Delcambre

    http://www.youtube.com/watch?v=R21snAhENFk

    Anne-Marie Delcambre, née le 26 juin 1943, est une islamologue française.

    Docteur de troisième cycle de l'Université Paris-IV en études islamiques], docteur d'État en droit et agrégée d'arabe classique, Anne-Marie Delcambre a été professeur d'arabe au lycée Louis-le-Grand et a participé à la rédaction d'articles dans l’Encyclopædia of Islam.

    Elle est également l'auteur de nombreux livres et articles sur Mahomet et l'islam. Dans ses derniers ouvrages, publiés chez Desclée de Brouwer, elle jette un regard particulièrement critique sur l'islam et expose ses vues sur le Coran, la sunna et le droit musulman, qu'elle considère comme les racines de l'intégrisme musulman. (Wikipédia)

  • Immigration clandestine: le préfet du Rhône ne fait pas appliquer la loi - A-t-il peur d'être désavoué par Sarkozy?

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    09/04/2010 – 18h18
    LYON (NOVOpress) : Ce vendredi, le préfet du Rhône, Jacques Gérault (ci-contre), a annoncé qu’il mettait fin à la procédure d’expulsion de Guilherme Hauka Azanga, un délinquant clandestin angolais en situation irrégulière sur le sol français depuis 8 ans, « faute de moyens matériels ».

    Cet Angolais résidant dans le quartier de Guillotière à Lyon, déjà condamné à deux mois de prison ferme pour délit de fuite, a vu huit de ses demandes de régularisation refusées ! Pourtant il vient d’être relâché aujourd’hui alors qu’il devait être reconduit dans son pays, notamment grâce à la mobilisation des associations pro-immigrés d’extrême gauche, comme RESF, qui ont tout fait ces derniers jours pour faire échouer le départ du clandestin.

    Dans un communiqué publié cet après-midi, les jeunes identitaires lyonnais de Rebeyne ! s’insurgent : « Ces associations agissent une nouvelle fois en toute illégalité, et plus grave, en toute impunité. Elles sont soutenues dans leurs opérations  par les élus socialistes locaux, ainsi que toutes sortes de personnalités immigrationnistes, comme les réalisateurs Bertrand Tavernier et Laurent Cantet. Il paraît également évident que le pouvoir en place n’a tout bonnement pas la volonté d’expulser les immigrés illégaux et se fait le complice direct de la situation actuelle. Le préfet du Rhône a-t-il eu peur d’être désavoué par M. Sarkozy comme son « ex collègue » Bernard Fragneau, obligé de soumettre sa démission après que le chef de l’Etat a fait revenir en France une immigrés clandestine marocaine ? »

    « En tout cas, ajoute Rebeyne !, une fois de plus les lois de notre pays sont bafouées, avec la complicité de ses représentants, et à cause de la pression des mouvements immigrationnistes qui disposent de nombreux relais dans les médias locaux, d’ailleurs peu avares de publicité sur les différentes mobilisations de soutien aux délinquants clandestins. »

  • A Reims, la Grande Mosquée sort de terre

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    09/04/2010 – 18h04
    REIMS (NOVOpress)
    – La ville du sacre des rois de France va bientôt accueillir une monumentale mosquée. La coupole de l’édifice, avec ses sept mètres de haut et un diamètre de 8 mètres, commence à rivaliser avec le sommet de la basilique Saint-Rémi. Mais le minaret sera encore plus ambitieux avec ses douze mètres de hauteur.

    Les travaux vont bon train et devraient s’achever début 2011. La grande mosquée de Reims s’étendra alors sur une superficie de  3 700m², dont une salle de prière de 1 500m² pouvant rassembler 1 500 personnes. Le site abritera aussi une librairie, une bibliothèque, une salle polyvalente et même un salon de thé. C’est Clovis, le roi des Francs, baptisé à Reims, qui ne reconnaîtrait plus sa terre, en proie aujourd’hui à une islamisation conquérante.

  • Deux nouveaux francs-maçons au Conseil constitutionnel

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    Nouveau membre du Conseil constitutionnel, l’ex-sénateur UMP Hubert Haenel, présenté sans rire dans les médias comme « catholique pratiquant », appartient notamment à la loge “La lyre de Salomon” de la Grande Loge nationale française.

    Quant au socialiste Michel Charasse, autre nouveau membre du Conseil constitutionnel, présenté souvent comme « maçon sans tablier », il a été secrétaire administratif de la Fraternelle parlementaire. Or pour en être membre, il faut bien évidemment être un initié.

    Information révélée par le bulletin “Faits & Documents” via E-Deo

    Altermedia Info - 9 avril 2010

  • Vendée: Bruno Gollnisch s'élève contre l'annonce brutale des démolitions

    Bruno Gollnisch, vice-président du Front national, a jugé "extraordinairement brutale" l'annonce de démolition des maisons sinistrées par la tempête Xynthia en Vendée et Charente-Maritime, invitant leurs habitants à "saisir les juridictions administratives".

    "Je ne connais pas le dossier technique" mais "l'annonce de ces démolitions me paraît extraordinairement brutale, précipitée et ne s'accompagne apparemment d'aucune procédure contradictoire véritable, ni avec les élus ni avec les gens concernés, c'est ça que je conteste", a déclaré Bruno Gollnisch sur Canal+.

    Pour les habitants dont la maison doit être détruite, "il y a des moyens de résister : ils peuvent saisir les juridictions administratives, ils peuvent protester bien sûr, j'espère bien qu'ils vont le faire", a-t-il dit.

    A l'origine, "il n'y aurait pas dû y avoir délivrance de permis de construire" dans ces zones inondables, a fait remarquer le responsable FN jugeant qu'il y avait eu "une très grave faute des responsables publics".

    Au total, 1.393 habitations sinistrées situées dans des zones "noires" seront rasées sur le littoral vendéen et charentais, selon le plan annoncé par le gouvernement.

    Le Figaro - 9 avril 2010

  • Sans surprise: l'Angolais sans-papiers est rentré à Lyon

    L'Angolais sans-papiers, dont l'expulsion vers Luanda a échoué après plusieurs tentatives initiées par la préfecture du Rhône, où sa situation a généré une forte mobilisation, est rentré cet après-midi à Lyon.
    Accueilli par une centaine de personnes, Guilherme Hauka Azanga, 45 ans , est arrivé à la mi-journée à la gare de la Part-Dieu avec sa compagne.

    La préfecture du Rhône avait décidé de "mettre fin" hier soir à la "rétention administrative" du sans-papiers devant l'"impossibilité matérielle" de procéder à son expulsion, même si ce dernier, pour lequel élus socialistes et associations se sont massivement mobilisés à Lyon, reste toutefois "en situation irrégulière".

    M. Hauka Azanga avait quitté le centre de rétention administrative (CRA) de Lyon Saint-Exupéry mercredi pour être transféré dans la soirée à Roissy-Charles de Gaulle, où le pilote du vol Air France pour Luanda (Angola) avait refusé par deux fois de l'embarquer, selon RESF.

    Selon la préfecture du Rhône, il se trouvait jeudi soir en escale à Lisbonne, où à nouveau son "embarquement" pour Luanda "n'avait pas pu se faire".
    "Quand il rentrera en France, il sera libre mais toujours tenu d'exécuter de lui-même une OQTF (obligation de quitter le territoire français), ce qui veut dire qu'il est reconductible à tout moment", avait souligné la préfecture.

    M. Hauka Azanga est arrivé en France il y a huit ans, laissant en Angola sa première femme et leurs cinq enfants. Ses demandes d'asile ayant été rejetées, il avait été interpellé le 25 mars au domicile qu'il partage avec sa concubine.
    Il a déjà purgé deux mois de prison pour refus d'embarquer. Conduit à l'aéroport à sa sortie de prison le 18 mars, il avait été reconduit en France après une escale à Francfort, le pilote ayant refusé de décoller car il était entravé.

    Le Figaro - 9 avril 2010

  • Les obsèques d'Eugène Terre'Blanche

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    (Cliquez sur la photo)
    Des milliers de fermiers blancs d'extrême droite se sont rassemblés aujourd'hui dans le temple réformé de Ventersdorp (nord-ouest de l'Afrique du sud) pour les funérailles sous haute sécurité du leader radical assassiné Eugène Terre'Blanche.
    "Le monde était contre lui", a déclaré durant la cérémonie le pasteur Ferdie Devenier, s'exprimant en afrikaans, la langue de l'Eglise réformée et des descendants des premiers colons européens.
    "Les gens ne voyaient que ce qu'il y avait de mauvais en lui", a continué le pasteur devant l'assemblée qui débordait du temple, certains choisissant de rester debout dans les espaces libres ou bien s'asseyant par terre.

    A l'extérieur, plusieurs milliers de personnes suivaient le service retransmis par haut-parleurs, sous la surveillance d'un impressionnant déploiement policier.
    Au pied du pasteur, le cercueil avait été revêtu du drapeau du Mouvement de résistance afrikaner (AWB) aux couleurs très proches de celles du parti nazi: une croix noire rappelant la swastika, dans un cercle blanc sur fond rouge.
    Le chef de la police nationale, Bekhi Cele, qui avait rencontré la famille avant la cérémonie, a été rejoint par la ministre de l'Agriculture Dipuo Peters, aux côtés des fermiers et de partisans de l'AWB en tenue paramilitaire.
    "Ce seront des funérailles normales, pas des funérailles politiques. C'est ce qu'a demandé la famille", avait indiqué plus tôt un porte-parole de l'AWB, Pieter Steyn, soulignant que le mouvement avait renoncé à toute manifestation aujourd'hui.

    La mort d'Eugène Terre'Blanche, 69 ans, battu à mort samedi par deux de ses ouvriers agricoles noirs, a fait resurgir les tensions raciales sous-jacentes dans les zones rurales, où persistent d'effarantes inégalités 16 ans après la chute de l'apartheid.
    Les meurtriers présumés, inculpés mardi, ont expliqué s'être disputé avec leur patron au sujet d'un salaire mensuel impayé, de l'ordre de 30 euros.
    A l'issue du service religieux, Eugène Terre'Blanche devait être enterré sur sa ferme, à une dizaine de kilomètres du centre de Ventersdorp. La procession devait éviter le centre-ville.
    Le Figaro - 9 avril 2010