http://fr.youtube.com/watch?v=ekmJqVX1B7w
Mais le projet semble tomber à l'eau...
http://fr.youtube.com/watch?v=rbmtdv3C-fU
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
http://fr.youtube.com/watch?v=ekmJqVX1B7w
Mais le projet semble tomber à l'eau...
http://fr.youtube.com/watch?v=rbmtdv3C-fU
http://www.dailymotion.com/video/x72q5l_francetunisie-hymne-francais-siffle_sport
La Fédération française de football voulait éviter ça. Elle avait donc convié deux chanteuses franco-tunisiennes, Lââm et Amina, pour chanter les hymnes nationaux avant le coup d'envoi du match amical France-Tunisie au Stade de France. Malgré ces efforts, les quelques 60.000 spectateurs présents, dont une majorité de Tunisiens, ont accompagné l'hymne français par des sifflets, comme lors des rencontres amicales France-Algérie en octobre 2001 et France-Maroc en novembre 2007.
Juste avant les hymnes, les noms des joueurs français avaient également été pris pour cible. Le plus conspué : Hatem Ben Arfa, né à Clamart de parents tunisiens et qui avait opté pour la sélection française malgré les sollicitations de la Fédération tunisienne.
LCI.fr- 14.10.08
L'animateur-vedette ("La chasse aux trésors") Philippe de Dieuleveult, disparu lors d'une expédition sur le fleuve Zaïre en 1985, ne s'est pas noyé mais a été arrêté par les services secrets zaïrois avant d'être très certainement exécuté, affirme le magazine trimestriel XXI à paraître jeudi.
Un procès-verbal de cet interrogatoire, dont l'AFP a pu consulter une copie, s'ouvre par ces mots : "L'an mille neuf cent quatre vingt cinq, le huitième jour du mois d'août, a été entendu le prévenu Philippe Dieuleveult".
Le PV, sur papier à en-tête de la DSP portant la mention "pro-Justicia", est estampillé d'un tampon "République du Zaïre" et porte deux signatures : celle du "major K.", "chef d'opérations" et celle du "comparant" Philippe de Dieuleveult, qui a été authentifiée pour XXI par son frère Jean.
Depuis plus de vingt ans, la noyade est la thèse officielle expliquant la disparition de l'animateur de "La chasse aux trésors" et de ses compagnons.
L'interrogatoire, entièrement manuscrit, débute par ces mots :
"- Quel est le but de votre visite au Zaïre ?"
- Je suis venu pour une expédition.
(...)
- Avez-vous des documents justifiant votre visite ?
- Oui, j'avais le document, mais il m'a été ravi lors de mon arrestation à l'île des Hippopotames vers le barrage hydro-électrique d'Inga.
(...)
- Nous tenons des informations que vous et votre équipe, vous êtes de la DGSE ?
- Non
(...)
- Avez-vous quelque chose à ajouter ?
- Non, mais j'affirme que nous sommes venus pour l'expédition Africa Raft et je veux être entendu devant mon avocat dans mon ambassade".
Anna Miquel s'est également procuré la copie d'un télex de l'Agence nationale de documentation (AND, ex-renseignements intérieurs zaïrois), envoyé le 3 et reçu à Kinshasa le 4 août 1985.
Signé "GOUDOC/ANR", il stipule notamment, en capitales: "HONNEUR VOUS SIGNALER RENVOI Mr PHILIPPE DE DIEULEVEULT ET TOUTE SA BANDE DE MATADI (la ville la plus proche des rapides d'Inga) A KINSHASA, ACCUSER PAR SERVICE AMI D'ETRE MERCENAIRE SUIVANT PARCOURS, DESTABILISER POUVOIR EN PLACE. STOP (...) ARRIVER AUSSITOT TRANSFERER AU CAMP TSHATSHI POUR AUDITION. STOP".
Selon l'enquête publiée dans le trimestriel, les membres de l'expédition ont été torturés pendant leur interrogatoire puis exécutés.
"Je n'ai plus aucun doute sur le fait qu'ils ont été tués", a confié à l'AFP Anna Miquel. "Tous les témoignages se recoupent. On ne ressortait pas vivant de ce genre d'interrogatoire".
Selon elle, les corps auraient été dans un premier temps enterrés dans l'enceinte du camp militaire de Tshatshi à Kinshasa puis, des mois plus tard, inhumés et dispersés pour n'être jamais découverts.
AFP. 14.10.08
Le CAC 40, qui termine en hausse de 2,75% à 3528,52 points, a nettement réduit sa hausse mardi en fin d'après-midi, dans un marché rendu très nerveux par le tassement de la Bourse de New York, et malgré l'annonce des détails du plan Paulson remanié, qui envisage notamment d'injecter 250 milliards de dollars dans son système bancaire. Le secrétaire américain au Trésor Henry Paulson a précisé mardi que neuf grandes institutions américaines avaient accepté que l'Etat prenne une participation à leur capital dans le cadre de son plan de sauvetage.
A Wall Street, après avoir ouvert en forte hausse, le Dow Jones perd 0,21% et le Nasdaq Composite cède plus de 2% à la clôture du marché parisien, sur des prises de bénéfices.
Les marchés européens, malgré le léger ralentissement final, sont restés portés par la coopération des gouvernements européens, dont les plans concertés prévoient au total près de 1.700 milliards d'euros pour garantir les prêts interbancaires et recapitaliser les banques en difficulté.
Du côté des statistiques, l'Insee a indiqué ce matin que l'inflation a baissé de 0,1% sur un mois en septembre, et qu'elle atteint 3% sur un an. La ministre de l'Economie Christine Lagarde a assuré ce matin que l'inflation sera inférieure à 3% en France à la fin de l'année. Par ailleurs, la Banque de France a révisé sa prévision de croissance pour le troisième trimestre 2008 à -0,1%, contre +0,1% auparavant.
Le Figaro - 14.10.08
Ca se passe comme ça dans le 9.3 !
Le temps ensoleillé d’hier matin semblait idéal pour le début d’un tournage… Mais au stade Henri-Vidal, dans le quartier des Bosquets à Montfermeil, point d’équipe ni de caméras. Le barnum blanc dressé pour accueillir figurants et techniciens est vide. Un jeune homme employé par la production range des barrières et refuse de dire quoi que ce soit.
Au fond du site, à côté des gradins, les carcasses grises de huit voitures.
Les véhicules ont été incendiés dans la nuit de dimanche à lundi, vers 2 heures du matin. Ils devaient servir aux cascades et au décor du film « From Paris with Love », dont plusieurs scènes spectaculaires devaient être tournées aux Bosquets avec les acteurs américains John Travolta et Jonathan Rhys-Meyer.
L’incident semble avoir mis un point final à cette entreprise. Officiellement, comme le répétait hier après-midi un attaché de presse, le tournage est reporté à une date ultérieure « quand les esprits seront moins chauds ». Plusieurs témoins affirment pourtant que le patron d’Europacorp, Luc Besson, qui s’est rendu sur place hier matin, a annoncé l’annulation des scènes prévues à Montfermeil devant une partie des habitants recrutés pour cette production. Il aurait promis que tous, figurants et agents de sécurité, seraient rétribués malgré tout.
Dans la ville, c’était hier l’abattement et la déception qui dominaient. « C’est petit d’avoir fait ça, confiait un jeune homme, l’oeil posé sur les voitures incendiées. Une minorité se comporte mal et tout le monde trinque… » Le film devait fournir du travail à environ 90 personnes de la cité, sans compter les associations chargées de préparer les repas pour l’équipe. Des protestations s’étaient tout de même fait entendre la semaine dernière, certains jeunes réclamant que la production embauche davantage de monde, et demandant l’augmentation des salaires.
« Les représentants de la production avaient très gentiment accepté de négocier. On était arrivé à 200 € par journée, indique Goune, père de famille de 29 ans. C’était un bon projet, il y a de quoi être déçu ! »
Un peu amer, le maire UMP, Xavier Lemoine, lâche d’une voix lugubre : « C’est un beau gâchis. Quand je pense à tous ceux qui m’interpellaient dans la rue pour me parler du film et qui se réjouissaient… L’opération devait être gratifiante et valorisante pour tout le monde. »
Le Parisien - 14.10.08
On lui propose de tourner " From Maghreb with fatmas" !
L'union sacrée des gouvernements des principales puissances économiques mondiales pour faire face à la crise financière a revigoré lundi les places boursières, qui ont terminé la séance sur des gains records.
Après des hausses de plus de 10% des indices boursiers en Asie et en Europe, Wall Street, première place mondiale, a fini sur un feu d'artifice de 11,08%, soit une hausse jamais vue de plus de 900 points en une séance.
"Le marché réagit aux annonces du week-end", a commenté l'analyste Peter Cardillo, d'Avalon Partners, dans une allusion aux réunions à Washington des grands argentiers des principales puissances économiques qui se sont engagés à soutenir le secteur financier contre vents et marées.
"Ces initiatives ont aidé à endiguer la vague de pessimisme qui persistait la semaine dernière et à encourager un mouvement de chasses aux bonnes affaires", a ajouté son confrère Patrick O'Hare, de Briefing.com. "Les gouvernements du monde entier semblent avoir pris la mesure de la gravité de la crise financière".
Ces actions concertées au niveau européen, réclamées de longue date, ont redonné espoir aux investisseurs qui étaient restés de marbre face au plan du secrétaire au Trésor américain Henri Paulson et à la baisse des taux directeurs des banques centrales.
"C'est mot pour mot ce qu'on voulait", exultait Maurice Gravier, directeur de Natixis Asset Management à Paris, pour qui il s'agit d'un "catalogue idéal" de mesures afin d'"éviter une contagion de la crise à toute l'économie et rétablir la confiance".
La quasi-totalité des Bourses européennes ont fini sur des hausses historiques: Paris a pris 11,18%, Francfort 11,40%, Madrid 10,65%, Milan 11,49%. Un ton en dessous, Londres a gagné 8,26%.
Au lendemain d'un sommet de crise des pays de la zone euro, les dirigeants européens ont mis leurs chiffres sur la table, de quoi donner le tournis aux citoyens européens. Mais de quoi rassurer, du moins temporairement, les marchés.
Berlin a annoncé 480 milliards d'euros, Paris 360 milliards, Madrid et Vienne 100 milliards chacun, Lisbonne 20 milliards, La Haye 200 milliards.
L'Italie a annoncé qu'elle dépenserait autant qu'il le faudrait pour ses banques.
Ces mesures de la zone euro s'ajoutent au plan britannique qui avait montré la voie la semaine dernière avec 380 milliards d'euros. Londres va investir jusqu'à près de 50 milliards d'euros dans trois des plus grandes banques du pays, RBS, HBOS et Lloyds TSB, provoquant leur nationalisation de fait.
L'économiste américain Paul Krugman, qui s'est vu décerner lundi le prix Nobel d'économie en pleine bourrasque financière, a d'ailleurs rendu hommage à l'action du Premier ministre britannique Gordon Brown, se demandant s'il "n'avait pas sauvé le système financier mondial".
Et les sanctions contre les financiers véreux de Wall Street? Déjà oubliées?
Que dire de cette joie indécente des mondialistes?
C'est la paupérisation de millions de gens qui va payer l'enrichissment des "grands argentiers"!
L'Autriche, un pays encore sous le choc après la mort de Jörg Haider. Les hommages qui lui sont rendus dans les médias nationaux soulignent que cet homme charismatique laisse un grand vide.
Depuis le début de la crise financière, le gouvernement a annoncé une série de mesures pour soutenir l’économie française. Jusqu’à présent, le coût de ces dispositions est de près de 30 milliards d’euros. Où l’Etat trouve-t-il ces sommes impressionnantes ?
A ce jour, les mesures ont, pour l’essentiel, été financées par un changement des règles d’utilisation de l’épargne déposée par les particuliers.
Le plan de 22 milliards pour le financement des PME, par exemple, repose en premier lieu sur les dépôts collectés par les banques sur le livret développement durable (LDD, ex-Codevi). Jusqu’à présent, 9 % des dépôts du LDD filaient directement vers la Caisse des dépôts, qui se chargeait de les gérer. Dorénavant, les banques pourront en conserver l’usage et aider ainsi les entreprises à se financer. L’organisme Caisse des dépôts lui-même, qui possède un important « trésor de guerre », a été mis à contribution pour le rachat de 10 000 logements dont la mise en chantier n’a pu être lancée, faute d’acheteurs, et pour le sauvetage de Dexia (2,4 milliards).
Même si, pour ces deux exemples, le gouvernement n’a pas fait directement appel aux contribuables, il serait précipité d’affirmer que cela ne sera jamais le cas. Une partie des dépenses annoncées n’a jamais fait l’objet d’explications claires.
D’où viendra le milliard apporté par l’Etat à Dexia ? Comment sera financé l’achat de 20 000 autres logements ? Où trouvera-t-on les 400 millions pour la recherche et le développement de « voitures propres » ? Qui paiera les millions que l’Etat est susceptible de verser s’il se porte garant d’un prêt souscrit par une banque défaillante ?
Si ces dispositions étaient intégrées dans le budget de l’Etat (environ 278 milliards de dépenses et 227 milliards de recettes pour 2009), elles seront, in fine, payées par les contribuables. Cela ne se fera sans doute pas à court terme, la France voulant oublier pour quelque temps la règle européenne qui contraint les membres de l’Union à présenter un budget dont le déficit est limité à 3 % du PIB.
Mais, en laissant filer le déficit budgétaire, c’est la dette de la France, qui s’élève déjà à plus de 1 200 milliards, qui grandira encore un peu. Un caillou plus que gênant dans la chaussure des générations futures…
Gabriel Richalot - Le Parisien - 13.10.08
Le gouvernement a adopté lundi lors d'un Conseil des ministres extraordinaire un plan de secours aux banques doté de 360 milliards d'euros, traduction française de celui mis au point par les quinze pays de la zone euro pour enrayer les effets de la crise financière.
Conformément au plan de l'Eurogroupe, l'Etat a décidé d'accorder une garantie "payante" des prêts interbancaires à hauteur de 320 milliards d'euros et de consacrer jusqu'à 40 milliards d'euros à la recapitalisation des banques en difficulté.
"Cet engagement massif est à la hauteur du problème auquel nous sommes confrontés", a plaidé le chef de l'Etat.
"En offrant la garantie de l'Etat, nous pouvons espérer mettre un terme à la crise de confiance et ainsi à ne pas avoir à faire supporter aux Français le coût exorbitant qu'aurait une défaillance de tout le système bancaire", a-t-il ajouté, "le pari raisonnable que nous faisons est qu'en apportant cette garantie, nous n'aurons pas à la faire jouer".
"Les emprunts émis par cette société pour son financement seront garantis par l'Etat", a expliqué Nicolas Sarközy, précisant que cette garantie serait appliquée "aux emprunts contractés avant le 31 décembre 2009 et pour une durée pouvant aller jusqu'à cinq ans".
"Il s'agit de rétablir la confiance et non pas, par ce mécanisme, de venir au secours d'établissements qui se trouveraient en difficulté du fait d'une mauvaise gestion", a-t-il prévenu.
Ainsi, cette garantie ne se fera pas "sans contrepartie" et sera donc "payante à un prix normal du marché", a insisté le président. Ses bénéficiaires devront aussi respecter des "obligations" notamment en matière d'éthique, allusion aux "parachutes dorés" accordés aux dirigeants...
AFP. 13.10.08
Le gouvernement français a adopté lundi lors d'un Conseil des ministres extraordinaire un plan de secours aux banques doté de 360 milliards d'euros, traduction française de celui mis au point par les quinze pays de la zone euro pour enrayer les effets de la crise financière.
Conformément au "plan d'action extrêmement ambitieux" de l'Eurogroupe, l'Etat a décidé d'accorder une garantie "payante" des prêts interbancaires à hauteur de 320 milliards d'euros et de consacrer jusqu'à 40 milliards d'euros à la recapitalisation des banques en difficulté.
"Cet engagement massif est à la hauteur du problème auquel nous sommes confrontés", a plaidé le chef de l'Etat.
Comme attendu, le gouvernement a créé une société chargée de refinancer les banques qui, depuis le début de la crise, rechignent à se prêter de l'argent entre elles comme aux ménages et aux entreprises, au risque de provoquer un ralentissement de l'économie.
"Les emprunts émis par cette société pour son financement seront garantis par l'Etat", a expliqué Nicolas Sarkozy, précisant que cette garantie serait appliquée "aux emprunts contractés avant le 31 décembre 2009 et pour une durée pouvant aller jusqu'à cinq ans".
"Il s'agit de rétablir la confiance et non pas, par ce mécanisme, de venir au secours d'établissements qui se trouveraient en difficulté du fait d'une mauvaise gestion", a-t-il prévenu.
Ainsi, cette garantie ne se fera pas "sans contrepartie" et sera donc "payante à un prix normal du marché", a insisté le président. Ses bénéficiaires devront aussi respecter des "obligations" notamment en matière d'éthique, allusion aux "parachutes dorés" accordés aux dirigeants.
Deuxième étage de la fusée gouvernementale, Nicolas Sarkozy a confirmé la création de la Société de prise de participation de l'Etat (SPPE), annoncée par François Fillon la semaine dernière, destinée à "fournir des fonds propres" garantis par l'Etat aux banques en difficulté.
L'Etat "ne laissera aucun établissement bancaire faire faillite", a répété le président. Mais "dans ce cas, comme ce fut le cas pour (la banque franco-belge) Dexia, l'Etat prendra le contrôle et la direction sera changée, il ne peut y avoir de sauvetage sans sanction des erreurs".
Nicolas Sarkozy a également confirmé son intention "d'aller vite" en réaffirmant que le projet de loi du gouvernement serait proposé dès mardi au Parlement et "voté avant la fin de la semaine".
Sa déclaration à peine terminée, il a reçu à l'Elysée les présidents de l'Assemblée nationale Bernard Accoyer, du Sénat Gérard Larcher et des groupes parlementaires afin de leur présenter le plan. Et mardi matin, il retrouvera, pour la troisième fois en deux semaines, ses bénéficiaires, les dirigeants des banques et assurances du pays.
Vu la gravité de la crise, Nicolas Sarkozy a jugé que son plan était "la seule façon de protéger les emplois, les économies et les impôts" des Français. Le premier secrétaire du PS François Hollande a convenu que "plusieurs mesures indispensables" avaient été prises par l'Eurogroupe, même si, à son goût, "huit jours ont été perdus".
Le ministre français du Budget Eric Woerth a déclaré lundi que le plan de soutien français au secteur bancaire n'aurait "pas d'impact direct sur les finances publiques" tout en reconnaissant qu'il pourrait augmenter la dette, lors d'une conférence de presse.
Il a toutefois estimé que, malgré ce plan, le gouvernement devait "pouvoir tenir" sa prévision d'un déficit public (Etat, sécurité sociale et collectivités locales) de 2,7% cette année.
Avant même l'annonce du plan de soutien bancaire, la dette publique de la France était attendue à 65,3% du PIB fin 2008, au delà du plafond de 60% autorisé par le pacte de stabilité européen.
AFP. 13.10.08
Céline Baby pleure de joie. Barack Obama lui a serré la main. Cette retraitée de 78 ans a attendu pendant trois heures sous un soleil de plomb afin de voir le candidat démocrate, en visite dans son quartier de West Philadelphia (Philadelphie). « J’ai l’impression d’avoir vécu un moment historique, souffle-t-elle alors que les larmes glissent le long de ses joues.
http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafYne5.html
Que sont devenus les sacs poubelle de 100 litres qu'Alexandrine Brugerolle de Fraissinette a achetés au Monoprix d'Issoire (Puy-de-Dôme), 24 heures seulement avant de signaler la disparition de son fils Antoine? La question taraude les gendarmes de la cellule «Disparition 63» depuis qu'ils ont mis au jour cette curieuse transaction, confirmée lundi au Figaro par une source proche du dossier, en épluchant les relevés bancaires de la jeune femme.
Le 24 septembre dernier, c'est cet «élément matériel important» qui a décidé les magistrats à ordonner son placement en garde à vue. Lors des perquisitions menées à son domicile durant les jours précédents, en effet, les enquêteurs n'avaient trouvé aucune trace de ces poches plastique de grande taille. «Or, la maman d'Antoine s'est révélée incapable de nous fournir une réponse convaincante», relève aujourd'hui une source judiciaire, selon qui «toutes les pistes continuent d'être explorées» dans cette affaire. Contacté lundi, le procureur de Clermont-Ferrand s'est, pour sa part, refusé à tout commentaire.
L'achat suspect, qui a retenu l'attention des gendarmes dès les tout premiers jours de l'enquête, porte sur un stock de sacs poubelle ainsi que sur un paquet de gants de ménagère Mapa et sur une bouteille de déboucheur liquide Destop achetés avec la carte bleue d'Alexandrine Brugerolle le 10 septembre dernier. «Je m'étais procurée ce matériel parce que je voulais faire du rangement et donner les vêtements devenus trop petits pour Antoine après avoir fait un tri», a-t-elle confié lundi après-midi, contactée par l'intermédiaire de son avocate, Me Anne-Laure Lebert.
Interrogée en garde à vue sur la «disparition» de ces sacs de grande contenance, la mère d'Antoine avait simplement expliqué les avoir rapportés au magasin le jour même. «Lorsque je me suis aperçue que je m'étais trompée de taille, je suis aussitôt retournée à Monoprix pour les échanger contre des sacs de 30 litres que les gendarmes ont retrouvés chez moi», affirme-t-elle. Par la suite, les enquêteurs ont tenté de faire confirmer cette explication par le supermarché d'Issoire - en vain. «Leurs caisses enregistreuses n'ont conservé aucune trace de cet échange, s'étonne une source proche de l'enquête, si bien que le mystère lié à ces sacs perdure.»
Indépendamment de cette zone d'ombre, la vingtaine d'enquêteurs détachés sur l'affaire s'efforcent de démêler les diverses incohérences qui émaillent encore la chronologie des faits. «Nous sommes notamment surpris du très court laps de temps qui s'est écoulé entre le moment où Alexandrine dit être rentrée du restaurant le 11 au soir, vers 21h15, et le moment où elle a alerté la gendarmerie à 21h17 très précises, indique le procureur, Jean-Yves Coquillat. Pour une mère qui avait l'habitude de voir son fils jouer dehors tard le soir, cela paraît très rapide.»
Enfin, les gendarmes ont été étonnés d'apprendre que l'enfant, à en croire sa mère, a choisi un imposant un sac de sport long de 1,10 mètres qui appartient à son nouveau "beau-père" pour abriter les quelques affaires qu'il est supposé avoir emporté dans sa fugue.
Le Figaro - 13.10.08
Qu'attend donc le procureur pour inculper ces monstres?
De retrouver quelques ossements de l'enfant assassiné?
AFP -13.10.08
Les marchés européens ont nettement rebondi lundi, après une semaine de débâcle historique, alors que les pays de la zone euro commençaient à détailler leurs plans d'aide aux banques dans le cadre d'une réponse mondiale à la crise financière.
Imitant le plan de sauvetage britannique annoncé la semaine dernière, les Européens ont commencé à dévoiler lundi des montants spectaculaires pour soutenir leur secteur financier. Mot d'ordre affiché: mesures choc et coordination exemplaire.
L'Allemagne, première économie européenne, a débloqué 480 milliards d'euros, dont 80 milliards pour recapitaliser des établissements en difficulté et 400 milliards pour garantir les échanges interbancaires.
Ce soutien en deux volets (garanties aux crédits interbancaires jusqu'au 31 décembre 2009 et recapitalisation des banques menacées de faillite), déclinable dans chaque pays en fonction des besoins, avait été décidé par les dirigeants de l'Eurogroupe dimanche à Paris. Il vise à réamorcer la pompe du financement, qui est pratiquement tombée à l'arrêt et menace de paralyser l'économie.
Selon le quotidien Le Monde, la France garantirait 300 milliards d'euros jusqu'à fin 2009.
Comme espéré, le marché des prêts entre banques, dont le blocage est au coeur de la crise, se détendait lundi à la mi-journée. Les taux à trois mois déclinaient, signe que les établissements financiers étaient moins réticents à se prêter de l'argent.
A Paris, cependant, le titre de la banque Société Générale a décroché brutalement lundi à la mi-séance plombé par des rumeurs d'augmentation de capital. L'action Société Générale a plongé momentanément avant de se reprendre.
Aucun montant global n'a été avancé pour l'ensemble des mesures européennes, qui font écho au plan Paulson de 700 milliards de dollars adopté début octobre par les Etats-Unis et concrétisent les engagements pris vendredi soir au G7 de Washington.
Les réunions du G7 et de l'Eurogroupe "nous préparent à une nationalisation progressive, partielle ou totale, du secteur bancaire", ont estimé des analystes de Global Equities.
Londres a brisé ce tabou le premier lundi en annonçant qu'il investirait jusqu'à près de 50 milliards d'euros dans trois des plus grandes banques du pays, RBS, HBOS et Lloyds TSB, provoquant leur nationalisation de fait.
Au terme d'opérations de refinancement massives, le gouvernement pourrait détenir jusqu'à 60% du capital de la Royal Bank of Scotland (RBS), au sein de laquelle il pourrait réclamer jusqu'à trois postes d'administrateurs.
La RBS a d'ailleurs annoncé que son président Tom McKillop allait quitter son poste, tout comme son directeur général et le directeur du département "marchés mondiaux".
Le gouvernement pourrait prendre aussi jusqu'à 43,5% au sein du groupe constitué par la fusion de Lloyds TSB et HBOS.
De son côté, la Banque centrale européenne (BCE) a annoncé lundi une action concertée de plusieurs instituts d'émission - BCE, Banque d'Angleterre et Banque nationale suisse, auxquelles pourrait s'associer la Banque du Japon - pour alimenter les marchés en dollars avec des montants illimités.
"Les banques pourront emprunter le montant qu'elles veulent au cours de ces opérations" à 7, 28 et 84 jours, a précisé la BCE, soucieuse d'envoyer un signal fort aux marchés.
"Je pense que nous avons maintenant une réponse complète à la crise et je pense que le marché va refléter cela", s'était félicité dès dimanche le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn.
"Il n'y a pas de raison aujourd'hui, ni pour les déposants, ni pour les intervenants sur le marché, ni pour les chefs d'entreprises de craindre quelque chose", a-t-il ajouté lundi.
Mais les dirigeants européens redoutent que les aides massives aux banques choquent l'opinion publique. La population, déjà victime de la crise à travers l'inflation et le chômage, "pourrait" avoir l'impression de payer à la place des coupables.
"Il ne s'agit pas de faire des cadeaux aux banquiers, il s'agit de faire en sorte que les consommateurs, les investisseurs puissent continuer à fonctionner d'une façon rationnelle", a souligné lundi le président de l'Eurogroupe et Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker. "Les banques qu'on assistera devront payer", a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le FMI, à l'instar des dirigeants européens, a l'intention de tirer les leçons de la crise en vue de réformer un système financier qui a démontré ses faiblesses.
"Ce que je constate aujourd'hui, c'est que le marché laissé à lui-même est parti dans le mur" et la crise a montré la nécessité de "réorganiser le système", a déclaré lundi M. Strauss-Kahn.
Le Premier ministre britannique Gordon Brown a aussi réclamé une vaste réforme du système financier international dans le cadre d'un "nouveau Bretton Woods", la conférence sur la régulation financière tenue aux Etats-Unis en 1944.
L'Américain Paul Krugman, économiste spécialiste des échanges commerciaux et de la mondialisation, qui s'est vu décerner lundi le prix Nobel d'économie, a d'ailleurs rendu hommage au plan d'action de M. Brown qui a inspiré les Européens. Il s'est même demandé si le Premier ministre britannique "n'avait pas sauvé le système financier mondial".
Partout dans le monde, les gouvernements s'efforçaient de rassurer épargnants et investisseurs.
Le Premier ministre russe Vladimir Poutine a ordonné lundi à son gouvernement d'accélérer la mise en place du plan anti-crise financière pour qu'il parvienne au plus vite au consommateur.
Les marchés asiatiques ont bien rebondi lundi: Hong-Kong a clôturé sur un bond de 10,2%, la Bourse chinoise de Shanghai a gagné 3,65%, Sydney 5,55% et Séoul 3,79%.
A Tokyo, après le krach historique de la semaine dernière (-9,62% vendredi et -24,33% sur la semaine), la Bourse était fermée pour cause de jour férié.
Dans le Golfe, les Bourses étaient nettement en hausse lundi, celle de Ryad, la plus importante du monde arabe, gagnant 8,2% à mi-séance.
AFP. 13.10.08
Le Veau d'or est sauvé mais à quel prix pour les populations?
L'armée israélienne a décidé d'imposer un bouclage total de la Cisjordanie à partir de dimanche minuit à l'occasion de Soukkot (la fête juive des Tabernacles ou des Cabanes), selon un communiqué militaire. Il est prévu pour neuf jours.
Cette mesure, ordonnée pour des raisons sécuritaires par le ministère de la Défense, restera en vigueur jusqu'au 21 octobre à minuit, précise le texte.
Elle ne concerne toutefois pas les cas humanitaires et certaines catégories professionnelles.
Romandie news (ats / 13 octobre 2008 00:08)
.........................................................................................................................................
Hag haSoukkot (Hébreu חג הסוכות, "fête des Cabanes" ou des Tabernacles, souvent appelée « Fête des Tentes »), plus simplement Soukkot ou Souccot, est l’un des trois festivals du judaïsme.
Durant cette fête, la Torah prescrit aux Juifs de résider, prendre leurs repas, voire dormir dans une soukka, qu’ils auront construite eux-mêmes, et ce dès la fin de Yom Kippour. Toute la famille commencera dans un esprit de réjouissance la construction de la soukka, dans le jardin, sur le balcon ou dans tout autre lieu décent à ciel ouvert.
La soukka doit être construite selon des règles et des proportions précises, et le toit en est l'élément le plus important. À défaut, une caravane sera utilisée, à condition qu'elle soit non résidentielle. Il est de coutume de la décorer en y accrochant des fruits, par exemple, et en l'arrangeant de manière à la considérer comme un lieu d'habitation.