http://www.dailymotion.com/video/x9g775_altercation-pro-et-anti-dieudonne_news
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Des militants de Dieudonné violemment agressés dans le XXe arrondissement
Voir Blog antisioniste "La paille et la poutre":
http://la-paille-et-la-poutre.blogspot.com/
INFO LE PARISIEN. Une violente rixe a opposé, dimanche matin à Paris, des militants de la liste antisioniste de l'humoriste Dieudonné à plusieurs individus non encore identifiés pour l'instant.
Dieudonné était présent au moment des incidents mais n'y aurait pas pris part.
La bagarre a éclaté sur le marché de la rue des Pyrénées dans le XXe arrondissement vers 11 heures, alors que Dieudonné et ses partisans venaient faire campagne pour leur «liste anti-sioniste» aux Européennes.
Trois personnes ont été blessées et cinq autres interpellées. Les auditions doivent maintenant déterminer les responsabilités.31 mai 2009
La police sait bien qui sont les agresseurs!
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Un fragment de la bible de Gutenberg retrouvé à Colmar
Bible de Gutenberg B42 conservée à la bibliothèque du Congrès à Washington (641 feuillets répartis en 66 cahiers)Johannes Gutenberg, inventeur de l'imprimerie typographique et imprimeur allemand (Mayence 1400-1468)Une page de la bible de Gutenberg retrouvée par hasard au revers d'un vieux bréviaire à Colmar.
La découverte a été faite par une assistante de conservation de la bibliothèque municipale de Colmar qui recherchait pour le compte d'une chercheuse des fragments hébraïques qui auraient pu se retrouver dans des reliures.
Il s'agit de deux morceaux de papier velin, utilisés au XVIème siècle par un relieur en guise de contreplat au revers de la reliure d'un vieux bréviaire du XIIIème siècle, imprimés avec le caractère typographique gothique spécifique à la bible de Gutenberg.
Grâce à un facsimilé de la bible de Gutenberg, la page a pu être identifiée. Il s'agit d'un extrait du livre de prophéties de Michée, imprimé sur deux colonnes.
Tomber sur ce "fragment d'un trésor de l'humanité" a été "l'émotion de ma vie", a confié la découvreuse.
Il existe encore à travers le monde une cinquantaine de ces bibles réalisées à Mayence entre 1452 et 1455 sous la responsabilité de Gutenberg, dont une dizaine sur papier velin.
La bibliothèque de Colmar, dont les collections ont été largement enrichies à la Révolution par les ouvrages "confisqués" dans les églises et abbayes de la région, compte un millier de manuscrits et 2.200 incunables, ce qui en fait l'une des bibliothèques les plus riches de province.
La bibliothèque va désormais faire appel à un expert pour décoller ces fragments et restaurer le bréviaire.France3.fr- Alsace - 29 mai 2009
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Tortures et sévices pratiqués à Abou Ghraib: des photos qu'Obama ne veut pas montrer
Prison US d'Abou Graib en Irak.
Combien de ces malheureux ont-ils été torturés avant d'être exécutés?
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FASC
FASCAlors que le compte de FASC (leonfasc) a été supprimé par Dailymotion (société dirigée par l’entrepreneur Benjamin Bejbaum), le même site met à disposition des utilisateurs un compte officiel pour Marilyn Manson.
Marilyn Manson, chanteur rebelle, se prénomme en réalité Brian Hugh Warner. Il a été nommé révérend de l’ “Eglise sataniste” créée par Anton Lavey, qui se prénomme lui-même en réalité Howard Levey (dérivé de Levy).
Pour ceux qui ne connaissent pas cette horreur, nous avons sélectionné pour vous quelques clips … Nous le déconseillons aux âmes sensibles parce qu’il insulte viscéralement la foi Catholique dans un déluge de blasphèmes et de saleté..
Lire la suite sur le site des Intransigeants:
http://intransigeants.wordpress.com/
30 mai 2009
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VIDEO Le discours de François Fillon, kippa d'or 2009
http://www.dailymotion.com/video/x99lx1_qui-dirige-la-france-et-oui-a-vomir_webcam
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De jeunes Roms pratiquent le vol "à la pétition"
(Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)Pour détourner l’attention de leur victime concentrée devant le clavier d’un distributeur de billets, ils leur brandissent une pétition sous les yeux avant de retirer la somme maximale et de prendre la fuite…
Les services de police d’Ile-de-France viennent d’être sensibilisés sur cette nouvelle forme de vol dite « à la pétition ».
Plusieurs voleurs présumés ont été interpellés au cours de ces dernières semaines. « La plupart du temps, ils déclarent être mineurs et venir d’un campement installé près du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), poursuit la même source. Il y a encore quelques mois, ils venaient au contact des gens dans la rue pour leur dérober leur portefeuille, toujours avec la même technique de la pétition. Ils ont fait évoluer leur méthode. »
Agés de 12 ans à 18 ans
Selon les diverses constatations effectuées après plusieurs vols, ces jeunes malfrats agissent généralement entre 11 heures et 14 heures. « Ils sont très mobiles et disparaissent vite, une fois leur forfait commis, explique une source proche du dossier. Ils sont âgés de 12 ans à 18 ans. Il y a plusieurs équipes qui évoluent en Ile-de-France. Ces dernières semaines, les départements des Yvelines et du Val-d’Oise ont été particulièrement ciblés. » Le 28 avril, quatre jeunes Roms, âgées de 12 ans, 15 ans et 16 ans, ont été interpellées après un vol à La Celle-Saint-Cloud (Yvelines). Les policiers ont retrouvé l’argent, dissimulé dans les bretelles de leur sac. Le 4 et le 14 mai, trois personnes ont été victimes des mêmes faits à Sannois, à Herblay et à Saint-Leu-La-Fôret (Val-d’Oise).
Des messages d’alerte ont été adressés à l’ensemble des directions départementales de la sécurité publique francilienne. « Cette technique de vol est en train de se répandre à grande vitesse, s’alarme un policier. Les voleurs semblent avoir une préférence pour les distributeurs des agences de la BNP, sans que l’on sache vraiment pourquoi. Il ne faut surtout pas se laisser distraire après avoir composé son code secret de carte bancaire. Il y a lieu d’être particulièrement vigilant. »Le Parisien - 30 mai 2009
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L'Italie hostile à l'accueil en Europe des détenus de Guantanamo
Le ministre de l'Intérieur Roberto Maroni - 30 mai 2009L'Italie est opposée à l'accueil en Europe de détenus de la prison américaine de Guantanamo, en dépit d'une requête en ce sens du gouvernement américain, a déclaré samedi Roberto Maroni, ministre italien de l'Intérieur.
"Les Etats-Unis nous ont demandé d'accueillir quelques détenus, pas plus de deux ou trois, mais je n'y suis pas favorable", a affirmé M. Maroni à l'issue de la réunion de deux jours des ministres de l'Intrieur et de la Justice du G8, en évoquant ses entretiens avec le secrétaire américain à la Justice, Eric Holder.Le ministre italien a indiqué qu'il évoquerait le problème des détenus de Guantanamo avec ses homologues européens lors d'une réunion prévue le 4 juin au Luxembourg mais il a précisé "ne pas être favorable à l'accueil de ces détenus dans des pays n'ayant pas les moyens juridiques de les maintenir en prison".
Dans l'espace Schengen, "nous ne pouvons pas nous permettre de laisser en liberté des personnes soupçonnées de terrorisme", a-t-il affirmé. "Le niveau de menace du terrorisme est déjà suffisamment élevé. Je voudrais éviter de l'accroître davantage encore."
Vendredi, M. Holder avait remercié publiquement la France devant ses collègues du G8 pour avoir accepté d'accueillir le 15 mai un ex-détenu algérien de Guantanamo.La France accepte d'envisager ces accueils à la double condition que le détenu n'ait pas été condamné et qu'il ait des liens avec le pays d'accueil, avait déclaré vendredi à l'AFP Mme Michèle Alliot-Marie, ministre français de l'Intérieur.
Lors de son point de presse, M. Maroni a également indiqué que l'Italie rétablirait exceptionnellement le contrôle des passeports à ses frontières pour les citoyens de l'espace Schengen du 18 juin au 15 juillet en raison de la tenue du sommet du G8 du 8 au 10 juillet à L'Aquila, dans les Abruzzes.
"C'est une procédure habituelle avant de tels sommets", a-t-il expliqué.
AFP 30/05/09
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HYPERBOREE n°8
Hyperborée n° 8 - Beltaine - mai 2009 - 9 €Pour commandes et abonnements:CRUSOE - P.-E. BLAIRON, route de Roquefavour, 13122 VENTABRENCe n°8 d'HYPERBOREE est particulièrement remarquable: nous en conseillons vivement la lecture! -
Michel Barnier s'est opposé le 29 mars à l'appelation "vin traditionnel" proposée par Bruxelles
Michel Barnier s'est prononcé dans un communiqué publié dimanche 29 mars contre la proposition de Bruxelles visant à instaurer un étiquetage mentionnant "vin traditionnel" pour les rosés français qui ne suivent pas le procédé de coupage. Le ministre de l'Agriculture a précisé qu'en France, le mélange de vins blanc et rouge pour fabriquer du rosé restera interdit quoi qu'il arrive.
Au sujet du coupage pour faire du rosé, Michel Barnier estime : "La seule solution acceptable est un maintien de l'interdiction actuelle de produire des vins de table rosés par coupage de rouge et de blanc."
Le ministre de l'Agriculture annonce même : "La France fera tout pour que cette interdiction soit rétablie dans le projet de règlement de la Commission."
La Commission européenne souhaiterait en effet lever l'interdiction du coupage utilisé par des producteurs italiens et australiens, notamment pour fabriquer du rosé. La méthode française consiste, elle, à faire macérer la pulpe et la peau de raisins rouges pendant une courte durée.Le Point - 29 mai 2009
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Du rosé, mais pas coupé!
Le fronton du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur affiche la couleur de ses revendications. Estampillée d'une grappe de raisin, une banderole se fait l'écho de la croisade en cours sur les terres du socialiste Michel Vauzelle : "Le rosé de Provence appartient à notre patrimoine culturel, agricole et humain. Défendons-le."
L'Union européenne pourrait donner son feu vert le 19 juin prochain à l'élaboration de vin rosé par coupage du blanc par du rouge. Une "hérésie", selon les viticulteurs provençaux, qui produisent un cinquième du rosé français. Ce vin, au succès croissant à l'inverse du blanc ou du rouge, ne s'obtient qu'après une brève macération de la pulpe et de la peau de raisin rouge. Bruxelles entend cependant revoir sa recette afin de grappiller des parts de marché aux producteurs sud-africains et australiens.Mais le gain de compétitivité attendu au niveau européen est bien loin de convaincre les viticulteurs français, leaders planétaires avec 29 % de la production mondiale. Leur colère a éclaté le 27 janvier lorsque Paris a émis un avis indicatif favorable sur la levée de l'interdiction du coupage. La réglementation portée par la Commission européenne, assurent-ils, encouragerait la contrefaçon et conduirait à une oenologie à logique industrielle, "véritable tromperie vis-à-vis du consommateur".
Confronté à ce mécontentement, et à la veille des européennes, auxquelles il se présente en tant que tête de liste UMP en Île-de-France, le ministre de l'Agriculture Michel Barnier a été contraint de rétropédaler. À l'instar de Paris, la Hongrie et la Grèce ont revu leur position initiale et s'opposent désormais au texte. Berlin pourrait aussi venir gonfler (officiellement) les rangs des protestataires. Au départ, seule l'Italie avait émis dès la fin janvier des réserves sur le dispositif. Si cette alliance improvisée n'a pas encore réussi à infléchir la position de la Commission, elle a toutefois obtenu quelques concessions. Un étiquetage facultatif des vins de table rosés devrait ainsi voir le jour. Mais, surtout, Bruxelles a reporté le vote final du 27 avril au 19 juin afin, officiellement, de "poursuivre le dialogue" et, officieusement, d'éviter une pollution de la campagne européenne. La Commission pourrait d'ailleurs encore repousser le vote d'une semaine. Objectif : apaiser les esprits des décideurs occupés par les élections, puisque si l'hostilité française, italienne, hongroise, grecque, voire allemande se confirmait au moment du vote définitif, le texte sur les nouvelles pratiques oenologiques serait tout bonnement rejeté à défaut d'une majorité qualifiée. Une issue qui s'apparenterait à un véritable coup de force, et coup de maître, pour les défenseurs du rosé français.
En cas d'adoption, les mesures entreraient en vigueur le 1er août. Aux producteurs, alors, de s'adapter à la nouvelle concurrence pour préserver les 11.000 emplois directs et 66.000 indirects de la filière.Le Point - 29 mai 2008 -
Eliane bénéficie du RSA depuis avril 2008
« Grâce à ce complément de ressources, je peux enfin respirer et entrevoir des perspectives pour l’avenir », se réjouit Eliane. Cette Creilloise de 40 ans bénéficie du RSA depuis avril 2008. C’est une pionnière. L’Oise est l’un des départements où le revenu de solidarité active a été expérimenté avant son lancement officiel lundi.
« J’avais une entreprise de communication aux Antilles, je gagnais bien ma vie, raconte Eliane. A la suite de difficultés économiques, j’ai dû recommencer à zéro, vendre tous mes biens et je suis partie pour la métropole. » Au départ, cette maman d’une fille de 10 ans a touché le RMI : « 508 €, c’est de la survie ! »
En avril 2008, le conseil général de l’Oise l’appelle et lui apprend l’existence d’un RSA expérimental. Eliane commençait une formation BTS négociation-relations clients, rétribuée autour de 600 €. Mais ce stage lui aurait fait perdre le bénéfice du RMI. Le RSA, du coup, lui maintient un complément de 394 €, ce qui lui fait près de 1 000 € au total. « Je peux faire garder ma fille. C’était ma plus grosse contrainte jusqu’à présent. » Elle a aussi embelli son quotidien en décorant son appartement. Et surtout elle n’est plus obligée de vivre en permanence sur la corde raide. « Maintenant, je peux faire des projets, je me bats pour être indépendante. Je vise mieux. »Le Parisien - 29 mai 2009
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La croissance du chômage - 4 millions de chômeurs en métropole
Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans aucune activité) a crû en avril de 58.500 en métropole à 2,5 millions, atteignant 3,5 millions (+90.800) si on ajoute ceux exerçant une activité réduite, a annoncé vendredi le ministère de l'Emploi.
La catégorie A regroupe ainsi les demandeurs d'emploi à la recherche d'un emploi, quel que soit le contrat de travail, et n'ayant pas travaillé dans le mois. Dans cette tranche, le nombre d'inscrits a augmenté de 2,4% en avril par rapport à mars et de 24,6% sur un an pour atteindre 2.506.700.
La ministre de l'Economie et de l'Emploi, Christine Lagarde, a souligné dans un communiqué que la hausse d'avril, "importante", restait "inférieure" à la hausse mensuelle "des trois premiers mois de l'année"...
En incluant les demandeurs d'emploi exerçant une activité réduite (catégories B et C), un total de 3,571 millions de Français en métropole et 3,785 millions avec les départements d'Outre-mer étaient inscrits à Pôle Emploi fin avril, et à ce titre tenus de faire des "actes positifs de recherche d'emploi".Le nombre d'inscrits dans ces trois catégories a donc progressé de 2,6% en un mois et de 16,2% en un an.
Si l'on ajoute les demandeurs d'emploi en stage, en formation ou en maladie (catégorie D) ou en contrats aidés (catégorie E), dont le nombre a aussi crû, environ quatre millions de personnes étaient inscrites au chômage en métropole en avril.
Les entrées à Pôle emploi ont augmenté en avril en métropole (+14,6% en un an en catégories A, B, C), tandis que les sorties ont diminué (-4,8% en un an).
Environ un tiers des nouvelles inscriptions en métropole à Pôle emploi en février proviennent des fins de missions d'intérim et de CDD. Si les entrées pour fins de mission d'intérim ont reculé en un mois (-5,4%), elles restent en progression en un an (+3,8%).
Les licenciements économiques ne représentent que 4,4% du total des inscriptions, mais ont bondi de 46,8% en un an.
L'augmentation du nombre d'inscrits a été plus marquée en avril pour les hommes (+3,3% en un mois en catégories A, B, C, +24% en un an) que pour les femmes (+2% en un mois, +9,4% en un an) en données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables.
Pour les jeunes, l'envolée a été encore une fois beaucoup plus forte que pour les autres tranches d'âge (+29,8% en un an en catégories A, B, C à 624.600, +39,9% en un an en catégorie A à 472.400).
Le nombre de demandeurs d'emploi de longue durée, inscrits à Pôle emploi depuis plus d'un an, a atteint 1,15 million fin avril (+7,7% en un an), dont 1,06 million en métropole.
Quant aux offres d'emploi collectées par Pôle emploi en avril en France métropolitaine, elles ont chuté de 26,1% en un an.
AFP. 29 mai 2009
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VIDEO: FASC tradi-national révolutionnaire
http://www.dailymotion.com/video/x8hoc9_fasc-tradi-nationalrevolutionnaire_news
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Orange condamné pour le mot de passe "salearabe"
Orange et son directeur de la clientèle ont été condamnés jeudi par le tribunal de police de Bordeaux à 500 euros d'amende et 8.000 euros de dommages et intérêts pour avoir attribué "salearabe" comme mot de passe à un client girondin, a-t-on appris auprès de l'avocat du plaignant.
En décembre 2007, Mohamed Zaïdi , un garagiste de Pessac, dans l'agglomération bordelaise, s'est vu attribuer le mot de passe "salearabe" par courrier après avoir rencontré des problèmes de connexion internet et contacté à plusieurs reprises la hotline de son fournisseur d'accès, Orange. Choqué, l'homme d'une quarantaine d'années a immédiatement porté plainte. "Cela a été un énorme choc. J'ai appelé la hotline quand j'ai eu des problèmes de connexion, mais je ne me suis jamais énervé. C'est plutôt choquant de la part d'une entreprise comme celle-ci", avait-il alors indiqué.
Lors de l'audience, le représentant du ministère public, Jean-Louis Rey, a qualifié ce mot de passe de "blessant, insultant et même diffamatoire". "Il était très important pour mon client que son préjudice soit reconnu et réparé", a affirmé pour sa part Me Grégory Bellocq, l'avocat du garagiste.
Le Point - 28 mai 2009
J'ai été personnellement traitée de "sale Française" et de "sale Blanche" sur une plage, dans la rue et dans le bus, et à la Poste...
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Irak: des photos accusent les GI's de viols et de tortures
La GI's Sabrina Haman devant le corps torturé d'un soldat irakienLes photographies de sévices commis sur des prisonniers irakiens par des militaires américains comprendraient des images de viol et d'abus sexuels. C'est ce que rapporte jeudi le Daily Telegraph. Le quotidien britannique a interrogé le général américain Antonio Taguba, qui avait supervisé en 2004 un rapport sur les sévices dans la prison d'Abou Ghraïb. L'officier, aujourd'hui à la retraite, confirme que des images soutiennent les allégations de viols et d'abus contenus dans le document. Ces photos, liées à 400 cas présumés de sévices commis à Abou Ghraïb ainsi que dans six autres prisons entre 2001 et 2005, "montrent de la torture, des abus, des viols et d'autres outrages", déclare-t-il.
Le général Taguba ajoute par ailleurs qu'il soutient la décision du président Barack Obama de bloquer la diffusion de ces clichés, même si dans un premier temps, la Maison Blanche ne s'y était pas opposée. "Je ne suis pas certain de l'objectif que servirait cette publication, hormis l'aspect juridique", estime-t-il. "La conséquence serait de mettre en péril nos soldats, les seuls protecteurs de notre politique étrangère, au moment où nous avons le plus besoin d'eux."
"La seule description de ces photographies est suffisamment affreuse, croyez-moi", ajoute-t-il. Le Daily Telegraph assure qu'au moins une photographie montre un soldat américain violant une prisonnière et qu'une autre montre un traducteur violant un détenu. D'autres clichés montreraient des agressions sexuelles à l'aide d'une matraque, de fil de fer et d'un tube de néon.
LCI.fr - 28 mai 2009
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Carla Bruni nue "au lit" mise aux enchères à Berlin
(Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)Carla au lit, tel est l'intitulé du cliché immortalisant Carla Bruni-Sarkozy, mis aux enchères par la maison Villa Grisebach Auktionnen, le 4 juin prochain, à Berlin. Cette photo prise en 1994, avant l'union de la "première dame de France" avec Nicolas Sarkozy, alors qu'elle exerçait le métier de mannequin, immortalise la top-modèle, couchée sous un drap, la poitrine dénudée.
Ce cliché numéroté et signé de la main de la photographe de mode et de célébrités Pamela Hanson est mise à prix, d'après le site internet de la salle de vente, à une somme comprise entre 2500 et 3500 euros. Contactée par LCI.fr, la maison Villa Grisebach Auktionnen ne fait pas de pronostique sur le prix de vente que pourrait atteindre cette photo, à l'issue de la mise aux enchères. "Cela dépendra du nombre de personnes qui se déplaceront", confie-t-on à la Villa Grisebach.A noter qu'en avril 2008, une photographie de Carla Bruni-Sarkozy avait été adjugée, chez Christie's, à New York, à un collectionneur chinois pour 91.000 dollars. Le cliché en noir et blanc du photographe Michel Comte, pris il y a quinze ans, représentait la jeune femme dans une pose faisant apparemment référence au tableau Les Poseuses de Georges Seurat, mains jointes pour dissimuler son intimité.
LCI.fr - 28 mai 2009
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Une affiche officielle de la liste de Dieudonné
(Cliquez sur l'image pour la voir en totalité) -
Au Yémen, la communauté juive lutte pour sa survie
Juifs yéménites en juin 2008(Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)Un keffieh beige sur la tête pour masquer la kippa, Yéhia Moussa arrive en famille au rendez-vous fixé dans le parc Asser, qui surplombe Sanaa. Il est le rabbin de la minuscule communauté juive de la capitale yéménite : douze familles obligées de vivre recluses dans un «complexe touristique» gardé par la sécurité publique, depuis qu'elles ont été attaquées dans leur village d'al-Salem, au nord du Yémen. C'était en décembre 2004. «On ne voulait plus de nous là-bas», se souvient, amer, Yéhia, 30 ans, père de quatre enfants. Les rebelles de la minorité zaïdite (chiite) leur reprochaient d'être soutenus par l'armée du président, Ali Abdallah Saleh, qu'ils affrontaient alors.
Après des décennies de coexistence relativement harmonieuse avec leurs voisins musulmans, tout a basculé lorsque des hommes masqués adressèrent une lettre de menace au rabbin : «Après surveillance précise des Juifs d'al-Salem, il est clair qu'ils agissent pour servir le sionisme mondial.» Et d'assortir l'avertissement d'un ultimatum de dix jours pour plier bagages. Finalement, les Juifs d'al-Salem furent d'abord évacués vers la ville voisine de Saada et, un mois plus tard, en hélicoptères militaires jusqu'à leur minighetto de Sanaa, face à l'ambassade américaine.
«Ici, au moins, on se sent en sécurité», se félicite Souleiman, le vieux père de Yéhia. Mais depuis, la plupart ont perdu leur travail. Et cinq ans après, leurs biens n'ont toujours pas été restitués. Les 57 Juifs de Sanaa, religieux en majorité, vivent littéralement sous perfusion : tous les mois, la présidence de la République verse l'équivalent de 18 euros à chacun d'eux, et offre un peu de nourriture aux familles.
Neuf siècles avant Jésus-Christ
Yéhia, Souleiman et les autres sont pourtant les descendants de l'une des plus vieilles communautés juives au monde. Dans le sillage des caravanes du roi Salomon, les premiers Juifs s'installèrent au Yémen neuf siècles avant Jésus-Christ, bien avant la présence musulmane. Mais la communauté lutte désormais pour sa survie. Ils ne sont plus que 350, répartis entre Sanaa, Kharef et Raïda. Ils étaient plus de 60 000 au début du siècle dernier. La plupart ont émigré après la création d'Israël en 1948, lorsque l'opération «Magic Carpet» vida le vieux quartier juif de Sanaa de ses habitants.
En restera-t-il encore dans cinq ans ? Le harcèlement, les pressions et parfois les attaques se multiplient dans un pays où l'islam radical a le vent en poupe. En décembre, le rabbin Moshe Nahari, 38 ans, père de neuf enfants, a été tué près de chez lui à Raïda. L'assassin, un ancien pilote de l'armée de l'air, fut déclaré mentalement instable… Quelques semaines plus tard, l'offensive israélienne à Gaza aggrava encore les tensions entre Juifs et musulmans. «Regardez cette revue, lance Yéhia, en tendant “Yemen Online”, elle écrit qu'on reçoit de l'argent de l'étranger, mais c'est faux !», s'insurge le rabbin. Officiellement, le pouvoir les protège. Mais en fait, l'attitude des autorités est ambiguë. «Les promesses du gouvernement en matière d'indemnisation ou d'octroi de terrain aux Juifs n'ont pas été tenues», déplore l'intellectuel musulman, Mahmoud Taha, qui joue les médiateurs entre la communauté et le régime.
Devant le journaliste, Yéhia et les siens louent «Allah et le président Saleh». Mais loin des micros, les langues se délient. «Un jeune de Raïda qui voulait venir célébrer le shabbat à Sanaa la semaine dernière n'a pas pu entrer dans notre quartier, car les gardes du ministère de l'Intérieur lui ont réclamé une autorisation officielle» , se plaint un de ses amis.
«Nos racines sont ici»
Ces derniers mois, une vingtaine ont émigré en Israël, à la faveur d'opérations spéciales de l'Agence juive. «C'est leur choix» , répond laconiquement Yéhia. Le pouvoir ne les freine pas. Mais les Juifs du Yémen ne discutent pas publiquement de leurs velléités de partir.
«On vit ici, on mourra ici» , jure Naami, la mère de Yéhia, recouverte des pieds à la tête d'une longue tunique noire, comme les autres femmes yéménites. «Nos racines, nos traditions sont ici, poursuit Yéhia. D'accord Israël est le pays des Juifs, j'ai des oncles là-bas, mais nous désapprouvons leur politique vis-à-vis des Palestiniens.» Les Juifs yéménites ont appris l'art de la dissimulation, pour ne pas s'attirer d'ennuis. Pourtant, les plus jeunes pressent leurs parents de les laisser partir. Les filles (70 % des adolescents) ne trouvent plus de maris, sauf à faire venir des Juifs de la diaspora… qui repartiront ensuite avec leurs épouses.
Le Figaro - 27 mai 2009
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Marine Le Pen suggère à Lefevbre de se mettre en "congé-maladie"
Marine Le Pen (FN) a suggéré mercredi que le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre, qui a proposé d'autoriser les salariés en arrêt maladie ou maternité à travailler depuis chez eux, de se mettre lui-même "en congé maladie".
"Je suggère que M. Lefebvre se mette en congé maladie", a lancé la vice-présidente du Front national, au cours de "Questions d'info" (LCP-France Info-AFP). "Je trouve cette proposition absurde. Elle fait un amalgame entre les gens de bonne foi et de mauvaise foi".Les gens malades "ne doivent pas travailler, par définition", quant au congé maternité, il "est fait pour permettre d'accoucher dans les meilleures conditions", a fait valoir la tête de liste FN aux européennes en région Nord-ouest.
"On ne doit pas pousser les gens à travailler : on sait très bien les pressions qui s'exerceront sur les salariés, surtout en temps de crise", selon Mme Le Pen.
S'il y a des fraudeurs, "et il y en a", "il faut s'attaquer à la fraude", mais non "punir ceux qui sont de bonne foi", a-t-elle insisté.
AFP. 27 mars 2009