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  • Viol collectif dans le RER A

    Agression et viol dans un train de banlieue.jpg

    Les policiers de la sûreté départementale des Yvelines mènent, depuis hier matin, une enquête "délicate" sur une affaire de viol collectif. Une lycéenne de 18 ans a déclaré avoir été violée, samedi matin, dans un train entre les gares de Poissy et des Mureaux (Yvelines) par deux ou trois jeunes hommes. Traumatisée, la victime a déposé plainte, quelques heures après l’agression, au commissariat de Poissy.

    Devant la gravité des faits décrits, le parquet de Versailles a saisi, hier, la sûreté départementale des Yvelines. La jeune fille doit être à nouveau entendue aujourd’hui.

    Samedi à l’aube, de retour d’une soirée parisienne, la lycéenne prend le RER A à la station Châtelet, à Paris, et s’arrête en gare de Poissy pour rejoindre un train de banlieue et regagner le domicile de ses parents. Selon son témoignage, vers 7 heures du matin, elle monte dans la dernière rame où se trouvent six ou sept jeunes âgés d’une vingtaine d’années. Elle s’assied sur une banquette et branche son lecteur MP3. L’un des jeunes se serait alors approché d’elle avant d’essayer de lui arracher les oreillettes de son baladeur. Après cet incident, la jeune fille veut descendre à l’arrêt suivant pour changer de compartiment.

    Mais, toujours selon ses déclarations, un membre du groupe se serait interposé puis l’aurait attrapée par le col. « Il m’a dit : Tu fais quoi ? Et on s’est embrouillés. Il m’a saisie à la gorge », déclare-t-elle sur procès-verbal aux policiers. La victime aurait alors porté des coups de pied à son agresseur pour lui faire lâcher prise. En vain. C’est à ce moment que ses complices l’auraient rejoint avant de donner des gifles à la jeune fille immobilisée au sol. « Toujours selon ses propos, ses agresseurs lui ont arraché ses vêtements, précise une source proche de l’affaire. Deux ou trois hommes l’auraient ensuite violée. » Lorsque le train arrive aux Mureaux, la petite bande descend, en prenant soin d’emporter le lecteur MP3, le téléphone portable et les papiers de leur victime.

    « C’est une affaire gravissime », souligne le parquet de Versailles qui prend très au sérieux les déclarations de la victime présumée. Trois préservatifs ont été retrouvés dans la rame dans laquelle l’agression aurait eu lieu. La jeune femme, qui se serait beaucoup débattue, porte des ecchymoses sur plusieurs parties du corps. L’expertise médicale, pratiquée le jour des faits, établit qu’elle a subi des rapports sexuels très récents.


    Les bandes de vidéosurveillance de la gare des Mureaux ont déjà été étudiées mais elles ne permettraient pas d’identifier les agresseurs... A quoi servent alors ces caméras?

    Les enquêteurs de la sûreté, qui gardent à l’esprit l’agression antisémite inventée de toutes pièces, en juillet 2004, par une jeune femme dans le RER D, devaient aller récupérer, hier, d’autres vidéos à la gare Saint-Lazare à Paris. Par ailleurs, la police recherche tout témoin qui se trouvait dans le train au moment de l’agression ou qui aurait aperçu un groupe d’individus à la gare des Mureaux aux alentours de 7 heures du matin.


    « Il nous arrive d’être abusés par des femmes déclarant avoir été violées alors que ce n’est pas le cas, confie un enquêteur. 

     Jointe hier, la mère de la jeune fille a sobrement confié que « son enfant voulait se reconstruire ». « C’est une épreuve très difficile. On la protège énormément, précise la maman. Elle essaie de positiver en se disant qu’elle est encore en vie… »

    Le Parisien 21 avril 20O9

    Elle a été violée et on ne la croit pas à cause d'une fausse agression antisémite!

  • VIDEO C'est un ami du fils de Sarközy, Pierre alias "Mosey" dans le showbiz...

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafJan2.html

    Un rappeur «hardcore» proche du fils Sarközy ? A première vue, cela paraît surprenant... Et pourtant, il y a cinq ans, Poison a fait ses premiers pas dans le rap, parrainé par Pierre Sarkozy, alias Mosey, producteur de hip hop. Actuellement, il n'est plus produit par le fils du président mais les deux hommes sont toujours amis. Poison vient de sortir son album baptisé «Vue d'ici». Nous l'avons rencontré dans le quartier de la Goutte- d'or à Paris. Il nous raconte son parcours...

     

  • Le coup du Kärcher - Sarközy annonce une lutte renforcée contre "les bandes" pour tromper, une fois de plus, les électeurs à la veille des européennes

    Nouvelles promesses contre l'insécurité.jpg
    A Nice, le 21 avril 2009 avec Christian Estrosi
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Nicolas Sarközy a détaillé mardi à Nice son nouvel arsenal contre les bandes violentes et promis de faire passer la lutte contre l'insécurité "à la vitesse supérieure", malgré les critiques de ses détracteurs sur la reprise de ce thème à des fins politiques à la veille des européennes.

    Dans la foulée d'une série récente de faits divers violents impliquant des groupes de jeunes immigrés, le chef de l'Etat a longuement justifié sa décision controversée de renforcer la législation contre ce phénomène.

    Devant le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, chargé de rédiger une proposition de loi les reprenant, Nicolas Sarközy a redit sa volonté de faire de "l'appartenance consciente à une bande un délit", ainsi qu'il l'avait annoncé il y a un mois à Gagny (Seine-Saint-Denis).

    "Je ne suis pas homme à accepter ce qui se passe, je ne laisserai pas se développer le phénomène des bandes, c'est clair", a-t-il asséné en retrouvant les airs martiaux du ministre de l'Intérieur qu'il fut.

    Au passage, il a raillé "ceux qui commentent au lieu d'agir" et qui ont dénoncé cette mesure "liberticide" et "inefficace". "Faut savoir", a-t-il moqué, "soit c'est inefficace, dans ce cas-là ce n'est pas liberticide. Soit c'est liberticide et dans ce cas ça doit avoir un début d'efficacité".

    Sur le même ton, le président a défendu sa volonté de faire de l'intrusion dans un établissement scolaire un délit. "L'entrée de la violence dans les écoles, c'est un scandale, je n'ai pas l'intention de laisser nos établissements scolaires ouverts à tous vents", a-t-il promis.

    Fermeté encore lorsque Nicolas Sarközy a soutenu, sous les applaudissements d'une salle pleine à craquer de policiers et de gendarmes, l'interdiction de la cagoule dans les manifestations, après les violences survenues en marge du sommet de l'Otan à Strasbourg.

    Plus généralement, il a défendu sa politique pénale depuis 2002, des peines plancher à la rétention de sûreté, s'attribuant les lauriers d'une baisse "de 15%" de la délinquance.

    Montre sarközy.jpg

    Une très belle montre

    Mais surtout, Nicolas Sarközy a tenu à désamorcer les critiques de tous ses adversaires, à droite comme à gauche, qui lui reprochent d'avoir sciemment réenfourché le thème de l'insécurité à des fins politiques, à moins de deux mois des européennes.

    "On m'en a tellement fait des reproches sur ce qui était qualifié d'obsession sécuritaire. Voilà maintenant qu'on vient dire que j'étais plus obsédé du tout", a raillé le président. "Depuis 2002, sept ans, il n'y pas un jour sans que je me sois préoccupé de cette question".

    Dénonçant dans la foulée la "naïveté" de l'ex-Premier ministre Lionel Jospin, il a même promis de "passer à la vitesse supérieure" dans "la lutte contre les voyous et les délinquants". Notamment en instituant, au profit des victimes, un droit à un avocat "dès la minute de l'agression".

    AFP. 21/04/09

  • Besancenot ne peut pas entrer dans Gaza sous blocus israélien

    En tournée en Israël et dans les territoires palestiniens occupés, Olivier Besancenot s'est vu refuser l'entrée de la bande de Gaza par les autorités israéliennes. "On a été reconduits par les autorités israéliennes", explique le dirigeant du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), précisant avoir attendu deux ou trois heures en vain au point de passage d'Erez, entre Israël et le territoire palestinien. "La raison invoquée, c'est que les délégations politiques n'ont pas le droit de rentrer à Gaza", contrairement aux délégations humanitaires et diplomatiques, ajoute-t-il.

    Pour obtenir l'autorisation d'entrer à Gaza, une demande doit être déposée plusieurs jours à l'avance auprès de l'armée, qui décide en dernière instance.
    Israël maintient un blocus de ce territoire administré par le Hamas, théâtre d'une opération israélienne ayant fait plus de 1.400 morts palestiniens fin 2008-début 2009. Le dirigeant du NPA a rencontré samedi des militants d'extrême gauche, israéliens et palestiniens, juifs et arabes, engagés "dans la lutte contre l'occupation israélienne". Il s'est entretenu dimanche à Naplouse avec Hussein Khader, député du parti Fatah de Mahmoud Abbas. Le leader anticapitaliste a prévu de se rendre dans le camp de réfugiés de Bethléem, en Cisjordanie, avant de s'entretenir avec le militant pacifiste israélien Uri Avneri...
    Le Point - 20/04/09
    Tout le monde sait qu'on ne peut pas faire du tourisme à Gaza... Mais, apparemment, le petit facteur l'ignorait... Quelle  comédie qui ne peut tromper que les naïfs!

  • VIDEO Scandale à Genève! Le président iranien fait tomber les masques

    http://www.dailymotion.com/video/x91jfn_ahmadinejad-tappe-dans-le-mille-et_news

  • Que font ces Tamouls en France?

    Manif Tamouls.jpg
    Manifestation des Tamouls en plein Paris - 20 avril 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Les vitres de trois autobus de la RATP, de deux voitures et d'un camion ont été brisées lundi en début de soirée lors d'une manifestation regroupant plusieurs centaines de Tamouls dans le secteur de la gare du Nord à Paris. Deux cent dix personnes ont été interpellées, dont 164 placées en garde à vue, selon un bilan communiqué à 23h30 par la préfecture de police.



    Au début de la manifestation, les Tamouls criaient «Peuple français, réagis» ou «M. Sarkozy, aidez-nous, aidez-nous» et distribuaient des tracts annonçant que «1496 civils tamouls, dont 476 enfants» ont été tués lundi par l'armée du Sri-Lanka, qui a intensifié son offensive contre les rebelles.

    Puis des incidents ont éclaté, des manifestants ont renversé des poubelles au milieu de la rue et certains d'entre-eux ont jeté des bouteilles sur les forces de police, ont constaté les journalistes.

    Vers 21 heures, les manifestants étaient dispersés et le quartier retrouvait son calme.

     

     Le conflit au Sri Lanka a fait plus de 70.000 morts en 37 ans. La rébellion des Tigres tamouls est très affaiblie, et va probablement perdre la guerre. Lundi, le gouvernement du Sri Lanka a adressé un ultimatum aux rebelles, les sommant de se rendre dès mardi. Trente-cinq mille civils ont fui ces derniers jours la dernière zone encore aux mains de la guérilla séparatiste.

    D'après des experts, la guerre au Sri Lanka s'explique en partie par le ressentiment de la majorité cinghalaise à l'égard de la minorité tamoule soupçonnée d'avoir été favorisée par le colonisateur britannique jusqu'à l'indépendance de l'ex-Ceylan en février 1948. Confronté à un régime sri-lankais dominé par des Cinghalais, des Tamouls radicaux avaient fondé en 1972 les Nouveaux tigres tamouls devenus le LTTE en mai 1976.

    Le Parisien - 20/04/09

  • Un phénomène historique ancien

    Israël a commencé en début de soirée à commémorer la "journée de la Shoah", lors d'une cérémonie à la mémoire des six millions de juifs tués par les Nazis durant la Seconde Guerre mondiale.

    Le début de cette commémoration a eu lieu quelques heures après que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui avait qualifié par le passé la Shoah de mythe, eut provoqué un tollé pour des propos prononcés à la conférence sur le racisme de "Durban II" à Genève.

    Le président israélien Shimon Peres et le Premier ministre Benjamin Netanyahu ont assisté à une cérémonie au mémorial de Yad Vashem, à Jérusalem, où les survivants de la Shoah ont allumé six bougies à la mémoire des victimes.

    "L'antisémitisme est un phénomène historique ancien. Si quiconque pensait qu'après ces événements atroces de la Shoah, ce phénomène disparaîtrait, il est évident aujourd'hui qu'il a tort", a déclaré M. Netanyahu dans un discours.

    Le Figaro - 20 avril 2009

  • Sarközy et Kouchner appellent l'UE à "la plus grande fermeté"...

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    La France a appelé lundi l'Union européenne à faire preuve d'une "extrême fermeté" après le discours du président iranien Mahmoud Ahmadinejad à la conférence de "Durban II" sur le racisme à Genève, qualifié par Paris d'"appel intolérable à la haine raciste".

    Le discours prononcé par le président iranien constitue "un appel intolérable à la haine raciste" et "il bafoue les idéaux et les valeurs inscrites dans la Déclaration universelle des droits de l'Homme", a déclaré dans un communiqué le président Nicolas Sarkozy.

    Le chef de l'Etat, "qui avait déjà rejeté des propos inacceptables tenus en d'autres circonstances par le président iranien, condamne totalement ce discours de haine", dit le communiqué de la présidence française.

     M. Sarközy "appelle à une réaction d'une extrême fermeté de l'Union européenne", ajoute le texte.

    Bernard Kouchner a affirmé de son côté qu'"aucun compromis n'est possible" face aux déclarations anti-israéliennes du président iranien. Ce dernier a critiqué la création d'Israël après 1945, l'assimilant à un "gouvernement raciste", lors de son discours lundi devant les participants à la Conférence de l'ONU sur le racisme à Genève.

  • Coup de colère d'israël contre la Suisse: la neutralité a des limites!

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    Le président suisse Hans-Rudolf Merz rencontre Ahmadinejad le 19 avril 2009

    Israël a rappelé lundi pour consultations son ambassadeur en Suisse pour protester contre la conférence de "Durban II" sur le racisme qui s'est ouverte à Genève en présence du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, bête noire de l'Etat hébreu.

    Après avoir multiplié les critiques contre un forum qu'il juge anti-israélien et antisémite, Israël, excédé par la présence de M. Ahmadinejed et sa rencontre, dimanche soir, avec le président suisse Hans-Rudolf Merz, a décidé de rappeler "immédiatement" son ambassadeur à Berne, Ilan Legari, pour consultations.

    La décision a été prise par le Premier ministre Benjamin Netanyahu et son chef de la diplomatie Avigdor Lieberman pour "exprimer le mécontentement (d'Israël) sur la tenue de la conférence de Durban II à Genève à laquelle participe un raciste, négationniste de la Shoah, qui déclare publiquement son intention de rayer Israël de la carte", selon un communiqué des Affaires étrangères.

    Parallèlement, le ministère israélien des Affaires étrangères a convoqué la diplomate en charge de l'ambassade de Suisse à Tel-Aviv, Monika Schmutz-Kirgoz, pour lui faire part de sa protestation, selon le communiqué.

    Parlant à l'ouverture de la séance hebdomadaire du gouvernement, M. Netanyahu a accusé le président iranien d'être lui-même un "raciste".

    "Au moment où nous nous apprêtons à commémorer les victimes de la Shoah, une conférence qui prétend lutter contre le racisme accueille un raciste et un négationniste de la Shoah qui ne cache pas son intention de rayer Israël de la carte", a-t-il déclaré.

    "Je félicite les pays qui ont décidé de boycotter ce festival de haine", a-t-il ajouté, en allusion aux nombreux pays --dont les Etats-Unis-- qui ont décidé de ne pas participer à Durban II.

    Israël commémore à partir de lundi soir le jour annuel du souvenir de la Shoah, l'extermination de six millions de juifs par les nazis.

    "Je suis profondément peiné et indigné qu'en un tel jour s'ouvre une conférence raciste à Genève avec comme principal intervenant personne d'autre que Mahmoud Ahmadinejad, un homme qui appelle à rayer Israël de la carte et qui nie l'Holocauste", a déploré dans un communiqué le président israélien Shimon Peres.

    "Tout doit avoir une limite, même la neutralité de la Suisse", a-t-il ajouté.

    Le prix Nobel de la Paix Elie Wiesel, interrogé par la radio publique israélienne de Genève, a affirmé lundi que "la place du président iranien est en prison et non dans une conférence contre le racisme".

    "Il faut l'arrêter pour crime contre l'humanité car il appelle à la destruction d'un peuple entier et ainsi met en danger toute l'humanité", a-t-il ajouté.

    Israël et les Etats-Unis avaient claqué la porte de la première Conférence de Durban en 2001 en Afrique du sud pour protester contre le ton antisémite de la réunion.

    Avigdor Lieberman, lui-même accusé d'être un raciste pour sa rhétorique contre la minorité arabe d'Israël, a affirmé dans un communiqué que "l'invitation à cette conférence internationale d'Ahmadinejad, un raciste connu pour ses appels à la destruction d'Israël, révél(ait) clairement les objectifs réels de ce forum".

    Pour sa part, le Hamas, qui administre Gaza, s'en est pris aux pays ayant décidé de boycotter la conférence, les accusant de "cautionner les crimes" commis par Israël contre les Palestiniens.

    AFP 20/04/09

     

     

  • Le président iranien critique Israël, l'UE quitte la salle

    Conférence racisme européens quitent la salle pdt discours.jpg
    L'UE quitte la salle pendant le discours du président iranien  - 20 avril 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a qualifié Israël de "gouvernement raciste" lundi à Genève lors du premier jour de la Conférence de l'ONU sur le racisme, provoquant le départ des Européens présents.

    "Après la fin de la Seconde guerre mondiale, les Alliés ont eu recours à l'agression militaire pour priver de terres une nation entière sous le prétexte de la souffrance juive", a expliqué M. Ahmadinejad.

    "Ils ont envoyé des migrants d'Europe, des Etats-Unis et du monde de l'Holocauste pour établir un gouvernement raciste en Palestine occupée", a-t-il lancé dans une claire allusion à Israël.

    "Des efforts doivent être fait pour mettre un terme aux abus des Sionistes et de leurs partisans", a poursuivi le président iranien, provoquant le départ de la salle du siège de l'ONU des 23 représentants européens présents sous les huées des participants.

    "Dès lors qu'Israël était stigmatisé à la tribune par le président iranien, nous en avons tiré les conséquences en nous retirant de la salle pour bien marquer notre rejet absolu de tels propos", a expliqué l'ambassadeur de France Jean-Baptiste Mattéi.

    "Nous devions être vigilants sur tout dérapage", a-t-il ajouté. "Cette conférence ne doit pas devenir une tribune anti-israélienne. Nous l'avons dit depuis le départ", a-t-il encore souligné.

    A l'issue de ce discours de plus de 30 minutes, l'ONU a dénoncé "le langage" utilisé par le président iranien.

    "Nous déplorons fortement le langage utilisé par le président iranien. De notre point de vue, le discours était totalement déplacé pour une conférence destinée à faire fleurir la diversité et la tolérance", a indiqué à l'AFP le porte-parole de la Haut commissaire de l'ONU pour les droits de l'homme, Navi Pillay.

    Quelques heures avant, le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon avait mis en garde M. Ahmadinejad contre tout amalgame entre sionisme et racisme, lors d'une rencontre en tête-à-tête.

    Les pays européens présent avaient prévenu qu'ils quitteraient la salle si M. Ahmadinejad, connu pour ses diatribes anti-israéliennes, proférait "des accusations antisémites".

    La Conférence de l'ONU sur le racisme qui doit assurer le suivi de celle organisée en 2001 à Durban en Afrique du Sud s'est ouverte lundi à Genève dans un climat tendu en l'absence d'une dizaine de poids lourds occidentaux dont les Etats-Unis, le Canada, Israël, l'Allemagne, l'Italie, l'Australie et la Pologne.

    AFP. 20.04.09

  • Miracle en Allemagne

    Un enfant de cinq ans a fait une chute de cinq étages dont il s'est tiré quasi indemne, souffrant seulement de quelques contusions, a indiqué dimanche la police locale.

      L'enfant jouait avec d'autres enfants samedi sur le balcon d'un immeuble à Dietzenbach, dans l'ouest de l'Allemagne, lorsqu'il a perdu l'équilibre, a chuté et atterri sur une pelouse cinq étages plus bas, selon la police.

    Il a été transporté aussitôt à l'hôpital, où le personnel a constaté qu'il ne souffrait de quasiment rien, juste quelques contusions.

    AFP. 19/04/09

  • En cours d'expulsion, John Demjanjuk obtient un sursis jusqu'au 23 avril - Barbarie contre un vieillard grabataire

    Demjanjuk sorti de chez lui à Seven Hills le 14 avril 09.jpg
    John Demjanjuk est sorti de chez lui, à Seven Hills, le 14 avril 2009

    Les services de l'immigration américains sont venus chercher mardi chez lui John Demjanjuk , un ancien garde de camp nazi de 89 ans, pour l'expulser vers l'Allemagne, mais la justice lui a accordé un sursis in extremis.

    L'ex-gardien de camp d'extermination d'origine ukrainienne a été emmené de son domicile de Seven Hills (Ohio, nord), en vue de son expulsion vers Munich où il doit être jugé pour sa participation présumée à l'assassinat de 29.000 juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.

    L'ancien gardien de camp, le visage ridé et hagard, gémissant de douleur, a été porté sur le perron de sa maison en chaise roulante par cinq agents des services de l'immigration et des douanes.

    Son épouse Vera, en larmes, a protesté en ukrainien: "c'est comme du temps des communistes lorsqu'ils venaient prendre un membre de votre famille et que vous ne revoyiez jamais". "Il n'a rien fait. Et votre pays le traite comme cela", a-t-elle encore protesté.

    Alors qu'il était emmené dans un minibus vers l'aéroport de Cleveland, l'ancien gardien obtenait un sursis in extremis de la part de la cour d'appel fédérale de Cincinnati (Ohio, nord). "La requête du demandeur pour un référé est accordée en attendant d'examiner les éléments de la demande", selon la décision de la cour d'appel.

    "Le gouvernement américain a travaillé en étroite collaboration avec le gouvernement allemand pour procéder à l'expulsion de M. Demjanjuk", a déclaré à l'AFP Pat Reilly, une porte-parole des services de l'immigration américains. "Nous n'aurons pas d'autre commentaire avant que cela ne soit fait".

    Le département de la justice américain "va continuer à poursuivre l'affaire devant les tribunaux", a précisé pour sa part une porte-parole du ministère, Laura Sweeney.

    Cette tentative d'expulsion intervient après un feuilleton judiciaire de plus d'un mois, depuis que Berlin a délivré le 11 mars un mandat d'arrêt.

    Depuis vendredi, l'octogénaire, qui vit dans la banlieue de Cleveland depuis plus de 50 ans, était expulsable après le rejet d'un appel précédent.

    Mardi matin, sa famille et son avocat américain, John Broadley, ont déposé un ultime référé, mettant en avant sa santé précaire.

    Il souffre notamment "de syndrome myélodysplasique (affections de la moelle osseuse), d'insuffisance rénale chronique, d'hyperoxalurie (déficit hépatique), d'anémie et d'arthrite", a affirmé son avocat qui assimile cette expulsion à de la torture.

    Né en Ukraine en 1920, John (Yvan) Demjanjuk, soldat dans l'Armée rouge, avait été capturé par les Nazis au printemps 1942.

    Il a ensuite été formé au camp de Treblinka, en Pologne avant de servir deux ans dans les camps de Sobibor et Majdanek, en Pologne et Flossenburg, en Bavière.

    M. Demjanjuk a toujours affirmé avoir été forcé à travailler pour les Nazis et avoir été confondu par des survivants avec d'autres gardiens.

    "L'heure de son jugement a sonné", a réagi le rabbin Marvin Hier, fondateur du centre Simon Wiesenthal, qui est certain que l'ancien auxiliaire des camps de la mort perdra son appel et sera envoyé en Allemagne.

    "Je n'ai pas de pitié pour le fait qu'il ait 89 ans parce que je pense que les victimes qu'il a aidées à pousser dans les chambres à gaz auraient aimé atteindre les 89 ans", a ajouté le rabbin.

    AFP 15/04/09

  • VIDEO Faire les marchés ou faire le trottoir pour Sarközy?

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafJoaR.html

    Sur un marché du 12ème arrondissement de Paris

     

  • Cohn-Bendit: "il ne faut pas attaquer Sarközy"...

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    Daniel Cohn-Bendit, tête de liste du rassemblement Europe-Ecologie en Ile-de-France pour les Européennes de juin, estime que la gauche ne doit pas faire campagne "contre" Nicolas Sarkozy mais "se différencier" de lui.

    Dans une interview au Monde daté de dimanche-lundi, Cohn-Bendit souligne que "normalement" c'est la gauche "qui incarne le volontarisme", mais face à Nicolas Sarközy, "elle se trouve débordée".

    "C'est pour cela qu'il ne faut pas chercher à faire campagne contre Sarko. Il faut se différencier de lui", ajoute-t-il.

    A propos du chef de l'Etat, il affirme: "ce qu'il y a de fascinant chez lui, c'est son énergie, sa capacité d'avancer", mais "ce qui est insupportable chez lui c'est la dépendance qu'il crée".

    "Si vous n'êtes pas avec lui, vous êtes contre lui. Dès que vous êtes dans sa roue, vous devez renoncer à vos convictions", dit-il, citant l'exemple du ministre de l'Agriculture Michel Barnier qui, en tant que commissaire européen, "défendait l'adhésion de la Turquie à l'Europe" et "aujourd'hui, il est contre".

    Jugeant les plans de relance actuels contre la crise "trop faibles", M. Cohn-Bendit propose un emprunt de 1.000 milliards d'euros sur cinq ans pour financer "la transformation écologique de notre modèle économique et social".

    AFP. 19/04/09

     

     

  • BEETHOVEN - FRANCESCATTI Concerto pour violon et orchestre - Mouvement final: Rondo-Allegro

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    Zino Francescatti, Marseillais, est l'un des grands violonistes du XXème siècle (1902-1991)

    podcast
    Francescatti joue sur un Stradivarius de 1727. Il est accompagné par l'Orchestre Symphonique de Columbia sous la direction de Bruno Walter.
    (Extrait envoyé par G.R. que nous remercions)

  • Conférence de l'ONU sur le racisme ou sur le sionisme? - La venue d'Ahmadinejad avive toutes les craintes - Nombreuses défections..

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    Ahmadinejad conférence sur le racisme.jpg
    Celui qui leur fait peur...
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    La Conférence de l'ONU sur le racisme dite de "Durban II" débute lundi à Genève dans un climat de grande incertitude, après la défection ce week-end de plusieurs pays occidentaux craignant des "dérapages" liés à la venue du président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

    Ayant fait planer le doute jusqu'à la dernière minute, les Etats-Unis, l'Australie et les Pays-Bas ont finalement annoncé qu'ils ne participeraient pas à la conférence, qui doit assurer le suivi de celle, houleuse et très controversée d'il y a huit ans à Durban, en Afrique du Sud.

    Israël et le Canada avaient, quant à eux, fait savoir de longue date qu'ils ne seraient pas présents et l'Italie leur avait emboîté le pas début mars.

    Les Pays-Bas et l'Australie redoutent ouvertement que la réunion ne soit l'occasion d'attaques antisémites du type de celles qui avaient gravement entaché la réunion de 2001, avec le départ fracassant des Etats-Unis et d'Israël.

    Pour ces derniers, comme pour l'Union européenne, le problème majeur est la venue du président iranien, connu pour ses virulentes diatribes contre Israël et qui doit prononcer un discours lundi après-midi au siège des Nations unies de Genève.

    Inquiets et divisés, la majorité des pays de l'UE n'avaient toujours pas tranché dimanche dans le courant de l'après-midi sur leur participation à la réunion hormis la Grande-Bretagne qui a annoncé sa présence, quoiqu'au simple niveau de son ambassadeur.

    Outre les craintes liées à M. Ahmadinejad, la plupart des pays occidentaux sont revenus ce week-end sur le projet de déclaration finale produit par les diplomates vendredi à Genève et qui semblait avoir obtenu un consensus.

    Le document, entériné vendredi par le comité préparatoire de la conférence, ne fait pourtant plus mention d'Israël ni de la diffamation des religions, deux "lignes rouges" pour les Occidentaux.

    Ces derniers avaient également obtenu que le paragraphe sur la mémoire de l'Holocauste soit maintenu contre l'avis de l'Iran.

    Mais contre toute attente, les capitales consultées pendant le week-end ont accueilli le texte avec beaucoup de réserves, s'inquiétant d'atteintes à la liberté d'expression.

    Reconnaissant les "progrès" accomplis, les Etats-Unis ont quant à eux déploré qu'y figure la réaffirmation de la Déclaration et Programme d'action de Durban (DDPA) de 2001, qu'ils n'ont pas adopté.

    La DDPA comporte en effet deux paragraphes traitant du conflit israélo-palestinien que Washington conteste. Celui sur le "sort du peuple palestinien vivant sous occupation étrangère" figure qui plus est au chapitre des "victimes du racisme", ce qui revient de facto à assimiler l'occupation à du racisme.

    Navanethem Pillay, le Haut commissaire de l'ONU pour les droits de l'homme, s'est dite "choquée et profondément déçue" par la décision des Etats-Unis, estimant que "cette difficulté aurait pu être surmontée".

    Le Vatican a quant à lui confirmé dimanche sa participation, la pape Benoît XVI appelant à oeuvrer "ensemble dans un esprit de dialogue et d'écoute réciproque" contre le racisme.

    AFP 19/04/09

  • Israël ne coopérera pas avec l'enquête de l'ONU sur les crimes de guerre commis à Gaza

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    Une attaque aérienne sur Gaza

    Israël ne coopérera pas avec une enquête de l'ONU sur d'éventuels crimes de guerre lors de son offensive à Gaza, a-t-on appris mercredi de source gouvernementale.

    "Israël a informé le Conseil des droits de l'homme de l'ONU qu'il ne coopérera pas avec une enquête fondée sur une résolution biaisée", a déclaré à l'AFP un haut responsable israélien qui a requis l'anonymat.

    Il a précisé qu'une lettre avait été envoyée la semaine dernière à cet effet, mais qu'il ne s'agissait pas encore d'une "annonce officielle" au niveau gouvernemental.

    Israël avait dénoncé dès le 3 avril la décision de créer une commission d'enquête qui sera présidée par l'ex-procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie et le Rwanda, Richard Goldstone.

    "Ceci n'est pas une tentative de connaître la vérité mais de nuire à la réputation d'Israël et de se joindre aux efforts déployés par certains pays pour  diaboliser Israël", avait déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Yigal Palmor.

    Le 12 janvier, le Conseil des droits de l'homme réuni en session extraordinaire avait décidé dans une résolution l'envoi d'une "mission d'établissement des faits" sur les violations "commises par la puissance occupante Israël contre le peuple palestinien".

    Adoptée par 33 voix contre une, la résolution avait suscité l'abstention de 13 membres du Conseil, essentiellement occidentaux, qui la jugeaient déséquilibrée, car ne couvrant pas les tirs de roquettes palestiniennes sur les civils dans le Sud d'Israël.

    L'offensive du 27 décembre 2008 au 18 janvier 2009 a dévasté Gaza où plus de 1.400 Palestiniens ont été tués, selon des sources palestiniennes. Côté israélien, 13 soldats et civils ont péri.

    AFP 19/04/09

    Le contraire nous eût étonné...