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  • Un survivant d'Auschwitz: "Mengele m'a volé mon rein"

    "Mengele m'a volé mon rein": un survivant d'Auschwitz révèle pourquoi il évite

    les médecins depuis 64 ans

    http://www.dailymail.co.uk/home/search.html?searchPhrase=Mengele

     

    http://www.dailymail.co.uk/news/worldnews/article-1235014/Mengele-stole-kidney-Auschwitz-survivor-reveals-avoided-doctors-64-years.html

     

     

    Des cardiologues viennent de sauver la vie d'un Israélien qui depuis 64 ans

    refuse de voir un docteur - et ils ont appris quel était le terrible secret

    de sa défiance à l'égard de la profession médicale.

      Lorsque Yitzchak Ganon, 85 ans, s'est réveillé de son anesthésie dans un

    hôpital de la région de Tel Aviv, on lui a annoncé qu'il n'avait qu'un rein.

      "Je sais", a-t-il répondu. "La dernière fois que j'ai vu l'autre, il

    palpitait dans la main d'un homme du nom de Josef Mengele. Lui aussi était

    médecin."

      Mr Ganon a révélé à sa famille stupéfaite la raison pour laquelle il

    n'avait jamais vu un docteur depuis qu'il avait été libéré du camp de la

    mort d'Auschwitz en janvier 1945. Aucun d'eux n'était au courant des

    souffrances qu'il y avait endurées là-bas entre les mains du célèbre

    Mengele.

      Juif grec, il avait été déporté à Auschwitz en 1944 en même temps que sa

    mère, son père et cinq frères et soeurs. Son père était mort pendant le

    trajet, sa mère et ses frères et soeurs avaient été gazés quelques heures

    après leur arrivée.

      Mais, lui, il avait été choisi par Mengele, le médecin diabolique qui se

    présentait à l'arrivée de chaque convoi pour pouvoir prélever des cobayes

    humains pour ses expériences atroces.

      Une fois son bras gauche tatoué du numéro 182558, Mengele - que ses

    victimes appelaient "l'Ange de la mort" - avait fait attacher Mr Ganon sur

    une table d'opération:

      "Il a plongé son couteau dans moi, sans anesthésie", a dit Mr Ganon. "La

    douleur était indescriptible. Je sentais chacune des entailles du couteau.

    Et puis j'ai vu mon rein qui palpitait dans sa main. J'ai crié comme un fou,

    j'ai crié cette prière: 'Ecoute, O Israël: le Seigneur est notre Dieu, le

    Seigneur est un...' Et j'ai prié pour que vienne la mort, afin de ne plus

    subir une telle souffrance."

      Mais Mengele, qui voulait trouver comment cloner des surhommes SS

    parfaits pour son Führer, n'en avait pas fini avec lui.

      "Après l'opération on ne m'a pas donné d'antidouleur et on m'a mis au

    travail", dit-il. "Je nettoyais la pièce derrière les opérations sanglantes

    pratiquées par Mengele."

      Six mois plus tard, Mengele l'a rappelé. On le plongea dans un bain d'eau

    glacée que Mengele venait observer par intermittence: il voulait voir

    comment fonctionnaient ses poumons.

      "Puis j'ai été sélectionné pour le gazage parce que mon corps ne leur

    servait plus à rien", dit-il. Un matin, il était le 201e à être envoyé à la

    chambre à gaz - mais au bout de 200 personnes la pièce était pleine: "C'est

    ce qui m'a sauvé la vie", dit-il. "Et on m'a renvoyé au camp."

      On le renvoya en Grèce quand Auschwitz fut libéré, il retrouva un frère

    et une soeur qui avaient survécu aux rassemblements des SS, et il émigra en

    Israël en 1949.

      Les membres de sa famille s'étaient toujours étonnés de sa réticence à

    consulter un docteur au cours des années. Chaque fois qu'il avait un rhume,

    une infection, une ecchymose, une coupure ou quelque maladie, il s'en

    débrouillait tout seul. Sa femme raconte: "Quand il était malade, il disait

    qu'il ne l'était pas, il prétendait qu'il était seulement fatigué."

      C'est alors qu'il a été victime, il y a un mois, de cette attaque

    cardiaque et que cette visite obligatoire révéla le secret qu'il avait gardé

    en lui pendant si longtemps.

      A présent qu'il a un stimulateur cardiaque, il dit: "Je crois bien que

    j'ai trompé la mort une seconde fois. Mais cette fois ce sont les médecins

    qui me sont venus en aide au lieu du contraire."

      Mengele s'est enfui après la guerre en Amérique du Sud et a reçu pendant

    des années le soutien de sa riche famille et de ses vieux camarades nazis

    avant de se noyer au Brésil en 1979 à la suite d'une attaque cérébrale au

    cours d'une baignade.

     

    Daily Mail -11 décembre 2009

    Josef Mengele.jpg
    SS Doctor Josef Mengele
  • VIDEO Avant les élections, Sarközy promet de lutter contre les bandes...

    http://www.dailymotion.com/video/xbpvay_sarkozy-promet-de-renforcer-la-lutt_news

    Pitoyable!

  • Le scandale des vaccins contre la grippe porcine

    Bachelot 12 11 09.jpg
    Roselyne Bachelot le 12 novembre
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    Pour lutter contre la grippe A-H1N1, Mme Bachelot avait mis en place un dispositif quasi militaire, guerre psychologique à l’appui avec une campagne médiatique qui dure depuis des mois. Curieusement, comme nous l'indiquions dès le 12 novembre, après six mois d’une pandémie qui a d’abord frappé l’hémisphère austral, où l’hiver fini, la crise est désormais passée, on comptait alors 5.857 décès dans le monde entier, infiniment moins que pour n’importe quelle grippe saisonnière.

    N’est-il pas surprenant par ailleurs que certains laboratoires travaillaient depuis trois ans sur ce vaccin, alors que la forme H1N1 du virus ne serait officiellement apparue que depuis moins d’un an ? Et qu’on retrouve parmi les bénéficiaires de cette opération un certain Donald Rumsfeld, artisan de la fabrication des fausses preuves ayant conduit à la « busherie » irakienne ? Côté français, des liens existent également entre les politiques et l’industrie pharmaceutique, à commencer par le propre frère du locataire de l’Élysée, le Docteur François Sarkozy, vice-président du conseil de surveillance de Bio Alliance Pharma, sans oublier que la Ministre de la santé elle-même, Roselyne Bachelot, a longtemps travaillé pour le laboratoire ICI-Pharma, etc…

    Aujourd’hui, malgré une relance massive de la campagne médiatique avec des spots visant à faire peur, moins de 8 % des Français se sont fait vacciner, en dépit des communiqués triomphants de Mme Bachelot.

    Résultat : 5 millions de doses utilisées sur les 94 millions achetées. Désormais, le gouvernement cherche à revendre les excédents à des pays du tiers-monde, oubliant que ces pays étant majoritairement situés dans l’hémisphère sud, l’épidémie y est terminée !

    Il y a longtemps, devant un tel gâchis, que les parlementaires auraient dû exiger une commission d’enquête. Encore faudrait-il pour cela qu’il y ait des parlementaires indépendants…

    NPI -03.01.10

  • Les talibans nient avoir enlevé les deux journalistes français

    Axe Vermont contrôle français.jpg
    Un soldat français contrôle les passages sur l'axe Vermont
    (Cliquez sur la photo)

    Les talibans assurent ne pas être impliqués dans l'enlèvement des deux journalistes de France 3, kidnappés mercredi au nord-est de Kaboul. Les forces françaises sont mobilisées pour retrouver les otages.

    «Nous ne sommes pas impliqués». La petite phrase d'un porte-parole des talibans relance toutes les hypothèses sur l'enlèvement des deux journalistes français kidnappés mercredi en Afghanistan. «Nous avons demandé à nos combattants de nous informer s'ils avaient fait quelque chose mais nous n'avons aucune information venant de cette zone», a-t-il ajouté.

    Cette déclaration, à prendre avec prudence, ajoute un peu plus à la confusion qui règne autour de la disparition des deux français. Selon Véronique Veber, une consoeur des journalistes, ils ont été enlevés par «des talibans qui leur ont tendu un guet-apens» dans le village d'Omarkheyl, à une dizaine de kilomètres au sud de Tagab où se trouve la base militaire française la plus proche.

    La région où s'est déroulé l'incident est instable et sous l'influence du Hezb-e-Islami, groupe armé rebelle du chef de guerre historique Gulbuddin Hekmatyar, qui avait revendiqué l'embuscade du 18 août 2008 contre les militaires français. Mais les hommes d'Hekmatyar nouent des alliances ponctuelles avec des talibans contre les forces américaines et de l'Otan.

    La plupart des étrangers enlevés en Afghanistan et qui sont restés détenus par leurs ravisseurs dans le pays ont été libérés relativement rapidement, après quelques semaines. Mais la situation se complique lorsque les ravisseurs donnent ou revendent leur otage à des groupes rebelles qui les emmènent dans les zones tribales instables, montagneuses et reculées, situées le long de la frontière afghano-pakistanaise.

    Ce fut le cas d'un journaliste américain du New York Times, David Rohde, kidnappé en novembre 2008 au sud de Kaboul avec un journaliste afghan et un chauffeur. Les deux journalistes avaient été emmenés chez des talibans dans le Waziristan du Nord, un fief tribal des rebelles au Pakistan, et n'en étaient sortis qu'en juin 2009, plus de six mois après leur enlèvement.

     

    Les recherches continuent

     

    Pas question pour autant de ralentir le rythme des recherches. Les forces françaises, appuyées par des éléments de l'armée et de la police afghanes, se mobilisent ce dimanche pour retrouver les deux otages. Au total, près de 800 des 3.300 militaires que la France compte sur le sol afghan sont déployés en Kapisa. Pour eux, la recherche des otages français est devenue une priorité.

    «Nous organisons en permanence des points de contrôle aléatoires sur l'axe Vermont», une route stratégique nord/sud qui permet de rejoindre Kaboul depuis Islamabad, au Pakistan, indique le «chef opérations» des forces françaises en Kapisa, tenu à l'anonymat, depuis son QG de la base de Tagab. Selon lui, «tous les véhicules remontant vers le nord en direction de Kaboul sont fouillés, 24 heures sur 24» depuis que la disparition des deux journalistes de France 3 a été signalée afin d'empêcher leur «exfiltration à bord d'un véhicule».

    Participant également aux recherches, une trentaine de gendarmes français ont épaulé dimanche matin la police afghane près de la «base d'opérations avancée» de Tagab où ils ont établi un barrage de contrôle.

    Mais les recherches sont difficiles à mener dans cette zone dangereuse, où les attaques sont fréquentes.Dimanche matin, les troupes françaises étaient impliquées dans un nouvel accrochage avec des insurgés. L'incident n'a fait aucun blessé mais a nécessité l'intervention dissuasive de deux chasseurs F-15 américains.

    Le Figaro - 03.01.10

  • La France veut revendre ses vaccins

    Depuis deux mois, la tente discrètement de revendre à des pays étrangers une partie de ses vaccins contre la grippe A, achetés en juillet dernier, à une époque où la menace était supposée très grave.

     

    « Le Parisien » - « Aujourd’hui en » décrypte une opération commerciale qui pourrait permettre au gouvernement d’alléger « la facture grippe A ».

    Quand la décision a-t-elle été prise ?
    Le 1er novembre, le ministère français de la Santé reçoit une note de l’Agence européenne de la santé (Emea) qui indique qu’une seule injection de vaccin est nécessaire pour être protégé contre le virus, et non plus deux, comme les experts le prétendaient jusqu’alors. « Ce jour-là, on a compris qu’avec les 94 millions de doses achetées en juillet, nous détenions trop de vaccins », explique-t-on au ministère de la Santé.
    Une réunion est alors organisée dans le bureau du directeur de cabinet de Roselyne Bachelot, où la décision est prise formellement de vendre des vaccins aux pays qui en feraient la demande. Ces ventes devraient s’ajouter aux 9,4 millions de doses que le président de la République a choisi, dès septembre, de donner à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les pays les plus démunis. Des dons qui ont d’ailleurs déjà été effectués.

    Qui dirige l’opération de vente ?
    Une opération conjointe est menée depuis la mi-novembre entre le ministère des Affaires étrangères et celui de la Santé en direction des ambassades étrangères. Les diplomates sont priés de faire remonter rapidement l’information vers Paris si les pays font état d’un manque de vaccins. « Nous avons travaillé ensemble sur ce dossier avec les équipes du ministère de la Santé », explique-t-on au ministère des Affaires étrangères.
    La question de la revente des vaccins est abordée succinctement en cellule de crise interministérielle : « Madame Bachelot a indiqué que des négociations étaient en cours avec différents pays, mais sans donner les noms, pour des raisons de confidentialité », indique Gérard Gachet, porte-parole de la cellule de crise interministérielle, au ministère de l’Intérieur. Matignon et l’Elysée sont régulièrement tenus au courant des contacts et ont le pouvoir de validation final. Des négociations ont été rapidement engagées avec le Qatar, l’Egypte, le Mexique, la Bulgarie, la Roumanie et l’Ukraine.

    A quel prix sont cédés les vaccins ?
    La France a adopté une position de principe : elle vend au prix où elle a acheté les quatre types de vaccin (soit : 6,25 € la dose pour le Sanofi-Pasteur, 7 € le GSK, 9,34 € le Novartis et 10 € le Baxter). Les pays demandeurs sont ceux qui n’ont pas pu se procurer suffisamment tôt le vaccin. La France doit aussi faire face à la concurrence internationale des autres « grands pays » qui veulent revendre leurs vaccins. C’est le cas en Ukraine, où la France et l’Allemagne ont soumis des offres aux autorités. La Suisse et les Pays-Bas, qui avaient acquis beaucoup de lots, ont ouvertement proposé à la revente une partie de leurs stocks.

    Le parisien - 03.01.10

     

     

  • La politique de vaccination sévèrement critiquée

    La revente d'une partie de 94 millions de doses de vaccin contre la à des pays étrangers, révélée ce dimanche dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui en France, suscite de vives critiques sur la façon dont le a géré la campagne de vaccination, et notamment son coût.

      Le professeur Bernard Debré, député UMP de Paris et membre du Comité consultatif national d'éthique, a affirmé sur France Info que «le principe de précaution a été poussé à l'extrême stupidité». Il estime que la France a acheté de 50 à 70 millions de vaccins en trop et un tiers des réserves mondiales de l'antibiotique Tamiflu. La facture pourrait s'élèver, selon lui, à près de deux milliards d'euros, soit plus que les déficits additionnés de tous les hôpitaux de France

    Le professeur Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses et ancien président de la Croix-Rouge française, est «très sévère sur la façon dont on a agi parce qu'on n'a pas accepté un dialogue vrai sur les risques que faisait courir ce nouveau virus (...) alors que, globalement, il représente une mortalité inférieure à celle de la grippe saisonnière». «Je conçois très bien qu'on veuille prendre une assurance tous risques, mais quand une assurance coûte beaucoup plus cher que le risque, on doit quand même s'interroger», a-t-il poursuivi. 

    Le médecin estime aussi qu'avec «une mise hors-jeu du service de santé principal constitué par les médecins libéraux, on courait un risque de non-acceptation par la population». Il critique également une «campagne dispendieuse», en notant le prix des pages de publicité achetées par le ministère de la Santé pour promouvoir la vaccination, les 2 milliards de masques «gardés je ne sais où, et dont personne ne s'interroge sur leur utilisation». 

    Le député Jean-Marie Le Guen, médecin et spécialiste des questions de santé au PS, a réclamé dimanche une mission parlementaire pour faire le bilan du «fiasco» de la «la politique vaccinale» et «tirer des leçons pour le futur». «Nous avons le plus faible taux de personnes vaccinées des pays développés», écrit encore l'élu socialiste.

    Le parisien - 03.01.10

     

  • C'est Axel le premier bébé français né en 2010

    Axel Roubaix.jpg
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Il s'appelle Axel, pèse à peine plus de 3 kilos et postule au titre officiel de premier bébé de l'année 2010 en France.

    Dans la région en tout cas, il est sans rival.

    L'équipe de la maternité Paul-Gellé de Roubaix a officiellement enregistré sa naissance vendredi à 0 h 02.

    Deux minutes qui ne changent pas grand-chose pour ses parents, Caroline et Hervé, qui sont surtout heureux que tout se soit bien passé.

    La Voix du Nord.fr - 01.01.10

  • VIDEO Nos soldats en Afghanistan

    http://videos.tf1.fr/jt-13h/charlotte-de-turckheim-fait-rire-nos-soldats-5619049.html

    Les troupes postées en Afghanistan ont également fêté le passage à la nouvelle année, avec à leur côté le ministre de la Défense Hervé Morin. L'actrice et humoriste française Charlotte de Turckheim y était elle aussi, pour offrir un spectacle aux soldats français.

  • Des nouvelles de Mgr Richard Williamson

    williamson-richard.jpg

    Flash-Info sur l’affaire de l’évêque Richard Williamson, 7 décembre 2009 – Le ministère public allemand a exclu toute possibilité de pré-procès, autrement dit d’un accord pris hors tribunal dans l’affaire de l’évêque catholique Richard Williamson pour ses déclarations prétendument “négationnistes” filmées en Allemagne en 2008 et diffusées à la télévision suédoise au début de l’année.

    La date du procès est envisagée pour fin février ou début mars 2010.

    La juge chargée de l’affaire, une femme de 28 ans, souhaite que Mgr Williamson comparaisse en personne au procès pour qu’il puisse “expliquer quelles ont été les raisons qui l’ont poussé à faire ses déclarations à la télévision suédoise”. Elle “souhaite juger personnellement de ses réponses”. Mgr Williamson, originaire de Grande-Bretagne, réside actuellement à Londres après avoir été renvoyé de son poste de recteur de son séminaire en Argentine. Il a ensuite été chassé de ce pays par le gouvernement sous la pression de groupes sionistes.

    Blog Les Intransigeants - 02.01.10

  • VIDEO Les "gueules cassées" de la guerre en Afghanistan

    http://videos.tf1.fr/jt-13h/les-gueules-cassees-de-la-guerre-en-afghanistan-5574145.html

    La guerre en Afghanistan depuis 8 ans a fait près d'un millier de morts dans l'Armée américaine, mais aussi des milliers de blessés, dont certains ont été surnommés "les gueules cassées".

  • La caque sent toujours le hareng

    genevieve-de-fontenay-et-kelly-bochenko-4144132kbdkh_1379.jpg
    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)
    Geneviève de Fontenay ne décolère pas. La présidente du Comité  Miss France se déchaîne dans une interview publiée samedi par le quotidien suisse Le Matin contre Miss Paris 2009, Kelly Bochenko, une semaine après l'avoir destituée de son titre à la suite de la parution de "photos licencieuses".

    "C'est quand même elle qui a écarté les cuisses ! Bon, on ne va pas s'apitoyer sur son sort", lance Geneviève de Fontenay en stigmatisant "ce scandale avec Miss Paris, qui est le reflet de la société dans laquelle on vit". "Les devantures de kiosques regorgent de filles à poil, de seins à l'air",  s'indigne la présidente du Comité Miss France qui ne trouve aucune excuse à Miss Paris, qui dit avoir été trahie par un ancien amant qui a vendu des clichés à caractère strictement privé.
     
    Miss France me permet "d'oublier la mort"
     
    "Moi, avec mes 77 ans, j'ai passé un quart de siècle avec Louis de Fontenay, jamais il ne m'a demandé d'écarter les cuisses pour me photographier. C'est un manque de dignité, un manque de respect de soi-même. Ce n'est pas de l'amour, ça!", tempête Geneviève de Fontenay. La présidente du Comité Miss France repousse enfin avec horreur l'idée de prendre sa retraite : "c'est un pied dans la tombe. Tant que j'aurai la santé, je continuerai". "Miss France, cela me permet d'oublier la mort, qu'un jour on ne sera plus rien du tout", explique-t-elle au quotidien suisse.

    Les photos litigieuses, publiées par le magazine Entrevue, montrent Mlle Bochenko en petite tenue, dans des postures à connotation sexuelle très explicite. Dans un communiqué, Me Laurent-Franck Liénard, conseil de Kelly Bochenko, précise que le magazine Entrevue a procédé à la publication malgré une mise en demeure de ne pas le faire. La jeune femme a indiqué avoir engagé des poursuites contre la diffusion des photos et contre la personne qui a procédé à leur vente.

    TF1 News le 02 janvier 2010 

    Le nom « de Fontenay » est un pseudonyme qui aurait été adopté par Louis Poirot, son compagnon et le père de ses enfants, durant la Résistance. Cette appartenance à la Résistance a cependant été nombre de fois contestée et n'a, pour l'instant, jamais été avérée. Son fils, Xavier Poirot, a été déclaré à sa naissance en 1961, sous le patronyme de « Poirot de Fontenay ».

    Toutefois, par la suite, à la demande du Procureur de la République de Nanterre, les actes de naissance et de mariage de Xavier Poirot, ainsi que les actes de naissance de ses filles, ont été rectifiés pour que leur état civil reste Poirot, sans la particule ni le pseudonyme. Cette décision a été confirmée par les arrêts successifs de la Cour d'appel de Versailles le 24 octobre 2004, puis de la Cour de cassation le 11 juillet 2006[5].

    Xavier Poirot peut donc continuer à se faire appeler de Fontenay, de même que sa mère Geneviève Mulmann. Toutefois, ce simple pseudonyme n'apparaît plus sur ses actes d'état civil. (Wikipédia)

  • Le B'naï B'rith contre la béatification de Pie XII a lancé une pétition

    Pie XII camail rouge téléphone.jpg
    L'organisation juive B'nai B'rith a annoncé lundi avoir lancé une pétition contre la décision de l'Eglise catholique de béatifier Pie XII qui a, selon elle, "laissé s'accomplir les crimes nazis". La pétition lancée dimanche avait recueilli un millier de signatures lundi en fin de journée sur le site contrelabeatificationdepiexii.bbpetition.org.

     
    "Nous ne pouvons voir dans ce projet de béatification qu'une approbation implicite du comportement de Pie XII à l'égard des bourreaux des Juifs à l'époque de la barbarie nazie", dénonce l'organisation dans un communiqué.
     
    Silence et passivité complices
    "Il est avéré historiquement qu'à l'époque dramatique où le peuple juif subissait la barbarie nazie, Pie XII, autorité suprême de la chrétienté a, par son silence et sa passivité à l'égard de ce drame, implicitement mais en pleine conscience laisser s'accomplir les crimes nazis", accuse-t-elle.
     
    Benoît XVI a signé le 19 décembre un décret reconnaissant les "vertus héroïques" de Pie XII, le proclamant "vénérable", dernière étape avant la béatification, suscitant de nombreuses protestations des communautés juives dans le monde. (belga/th)
     7sur7 - 28/12/09

  • VIDEO Les élèves finlandais sont les meilleurs du monde

    http://www.dailymotion.com/video/xbogjh_les-finlandais-parmi-les-meilleurs_news

    Xavier Darcos, alors ministre de l’ Éducation nationale, a déclaré en 2007 :

    « Que l'on arrête de comparer les résultats des enfants français à ceux de la Finlande ! C'est un pays très différent du nôtre, petit, quasiment sans immigration »

    Quel aveu!

  • Le demandeur d'asile pakistanais était le meurtrier d'une jeune Allemande

    CALAIS (NOVOPress) - Elle avait 18 ans, elle s’appelait Susanna et son corps a été retrouvé sans vie le 16 décembre dans une chambre de Dresde (Allemagne). Son meurtrier présumé a été arrêté jeudi 31 décembre à Calais (Pas-de-Calais) par des policiers français.

    Syed Asif Raza, un demandeur d’asile pakistanais âgé de 32 ans, avait fui l’Allemagne pour essayer d’échapper à la police qui souhaitait l’interroger pour le meurtre de la jeune étudiante. C’est grâce à la localisation du téléphone portable du meurtrier présumé que les enquêteurs français ont fini par attraper celui qui se faisait appeler « Jimmy ».

    Susanna était élève au lycée St. Benno de Dresde. Dans un faire-part affiché sur le site du lycée, « Nous portons le deuil de Susanna », ses professeurs et camarades de classe écrivent : « Avec elle nous croyons en Dieu, dont l’amour est plus fort que sa mort incompréhensible. »

    NOVOPRESS - 02.01.10

  • Le caricaturiste de Mahomet échappe à la mort

    caricature Mahomet.jpg
    Un Somalien armé d'une hache et d'un couteau a tenté d'assassiner l'un des dessinateurs danois des "caricatures de Mahomet" chez lui hier soir, selon les services de renseignements du Danemark. La victime désignée, Kurt Westergaard, a alerté la police qui a arrêté l'agresseur, un Somalien de 28 ans soupçonné d'implication dans des activités terroristes en Afrique de l'Est.

    Il a été inculpé par la justice danoise de tentatives de meurtres sur le dessinateur et un policier.

    Le suspect a cassé une fenêtre au domicile du dessinateur peu après 22h, dans la ville d'Aarhus, située à 200km au nord-ouest de Copenhague. Kurt Westergaard, âgé de 75 ans, s'est réfugié dans une chambre sécurisée avec sa petite-fille âgée de 5 ans, qui passait la nuit chez lui, et a pressé un bouton d'alarme.

    Les policiers sont arrivés deux minutes plus tard et ont essayé d'arrêter l'agresseur, qui a été blessé par balle au genou et à la main par un agent qu'il menaçait avec sa hache, a affirmé Preben Nielsen. Le suspect, qui possède un permis de séjour au Danemark, devait être inculpé aujourd'hui de tentatives de meurtre contre Westergaard et un policier.

    Kurt Westergaard s'est déclaré "très choqué". "C'était terrifiant. C'est passé près, très près, mais on s'en est sorti", a-t-il confié au journal qui l'emploie, le "Jyllands-Posten". Son agresseur aurait hurlé "vengeance" et réclamé du "sang" en tentant d'entrer dans la salle de bain où était réfugiée sa victime.

    L'ombre d'al-Qaida

    La pièce avait été fortifiée et équipée d'un dispositif d'alerte à la suite de l'affaire des "caricatures de Mahomet". La publication de ces 12 dessins dans le "Jyllens-Posten" en 2005 avait déclenché de grandes manifestations quelques mois plus tard dans plusieurs pays du monde arabo-musulman, où des ambassades danoises et d'autres représentations diplomatiques occidentales avaient été incendiées.

    Des musulmans s'étaient sentis insultés dans leur foi par ces vignettes sur le thème de l'intégrisme et du terrorisme, d'autant plus que l'islam interdit de représenter le prophète. Kurt Westergaard, qui avait dessiné Mahomet avec la tête ceinte d'un turban en forme de bombe, avait reçu des menaces de mort et aurait été visé par un projet d'assassinat.

    La tentative d'hier soir "confirme une fois de plus que la menace terroriste vise le Danemark, et le dessinateur Kurt Westergaard en particulier", a souligné le chef du renseignement danois.

    Jakob Scharf a estimé que cet attentat était "lié au terrorisme". "Selon nos informations, l'homme qui a été arrêté a des liens étroits avec le groupe terroriste somalien al-Shabab et des responsables d'al-Qaida en Afrique de l'Est", a-t-il précisé, ajoutant que le suspect était surveillé par le renseignement sans que ce soit lié au dessinateur.

    Les milices Shahab, considérées comme proches d'al-Qaida, se sont emparées de la plupart du sud de la Somalie et d'une bonne partie de Mogadiscio, où elles essaient de faire tomber le fragile gouvernement.
    Le Figaro- 02.01.10

  • Une jeune femme violée et laissée en forêt

    Une jeune femme de 19 ans a été emmenée de force dans une voiture mardi soir aux Ulis (Essonne), par trois hommes masqués qui l'ont violée, puis abandonnée en forêt vers Nozay (Essonne), a-t-on appris aujourd'hui de source policière.

    Mardi vers 22H00, un véhicule s'est arrêté près de la jeune femme. A son bord, trois hommes masqués, qui l'ont fait monter de force dans la voiture.
    Après avoir violé leur victime, les trois agresseurs qui n'ont pas été identifiés, l'ont abandonnée en forêt.

    Les trois hommes étaient toujours en fuite jeudi midi.
    La sûreté départementale a été chargée de l'enquête.

    Le Figaro - 30.12.09

     

  • Légion d'honneur: la promotion du Nouvel An

    Le prix Nobel d'économie Maurice Allais, le patron du groupe européen de défense et d'aéronautique EADS Louis Gallois ou encore le couturier espagnol Paco Rabanne figurent dans la promotion du Nouvel An de l'Ordre national de la Légion d'honneur.

    Maurice Allais , 98 ans, seul lauréat français du prix Nobel d'économie, est élevé à la dignité de grand'croix de la Légion d'honneur, selon cette promotion du Nouvel An publiée vendredi au Journal officiel. Pierre Fabre , président du groupe pharmaceutique du même nom, est également élevé à la dignité de grand'croix. La sociologue Eveline Sullerot est élevée à la dignité de grand officier. Fondatrice en 1955 d'une association de femmes pour promouvoir le contrôle des naissances, qui deviendra ensuite le Mouvement Français pour le Planning familial, elle est à l'origine de la "Directive européenne sur l'égalité de traitement entre hommes et femmes". Le couturier espagnol Paco Rabanne , 75 ans, est promu officier.

    Nombre de dirigeants de grands groupes français figurent dans cette promotion du Nouvel An. Louis Gallois , président exécutif d'EADS, est promu commandeur, ainsi que Jean-Cyril Spinetta , pdg d'Air France-KLM. L'ancien patron des patrons Ernest-Antoine Seillière, président du conseil de surveillance de la société d'investissement Wendel, est également promu commandeur. Denis Kessler, ancien numéro deux du Medef, pdg du réassureur français Scor est promu officier, comme Anne Lauvergeon, présidente du groupe nucléaire Areva, Guillaume Pépy, président de la SNCF, et René Carron, président du Crédit Agricole.

    Du côté de la justice, l'avocat Serge Klarsfeld , vice-président de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, est promu commandeur, comme son confrère Mario Stasi, ancien bâtonnier du barreau de Paris. Michel Gaudin , préfet de police de Paris, est également promu commandeur.

    Par ailleurs, Alain Duchêne , président de la fondation de l'Armée du Salut, Roger Karoutchi , président du groupe UMP au conseil régional d'Ile-de-France et Fatiha Benatsou , première préfète issue de l'immigration et préfète déléguée à l'égalité des chances auprès du préfet du Val d'Oise, sont nommés chevaliers. Patrick Gaubert , président du Haut Conseil à l'intégration et Jean-Marie Delarue , conseiller d'Etat, contrôleur général des lieux de privation de liberté, sont promus officiers. Dominique-Jean Chertier , président du conseil d'administration de Pôle emploi, l'organisme issu de la fusion ANPE-Assedic entrée en vigueur début 2009, est promu officier. Le professeur et ancien député UMP du Rhône Jean-Michel Dubernard , qui a notamment réalisé la première greffe de la main en 1998, est nommé chevalier.

    Du côté des médias, la présentatrice Daniela Lumbroso est nommée chevalier. Jean-Luc Hees , président de Radio France, est promu officier. Jean-Pierre Vignoll e, directeur général de l'Agence France Presse, est nommé chevalier. Le photographe à succès de "La Terre vue de Ciel" et réalisateur du documentaire "Home", Yann Arthus-Bertrand , est promu officier.

    Le Point - 01.01.10

  • Le policier écrasé volontairement par des cambrioleurs est mort de ses blessures

    Le brigadier-major Patrice Point avait été percuté dimanche par des voleurs en fuite. Son décès a provoqué l’indignation des différents syndicats de police. L’enquête se poursuit.

    Tragique fin d’année pour la police nationale. Le policier de 51 ans, grièvement blessé dimanche après avoir été renversé par deux malfaiteurs en fuite à la suite d’un cambriolage à Montévrain (Seine-et-Marne), est décédé dans la nuit de mardi à mercredi, suscitant une vive émotion des syndicats de police.

    Patrice Point, un major dont le fils est également policier, est décédé mercredi à 3 heures à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) où il avait été transporté dimanche par hélicoptère. Le policier avait été admis dans « un état très critique », selon les autorités.

    Mercredi, le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, s’est rendu en fin de matinée au commissariat de Chessy (Seine-et-Marne) où était basé l’agent de police. Il s’est entretenu « avec la famille puis les collègues du brigadier-major Patrice Point en intervention dimanche avec lui » et a rencontré « l’ensemble des effectifs du commissariat pour s’associer à leur peine et partager leur douleur », a indiqué le ministère. Selon M. Hortefeux, l’enquête confiée à la direction régionale de la police judicaire de Versailles (Yvelines) « progressait », ajoutant que « les auteurs de ce crime gratuit et aveugle étaient passibles de la réclusion criminelle à perpétuité ».

    « Ils ont foncé volontairement »

    Dimanche, à 12 h 30, un couple, qui venait d’apercevoir deux hommes encagoulés et gantés en train de cambrioler la maison de voisins, a prévenu la police. Arrivée sur les lieux, une patrouille du commissariat de Chessy a surpris les cambrioleurs en flagrant délit. Les malfaiteurs ont alors pris la fuite à bord d’un 4 x 4 dérobé dans le garage de la maison. Selon la police, les deux malfaiteurs « ont foncé volontairement en direction » des deux policiers qui viennent d’ouvrir le portail du pavillon.

    C’est dans ces circonstances que le brigadier-major Patrice Point a été percuté par le véhicule et s’est retrouvé coincé contre le mur dans la descente du garage, touché au bassin et aux jambes. Son collègue a ouvert le feu à plusieurs reprises sur le véhicule en fuite, immédiatement imité par leurs deux collègues qui se trouvaient dans la rue, sans faire de blessé. Peu de temps après, le 4 x 4 est retrouvé calciné dans un bois, sans doute pour éviter toute prise d’empreintes digitales ou prélèvement d’ADN.

    Une profession endeuillée

    Mercredi, le décès de leur collègue a jeté la consternation parmi les syndicats de police qui ont fait état des conditions de travail difficiles des forces de l’ordre. « C’est l’ensemble de la profession qui est en deuil », a réagi l’Union SGP-FO/Unité police, premier syndicat des gardiens de la paix. « Au-delà de la solidarité indispensable envers notre collègue et sa famille, l’Union rappelle, s’il en est besoin et sans polémique aucune, la nécessité vitale de disposer des conditions optimales pour mener à bien les tâches de ce métier, intrinsèquement dangereux. »

    Le syndicat Alliance (deuxième organisation des gardiens de la paix) a demandé « une justice exemplaire », jugeant également « urgent de recentrer » les missions des policiers et gendarmes sur « leur cœur de métier : la protection des personnes et des biens et la lutte contre toutes les formes de délinquance ».

    Actu France-Soir - 30.12.09

  • Sens: un prêtre mis en examen pour pédophilie

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    Un prêtre du diocèse de Sens (Yonne) a été interpellé à son domicile, dimanche 27 décembre au matin, en compagnie d'un adolescent de 12 ans. Il a été mis en examen le lendemain pour agression sexuelle sur mineur après la dénonciation d'un autre jeune, selon le journal l'Yonne républicaine.

    Cet autre adolescent, âgé lui de 16 ans, avait passé la soirée du 25 décembre en compagnie du père Gaston Borges, archiprêtre de la cathédrale de Sens et vicaire épiscopal responsable du nord du département. Le jeune homme a porté plainte pour des agressions sexuelles commises ce soir-là.

    Des de la police judiciaire d'Auxerre, venus interpeller le prêtre, l'ont alors trouvé en compagnie de son filleul âgé de 12 ans, dont les parents ont également porté plainte. Le père Borges, longtemps aumônier à la prison d'Auxerre, a été placé en détention provisoire à Fleury-Mérogis (Essonne).

    «Douloureusement surpris», l'évêque de Sens, Mgr Yves Patenôtre, a écrit dans un communiqué publié sur le site internet du diocèse : «Ma pensée va d'abord bien sûr vers tous ceux et celles qui sont touchés et blessés par les faits, même si j'ignore ce qu'ils ont été exactement et leur gravité. Je fais confiance à la de notre pays».

    Le Parisien - AFP - 01.01.10

  • Nouvel An: excellente ambiance! 549 interpellés, 1137 voitures brûlées...

    2010 commence sous les meilleurs auspices, avec la fête et rien que le fête... ou presque. Le passage à la nouvelle année a été fêté joyeusement en France, aucun incident majeur n'étant signalé par les forces de l'ordre, selon le ministère de l'Intérieur. Mais la tradition perdure... 1.137 véhicules ont été incendiés en cette nuit du Nouvel, contre 1.147 l'an dernier, a annoncé vendredi le ministre de l'Intérieur. Sur Paris et les trois départements de la petite couronne (Seine-Saint-Denis, Hauts-de-Seine et Val-de-Marne), le nombre des véhicules brûlés a diminué "dans des proportions sensiblement plus importantes qu'au plan national", a précisé le ministre, dans un communiqué. Il est en baisse de plus de 20%, à 198.

    549 personnes ont été interpellées (contre 288 l'an dernier) et 481 placées en garde à vue (contre 219 l'an dernier), "dont de nombreux incendiaires de véhicules", selon le bilan définitif. L'an dernier, le nombre des voitures brûlées au plan national était en hausse de 30%. Onze blessés sont à déplorer parmi les forces de l'ordre, selon le ministre de l'Intérieur.

    Deux fois moins de monde à Paris

    La préfecture de police de Paris a elle noté "une excellente ambiance tout au long de la nuit" à Paris avec une fréquentation un peu moins importante sur les Champs-Elysées (200.000 personnes contre 550.000 il y a un an) en raison de l'organisation d'un spectacle son et lumière pour célébrer le passage à 2010 et les 120 ans de la Tour-Eiffel qui a rassemblé 75.000 personnes.

    L'avenue des Champs-Elysées a été rendue à la circulation dès 3h. 171 personnes avaient été interpellées à 4h, principalement pour des tentatives d'incendie de véhicule ou pour des jets de projectiles sur les forces de l'ordre. 

    "Rien de bien extraordinaire"

    Dans le Pas-de-Calais, l'activité a été "normale", selon le Codis, qui dénombre cinq à six feux de véhicules pour la nuit et pas ou peu de débordements. Dans l'Oise, il y a eu "un petit peu plus" de feux de voitures que lors d'une nuit normale, mais "rien de bien extraordinaire". Pas de fait notable à signaler en Champagne-Ardennes. Une quarantaine de voitures ont brûlé dans le Rhône, un certain nombre à Grenoble, une vingtaine dans la Loire, une dizaine dans la Drôme, chiffres proches de ceux constatés en 2009. Dans la Loire, une dizaine de véhicules d'un centre de tri de la Poste ont brûlé vers 2h, selon pompiers.

     Environ 45.000 policiers et gendarmes, dont plus de 8.000 pour Paris et les  trois départements de la petite couronne, ont été mobilisés pour la nuit de la  Saint-Sylvestre afin d'éviter les débordements et limiter le nombre de voitures  brûlées. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, a multiplié les visites sur le  terrain, vérifiant avec les responsables policiers la bonne mise en œuvre des plans de sécurité. Vendredi matin, il salué "la réactivité des policiers et gendarmes qui a permis d'assurer une présence dissuasive" sur le terrain.

    TF1 - 01.10.09