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  • Une minute de silence après la mort d'Hakim

    Les proviseurs des lycées et les principaux de collèges de toute la ont été appelés par le ministère de l' nationale à faire respecter une minute de silence ce mardi matin à 11 heures en mémoire d'Hakim Maddi, le lycéen poignardé vendredi dans les couloirs du lycée Darius-Milhaud au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne).

     Son agresseur présumé, également âgé de 18 ans, a été mis en examen pour «homicide volontaire» et placé en détention provisoire. Pour des raisons de sécurité, le lieu de son incarcération n'a pas été communiqué.

    Décrit comme un jeune «en rupture familiale» mais dépourvu d'antécédents judiciaires, Islam Elkébir, 18 ans encourt jusqu'à 30 ans de réclusion criminelle.

    Une minute de silence qui «manque de préparation»

    On ne sait pas encore dans quelle proportion la minute de silence a été respectée dans les établissements français. Mais son application semblait hier difficile. Les chefs d'établissements ont en effet  dénoncé le manque de préparation de ce moment de recueillement.  «Nous n'avons pas de position à proprement parler, il est difficile de prendre position contre cette minute de silence qui est une façon de marquer un certain désarroi, une certaine émotion vis-à-vis de ce qui s'est passé», explique ainsi le secrétaire général du SNPDEN, Philippe Tournier.

    «Mais elle ne résout rien du drame qui a eu lieu et c'est un peu comme la lecture de la lettre de Guy Môquet : si cela peut se faire dans les conditions qui répondent à l'objectif, il faut le faire. Mais si ce n'est pas le cas, non, car il ne faut pas que ce soit un exercice dénué de sens pour les élèves».
     

    silencieuse vendredi

    Lors de ses voeux au monde de l'éducation et de la recherche, le président de la République, Nicolas Sarkozy, s'est déclaré lundi «profondément bouleversé» par la mort d'Hakim et a promis de «tout mettre en oeuvre pour empêcher que de tels actes se reproduisent».

    Une marche silencieuse doit avoir lieu vendredi au Kremlin-Bicêtre, à la mémoire de la victime.

    Le Parisien avec l'AFP - 12.01.10 

  • Iran: un spécialiste du nucléaire tué dans un attentat

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    Massoud Ali Mohammadi, 50 ans, professeur de physique nucléaire à Téhéran

    L'universitaire, présenté comme un ponte de l'énergie atomique, a été tué dans l'explosion d'une bombe près de son domicile de Téhéran. Les médias iraniens accusent Israël et les «contre-révolutionnaires» d'être à l'origine de l'attentat.

    L'Iran perd un universitaire présenté comme un spécialiste du nucléaire de haut rang. Professeur dans le domaine de l'énergie atomique, Massoud Ali Mohammadi a été tué mardi dans l'explosion d'une moto piégée près de son domicile de Téhéran, alors qu'il s'apprêtait à monter dans sa voiture, ont annoncé les autorités. Selon le procureur de la capitale, le corps de Massoud Ali Mohammadi «a été transféré à la médecine légale et une enquête a été ouverte pour identifier les responsables de l'explosion et les motifs».

    Les médias iraniens n'ont toutefois pas attendu pour attribuer cet attentat aux «contre-révolutionnaires» et à Israël. «Massoud Mohammadi était un professeur révolutionnaire et engagé qui est devenu martyr dans un attentat terroriste commis par des contre-révolutionnaires et les éléments de l'oppression mondiale», a affirmé la télévision d'Etat en persan, ajoutant que Mohammadi était un partisan de la Révolution de 1979. Citant des «responsables bien informés», la chaîne de télévision officielle en arabe al-Alam a estimé que, «compte tenu du type de l'explosion, l'attentat pourrait avoir été commis par les ‘hypocrites' (les Moudjahidine du peuple, NDLR) ou avoir été planifié par le régime sioniste», à savoir Israël.

     

    Contexte international et politique tendu

     

    Cet attentat intervient alors que l'Iran est menacé de sanctions internationales pour sa politique nucléaire, et notamment pour son refus de renoncer à l'enrichissement d'uranium dont les Occidentaux craignent qu'il ne vise à doter la République islamique de l'arme nucléaire. Il intervient également dans un contexte politique très tendu, alors que le pouvoir a durement réprimé au cours des derniers mois l'opposition interne au régime, qui conteste la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad en juin dernier.

    Le 27 décembre, huit personnes ont été tuées lors de manifestations de l'opposition et plusieurs centaines d'autres ont été blessées ou arrêtées. Le pouvoir a mis en cause les pays occidentaux - Etats-Unis en tête -, ainsi qu'Israël et les Moudjahidine du peuple, dans le cadre de ces violences.

    Le Figaro - 12.01.10

  • Delanoë fête le nouvel an berbère à la mairie de Paris!

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    INVITATION PRESSE – Mardi 12 janvier à 19h15
    Paris fête Yennayer 2960 – le nouvel an berbère

    Bertrand Delanoë a le plaisir de vous inviter à la cinquième édition du nouvel an berbère, Yennayer 2960, organisé en partenariat avec la chaîne Berbère Télévision.

    Plus de mille personnes sont attendues dans les salons de l’Hôtel de Ville pour célébrer; cet événement culturel au cours duquel seront présentés de grands groupes de musique berbère, dont Cheikh Sidi Bémol et les trois sœurs du groupe La Voix de la Racine, ainsi que des groupes de danse traditionnelle, dont la Troupe Atlassia.

    http://fr.novopress.info/45176/bertrand-delanoe-attend-1000-invites-pour-le-nouvel-an-berbere-a-la-mairie-de-paris/

    Novopress - 11.01.10

  • Emeutes raciales à Rosarno (Calabre)

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  • Vincent, blessé d'un coup de couteau pour un "regard de travers"

    Un lycéen de 17 ans a été légèrement blessé lundi lors d'une rixe devant son lycée de Chennevières-sur-Marne, en région parisienne. Il a été rapidement soigné, sa plaie n'ayant nécessité que trois points de suture.

    Nouvelle rixe à l'arme blanche entre lycéens. Cette fois, Vincent, un adolescent de 17 ans a été légèrement blessé par un coup de couteau lundi matin, lors d'une rixe devant son établissement scolaire de Chennevières-sur-Marne (Val-de-Marne). Le garçon, élève de BEP au lycée Samuel de Champlain, a été légèrement touché au genou. Transporté à l'hôpital Saint-Camille de Bry-sur-Marne (Val-de-Marne), il a été rapidement soigné, sa plaie n'ayant nécessité que trois points de suture, selon une source proche de l'enquête.

    L'auteur des coups de couteau, un homme d'une trentaine d'années extérieur à l'établissement, a réussi à prendre la fuite et est toujours recherché par la police. La 4e brigade de la sûreté territoriale du Val-de-Marne a été chargée de l'enquête.

     

    Série de rixes à l'arme blanche

     

    Selon les premiers éléments de l'enquête, la rixe aurait éclaté vers 10h15, à l'occasion d'une pause cigarette devant le lycée. D'après le proviseur de l'établissement, Rémy José, un simple «regard de travers» serait à l'origine de la dispute.

    «En sortant devant l'établissement, la victime s'est retrouvée nez à nez avec un individu qu'elle ne connaissait pas. Ce dernier, visiblement très agité, lui a reproché de ‘mal le regarder' et lui a donné un coup de poing au visage», a raconté Rémy José. L'élève ne se serait pas laissé faire et se serait battu avec son agresseur, qui aurait alors sorti un couteau et l'aurait frappé au genou.

    «Des surveillants qui se trouvaient à proximité sont rapidement intervenus et ont réussi à les séparer», a expliqué le proviseur. «Sans leur intervention, l'accident aurait pu être beaucoup plus grave», a-t-il ajouté, en tenant à saluer leur «sang-froid». Selon lui l'agresseur présumé, identifié par la police, serait sorti récemment de prison.

    Cette affaire intervient alors que plusieurs incidents liés à des bagarres de jeunes à l'arme blanche se sont produits en Ile-de-France ces dernières semaines, dont deux se sont terminés en drame, au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) et à Cergy (Val d'Oise).

    Le Figaro- 11.01.10

  • La Guyane et la Martinique disent non à une autonomie accrue

    Les électeurs de Guyane et de Martinique ont à une très forte majorité dit non à l’autonomie accrue de leurs départements qui leur était proposée lors de référendums, et ce au grand dam des indépendantistes.

    La question qui leur était posée ce dimanche était : « Approuvez-vous la transformation de la Martinique (ou de la Guyane) en une collectivité d’outre-mer régie par l’article 74 de la Constitution, dotée d’une organisation particulière tenant compte de ses intérêts propres au sein de la République ? »
    La réponse a été NON à 69,80 % en Guyane et à NON à 78,90 % en Martinique.

    Et tant pis pour le camp de l’anti-France personnifié en Guyane par les quatre parlementaires, dont Christiane Taubira, et les présidents du conseil régional et du conseil général, tous de gauche, qui avaient appelé à voter oui.

    Le résultat de dimanche aura des conséquences importantes sur les élections régionales de mars, notamment en Martinique, où le président du conseil régional Alfred Marie-Jeanne (Mouvement indépendantiste) avait aussi appelé à voter oui. Ce « brave homme » nous a alors expliqué, après le scrutin « que le peuple pouvait se tromper ». Quand le même peuple l’a élu ?

    Les partisans d’une autonomie accrue ne sont manifestement pas parvenus à convaincre les électeurs des vertus d’une plus grande autonomie pour assurer plus efficacement le développement local et satisfaire leurs besoins quotidiens (transports, logement, emploi, coût de la vie…).

    Une bonne partie de la campagne s’est faite sur la peur de perte d’acquis sociaux, notamment en Martinique, à la population vieillissante, alors que ce qui relève de la protection sociale devait continuer à demeurer de la compétence de l’Etat.

    Nations presse info - 11.01.10

  • Terrorisme: l'Algérie dans la "liste noire" des USA

    L'Algérie a protesté "vivement" aujourd'hui contre la décision "discriminatoire" des Etats Unis de l'inscrire dans une liste de pays à risque dont les voyageurs subiront des contrôles spécifiques, a annoncé le ministère algérien des Affaires étrangères.

    Le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci a convoqué l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, David D. Pearce, pour lui exprimer les "vives protestations" d'Alger suite à cette mesure "malencontreuse, injustifiée et discriminatoire", a précisé un communiqué de son département cité par l'agence APS.

    "Cette convocation fait suite à plusieurs démarches antérieures effectuées en leur temps, aussitôt les mesures connues, aussi bien par l'administration centrale que par notre ambassadeur à Washington, auprès des autorités américaines concernées", a ajouté le communiqué.

    L'Algérie figure dans la "liste noire" de 14 pays établie par les Etats-Unis et dont les citoyens sont désormais soumis à des mesures supplémentaires de contrôle sécuritaire, suite à la tentative d'attentat le 25 décembre contre le vol Amsterdam-Detroit de la compagnie Northwest Airlines par un Nigérian de 23 ans.

    Aucune liaison aérienne directe n'existe entre l'Algérie et les Etats-Unis. Des négociations pour l'ouverture d'une liaison Alger-New York par la compagnie aérienne nationale Air Algérie n'ont toujours pas abouti. La plupart des Algériens désirant se rendre aux USA passent par Paris.

    Le Figaro - 11.01.10

  • Mohamed Rouichi: l'effroyable parcours du "violeur mélomane"

         Il aura fallu douze années aux enquêteurs pour mettre un terme à la terrible dérive criminelle de Mohamed Rouichi. Entre 1994 et 2006, l’homme qui comparaît aujourd’hui, à 50 ans, devant la cour d’assises de , a violé dix-sept Parisiennes, âgées de 16 à 74 ans, sans que rien ni personne ne parvienne à l’arrêter.

    Sans domicile fixe, l’homme, particulièrement violent et pervers, a finalement été interpellé le 26 juillet 2006 gare de , dans le XIIe arrondissement, formellement confondu par le Fnaeg (fichier national automatisé des empreintes génétiques) qui avait enregistré son ADN lors d’une tentative de commise à Boulogne (Hauts-de-Seine) au mois de mars de la même année. En arrêtant celui qui figurait sur les synthèses de police sous le nom de « violeur scatophage », les enquêteurs s’aperçoivent alors que Rouichi a déjà été condamné en 1983 par la cour d’assises pour meurtre, sans connaître encore l’ampleur de ses crimes.

    Une violence inouïe

    En fait, les actes de Mohamed Rouichi ont mis les policiers sur les dents durant plus d’une décennie.
    Chaque fois, aux quatre coins de la capitale, surtout dans les XIVe et XVe arrondissements, il répète le même scénario. Après avoir repéré sa victime, il pénètre dans son appartement et suivent de longues heures d’horreur. Séquestrées, abusées à plusieurs reprises avec une violence inouïe et des sévices particulièrement sordides, les femmes sont ensuite délestées de leur argent, leurs bijoux et leurs cartes bancaires. Etrangement, l’homme parle littérature, art ou politique et lorsqu’il prend enfin la fuite, c’est sur quelques notes de musique classique. Cette manie de mettre un disque lui a également valu le surnom de « violeur mélomane ». Ce rituel, Rouichi l’exécute avec une terrible précision, et à un rythme d’un ou deux viols par an. Durant les deux mois qui ont précédé son interpellation, l’homme avait commis trois méfaits. Le dernier a eu lieu dix jours seulement avant que les policiers le repèrent dans l’enceinte de la gare de Lyon. C’est d’ailleurs là qu’il passait le plus clair de son temps, en compagnie d’autres sans-domicile-fixe.
    Son procès, au cours duquel ne seront évoqués que quatorze des viols commis, devrait s’achever le 15 janvier.

    Le Parisien - 11.01.10 

  • Israël va construire un mur à la frontière égyptienne

    Le projet est destiné à combattre l'immigration clandestine. Benjamin Netanyahou a indiqué qu'Israël continuerait d'accueillir des réfugiés, mais "ne permettra pas une inondation de travailleurs illégaux".

    Le gouvernement israélien a approuvé la construction d'une barrière destinée à combattre l'immigration clandestine à sa frontière avec l'Egypte, a indiqué, dimanche 10 janvier, un responsable gouvernemental. Selon ce responsable, qui a requis l'anonymat, trois barrières seront construites le long des 250 km de frontières au coeur du désert qui bloqueraient les principales voies d'entrée des clandestins. Le projet, présenté par l'armée, devrait coûter entre 1 et 1,5 milliard de dollars, a-t-il précisé à l'AFP.
    Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a souligné dimanche que l'Etat hébreu continuerait à accueillir les demandeurs d'asile, en provenance majoritairement du Darfour. "Israël autorisera l'entrée de réfugiés en provenance de zones de conflit mais ne permettra pas que ses frontières soient utilisées pour inonder le pays de travailleurs illégaux", a déclaré un haut responsable gouvernemental, citant M. Netanyahu.

    20 migrants tués en 2009


    Selon le ministère israélien de l'Intérieur, environ 300.000 étrangers illégaux - dont 100.000 immigrés, touristes restés dans le pays et Palestiniens - vivent en Israël. Les organisations de défense des droits de l'Homme estiment que ce chiffre est exagéré.
    La frontière égypto-israélienne, actuellement signalée par des rangées de barbelés, est empruntée par de nombreux clandestins, demandeurs d'asile et trafiquants de drogue. L'Etat hébreu critique l'Egypte pour son manque de contrôle, alors que la police égyptienne ouvre régulièrement le feu sur des migrants africains tentant de se rendre en Israël. Vingt migrants ont été tués en 2009.

    (Nouvelobs.com avec AFP) -11.01.10

  • Un sous-officier français tué en Afghanistan

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    Un sous-officier français est lundi matin en Afghanistan et un officier a été très gravement blessé lors d'une attaque contre une patrouille franco-afghane dans la vallée d'Alasay, au nord-est de Kaboul. C'est l'Elysée qui a annoncé l'information dans un communiqué en milieu de journée.

    Le a précisé que ce sous-officier était décédé lors d'une «attaque meurtrière» lundi matin «contre des militaires français qui patrouillaient avec une section de l'armée nationale afghane dans la vallée d'Alasay, au nord est de Kaboul».

     

    37 soldats français tués en Afghanistan

    Dans son communiqué, le chef de l'Etat a fait part de sa «vive émotion». «Un sous-officier a payé de sa vie l'engagement de la France au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan, tandis qu'un officier a été très grièvement blessé», a poursuivi Nicolas Sarkozy, en s'associant « à la douleur de leurs familles et de leurs proches».

    Ce décès porte à 37 le nombre de militaires français ayant trouvé la mort en Afghanistan.

    Nicolas Sarkozy a ajouté que «ses pensées (allaient) également à leurs compagnons d'armes de la 1ère Brigade Mécanisée et du 402ème régiment d'artillerie de Châlons-en-Champagne». Il a réaffirmé en outre «son soutien au peuple afghan et aux autorités afghanes». Condamnant «avec force cette violence aveugle», il a «exprimé la détermination de la France à continuer d'oeuvrer au sein de la Force Internationale d'Assistance à la Sécurité».

    Le Parisien - 11.01.10

    «Cette force, mandatée par l'ONU, a reçu la mission de contribuer au retour de la stabilité, au rétablissement de la paix et au développement en Afghanistan», a-t-il conclu.

    Le Parisien

  • Fadela Amara veut "nettoyer au Kärcher" la violence dans les cités...

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    ... et imposer le métissage de la France!

     

    C’est Fadela Amara qui se fend de cette saillie dans un entretien à paraître lundi dans le quotidien Le Progrès. La secrétaire d'Etat à la Ville y cite «le "Kärcher" de Nicolas Sarkozy», assurant qu’«on a oublié qu'il a dit cela alors qu'un jeune de 11 ans avait été tué en nettoyant la voiture de son père!».
     
    «Oui, il faut nettoyer au Kärcher, nettoyer cette violence qui tue nos enfants dans les cités», a-t-elle poursuivi. Pour Fadela Amara, «il existe une vraie insécurité dans certains quartiers populaires, avec des voyous qui prennent en otages les habitants» et «le droit à la sécurité n'est pas réservé aux bourgeois» mais «existe d'abord pour les plus pauvres».
     
    Le débat sur l'identité nationale est «nécessaire»
     
    La secrétaire d'Etat à la Ville en profite pour affirmer que le débat sur l'identité nationale est «nécessaire pour créer les conditions du vivre ensemble». Elle reconnaît cependant avoir «entendu des choses désagréables, des dérapages», mais estime qu’«il faut libérer les non-dits, mettre des mots sur les souffrances».
     
    «Le principe de la République métissée est accepté par l'immense majorité des Français», a assuré Fadela Amara, citant «Yannick Noah, Zizou et Dany Boon qui a un papa kabyle comme personnalités préférées» des Français. Mais selon elle, «il reste maintenant à imposer cette République métissée à une certaine élite, par exemple celle des grandes écoles».
    20minutes.fr - 10.01.10
  • Le Pen contre le vote des étrangers

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    Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, s'est déclaré dimanche soir "évidemment contre" la proposition du ministre de l'Immigration, Eric Besson, en faveur du vote des étrangers aux élections locales dans les "dix ans à venir".

    "Je suis évidemment contre. Le vote appartient aux nationaux exclusivement. Il n'est pas question à aucun niveau de la vie politique que les étrangers participent à la désignation des gens qui sont chargés de diriger ce pays", a déclaré M. Le Pen, lors de la Tribune BFM.

    Eric Besson, qui est également secrétaire général adjoint de l'UMP, avait annoncé peu auparavant sur i-Tele: "Nous devons aller à terme vers le vote des étrangers aux élections locales" mais en fixant cette possibilité dans les "dix ans à venir".

    Lors de la campagne présidentielle en 2007, Nicolas Sarkozy s'était également déclaré en faveur du droit de vote des étrangers aux élections locales mais n'avait pas retenu cette option dans son programme.

    Début septembre 2009, le secrétaire général de l'UMP, Xavier Bertrand, avait affirmé qu'il n'était "pas favorable au droit de vote des étrangers aux élections municipales", ni même au débat alors préconisé par Eric Besson sur ce sujet, car cela "détournerait l'attention des priorités des Français".

    Le Point-fr - 11.01.10

  • Des inscriptions sur une poterie indiquent que le Royaume d'Israël existait au Xème siècle avant l'ère commune

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    Une percée dans les recherches bibliques donne un nouvel éclairage sur la période pendant laquelle vivait le Roi David, il y a environ 3 000 ans, a annoncé l’université de Haïfa fin de la semaine dernière.
     
    Le professeur Gershon Galil du département d’études bibliques de l’université de Haïfa a récemment déchiffré une inscription datant du 10eme siècle avant le début de l’ère commune, et a montré que c’était une inscription en hébreu, rendant ce texte le plus ancien des textes hébraïques connus.
     
    Cette percée indique qu’au moins certaines des écritures ont été composées des centaines d’années avant les dates précédemment retenues, et que le Royaume d’Israël existait déjà à l’époque, comme le dit depuis toujours la Torah. Le 10ème siècle avant l’ère commune est la période pendant laquelle vivait le Roi David.
    L’inscription elle-même, qui a été écrite à l’encre sur une poterie trapézoïdale de 15cm x 16.5cm a été découverte il y a un an et demie lors de fouilles menées par le professeur Yossef Garfinkel à Khirbet Qeiyafa, près de la vallée d’Elah.
     
    Bien qu’elle ait été rapidement datée du 10eme siècle, il n’était pas immédiatement clair si l’inscription était en hébreu ou dans une autre langue locale.
     
    Le décryptage du professeur Galil témoigne du fait que ce soit bien de l’hébreu, l’étude étant basée sur l’utilisation de verbes spécifiques à la langue hébraïque et à un contenu spécifique à la culture hébraïque et pas adoptée par les autres cultures de la région.
     
    « Ce texte est une instruction sociale, relative aux esclaves, aux veuves et aux orphelins, » déclare le professeur Galil. « Il utilise des verbes qui sont caractéristiques de l’hébreu, tel que ‘assa’ (a fait) et ‘avad’ (a travaillé), qui étaient rarement utilisé dans d’autres langues régionales. Des mots particuliers qui apparaissent dans le texte, tels que ‘almana’ (veuve) sont spécifiques à l’hébreu, et sont écrits différemment dans d’autres langues locales. »
     
    La transcription en français donne ceci :
     
    vous ne devriez pas faire (cela), mais adorez l’ (Eternel).
    jugez l’escla(ve) et la veu(ve) - Jugez l’orphe(lin)
    (et) l’étranger. (pl)aidez pour l’enfant - plaidez pour le pau(vre et)
    la veuve. réhabilitez (le pauvre) aux yeux du roi.
    protégez le pau(vre et) l’esclave – (soute)nez l’étranger.
    Juif.org - 10.01.10

  • Le Chef des juifs: l'Antéchrist

    http://debriefing.org/29729.html

    et: http://www.la-question.net/archive/2009/12/17/joseph-de-maistre-et-les-juifs.html

     

  • La Journée de la Langue Hébraïque

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    La Langue Hébraïque aura désormais son jour anniversaire, ainsi en a décidé la Knesset. Il s’agira du 21 Tevet (cette année, jeudi 7 janvier), date de naissance d’Eliézer Ben Yehouda, qui fut le « réinventeur » de l’hébreu à la fin du 19e siècle. Né en 1858 en Lituanie, Eliézer Ben Yehouda – de son vrai nom Perlman – fut élevé dans la pure tradition juive. Comme jeune adulte, il subit l’influence des idées de la Haskala au point de s’éloigner presque totalement de la tradition juive, mais à une exception près: son amour pour la langue hébraïque.

    Comme beaucoup de penseurs juifs de l’époque, il adhéra ensuite peu à peu à l’idée du retour du peuple juif sur sa terre ancestrale, et en 1877, il disait: « Les Juifs ne peuvent être un peuple vraiment vivant que s’ils retournent au pays de leurs pères et s’ils retrouvent la langue hébraïque. » C’est à cette tâche qu’il s’adonna dès lors durant le restant de sa vie, en utilisant l’hébreu biblique et traditionnel pour en faire une langue vernaculaire nationale.

    Il monta en Eretz Israël en 1881, mais continua à se rendre dans les plus grandes bibliothèques d’Europe pour y accomplir un travail de titan, et élaborer le premier dictionnaire d’Ivrit moderne. Le « Comité de la Langue Hébraïque » qu’il avait créé, devint en 1953 « l’Académie de la Langue Hébraïque », 31 ans après sa mort.

    En plus de la fixation de ce jour anniversaire, le gouvernement a décidé de mettre sur pied une commission interministérielle qui sera chargée de définir les moyens de préserver et renforcer la langue hébraïque dans la vie quotidienne. Il a été également décidé d’accorder un « Prix du Premier ministre » d’un montant de 70.000 shekels qui sera remis annuellement à des personnes, organismes ou institutions qui auront contribué à la langue hébraïque. Un timbre et une médaille seront également créés et décernés aux 200 personnes qui auront le plus œuvré en faveur de la renaissance et le maintien de la langue nationale.

    Rappelons qu’il y a quelques semaines, le ministre de l’Education, Guidon Saar s’était dit « très inquiet de la déliquescence de l’hébreu parmi la jeunesse et particulièrement dans les écoles ».

    Juif.org - 04.01.10

  • Gaza: trois Palestiniens tués...

    Trois Palestiniens ont été tués ce soir dans le centre de la bande de Gaza lors d'une attaque aérienne israélienne, a-t-on indiqué de source médicale palestinienne.
    Les trois victimes, qui appartiennent au mouvement radical Jihad islamique, ont été tuées par des explosions de missiles air-sol, selon cette source.

    Un porte-parole militaire israélien a confirmé le raid à l'AFP.
    Auparavant, quatre obus de mortier avaient été tirés en direction d'Israël, sans atteindre le territoire israélien, selon une source militaire.

    Dimanche, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a averti que l'armée israélienne réagirait avec une "force maximale" à tout tir de roquette ou d'obus en provenance de Gaza.

    Les incidents armés à la frontière de Gaza ont nettement diminué depuis l'offensive israélienne de décembre-janvier 2008-2009. Le cessez-le-feu est globalement respecté en dépit d'accrochages et de violences sporadiques.

    Selon l'armée israélienne, quelque 280 roquettes et obus ont été tirés à partir de Gaza depuis la fin de cette opération dévastatrice qui a fait plus de 1.400 morts côté palestinien, selon l'organisation islamiste Hamas qui contrôle la bande de Gaza.

    Le Figaro - 10.01.10

  • VIDEO Marion Maréchal-Le Pen en campagne

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafIT9n.html

    Marion Maréchal-Le Pen, la petite-fille de Jean-Marie Le Pen, fait ses premiers pas en politique. Candidate du Front national aux élections régionales en Ile-de-France de mars 2010, elle était dimanche sur le marché de Poissy (Yvelines) au côté de la tête de liste du FN, Marie-Christine Arnautu. Agée de 19 ans, la jeune femme a été désignée en deuxième position sur la liste départementale dans les Yvelines. Sa mère, Yann Le Pen, est la fille cadette du président du FN et son père, Samuel Maréchal, fut longtemps l'un des cadres du parti avant le divorce du couple.

     

  • Immigration: les armes à l'école

    Le ministre de l’Intérieur, qui s’est déplacé hier au lycée Darius-Milhaud, a pris soin d’éviter l’effet d’annonce, rappelant au contraire qu’il n’y a pas de solution unique pour éviter que l’école devienne, de plus en plus, le théâtre d’actes violents. Des plans et mesures se sont succédé ces dernières années après chaque .

      

    Un policier à l’école. En Angleterre, certains collèges hébergent un « bobby » à plein-temps. Impensable en . Il a déjà fallu des années pour persuader le monde de l’enseignement de coopérer avec la police et la . Peu d’établissements ont souscrit au principe du référent police un policier qui intervient régulièrement à la demande , que Nicolas Sarkozy avait lancé dans les Hauts-de-Seine quand il présidait le département et qu’il a toujours voulu généraliser.

    Le portique. « Le » remède, jurait déjà Gilles de Robien dès 2006. A nouveau poussé l’an dernier par Nicolas Sarkozy et Xavier Darcos, alors ministre de l’Education, le détecteur de métaux ne fait pas école. Jugé absurde par les chefs d’établissements, qui relèvent qu’« aux Etats-Unis, on en est revenu ». « Imagine-t-on de faire venir les élèves à 6 heures du matin pour le cours de 8 heures ? Entre les compas dans les trousses et les piercings, ça sonnerait tout le temps ! » s’exclame-t-on au conseil régional d’Ile-de-France (PS), qui refuse d’investir dans l’achat de portiques pour ses lycées. Dans les Alpes-Maritimes, le conseil général (UMP) en a acquis trois cet été. Mais aucun collège n’en a réclamé.

    Les caméras. Impossible de savoir combien d’établissements sont, à ce jour, équipés de caméras de vidéosurveillance, qui ne peuvent être imposées par les régions ou les départements que pour l’extérieur. 58 % des lycées franciliens en sont pourvus. Les établissements commencent à en réclamer pour l’intérieur. Elles n’empêchent toutefois rien et permettent juste d’interpeller parfois les agresseurs après coup.

    La fouille. Pour éviter que le couteau ne voisine incognito avec la trousse au fond du cartable, Xavier Darcos voulait autoriser la fouille et habiliter les chefs d’établissement. Devant le refus des proviseurs, la mesure a été abandonnée.

    Les équipes mobiles de sécurité.
    Expérimentées l’an dernier dans l’académie de Créteil, ces brigades volantes de 20 à 50 personnes, pour moitié éducateurs ou profs et pour moitié policiers ou gendarmes auxiliaires, ont été généralisées en octobre. D’ici la fin de l’année, chaque académie doit avoir son équipe, susceptible d’intervenir en prévention ou en réaction à des violences.

    Le parisien - 10.01.10