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  • Béatrice Bourges : «J’en appelle à la résistance non-violente transgressive»

    Ecrit le 25 mai 2013 à 17:21 par Eric Martin

     
     

    Nouvelles de France a rencontré Béatrice Bourges, un des porte-voix du Printemps français, à la veille d’un gros rassemblement national pour la famille et contre la loi Taubira dans les rues de Paris.

    Béatrice Bourges

    Béatrice Bourges, comment réagissez-vous aux propos de Manuels Valls qui parle de faire interdire le Printemps français ?

    Le Printemps français étant un état d’esprit, je ne vois pas comment Manuel Valls peut l’interdire. En effet, il n’y a aucune association ni structure ni dirigeants ni organigrammes. Moi-même, je suis par exemple loin de connaître tout le monde au Printemps français… C’est d’ailleurs le principe de la résistance : même sous la torture, je ne pourrai rien dire, parce que j’ignore tout des membres du Printemps français si ce n’est qu’ils sont pacifiques et transgressifs. Autant dire que Manuel Valls ne pourra pas interdire ce vent d’espoir et de liberté qui souffle sur la France, à moins de supprimer la liberté d’expression. Je remarque que, depuis quelques jours, il semble perdre le contrôle de lui-même, c’est sans doute l’inquiétude de voir que le mouvement ne faiblit pas. Je lui conseille plutôt de se préoccuper des délinquants en banlieues et des trafiquants d’armes.

    Pensez-vous qu’il cherche à vous diaboliser ?

    Manuel Valls est dans la toute puissance et s’imagine sans doute au-dessus des lois. Ce genre d’annonces est, pour lui, un moyen de diaboliser le Printemps français. Soit il est courant du fait que nous sommes pacifiques et donne volontairement dans la désinformation – ce ne serait pas son premier mensonge – soit il est mal informé sur nous, ce qui pose la question de ses compétences. Je note que Manuel Valls a annoncé qu’il étudiait la dissolution du Printemps français le jour où nous manifestions devant le Grand Orient de France pour demander la vraie laïcité,  c’est-à-dire la séparation entre les loges (dont le Grand Orient) et l’État.Peut-être ses frères du Grand Orient lui ont-ils demandé de durcir le ton contre nous…

    « Je note que Manuel Valls a annoncé qu’il étudiait la dissolution du Printemps français le jour où nous manifestions devant le Grand Orient de France pour demander la vraie laïcité… »

    Quel est votre programme, ce dimanche ?

    Je manifeste au départ de la porte de Saint-Cloud puis rejoindrai les veilleurs avec qui je passerai la soirée. Notre mot d’ordre : la résistance non-violente transgressive. J’espère que Manuel Valls ne demandera pas à certaines de ses forces de l’ordre de semer le trouble et de provoquer les manifestants. S’il y a des incidents, il en sera tenu responsable car il est chargé de la sécurité des manifestants.

    Que pensez-vous des caprices de diva de Frigide Barjot de ces derniers jours ?

    Sa venue ou son absence est non-sujet. La Manif pour Tous ne lui appartient pas plus qu’elle ne m’appartient, tout le monde y a sa place à condition de respecter le mot d’ordre : « Non à la loi Taubira ! » Donc, si elle veut venir, elle vient, si elle ne veut pas venir, elle ne vient pas. Je souhaite beaucoup de courage à Ludovine (que je salue) et la félicite de n’avoir rien lâché malgré des pressions très fortes. Je tiens par contre à avertir les manifestants : Frigide Barjot dispose d’un service d’ordre personnel qu’elle appelle la Barjot Team, composé de 180 miliciens bottés et casqués, avec des matraques, pas formés donc dangereux. Et je m’interroge : Arrivera-t-on à les distinguer, demain, des forces de l’ordre ?

    Nouvelles de France

  • Rassemblement sur les Champs-Élysées ce samedi à 20h30

    Ecrit le 25 mai 2013 à 16:17 par Eric MartindansNos brèves

     
     

    Les Champs Élysées

    Un SMS circule beaucoup ce samedi après-midi :

    « TOUS AUX CHAMPS ce samedi soir ! Dès 20h30, on arrive de PARTOUT pour converger vers George V sur les Champs. Prenez de quoi faire la fête : on prépare le départ de Hollande. Facebook : http://onlr.org Twitter : #TousAuxChamps #FrançaisEnRévolte / La veillée de Montmartre n’est plus d’actualité »

    Ce rassemblement est pacifique et transgressif, c’est-à-dire non-déclaré.

    Nouvelles de France

  • Un militaire en tenue poignardé à La Défense, son agresseur en fuite

    Le Parisien révèle sur son site qu'un militaire en mission vigipirate a été poignardé avec un cutter à la gorge, à La Défense (Hauts-de-Seine), aujourd'hui en fin d'après-midi.

    Le militaire était en tenue, et l'agression a eu lieu devant le magasin Virgin. Le militaire a été soigné dans un local de la RATP. Selon le journal, l'agresseur présumé est en fuite.

    Les jours du soldat ne sont pas en danger.

    Le Figaro Flash Actu - 25/05/13

  • Manif du 26 mai: Manuel Valls tente de dissuader les manifestants de venir

    Posté le 25 mai 2013 à 17h56

     

    Alors qu'il sait pertinemment qu'il n'a pas affaire aux supporters du PSG et que les précédentes manifestations contre la loi Taubira se sont bien déroulées, le ministre de l'Intérieur tente de dramatiser la situation :

    "La vérité m'oblige à dire mon inquiétude" face aux "menaces de débordements de groupes extrémistes, je déconseille effectivement aux familles avec des enfants de se rendre à cette manifestation".

    Le gouvernement craint en fait un trop grand succès. C'est pourquoi Jean-Marc Ayrault a demandé à Jean-François Copé de ne pas manifester. La diabolisation bat son plein alors qu'il n'y a pas de raison que la manifestation se passe moins bien que les dernières fois.

    L'Elysée a tenu une réunion de crise sur ce thème. On menace d'interdire le Printemps Français alors que c'est un état d'esprit, à la fois pacifique et transgressif. Sur Nouvelles de France, Béatrice Bourges déclare :

    "Je manifeste au départ de la porte de Saint-Cloud puis rejoindrai les veilleurs avec qui je passerai la soirée. Notre mot d’ordre : la résistance non-violente transgressive. J’espère que Manuel Valls ne demandera pas à certaines de ses forces de l’ordre de semer le trouble et de provoquer les manifestants. S’il y a des incidents, il en sera tenu responsable car il est chargé de la sécurité des manifestants."

    Par ailleurs, il est fort probable que Frigide Barjot manifeste demain. Elle aurait prévu de manifester dans le cortège au départ d'Austerlitz. Selon Béatrice Bourges :

    "Je tiens par contre à avertir les manifestants : Frigide Barjot dispose d’un service d’ordre personnel qu’elle appelle la Barjot Team, composé de 180 miliciens bottés et casqués, avec des matraques, pas formés donc dangereux. Et je m’interroge : Arrivera-t-on à les distinguer, demain, des forces de l’ordre ?"

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Marseille capitale de la culture racaille : des arracheurs de colliers tentent de poignarder un policier

     

     
    Marseille / Publié le jeudi 23 mai 2013 à 21H45
     
     

    Il s'en est fallu de peu pour qu'un vol avec violences tourne au drame cet après-midi vers 15h30 aux abords du stade Vélodrome, sur le boulevard Michelet (Marseille 9e). Des fonctionnaires du Groupe de voie publique (Gvp) du secteur Sud ont d'abord remarqué plusieurs jeunes gens manifestement animés de mauvaises intentions. Quelques minutes plus tard, plusieurs se sont dirigés vers un homme de 40 ans. L'un d'eux a soudain tiré sur son collier en or et la victime s'est débattue. Voyant son complice en difficulté, un autre garçon a alors sorti un couteau pour menacer le quadragénaire. Il s'est de nouveau protégé et a tenté de s'emparer de l'arme blanche en se blessant assez gravement aux mains.

    Les policiers sont intervenus dans la foulée, mais les agresseurs ne se sont pas calmés. L'un d'eux a même tenté de donner un coup de couteau au fonctionnaire dans le dos. Ses collègues ont sorti leur arme pour éviter le drame. Toujours aussi déterminés, les voleurs ont encore résisté. Un des jeunes hommes a finalement été interpellé, mais un deuxième a réussi à prendre la fuite. Il a été appréhendé une heure trente plus tard par des ilotiers du 12e arrondissement. Les deux mis en cause, âgés de 17 et 18 ans sont actuellement en garde à vue.

    La Provence

  • Blog d'Alexandre Latsa: Guerre en Syrie: victoire de la realpolitik et défaite du mainstream médiatique?

     

    Alexandre Latsa

    12:39 22/05/2013
     
     

    Сe 22 mai 2013, l’armée Syrienne semble en passe de remporter une bataille locale importante, en reprenant le contrôle d’un des principaux bastions de l’opposition, la ville de Qousseir. Cette victoire militaire, qui devrait être confirmée dans les jours qui viennent, arriverait alors que l’Etat Syrien a repris le contrôle de plusieurs dizaines de localités ces dernières semaines.

    Cette chute de Qousseir, qui résiste au régime depuis plus d’un an, serait stratégique pour l’Etat Syrien et lui permettrait de couper la principale route d'approvisionnement des rebelles dans le centre de la Syrie. L’armée Syrienne devrait ensuite vraisemblablement concentrer ses forces sur Homs, ville que près de 80.000 chrétiens ont fui depuis le début de la guerre et ainsi plausiblement reprendre le contrôle du centre du pays.

    On peut imaginer qu'ensuite, le régime décide d’en finir avec Alep et lance un assaut décisif pour reprendre cette ville partiellement aux mains des rebelles, réduisant ainsi à néant toute possibilité pour ces derniers d’en faire un bastion du nord, pourquoi pas même la pré-capitale d’une région indépendante du nord. Le régime Syrien avait du reste lui-même qualifié la bataille d’Alep, qui a commencé en juillet 2012, de mère des batailles.

    Ce faisant, le régime resterait sur la tactique qui est la sienne depuis le début du conflit, c'est à dire garder le contrôle des villes et refouler les rebelles dans les campagnes, les empêchant ainsi d’exercer tout contrôle politique.

    Il semble donc bien que le gouvernement syrien reprend lentement l'avantage, une situation que la presse occidentale n’arrive même plus à maquiller, après avoir proclamé et martelé pendant deux ans et demi, depuis le début de la guerre civile, que la défaite d’Assad était évidente, certaine et toujours très proche. Cette situation remet de nouveau sur la table le projet de négociations internationales sur la question Syrienne.

    Toutefois, c'est une équation totalement nouvelle qui apparait pour ces éventuelles négociations internationales. L'image médiatique de l'opposition en Syrie s'est beaucoup dégradée, sans doute au grand dam de ses sponsors. On parle moins d'opposition démocratique, on décrit maintenant des groupes Djihadistes sans coordination, et les multiples vidéos de tortures et massacres commis par certains de ces groupes armés ont semble t-il considérablement porté atteinte à la détermination de nombre de pays occidentaux d’armer ces mêmes groupes.

    Peu à peu, une scission semble s’être en effet créée au sein des partisans du départ d’Assad, qui forment une étrange coalition entre des états occidentaux (Amérique, Israël et nations européennes) et des pays islamo-sunnites, Qatar en tête. Pour les premiers, l’absence d’une opposition politique modérée (laïque titrait même le New York Times) avec la rébellion qui n'arrive pas à contrôler le terrain, et ce malgré deux ans et demie de guerre, pose un réel problème de tactique diplomatique. Pour les seconds visiblement, la montée en puissance du Front Al-Nosra ne semble pas être un problème et l’organisation, qui a affirmé son rattachement a Al-Qaïda, vient d’ailleurs de faire des émules puisque l’opposition Syrienne comprend désormais également une brigade Oussama-Ben-Laden.

    Sur le terrain il est sans doute encore très prématuré de parler d’une potentielle victoire d’Assad, militaire ou politique, ou de dire que la Syrie ne se dirige pas vers une partition de fait. Mais sans intervention militaire étrangère, on imagine mal comment l’armée Syrienne, qui a désormais elle aussi le soutien de milliers de combattants étrangers (notamment du Hezbollah) ainsi que directement de l’Iran pourrait perdre cette guerre.

    Il y a même une hypothèse selon laquelle la guerre pourrait continuer, même en cas de départ ou d'élimination physique d’Assad, ce reportage d’un journaliste anglais tente de l’expliquer. Cette situation militaire redonne du poids à la position diplomatique russe qui depuis le début de la crise prône une solution politique. La plupart des états qui travaillent sur le dossier Syrien sont sans doute convaincus qu’une défaire militaire totale d’Assad semble de moins en moins probable, malgré les certitudes récentes du MAE Français Laurent Fabius qui n’en finit plus de ridiculiser la diplomatie française durant ce conflit.

    Il reste l'idée d'une intervention militaire sur le scénario Libyen, mais visiblement ce n’est plus a l’ordre du jour et cette fois la diplomatie Russe ne la laisserait pas se mettre en place. La solution diplomatique et politique semble prendre forme puisque des sources diplomatique affirment que Damas a désigné des représentants chargés de négocier avec l'opposition en vue d’une conférence sous égide Russo-américaine devant faire suite à celle qui s'est tenue le 30 juin 2012 à Genève.

    Finalement, le conflit syrien qui était présenté comme une lutte de démocrates contre une dictature a complètement changé de visage. Ce délire absolu du mainstream médiatique français, qui a lui par contre totalement perdu cette guerre, ne tient plus aujourd’hui et on voit désormais bien qu'il s'agit d'une guerre stratégique contre l’Etat Syrien, soutenue de l’extérieur, pour que l’axe Chiite (Liban-Syrie-Iran-Sud de l'Irak) perde son influence régionale.

    La guerre en Syrie pourrait donc faire apparaitre des réalités inattendues: Marquer le point d’arrêt définitif du printemps islamiste que la région connaît? Faire échouer la politique anti-chiite développée par les Occidentaux en collaboration avec leurs alliés sunnites? Confirmer le statut de la Russie comme protectrice des chrétiens d’Orient et des minorités en Syrie, en lieu et place de l’Europe?

  • Censure: CRISTIADA, le film à sucès américain que vous ne verrez pas en France

    Bande-annonce (sous-titres français appproximatifs...)

    • Publié le : vendredi 24 mai 2013
    • Source : ndf.fr

    • Vous ne verrez pas en France le film américano-mexicain Cristiada, sorti en 2012. C’est pourtant une production à succès aux États-Unis, au Mexique et dans les pays où la censure socialiste franc-maçonne ne s’exerce pas ou s’exerce avec moins de rigueur qu’en France.

    Son metteur en scène Dean Wright et des acteurs renommés, comme Andy Garcia qui joue le rôle principal , ainsi que la manière « américaine » dont il a été tourné, avec des simplifications, des libertés prises pour les besoins du film par rapport à la véritable histoire des Cristeros et des scènes de bataille très bien faites, en font un succès commercial garanti pour les salles de cinéma. Le problème, c’est que le film Cristiada raconte l’histoire vraie du Mexique des années 1920 dirigé après la révolution mexicaine par un président et un gouvernement socialistes et franc-maçons, élus démocratiquement mais dont le laïcisme forcené a plongé le pays dans la guerre civile et a fait du Mexique un pays où les libertés religieuses étaient jusqu’à récemment encore très restreintes.

    La révolte de ces Cristeros mexicains dont le cri de guerre était Viva Cristo Rey !Vive Christ Roi ! ») a duré de 1926 à 1929. La constitution mexicaine issue de la révolution de 1910-17 interdisait à l’Église catholique de gérer des écoles primaires et de dispenser des cours de catéchisme. Elle délégalisait tous les ordres religieux et interdisait toute cérémonie en dehors des édifices religieux. Elle a également imposé la nationalisation de tous les biens de l’Église. En 1934, elle a encore été amendée pour imposer dans les écoles une éducation socialiste libre de toute référence à la religion. Dans les années 1920, le pays était dirigé par le président Plutarco Elías Calles, fondateur du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI), qui a régné sur le pays sans interruption de 1929 à 2000.

    Le président Calles, socialiste et franc-maçon, était connu pour son athéisme et son anticatholicisme virulents. Après avoir remporté les élections de 1924, il a mis à exécution de manière très stricte la constitution de 1917 et notamment son point qui prévoyait la suppression de la personnalité morale de l’Église catholique mexicaine, l’interdiction aux prêtres et religieux de voter et d’exprimer des opinions critiques contre les décisions du gouvernement et des tribunaux, la réduction du nombre de prêtres par décision administrative des gouverneurs des États de la fédération mexicaine, l’expulsion de tous les prêtres étrangers et la fermeture des dernières écoles catholiques.

    Après une période d’opposition démocratique et pacifique, avec notamment une pétition en faveur d’une réforme de la constitution qui a réuni deux millions de signatures mais qui a été traitée par le mépris, puis le refus par les catholiques de payer leurs impôts et le boycott des produits et services gérés par l’État, et devant la violence croissante des répressions, les catholiques mexicains ont fini par prendre les armes. La révolte s’est rapidement étendue à l’ensemble du pays et le gouvernement mexicain a réagi par l’assassinat de nombreux prêtres et par des exécutions publiques d’opposants. Si un accord a été trouvé en 1929, les restrictions contre l’exercice de la religion sont restées telles que les catholiques ont à nouveau pris les armes dans les années 30 pour défendre leurs libertés fondamentales. Ces restrictions sont en grande partie restées en vigueur jusqu’à la fin du XXe siècle et aujourd’hui, alors que les libertés religieuses sont de plus en plus attaquées en Europe, il n’est pas étonnant que, comme au Mexique où le sujet de la révolte des Cristeros était passé sous silence, ce film fasse l’objet d’une censure qui ne dit pas son nom.

    Alors que le gouvernement français, dans lequel les loges franc-maçonnes exercent un pouvoir parallèle qui échappe au peuple, affiche son mépris pour les valeurs traditionnelles et pour les catholiques et que le ministre de l’Éducation ne cache pas son projet de transformer la République en instrumentalisant l’école au profit d’une idéologie, alors que la Grande-Bretagne a de fait interdit à l’Église catholique de gérer des centres d’adoption et pourrait bientôt engager des répressions contre les institutions religieuses qui refuseront de célébrer les « mariages » homosexuels, alors que l’Allemagne met en prison des parents qui refusent que leurs enfants assistent à des cours d’éducation sexuelle teintés d’idéologie du genre, l’histoire de la révolte des Cristeros au Mexique nous rappelle qu’il existe aussi un intégrisme laïque, un socialisme théoriquement démocratique qui s’inspire à la fois de la Révolution française et du socialisme bolchevique et qui n’a pas renoncé à transformer la société en faisant violence à la nature humaine, une idéologie somme toute réactionnaire puisqu’elle nous est resservie de manière récurrente à différentes sauces depuis la fin du XVIIIe siècle.

    La censure qui entoure ce film comme celle qui entoure d’autres films et toutes sortes d’informations boycottées par l’ensemble des médias mainstream français pose aussi la question du degré réel de démocratie en France et du caractère centralisé ou spontané du grand lavage de cerveaux national et européen. Peut-être serait-il aussi temps de s’interroger, un siècle après la séparation de l’Église et de l’État, sur la séparation de la franc-maçonnerie et de l’État. Comment se fait-il en effet que des ministres et des hauts fonctionnaires puissent être plus ou moins secrètement membres d’organisations parallèles qui ressemblent fort à des sectes ? Qui est aujourd’hui capable de nous dire quelle est l’influence réelle des loges franc-maçonnes sur le pouvoir politique, judiciaire, médiatique et économique ? Dans le Mexique des années 1920, leur rôle liberticide et antidémocratique est aujourd’hui avéré, même si le film Cristiada n’y fait pas allusion. Qu’en est-il de la France des années 2010 ?

    E&R

     

  • Manifestation contre la loi Taubira devant le siège du Grand Orient ce vendredi

     

    Manifestation contre la loi Taubira devant le siège du Grand Orient ce vendredi

    Dénonçant « les promoteurs » de la loi Taubira et le fait que « la proportion de francs-maçons au sein du gouvernement actuel et des précédents porte atteinte au principe de laïcité et instaure un nouveau communautarisme », le Printemps français et le Collectif des avocats contre la répression policière et idéologique appellent à un rassemblement (déclaré en Préfecture) de protestation devant le siège du Grand Orient de France, 9 rue Cadet (IXe arrondissement de Paris), vendredi 24 mai 2013 à partir de 19h.

    Nouvelles de France - 24/05/13

  • Meurtre de Londres: itinéraire d'un converti à l'islam "radical"

    http://www.bfmtv.com/international/soldat-tue-a-londres-itineraire-dun-converti-a-lislam-radical-522370.html

    + VIDEO

  • Le Printemps français n'est pas un groupuscule mais un état d'esprit, un vent de liberté

    La porte-parole du mouvement Printemps français, Béatrice Bourges, réagit, sur BFMTV, à la déclaration du ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, ce vendredi matin, sur "l'étude d'une interdiction" du groupe d'opposition au mariage homosexuel. 

    24/05/13

     
     
  • Manuel Valls a demandé à la DCRI de surveiller les militaires opposés au mariage gay

     sans-titre.png Valls.png

    Le Canard Enchaîné affirme dans son édition du 22 mai 2013, que deux enquêtes sont actuellement en cours au sein des armées, qui visent essentiellement ceux qui voient d’un œil favorable le mouvement de la “Manif pour tous”.

    “Troublé par le nombre d’enfants d’officiers parmi les jeunes interpellés”, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, “a demandé à la DCRI de s’informer sur ce que ces ‘agités’ (sic) manigançaient”, écrit le Canard Enchaîné.

    L’autre enquête a été confiée à la DPSD (Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense) afin de “repérer les meneurs au sein de l’Institution” militaire.

    "L’activisme des militaires antigays a été jugé assez sérieux pour que le gouvernement ordonne deux enquêtes", affirme le journal satirique.

    L’objectif serait de surveiller les militaires ayant des liens avec l’Institut Civitas, une organisation catholique proche de l’extrême-droite et qui se veut aussi être un mouvement politique (4 officiers généraux en 2e section siègent à son conseil d’administration) ou encore avec le Bloc Identitaire.

    Sources : Canard Enchaîné / Opex360 / Le Journal du Siècle  - 23/05/13

     

  • La Chirac coache NKM pour gagner la mairie de Paris

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    Nathalie Kosciusko-Morizet a reçu mardi un soutien inattendu : celui de Bernadette Chirac. L'épouse de l'ancien chef de l'État s'est posée en soutien et conseillère de la candidate à la mairie de Paris.

     
     

    «Je suis sûre qu'on gagnera, Nathalie est la meilleure, elle a toutes les qualités!» Au premier étage du café de la Comète, rue des Archives, en face du BHV et à deux pas de l'hôtel de ville, Bernadette Chirac est venue mardi soir défendre la candidature de Nathalie Kosciusko-Morizet pour les municipales de 2014.

    Marinière et foulard de soie sous une veste bleu marine, l'épouse de l'ancien chef d'État qui fut maire de Paris entre 1977 et 1995 s'est montrée généreuse en conseils et anecdotes, à l'attention de celle qui vient tout juste de fêter ses quarante ans, et de l'assemblée de militants, plutôt âgés pour l'occasion, entassés dans quelques mètres carrés. «J'ai bien connu ses grands-parents, des gens charmants. Son grand-père, l'ancien diplomate, Jacques Kosciusko-Morizet, a beaucoup aidé mon mari», leur a-t-elle glissé, sur un ton rassurant au sujet de l'ascendance de NKM, dont elle a loué le physique et l'intelligence…

    La conseillère générale de Corrèze a insisté sur l'importance d'une campagne de proximité pour emporter la mairie, donnant l'exemple de son mari: «Il faut être tenace, déterminé, montrer qu'on gagnera, tenir le langage du cœur!»

    «Savoir caresser les bêtes»

    À la grande joie de son auditoire, elle est repartie jusqu'aux plus anciennes campagnes en Corrèze, racontant combien François Hollande avait appris en observant son mari. «Il s'était présenté aux législatives en Haute-Corrèze et il ne savait pas bien comment toucher les propriétaires des bêtes! C'est qu'il faut savoir avoir de la gentillesse, connaître un peu l'affaire, savoir caresser les bêtes, leur dire des choses gentilles… On voyait bien qu'il n'avait jamais fait ça. Quelle rigolade!»

    «Quand on veut gagner, a-t-elle martelé, il faut montrer aux gens qu'on va gagner». Et «savoir monter les étages» pour faire du porte-à-porte. Bernadette Chirac a promis qu'elle-même irait «sonner aux portes» pour soutenir NKM face à la candidate «là, aux cheveux noirs, madame… Comment s'appelle-t-elle déjà… Anne Hidalgo, oui, c'est ça».

    Le Figaro - 24/05/13

    NdB: Ce monde-là sent le rance, le moisi, il pue au nez !

     

     

  • Manif pour tous: Valls veut interdire le Printemps français

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    Ce mouvement d'extrême droite prône la haine, dénonce le ministre de l'Intérieur. Selon lui, l'égérie de la Manif pour tous, Frigide Barjot, protégée par la police, n'est pas la seule personne menacée.

     
     

    La Manif pour tous du 26 mai mobilise plus que jamais le ministère de l'Intérieur. Alors que la place Beauvau tente d'évaluer le nombre de manifestants, qui pourrait varier de 300.000 à plus de 500.000, selon les estimations, Manuel Valls envisage des mesures radicales pour briser la dynamique des mouvements d'extrême droite qui gravitent autour de ce rassemblement.

    Dans le colimateur du premier flic de France: le Printemps français, cette nébuleuse d'opposants au mariage homosexuel qui appelle à des opérations coups de poing contre la loi Taubira, et qu'il envisage d'interdire, purement et simplement, comme fut interdit, en son temps, le FLNC en Corse, ou plus tard l'Elsass Korps, mouvement néonazi alsacien, prohibé le 18 mai 2005. «Nous allons l'étudier parce que ces propos sont inacceptables», a déclaré le ministre, sur France Info ce vendredi, interrogé sur un communiqué virulent du Printemps français.

    Un communiqué menaçant

    Dans ce texte publié le 21 mai, le groupe appelle en effet à «une nouvelle résistance» face à une loi qui irait «contre les lois de la biologie et contre tout sens commun». «La France est actuellement soumise à des forces qui veulent l'asservir entièrement. La bataille ne fait que commencer. Elle se prolongera jusqu'à la victoire», peut-on encore lire.

    Pour le ministre, ces menaces sont inacceptables. «Il n'y a pas de place pour des groupes qui défient la République, la démocratie et qui s'attaquent aussi à des individus», a-t-il déclaré. Manuel Valls a également fait état de «menaces de mort» et a exprimé son «inquiétude car des groupes radicaux d'extrême droite veulent venir en nombre» à la manifestation de dimanche contre le mariage homosexuel, «non pour manifester mais pour créer l'affrontement et le désordre et pour s'en prendre aux symboles de la République, une République que ces groupes d'extrême droite haïssent», a ajouté Manuel Valls.

     

    Toute activité illicite d'une organisation faisant l'objet d'une interdiction entrerait alors dans le champ de la police antiterroriste et des magistrats parisiens du pôle spécialisé dans la répression des mouvements subversifs, notamment contre les atteintes à la sûreté de l'État. «Ce serait un outil très efficace pour mettre fin aux débordements de ces groupuscules», explique un juge de la structure centralisée antiterroriste.

    Porte-parole du Printemps français, Béatrice Bourges s'est dite «sidérée par les propos de Manuel Valls» et se demande «ce que le ministre de l'Intérieur veut interdire puisque le Printemps français, c'est plus un esprit qu'autre chose. Le mouvement n'a même pas de statut». Si une telle démarche devait être entreprise contre son mouvement, «cela ne fera que le renforcer car cela prouve que nous entrons vraiment en dictature».

    Deux policiers protègent Barjot

    Dans le sillage du Printemps français, le groupe d'extrême droite des Jeunesses nationalistes appelle à participer au défilé de dimanche pour dire «non à tout un système», un «système qu'il faut abattre». «Il est plus que temps de choisir son camp: celui du système, ou celui de la patrie», écrit Alexandre Gabriac, leader de ce groupe.

    Le ministre de l'Intérieur a mis en garde, ce vendredi: «Il y a plusieurs personnalités qui reçoivent des menaces depuis des semaines. À la fois ceux qui sont favorables au mariage pour tous et depuis quelques jours nous constatons qu'un certain nombre de personnes comme Frigide Barjot reçoivent des menaces». Selon lui, «il faut agir et des menaces de mort et des menaces de ce type sont passibles de la justice. Et la justice va devoir agir parce que c'est intolérable que dans la République il puisse y avoir ces messages de haine.»

    La figure de proue des anti-mariage homo, Frigide Barjot, est menacée au premier chef. Elle déclare hésiter à prendre part à la manifestation de dimanche pour cette raison. À la demande de Manuel Valls, deux policiers la protègent désormais au quotidien. Elle devrait annoncer sa décision vendredi midi au Mur de la Paix situé sur le Champs de Mars, à Paris.

    Le Figaro - 24/05/13

  • Un prêtre franc-maçon démis de ses fonctions par le Vatican

    sans-titre.png curé de Megève.png

    Pascal Vesin, curé de la paroisse de Megève

     Communiqué du diocèse d'Annecy :

    "Au motif de son appartenance active à une loge maçonnique, un prêtre du diocèse est démis de ses fonctions par Mgr Yves Boivineau, évêque d’Annecy, sur la demande de Rome. En effet, malgré l’incompatibilité des principes sur le plan de la foi et de ses exigences morales, le prêtre concerné, curé d’une paroisse sur le diocèse d’Annecy, est adhérent d’une loge du Grand Orient de France depuis 2001."

    Sur cette incompatibilité, on relira cette note du cardinal Ratzinger, ainsi que ces réflexions.

    Comme la maçonnerie va ruer dans les brancards, vous pouvez soutenir Mgr Boivineau en lui écrivant à eveque@diocese-annecy.fr

    On en sait un peu plus dans cet article :

    "A la demande du Vatican, l’évêque d’Annecy Yves Boivineau a démis de ses fonctions le curé de la paroisse de Megève, en Haute-Savoie. L’Eglise reproche au prêtre, le père Pascal Vesin, son appartenance à la franc-maçonnerie. Il aurait été initié en 2001 dans une loge du Grand Orient de France (GO). Or, pour Rome, une telle double appartenance, quelle que soit l’obédience maçonnique choisie, est impossible.

    Selon nos informations, le prêtre a été officiellement informé de la décision dans la journée de jeudi, au cours d’un entretien avec Mgr Boivineau. Ce vendredi soir, le vicaire général du diocèse (le bras droit de l’évêque) s’est rendu à Megève pour informer le conseil paroissial de la sanction. Il doit également assurer les messes du week-end, pour expliquer la situation aux fidèles du village et des communes alentours, qui relèvent de la même paroisse.

    Dans un communiqué qui doit être rendu public ce samedi à la mi-journée, le diocèse d’Annecy assure avoir été informé de la situation dès 2010 « par un courrier anonyme ». Le père Vesin aurait alors nié. Mais, toujours selon les termes du communiqué, il aurait été « confondu » en 2011, dans des circonstances qui ne sont pas révélées. « Il lui a alors été demandé de de quitter la franc-maçonnerie pour se consacrer à son ministère de prêtre ». Une demande à laquelle le curé de Megève a opposé sa « liberté absolue de conscience ».

    Selon l’évêque, le dialogue s’est toutefois poursuivi en accord avec Rome, non sans que le père Vésin n’ait été informé de la sanction encourue. Parvenu à ce point, le dossier ne pouvait pas laisser le Vatican inactif. En mars dernier, c’est la Congrégation pour la doctrine de la foi – la descendante de l’Inquisition -, qui se saisit du dossier : elle exige le départ du prêtre. Dans l’intervalle, trois prêtres du diocèse sont chargés de rencontrer leur confrère pour une ultime démarche. Elle tournera court. L’Eglise n’entend pas transiger. Le prêtre ne veut pas renoncer. Il sera démis.

    Dans son communiqué, le diocèse souligne toutefois que « la peine dite « médicinale » peut être levée » si le père Vesin venait à « manifester clairement sa décision de revenir vers l’Eglise ». A Megève, les prises de position progressistes du père Vesin (sur le mariage des prêtres, la défense de la laïcité, le port du préservatif ou le refus de laisser afficher les tracts anti-mariage gay) ne laissaient pas indifférent. [...]"

    Posté le 24 mai 2013 à 12h34 par Michel Janva

    Le Salon Beige

     

  • Pour le Bloc Identitaire “La famille c’est notre identité : tous à Paris le 26 mai !”

     

    23 mai 2013

    Pour le Bloc Identitaire <i>“La famille c’est notre identité : tous à Paris le 26 mai !”</i>
     
     

    23/05/2013 – 16h15
    PARIS (NOVOpress) –
    Dans un communiqué du 22 mai, intitulé “La famille c’est notre identité : tous à Paris le 26 mai !”, le Bloc Identitaire “après la promulgation-éclair de la loi Taubira, face au déni de démocratie dont se rend coupable le pouvoir”, appelle “ses adhérents et sympathisants à participer massivement à la grande Manif pour Tous du dimanche 26 mai à Paris.”

     

    Les Identitaires rappellent que le “mariage pour tous” a été voulu par “quelques apprentis-sorciers provocateurs et minoritaires en France” et qu’il “introduit une véritable rupture anthropologique”.

    Le communiqué signale que les Identitaires étaient présents lors de chaque grande manifestation parisienne, lors les rassemblements dans les régions et lors des actions parallèles de toutes formes menées sur le terrain, “pour dénoncer cette loi folle et ses promoteurs agressifs – animés par la haine de la France et de ses traditions.”

    Cette publication conclut “Le 26 mai, tous à Paris pour défendre la famille et notre identité : c’est devant notre nombre et notre détermination qu’ils céderont ! On ne les lâchera pas !”

    Crédit photo : DR.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Alain Soral à propos de la mort de Dominique Venner

     

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier

     

    En ces temps de fausses rébellions et d’indignés en peau de lapin, que vous inspire le suicide de Dominique Venner qui, c’est le moins qu’on puisse dire, aura mis sa peau au bout de ses idées ?

    D’abord, contrairement aux petites ordures de gauche de l’entourage de Mélenchon qui se réjouissent, par exemple, de la chute et de la blessure de Marine Le Pen, je n’aime pas trop rire ni ironiser sur la souffrance réelle d’autrui. Pour moi, la fin ne justifie pas les moyens… Vous imaginez donc bien que le suicide romain – qui nous rappelle l’acte d’un Mishima – d’un homme de conviction, même si ses convictions n’étaient pas tout à fait les miennes, m’inspire le plus grand respect. Ce sont les actes qui permettent de juger les hommes, et on n’imagine pas, malheureusement, un Daniel Cohn-Bendit se faire hara-kiri pour expier quarante ans de mensonges et de trahison politique !

    Manifestement, Dominique Venner entendait provoquer un électrochoc au sein de la population. Croyez-vous qu’un pareil déclic puisse advenir et présenter une éventuelle efficacité politique ?

    Malheureusement, non. Dominique Venner représentait une génération d’hommes et un combat des années soixante que peu de gens peuvent comprendre aujourd’hui, et ce d’autant plus que les médias nous abreuvent d’informations mondiales et spectaculaires de tous ordres – politiques et météorologiques – afin que plus rien n’ait de sens et que tout soit très vite oublié…

    Le geste de Dominique Venner ne sera donc compris que par le petit nombre des gens conscients qui ont déjà compris. Les autres, l’immense majorité des soumis, n’y verront que « le bon débarras d’un vieux con d’extrême droite » et sont déjà passés à autre chose…

    Dans votre mouvement, Égalité et Réconciliation, vous menez un combat politique qu’on peut donner pour « parallèle » à celui naguère conduit par le défunt. Lui estimait manifestement que tout était peu ou prou foutu. Êtes-vous sensible à ce « romantisme du désespoir », ou vous placez-vous dans une optique plus « optimiste » ?

    Comme Dominique Venner le disait lui-même, « être c’est vouloir » : l’histoire, qui est une totalité en cours, ne s’arrête par définition jamais, et la notion de « fin de l’histoire », qu’elle soit de gauche (avec l’illusion communiste du marxisme scientifique) ou de droite (avec la naïve arrogance d’un libéralisme intégral à la Fukuyama) n’a pour moi aucun sens. Venner a décidé, par son geste, à la fois de sortir de l’histoire – le combat – et d’entrer dans l’histoire, par le parachèvement de son œuvre, sans doute parce qu’il était fatigué et que le monde qu’il avait chéri et qui l’avait fait, avait, c’est vrai, totalement disparu…

    Moi, je suis un Français de la banlieue des années soixante, mes nostalgies, mes valeurs, mes craintes et mes espoirs ne sont donc pas les mêmes, même si je partage une bonne part de son constat sur la France… Je n’ai donc le droit, à mon âge, ni au repos ni au désespoir !

    Et, pour être fidèle à cette même idée qu’il avait fait sienne de la vie pour le combat et l’honneur, je me dois de continuer le mien avec des compagnons de route que lui-même, à cause de son âge et de son parcours, ne pouvait apprécier ni comprendre… Je pense, vous l’aurez deviné, entre autres à Dieudonné, un combattant pour moi tout aussi respectable que Dominique Venner, et de la même trempe, mais que Dominique Venner, pour des raisons de génération, ne pouvait pas rejoindre. Le combat continue donc, toujours le même, toujours différent, toujours recommencé…

    Paix à son âme et bien à vous,

    Alain Soral, le 23 mai 2013

    E&R

  • Une enseignante utilise une croix gammée en cours de géométrie: elle est convoquée "pour explications"

    Une enseignante de l'école primaire Landier à Saint-Clément-de-Rivière (Hérault), qui a utilisé une croix gammée en cours de géométrie, va être convoquée "pour explications", a-t-on appris jeudi auprès de l'inspecteur d'académie Philippe Wuillamer.

     Vendredi, après l'exposé de deux élèves sur la Seconde Guerre mondiale pendant lequel les enfants avaient montré une croix gammée symbole de l'hitlérisme, cette enseignante avait demandé à ses camarades de reprendre cette croix dans le cadre du cours de géométrie, a expliqué le directeur académique de l'Herault. Puis, se rendant compte que ce n'était pas une bonne idée, l'enseignante avait fait le tour de la classe pour récupérer les feuilles de dessin, a ajouté l'inspecteur d'académie.

    Des parents, informés par leur enfant, se sont beaucoup émus de l'utilisation de cette croix par cette enseignante qui assurait les cours une fois par semaine, pendant la journée de délégation de la directrice de l'établissement.

    BFMTV - 23/05/13

    Lire: http://fr.wikipedia.org/wiki/Svastika