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Blog - Page 1678

  • Christian Karembeu ne s'est jamais senti "français"

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    La haine de la France...

    Christian Karembeu, interrogé par le quotidien aubois L’est-éclair sur son refus de chanter la Marseillaise quand il jouait encore dans l’Equipe de France, a répondu : « On a dit beaucoup de choses. Vous savez la Marseillaise, je l’ai chantée et je l’ai apprise tout petit. Mon père était enseignant et en Nouvelle-Calédonie, nous apprenions très tôt, l’histoire de nos ancêtres les Gaulois.

    Mais moi quand je me regarde dans une glace, mes ancêtres, ce ne sont pas les Gaulois. Mes ancêtres, c’est un peuple qui a souffert pour obtenir sa liberté. Pour en revenir au chant de la Marseillaise lors des matches internationaux, nous voulions ainsi rétorquer à Jean-Marie Le Pen qui trouvait qu’il y avait trop de Noirs dans l’équipe de France. C’était une récupération politique. Pour nous, le sport n’a pas de couleur, ni pour les hommes, ni pour les idées… »

     Il avait notamment déclaré dans le passé : « Je ne me suis jamais senti français, je suis de Nouvelle-Calédonie, je ne comprends pas pourquoi mon pays n’est pas une nation indépendante, je ne joue avec la France que parce que c’est une vitrine, pour que le monde connaisse mon peuple et ses problèmes. »

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Kanak#.C3.89tymologie

    NPI - 03.12.09

  • Hazoumé, le sous-préfet de Haute-Savoie, placé en garde à vue: "c'est une cabale!"

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    Jean-Yves Hazoumé puise ses racines au Bénin
    Jean-Yves Hazoumé au cœur d’une enquête pour « détournement de fonds publics » à La Réunion alors qu’il était directeur départemental de la protection judiciaire de la jeunesse de mars 2004 à septembre 2006 a été placé en garde à vue au commissariat d’Annecy. Après 28 heures passées dans les locaux de la police, il en est ressorti libre.

    Nous apprenons par ailleurs, que Jean-Yves Hazoumé doit prochainement intégrer le ministère de l’Immigration.

    NPI - 03.12.09

  • VIDEO - Régionales - Marine Le Pen et Fabienne Keller (UMP)

    http://www.dailymotion.com/video/xbd1w7_marine-le-pen-sur-lcp-3122009_news

    3 décembre 2009

  • Un couple de Français vivaient depuis un an dans les toilettes publiques de Menton - Le préfet vient de le reloger provisoirement

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Ils ont une vue imprenable sur l'une des plus belles plages de la Côte... Depuis les toilettes publiques où ils vivent depuis un an.

    Marie, 62 ans, et Jeannot Rolin, 69 ans, cherchent à faire bonne figure au moment où ils nous font visiter leur « home sweet home ». Marie est un petit bout de femme à l'oeil pétillant. Elle est presque fière de montrer les toilettes qu'elle gère depuis douze ans à Menton, face à la plage des Sablettes. Il faut dire qu'elle en passe des heures, chaque jour, à rendre le lieu d'une propreté irréprochable. Des toilettes qui accueillent chaque été des milliers de touristes jusqu'à parfois tard dans la nuit : « Nous pouvons sortir nos affaires seulement une fois que tout le monde est parti. Mais je ne vous dis pas l'odeur. Les gens sont d'une saleté incroyable, surtout quand ils ne sont pas chez eux ».

    Son fils est assassiné et son mari amputé

    Marie est désormais chez elle dans ces toilettes après une succession d'événements dramatiques qui feraient passer Cosette pour une reine de la chance.

    Il y a deux ans, le meurtre de son fils avait défrayé la chronique. Cantonnier à Beausoleil, il a été poignardé à 33 reprises dans une cave. Un voisin a été interpellé et l'affaire passera aux assises en décembre prochain.

    Son mari, Jeannot, a vu son état de santé et plus particulièrement son diabète s'aggraver après cette horrible histoire. Et l'an dernier, il a dû être amputé d'une jambe. Le début de la descente aux enfers.

    Durant son séjour à l'hôpital, son propriétaire en a profité pour récupérer pour sa famille le logement que le couple occupait dans la vieille ville de Menton. Une habitation devenue de toute façon inaccessible à Jeannot qui se déplace avec une prothèse.

    Il ne restait plus qu'une solution aux deux seniors, vivre sur le lieu de travail de Marie : « J'ai passé des journées entières à tout récurer pour essayer de faire partir les odeurs d'urine qui persistent un peu de toute façon. Et nous avons aménagé une pièce où étaient entreposés les produits ménagers pour que Jeannot puisse dormir. Moi, je me débrouille avec un lit de camp dans une espèce de petite cuisine que nous avons aménagée. »

    Cuisine est un bien grand mot pour cette minuscule pièce à l'installation électrique obsolète et sans chauffage. « Nous sortons un petit poêle de secours quand les toilettes sont fermées », explique avec fatalisme Marie.

    Une femme dont le courage est admiré par les quelques rares bonnes âmes qui essayent de les épauler : « L'an dernier, raconte Sylvie, une amie qui les assiste dans les démarches administratives, il y a eu de fortes pluies et une canalisation d'égout s'est cassée. Toute l'eau nauséabonde a déferlé dans les toilettes. Marie, sans broncher, a épongé trois jours et trois nuits durant. Sans que personne lui vienne en aide. »

    Des promesses, que des promesses

    Une femme aussi courageuse que dépassée par les événements : « Nous avons fait des demandes de logements, mais c'est bien compliqué. Pourtant, nous gagnons environ 1 000 euros par mois et nous pourrions payer un loyer modéré. »

    Sa fille, Christine, est d'autant plus inquiète que sa mère sera à la retraite dans deux ans : « J'ai vraiment peur qu'ils finissent à la rue. Il faut vraiment que quelqu'un se bouge », se désespère-t-elle.

    Mais au final, personne ne semble réellement savoir comment, à quelques mètres d'une plage où l'insouciance et la richesse de la Côte d'Azur s'exposent au soleil, Marie et Jeannot peuvent vivre dans de telles conditions au vu et au su de tous. Personne, sauf Marie dont l'oeil pétillant est devenu espiègle : « Si vous saviez combien de fois, nous avons entendu " Oui, oui, on va vous aider ". Mais les paroles s'envolent et nous, on reste là. »

    Olivier Poisson -Nice-Matin - 02.12.09 

    Le préfet des Alpes-Maritimes, Francis Lamy, a décidé aujourd'hui de reloger immédiatement un couple de sexagénaires qui vivait depuis un an dans des toilettes publiques sur une plage de Menton, sur la Côte d'Azur.

    "Dès ce soir, ce couple sera logé dans une chambre d'hôtel. Il pourra être installé dès demain dans un appartement en rez-de-chaussée mobilisé par une association à la demande de la Ddass", a annoncé la préfecture dans un communiqué.

     Le couple attendra, dans l'appartement de l'association, qu'un "logement définitif lui soit proposé, avant la fin de l'année", a précisé la préfecture.

    La situation de Marie et Jeannot Rolin, 62 et 69 ans, qui, une fois terminée la saison estivale, vivaient dans les toilettes de la plage des Sablettes, entre une douche et un WC, avait attiré l'attention des médias.

    Marie Rolin gère ces toilettes publiques depuis douze ans. Après avoir perdu son logement, le couple avait décidé de s'installer sur son lieu de travail.
    "J'ai passé des journées entières à tout récurer pour essayer de faire partir les odeurs d'urine qui persistent un peu de toute façon. Et nous avons aménagé une pièce où étaient entreposés les produits ménagers pour que Jeannot puisse dormir. Moi, je me débrouille avec un lit de camp dans une espèce de petite cuisine que nous avons aménagée", avait expliqué Marie Rolin à Nice-Matin.

    Le Figaro - 03.12.09

  • Longuet et Pancher pour la suspension du maire de Gussainville

    Gérard Longuet, patron des sénateurs UMP et président de la fédération UMP de la Meuse, et Bernard Pancher, député UMP du département, ont réclamé jeudi la suspension du parti présidentiel du maire de Gussainville (Meuse), André Valentin, après ses propos sur l'immigration.

    AFP - le 03 décembre 2009, 18h06

    MM. Pancher et Longuet se disent, dans un communiqué, "profondément choqués par les propos tenus sur l'immigration par André Valentin lors du débat sur la question de l'identité nationale, tenu à Verdun" lundi.

    Ils ont demandé au bureau départemental UMP de la Meuse de "se réunir ces prochains jours en vue de suspendre ce militant du mouvement, conformément aux statuts de l'UMP, et d'engager une procédure visant à sa radiation".

    M. Valentin s'est défendu jeudi d'avoir tenu à Verdun des propos "xénophobes" en marge du premier débat en région sur l'identité nationale. "Je ne suis ni raciste ni xénophobe", a-t-il déclaré au téléphone à l'AFP.

    "Lorsque j'ai parlé de "dix millions que l'on paye à rien foutre", je faisais référence aux chômeurs, au Rmistes et aux retraités qui, pour certains, vivent avec moins de 500 euros par mois", a ajouté M. Valentin, 77 ans et maire depuis 2002 de sa commune de 40 habitants.

    Interrogé lundi par RTL et France 2 sur l'opportunité d'organiser un débat sur l'identité nationale, l'élu l'avait jugé "indispensable" avant de déclarer: "Il est temps qu'on réagisse parce qu'on va se faire bouffer".

    "Par qui?", lui avait alors demandé un journaliste. "Y'en a déjà dix millions, dix millions que l'on paye à rien foutre". Et lorsqu'on avait demandé à l'élu s'il pensait qu'il "y a trop d'immigrés", il avait précisé : "Sérieusement, je le crois".

    Le Matin Ch - 03.12.09

  • Besson dénonce les propos "xénophobes" d'un maire UMP de la Meuse

    Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a dénoncé mercredi des propos "xénophobes" d'un maire UMP et exigé que le site ministériel du débat sur l'Identité nationale soit expurgé de "messages racistes" ayant échappé à la vigilance de ses services.

     
    Parlant de "dérapages xénophobes", le ministre "dénonce" dans un communiqué "des propos inacceptables" après qu'"en marge d'une réunion locale organisée dans le cadre du grand débat sur l'identité nationale, André Valentin, maire de la commune de Gussainville (40 habitants), dans la Meuse, a déclaré publiquement : "Il est temps qu'on réagisse, parce qu'on va se faire bouffer. Y'en a déjà dix millions, dix millions que l'on paye à rien foutre"".

    Actuellement en déplacement au Kosovo, M. Besson "dénonce ces propos xénophobes qui sont intolérables, et a sollicité le préfet de la Meuse afin d'envisager les suites qui devront y être données", selon le communiqué diffusé par son ministère.

     "Par ailleurs, si l'immense majorité des 40.000 contributions reçues sur le site internet du grand débat sur l'identité nationale sont parfaitement respectueuses de nos principes républicains, un petit nombre d'entre elles présentent un caractère raciste et xénophobe", note le ministre.
    Il admet notamment qu'"une dizaine de ces contributions ont échappé aux efforts de l'équipe de modération, qui avait reçu la consigne de supprimer ces messages racistes et xénophobes tout en veillant à éviter les accusations possibles de censure". M. Besson, "en a exigé le retrait immédiat, et a demandé qu'un onglet permettant aux internautes de signaler les contributions litigieuses soit inséré aujourd'hui même sur le site".

    Cité par le communiqué, le ministre a souligné que "la France a toujours été et reste une grande terre d'immigration et d'intégration. L'immigration est l'un des éléments de notre identité nationale. Notre cohésion nationale ne doit pas être la victime de ces dérives nationalistes xénophobes".

    "Le grand débat sur l'identité nationale ne sera pas l'otage de ces outrances.

    Je veillerai à ce que les propositions qui en sont issues comportent de nouvelles actions de lutte contre les discriminations en général, et contre le racisme et la xénophobie en particulier", a ajouté le ministre.

    AFP.03.12.09

     

     

     

     

     

  • Le maire d'Orange interdit les drapeaux étrangers lors des mariages

    Le maire d'Orange Jacques Bompard (MPF), candidat aux élections régionales, a interdit d'arborer en mairie ou à proximité des drapeaux étrangers lors des mariages, par arrêté transmis mercredi à la préfecture, a-t-on appris jeudi auprès de celle-ci.

    La préfecture de Vaucluse a précisé que l'arrêté, une fois enregistré, était exécutoire et qu'il serait soumis à un contrôle de légalité dans un délai de deux mois.

    L'arrêté interdit également d'arborer dans les locaux de la mairie ou aux abords immédiats de celle-ci des signes d'appartenance nationale autres que ceux de la République française lors des mariages. Toute violation pourra conduire à la non-célébration du mariage et sera passible de contravention.

    "Ces drapeaux se présentent dans toutes les villes du sud de la France lors de certains mariages de la communauté étrangère. On a droit à des manifestations parfois très provocantes de leur appartenance. Cet arrêté est destiné à éviter un certain nombre de spectacles désolants", a expliqué à l'AFP André-Yves Beck, directeur de la communication de la mairie d'Orange.

     

    Il a ajouté que cet arrêté municipal était "dans l'esprit" de la proposition de loi du député UMP et adjoint au maire de Béziers (Hérault), Elie Aboud, dévoilée en octobre, qui vise à permettre aux maires de prendre des arrêtés contre les drapeaux étrangers lors des mariages.

    L'ex-FN Jacques Bompard qui conduit une liste "Ligue du Sud" aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d'Azur, avait apporté son soutien à cette proposition de loi en novembre.

    AFP. 03.12.09

  • Afghanistan et N.O.M. : Rasmussen réclame la solidarité des alliées européens

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    Rasmussen, le patron de l'OTAN - 2 décembre 2009 à Bruxelles

    Le secrétaire général de l'Otan a annoncé mercredi une première contribution d'au moins 5.000 soldats supplémentaires en Afghanistan, en sus des renforts annoncés par Washington, mais exhorté les alliés européens à faire plus pour montrer leur solidarité.

    "Je peux confirmer que les alliés (membres de l'Otan) et nos partenaires vont apporter une contribution supplémentaire significative, au moins 5.000 soldats et probablement quelques milliers encore en plus", a déclaré Anders Fogh Rasmussen à Bruxelles.

    Quelques heures plus tôt le président Barack Obama avait annoncé l'envoi de 30.000 hommes pour "finir le travail" contre les talibans.

    Le chiffre annoncé par M. Rasmussen correspond à la demande américaine de 5.000 à 7.000 soldats supplémentaires venant des autres pays de l'Otan, exprimée par le secrétaire à la Défense Robert Gates le jour même à Washington.

    Cette évaluation chiffrée des renforts non américains pour la Force internationale d'assistance à la sécurité de l'Otan en Afghanistan (Isaf) restera cependant entourée d'un assez grand flou tant que les pays concernés n'auront pas précisé leurs intentions.

    Deux occasions se présentent à eux. Les ministres des Affaires étrangères de l'Otan, dont la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, doivent d'abord en parler vendredi à Bruxelles, puis des responsables militaires lundi au quartier général allié de Mons en Belgique.

    Un haut responsable américain a prédit que "certains pays rendraient publiques leurs décisions" lors de ces réunions. "Attendons de voir ce que les alliés vont faire", s'est-il borné à commenter en soulignant qu'"il n'y a que 24 heures que M. Obama a rendu sa propre décision".

    Avec 35.000 soldats de plus, les effectifs militaires étrangers en Afghanistan totaliseraient 148.000 hommes, dont les deux tiers d'Américains.

    Plus que sur les chiffres, qui ne peuvent que souligner l'énorme disproportion des moyens militaires de part et d'autre de l'Atlantique, M. Rasmussen a choisi d'insister sur la dimension politique.

    "En ce moment important, l'Otan doit démontrer son unité et sa force une nouvelle fois. Tous les alliés doivent faire davantage", a-t-il martelé.

    "Il s'agit d'un combat commun, nous devons le finir", a-t-il encore ajouté.

    Si des pays européens de l'Otan comme la Grande-Bretagne (1.200 soldats), la Pologne (600), l'Espagne (200) ont déjà décidé des renforts ou sont en passe de le faire, deux autres, la France et l'Allemagne, se sont montrés très réservés jusqu'à présent.

    Comme l'a confirmé mercredi Berlin, ils attendent la conférence internationale sur l'Afghanistan prévue le 28 janvier à Londres pour se prononcer.

    Sans nommer personne, M. Rasmussen a prévenu : "Les Américains ont opté pour une approche multilatérale et je crois qu'ils commenceront à mettre en doute cette approche si les autres alliés ne prennent pas leur part du fardeau" en Afghanistan.

    "Il est important que l'opération en Afghanistan ne soit pas perçue comme une opération américaine pure et simple", a-t-il dit.

    Paris réfléchirait à l'envoi d'instructeurs supplémentaires pour la police et l'armée afghanes, un geste conforme à la stratégie de sortie dite d'"afghanisation" sur laquelle M. Obama et ses homologues de l'Otan sont d'accord.

    M. Rasmussen a également invité implicitement les Pays-Bas à reconsidérer leur décision de retirer leurs troupes en 2010. Un message également transmis à Bruxelles par le représentant spécial des Etats-Unis en Afghanistan et au Pakistan, Richard Holbrooke.

    En revanche, le Canada a confirmé qu'il retirerait bien son contingent en 2011, quoi qu'il arrive.

    AFP.02.12.09

     

  • Sondages mosquées/minarets

    Une majorité relative de Français est hostile à l'édification de mosquées en France et à la construction de minarets, selon un sondage Ifop pour Le Figaro à paraître jeudi.

      A la question "êtes-vous favorables, opposé ou indifférent à l'édification de mosquées lorsque les croyants musulmans le demandent?", 19% ont répondu "favorable", 41% "opposé", 36% se disant "indifférent" et 4% ne se prononçant pas. Les électeurs de Jean-Marie Le Pen (1er tour de la présidentielle de 2007) y sont opposés à 87% (3% pour), ceux de Nicolas Sarkozy à 48% (13% pour) et ceux de Ségolène Royal à 25% (28% pour).

    En 2001, 31% des personnes interrogées avaient répondu "favorable", 22% "opposé", pour 46% d'indifférents et 1% qui ne se prononçait pas.

    A la question "êtes-vous favorable à l'interdiction de minarets", une majorité a répondu oui: 46%, contre 40% de non, 14% ne se prononçant pas. Le pourcentage est majoritaire chez les électeurs de Jean-Marie Le Pen au 1er tour de la présidentielle de 2007 (79%), de Nicolas de Sarkozy (55%) et d'Olivier Besancenot (48%). Minoritaire chez ceux de Ségolène Royal (34%) et François Bayrou (33%).

     L'étude de l'Ifop a été réalisée auprès d'un échantillon de 983 personnes, représentatif de la population française de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
     Les interviews ont eu lieu par questionnaire auto-administré en ligne, du 1er au 2 décembre, soit après le vote référendaire helvétique qui s'est prononcé pour l'interdiction de la construction de minarets en Suisse.
    AFP. 02.12.09
  • La mauvaise foi de Tariq Ramadan

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    La mission d'information parlementaire sur le port du voile intégral a été prise aujourd'hui d'un accès de fièvre avec l'audition de l'islamologue Tariq Ramadan, qui a plaidé contre une loi sur le voile devant des députés lui reprochant un "double langage" et un "côté show bizz". Tariq Ramadan s'est déclaré opposé à une loi d'interdiction du voile intégral, qui serait "inefficace", perçue par les musulmans comme une "stigmatisation" et qui amènerait les femmes voilées à rester chez elles, à se couper de la société.

    Il a souligné que le port du voile intégral correspondait à une interprétation du Coran très minoritaire. C'est le fait de converties ou de jeunes qui retournent à l'islam et pour qui le port du voile est "la représentation physique d'une grande quête spirituelle", a-t-il affirmé estimant qu'"il ne faut pas juger sans comprendre". L'interprétation du Coran qui conduit à porter ou non le voile intégral relève "du débat interne" des musulmans eux-mêmes et "tout ce que vous pourrez dire sur le voile vaudra moins que ce que diront les musulmans", a-t-il dit aux membres de la commission.

    "On ne mesure pas suffisamment le mal-être dans la communauté musulmane", a-t-il ajouté, regrettant qu'on place le débat sur le thème religieux alors que "la réalité, quand vous êtes un peu arabe, c'est que vous n'avez pas de travail, ou que vous devez passer par le CV anonyme".

    Plusieurs députés lui ont reproché de ne pas parler de l'égalité homme-femme, ni des femmes contraintes de porter le voile intégral et plus généralement de changer de discours selon son auditoire. Il a répondu qu'il était partisan de l'égalité entre les hommes et les femmes et a mis les accusations de double langage sur le compte de fausses citations ou de mauvaises interprétations.
    Le Figaro - 02.12.09

  • Les Français de plus en plus hostiles aux mosquées

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    La mosquée de Créteil  (Val-de-Marne)

    Selon un sondage Ifop, 41 % des personnes interrogées s'opposent à l'édification de lieux de culte musulmans contre 22 % en 2001.

    Si les Suisses ne s'étaient préoccupés des minarets, la France les aurait probablement ignorés. Mais une fois le sujet lancé, l'opinion s'est enflammée. Quelque 46 % des Français interrogés par l'Ifop sont favorables à leur interdiction. Près de 40 % les acceptent et 14 % ne se prononcent pas. «Les Français sont partagés, note le responsable du sondage Jérôme Fourquet. Mais la crispation autour de l'islam n'a jamais été aussi forte.»

    Ce ne sont plus seulement les minarets qui fâchent, mais bien les mosquées. Seuls 19 % des Français acceptent qu'on en construise si des fidèles les demandent. C'est la proportion la plus faible de ces vingt dernières années. Tandis que le nombre d'opposants a retrouvé le niveau des années 1980. «À l'époque, le Front national émergeait, tout comme SOS-Racisme et les grandes manifestations», rappelle Jérôme Fourquet. En 1989, 38 % des Français refusaient de voir une mosquée près de chez eux. Les décennies suivantes voient ce rejet faiblir. En 2001, y compris après les attentats du 11 Septembre, il ne restait qu'un noyau de 22 % d'opposants. Les autres ayant alors rejoint le camp des indifférents (46 %). «En 2009, avec le retour des tensions, l'opinion s'est radicalisée sur la place de l'islam en France et se prononce clairement contre sa visibilité», analyse Jérôme Fourquet. Quelque 41 % des sondés refusent maintenant la construction d'une mosquée.

    «Comme si vingt ans de droit à la différence ou encore la laïcité positive prônée par Nicolas Sarkozy n'avaient été qu'un discours de surface, sans prise avec le pays», soulève l'Ifop. Le président avait même envisagé de toiletter la loi de 1905 pour permettre le financement public du culte musulman. Tandis que les services de l'État priaient les maires de s'impliquer pour sortir l'islam de lieux de culte insalubres. Or, cette «normalisation» de l'islam voulue par le gouvernement et les élites politiques se révèle brutalement à contre-courant de l'opinion. Le décalage est particulièrement marqué pour les électeurs de Nicolas Sarkozy. Ils sont 48 % à refuser l'édification de mosquées et 55 % à repousser les minarets. Et seulement 25 % (mosquées) et 33 % (minarets) parmi ceux qui ont voté Ségolène Royal ou François Bayrou.

    Hormis les professions libérales, les plus jeunes et les plus âgés, tous se montrent réticents. Les ouvriers sont les plus mobilisés. 65 % contestent l'édification des mosquées, suivis par les professions intermédiaires, les artisans et les commerçants. Qu'ils vivent à la campagne ou en ville, les Français s'inquiètent. Et particulièrement dans le Nord-Est et le Sud-Est. L'Ile-de-France est moins crispée.

    Sur le site du figaro.fr, près de 49 000 lecteurs ont répondu à la Question du jour de mardi « Faut-il interdire la construction de nouveaux minarets en France ? » pour plébisciter l'interdiction à 73 %. En Allemagne, Der Spiegel a obtenu dans les mêmes conditions 78 % d'opposants aux minarets. Alors même que l'immigration est mieux acceptée en France que dans les autres pays européens, selon les récents sondages, «l'islam inquiète. Il reste perçu comme une religion de conquête», décrypte-t-on à l'Ifop. «Son expansion et ses rites collectifs heurtent le fond catholique de notre société.» Le minaret, même sans muezzin, apparaît comme le symbole «trop voyant» de la présence musulmane en France.

    Le Figaro - 02.12.09

  • Troyes: dégradation d'un véhicule de secours par des "jeunes"

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    Vendredi dernier, en soirée, les sapeurs-pompiers de Troyes (Aube) sont appelés pour porter secours à une dame qui vient d’avoir un malaise sur la voie publique. Arrivés sur les lieux, les soldats du feu rencontrent des « jeunes » qui leur indiquent que la dame est repartie chez elle. Acte 1.

    Acte 2. Afin de s’assurer que la personne va bien, les sapeurs-pompiers montent à son appartement. C’est à moment précis que des voyous s’emparent de leur véhicule et le projette contre une vitrine, le tout filmé avec le téléphone portable d’un des protagonistes. Quand la police arrive, les « jeunes » ont bien entendu disparu.

    Acte 3. Le lendemain, les représentants de l’ordre interpellent quatre « jeunes » qui viennent de commettre un vol avec violence dans les rues de Troyes. Les voyous sont alors conduits au commissariat et sont gardés à vue afin d’en savoir un peu plus sur leurs méfaits. Sur le téléphone de l’un d’entre eux, on retrouve le film où l’on voit le véhicule des pompiers foncer sur la vitrine, avec en toile de fond des « jeunes » spectateurs.

    Pour les voyous, tout ce qui porte une tenue, y compris un sapeur-pompier, est assimilé à un représentant de l’ordre et doit être combattu. Il fut un temps où les militaires, policiers, gendarmes pouvaient marcher dans la rue sans être importunés, car l’uniforme était respecté. Mais que respecte-t-on aujourd’hui dans ce pays qui s’appelle France ?

    Source : L’est-éclair

    Nations Presse Info - 02.12.09

  • Quand Tony Blair porte la kippa

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  • Le cimetière marin de Mers-el-Kébir n'a plus de croix pour ne pas offenser les musulmans

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Algérie - Mers-el-Kébir (Oranie) Cimetière marin en 2007

    Le Ministre de la Défense s’est empressé de remettre en état la ruine de Mers-el-Kébir, que le Souvenir Français avait si bien entretenu depuis cette date, jusqu’à l’indépendance de l’Algérie en 1962.

    La désacralisation du cimetière de Mers-el-Kébir achève la réhabilitation de ce lieu de mémoire (2007).

    Après ce savant nettoyage ethnique des Chrétiens, afin de ne pas blesser les musulmans d’Algérie, sur les signes confessionnels de la religion, l’état Français a fait éradiquer les croix chrétiennes de ces soldats.

    En effet, très récemment afin de ne pas offenser les musulmans, les croix du cimetière militaire français de Mers-el-Kebir ont été retirées. Il s’agit d’une insulte faite aux morts pour la patrie.

     Incapable de donner à nos marins une sépulture digne de leur sacrifice, le gouvernement français s’est permis, avec l’accord des autorités algériennes, de raser les tombes et de remplacer les croix par des parallélépipèdes de béton.

    Ainsi, l’autorité française après avoir laissé s’accomplir la profanation, s' autorise l’anonymat et l’abandon de la mémoire de ces marins qui ont combattus pour la France.

    Geneawiki - 2007

  • Minarets: Roger Holeindre soutient la "populace" suisse

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    Communiqué de presse de Roger HOLEINDRE
    Président du Cercle National des Combattants

    Une fois encore… Une fois de plus, le peuple français vient de subir une avalanche de mensonges et de désinformations systématiques de l’actualité, pour complaire à ceux qui ont la haine farouche de la France et de l’Occident.

    Une votation… « référendum » vient d’avoir lieu en Suisse. Ce genre de vote est totalement légal, puisque inscrit dans la constitution suisse. Ses résultats sont incontestables et prennent force de loi. Comment les médias français peuvent-ils se permettre de « caviarder » à ce point les informations et faire en sorte que le vote du peuple suisse devienne un vote extrémiste dû à la « populace » ? Comme si un résultat favorable de 57,5 % des votants, n’était rien !

    La désinformation systématique veut que le vote ayant pour trait l’interdiction des minarets, serait une atteinte à la religion musulmane. En Suisse, comme en France, les musulmans ont et auront toujours la possibilité de suivre les préceptes de leur religion, et les lieux de prière ne sont pas interdits.

    Comment se fait-il alors, que des gens dont le métier est d’informer, font semblant de ne pas savoir que dans la majorité du monde musulman les croix chrétiennes sont interdites ; que les ambassades étrangères dans ces pays, quand elles désirent une messe de Noël, font venir des prêtres quasi clandestinement ; que sur la planète, dans maints pays, chaque jour, des chrétiens sont massacrés du seul fait qu’ils sont chrétiens ; qu’au moment de la guerre du Golfe, l’extrémisme religieux musulman avait voulu que les croix rouges soient supprimées des ambulances militaires… que les colis de nos soldats soient contrôlés afin qu’ils ne contiennent pas de charcuterie ?

    Le vote totalement démocratique du peuple suisse devrait obliger les observateurs étrangers à un peu plus de retenue. Ce sursaut légitime prouve tout simplement que les Européens n’oublient pas qu’ils vivent dans des pays d’origine chrétienne et que ce n’est pas à eux de changer leurs coutumes, mais aux nouveaux arrivants, même légaux, de se plier à leurs lois.

    Tous nos intellectuels, tous à gauche bien sûr, trouvent normal que l’on mette en cause aujourd’hui le fait que nos campagnes aient leurs églises avec leurs croix et même, d’après certains extrémistes, que nos « bonnes sœurs » circulent avec des voiles. Tout cela est la porte ouverte sur n’importe quoi, et peut-être même sur la guerre civile !

    Toutes ces élucubrations et ces falsifications sur un vote légal et démocratique permettent de ne pas parler des derniers évènements qui se sont déroulés en France. A la suite du match Algérie-Egypte… 350 véhicules ont été brûlés, des dizaines de magasins pillés, vandalisés, détruits ! Mieux encore, si l’on peut dire, à Toulouse notre drapeau national qui était à sa place sur le fronton de la mairie a été arraché… brûlé, puis remplacé par le drapeau algérien, en présence de forces de police tétanisées !

    Monsieur le Président de la République et tous nos dirigeants feraient bien de se pencher sur ce grave problème, sur ce genre d’insultes que le peuple français ne saurait tolérer encore longtemps.

    Tous les gens intelligents et non sectaires de notre pays savent qu’un vote sur le même sujet chez nous donnerait un chiffre identique, voire supérieur ; que les français veulent garder leurs lois, leurs mœurs, leurs coutumes, leurs traditions ; qu’ils sont contre l’immigration invasion, en un mot qu’ils veulent rester Français sur une terre française et que leur non racisme, reconnu par nombre d’étrangers vivant chez eux, ne doit pas devenir une raison de perte d’identité et d’islamisation.

    Nations presse Info - 02 décembre 2009

  • Infanticide: mort de Typhaine, 5 ans, sous les "violences"

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    Après avoir reconnu que Typhaine, cinq ans, n'avait pas été enlevée mais était morte chez eux, la mère et son concubin, mis en examen pour coups mortels, ont avoué mercredi que la fillette avait succombé "sous une douche froide", lors d'une "punition" qui a mal tourné.

    Lors de leur garde à vue mardi, Anne-Sophie Faucheur, 23 ans, et Nicolas Willot, 24 ans, avaient livré aux enquêteurs des scénarios divergents sur la mort de Typhaine, le soir du 10 juin à leur domicile d'Aulnoye-Aymeries (Nord), à une quinzaine de kilomètres de Maubeuge.

    Entre-temps, la jeune femme a rejoint le récit de son compagnon, lors d'une audition avec un juge d'instruction. Elle a confirmé "des violences" répétées sur l'enfant ainsi que la mort de la fillette sous une douche froide destinée à la punir, selon une source proche de l'enquête.

    La maman a placé Typhaine sous une douche froide de manière violente, parce qu'elle avait uriné dans son lit, a expliqué le concubin, qui n'est pas le père naturel de l'enfant.

    L'avocat d'Anne-Sophie Faucheur, Maître Emmanuel Riglaire, a aussi évoqué "une punition qui va trop loin". "Ce jour là Typhaine aurait été tellement pas sage qu'ils la mettent sous la douche froide et la laissent. Quand ils reviennent, elle ne va pas bien, elle suffoque. Nicolas Willot, qui est pompier volontaire, lui fait un massage cardiaque, mais trop fort, en vain", a-t-il expliqué.

    Nicolas Willot, qui est allé plus loin que sa compagne dans ses aveux, a cependant "fait état de sévices assez réguliers de sa part et de la part de la mère sur Typhaine", qu'il a présentée comme "la souffre-douleur de la famille".

    Comme sa compagne la veille, Willot a été mis en examen et incarcéré mercredi pour "violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sur mineure de 15 ans et dénonciation de délit et crime imaginaire".

    Il a reconnu avoir enterré lui-même le corps de la petite fille, le soir même du drame dans une zone de campagne en Belgique, probablement dans les environs de Mons.

    Des investigations sont actuellement menées par les autorités belges sur commission rogatoire internationale, selon le parquet. "On fait des repérages pour restreindre le périmètre de recherches, en fonction des indications du concubin", a-t-on précisé.

    Le parquet de Valenciennes, qui supervise l'enquête, espère qu'une autopsie permettra d'y voir plus clair sur la nature des maltraitances.

    L'émotion était vive mercredi à Aulnoye-Aymeries (Nord), où des voisins ont déposé des roses blanches et des peluches devant le domicile du couple.

    Anne-Sophie Faucheur avait annoncé la disparition de sa fille le 18 juin dernier, "enlevée" selon elle par un inconnu dans les rues de Maubeuge. Elle avait fait distribuer des affichettes à la population pour aider à la retrouver.

    L'absence de témoin et le contexte familial troublé avait immédiatement éveillé des doutes chez les enquêteurs de la Police judiciaire de Lille.

    Anne-Sophie Faucheur et le père naturel de Typhaine, François Taton, qui n'étaient pas mariés, s'étaient séparés en décembre 2005. Le père avait obtenu la garde de la fillette et la mère, celle de sa soeur, Caroline, d'un an plus âgée.

    AFP. 02.12.09

  • L'économie française sans immigrés pendant un jour

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/11/24/01016-20091124ARTFIG00509-des-immigres-proposent-un-jour-de-boycott-economique-.php

    Si ça pouvait être vrai!

  • VIDEO Le sidaïsme

    Elysée Sida.jpg

    http://www.youtube.com/watch?v=hpZTXuZzEM8

     

    "Deux rubans rouges d'une hauteur de trois mètres" ont été installés "sur "deux colonnes du perron du Palais de l'Elysée", a indiqué la présidence de la République dans un communiqué.

    "Chaque année, de nouvelles contaminations par le virus VIH ont lieu en France et ailleurs dans le monde. Nous devons tous rester mobilisés pour améliorer la prévention et la prise en charge du Sida. C'est la signification de ce symbole apposé dans ce lieu", a précisé l'Elysée.

    La veille, dans une tribune publiée par le quotidien Le Monde, l'épouse du chef de l'Etat, Carla Bruni-Sarkozy, ambassadrice du Fonds mondial de lutte contre le sida, avait réitéré son appel à fournir d'ici 2015 un traitement à toutes les femmes porteuses du virus du sida afin d'éliminer la transmission mère/enfant.

    AFP. 01.12.09

     

     

  • Cohn-Bendit demande aux riches pays musulmans de "vider les banques suisses"

    Daniel Cohn-Bendit, co-président des Verts au Parlement européen, a demandé que "les plus riches des pays musulmans retirent leur argent des banques suisses" en représailles à l'interdiction des minarets, dans une interview à paraître mercredi dans le quotidien suisse Le Temps.

    "La plus formidable des ripostes serait que les plus riches des pays musulmans retirent leur argent des banques suisses. Vider les caisses de la Confédération: voilà ce qu'il faudrait !", a déclaré l'euro-député allemand au quotidien genevois.

    "Si cette votation a des conséquences économiques, alors les Suisses comprendront", selon M. Cohn-Bendit, qui voudrait que les Suisses revotent pour annuler leur décision.


    "Le problème helvétique, c'est cet égoïsme des riches", a jugé l'euro-député. "La Suisse nous a habitué à ce genre d'attitude. Je pense évidemment à la Seconde guerre mondiale. La Suisse n'a alors eu aucun problème à sacrifier ceux qui butaient contre ses frontières et demandaient l'asile", a-t-il asséné.

    Pour l'euro-député Vert, "la priorité de l'élite politique suisse hostile à cette votation doit être de remobiliser la population en vue d'un nouveau référendum. Pour revoter et effacer cette tache". "Saisir la Cour européenne des droits de l'homme est une bonne idée, mais cela prendra du temps", a-t-il estimé.

    Enfin, pour le co-président des Verts au Parlement européen, l'Union européenne "ne peut pas continuer les relations bilatérales (avec la Suisse) comme si de rien n'était": "il faudra poser la question".

    Le Figaro - 01.12.09

    Combien de minarets en Israël?

    Quand on sait les persécutions religieuses et autres subies par les Palestiniens musulmans en Israël, on demeure rêveur!