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Blog - Page 1694

  • JEUX - Charade 2

    Mon premier est un prénom féminin

    Mon second se trouve chez un empereur japonais

    Mon troisième est un instrument dont les femmes ne se servent plus

    Mon tout est un roman

     

  • VIDEOS Vaccins toxiques, effets secondaires identifiés

    http://robertofiorini.blog4ever.com/blog/lire-article-84180-1482999-vaccins_toxiques__effets_secondaires_identifies__q.html

  • "Il nous aurait tous tués"

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    La maison du professeur à Juvignac

    Que s’est-il passé lundi soir ?

    Vers 22h30, le professeur a entendu que quelqu’un essayait d’actionner la poignée de sa porte d’entrée. Il est sorti et a aperçu, dans le jardin, un homme cagoulé et armé.

    Ce dernier a foncé sur lui en criant: "Bouge pas!" Il l’a poussé dans la maison et lui a dit, ainsi qu'à sa femme, de se coucher au sol, face contre terre, selon MidiLibre.

    Il a répété à la femme de se coucher complètement et d’écarter les jambes. "J’ai tout de suite pensé qu’il voulait la violer", raconte le professeur au Midi Libre.

    Toujours selon le témoignage du professeur, l'agresseur a ensuite fait descendre le fils de 11 ans du couple qui se trouvait à l'étage. "L'homme n'arrêtait pas d'insulter ma femme", précise t-il encore au MidiLibre.

    L'agresseur voulait de l'argent. Il a aspergé d'essence les trois membres de la famille et a menacé: "J’ai un briquet. Si vous bougez, je vous brûle." Puis, il a commencé à sortir des cordes de son sac.

    La femme s'est alors relevée, mais l'individu lui a envoyé un violent coup de pied dans la tête, toujours selon MidiLibre.

    Le professeur s'est rué sur lui, a saisi le poignet droit dans lequel il avait son arme. "Je l’ai fait tomber et je l’ai immobilisé. Dans la lutte, son pull est remonté sur sa tête, par-dessus sa cagoule. Il n’y voyait plus rien. Je l’ai maintenu à terre, allongé sur le dos", précise encore le professeur au journal.

    A cet instant précis, sa femme en a profité pour appeller de l'aide.

    L'homme s'est débattu et a appelé à plusieurs reprises le professeur par son nom.

    "Je commencais à perdre prise, le sol couvert d'essence était glissant. Contrairement à ce qu’on a pu dire, je ne l’ai pas étranglé: à aucun moment je n’ai serré sa gorge avec mes mains. Je n'ai pas voulu le tuer", affirme le professeur au MidiLibre.

    "Ensuite, les gendarmes sont arrivés, mais ils ne sont pas intervenus tout de suite car ils ne savaient pas qui, de nous deux, était l’agresseur. Puis ils sont rentrés, m’ont mis face à terre, m’ont menotté. J'ai expliqué que j'étais le propriétaire. Et là, les gendarmes m’ont dit que l’homme était mort" confie-t-il au MidiLibre.

    Avant d'ajouter: "Je pense qu'il nous aurait tué tous les trois. Il était extrêmement déterminé ".

    Pourquoi l'agresseur a-t-il fait ça?

    Concernant leur agresseur, le professeur pense qu'il peut s’agir d'un étudiant qui était venu le voir en 2008.

    A l’époque, l'enseignant était responsable d'un diplôme de licence. L'étudiant voulait qu'il lui valide une ou plusieurs disciplines pour lesquelles il avait eu des notes médiocres.

    "J'ai refusé. Alors, il m’a posé alors la main dans le dos en disant : 'Mon ami, on peut toujours trouver une solution.' Je lui ai répondu : 'Oui il faut repasser l'examen.' Il m’avait paru énervé et menaçant", raconte t-il.

    Contrairement à ce que nous a déclaré le procureur-adjoint de Montpellier, qui nous rapportait que cet élève "n'avait pas eu de réaction particulière."

    Depuis l'agression, le professeur confie au journal: "Depuis cette nuit-là, cet homme hante notre vie et notre maison. Nous ne sommes plus trois, mais quatre."

     Le Post- 22 octobre 2009

  • Pour Saïd, la justice se met en quatre

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    Saïd, l'étudiant de 27 ans
    Publié ce matin à 7 h - Remis à jour à 16 h 24 - Lundi, l’étudiant en sociologie est mort en agressant son ancien professeur chez lui. « Il est quand même un peu tôt pour se prononcer sur des notions juridiques aussi complexes que la légitime défense. Et il reste encore bien des éléments qui méritent d’être éclaircis ».

    Hier, Me Jean-Charles Teissèdre s’est constitué partie civile pour le compte de la famille de Saïd, cet étudiant de 27 ans tué par le professeur de sociologie qu’il est allé agresser à son domicile, lundi soir, à Juvignac (Hérault).

    « On nous a dit, dans un premier temps, qu’il était mort par strangulation, ce qui n’est pas le cas. Le rapport d’autopsie n’est d’ailleurs pas encore versé au dossier », poursuit
    l’avocat montpelliérain. « Il sera important d’établir à quel moment cette mort a eu lieu, et si elle pouvait être évitée. » Pour la famille de l’étudiant, l’objectif est d’avoir accès à l’enquête, voire de demander des actes au juge chargé de cette instruction ouverte pour « homicide volontaire ». « Il est bien difficile de sonder les esprits malades », estime Me Teissèdre. « Le procureur de la République a parlé d’une volonté de saucissonner ces gens, ce que rien ne permet de dire. Dernier point à éclaircir, selon Me Teissèdre : « Comment fait-on pour tuer à mains nues une personne alors qu’on n’est pas un spécialiste des sports de combat ? ».

    Pour Me Jean-Robert Phung qui défend le professeur mis en examen, « il est normal qu’il y ait une enquête, car il y a eu mort d’homme, et qu’on n’est pas obligé de croire mon client sur parole ». Mais l’avocat a tenu à redire, hier, sa conviction : « Je suis certain que ce garçon qui avait trois litres d’essence n’était pas venu pour cambrioler. Le réflexe qu’a eu mon client et qui s’est terminé par un drame en a évité un autre encore plus atroce : il a sauvé sa vie, celle de son épouse et de son fils. Mais avoir enlevé la vie à quelqu’un est une chose dont il ne se relèvera sans doute jamais ».

    Le Midi libre.com - 23 octobre 2009



  • JEUX - Les nénuphars

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    Un nénuphar double de taille tous les jours. Un étang a été entièrement recouvert par un nénuphar en 30 jours. Combien de jours auraient mis 2 nénuphars identiques à celui-ci pour recouvrir cet étang ?

  • Bulgarie: maman à onze ans

    Une fillette de 11 ans, d'origine tzigane, a donné naissance hier en Bulgarie à un bébé de 2,5 kilogrammes.
    La très jeune maman a demandé à quitter l'hôpital dès ce vendredi afin de pouvoir se marier avec le père du bébé, âgé de 19 ans.
    Les naissances précoces, notamment au sein de la minorité rom, ne sont pas rares et inquiètent les médecins. Il n'existe cependant pas de statistiques des naissances de mères âgées de moins de 15 ans dans le pays.
    Des conseillers municipaux à Bourgas (est) ont proposé récemment des mesures d'urgence pour combattre la natalité précoce. Ainsi les hôpitaux de la ville doivent rapporter de tels cas à la police car les relations sexuelles avec des mineurs sont interdites par la législation.
    Le cas de Sliven fera l'objet d'une enquête judiciaire pour ces mêmes raisons.
    Le Figaro - 23 octobre 2009

  • Proxénètes à 13 et 14 ans!

    C’est une affaire sordide qui a été jugée à huis clos devant le tribunal pour enfants de en début de semaine. Deux jeunes filles, Cathy*, 13 ans au moment des faits, et Malika*, 14 ans, ont été condamnées lundi à deux ans de prison dont trois mois ferme pour « proxénétisme et violences volontaires ».


    Elles étaient accusées d’avoir contraint sous la violence une adolescente guère plus âgée à se prostituer entre mars et août 2008, pour se procurer de l’argent et du cannabis. « Julie*, la victime, vivait dans le même foyer que les deux auteurs, mais elle était plus faible psychologiquement. D’ailleurs, elles ont tenté de soumettre d’autres gamines, mais elles n’y sont pas parvenues. La victime a fini par se confier à des éducateurs », explique une source proche du dossier.

    « Elles sont grandes et imposantes, étranges et déroutantes »

    Les deux jeunes proxénètes se sont rencontrées au sein d’un foyer de la protection de l’enfance géré par le conseil général du , d’où elles multipliaient les fugues. Rapidement, elles étaient devenues absolument inséparables. « Elles sont toutes les deux grandes et imposantes, étranges et déroutantes. Je n’ai jamais vu un tel dossier de proxénétisme concernant des mineurs », affirme Me Vincent Carail, de l’une des deux condamnées.
    Selon la substitute chargée des mineurs de Nîmes, Hélène Mourges, les deux adolescentes « n’étaient pas connues au niveau pénal ». « Malgré les charges précises et irréfutables, elles ont nié les faits de proxénétisme devant le tribunal », explique-t-elle. Une enquête préliminaire est en cours « afin d’établir si ces jeunes filles condamnées pour proxénétisme n’ont pas été elles-mêmes victimes de violences à caractère sexuel ou de corruption de mineurs », poursuit la magistrate.

    Car au cours de la procédure, le nom d’un étrange « papy » est apparu, apparemment le protecteur de Malika. Cet homme, inconnu de la justice, mettait, semble-t-il, une chambre à disposition de l’adolescente à son domicile d’un quartier populaire de Nîmes. Lors d’une perquisition, de curieuses inscriptions ont été découvertes sur un mur indiquant des prénoms féminins en regard de prestations réalisées et des tarifs pratiqués. Entendu, cet homme n’a pas été inquiété.

    « J’aurais aimé connaître les implications des adultes et des clients dans cette affaire, insiste Me Céline Guille, conseil de Cathy. Les salariés du foyer ont pu donner des indications précises et des numéros de plaques d’immatriculation de gens qui venaient chercher les jeunes filles à la porte de l’établissement. Ils n’ont pas été entendus. » Malgré leur condamnation, Cathy et Malika ont quitté libres le tribunal, qui n’avait pas assorti sa décision d’un mandat de dépôt. Depuis, nul ne sait où elles se trouvent.


    * Prénoms modifiés.

    Le Parisien - 23.10.09

     

     

     

  • Vaccin grippe porcine: première plainte déposée

    Neuf habitants de l' ont déposé plainte contre X vendredi à , dénonçant la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 comme «une véritable tentative d'empoisonnement» de la population, une première en qui sera suivie d'autres plaintes, a annoncé leur avocat, Me Jean-Pierre Joseph.

     Cette plainte avec constitution de partie civile, également déposée pour «tentative d'administration de substances de nature à entraîner la mort», a été remise au doyen des juges d'instruction du tribunal de grande instance de Grenoble. Ce dépôt de plainte a été confirmé de source judiciaire, selon l'AFP.

    Ces plaignants sont neuf habitants de la vallée du Grésivaudan, dont une professionnelle de santé, une animatrice de radio et une enseignante, qui se sont rencontrés dans des réunions publiques consacrées notamment aux risques supposés du vaccin contre la grippe H1N1.

    Pour eux, cette campagne est «une arnaque»

    «L'intérêt de cette action est que des gens en France aient une attitude citoyenne et disent publiquement: nous avons compris que la campagne de vaccination est une arnaque», a ajouté l'avocat.

    La recevabilité de la plainte sera analysée avant un examen sur le fond, a souligné une source proche du dossier, se disant sceptique sur l'aboutissement de cette action, la tentative d'empoisonnement et la mise en danger supposant la nécessité de prouver un lien direct entre un décès et une vaccination.

    Selon Me Joseph, d'autres plaintes similaires seront déposées prochainement en Isère, ainsi qu'à Paris, Pau et Nantes. Quelques centaines de personnes, opposées au vaccin contre la grippe H1N1, habitant différentes régions de France et se contactant via l'internet, ont l'intention de se regrouper en collectif, selon l'avocat.

    Pour les autorités de santé, les vaccins H1N1 arrivant sur le marché sont des produits nouveaux pouvant provoquer des effets secondaires inattendus, qui devront faire l'objet d'une surveillance, mais elles estiment que les avantages d'une vaccination l'emportent sur les risques éventuels.

    Le Parisien - 23.10.09

  • Violences à Poitiers: deux détenus ont été remis en liberté

    La cour d'appel de Poitiers a décidé de remettre en liberté aujourd'hui deux des trois hommes incarcérés après les violences perpétrées dans cette ville le 10 octobre.

    Patrick Dubreaucq, 51 ans, condamné à huit mois de prison dont quatre fermes, a vu sa demande de liberté refusée.

    En revanche, Samuel Bastard et Jean-Salvy Compte, deux étudiants de 20 ans qui avaient écopé de six mois dont un ferme, ont vu leur demande de remise en liberté acceptée par la cour d'appel.

    Les trois hommes avaient été jugés en comparution immédiate après des dégradations commises par un groupe de casseurs au centre de Poitiers. Hier, l'avocat général Jean-Claude Bellot s'était prononcé pour leur maintien en détention. Leurs procès en appel sont prévus le 19 novembre pour Patrick Dubreaucq et le 10 décembre pour les deux étudiants.

    Le Figaro - 23 octobre 2009

  • La justice américaine réclame officiellement Polanski à la Suisse

    La demande d'extradition de Roman Polanski présentée formellement jeudi soir par les Etats-Unis aux autorités suisses pour une affaire de moeurs vieille de plus de 30 ans met une pression supplémentaire sur le cinéaste franco-polonais qui, selon la Suisse, risque une peine maximale de deux ans.

      Le réalisateur a annoncé aussitôt qu'il s'opposerait à son extradition.

    "Le 22 octobre 2009, l'Ambassade des Etats-Unis à Berne a adressé une demande formelle d'extradition à l'OFJ (Office fédéral de la justice), respectant ainsi le délai de 40 jours prévu dans le traité d'extradition conclu entre les Etats-Unis et la Suisse", a indiqué vendredi l'OFJ dans un communiqué.

    La réponse de Roman Polanski ne s'est pas fait attendre: "M. Polanski ne change pas de cap. Il n'acceptera pas la demande d'extradition des Etats-Unis".

    Réclamé par la justice américaine qui lui reproche des "relations sexuelles" avec une mineure de 13 ans, le cinéaste risque une peine maximale de deux ans, a assuré à l'AFP un responsable de l'OFJ, Folco Galli.

    Agé de 76 ans, Roman Polanski bénéficie d'une nouvelle loi plus clémente du 1er juillet 1977 car, bien que le "délit ait eu lieu avant le 1er juillet 1977, la cour n'a pas prononcé la peine", selon M. Galli.

     En détention depuis son arrivée en Suisse le 26 septembre alors qu'il se rendait à un festival de cinéma, Roman Polanski aura l'opportunité de faire valoir ses arguments auprès des autorités suisses, une fois que l'OFJ aura transmis la demande d'extradition au canton de Zurich (centre), lieu de détention du cinéaste.

    "Un délai lui sera fixé pour faire valoir ses observations à cette demande d'extradition", explique le communiqué. "Roman Polanski peut demander une prolongation de ce délai", a précisé le responsable du ministère de la justice suisse.

    "Les autorités zurichoises seront chargées de l'audition de Roman Polanski. Elles établiront un procès verbal qui nous sera transmis", a ajouté M. Galli.

    Et c'est sur la base de la demande d'extradition et des observations de Roman Polanski que l'OFJ "décidera s'il convient d'accorder ou non son extradition aux Etats-Unis".

    Une fois encore, rien ne sera joué. Car un recours pourra être présenté par le cinéaste contre la décision de l'Office fédéral de la justice auprès du Tribunal pénal fédéral de Bellinzone (sud de la Suisse) et, en dernière instance, auprès du Tribunal fédéral de Lausanne.

    "Roman Polanski pourra faire appel de la décision de l'OFJ auprès du Tribunal pénal fédéral dans un délai de trente jours", a précisé M. Galli.

    Mais jusqu'ici les autorités suisses ont toujours été favorables aux positions américaines.

    La justice suisse a encore rejeté mardi une demande de mise en liberté provisoire du réalisateur, confirmant ainsi un premier avis émis le 6 octobre par les autorités helvétiques qui avaient jugé "élevé" le risque de fuite du cinéaste vers la France, où il serait à l'abri d'une extradition grâce à sa nationalité française.

    AFP. 23.10.09

  • Guy Môquet: la vérité rétablie?

    Article paru dans l'organe de presse le National Radical n°11 page 6

    « La liberté d'expression est une liberté fondamentale : Art 10 - CEDH »

    « Je sors de l'enfer où vous entrez » (Soljenitsyne)

     

     

    Dans une lettre adressée à Monsieur Yves CALVI – Emission C'DANS L'AIR – FRANCE 5 – 8, rue Marceau – 92785 ISSY LES MOULINEAUX C 5, lettre, faut-il le préciser, restée sans réponse, un ancien résistant français témoigne :

    ASSEZ, OU ALORS ON VEUT LA VERITE !

    Une fois encore, une mafia de « résistancialistes : Guy KRIVOPISCO, Fabrice d'ALMEIDA, Pierre Louis BASSE et Alice CARMOSO, était réunie sur votre plateau pour nous « parler » de la fameuse lettre de Guy MÔQUET.

     

    Comme d'habitude il n'est rien sorti de ce débat, car on n'a pas appris qui était ce fameux Guy MÔQUET qui a eu le temps d'écrire avant d'être fusillé par les Allemands, le 22 octobre 1941, une lettre à ses parents.

     

    Pour ma part, lors de l'après-midi du 20 juillet 1944, fait prisonnier par les Espagnols terroristes dits résistants de la 35ème Brigade, mis, par neuf fois, dans l'après-midi du dimanche 20 août 1944 au poteau pour un simulacre d'éxécution, je n'aurais pas eu le temps d'écrire mes dernières pensées à ma famille, s'ils étaient allés jusqu'au bout de leurs intentions.

     

    J'étais à l'époque comme Guy MÔQUET âgé de 17 ans ! On n'a donc pas eu l'occasion de m'apprendre qui était Guy MÔQUET.

     

    Guy MÔQUET était le fils du député Robert MÔQUET, interné en 1939, par le gouvernement DALADIER de la 3ème République, pour sabotage de la défense nationale, défaitisme, antimilitarisme, collusion avec l'URSS alliée de l'Allemagne après le pacte RIBBENTROP-MOLOTOV et quelques autres peccadilles, peu recommandables du point de vue PATRIOTISME. L'URSS était la patrie des BOLCHEVISTES et non la FRANCE. Il ne faut d'ailleurs pas confondre COMMUNISME et BOLCHEVISME, celui-ci étant l'alliance entre le JUDAISME et le  COMMUNISME.

     

    Le Chef du PARTI BOLCHEVIQUE dit FRANCAIS, Maurice THOREZ, avait déserté de son unité militaire, pour aller se réfugier en URSS où il passera toute la guerre, à boire la vodka du camarade STALINE collaborateur d'HITLER jusqu'au 21 juin 1941, tandis qu' un autre grand déserteur le Colonel DE GAULLE, sera « repêché » par le général anglais SPAERS, en juin 1940, où il ira, à LONDRES se planquer, dans les grands hôtels, boire le whisky et fumer les cigares de CHURCHILL tout en prêchant la « résistance » alors qu'il aurait fallu résister sur le front en 1940 et ne pas s'enfuir jusqu'à BAYONNE où, s'il n'y avait pas eu FRANCO, les débris de nos armées qui n'avaient pas été faits prisonniers, jetant leurs drapeaux, leurs chaussures et leur honneur dans les fossés pour courir plus vite, seraient arrivés jusqu'en Afrique du Sud.

     

    Guy MÔQUET, lycéen à PARIS, avait avec moi cette particularité, nous étions tous deux fils de cheminots et j'avais en 1940 deux ans de moins que lui. « Remonté » comme un ressort par l'un de ses professeurs, il s'amusa à lancer des tracts, avec quelques camarades dans les rues de PARIS. L'un de ceux-ci appréhendé par la Police n'hésita pas à le « vendre » . Il fut alors, après avoir connu quelques prisons, interné au Camp de CHATEAUBRIANT.

    Il n'a jamais été résistant, la résistance n'existant pas à l'époque. Il n'y eut que des communistes qui faisaient de l'espionnage au profit de la Grande-Bretagne. Certains, appréhendés, furent, ce qui est logique, fusillés comme le voulaient, à l'époque, les lois de la guerre. Il n'y eut d'ailleurs jamais de résistants, mais que des saboteurs et des tueurs.

     

    Pourquoi Guy MÔQUET a-t-il été fusillé ?

     

    Le 20 octobre 1941, à Nantes, trois Juifs ayant participé à la Guerre d'Espagne, Gilbert BRONSTEIN, Marcel BOURDARIAS et Spartaco GUISCO ont assassiné, en lui tirant dans le dos, un officier supérieur allemand, Karl HOTZ qui, avant la guerre, avait résidé à Nantes où il participait à la réfection de la voirie de cette ville.

     

    Les Allemands et Vichy demandèrent par voie d'affiche et de radio la reddition des tueurs pour éviter l'exécution de 30 otages. En effet, le Code de Justice Militaire allemand prévoyait que pour un soldat allemand assassiné TRENTE OTAGES devaient être fusillés.

     

    Bien entendu, d'une part lâches parmi les lâches, d'autre part parce que l'assassinat d'un soldat allemand devait provoquer des réactions dans la population à l'exécution des otages, les trois « résistants » ne se rendirent pas.

     

    Ni les Allemands, ni Vichy ne peuvent donc porter la responsabilité de l'exécution de Guy MÔQUET, mais les trois assassins.

     

    Vingt-sept otages furent donc désignés par les Allemands parmi leurs anciens alliés internés par la 3ème République de Vichy. Cette liste fut entérinée par le Ministre de l'Intérieur PUCHEU. J'ajouterai que Guy MÔQUET s'évanouit avant son exécution et qu'il fut ligoté au poteau.

     

    Voilà ce qu'il eut fallu que vous-même et les professeurs qui ont refusé de lire sa lettre, disent et apprennent au peuple français sur ce martyr et patriote non pas français mais de l'Internationale bolchevique !

     

    Ni les Allemands, ni Vichy ne sont responsables de l'exécution de Guy MÔQUET, mais seulement les 3 « courageux » assassins et leur chef qui on refusé de se rendre.

     

    Il est juste de dire que de GAULLE condamnait ce genre d'attentat.

     

    Je suis prêt, malgré mes 80 ans à venir sur votre plateau pour débattre de problèmes semblables.

     

    Recevez Monsieur CALVI, mes salutations.

     

    Georges CAZALOT.

     

     

    On ne peut alors que se demander qui a bien pu suggérer au Président SARKOZY de faire l'éloge d'un jeune garçon qui n'a jamais fait de résistance puisque les communistes sont devenus anti-hitlériens qu'à partir de l'été 1941, soit après l'attaque de l'armée allemande sur l'Union Soviétique, et que le jeune Guy MÔQUET, arrêté le 13 octobre 1940 à la gare de l'Est par trois policiers de la préfecture de police était en prison depuis cette date.



  • JEUX Charade 3

    Mon premier est un article défini

    Mon second est devenu célèbre grâce à un petit pois

    Mon troisième indique la provenance

    Mon quatrième est un outil familier

    Mon  cinquième ne doit pas se faire à la légère

    Mon tout est un roman

     

     

  • TPI - Radovan Karadzic boycottera l'ouverture de son procès

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    Radovan Karadzic, l'ancien chef politique des Serbes de Bosnie, a annoncé qu'il allait boycotter l'ouverture de son procès lundi devant le Tribunal pénal international (TPI) pour l'ex-Yougoslavie, affirmant ne pas être prêt.

    "Je vous informe par la présente que ma défense n'est pas prête pour mon procès qui doit commencer le 26 octobre et que par conséquent je ne me présenterai pas devant vous à cette date", écrit Radovan Karadzic au TPI dans un document communiqué jeudi à l'AFP par son avocat, Peter Robinson.

    "Le procès le plus gros, le plus complexe et le plus important du Tribunal est sur le point de commencer sans préparation correcte", affirme M. Karadzic, 64 ans, qui se défend seul.

    Accusé de génocide, crimes contre l'humanité et crimes de guerre durant la guerre de Bosnie (1992-1995), il devait commencer à comparaître lundi matin à La Haye.

    Dans un premier temps la porte-parole du TPI Nerma Jelacic avait déclaré que "pour le moment il n'y a aucune indication selon laquelle la procédure ne va pas se dérouler comme prévu".

    "L'audience du procès dans l'affaire de Radovan Karadzic aura lieu lundi 26 octobre à 09H00 dans la salle d'audience I comme prévu précédemment", a confirmé Nerma Jelacic, la porte-parole du TPI, dans un communiqué.

    Les juges devraient décider lors de cette audience les suites à donner à la procédure. Interrogée par l'AFP, Olga Kavran, la porte-parole du procureur, a indiqué que "l'accusation agira en accord avec la décision des juges" lundi.

    Radovan Karadzic, qui plaide non coupable, avait demandé début septembre dix mois supplémentaires pour préparer son procès en raison du volume du dossier de l'accusation de près d'un million de pages.

    Les juges avaient refusé et il avait alors fait appel, obtenant un report d'une semaine.

    "Ce procès, le plus gigantesque, aurait dû recevoir au moins le temps de préparation moyen (alloué par le TPI), qui est de presque deux ans", assure M. Karadzic dans ses conclusions parvenues mercredi soir au TPI.

    L'accusé a choisi de se défendre seul devant le TPI, comme notamment l'ancien président yougoslave Slobodan Milosevic, mort en 2006 durant son procès à La Haye. Il est toutefois assisté en coulisses par une vingtaine d'avocats et juristes internationaux.

    "Les faits sont si compliqués qu'ils ne peuvent être compris et présentés que par quelqu'un qui y a effectivement participé du premier au dernier jour", explique-t-il pour justifier le fait qu'il se défende seul.

    Arrêté en juillet 2008 à Belgrade après 13 ans de clandestinité, Radovan Karadzic est accusé notamment d'être responsable du siège de Sarajevo, au cours duquel 10.000 personnes ont été tuées, et du massacre de Srebrenica (est de la Bosnie) en juillet 1995, au cours duquel plus de 7.000 garçons et hommes musulmans ont été exécutés.

     

    Plusieurs autres accusés du TPI ont boycotté par le passé l'ouverture de leur procès, mais sans l'annoncer au préalable, comme le leader ultranationaliste serbe Vojislav Seselj, qui se défend seul également.

    Il avait refusé de quitter sa cellule pour l'ouverture de son procès en novembre 2006. Les juges avaient alors ordonné à un avocat commis d'office de le remplacer mais la procédure avait ensuite été annulée et un nouveau procès s'était ouvert près d'un an plus tard.

    L'ancien chef du renseignement serbe Jovica Stanisic avait également refusé de comparaître à l'ouverture de son procès le 17 mars 2008 en raison de problèmes de santé. Le procès était ensuite allé de report en report et n'a repris qu'en juin.

    AFP. 22.10.09

  • EPAD: la reculade de Sarközy père et fils

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    Jean Sarkozy, fils cadet du chef de l'Etat, a renoncé jeudi à briguer la présidence de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (Epad) qui lui semblait acquise mais qui était mal perçue dans l'opinion après plus deux semaines d'intense polémique en France et à l'étranger.

    "Je serai candidat au poste d'administrateur de l'Epad mais, si je suis élu, je ne briguerai pas la présidence", a annoncé Jean Sarkozy sur France 2. "Je ne veux pas d'une victoire qui porte le poids d'un tel soupçon", a-t-il expliqué en récusant les accusations de "favoritisme" et de "passe-droit et traitement de faveur".

    "J'ai fait le choix de la raison", a également dit l'élu de 23 ans après avoir dénoncé une "campagne de manipulation et de désinformation" à son encontre. Mais, "je n'ai aucune amertume, j'ai beaucoup appris dans cette épreuve".

    Alors que les accusations de favoritisme et de népotisme ainsi que les critiques sur sa jeunesse et son inexpérience fusaient de toutes parts, il avait assuré le 14 octobre qu'il irait jusqu'au bout.

    Le président Sarkozy avait lui-même confié à son entourage qu'il ne "céderait pas à la pression médiatique", qu'il ne "lâcherait pas" avant d'expliquer le 16 octobre dans le Figaro qu'à travers son fils, c'était lui qui était visé.

    "Cette affaire sera pour Nicolas Sarkozy ce que furent les diamants de Bokassa pour Giscard", avait confié dans la semaine à l'AFP un très haut responsable politique.

    Un sondage CSA publié en fin de semaine dernière avait relevé l'impopularité de cette candidature critiquée par près des 2/3 des Français et plus de la moitié des sympathisants de droite.

    L'UMP a salué "le courage et l'abnégation" de Jean Sarkozy. Tandis qu'à gauche, on se félicitait de cette décision -"Ca a fait reculer un clan (PCF), "un accès de lucité" (PS), "Il était temps" (Verts)-, à droite, certains prédisaient que "l'avenir (lui) donnerait raison".

    Brice Hortefeux (Intérieur), parrain de Jean, a qualifié cette décision de "courageuse et d'apaisement".

    Jean Sarkozy a expliqué jeudi avoir parlé de sa décision à son père, en soulignant le caractère non politique de l'entretien: "Si la question que vous me posez c'est: est-ce que vous en avez parlé au président, non. Est-ce que j'en ai parlé avec mon père, oui."

    Son annonce, la veille de sa probable élection par le conseil général des Hauts-de-Seine en tant qu'administrateur de l'Epad, est apparue comme une surprise.

    Les quarante-cinq conseillers généraux des Hauts-de-Seine sont appelés vendredi à pourvoir le siège laissé vacant par Hervé Marseille (NC), démissionnaire, qui représentait l'assemblée départementale à l'Epad. Sans grande surprise, Jean Sarkozy, présenté par le groupe majoritaire UMP-NC (30 élus), devrait lui succéder.

    Quelque 200 journalistes, français et étrangers, se sont accrédités pour suivre l'événement.

    Une fois élu au CA de l'Epad, Jean Sarkozy devait logiquement en prendre la présidence le 4 décembre, en remplacement de Patrick Devedjian, qui, atteint à 65 ans par la limite d'âge des présidents d'établissement public, a dû céder sa place.

    En effet, sur 18 élus, le CA de l'Epad compte 9 représentants de l'Etat, 4 élus de gauche, 4 de droite et un représentant de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris.

    Mais si le chemin vers la présidence semblait balisé, les critiques sur son illégitimité ont fini par briser sa volonté. Il a mis en avant jeudi sa responsabilité d'homme politique pour expliquer sa décision: "Mon devoir, c'est de prendre conscience d'une situation qui peut me dépasser, d'en prendre acte et je ne suis pas sourd, je ne suis pas aveugle et je décide en conséquence".

    AFP. 22.10.09

     

  • Jean Sarközy devrait renoncer à la présidence de l'EPAD

    Jean Sarkozy, fils cadet du chef de l'Etat, devrait annoncer jeudi sur France 2 qu'il renonce à briguer le 4 décembre la présidence de l'Epad, établissement public de La Défense, a-t-on appris de plusieurs sources proches du dossier.

      L'arrivée programmée de Jean Sarkozy à la tête du plus grand quartier d'affaires européen avait provoqué une vive émotion dans les milieux politiques, à gauche mais aussi à droite, ainsi que dans l'opinion publique.

    Le fils cadet du chef de l'Etat pourrait toutefois être élu vendredi à Nanterre administrateur de l'Epad par la majorité UMP-NC du conseil général des Hauts-de-Seine, étape précédant l'élection à la présidence de l'Epad, prévue le 4 décembre.

    La candidature de Jean Sarkozy à l'Epad a provoqué la colère des élus de gauche qui y ont vu du "népotisme". Le président lui-même était monté au créneau pour défendre son fils. A travers lui, "c'est moi qui suis visé", avait assuré Nicolas Sarkozy dans son interview au Figaro du 16 octobre.

     Le président du MoDem François Bayrou avait pour sa part qualifié d'"abus de pouvoir énorme" cette candidature. Et à droite aussi, des élus avaient fait part de leur scepticisme. La candidature de Jean Sarkozy est "légitime" mais "pas opportune", avait lâché Pierre Cardo, député UMP des Yvelines.

    L'ambition du jeune homme à prendre la tête de l'Epad se heurtait également à l'incompréhension du public.

    Selon un sondage CSA paru dans Le Parisien/Aujourd'hui en France vendredi dernier, près des deux tiers des Français (64%) et plus de la moitié des sympathisants de droite (51%) critiquaient cette candidature.

    Reprenant dimanche la proposition d'un député PS, le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, avait indiqué que les neuf fonctionnaires siégeant au conseil d'administration de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (Epad) pourraient ne pas participer à l'élection du président.

    Mais les élus de l'opposition avaient assuré que cela ne changerait rien à l'affaire.

    AFP. 22.10.09

     

  • VIDEOS 1 et 2 Polanski et l'immunité artistique

    http://www.dailymotion.com/video/xant70_polanski-et-limmunite-artistique-12_news

    http://www.dailymotion.com/video/xanxqo_llp-polanski-et-limmunite-artistiqu_news

  • VIDEO Une "jungle" à Pontoise: la France ne vide pas les poubelles

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafI9od.html


    Après la «jungle» de Calais, la «jungle» de Pontoise. Une soixantaine de migrants somaliens vivent depuis plusieurs mois dans sur le site d'une ancienne caserne militaire désaffectée de Pontoise (Val d'Oise), à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de la capitale. Un grand hangar aux vitres brisées, sans eau ni électricité et dont le sol est jonché de détritus... «Un quotidien très difficile», explique Jama Ahmed, porte-parole de ces demandeurs d’asile qui, dans l'attente d’être fixés sur leur sort, réclament des conditions de vie «dignes d'un grand pays comme la France».

    Le parisien - 22.10.09

     

  • Gabriel García Márquez, espion de François Mitterrand?

    El Universal a publié la semaine dernière une enquête qui nous en apprend de belles sur Gabriel García Márquez.

    Reprenant des rapports de la défunte Dirección Federal de Seguridad (DFS) –une sorte de KGB à la mexicaine- l’article révèle tout d’abord que l’écrivain a été espionné pendant plus de 20 ans par les services de renseignements mexicains. L’écrivain colombien, installé au Mexique depuis les années 60, n’a en effet jamais caché sa sympathie pour l’extrême gauche latino-américaine, et a toujours entretenu de très bon rapport avec  Fidel Castro.

    Or, à la même époque, et comme dans bien d’autres pays d’Amérique Latine, le gouvernement mexicain cherche à combattre la montée en puissance des mouvements révolutionnaires, communistes ou socialistes à travers une « guerra sucia » ou « guerra de baja intensidad ».

    Dans ce contexte  on comprend pourquoi, à l’instar de beaucoup d’autre artistes ou intellectuels mexicains, les activités de García Márquez furent observées de très près et fichées consciencieusement par la DFS. D’ailleurs, selon Gerald Martin, auteur de la biographie officielle de Gabo, ces révélations ne sont que la confirmation de faits connus de longue date.

    Ce qui surprend davantage, c’est de découvrir l’auteur de Cien Años de Soledad érigé au rang de consul officieux de la France au Mexique sous le gouvernement de François Mitterrand…

    En effet, la plus grande partie des documents de la DFS concerne les activités de García Márquez comme intermédiaire entre les mouvements de gauche Latino-Américains et l’équipe de Mitterrand. Ces relations commencent quelques temps avant l’arrivée au pouvoir du dirigeant socialiste en mars 1981.

    Les communications entre García Márquez et le philosophe Régis Debray, chargé de mission pour les relations internationales par le président Mitterrand, intéressaient tout particulièrement la DFS. Ami de longue date de Debray, García Márquez cherchait –selon les renseignements mexicains- à devenir le porte parole de la gauche latino-américaine (notamment au Salvador, au Chili et en Colombie) et le gouvernement français.

    Tant et si bien que quand, en octobre 1981, le président français annonce une visite au Mexique, le gouvernement mexicain s’inquiètera quelque peu d’accueillir le président français qui semblait porter tant d’attention à la voix de García Márquez… En effet, quelques temps avant l’arrivée de François Mitterrand, la maison de García Márquez avait pris des allure de consulat dans lequel défilaient nombre de figures de la gauche latino-américaine.

    Source: Le Grand Journal (Mexico) - 21 octobre 2009

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    Une ONG latino-américaine porte plainte contre l'écrivain et l'adaptation cinématographique de Mémoires de mes putains tristes.

     Terez Ulloa, directrice de l'ONG de la Coalition régionale contre le trafic de femmes et de fillettes en Amérique latine et aux Caraïbes, a porté plainte lundi 5 octobre pour empêcher le tournage de l'adaptation Mémoires de mes putains tristes , un roman du Prix Nobel de littérature Gabriel Garcia Marquez. Le roman de l'écrivain colombien, résidant actuellement au Mexique, raconte l'histoire d'un homme de 90 ans qui décide de s'offrir une nuit de sexe avec une adolescente de 14 ans.

    L'ONG a porté plainte contre l'écrivain, qui a cédé les droits d'adaptation cinématographique, contre les deux entreprises mexicaines Femsa et Televisa, qui co-produisent le film, et contre le gouverneur de l'état mexicain de Puebla, dans le centre du pays, où doit avoir lieu le tournage. Selon Terez Ulloa, le film  risque de faire l'apologie de la prostitution infantile et de la corruption de mineurs. Il placerait en situation de risque tous les enfants, filles ou garçons pauvres de l'Amérique latine et des Caraïbes. L'ONG va également écrire aux ambassades du Danemark et d'Espagne, dont les gouvernements devaient contribuer au budget au film.

    Source: L''Express - 06 octobre 2009

  • A-t-il un programme pour Louis, 12 ans?

    Le programme de Louis.jpg
    Le programme de Louis
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    La photo originale, diffusée par l'agence Reuters, a été prise à la sortie du conseil des ministres, le 14 octobre 2009.


    En zoomant sur la photo, on peut effectivement y lire distinctement "(...)mme de Louis".

    Est-ce le programme de quelqu'un?
    Sur le site du gouvernement, pas de trace d'un Louis à l'ordre du jour, et aucun Louis au gouvernement...


    Alors, qu'est ce que c'est que ce dossier?

    Le Post - 20 octobre 2009