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Blog - Page 1779

  • Pierre Lellouche choisi par Sarközy pour s'occuper de l'héroïne afghane

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    Pierre Lellouche - 9 mars 2008
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    Soldat français de garde sur une route près de Kaboul - 15 février 2009 
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    Soldats du Bataillon des chassseurs alpins - 18 février 2009
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    Le député Pierre Lellouche, 57 ans, a été choisi par le président Nicolas Sarközy pour endosser le rôle de représentant spécial de la France pour l'Afghanistan et le Pakistan, a-t-on appris dimanche auprès de responsables français.

    Cette nomination doit s'accompagner de la création d'une équipe sous l'égide du ministère des Affaires étrangères pour réunir tous les moyens interministériels liés à ce dossier.

    "On est dans une phase de remise à plat de la stratégie" en Afghanistan et "il faut réorganiser l'ensemble du dispositif et travailler avec les alliés", a résumé un responsable français. "Une équipe va être constituée pour réunir tous les spécialistes" de la question afghane et pakistanaise, car "le Pakistan joue un rôle déterminant dans l'affaire", a souligné ce responsable.

    Avocat et universitaire, Pierre Lellouche, né le 3 mai 1951, est un expert des questions de défense et de l'Otan, apprécié aux Etats-Unis. Député de Paris, membre du parti UMP du président Nicolas Sarköy, il est président de la délégation française à l'Assemblée parlementaire de l'Otan et membre de la commission de défense de l'Assemblée nationale.

    A la fin 2008, il avait entrepris avec un député socialiste une mission parlementaire pour évaluer l'engagement militaire français en Afghanistan et la stratégie de l'Otan dans ce pays, où quelque 70.000 militaires étrangers sont déployés.

    La France compte 2.800 hommes au sein de la force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf) de l'Otan, dont 300 chargés de former l'armée afghane.

    "La stratégie de l'Otan en Afghanistan est en train d'échouer, l'Otan ne gagne pas la guerre en Afghanistan", avait-il déclaré en septembre.

     Il avait estimé qu'il fallait "parler sans fard de la corruption, du problème de la drogue" dans ce pays. Car "on a réussi à fabriquer le premier narco-Etat de la planète financé par l'argent du contribuable de l'Otan", avait-il ajouté.

    AFP. 01/03/09

  • Les Palestiniens de Jérusalem

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    Israël procède à la plus grande déportation de Palestiniens de Jérusalem.


    La municipalité israélienne de Jérusalem occupée, a remis à plus de 100 familles palestiniennes des notifications de la démolition de leurs maisons dans le quartier Silwan de la région Boustan à Jérusalem occupée, sous prétexte de "construction sans permis".

    La procédure d’expulsion, qui se présente comme la plus grande depuis 1967, va causer le déplacement de plus de 1500 Palestiniens de Jérusalem et le retrait de leur droit de résidence dans la ville.

    Dans le même contexte, l’Organisation chrétienne et islamique pour la protection des lieux saints de Jérusalem a accusé l'occupation de mener une "guerre" contre cette ville afin de la vider des Palestiniens. Elle a également demandé un soutien arabe et international pour sauver la ville sainte des tentatives de "judaïsation".

    Le secrétaire général de l’organisation Hassan Khatir, a déclaré que les habitants du quartier "Hay Al Boustan" au sud de la mosquée d’Al Aqsa sont en grand danger étant donné que leur expulsion est devenue certaine.

    Ce dernier a ajouté que les autorités d’occupation ont réussi à faire fuir des dizaines de milliers de chrétiens à cause des dures conditions de vie imposées aux Palestiniens en général de la ville sainte.

    Il a également déclaré que l'organisation profitera de la visite du pape prévue le 8 mai prochain pour attirer son attention sur le complot sioniste qui vise à vider la terre sainte de toute présence chrétienne.

    23 février 2009

  • La rue Jouffroy-d'Abbans se ghettoïse

    «Depuis quelques années, à chaque fois qu'un magasin ferme, c'est un magasin kasher qui ouvre. Mais cela s'est fait progressivement... raconte Jessica, une mère de famille qui vit rue Jouffroy-d'Abbans, entre Cardinet et Malesherbes, dans le XVII e chic.
    Jusqu'au jour où une copine, qui était venue chez moi, m'a dit : Je ne savais pas que tu habitais dans un quartier juif ! »... Sushis kasher, traiteurs kasher , libraire hébraïque, boucherie kasher , un salon de thé kasher ...
     Depuis quatre-cinq ans, la rue Jouffroy-d'Abbans accueille des commerces juifs les uns après les autres. « Maintenant, sur le trottoir, j'entends de plus en plus souvent des gens qui se saluent en disant Shalom, je vois des kippas... Il manque régulièrement des enfants dans la classe de ma fille les jours de fête... »
     « Une transformation sans flonflons, très discrète et finalement assez rapide, observe Hervé Benessiano, maire adjoint au commerce dans le XVIIème, les commerces kasher sont devenus majoritaires. Cela correspond à l'arrivée massive de la communauté juive dans ce secteur. » Une population aisée, en provenance de banlieue et de l'est de Paris surtout, qui cherchait plus de tranquillité en fuyant les tensions avec d'autres communautés.
    La cohabitation, qui se passe bien, n'est pas du goût de tous. « Il y a de moins en moins de mixité, regrette une autre mère de famille, on peut dire que ça se ghettoïse, oui ! Je trouve dommage que l'équilibre se soit renversé. » « Le samedi, renchérit une autre, les boutiques sont fermées, les opticiens par exemple, ce qui n'est pas très pratique... »

    Le Parisien - 1er février 2009

  • Le XVIIème, un quartier sûr pour Michèle...

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    Michèle, 61 ans, rue Jouffroy-d'Abbans (17ème) 

    La rue Jouffroy-d'Abbans est une rue plutôt chic... et passablement déserte les jours de shabbat. Une de ces artères du XVIIe arrondissement devenue, en quelques années, un refuge pour des familles juives plutôt aisées fuyant l’atmosphère trop lourde de Sarcelles ou de Belleville... « Ici, on est à l’abri », reconnaît Jérémy, 18 ans, cheveux au vent sur son Vélib’.

    « Il n’y a pas de tensions, pas d’agressions, pas de sales réflexions. J’ai des copains qui se font constamment embêter vers Voltaire et Charonne, mais ici... » Il avise les façades bourgeoises et les devantures d’une demi-douzaine d’échoppes casher. « C’est tranquille, forcément. » Traiteur, pâtisserie, librairie... Même le restaurant de sushis de la rue est sous le contrôle du Beth Din de Paris. Tous ont fleuri ces deux ou trois dernières années. Un retour aux sources plus ou moins conscient puisque c’est dans le quartier qu’habitait le capitaine Dreyfus au début du siècle dernier. Ici encore que se sont cachés, pendant la dernière guerre, l’écrivain d’ascendance juive Maurice Druon et son oncle Joseph Kessel.

    « Aujourd’hui, les juifs qui se font du mouron pour leurs enfants se regroupent dans des quartiers qui leur semblent familiers et rassurants », sourit Michèle*, 61 ans, l’une des rares à vivre ici depuis trente ans. L’une des rares aussi à oeuvrer pour que la communauté ne se replie pas trop sur elle-même, pour que la rue conserve cette joyeuse capacité de mélange qui lui rappelle sa Tunisie natale. « Les familles habitaient Sarcelles, puis elles ont fui pour le XIXe , puis elles sont venues ici... J’espère qu’elles n’auront pas à fuir de nouveau. » Ce n’est pas tant l’affaire Williamson qui préoccupe Michèle « il y a des millions de Williamson dans le monde » mais les propos qu’elle entend partout, ici, en France. « Ces juifs ils exagèrent, ils tuent des pauvres Palestiniens. Il y a "diabolisation" d’Israël, amalgame... Beaucoup de juifs de France se demandent : Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi ça revient ? »
     Le curé d’une paroisse voisine ne s’est-il pas lui-même alarmé d’entendre quelques-uns de ses fidèles déplorer qu’il y ait de plus en plus de juifs dans le quartier ?
    « L’antisémitisme a toujours existé et les tensions reviennent par cycles depuis des années dans les quartiers populaires... Je me méfie des statistiques qui parlent d’explosion du phénomène », relativise Philippe, en attachant ses deux petits de 5 et 2 ans à l’arrière de sa voiture. Sa femme, Joëlle, a l’air moins sereine : « Ce n’est pas près de se calmer... » Elle hésite, claque la portière. « Nous, on ne se sent pas en danger... Mais on s’inquiète quand même pour nos enfants. Dans quel monde vont-ils vivre ? »

     

  • Les juifs de France ne sont plus discriminés, mais se sentent "menacés et incompris"

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    Richard Prasquier, président du Crif

    Stables ces deux dernières années, les actes antisémites ont connu une envolée depuis le début 2009, principalement dans les quartiers populaires. S’il faut y voir les conséquences sur le territoire français de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza en janvier, beaucoup craignent aujourd’hui que les causes du mal soient plus profondes et plus durables...

    Demain soir, à l’occasion du dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), son président, Richard Prasquier, reviendra sur les motifs d’inquiétudes que partagent à des degrés divers les 600 000 juifs de France, la plus importante communauté d’Europe.


    Car, au-delà des statistiques, c’est un climat délétère alimenté par les "errances" d’un Dieudonné ou les propos d’islamistes radicaux,il s'inquiète d’une « dérive » antijuive possible à la faveur de la crise économique actuelle.

    "Les juifs en France ne sont plus discriminés, mais ils se sentent menacés et incompris. Ils demandent à l’Etat de les protéger."

    C’est tout l’objet du dîner du Crif, et c’est une rupture avec le modèle républicain classique qui est : vous pouvez être juif dans le privé, mais dans l’espace public, il n’y a que des citoyens français », analyse le sociologue Michel Wieworka (auteur de « la Tentation antisémite », Hachette). « Les juifs ont des raisons objectives de s’inquiéter mais il y a aussi de leur part une dramatisation permanente », poursuit-il.


    Signe du malaise ambiant : ce dîner, au cours duquel Nicolas Sarközy devrait prendre la parole comme il l’avait fait l’an dernier, se déroulera sans les représentants du Parti communiste.

    Le Crif reproche en effet à ses leaders d’avoir comme Olivier Besancenot ou plusieurs élus verts participé à des défilés où des slogans antisémites étaient lancés.

     Ce rendez-vous annuel intervient en plus en pleine affaire Williamson. Les déclarations négationnistes de l’évêque britannique, tenues le 21 janvier, ont évidemment profondément heurté et troublé la communauté juive et de nombreux chrétiens. En ce sens, le prochain voyage du pape en Israël devrait permettre à Benoît XVI de procéder à des clarifications qui deviennent urgentes.

    Et Richard Prasquier continue dans une interview:

    Mgr Williamson, l’évêque d’extrême droite dont le credo négationniste a fait scandale, vient de demander « pardon » à tous ceux que ses propos auraient blessés…

    Ce « pardon » laborieux à l’Eglise et aux familles des victimes de « l’injustice nazie » est un non-événement. On attendra longtemps avant qu’il renie ses déclarations négationnistes. Ce qui me préoccupe dans cette affaire, c’est de m’être rendu compte que, pour les membres de la commission chargée des négociations en vue de la levée de l’excommunication, ces déclarations n’ont pas été considérées comme particulièrement graves. Or la négation du génocide est un énorme mensonge, une manifestation particulièrement abjecte d’antisémitisme, un crime contre la morale.



    Vous voulez dire que, lorsque Mgr Williamson a été réintégré dans l’Eglise, ceux qui ont poussé le pape à cela connaissaient parfaitement ses convictions ?

    Oui. Au Vatican, on ne pouvait pas ne pas connaître les prises de positions anciennes et répétées de Williamson. Cela dit, le dialogue judéo-catholique continuera, et ce n’est pas Williamson qui le brisera. Le pape a dit que la négation de la Shoah est inconcevable. Il a réaffirmé sa solidarité avec les juifs. Et il a demandé aux intégristes d’accepter le concile Vatican II, marqué notamment par la reconnaissance de la filiation entre judaïsme et chrétienté.

    Le projet de béatification du pape Pie XII dont le silence pendant la Seconde Guerre mondiale continue de provoquer polémiques et malaise ne risque-t-il d’être un sujet de conflit ?

    Si l’Eglise prenait la responsabilité de béatifier Pie XII avant que les historiens aient eu accès aux archives complètes du Vatican, elle provoquerait une rupture grave avec le monde juif.

     Avant et pendant la guerre, alors que l’Eglise avait besoin d’un prophète, Pie XII s’est conduit comme un diplomate, et un mauvais diplomate. Après 1945, alors que le nazisme s’était effondré et qu’il n’y avait plus aucun risque ni pour les prêtres ni pour l’Eglise, jamais il n’a parlé de la Shoah, ce qui suggère que, pour lui, il s’agissait d’un événement d’importance secondaire.

    Qu’espérez-vous du voyage de Benoît XVI en Israël en mai ?

    J’espère que ce voyage apportera beaucoup d’éclaircissements et d’apaisement, notamment lorsque le pape ira au mémorial de Yad Vashem. Et qu’il se situera dans la ligne du voyage de Jean-Paul II qui a énormément contribué au rapprochement entre juifs et catholiques.

    (Source: Le Parisien - 1er mars 2009)

     

  • STATS FEVRIER 2009

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  • Chinon, "petite ville, grand renom"

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    Chinon, en février 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

  • A Oulan-Bator, on admire Hitler...

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    A Oulan-Bator, capitale de la Mongolie
    VSD du mercredi 11 février 2009 a publié un reportage sur la montée de l’ultranationalisme à Oulan-Bator, où le Fürher Adolf Hitler est devenu la référence de plusieurs mouvements nationalistes radicaux.

    Cet ultranationalisme s’est inscrit progressivement dans le quotidien de la population de la capitale, où les bars affichent des décorations façon IIIème Reich, avec des portraits d’Himmler et de Goebbels sur les murs, des croix gammées imprimées sur le carrelage, et des soldats SS en cire qui montent la garde près du zinc.

    « Nous respectons beaucoup Hitler. Il a entraîné la réussite de la race aryenne en nettoyant son pays des juifs », affirme ainsi le leader du mouvement Dayar devant le drapeau du NSDAP qui côtoie le fanion mongol dans son bureau.
    (Source: Le Crif)
    Un proverbe mongol: "Même si Dieu veut t'acheter ta terre, ne la vends pas"

  • Originaire du même village que la première femme de Sarközy...

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    Xavier Musca
    PARIS (Reuters) - Xavier Musca, un autre fidèle de Nicolas Sarközy, devient secrétaire général adjoint de l'Elysée à la place de François Pérol nommé dans la contestation à la tête du futur deuxième groupe bancaire français.
    Xavier Musca, 49 ans, occupait jusqu'à présent les fonctions de directeur du Trésor.
    Deux arrêtés publiés vendredi au Journal officiel mettent fin aux fonctions de François Pérol, qui va diriger l'ensemble Banques populaires/Caisses d'épargne, et scellent la nomination attendue de Xavier Musca.
    Fils d'un postier corse, Xavier Musca fut directeur de cabinet de Francis Mer à Bercy, un poste qu'il a conservé quand Nicolas Sarközy a été nommé ministre de l'Economie, en 2004.
    Son retour au statut de conseiller est peu ordinaire pour un directeur du Trésor, d'habitude nommé à la tête d'une grande administration.
    Né à Bastia le 23 février 1960, Xavier Musca a un autre lien avec le chef de l'Etat : il est originaire du village de Vico, comme Marie-Dominique Culioli, la première épouse de Nicolas Sarközy.
    Il était présenté en novembre 2008 par L'Express comme "un beau spécimen de la méritocratie française, jamais passé au privé".
    Le "sherpa" Xavier Musca présidait aussi à Bruxelles le Comité financier européen, instance stratégique qui rassemble les directeurs du Trésor des pays de l'Union européenne.
    Avec Stéphane Richard, directeur de cabinet de Christine Lagarde à Bercy, il a ainsi eu à gérer la crise financière avec François Pérol, dont il est proche.
    Xavier Musca devrait être remplacé au Trésor par son numéro deux, Ramon Fernandez, un énarque de 41 ans.
    Fils de l'écrivain Dominique Fernandez, qualifié de très proche de Nicolas Sarközy par Libération, Ramon Fernandez avait travaillé sous les ordres de Xavier Musca à Bercy, puis de François Pérol à l'Elysée.
    Il avait été promu directeur de cabinet de Xavier Bertrand au ministère des Affaires sociales en 2008 avant de retourner au Trésor.
    Service France, édité par Sophie Louet

  • Pour Franz-Olivier Giesbert, "la barrière raciale a explosé"

    http://www.dailymotion.com/video/x7b3zk_obama-president-reaction-de-franzol_news

    Franz-Olivier Giesbert est directeur du Point

  • Dieudonné condamné au Québec...

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    L'humoriste controversé français Dieudonné a été condamné au Québec à payer 75.000 dollars (46.872 Euros) au chanteur-acteur Patrick Bruel pour avoir tenu des propos injurieux à son égard, rapporte samedi le quotidien montréalais La Presse.
    Lors d'une émission diffusée en 2006, Dieudonné avait traité Patrick Bruel de "menteur" et de "militaire israélien", affirmant qu'il soutenait les bombardements de l'armée israélienne au Sud-Liban.

    Le chanteur avait intenté en 2007 au Québec une action en diffamation contre l'humoriste, à laquelle ce dernier n'a jamais répondu, rappelle La Presse en indiquant que Dieudonné a été condamné par défaut cette semaine par Me Danièle Besner, greffière spéciale de la Cour supérieure à Montréal.

    La plainte déposée par Patrick Bruel (alias Benguigui), d'origine israélite, contre Dieudonné M'Bala M'Bala se chiffrait au départ à 175.000 dollars. Le chanteur y soulignait le "caractère répétitif" des agissements de Dieudonné ainsi que sa "mauvaise foi".

    Me Besner a toutefois réduit les dommages réclamés car l'émission n'a été diffusée qu'une seule fois, le 29 novembre 2006, à Télé-Québec. Le producteur de l'émission avait décidé de ne pas la rediffuser.

     Habitué aux poursuites, Dieudonné M'Bala M'Bala, d'origine bretonne et camerounaise, a été condamné à plusieurs reprises pour des propos sur la Shoah et les juifs.

    Il s'est produit à plusieurs reprises ces dernières années au Québec où ses spectacles sont appréciés.

  • LISZT - Georges CZIFFRA - Rhapsodie hongroise n°15 (Marche de Rakoczy)

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    Franz Liszt - compositeur et pianiste hongrois ( 1811-1886)
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    Georges Cziffra interprète Liszt
    Georges Cziffra, pianiste hongrois (1921-1994)- Naturalisé français en 1968

    podcast

  • Sainte Ingrid descendue de son piédestal...

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    Le 5 décembre au Brésil
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    Tom Howes, Marc Gonsalves et Keith Stansell (de g à d)

    Dans «Out of captivity», trois anciens otages américains des Farc décrivent la Franco-Colombienne comme une codétenue «égoïste, hautaine», et manipulatrice…

    Son image était jusqu'ici celle de l'«héroïne», fêtée dans le monde entier, après ses six années passées aux mains des Farc. Mais près de huit mois après sa libération, c'est un tout autre portrait d'Ingrid Betancourt que dressent trois de ses anciens codétenus américains dans un livre-témoignage.

    Dans «Out of captivity», sorti jeudi aux Etats-Unis, Keith Stansell, Thomas Howes et Marc Gonsalves, la décrivent plutôt comme une personne «égoïste et hautaine». «Je l'ai regardée essayer de prendre le contrôle du camp avec une arrogance incontrôlable», raconte ainsi Keith Stansell, le plus virulent des trois auteurs, dans un entretien à l'Associated Press. «Certains des gardiens nous traitaient mieux qu'elle ne le faisait», ajoute cet ancien marine de 44 ans. Pour lui, la Franco-Colombienne se voyait comme «une princesse qui pense que les Farc ont construit ce château pour elle seule. C'est pas arrogant, ça ?» s'insurge-t-il.

    Selon lui, l'ex-candidate à la présidentielle colombienne volait de la nourriture et se gardait les rares livres disponibles.

    Elle aurait même mis leur vie en danger en envoyant des messages au chef rebelle Sombra, dans lesquels elle affirmait qu'ils étaient des agents de la CIA, pour faire en sorte qu'ils soient transférés ailleurs. Rien ne permet toutefois de vérifier cette affirmation. Au moment de leur capture en février 2003, Keith Stansell, Thomas Howes et Marc Gonsalves menaient en fait une opération anti-drogue en Colombie pour le compte de l'armée américaine via la société Northrop Grumman Corp.

    Dans cet ouvrage de 457 pages, Ingrid Betancourt passe pour une femme désireuse d'imposer son autorité non seulement à ses codétenus, en décrétant notamment les horaires pour se laver, mais aussi à ses geôliers. «Elle ne demandait rien, elle donnait un ordre», raconte Marc Gonsalves.

     

    D'autres tensions sont apparues lorsque les otages se sont vu confisquer leurs radios. Seule la Franco-Colombienne a réussi à garder la sienne en cachette, mais elle aurait refusé d'en faire profiter ses compagnons. «Nous espérions qu'elle nous raconterait ce qu'elle avait entendu, notamment des messages de nos familles, mais elle n'en a rien fait», regrette Marc Gonsalves, qui a gardé contact avec elle depuis, et décrit parallèlement une amitié chaleureuse avec elle et même une certaine attirance réciproque...

    Car s'ils partagent largement l'opinion de Keith Stansell, Marc Gonsalves et Thomas Howes sont un peu plus nuancés à son sujet, et affirment ne pas avoir de rancune à son égard. «Parfois, elle n'était pas la personne que nous pensions. Parfois, Ingrid était une personne beaucoup plus compliquée et multidimensionnelle que ce dont nous étions convaincus», écrivent-ils.

    Le Figaro - 27 février 2009

  • David Rosen, le rabbin du Vatican, n'est pas satisfait

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    Des dirigeants des communautés juives d'Allemagne et d'Italie ainsi que des représentants d'associations catholiques ont estimé que les "regrets" de l'évêque ne changeaient rien à ses idées.

    "Ce ne sont pas de vraies excuses", a déclaré le rabbin israélo-américain David Rosen, l'un des interlocuteurs permanents du Vatican, à l'agence des évêques italiens SIR.

    "Je souhaite que le Vatican tire enfin les conséquences" de cette affaire qui "n'a que trop duré", a déclaré le vice-président du Conseil central des juifs d'Allemagne, Dieter Graumann.

    Il a estimé que le problème concernait "la Fraternité Saint-Pie X dans son ensemble", des "fanatiques intolérants, ennemis de la démocratie", "proches du fascisme".

    "Je crois qu'il n'y a pas eu de chambres à gaz. Je pense que 200.000 à 300.000 Juifs ont péri dans les camps de concentration mais pas un seul dans des chambres à gaz", avait déclaré à la télévision suédoise Mgr Williamson dont les propos ont été diffusés le 22 janvier, au moment même où la décision du pape était connue.

    Le Vatican a assuré que Benoît XVI, très attaché aux relations avec le judaïsme, ignorait les positions de Richard Williamson lorsqu'il a pris sa décision.

    Le pape doit effectuer en mai un voyage en Israël.

    AFP.27.02.09

     

  • Geronimo - La Mémoire indienne

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    Geronimo

    L'arrière-petit-fils du célèbre rebelle guerrier apache soupçonne une société secrète de la prestigieuse université américaine d'avoir dérobé sa dépouille vers 1918. Il intente une action en justice afin de «libérer» l'esprit de son aïeul.

    VIDEO: Justice pour Geronimo

     http://www.youtube.com/watch?v=u40fGnEJxxk

    Selon les siens, Geronimo ne repose pas en paix. C'est pour y remédier et «libérer» son esprit que son arrière-petit-fils intente une action contre le gouvernement américain.

    Harlyn Geronimo entend ainsi récupérer sa dépouille et ses objets funéraires pour les ramener sur ses terres au Nouveau-Mexique et lui dresser une sépulture digne de la tradition apache.

    «Cela fait 100 ans que mon arrière-grand-père est mort», à 90 ans d'une pneumonie alors qu'il était prisonnier de guerre. «Cela correspond à 100 ans d'emprisonnement», estime ce vétéran du Vietnam de 61 ans, défendu par l'ex- secrétaire à la Justice, Ramsey Clark.

    Outre le président américain Barack Obama et le secrétaire à la Défense, Robert Gates, accusés en leur qualité de responsables du gouvernement, sa plainte vise surtout la prestigieuse université de Yale et l'une de ses sociétés secrètes : Skull and Bones, littéralement l'Ordre Crâne et Os.

    Une vieille légende veut qu'un membre de cet ordre ait subtilisé le crâne, deux os, une bride et des étriers de Geronimo, dans sa tombe de Fort Sill, dans l'Oklahoma. Son crâne aurait été disposé dans un bocal de verre et serait toujours dans des locaux de l'ordre surnommés «la Tombe», à New Haven.

     

    Société secrète et rites initiatiques

     

    Parmi les membres de l'Ordre Crâne et Os accusés de cette profanation, figure notamment le grand-père de l'ex-président Bush, Prescott Bush.

    Les deux présidents Bush, tout comme l'ancien candidat à la présidence John Kerry, ont eux-mêmes appartenu à cette société qui n'est pas officiellement rattachée à Yale. Harlyn Geronimo a d'ailleurs écrit à George W. Bush pour lui demander que la dépouille de son aïeul puisse être enterrée sur la terre de ses ancêtres, mais il n'a jamais reçu de réponse.

    Considérés comme appartenant à une élite - seuls 15 nouveaux entrants sont acceptés chaque année - les membres de l'Ordre Crâne et Os sont tenus au secret et doivent se prêter à toutes sortes de rites initiatiques, comme embrasser un crâne ou vénérer le chiffre «322». L'université comme l'ordre se sont refusés à tout commentaire.

    Rien ne prouve que tout cela soit vrai, mais une lettre découverte en 2005 par Marc Wortman, historien à Yale, est venue renforcer cette thèse.

    Dans ce courrier adressé à un autre élève, un membre de l'ordre avoue être l'auteur du vol. «Le crâne du vaillant Geronimo "le terrible" et d'autres restes ont été dérobés dans la tombe du chef, comme plusieurs pièces de son attelage».

    Pour l'instant, les derniers restes de Geronimo se trouvent sous une pyramide de pierres, au cimetière militaire de Fort Sill.

    Si jamais Harlyn Geronimo obtenait gain de cause, il rapporterait tous ses restes afin de les réenterrer sur son lieu de sa naissance, près de la rivière Gila, au Nouveau-Mexique. Pour que l'esprit du guerrier repose enfin en paix.

    Le Figaro - 20/02/09

  • Serge Klarsfeld veut sauver les ruines de la Shoah

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    Birkenau
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    INTERVIEW- Serge Klarsfeld soutient l'appel à l'aide européenne du gouvernement polonais pour entretenir le camp d'extermination. Le site tombe en ruines.

    Si rien n'est fait, le camp d'Auschwitz-Birkenau va disparaître. C'est la raison pour laquelle le premier ministre polonais Donald Tusk, dont l'Etat finance l'entretien du site, a lancé un appel aux dons aux pays de l'Union européenne. «Si la Fondation récoltait 120 millions d'euros, elle pourrait affecter chaque année de 6 à 7 millions d'euros à la conservation du camp» a expliqué le ministre polonais des Affaires étrangères devant ses pairs de l'UE lundi. Pour lui, «c'est vraiment le moment de faire en sorte que le dernier camp d'extermination encore conservé soit maintenu pour les prochaines générations».


     

    Serge Klarsfeld est vice-président de la Fondation pour la mémoire de la Shoah et depuis peu, l'un des quinze membres du conseil de la Fondation Auschwitz-Birkenau. Interrogé par lefigaro.fr, il réagit à cet appel à l'aide.

    Lefigaro.fr : Le camp d'Auschwitz est-il très déterioré ?

    Serge Klarsfeld : Ce sont surtout les baraques de Birkenau qui s'abîment Construites en bois, elles n'étaient pas conçues pour durer soixante ans. Elles ont été entretenues de façon artisanale et respectueuse de l'authenticité des lieux, mais là, il faudrait les réhabiliter pour éviter qu'elles ne s'effondrent. D'autre part, les objets qui représentent les victimes, comme les valises ou les cheveux entassés dans une salle nécessitent une véritable protection pour ne pas disparaître.

    Comment expliquez-vous cette détérioration ?

    Par le temps qui passe, et par la hausse de la fréquentation également. Quand j'ai visité le camp pour la première fois, en 1965, j'étais seul sur les lieux. Aujourd'hui, c'est inconcevable. En 2008, 1,3 million de personnes s'y sont rendus. Le plus grand dilemme de cet endroit, c'est de préserver ce qui est authentique, tout en permettant aux gens de le voir et de le toucher.

    En quoi est-ce important de préserver un tel lieu ?

    Tout lieu où on a mis à mort beaucoup de gens a un caractère à la fois maudit et sacré. La préservation montre que l'on n'a pas oublié les victimes. Cela constitue également une preuve historique, dans la mesure où on trouve les ruines des chambres à gaz par exemple. C'est une étape de l'humanité dans son inhumanité.

    Les négationnistes ne risquent-ils pas de s'emparer de cette restauration pour en mettre en doute la validité historique ?

    Tout d'abord, il ne s'agit pas de reconstruction, mais de restauration. Et de toute manière, l'histoire du fonctionnement des chambres à gaz se trouve dans les plans et les documents, et non pas dans les ruines. Mais c'est important de pouvoir montrer où tous ces drames se sont déroulés.

    Ne pensez-vous pas qu'il vaudrait mieux mettre de l'argent ailleurs que dans la restauration de ce lieu de mort ?

    Faut-il arrêter de jouer des tragédies pour ne regarder que des comédies ? On n'a qu'à mettre Eschyle, Sophocle et Racine à la poubelle et ne jouer que «Bienvenue chez les Ch'tis» ! On ne peut pas faire des comédies sur tout ! Et l'histoire avance à coups de tragédies. Je suppose qu'à Srebrenica, on ne fait pas du camping sur la fosse commune non plus !

    Comprenez-vous l'appel du gouvernement polonais à l'aide européenne ?

    Il ne faut pas oublier que ce sont, entre autres, les policiers français, belges, hollandais et italiens qui ont rempli les trains [qui ont conduit les Juifs dans les camps de la mort] ! On ne peut pas faire porter à un seul pays le poids de la préservation d'un tel site. Je pense que l'Allemagne et la France seront sensibles à cela. Cette initiative doit être européenne car tous les pays ont un lien avec Auschwitz en Europe. Je n'ose pas envisager un refus. On ne peut pas laisser Auschwitz disparaitre.

  • La LICRA fait retirer 'Les amis de Sarko"sur Youtube

    La Licra a demandé son retrait de Youtube. La vidéo, repostée sur Internet, reste accessible.

    Intitulée "Les amis de Sarko", la vidéo passe en revue des hommes et femmes français, issus du monde des médias, du spectacle et de la politique. Tous sont présentés comme juifs.

    En plus, on peut lire des cartouches comme: "Ils sont arrivés pauvres dans un pays riche et ils sont aujourd'hui riches dans un pays pauvre. Ils contrôlent la société, vous ne le voyez pas."

    "C'est odieux, inacceptable, c'est une provocation à la haine raciale, il s'agit une fois de plus du mythe des Juifs qui tiennent toute la société", s'indigne sur le site du Nouvel Observateur, Me Alain Jakubowicz, président de la commission juridique de la Licra.

    Youtube a retiré la vidéo dès qu'on lui a signalée, la semaine dernière, se réjouit la Licra. A la place, on peut lire: "Cette vidéo n'est pas disponible pour votre pays".
    Mais la Licra explique qu'elle a dû réitérer sa demande vendredi 27, après que NouvelObs.com lui a signalé que le fichier était de retour sur la plateforme.

    La vidéo restait en tout cas vendredi disponible sur Internet, via Dailymotion par exemple.
    Cette fois intitulée "Sarkozy et ses amie" (la faute est probablement volontaire), vers 19h30, cette vidéo était encore accessible.


    Si la Licra, citée par le site du Nouvel Observateur, ne "remet pas en cause la bonne foi de You Tube", l'Union des Etudiants Juifs de France a pour sa part "informé [son] avocat, la semaine dernière, afin qu'il lance une procédure contre You Tube", révèle le Nouvelobs.com.

    "La loi ne fait aux hébergeurs aucune obligation de contrôle préalable, et c'est là le problème", estime ainsi Alain Jakubowicz. Il nuance toutefois: "Une fois prévenus qu'une vidéo contraire à la loi en vigueur dans le pays a été mise en ligne, ils doivent agir."

    Capture d'écra, vidéo sarko et ses amis.jpg
    Le Post - 27/02/09
  • Le meurtre du petit Jonathan en 2004

    Affaire Jonathan.jpg

    La gendarmerie a entamé une série de 800 nouveaux prélèvements ADN depuis un mois et demi dans le cadre de l'affaire Jonathan Coulom, 11 ans, enlevé et assassiné en 2004 en Loire-Atlantique dans des conditions non élucidées, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie.

    Ces prélèvements sont réalisés sur les personnes ayant résidé dans le centre de vacances où avait été enlevé l'enfant et devraient s'achever "bientôt", a-t-on précisé de même source.

    Jonathan Coulom, originaire du Cher, a disparu dans la nuit du 6 au 7 avril 2004 d'un centre de vacances à Saint-Brévin-les-Pins (Loire-Atlantique). Son cadavre a été découvert le 19 mai, ligoté et lesté d'un parpaing dans l'étang d'un manoir proche de Guérande, à 25 km du lieu de l'enlèvement.

    La principale piste dont disposent les enquêteurs est une trace ADN relevée sur le lit de Jonathan mais la justice, toujours à la recherche du propriétaire de cet ADN, reste prudente quant à la possibilité qu'il s'agisse de celui du meurtrier de l'enfant.

    Quelque 1.500 tests ADN ont déjà été réalisés et la trace ADN a même été diffusée auprès d'Interpol, en vain.

    Les nouveaux prélèvements en cours devraient permettre à la gendarmerie de "fermer de nouvelles portes" dans le cadre de l'enquête, et notamment de vérifier si la trace ADN n'appartiendrait pas à l'un des précédents occupants des lieux...
    Et Antoine, qui s'est volatilisé à Issoire?
  • Rénover Auschwitz

    chambre à gaz.jpg
    Chambre à gaz
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    Une allée dans le camp d'Auschwitz
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    La Pologne appelle les dirigeants de l'Union européenne à lever 120 millions d'euros pour participer aux travaux de rénovation de l'ancien camp de concentration nazi d'Auschwitz.

    Dans un courrier adressé au début du mois aux dirigeants européens et obtenu vendredi par l'Associated Press, le Premier ministre Donald Tusk explique que le musée de l'ancien camp prévoit la création d'une fondation pour financer et superviser ces travaux "urgents" de rénovation. Ce fonds a besoin d'un minimum de 120 millions d'euros pour être opérationnel, précise-t-il.

    "Sauver Auschwitz-Birkenau signifie sauver la mémoire de millions de personnes qui y ont souffert et y ont été tuées de manière bestiale", écrit Donald Tusk. "L'extermination ne saurait devenir un simple chapitre oublié de l'histoire de l'humanité".

    Dans ce courrier daté du 10 février, le Premier ministre polonais souligne le rôle fondamental et symbolique d'Auschwitz dans la préservation de la mémoire de l'Holocauste. Il explique également que le musée ne peut à lui seul supporter le poids financier de l'organisation d'expositions et de rénovation des bâtiments en ruine.

    Vendredi, le ministre allemand des affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier a annoncé que Berlin donnerait un million d'euros pour ces travaux de rénovation. "L'Allemagne ne fuira pas ses responsabilités", a-t-il affirmé, précisant que la contribution allemande serait plus importante lors de la prochaine année fiscale.

    Le camp d'Auschwitz-Birkenau s'étale sur 200 hectares, et compte 155 bâtiments ainsi que 300 ruines, dont des dortoirs et des chambres à gaz. Plus d'un million de personnes, en grande partie des Juifs, y sont mortes, gazées, malade, affamées, ou épuisées par le travail forcé.

    AP -27.02.09