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Blog - Page 1777

  • 3 VIDEOS Le père d'Ophélie Bretnacher le 15 février 2009 à Budapest - Archives caméras (2)

    http://www.youtube.com/watch?v=IEEvMGpBQ8U

    http://www.youtube.com/watch?v=ZQVMAqLMhTw

    http://www.youtube.com/watch?v=8khZKjbHdqw

  • Ophélie Bretnacher: un article de France-Soir du 31 janvier parlait de six personnes recherchées...

    Ophélie photos vidéo avec hommes France-Soir 31 janvier 09.jpg
    Photos caméras de surveillance, nuit du 4 décembre 2008 à Budapest. On distingue des silhouettes près desquelles elle est passée avant de s'engager sur le pont des Chaînes.  
    En haut à gauche, Ophélie avec son sac passe devant un homme adossé contre d'un pilier. Puis devant chauffeur de taxi, à droite. En bas, avant l'entrée du pont des Chaînes, d'autres silhouettes, dont une avec un capuchon (Kapucnis)
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    Un chauffeur de taxi et cinq autres hommes, identifiés sur des vidéos, activement recherchés.

    Ils sont six. Et tous ont croisé Ophélie, quelques minutes avant sa disparition. Qui sont ces hommes visibles sur les images des caméras de vidéosurveillance ? Qu’ont-ils vu ? Que savent-ils ? Pour le savoir, la police les recherche. Parmi eux, un chauffeur de taxi et un homme adossé près d’un pilier. Tous deux voient passer la jeune femme sous leurs yeux, à 2 h 50. Plus loin, près du pont des Chaînes, trois autres hommes sont identifiables.

    C’est justement ici que se perd la trace d’Ophélie. Selon Laszlo Agai, l’avocat du couple Bretnacher à Budapest, la police centrale, en charge de l’affaire depuis vendredi dernier, est sur « de bonnes pistes » pour les retrouver. Simples témoins ou personnes en lien direct avec l’affaire, leurs auditions pourraient permettre aux enquêteurs de s’orienter, enfin, vers une piste privilégiée. Car deux mois après la disparition de la jeune femme, aucune hypothèse particulière ne se dessine. Tous les scénarios sont envisageables.

    Pourtant, le 15 janvier dernier, une avocate racontait aux policiers avoir rencontré Ophélie dans la rue. L’étudiante, désorientée, l’aurait abordée en français pour lui demander de l’argent. L’avocate l’a formellement reconnue sur les photos que lui ont présentées les policiers. Un témoignage pris très au sérieux, tel que nous le révélions dans notre édition datée du 21 janvier. Un récit jugé en tout cas plus crédible que celui du 10 janvier.

    Ce jour-là, un témoin disait lui aussi avoir croisé Ophélie dans la rue. Selon lui, la jeune femme qui parlait un mauvais hongrois était en train de mendier. Rien n’a encore permis de confirmer ces dires. Ni les recherches dans les centres de soins et les abris pour sans domicile fixe.

    FRANCE SOIR - 31 janvier 2009

    Depuis, on n'a plus entendu parler de ces pistes. Le corps d'Ophélie a été retrouvé dans le Danube deux mois plus tard après sa disparition mystérieuse.

     La police hongroise croit à un accident ou à un suicide. Mais il y a peut-être eu enlèvement, agression, séquestration, et corps jeté à l'eau après le 4 décembre.  Ce qui paraît beaucoup plus vraisemblable qu'un suicide.

     

     
  • Haine raciale: Elie Domota se dit "étonné"...

    Domota Guadeloupe.jpg

    Elie Domota est «étonné» que le parquet de Pointe-à-Pitre ait ouvert une enquête judiciaire, notamment pour provocation à la haine raciale et tentative d'extorsion de signature, après ses déclarations polémiques sur les patrons guadeloupéens..

    «Mes propos n'avaient rien de racistes, ceux qui veulent les interpréter comme tels, cela les regardent. J'évoque des problèmes d'ordres sociaux, il y en a que ça dérange...», s'est-il défendu au micro de France-Info, dimanche matin. Le patron du LKP avait soulevé l'indignation en affirmant que les entrepreneurs qui refusaient l'accord d'augmentation de 200 euros des bas salaires devraient «quitter la Guadeloupe» et qu'il ne «laisserait pas une bande de békés rétablir l'esclavage». Une référence aux descendants de colons blancs, souvent accusés de mainmise sur l'économie des Antilles françaises. Elie Domota estime que cette enquête montre «la volonté affichée de faire taire le peuple guadeloupéen».

    Si un procès avait lieu, le leader du LKP a assuré qu'il demanderait qu'il soit radio-télévisé, afin que «le monde entier» puisse constater ce qui se passe en Guadeloupe.

    L'enquête du parquet de Point-à-Pitre vise le chef de «provocation à la discrimination, à la haine et à la violence contre des personnes ou des catégories de personnes en raison de leur origine ou en raison de leur appartenance ou de leur non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion, visant notamment et spécifiquement les personnes désignées par le vocable Béké et les entreprises que ces personnes dirigent».

     

    Plainte pour révisionnisme!

     

    Un des avocats du LKP, Patrice Tacita estime qu'une telle action judiciaire relève de la «provocation». «Cela n'arrêtera pas la marche du peuple guadeloupéen». Si elle est confirmée, «nous allons déposer plainte nommément contre ceux qui ont déposé plainte, pour révisionnisme», a-t-il dit, estimant que les propos de Elie Domota sur les békés reflétaient «la réalité historique».

    Dans le cadre de cette enquête, les gendarmes ont saisi samedi les enregistrements des propos tenus par Elie Domota, a de son côté indiqué un porte-parole du ministère de l'Intérieur.

    Le Figaro - 08/03/09

  • "Les Portes du ciel" sont ouvertes au Louvre

    Pharaons.jpg

    Le musée du Louvre raconte les croyances de l’Egypte ancienne dans l’exposition « les Portes du ciel » . Quelque 370 objets somptueux à découvrir.

     

    A l’évidence, l’Egypte au temps des pharaons n’a pas fini de susciter mystères et fantasmes. Ouverte depuis vendredi, l’exposition « les Portes du ciel » au musée du Louvre attire déjà une fréquentation très dense. Statuettes de bronze incrustées d’or, stèles funéraires, sarcophages, bas-reliefs, coffrets de bois : le département des Antiquités égyptiennes a puisé parmi les plus belles pièces de ses collections.

    Soixante-dix autres œuvres, prêtées par des particuliers ou d’autres institutions européennes, s’y ajoutent. Tous ces objets remontent à l’Egypte ancienne : un papyrus portant un texte à l’encre noire et des illustrations colorées de 1069 avant Jésus-Christ, une statue du pharaon Sethi II réalisée en 1279 avant J.-C. Ces trésors ne sont pas arrivés jusqu’à nous par hasard. Ils étaient conçus pour durer, investis d’une double mission : faire perdurer l’ordre établi et permettre aux défunts de vivre éternellement dans l’au-delà.


    « Selon la croyance, explique Marc Etienne, commissaire de l’exposition, le monde est né d’un esprit, Atoum, qui sommeillait dans le Noun, c’est-à-dire un espace immense, obscur, calme. » Atoum prend alors une forme humaine et engendre des enfants qui, eux-mêmes, en feront naître d’autres… Les dieux assurent la bonne marche de l’univers et se servent du roi sur terre comme d’un intermédiaire.
    Et le commun des mortels dans tout ça ?Il aspire à l’immortalité . « Si l’on prend l’exemple d’un homme vivant à cette époque, imagine Marc Etienne, on peut penser qu’à proximité de son lieu d’habitation il y a un temple, qui se trouve lui-même dans une enceinte. Cette enceinte a des portes, parfois ouvertes, parfois fermées, mais que seuls les prêtres peuvent franchir. A côté, tout autour, il y a des statues du roi par exemple. C’est auprès d’elle que notre homme va remercier les divinités. » Pour gagner sa place dans l’au-delà, et s’éviter d’errer à tout jamais dans le royaume des morts, le défunt paie le prix fort : sépulture, offrandes. Les Egyptiens voyaient dans leur univers encore d’autres portes vers le ciel, sans matière. « L’horizon de l’Ouest et celui de l’Est constituent les portes qui marquent, par leur ouverture éternelle, la succession des jours et des nuits et le triomphe du soleil. » Donc de la vie…

    « Les Portes du ciel », au Louvre, Paris Ier , hall Napoléon. Jusqu’au 29 juin ,tous les jours sauf le mardi, de 9 heures à 20 heures, 22 heures le mercredi et le vendredi. Tarifs : 11 €, 14 €. Gratuit pour les moins de 18 ans. Tél. 01.40.20.53.17.

     

  • Quelle honte! Ils ont laissé des monstres martyriser leur enfant et maintenant ils cherchent tous à se couvrir!

    Chambre de Dylan enfant martyr Millau.jpg
    La chambre d'un enfant "joyeux et hyperactif"...
    Parents de Dylan torturé.jpg
    Les parents tortionnaires, Franck et Stéphanie, (centre-non floutés) avec des voisins dans leur cour
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    En voyant à la télévision la pièce sordide qui servait de chambre à Dylan, Erika* s’est sentie à la fois « bouleversée et coupable de ne pas avoir fait quelque chose ». Mais cette jeune femme de 22 ans ne pouvait pas imaginer que ce petit garçon de 7 ans, qui vivait dans l’appartement situé juste en dessous de chez elle, était victime de mauvais traitements...

    Cela fait un an qu’Erika a emménagé avec son compagnon au 2ème étage de cette grande maison dans un quartier résidentiel de Millau (Aveyron). Mardi, elle était là quand la police est venue chercher sa voisine, Stéphanie, et ses deux enfants (Dylan et Matthias, 18 mois).

    « Sa mère disait qu’il n’était pas scolarisé parce qu’il était hyperactif »

    Depuis, elle a appris que les parents ont été placés en détention provisoire pour privation de soins et non-respect de l’obligation scolaire concernant leur fils aîné. Le garçonnet a également été victime de coups répétés portés par le père, Franck, un maçon de 42 ans. Un délit que la mère, âgée de 35 ans, sans emploi, n’a pas cherché à empêcher.

    « On se sent coupable. On se dit qu’on n’a pas aidé l’enfant. Mais, avec mon compagnon, on ne s’est aperçus de rien », répète Erika, visiblement très affectée. Elle décrit ses voisins comme un couple « gentil et sympa, des gens sociables, pas des marginaux ». Pour autant, Erika n’a jamais été invitée à entrer chez eux. « Le père, on le voyait souvent partir à pied le week-end pour aller faire les courses avec les enfants. Il lui arrivait de crier après Dylan comme le font tous les papas. Dylan, c’est un enfant joyeux qui nous envoyait des bisous. Il ne parlait pas très bien. Sa mère disait qu’il n’était pas scolarisé parce qu’il était hyperactif. »

    C’est en tout cas, selon le procureur de la République Patrick Desjardins, « la présence d’un enfant vif au comportement imprécis qui a attiré l’attention des services sociaux en août 2008 lors d’une visite de routine, avant le signalement au parquet de Rodez ». En faisant intervenir la police seulement six mois plus tard, la justice a-t-elle tardé à réagir ? « Les délais ont été longs, mais la situation n’était pas alarmante. Le retard est surtout dû au comportement des parents qui n’ont pas répondu aux convocations », répond le procureur de la République.

    Avocat commis d’office pour défendre le père, Me Christophe Bringer dénonce surtout dans ce dossier « une réponse inadaptée (NDLR : des services sociaux) pour un couple au bagage social et culturel moyen, dépassé par des difficultés réelles ». Il ajoute que son client « ne se voit pas comme un papa martyrisant ». Quant à la mère, « si elle n’a pas réagi plus et plus vite, c’est qu’elle était en état de dépendance psychologique et financière vis-à-vis de son compagnon », affirme pour sa part Me Jérôme Alirol, son conseil.
    Enfin, l’avocat se dit certain que si un juge des enfants avait été présent à Millau, le calvaire de Dylan aurait été décelé plus rapidement...

    * Le prénom a été changé
    Le Parisien - 08/03/09
  • Drame du RER B: les supporters marchaient sur les voies...

    Drame du RER Le pont et les voies.jpg
    Le pont et les voies du RER B - lieu de l'accident
    Drame RER pont rails.jpg
    Accès grillagé et interdit

    Deux jeunes, l'un âgé de 10 ans, l'autre de 17 ans, tous deux supporteurs lillois: ce sont les deux victimes décédées hier sur la voie du RER B près du Stade de France, samedi soir vers 23 h 25, après le match Lille-Lyon. Onze autres personnes ont été blessées, dont trois grièvement. Les deux jeunes tués par la rame de RER tentaient de regagner leur car.

     
    Multimédia
    Video : Les images de l'intervention des pompiers
    Video : Pepy : « Sans précédent »
    Video : "L'accident était complètement inévitable"
     
     
     
    Ils étaient partis d'Outreau (Pas-de-Calais) où ils habitaient et jouaient au football. Le second jeune tué, âgé de 17 ans, était un ami de la famille. Trois personnes ont été grièvement blessées. Parmi elles, le frère de la victime de 10 ans et leur père, âgé de 40 ans. Leur soeur est plus légèrement touchée. Le groupe était parti d'Outreau en voiture et avait rejoint un groupe à Armentières (Nord) d'où il serait parti en car. 

    Ils marchaient sur le pont qui enjambe l'A 86

     

    Il est environ 23 h 25. Le match Lille-Lyon vient de s'achever par une magnifique victoire des Lillois. Par un un raccourci interdit, un groupe de treize personnes cherche à regagner son bus garé à quelques 600 mètres de la gare de La Plaine-Stade de France, selon les éléments communiqués dans la nuit par la Préfecture de Seine-Saint-Denis, et ce matin par les responsables de la SNCF.  Ils descendent sur la voie du RER B et sont percutés par une rame, à hauteur d'un pont enjambant l'A86, entre les stations La Courneuve et la Plaine-Stade de France (Seine-Saint-Denis).

    Dès  8 h 15 ce matin, à la gare de La Plaine - Stade de France, Jean-Pierre Farandou, directeur du Transilien, avouait son incompréhension alors qu'il s'agit d'un "endroit très dangereux".  "C'est un drame terrible pour la SNCF et pour les familles. Nous sécurisons au maximum nos accès. Mais la SNCF ne peut pas empêcher toutes les imprudences sur des milliers de kilomètres de voies ferrées", a-t-il notamment expliqué. 
    Aussitôt après le choc,  les sapeurs-pompiers ont été appelés. Un poste médical avancé a été mis en place sur les lieux avant que les blessés ne soient transportés vers les hôpitaux Avicennes de Bobigny, Beaujon de Clichy et Pitié-Salpêtrière à Paris. Soixante-seize sapeurs-pompiers et 24 engins venus de 12 centres de secours ont été mobilisés.

     

    Cet accident, qualifié «d'exceptionnel» par la SNCF, a entraîné d'importantes perturbations sur le réseau alors qu'avait pris fin peu auparavant le match de football de Ligue 1 entre Lille et Lyon au Stade de France. La gare RER La Plaine-Stade de France a été fermée et les passagers invités à revenir sur Paris par le RER D ou le métro tandis qu'un service de bus a été mis en place pour les usagers devant rejoindre le nord de la région parisienne. Le trafic a repris partiellement à 2 h 30 et totalement à 4 h 30.

     

  • "Tête à tarte" a-t-il eu son DEA? (+vidéo)

    L'université Paris X-Nanterre a démenti vendredi un de ses professeurs qui a récemment laissé entendre dans un texte que Nicolas Sarkozy pourrait ne pas avoir obtenu son DEA de sciences politiques dans cette université, contrairement à ce qu'affirme son CV officiel.
     
    "Contrairement à ce que certains sites internet ont affirmé depuis le 2 mars", l'université "tient à préciser que selon ses archives, régulièrement conservées par le service des diplômes, le jury du DEA de Systèmes et structures politiques a admis le 4 novembre 1980 avec la mention 'assez bien' l'étudiant Nicolas Sarkozy de Nagy", assure un communiqué de Paris X.
     
    "On a toujours pu faire son
    DEA en deux ans"
     
    Professeur de sciences politiques à Nanterre depuis 1992, auteur de divers ouvrages et d'articles dans Le Monde Diplomatique, Alain Garrigou a mis en doute l'obtention de ce diplôme dans un texte diffusé par les sites internet de la Fondation Copernic et de Mediapart. L'universitaire y affirme notamment que, d'après ses recherches, Nicolas Sarkozy a été "ajourné" lors de la première session, en octobre-novembre 1979 et que le procès-verbal de délibération de la deuxième session, en février 1980, "a disparu des archives de l'université". Le communiqué de Paris X ne fait pas mention de cette session de février 1980.
     
    Paris X précise que
    Nicolas Sarkozy "n'avait pas passé deux épreuves de la première session du 6 novembre 1979", avant d'être admis en novembre 1980. Contacté par l'AFP, Alain Garrigou s'est montré très surpris par ce démenti, qui selon lui "ne tient pas debout". "La deuxième session du DEA s'est tenue en février 1980. Le candidat concerné n'a pas pu passer sa session en novembre 1980 (...) ou alors c'est la confirmation qu'il y a eu de graves irrégularités", a-t-il affirmé.
     
    Un vice-président de l'université chargé de la communication, qui n'a pas souhaité être nommé, a au contraire souligné qu'"on peut et on a toujours pu faire son DEA en deux ans". "Il n'y a rien d'anormal à cela. Pour l'année en question, il y a huit ou neuf cas similaires", a-t-il ajouté à l'AFP.

    LCI.fr - 8 mars 2009

    " Tête à tarte!" Une petite vidéo très connue mais toujours amusante à regarder!
     

  • Printemps

    L'hiver est tôt venu et n'est point reparti

    Alors que la Nature attend le renouveau,

    Le soleil triomphant qui insuffle la vie

    Dans les bourgeons, les fleurs et l'envol des oiseaux.

     

    Divin printemps, toi dont la douceur enivre,

    Apporte la joie au vieux jardin de France

    Qui s'attriste sous les neiges et le givre

    Et sème en son coeur les graines d'espérance...

     

    Gaëlle Mann  (7 mars 2009)

     

     

  • Les lavandières du Vatican

    Ancien lavoir Forêt de Rambouillet.jpg
    Ancien lavoir en forêt de Rambouillet

    Plus que la pilule, la machine à laver a représenté une véritable émancipation pour la femme du XXe siècle estime le quotidien du Vatican, l'Osservatore romano, qui rend un vibrant hommage au lave-linge à l'occasion de la Journée internationale des femmes.

    Dans son édition du 8 mars, sortie ce soir, l'Osservatore Romano propose un article intitulé "La machine à laver et l'émancipation de la femme - "Mets la lessive, ferme le couvercle et détends-toi", en référence au manuel d'utilisation d'un des premiers modèles.

    "Au XXe siècle, qu'est-ce qui a le plus participé à l'émancipation des femmes occidentales?", s'interroge la journaliste Giulia Galeotti. "Le débat est encore ouvert. Certains disent que c'est la pilule, d'autres la libéralisation de l'avortement, ou encore le fait de travailler hors du foyer. D'autres, cependant, se permettent d'aller encore plus loin et proposent: la machine à laver", écrit-elle.

    Remontant aux origines de la machine à laver - l'invention en 1767 par le théologien allemand Jacob Christian Schaffern d'un premier modèle rudimentaire - le journal en fait un long éloge et évoque "la sublime mystique de pouvoir changer les draps deux fois par semaine au lieu d'une", phrase qu'il attribue à la célèbre féministe américaine Betty Friedan.

    Le Figaro -7 mars 2009

  • MAM n'est pas née au Pays Basque...

    Dans le Figaro-Magazine du 7 février 2009, Michèle Alliot-Marie explique doctement qu'elle est née à Saint-Jean-de-Luz. "Ma famille, c'est le rugby, du fait du terroir et de mon enfance...". Il suffit de consulter le Who's Who (ou Wikipedia) pour apprendre que la ministre de l'Intérieur est née à Villeneuve-le-Roi, en Seine-et-Oise, le 10 septembre 1946.

    Elle n'est pas basque!

    (Faits & Documents - n°271 - 1er au 15 mars 09)

  • Un chat russe retrouve ses maîtres...

    chat russe.jpg
    Un chat quelque part en Russie

    Un chat perdu a parcouru 70 kilomètres en Russie pour retrouver son maître qui avait déménagé dans une autre ville, a rapporté jeudi le quotidien russe Vremia Novosteï.

    Le chat Boïan s'était perdu lors du déménagement de la famille dans la région de Krasnoïarsk (Sibérie orientale), a raconté le maître, Sergueï Minskikh, à des journalistes locaux.

    "Nous avons embarqué nos affaires dans la voiture et personne n'a remarqué que le chat s'était perdu. Nous l'avons longtemps cherché, mais n'avons pas pu le retrouver. Les enfants étaient très tristes, le chat était leur chouchou, il vivait chez nous depuis cinq ans", a-t-il confié.

    Trois mois plus tard, le chat est apparu devant la porte de leur nouvel appartement, au quatrième étage d'un immeuble résidentiel.

    "Tout le monde s'étonne, comment a-t-il pu parcourir tant de kilomètres et retrouver notre appartement ? Toute la famille est heureuse et les voisins viennent nous rendre visite pour faire la connaissance de ce grand voyageur. Mais j'ai remarqué que maintenant il a peur de sortir", a poursuivi son maître.

    AFP. 07.03.09

    Comment font-ils?

  • "Provocation à la haine raciale": enquête ouverte contre Elie Domota, leader du LKP

    Elie Domota 7 mars Pointe-à-Pitre.jpg
    Elie Domota (c), leader du LKP - 7 mars 2009

    Le calme est revenu samedi à la Martinique après de violents affrontements au cours desquels trois policiers ont été légèrement blessés par des plombs, alors que la justice a ouvert une enquête sur des propos du leader emblématique du mouvement LKP en Guadeloupe.

    Le parquet de Pointe-à-Pitre a annoncé samedi l'ouverture d'une enquête judiciaire, notamment pour "provocation à la haine raciale" et "tentative d'extorsion de signature", après des déclarations du leader du "collectif contre l'exploitation" LKP, Elie Domota.

    M. Domota avait déclenché une vive polémique en affirmant que les entrepreneurs qui refusaient l'accord d'augmentation de 200 euros des bas salaires devraient "quitter la Guadeloupe" et qu'il ne "laisserait pas une bande de békés rétablir l'esclavage", référence aux descendants de colons blancs, souvent accusés de mainmise sur l'économie des Antilles françaises.

    Un avocat du LKP, Patrice Tacita, a qualifié de "provocation" une telle action judiciaire.

    AFP. 07/03/09

     

     

  • Une photo étonnante... ou comment "ficher" des milliers de personnes dans une foule!

    Voici une photo de l'investiture de Barack Obama du 20 janvier dernier,
    dans laquelle on peut distinguer
     nettement chaque personne dans la
     foule.


     Pointez quelque part. Double-cliquez
     avec la petite main autant de fois que vous le souhaitez
     pour agrandir la personne. Attendez quelques secondes pour
     refaire la mise au point  exacte.

     Cette photo a été prise avec une
     caméra-robot de 1.474 megapixel, soit avec 295 fois plus de
     puissance que les photos à 5 megapixels de nos caméras
     familiales.

     Une seule photo et la
     possibilité de "ficher" un million de personnes!

     Voici le site
       http://gigapan.org/viewGigapanFullscreen.php?auth=033ef14483ee899496648c2b4b06233c

  • COMMENTAIRES

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    HAUTETFORT

  • BEETHOVEN - ALFRED BRENDEL

    Alfred Brendel, pianiste autrichien, né en 1931
    "Pour Elise"
    Ludwig van Beethoven (1770-1827)

  • Le calvaire de Dylan, 7 ans, durait depuis des années...

    Chambre de Dylan enfant martyr Millau.jpg
    La chambre cadenassée où il survivait dans le noir - Il n'avait que sa petite peluche jaune pour lui tenir compagnie
    (Cliquez sur la photo pour le voir en entier)

    Le couple et leurs deux enfants, Dylan, 7 ans, et Matthias, 18 mois, vivaient dans une maison sur deux étages, aux volets marron, qui se dresse en bordure de route. Elle est située dans un quartier résidentiel sur les hauteurs de Millau. Au premier étage, une seule fenêtre, aux volets fermés. C’est là que le petit Dylan, 7 ans, vivait reclus dans des conditions de dénuement extrême.

    On accède à l’appartement par un couloir sombre qui conduit dans un jardinet. De là, il faut emprunter un escalier extérieur qui débouche directement sur une petite cuisine. Mais l’odeur, suffocante, vous saisit bien avant d’y entrer. Une forte odeur d’urine qui provient d’une pièce attenante à la cuisine. C’était la chambre du garçonnet. « Plutôt une cellule de prison », dira le procureur de la République Patrick Desjardins.
     Pour tout mobilier, un sommier et un matelas imbibé d’urine. Roulés en boule, une couverture marron et un couvre-lit usagé. Un bureau en partie désossé dans un angle, une table à repasser laissée à l’abandon. Les murs sont partiellement détapissés. Au sol, du plancher. Et surtout une pièce calfeutrée qui ne voyait jamais la lumière du jour. Les volets avaient d’ailleurs été cadenassés. La porte était munie d’un verrou et, une fois enfermé, le petit garçon ne pouvait actionner l’interrupteur situé à l’extérieur de la pièce.

    « Il a dit aux policiers qu’il était soulagé »

    Seul objet qui témoigne de la présence d’un enfant dans ce lieu sordide : un Pikachu, petite peluche jaune tout élimée posée sur le lit. « L’enfant n’avait aucun jouet. Il sortait parfois dans le jardin », selon le procureur.
     Quand il a été découvert mardi par les policiers, il était « sommairement vêtu ». « Le couple avait un style de vie un peu particulier mais rien n’a pu permettre dans un premier temps de détecter de la maltraitance. C’est le comportement singulier de Dylan , dit "hyperactif" par sa mère, qui a alerté les services sociaux en août 2008 », affirme Renée-Claude Coussergues, vice-présidente du conseil général de l’Aveyron chargée de l’enfance et de la famille.
    A cette époque, les services de la protection maternelle infantile s’étaient présentés au domicile pour comprendre pourquoi le petit frère de Dylan, Matthias, n’était pas à jour de ses vaccins. Le signalement a été fait auprès du tribunal de Rodez le 5 septembre 2008. Mais les parents n’ont pas répondu aux convocations. C’est pour cela que la juge des enfants a fini par demander l’intervention de la protection judiciaire de la jeunesse.

    On découvre alors que Dylan a reçu « des coups répétés et réguliers » portés par le père. Ce maçon de 42 ans se justifie en disant que l’enfant était agité. « Quant à la mère, 35 ans, sans emploi, elle dit qu’elle ne pouvait pas s’y opposer », raconte le procureur. Dylan n’a jamais été scolarisé. « C’est un garçon qui n’a pas reçu la moindre éducation, précise le procureur. Mais il paraît intelligent. Il a dit aux policiers qu’il était soulagé. » Hier, les parents ont été placés en détention provisoire. Les voisins sont bouleversés. Ils affirment ne s’être rendu compte de rien... 
     Le Parisien - 6 mars 2009
    Va-t-il s'en sortir, le petit Dylan?
    Services sociaux aveugles, incompétents, qui cherchent plus à se protéger qu'à protéger les enfants... Lâcheté incroyable des voisins habitant dans la même maison... Comment une telle horreur a-t-elle pu durer aussi longtemps?
  • USA: le chômage monte en flèche de façon dramatique

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    Chômeurs devant une agence pour l'emploi - 6 mars 2009
     Chômeurs USA.jpg
    Ils ont tous voté pour Obama...
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)
    Les Etats-Unis ont connu un nouveau mois terrible pour l'emploi en février, après deux autres catastrophiques, faisant monter le chômage à 8,1%, son plus haut niveau depuis 25 ans, sans perspective d'amélioration à court terme.
    Selon les chiffres corrigés des variations saisonnières publiés vendredi par le département du Travail, 651.000 emplois ont été détruits en février, ce qui était conforme aux attentes des analystes.

    Mais le ministère a revu en forte hausse son estimation du nombre des postes détruits au cours des deux mois précédents: 655.000 en janvier (au lieu des 598.000 annoncés), et 681.000 en décembre (au lieu de 577.000), ce qui en fait le mois le plus noir pour l'emploi aux Etats-Unis depuis octobre 1949.

    Pour spectaculaires qu'ils paraissent, ces chiffres ne sont pas un record: les suppressions d'emplois de décembre ont représenté 0,5% de la main-d'oeuvre employée, contre 1,9% en octobre 1949.

     

    Néanmoins, elles s'accumulent, et, selon les données du ministère, au bout de 15 mois de récession, la part de la main-d'oeuvre ayant perdu son emploi est désormais supérieure à celle des 15 premiers mois de la récession de 1981-1982. Cette dure récession s'était d'ailleurs arrêtée au bout de 16 mois, alors que l'actuelle ne paraît pas devoir s'achever avant des mois.

    "Depuis le début de la récession en décembre 2007, les pertes d'emplois ont atteint 4,4 millions, dont bien plus de la moitié a eu lieu au cours des quatre derniers mois", écrit le ministère.

    Jugeant ce chiffre "effarant", Barack Obama a promis de continuer à agir pour sortir l'économie de la crise.

    Des millions d'Américains vivent à présent dans la crainte d'être les prochains à perdre leur travail, et "ce n'est pas un avenir que j'accepte pour les Etats-Unis d'Amérique", a-t-il dit.

    Mais les choses devraient encore aller "plus mal avant qu'elles n'aillent mieux", a rappelé Christina Romer, sa conseillère économique, en qualifiant d'"atroces" les chiffres du ministère.

    A 8,1%, le taux de chômage est désormais au plus haut niveau depuis décembre 1983. Certains économistes le voient à 9 voire 10% d'ici à la fin de l'année.

    Tous les secteurs de l'économie sont frappés, à l'exception notable de celui de l'éducation et des soins de santé (comme depuis plusieurs mois) et du secteur public.

    Le secteur tertiaire, qui emploie près de 85% de la main-d'oeuvre non agricole, a intensifié ses pertes, supprimant 375.000 postes de travail, après 276.000 en janvier.

     

    Le nombre des chômeurs aux Etats-Unis atteint désormais 12,5 millions, selon le décompte officiel du ministère. A cela s'ajoutent près de 5,6 millions de personnes disant vouloir trouver un emploi mais non comptabilisées dans la population active pour diverses raisons.

    Et 8,6 millions de personnes sont contraintes de travailler à temps partiel contre leur gré du fait de la conjoncture économique, soit environ 4 millions de plus qu'en décembre 2007.

    En tenant compte de ces situations, on obtient un taux de chômage "réel" de 14,8% en février, contre 13,9% en janvier, relève Nigel Gault, économiste de l'institut IHS Global Insight.

    AFP. 06/03/09

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