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Blog - Page 1799

  • Rania de Jordanie donne son sang pour les Palestiniens

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    La reine Rania de Jordanie à Amman le 30 décembre 2008
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    La reine Rania de Jordanie a fait un don de sang mardi pour les Palestiniens de la bande de Gaza, où plus de 370 personnes ont été tuées par les attaques israéliennes.

    "La reine Rania s'est rendue à l'hôpital militaire Al-Hussein mardi pour participer à la campagne nationale visant à donner du sang pour les citoyens de la bande de Gaza", a indiqué son bureau dans un communiqué.

    Dans un article publié mardi dans la presse locale, Rania a invité les Jordaniens à alléger les souffrances des Palestiniens.

    Elle a estimé que "ce serait une honte de se limiter à exprimer sa sympathie avec le peuple de Gaza, car ils n'ont pas besoin qu'on ait pitié d'eux, ils ont besoin de nous pour agir et aider et je sais que nous pouvons faire plus", a écrit la reine, qui est d'une origine palestinienne.

    Son mari, le roi Abdallah II, a fait don de son sang lundi et ordonné aux services médicaux de l'armée de mettre en place un hôpital de campagne dans la bande de Gaza, grâce à du matériel envoyé via Israël. AFP.30.12.08

    Nous saluons le beau geste humanitaire de la reine Rania de Jordanie

  • La fête juive de Hanouccah ou fête des Lumières - du 22 au 29 décembre 5769 (2008)

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     Histoire de Hanouccah

    A l'époque du deuxième Temple, après le partage de l'empire d'Alexandre le Grand, l'armée grecque d'Antiochus Epiphane envahi la terre d'Israël.

     Les Grecs persécutèrent les Juifs en leur interdisant sous peine de mort l'étude de la Torah et la pratique des Mitsvot. Le Temple de Jérusalem, le Beth Hamikdache, fut saccagé et profané.

    De courageux Cohanim, les 'Hachmonaïm, ne se résignèrent pas et se rebellèrent contre l'envahisseur.

    Menés par Matitiahou, puis par ses fils, et animés d'une confiance absolue en D-ieu, ils finirent par remporter une victoire miraculeuse sur la puissante armée grecque le 25 du mois de Kislev.

    Ce premier miracle fut suivi d'un second : lors de l'inauguration du Temple après la victoire, il n'y avait plus d'huile pure pour allumer la Ménorah, le candélabre à sept branches, et huit jours étaient nécessaires à la confection d'une nouvelle huile.

    Les Cohanim fouillèrent le Temple de fond en comble et ne trouvèrent qu'une petite fiole d'huile dont le contenu ne pouvait servir à allumer la Ménorah qu'une seule journée. Ils décidèrent malgré tout d'allumer la Ménorah et c'est là que se produisit le second miracle : l'huile brûla pendant huit jours.

    C'est pour remercier Hachem pour les bienfaits et les miracles qu'Il nous a prodigués que les Sages ont institué la fête de 'Hanouccah.

    Le nom de la fête porte une double signification : ‘Hanouccah signifie en hébreu « inauguration », mais peut également se décomposer en « ‘Hanou » suivi des lettres Kaf et , qui, ensemble, ont une valeur de 25.  Cela rappelle le miracle de la victoire sur les Grecs, lorsque les Juifs se sont reposés (« ‘hanou », « ils ont campé ») le 25 (« kaf hé ») du mois de Kislev.

    Les Sages du Talmud ont enseigné que la lumière de cette fête continuera à éclairer le Peuple Juif jusqu'à la venue de Machia'h et même au-delà !

     Identité Juive.com

  • 372 morts, 1700 blessés à Gaza - Le cessez-le-feu démenti par Shimon Peres

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    A Paris, Bernard Kouchner et Javier Solana... (g et c) - 30.12.08
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    Deux enfants tués par un raid  à la morgue de Gaza - 30.12.08
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    Quatre jours de raids aériens intensifs sur Gaza... - 30.12.08
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    Rafah : un enfant dans les décombres - 30.12.08

    Israël examinait mardi soir une proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza où son offensive lancée samedi contre le mouvement islamiste Hamas a fait près de 370 morts.

     

    A Paris, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne ont appelé à un "cessez-le-feu permanent" à Gaza, permettant un "accès humanitaire", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner sur la chaîne de télévision TF1.

     

     

    Simultanément à New-York, le Quartette pour le Proche-Orient a demandé un cessez-le-feu immédiat qui soit "pleinement respecté", selon un compte-rendu publié par l'ONU à l'issue d'une conférence téléphonique des membres du Quartette.

    En Israël, le Premier ministre Ehud Olmert, la ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni et le ministre de la Guerre Ehud Barak se réunissaient en soirée, a indiqué à l'AFP un porte-parole officiel.

    Un haut responsable israélien avait indiqué plus tôt qu'ils devaient étudier une proposition de cessez-le-feu de M. Kouchner: selon lui, il s'agissait d'une proposition de cessez-le-feu provisoire.

    Selon des médias israéliens, le ministère de la Guerre a recommandé que l'armée observe un cessez-le-feu de 48 heures, après quoi seulement l'armée lancerait une offensive terrestre si jusque-là le Hamas n'a pas accepté un accord de trêve satisfaisant pour Israël.

    Mais l'information a été officiellement démentie par le président israélien Shimon Peres: "ce que nous voulons ce n'est pas un cessez-le feu mais un arrêt du terrorisme".

    Le Hamas a de son côté menacé de frapper le territoire israélien plus en profondeur avec ses roquettes si l'Etat hébreu poursuivait son offensive.

    Sur le front diplomatique, la Commission européenne, à Bruxelles, a de nouveau demandé tant au Hamas qu'à Israël, d'arrêter leurs attaques, tout en appelant à des "mesures urgentes" pour permettre l'accès de l'aide humanitaire à la population civile de Gaza.

    En Egypte, le président Hosni Moubarak, dont le pays est frontalier avec la bande de Gaza, a lui aussi appelé à l'arrêt immédiat des raids israéliens.

    "Nous disons à Israël que ses agressions sont rejetées et condamnées et qu'elles doivent cesser immédiatement", a-t-il affirmé.

    De son côté, le président américain George W. Bush a appelé mardi matin le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et son Premier ministre Salam Fayad pour discuter "des conditions d'un cessez-le-feu durable" à Gaza, a annoncé la Maison Blanche.

    Sur le terrain, les forces terrestres israéliennes se tenaient prêtes à intervenir dans la bande de Gaza.

    Depuis le début de l'offensive, Israël a frappé la bande de Gaza essentiellement par les airs et épisodiquement par la mer, tout en agitant la menace d'opérations terrestres.

    Au total, 372 Palestiniens, en majorité des membres du Hamas, ont été tués, et plus de 1.700 blessés dans les attaques israéliennes depuis samedi, selon un nouveau bilan des services d'urgence à Gaza.

    Des dizaines de civils figurent parmi les morts, dont 39 enfants de moins de 16 ans et 13 femmes.

    Des appareils F16 ont largué des bombes de forte puissance près de la frontière avec l'Egypte.  AFP.30.12.08

  • Trois grands écrivains israéliens veulent un cessez-le-feu immédiat

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    David Grossman en 2008 à Munich

    Trois écrivains israéliens de premier plan se sont prononcés en faveur d'un cessez-le-feu immédiat avec le Hamas, alors qu'Israël poursuivait mardi pour le quatrième jour consécutif ses attaques aériennes meurtrières contre le mouvement islamiste à Gaza.

    "Afin de ne pas ajouter de nouveaux morts et de nouvelles destructions, nous devons stopper unilatéralement et complètement le feu pendant 48 heures, et même si vous (les Palestiniens) tirez sur Israël, nous ne riposterons pas et serrerons les dents comme nous l'avons fait jusque récemment", écrit ainsi David Grossman dans le journal Haaretz.

    "Mieux : nous allons inviter les pays voisins et lointains à une médiation entre vous et nous afin que vous reveniez au cessez-le-feu", ajoute-il.

    Un cessez-le-feu de six mois entre Israël et le Hamas négocié par l'Egypte s'est achevé le 19 décembre, et le Hamas a alors ouvert le feu contre les localités du sud d'Israël qui a riposté par une meurtrière offensive aérienne lancée samedi.

    Deux autres grands écrivains israéliens Amos Oz et A.B. Yéhoshua, ont également appelé à un cessez-le-feu, selon des interviews octroyées à la presse italienne et citées par Haaretz.

    "Le temps est venu d'un cessez-le-feu complet, prévoyant qu'ils (les Palestiniens) ne tirent plus sur nous, et qu'en échange nous devrons lever le blocus imposé à la bande de Gaza", a affirmé Amos Oz au Corriere della Sera.

    De son côté, A.B. Yéhoshua a déclaré à la Stampa: "l'opération israélienne était nécessaire, mais il faut à présent y mettre rapidement un terme (...) Nous serons toujours des voisins (avec les Palestiniens), et moins il y aura de sang versé, mieux ce sera pour l'avenir".

    A.B Yéhoshua a aussi affirmé qu'il serait heureux que le cessez-le-feu prévoit "l'ouverture complète des passages" entre Israël et la bande de Gaza et que les ouvriers palestiniens viennent travailler en Israël.

    "Nous devons normaliser nos relations", a-t-il encore souligné.

    Au moins 360 Palestiniens, en majorité des membres du Hamas, mais aussi plus de 50 civils, ont été tués depuis samedi dans l'offensive aérienne israélienne contre le mouvement islamiste à Gaza.

     En Israël, 4 personnes ont été tuées par des tirs de roquettes depuis le déclenchement de l'offensive israélienne. AFP. 30.12.08

    A quand la destruction du Mur de la Honte?

  • Gaza: la question des responsabilités

    La question majeure des responsabilités dans la situation actuelle à Gaza  

    La question de savoir qui porte la responsabilité centrale de la situation actuelle à Gaza est absolument essentielle pour agir utilement aujourd’hui. Pour Georges W. Bush la question ne se pose tout simplement pas : Israël est, comme toujours, en « état de légitime défense ». Point. Pour l’Union européenne c’est l’affirmation d’un renvoi dos à dos apparent. Elle demande « l’arrêt des actions israéliennes contre Gaza et l’arrêt des tirs de roquettes ». Ce sont ces derniers qui seraient toutefois les responsables de la rupture de la trêve pour le « ministre » Bernard Kouchner.

    Ces positions cachent mal, en vérité, un « feu vert » donné aux Israéliens pour la poursuite de leur insupportable politique de force qui ne mène ni à la paix ni à la fin des violences dont souffrent les deux peuples.

    Pourtant, au vu des réalités, les choses sont claires. Elles ne prêtent à aucune hésitation et encore moins à un renvoi dos à dos des parties.

    Il y avait une trêve décidée à Gaza par le Hamas et négociée avec Israël sous les auspices de l’Egypte. Cette trêve durant laquelle aucun tir de Qassam n’a eu lieu a été clairement rompue par Israël qui a lancé contre Gaza une opération militaire meurtrière en novembre dernier. Cette opération n’a provoquée aucune réaction de condamnation de l’ONU ni du Quartet.

    Cette trêve devait également s’accompagner d’une levée du terrible embargo total dont souffre à en mourir la population de Gaza. Mais la « communauté internationale » a totalement accepté et soutenu la stratégie mortifère israélienne de « punition collective » de la population de Gaza.

    Pourtant, dès le mois d’août, Richard Falk, Rapporteur spécial de l’ONU sur les droits de l’Homme dans les territoires palestiniens, stigmatisait cette politique menée à Gaza par Israël, les USA et l’Union européenne comme violant massivement et systématiquement la Quatrième Convention de Genève. Personne ne peut dire qu’il ne savait pas.

    Dans le même temps, et le Hamas n’était pas concerné, aucune volonté politique réelle ne s’est manifestée dans les négociations engagées avec le Président de l’Autorité palestinienne pour aboutir à un accord global visant à créer un Etat palestinien fin 2008, suite au processus d’Annapolis qui s’en fixait explicitement l’objectif. Il est vrai que déjà la « Feuille de route » prévoyait un Etat palestinien pour la fin 2005. Et loin de reculer, l’occupation israélienne s’est faite plus ample et dure encore. Personne, en situation de responsabilité, ne s’en est ému.

    L’Union européenne est particulièrement en cause dans cet ensemble de faits. Elle a, d’une part, souscrit et participé au blocus de la bande de Gaza tout en « rehaussant » incroyablement ses accords de partenariat avec Israël malgré la position du Parlement européen et a, d’autre part, volontairement laissé Georges W. Bush être le seul « maître du jeu » dans les négociations résultant du processus d’Annapolis. A coup sûr, elle savait que sur un tel chemin il n’y aurait aucun accord global de paix fin 2008.

    Dans ces conditions les responsabilités israéliennes des USA et du Quartet, dont l’Union européenne - encore présidée aujourd’hui par la France- est membre, sont écrasantes.

    Il faut être net : on ne peut condamner les tirs de Qassam sur Israël et en même temps mettre en œuvre une folle stratégie qui cherche à les provoquer. Israël, en particulier, est responsable de la reprise des tirs de Qassam dont les dirigeants de ce pays souhaitaient la reprise pour mettre en œuvre leur opération militaire baptisée « plomb durci ». Une opération qui n’est pas terminée malgré le nombre de morts déjà enregistré. Cette stratégie meurtrière a été dûment calculée mais aussi avalisée et soutenue par les « grands ». Elle devait atteindre son paroxysme maintenant, c’est-à-dire à la veille des élections législatives israéliennes.

    Dans ces conditions clairement établies, aucune politique de « renvoi dos à dos » des protagonistes n’est acceptable car contraire à la vérité. L’arbre ne peut cacher la forêt des responsabilités : celles d’Israël mais aussi celles du Quartet, dont trois pays sont membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU.

    Ainsi, toute résolution du Conseil de sécurité de l’ONU qui ne prendrait pas en compte ces données et qui ne mettrait pas en évidence les responsabilités réelles serait, comme au moment de l’offensive militaire d’Israël contre le Liban en 2006, un simple trompe-l’œil particulièrement dangereux destiné à laisser se poursuivre l’offensive militaire israélienne qui est maintenant envisagée par voie terrestre.

    Le Conseil de sécurité doit s’engager sur une autre voie, une voie responsable, qui permette la paix et non pas qui autorise la poursuite de la guerre. C’est son rôle fondamental selon le texte fondateur de l’organisation des Nations unies. Il doit, en urgence, décider de l’envoi de « casques bleus » pour s’interposer entre les belligérants et rechercher une solution politique immédiate prenant acte du fait que le Hamas se déclare prêt à un cessez-le-feu subordonné à la fin du blocus de Gaza. Ensuite, il devra faire appliquer, avec sanctions en cas de refus, les résolutions pertinentes votées dont il doit être le garant de l’ effectivité.

    L’impunité dont bénéficie Israël depuis 40 ans a démontré qu’elle était en fait une « prime » à la guerre et aux souffrances endurées au Proche-Orient. Cette politique qui mène au chaos n’a que trop duré.

    (Communiqué de l'AFPS - 30 décembre 2008)

  • Jeu d'éveil Fisher Price pour bébé blanc...

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    Brilliant Basics... à 6 mois+
    Pas d'animaux du zoo, mais des formes, des lettres et des volumes pleins d'astuces à découvrir...   

  • Le FN de Marseille au contact de la population

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    Au Vieux-Port, le 20 décembre 2008
    Visite du Marché de Noël, de la foire aux santons et de la criée.

    Les militants FN se rendent où ils veulent quand ils veulent ! Pour la deuxième année consécutive, répondant à l'appel de Stéphane RAVIER, Marie-Claude Aucouturier, Jackie Blanc, Bernard Marandat, ils ont visité les commerçants et riverains de "notre Canebière". Un accueil plutôt positif leur fut fait par les commerçants et les les passants, certains un peu interloqués par notre petite troupe !

    Même les chibanis du quartier Belsunce ont trouvé sympathique le "coq déplumé" de notre tract !
    Les santonniers qui sont chaque année victimes de vol et de chiffre d'affaire en baisse nous ont confié leur ras-le-bol. Ici immigration et insécurité, on connaît. On attache les santons, car des "garnements" jouent à se les lancer dessus comme des projectiles... Tout ceci à deux pas du grand commissariat voulu par Gaudin, et qui sait si bien se faire oublier de l'avis de riverains malheureux de voir ce qu'est devenue leur Canebière !

    L'association des santonniers faisait signer une pétition. L'an dernier Gaudin et Guérini avaient chacun promis  une Canebière plus belle que jamais ! La tramway Gaudin devait faire lever la félicité sur son passage. Le marché provençal promis par l' innénarrable Manucci est toujours "pour bientôt"... Après avoir tué le dernier cinéma,
    le mythique Capitole, Gaudin est en passe de tuer la foire aux santons vieille de deux siècles : les santonniers demandent à être délocalisés sur le Cours Estienne d'Orves ! Voilà ce que valent les promesses des politicards de l'UMPS !...


    À suivre !

    Nations Presse Info - FN -29.12.08

     



    Action

  • Julien Lepers traqué? Il a été vu au spectacle de Dieudonné...

    Julien Lepers.jpg
    Julien Lepers est né en France le 12 août 1949
    Voici ce qu'on pouvait lire ce lundi soir sur Le Post: cela donne à réfléchir sur la nouvelle Gestap' qui s'installe en France

    Question:

    Je suis le célèbre animateur d'un jeu télévisé,

    J'ai été condamné à un an de prison avec sursis et 150.000 francs d’amende pour fraude fiscale en 1994!

    En 2005, je me serais fait arnaquer de 450 000€ en billets de banque lors d'une tentative de blanchiment en Suisse!

    Et j'étais vendredi au Zénith lorsque l'humoriste Dieudonné a remis sa décoration au négationniste Faurisson, comme l'a remarqué Le Journal du Dimanche.

    Je suis... oh oui,oui,oui, je suis...

    Julien Lepers s'est-il fait piéger en allant à ce spectacle?

    Les commentaires de cet article ont été fermés pour éviter tout dérapage
    (sic!)


    (Source: JDD)
    Ndb: On n'a plus le droit d'aller assister au spectacle de son choix!
    Julien Lepers sera-t-il obligé de s'expliquer et de demander pardon?
  • La LICRA exige la prison pour Dieudonné

    Dernière réaction en date: celle de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme).

    Sur Le Post, Richard Séréro, secrétaire général de la Licra, annonce que la Ligue a demandé ce lundi au parquet "d'engager des poursuites contre Dieudonné pour apologie du négationnisme". Il dit attendre "l'application stricte de la loi"...

    Qu'avez-vous demandé à la Justice?
    "Nous demandons au parquet d'engager des poursuites contre Dieudonné pour apologie du négationnisme. Ce délit est bien constitué par le lamentable spectacle offert par Dieudonné et Faurisson vendredi, au Zénith de Paris."

    Qu'attendez-vous de la Justice?
    "Qu'elle condamne Dieudonné une nouvelle fois. Il a déjà été condamné en 2007 pour antisémitisme [Une sanction confirmée en appel en 2008, ndlr] et là, il refait un pied de nez à tout le monde. La République doit faire respecter les lois, notamment celle qui réprime l'apologie du négationnisme."

    Si la Justice décide de condamner Dieudonné, quelle peine attendez-vous?
    "Normalement, le délit d'apologie du négationnisme est puni d'une peine de prison ferme. La Licra attend donc l'application stricte de la loi."

    Le Post - 29.12.08

  • Bachelot démission!

    Bachelot ministre de la santé 28 12 08.jpg

    Un homme victime samedi soir d'un malaise cardiaque, à Massy (Essonne), n'a pu être accueilli pendant six heures, faute de place, dans un service de réanimation hospitalier et est décédé alors qu'il allait enfin y être admis, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.

      Une équipe du Samu s'est rendue au domicile de cet homme de 56 ans vers minuit, et après lui avoir prodigué les premiers soins, a cherché pour lui en vain auprès de 27 hôpitaux d'Ile-de-France une place dans un service de réanimation qui pourrait lui faire une coronarographie, a déclaré à l'AFP le Dr Nathalie Roignant, praticien hospitalier au Samu de l'Essonne.

    "Par défaut, l'équipe l'a amené en stand-by aux urgences de l'hôpital de Longjumeau", qui dispose de matériel de réanimation mais n'était pas en mesure de lui faire une coronarographie. Ce n'est que vers 6H00 qu'une place s'est libérée pour cette intervention à l'hôpital Lariboisière, à Paris, mais le patient est décédé au moment où il arrivait à cet établissement.

    Une porte-parole de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris a confirmé à l'AFP ces faits, initialement révélés par le syndicat d'urgentistes Amuf.

    Pour le secrétaire général de l'Amuf, Bruno Fagganielli, de nombreux lits de réanimation ont été fermés pendant la période des fêtes, faute de personnel, "puisque les hôpitaux n'ont plus les moyens de prendre des remplaçants" des médecins et soignants en congé.

    Dans un communiqué diffusé dimanche soir, l'Amuf a assuré "qu'à 20 heures, tous les services d'urgence sont saturés et qu'il n'y a plus de place de réanimation en Ile de France".

    Interrogée par l'AFP, une porte-parole de l'AP-HP a indiqué que dimanche à 16H00, comme la veille à la même heure, cinq places de réanimation étaient disponibles en Ile-de-France, selon les données, rassemblées toutes les 24 heures, du Centre régional de veille et d'action sur les urgences.

    Pour l'Amuf, présidée par le Dr Patrice Pelloux, "la sécurité des patients n'est plus assurée dans les hôpitaux en Ile-de-France pendant cette période de fêtes".

    Dans son communiqué, l'Amuf "demande aux plus hautes autorités de l'Etat de prendre immédiatement des mesures énergiques avant qu'une catastrophe sanitaire ne se produise", notamment "le déclenchement des plans blancs en Ile-de-France et le rappel des personnels".

  • Thibault, 5 ans, était mort lui aussi à l'hôpital à cause de l'erreur grossière d'une infirmière

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    Bertrand Delpierre, le père de Thibault

    Ilyes avait 3 ans, Thibault en avait 5.

     Le premier, hospitalisé pour une angine, est mort mercredi dernier dans les bras de son père, à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul de Paris (XIVème), victime de l’injection d’une forte quantité de chlorure de magnésium au lieu des vitamines qui auraient dû parachever sa guérison.

     Le deuxième, opéré d’une malformation cardiaque à l’institut Jacques-Cartier de Massy (Essonne), a succombé le 13 décembre 2005 à l’administration d’une ampoule de chlorure de potassium au lieu du bicarbonate de sodium initialement prescrit.



    Dans les deux cas, les infirmières fautives ont immédiatement reconnu leurs erreurs. Celle d’Ilyes, Sylvie F., pourtant forte de onze années d’expérience, a été mise en examen pour « homicide involontaire » et placée sous contrôle judiciaire. Effondrée, elle est partie « se mettre au vert » en province, chez ses parents.
    Shirley C., responsable de la mort de Thibault, était une jeune intérimaire de 25 ans, diplômée depuis un an. Ni sanctionnée, ni poursuivie, elle exercerait actuellement dans un établissement de la région parisienne.

     

    Quand ils ont appris le décès d’Ilyes, les parents de Thibault ont fait un bond. « On n’aurait jamais cru, trois ans après la mort de notre fils, lui aussi mort à l’hôpital à cause d’une erreur de produit, que le même genre de drame puisse se reproduire », explique Bertrand Delpierre, le papa. « C’est révoltant », renchérit Isabelle, la maman.

    Au lendemain du décès de Thibault, la mère d’Isabelle avait écrit plusieurs lettres pour alerter les pouvoirs publics. Le ministre de la Santé de l’époque, Xavier Bertrand, lui avait promis qu’il prendrait des dispositions. « En fait, rien n’a changé », soupire Isabelle. Comme dans le cas d’Ilyes, l’hôpital où se trouvait Thibault se défend de tout dysfonctionnement. « L’infirmière ne présentait ni déséquilibre ni surmenage, et le service n’était pas en sous-effectif », énumère Bertrand Delpierre en s’appuyant sur les résultats d’une expertise

    Les parents de Thibault n’ont jamais vu l’infirmière Shirley C. La justice, dans leur cas, n’a pas été saisie. Quelque temps après le drame, c’est sur le terrain civil que les deux parents avaient engagé des poursuites. Aujourd’hui, ils envisagent de porter plainte. « La faute de cette infirmière doit être reconnue, réclame Isabelle. Cela me révolte de savoir qu’elle continue d’exercer son métier après une pareille erreur. »
    L’un comme l’autre se disent très méfiants, désormais, à l’égard de l’institution hospitalière. Avant toute chose, ils souhaitent que des réformes concrètes permettent d’éviter, à l’avenir, pareilles confusions. « Modifier les produits, les process, l’étiquetage, la formation... je ne sais, dit Bertrand. Il y a sûrement quelque chose à faire pour que cela n’arrive plus. »


    Confiée à la juge Bertella-Geffroy, l’enquête sur la mort d’Ilyes s’attache notamment à retracer le parcours du flacon qui lui a été fatal. Les différents acteurs de cette chaîne devraient prochainement être entendus. Les intervenants hospitaliers présents le soir du drame pourraient, eux aussi, être auditionnés par la juge. Les parents d’Ilyes, effondrés, devraient se constituer partie civile dans les tout prochains jours. Le petit Thibault, quant à lui, repose au cimetière de Béthune. « J’essaie d’aller le voir le plus souvent possible », confie son père. « Sans lui, le bonheur n’aura jamais plus le même goût », conclut sa mère.

  • TAHITI: le journaliste J.-P. Couraud aurait bien été assassiné - une lettre compromettante découverte chez Gaston Flosse

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    Le journaliste Jean-Pascal Couraud disparu en 1997
    Une lettre relatant les conditions de la mystérieuse disparition en 1997 du journaliste Jean-Pascal Couraud a été retrouvée lors d'une perquisition au domicile du sénateur Gaston Flosse, ont indiqué à l'AFP lundi à Tahiti les deux avocats de la famille Couraud ainsi que son comité de soutien.
    Cette perquisition avait été menée en septembre 2008 par des enquêteurs de la Division nationale des Investigations financières (DNIF).

    Selon les avocats, Me James Lau et Me Max Gatti, et selon le comité de soutien qui tente de faire la lumière sur la disparition du journaliste, cette lettre de plusieurs pages, "non datée", a été découverte dans le tiroir d'une commode au domicile de Gaston Flosse.
    Ce dernier, sollicité par l'AFP, n'a pas souhaité réagir. Selon les avocats de la partie civile, il reconnaît avoir" reçu "ce rapport mais parle "d'un coup monté et d'une machination".

    Dans cette lettre-testament, Vetea Cadousteau, l'un des membres du Groupement d'intervention de la Polynésie (GIP), unité créée par Gaston Flosse, qui aurait participé à l'enlèvement et au meurtre du journaliste, explique "qu'il craignait pour sa vie car il aurait reçu des menaces".

    Vetea Cadousteau a, de fait, été retrouvé mort, en janvier 2004, au fond d'une vallée, dans des conditions qualifiées de "très troublantes"
    par le comité de soutien.

    Des analyses graphologiques ont été effectuées pour vérifier s'il est bien l'auteur de la lettre, selon les avocats de la famille Couraud, mais elles ne sont pas concluantes et une deuxième expertise a été demandée.

    Un autre GIP, Firmin Hauata, cité comme ayant aussi participé à la disparition du journaliste, est également décédé dans des conditions que l'on pourrait" approfondir", selon Me Gatti.

    La lettre explique comment s'est déroulé l'enlèvement de Jean-Pascal Couraud, les tortures qu'il a subies pour lui faire avouer où il avait caché ses dossiers et comment, alors qu'il était déjà à moitié noyé, un membre de la cellule de Renseignement du pouvoir en place a donné l'ordre de lâcher son corps par 2.000 mètres de fond, lesté de plusieurs poids de pêche.

    Jean-Pascal Couraud avait disparu en 1997 alors qu'il était rédacteur en chef du quotidien les Nouvelles de Tahiti, et qu'il enquêtait sur des affaires politico-financières dont la publication pouvait nuire à M. Flosse, alors président de Polynésie. Son corps n'a jamais été retrouvé.

  • Marseille: le fou dangereux toujours en fuite

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    Joël Gaillard

    Joël Gaillard, le dangereux schizophrène, échappé dans la nuit de vendredi à samedi d’un hôpital psychiatrique de Marseille (Bouches-du-Rhône) n’avait toujours pas été retrouvé hier soir. Agé de 39 ans, l’homme a tué à coups de hache, en mars 2004, un retraité âgé de 83 ans à Gap (Hautes-Alpes).

    Compagnon de la grand-mère du meurtrier, Germain Trabuc avait été mortellement frappé à plusieurs reprises.
    A l’époque des faits, son agresseur bénéficiait d’une autorisation de sortie de l’hôpital psychiatrique Edouard-Toulouse, le même établissement duquel il vient de s’évader. Hier, le ministère de l’Intérieur a fait placer sous protection la famille de la victime. « Les membres de cette famille craignent d’être pris pour cible par le fuyard, précise une source proche de l’affaire. Des gendarmes ont été affectés à leur surveillance. »



    Selon les premiers éléments de l’enquête, Joël Gaillard serait parvenu à quitter les bâtiments de l’établissement psychiatrique, « entre 23 heures et 1 heure » après avoir actionné l’alarme incendie des lieux pour créer une diversion.
     « L’autorité administrative n’avait pas donné d’autorisation de sortie à ce patient schizophrène », a précisé, hier, Roselyne Bachelot. La ministre de la Santé est intervenue alors qu’un second patient a réussi à fausser compagnie, pendant quelques heures, hier, au personnel encadrant du même hôpital. « Ces deux fugues s’inscrivent dans des contextes très différents », a rappelé la ministre.
    Le second patient, d'origine comorienne, âgé de 19 ans, était détenu à la prison des Baumettes pour des petites infractions avant d’être interné, pour des raisons psychiatriques, au sein de l’hôpital Edouard-Toulouse.
    Hier matin vers 10 h 30, il a escaladé la clôture d’enceinte, en pyjama, au cours de la promenade dans le jardin de l’établissement de soins. Il a finalement été rattrapé en fin d’après-midi, dans les quartiers Nord de la cité phocéenne.


    De son côté, Michel Sappin, le préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur a demandé, hier, l’ouverture d’une enquête administrative après ces deux évasions « sur les conditions dans lesquelles les deux individus ont pu s’échapper et plus largement sur les conditions de sécurité de l’établissement ».

     

     

  • Affaire Dieudonné-Faurisson

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    Dieudonné est né le 11 février 1966 à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine) d'une mère française sociologue et peintre (Josiane Grué) et d'un père camerounais expert-comptable. L'humoriste a grandi en banlieue parisienne.
    Le parquet de Paris s'est saisi de cette affaire lundi en fin de journée, en ouvrant une enquête préliminaire «aux fins de vérifier dans quelles conditions Dieudonné Mbala Mbala a remis» ce prix, a-t-il annoncé dans un communiqué.

    L'enquête a été confiée aux policiers de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Elle aura «pour objet de déterminer si les délits de contestation de crime contre l'humanité commis au cours de la Seconde guerre mondiale ou d'injures antisémites ont été perpétrés à cette occasion», a expliqué le parquet.

    L'invitation lancée à M. Faurisson a suscité un tollé du monde politique et associatif...
    Mais Serge Klarsfeld calme le jeu... fondateur de l'association des fils et filles des déportés juifs de France, il «ne pense pas qu'il y ait eu des propos négationnistes» vendredi au Zénith, à Paris, où l'humoriste controversé Dieudonné a fait monter sur scène à ses côtés le négationniste Robert Faurisson à l'occasion de la dernière de son show "J'ai fait le con" .

    Interrogé lundi par RTL, Serge Klarsfeld a qualifié les propos de Dieudonné de «dérapages contrôlés». Celui-ci a décerné un «prix de l'infréquentabilité et de l'insolence» à M. Faurisson, condamné à plusieurs reprises pour avoir contesté la réalité de l'Holocauste, et lui a fait remettre son trophée par un technicien déguisé en déporté juif.

    «Je vis douloureusement» cette «provocation», a affirmé Serge Klarsfeld, la qualifiant de «mise en scène» destinée à «renforcer le public de Dieudonné». «Je ne pense pas qu'il y ait eu des propos négationnistes au Zénith», a-t-il déclaré, précisant que «les poursuites ne lui paraissent pas possibles». 

    Dans les rangs du public du Zénith, vendredi, ont  été aperçus notamment l'animateur Julien Lepers et la famille Le Pen.


  • La Russie appelle à la cessation immédiate des bombardements

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    Sergueï Lavrov

    MOSCOU, 28 décembre - RIA Novosti. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, qui s'est entretenu dimanche avec son homologue israélienne Tzipi Livni, a appelé l'Etat hébreu à mettre fin sans tarder aux violences à Gaza.

    "L'entretien a porté entièrement sur la situation dans la bande de Gaza. La Russie a confirmé sa position en faveur de la cessation immédiate des hostilités dans la zone du conflit qui ont déjà fait beaucoup de victimes parmi les Palestiniens.

    Elle a signalé la nécessité d'une trêve en vue de garantir la sécurité de la population civile dans le sud d'Israël, mais aussi la nécessité d'un accès à l'aide humanitaire vers Gaza", a annoncé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué publié à l'issue de cet entretien qui a eu lieu sur l'initiative israélienne.

    Au moins 282 personnes ont trouvé la mort, et 687 personnes restent hospitalisés dans la bande de Gaza à la suite des bombardements israéliens.

     L'armée israélienne a bombardé dimanche une dizaine de cibles, dont une mosquée, une station de télévision, une prison et le siège vide du gouvernement.

     

     

  • "La Palestine aux Palestiniens!"

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    Nations presse info - L’attaque meurtrière contre Gaza qui s’est soldée par l’assassinat de centaines de civils, de femmes et d’enfants, témoigne une fois de plus de la volonté du gouvernement israélien d’écraser le peuple palestinien au mépris de toutes les exigences humanitaires

    Devant de tels actes de barbarie, les murmures des gouvernements occidentaux et notamment de Sarkozy ou d’Obama ne sont que synonymes de complicité. Les bombardements et l’invasion sont disproportionnés, et font des morts en grande quantité qui ne serviront qu’à attiser les haines et les rancœurs.

    L’opération a été prévue par Barak, le ministre israélien de la défense, depuis 6 mois quand la trêve avait été décrétée. Cette trêve a permis de préparer cette opération. L’argumentation des pros-israéliens selon laquelle nous assistons à une simple opération « légitime » de réponse aux derniers tirs de roquettes, est une manipulation.

    Israël a décidé de mobiliser 6.500 réservistes et avec la bénédiction des Etats-Unis donneur d'ordre, de l’Europe hypocrite et de certains pays arabes « collabos », on massacre après avoir imposé un blocus.

    Les réponses aux provocations ne servent qu’à renforcer les ultras palestiniens car aucune solution durable n’est vraiment voulue par Israël pour sortir de cette situation. Pourtant, tant du côté d’Israël que de la Palestine, il ne manque pas de leaders capables de prendre le risque de négocier. Mais la diplomatie mondialiste s’y oppose et ne sert qu’à renforcer les ultras de chaque camp. Aucune solution ne viendra des impérialistes anglo-saxons car cela ne sert pas leurs intérêts culturels et économiques. La solution viendra d’un axe avec la Russie pour faire avancer les choses, convaincre et forcer les deux partis à se mettre autour d’une table et négocier durablement.

    Le territoire est exigu à Gaza, coupé du reste de la Cisjordanie, enclavé dans une terre hostile, sans aucune richesse naturelle, et qui souffre en outre d’une surpopulation, d’une misère et d’un chômage endémiques, ne comptant pour sa survie quotidienne que sur les maigres subsides versés par la communauté internationale. Cette situation est voulue, entretenue et pérennisée par le puissant lobby mondialiste. Il y a urgence à ce que la Palestine soit reconnue comme un Etat à part entière, que Gaza soit rattachée à la Cisjordanie avec pour capitale Jérusalem Est.

    Les Nationaux, les Patriotes et les Prolétaires des classes moyennes et ouvrières doivent soutenir totalement la lutte du peuple palestinien et des pacifistes israéliens. Toutes les forces de bon sens, qui rejettent la pression des lobbys mondialistes et de la diplomatie anglo-saxonne, doivent exiger l’arrêt immédiat de l’offensive israélienne et la reconnaissance, définitive, d’un Etat Palestinien viable.

    Le Front National condamne tous ces actes de guerre qui s’ajoutent à la longue liste des massacres quotidiens pour servir les intérêts des mondialistes au Moyen-Orient.

    Des centaines de civils meurent aussi, chaque jour, au nom de la « lutte contre le terrorisme », rideau de fumée derrière lequel se dissimule mal la volonté de contrôler le Moyen-Orient et ses ressources énergétiques.

    Gilbert PEREA - 28 décembre 2008

    Nations Presse info

     

     

     

  • Mars: indice d'un passé humide favorable à la vie

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    Des chercheurs américains ont découvert des carbonates sur Mars, suggérant que les eaux qui ont pu couler dans le passé sur la planète rouge n'étaient pas aussi acides qu'on le pensait et plus propices à l'émergence de la vie, selon une étude parue dans la revue Science vendredi 19 décembre 2008.

    Cette découverte, réalisée grâce au spectromètre de la sonde américaine Mars Reconnaissance Orbiter, en orbite autour de Mars, montre que les eaux de cette planète avaient un PH neutre ou alcalin quand les minéraux s'y sont formés il y a plus de 3,6 milliards d'années.

    Les carbonates sont des minéraux que l'on trouve en abondance à la surface de la Terre et qui se dissolvent rapidement dans l'acide. Leur présence sur Mars remet donc en question la théorie selon laquelle un environnement acide a prédominé dans l'histoire de la planète rouge, soulignent les scientifiques.

    La présence de carbonates sur Mars indique au contraire que différents types d'environnements humides ont existé. Et plus ces environnements sont variés, plus il y a de chances qu'ils aient favorisé l'existence de formes de vies, expliquent les auteurs de ces travaux.

    "Nous sommes emballés d'avoir finalement découvert des carbonates car ils fournissent plus de détails sur les conditions qui prévalaient durant différentes périodes martiennes spécifiques", note Scott Murchie du laboratoire de physique appliqué de l'Université Johns Hopkins à Laurel (Maryland, est), le principal auteur de ces travaux.

    Les carbonates se forment quand l'eau et le dioxyde de carbone (CO2) réagissent avec le calcium, le fer ou le magnésium dans des roches volcaniques.

    Si tout le CO2 de la Terre contenu dans les carbonates était libéré, l'atmosphère terrestre serait aussi dense que celle de Vénus, notent les auteurs de l'étude.

    Des scientifiques pensent qu'une atmosphère riche en CO2 a dans le passé maintenu des températures chaudes sur Mars et permis de garder l'eau liquide à la surface de la planète suffisamment longtemps pour former les vallées observées aujourd'hui.

    "Nous avons découvert des indices montrant que l'environnement martien n'était pas entièrement acide il y a 3,5 milliards d'années comme le supposait généralement la communauté scientifique", relève Bethamy Ehlmann, de l'Université Brown à Providence (Rhode-Island, est), une des co-auteurs de ces travaux.

    "Nous avons au moins trouvé une région de Mars qui était potentiellement plus hospitalière à la vie", ajoute-t-elle.

    Les dépôts de carbonates ont été détectés autour du bassin Isidis de 1.500 kilomètres de diamètre qui s'est formé il y a plus de 3,6 milliards d'années.

    De nombreuses roches carbonates se situent le long d'une zone appelée Nili Fossae qui s'étend sur 666 km sur les bords de ce bassin.

    AFP. 19.12.08

  • Gaza: vers l'extermination finale

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    Gaza: des cadavres sont dégagés sous les décombres - 28.12.08
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    Gaza: immeuble en train de se consumer après une frappe israélienne - 28.12.08
    gaza un enfant palestinien blessé par une frappe israélienne.jpg
    Les civils, eux aussi, sont touchés par les bombes...  28.12.08

    Israël a poursuivi dimanche ses raids aériens à Gaza, qui ont fait plus de 280 morts, et donné son feu vert à la mobilisation de milliers de réservistes en vue d'une éventuelle offensive terrestre.

    L'opération dite "Plomb durci", d'une violence jamais vue depuis l'occupation des territoires palestiniens par Israël en 1967, vise selon l'Etat hébreu à mettre fin aux tirs de roquettes depuis la bande de Gaza, contrôlée par le mouvement islamiste Hamas, sur les localités du sud du pays.

    Les attaques, déclenchées samedi, ont fait 287 morts, en majorité des policiers du Hamas, et plus de 600 blessés, selon un nouveau bilan des services d'urgence palestiniens.

    Citant des responsables palestiniens de la Santé, le Comité international de la Croix-Rouge a fait état pour sa part de plus de 950 blessés.

    Le porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum a accusé Israël de "commettre un holocauste au vu et au su du monde entier, qui n'a pas bougé le petit doigt".

    Il a affirmé à la presse que "la résistance palestinienne se réserve le droit de riposter à cette agression par des opération de martyre", c'est-à-dire des opérations suicide.

    Une porte-parole de l'armée, Avital Leibovitz, a affirmé que "40 tunnels" avaient été visés. Les tunnels permettent au Hamas d'introduire des armes dans la bande de Gaza, soumise à un blocus israélien.

    La police égyptienne a tiré des coups de feu en l'air pour empêcher des dizaines de Palestiniens de forcer la frontière au nord du terminal de Rafah et d'entrer en Egypte, et déployé dimanche de nouveaux renforts dans ce secteur.

    Entre-temps, une vingtaine de roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza dans le sud d'Israël sans faire de victimes. L'une d'elles, de type Grad, a atteint pour la première fois Gan Yavné près du port d'Ashdod, à plus de 30 kilomètres de Gaza, selon les secours israéliens.

    Laissant planer la menace d'une offensive terrestre à Gaza, Israël a décidé de mobiliser 6.500 réservistes, a annoncé un haut responsable à l'issue de la réunion hebdomadaire du gouvernement.

    "Tsahal élargira et approfondira ses opérations à Gaza autant que nécessaire", a averti le ministre israélien de la Défense Ehud Barak. "Nous devons savoir que cela ne sera pas de courte durée et cela ne sera pas facile."

    A la mi-journée, Israël a commencé à masser des chars et des troupes à la lisière de la bande de Gaza, selon des photographes de l'AFP.

    Plusieurs raids ont été signalés dimanche dans le territoire palestinien contrôlé par le Hamas, notamment contre le "Saraya", un complexe abritant la principale prison de Gaza et un quartier général des services de sécurité du Hamas, et contre le bâtiment du "Conseil des ministres" du Hamas à Gaza.

    Des manifestations de soutien à Gaza ont eu lieu en Cisjordanie, l'une d'elles a été dispersée par la police palestinienne à Hébron. Un Palestinien a été tué par des tirs israéliens lors d'un autre rassemblement.

    Des manifestations se sont aussi déroulées dans le monde arabe, notamment au Caire, à Beyrouth, Sanaa, Dubaï et Damas.

    Conséquence des raids israéliens, la Syrie a estimé que ses négociations indirectes de paix avec Israël, lancées en mai via Ankara, ne pourraient pas se poursuivre.

    "C'est l'agression israélienne contre Gaza elle-même qui ferme la porte à toute action dans le processus politique", a déclaré à l'AFP un responsable syrien sous couvert d'anonymat.

    A l'ONU, le Conseil de sécurité a appelé - dans une déclaration non contraignante - à "l'arrêt immédiat" de toutes violences et activités militaires, à l'issue d'une réunion urgente.

    Au Caire, le ministre égyptien des Affaires étrangères Ahmed Aboul Gheit a affirmé à l'issue d'un entretien avec le président palestinien Mahmoud Abbas que l'Egypte tentait négocier un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, qui pourrait être suivi d'une nouvelle trêve comme celle qui avait expiré le 19 décembre après avoir été tant bien que mal respectée six mois durant.