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Blog - Page 1914

  • Blanchiment aggravé entre la France et Israël: procès Sentier II

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    Des rabbins sont impliqués dans ce scandale

    Le procès dit du «Sentier II», une affaire de blanchiment portant sur un vaste trafic de chèques entre la France et Israël de 1996 à 2001, s'est ouvert lundi après-midi à Paris en présence du PDG de la Société Générale (SG), Daniel Bouton, qui est un des 142 prévenus.

    M. Bouton s'est refusé à tout commentaire à son entrée dans la salle d'audience.

    Ce procès, exceptionnel par son ampleur, le nombre des prévenus et sa durée, est prévu jusqu'en juillet devant la 11e chambre du tribunal correctionnel, qui s'est délocalisée dans des locaux provisoires à l'intérieur du palais de justice de Paris, où se dérouleront également les audiences du procès de l'hormone de croissance à partir de mercredi.

    Cent trente-huit personnes physiques, dont Daniel Bouton et plusieurs cadres de la Société Générale (SG), et quatre banques (la SG, la Société marseillaise de crédit, la Barclays-France et la Banque nationale du Pakistan) sont jugées pour blanchiment aggravé. Les prévenus encourent dix ans d'emprisonnement et de fortes amendes.

    L'affaire a été révélée par l'enquête sur l'affaire dite du «Sentier», un vaste réseau d'escroquerie dans le quartier parisien de la confection au préjudice de banques et d'assurances au milieu des années 90.

    Le dossier du «Sentier II» concerne un vaste circuit de blanchiment permettant à des commerçants du Sentier, à des particuliers et à des associations de dissimuler un délit - fraude fiscale, abus de biens sociaux, chèques volés - en échangeant, moyennant une commission versée à des intermédiaires, des chèques contre de l'argent liquide.

    Les banques poursuivies sont accusées d'avoir contribué à ce blanchiment en le laissant prospérer en connaissance de cause, ce qu'elles contestent.

    (Le Parisien 04.02.08)

  • Touchant...

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    Un peu plus de vingt-quatre heures après leur mariage célébré dans la plus stricte intimité samedi matin dans un petit salon de l'Elysée, Nicolas Sarközy et sa nouvelle épouse, Carla Bruni, se sont offert un minibain de foule, hier, dans les allées du château de Versailles (Yvelines). Le couple, qui a passé la nuit au pavillon de la Lanterne, après avoir dîné sur place pour fêter l'événement avec quelques intimes, ne se cache plus. Vers 13 heures, le président et son épouse se sont promenés le long du bassin du Trianon, à la grande surprise des touristes présents dans le parc.

    Les nouveaux époux ont signé quelques autographes avant de prendre un verre à la terrasse de la brasserie la Flottille : thé pour elle, café pour lui. « Ils avaient l'air très amoureux, raconte un témoin. Ils se sont embrassés devant tout le monde et marchaient main dans la main. Après trois quarts d'heure de balade, ils ont regagné la Lanterne. Puis sont repartis vers Paris avec le cortège officiel. »
    (Le Parisien 04.02.08)

  • Du beau linge!

    La fortune de Carla Bruni est estimée à environ 18,7 millions d'euros. Lors de son accession au poste de chef de l'Etat, Nicolas Sarközy affichait plus de 2 millions d'euros d'actifs.

    Sarkozy a épousé une millionnaire ! Peu après la cérémonie, samedi 2 février au matin, le maire du VIIIe arrondissement de Paris confirmait avoir marié le chef de l'Etat et l'ancien top modèle. A cette occasion, François Lebel a précisé qu'un contrat de mariage avait été signé entre les deux tourtereaux. Ceci exclut donc le choix par M. et Mme Sarkozy de la communauté de biens réduite aux acquêts. Ce régime de droit commun ne nécessite aucune démarche particulière pour les époux, il est en quelque sorte le régime par défaut de tous les mariés.

    Nicolas Sarkozy et Carla Bruni ont donc pu opter pour l'un des trois autres types de contrats de mariage possibles. Ancien avocat fiscaliste, le président de la République connaît mieux que quiconque l'utilité d'un contrat de mariage pour protéger les biens des époux en cas de rupture. Dans le cas présent, les patrimoines en jeu ne sont pas anodins.

    Carla, une femme d'affaires avisée

    Le mariage du président de la République est, au-delà de l'idylle, l'union de deux patrimoines "conséquents". Car l'héritière Bruni est une femme qui a le sens des affaires. D'après une enquête publiée dans le numéro de février 2008 du magazine «Capital», elle a engrangé 4,2 millions d'euros grâce au mannequinat, 2,5 millions avec la musique et 2 millions de contrat de publicité, dont le dernier en date signé avec la marque automobile, Lancia. A cela s'ajoute un héritage respectable. Carla Bruni est, en effet, la fille (non biologique) d'un riche industriel italien. Au décès de son "père", Alberto Bruni-Tedeschi, en 1996, sa mère, sa soeur Valeria (actrice et réalisatrice), son frère (décédé en 2006) et Carla ont hérité de deux somptueuses demeures : le château Castagneto près de Turin, accompagné d'une coquette villa dans le Var. Par ailleurs, la chanteuse de «Quelqu'un m'a dit» possèderait deux appartements à Paris, le premier, place des Ternes dans le XVIIe arrondissement et un hôtel particulier près de la porte d'Auteuil. En tout, son patrimoine immobilier est estimé à plus de 10 millions d'euros. En additionnant le tout, la fortune de Carla Bruni s'élèverait donc à quelque 18,7 millions d'euros.

    Le père biologique de Carla Bruni s'appelle Maurizio Remmert, ancien guitariste, qui vit actuellement à Sao Paulo.

    Nicolas, un patrimoine constitué pour l'essentiel d'assurance-vie

     

    De son côté, le patrimoine du chef de l'Etat est plus difficile à cerner à la suite de son divorce avec Cécilia. D'après la déclaration qu'il a effectué peu de temps après avoir accédé à la fonction présidentielle en 2007, son patrimoine s'élevait, en 2006, à plus de 2 millions d'euros dont plus de 1,9 million sur des contrats d'assurance-vie à la Société Générale. Marié avec Cécilia Ciganer-Albeniz en 1996 sous le régime de la communauté de biens, tout ce qu'ils ont acquis ensemble pendant leurs onze années de mariage, a donc été partagé lors du divorce. Difficile ainsi d'apprécier exactement la valeur du patrimoine du chef de l'Etat aujourd'hui...

    Sarközy n'a pas épousé une femme qui "travaille plus pour gagner plus"!

    (Source Le Figaro - 04.02.08)

  • O ZIGUE!


    podcast

  • Islamisation: succès du colloque de Synthèse Nationale

    Ramener l’islamisation des villes de France au cœur de la campagne pour les élections municipales, tel était l’objectif du colloque organisé samedi 2 février 2008 à Paris par Synthèse nationale.

    Devant 220 participants, parmi lesquels nous notions la présence de l’ancien député de l’Oise Pierre Descaves, de la députée flamande Hilde De Lobel, du Docteur Xavier Dor et de plusieurs conseillers régionaux du Front national ainsi que celle de nombreux candidats aux municipales, les orateurs qui se sont succédés à la tribune ont abordé à la fois l’historique de ce phénomène, sa dimension dramatique et ethnocide et les solutions pour la combattre.

    Ainsi, Bernard Antony, Président de Chrétienté solidarité, nous a magnifiquement brossé le vrai visage de l’islam conquérant en démontant les mécanismes mensongers de ceux qui essaient de nous faire croire que l’islam serait une religion d’amour et de tolérance. Il nous rappela que l’islam est aujourd’hui plus dangereux pour notre civilisation que le fut le communisme hier.

    Lui succéda Nicolas Tandler, écrivain et journaliste qui écrit régulièrement dans notre revue. Celui-ci évoqua, avec la précision que nous lui connaissons, la collaboration entre certains syndicats et l’islamisation du monde du travail.

    Patricia Vayssière, courageuse conseillère municipale MNR de Montreuil, fut ovationnée par l’assistance lorsqu’elle expliqua comment elle a réussi à faire annuler la subvention accordée par la municipalité communiste de sa ville pour la construction d’une grande mosquée. Elle encouragea, en leur donnant le mode d’emploi, tous ceux qui ne veulent pas voir surgir un minaret dans leur ville à en faire autant.

    La première partie de ce colloque se termina par l’intervention de notre amie Odile Bonnivart, porte-parole de Solidarité des Français, qui nous rappela, avec réalisme, qu’un Congolais, fût-il de nationalité française et parfaitement intégré dans la société, ne fera jamais pour autant un véritable Européen. De la même manière qu’un Européen qui vit en Afrique ne sera jamais un Africain.

    Après une pause au cours de laquelle les participants purent visiter les stands et se fournir en livres et revues, la seconde partie du colloque débuta par l’exposé remarquable de Jean-Claude Rollinat qui se livra à un état fort détaillé et alarmant de l’enracinement de l’islam dans le monde et de l’expansion de celui-ci en Europe.

    Martin Peltier, dont le talent de polémiste n’est plus à démontrer, mit une note d’humour digne de Marcel Aymé, pour désigner les vrais responsables de l’islamisation de la France et de l’Europe.

    Jean-François Touzé, conseiller régional d’Ile-de-France et président du Club Convergences nationales, appela au rassemblement de toutes les énergies dans le nécessaire combat politique pour que la France redevienne la France et l’Europe reste européenne. Il conclut en citant la fameuse réplique du Général de Castelnau, « Il faut que Verdun tienne, donc Verdun tiendra », CQFD.

    Robert Spieler, Président d’Alsace d’abord et candidat à la mairie de Strasbourg, appela à la résistance nationale, identitaire et européenne. Il présenta au public parisien la vaste campagne européenne lancée le 17 janvier dernier à Anvers à l’initiative de Filip Dewinter, porte parole du Vlaams belang, contre l’islamisation de nos villes. En organisant ce colloque, Synthèse nationale donne le coup d’envoi de cette campagne en France.

    Après avoir donné la parole à Myriam Baeckeroot, conseillère régional d’Ile-de-France et initiatrice du Comité pour le respect du NON français, qui expliqua, deux jours avant la ratification du Traité de Lisbonne, le sens de son combat, Roland Hélie conclut cette journée en rappelant l’esprit unitaire qui anime Synthèse nationale et en insistant sur la nécessité absolue de faire de la lutte contre l’islamisation le fer de lance de la résistance identitaire.

    Les actes de ce colloque seront publiés dans la prochaine livraison de Synthèse nationale.

  • La "Première Dame" n'existe pas dans la Constitution

    Aucun statut particulier pour la famille du président

    La constitution française n'indique aucun statut particulier pour l'épouse du chef de l'Etat et la famille de celui-ci. Pourtant, le conjoint du président de la République est automatiquement sur le devant de la scène. C'est donc à la "première dame de France" de trouver le rôle qu'elle souhaite jouer en fonction de ses envies et de sa personnalité!8d5b4fa8d977889e17b4e6bfacfa81c6.jpg

    A paraître en février 2008 dans le magazine de charme espagnol DT
    Les médiats se gargarisent avec ce titre de "Première Dame de France", de "First Lady", qui n'existe pas dans la Constitution !
    Carla Bruni-Sarközy aura été en tout cas la "Première Dame de France" à avoir posée nue, en tenue SM, un mois avant son mariage avec le Président de la République... Tout cela n'est pas bien "sérieux", quoi qu'en dise celui-ci...
    La question se pose: va-t-elle continuer sa carrière de top model nue? Rien ne le lui interdit, après tout...
    Et si lui aime partager...
  • Au bal des vampires!

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    Dimanche après-midi, le nouveau couple présidentiel, qui avait passé la soirée au Pavillon de la Lanterne, s'est promené dans le parc du château de Versailles. (Crédits photo : AFP)

  • Il tombe toujours plus bas: 41%

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      Le 1er février 2008 à Sofia-Antipolis

    La spirale ne semble pas s'arrêter. Selon un sondage LH2-Libération réalisé avant et après l'annonce de son mariage avec Carla Bruni, Nicolas Sarkozy subit en effet une chute de 13 points de sa cote de confiance par rapport au début du mois de janvier. 55% des personnes interrogées ont une opinion négative du président contre 41% d'opinions positives. Début janvier, la cote de confiance du président était positive pour 54% des Français.

    L'érosion progressive de la cote de confiance de Nicolas Sarközy depuis son arrivée à l'Elysée, de 67% en juillet 2007 à 54% en janvier, s'est subitement accélérée entre janvier et février. C'est un "effondrement d'une rare ampleur", juge François Miquet-Marty, directeur des études politiques de LH2 pour lequel "il existe peu d'exemples de défections aussi massives, si ce n'est le cas de Jacques Chirac en 1995".

    Premier facteur explicatif de cette forte baisse de la popularité, selon l'institut, le "discrédit qui le touche en matière économique" : 84 % des Français ne sont pas satisfaits de la politique concernant le pouvoir d'achat, 75 % sont insatisfaits de "la croissance économique", 68 % du problème de l'emploi. Deuxième cause de la chute de popularité du président, la désapprobation de son style personnel. "L'affichage de la vie privée" est désapprouvé par 76 % des interviewés. Par ailleurs, interrogés sur la crise de la Société générale, 44% des personnes interrogées en désapprouvent "la gestion" présidentielle.

    Mercredi, un sondage Sofres avait déjà confirmé la spirale descendante du chef de l'Etat : 55% des Français contre 48% un mois auparavant ne lui faisant pas confiance. 41% émettent un jugement inverse, en baisse de huit points en un mois. Depuis la mi-janvier, la cote du président de la République s'inscrit en négatif, avec une majorité de mécontents.

    Sondage réalisé les 1er et 2 février 2008, par téléphone, sur un échantillon de 1003 personnes.

  • MadameWeb, la porno-prof, faisait la joie de ses élèves

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    MadameWeb nue dans la rue... 
    Anna Ciriani, actrice porno la nuit et enseignante de littérature le jour, ça ne va plus être possible. Ainsi en ont décidé les autorités éducatives la région du Frioul-Vénétie Julienne (nord-est de l'Italie), au grand dam des élèves qui collectionnaient et s'échangeaient les photos de celle qu'ils appellent la porno-prof et qui tient la haut de l'affiche avec son pseudonyme de Madameweb. Pourtant Anna Ciriani jure que son passe-temps n'a jamais influencé ses cours en classe. "Mon comportement à l'école a toujours été professionnel et irréprochable", a-t-elle déclaré à la presse italienne ajoutant: "je suis une femme normale, j'ai une famille et un travail d'enseignante. Je cherche la transgression et le sexe". MadameWeb a pourtant une longue double carrière derrière elle. Il y a cinq ans, la porno-prof avait déjà été déchargée de sa fonction de professeur de littérature italienne dans un collège de Pordenone après que des élèves eurent constellé les murs des toilettes de photos d'elle, nue, téléchargées sur internet et sa video hard faisait les délices des onanistes en herbe. Ils réclament aujourd'hui à cor et à cri le retour de la professeure Anna Ciriani, alias porno-prof, plus connue comme Madameweb.

     

     

  • N'Djamena livré aux pillards

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    La joie des rebelles tchadiens

    Un calme précaire régnait dimanche soir à N'Djamena. Les affrontements qui ont débuté samedi, impliquant des hélicoptères de combat et de l'artillerie lourde, ont déjà fait plusieurs centaines de blessés parmi les civils, selon l'ONG Médecins sans frontières. Pendant environ trois heures, les tirs à l'arme lourde se sont succédé, puis sont devenus plus sporadiques et ont cédé la place à des tirs diffus d'armes automatiques. Les rebelles, après avoir été jusqu'aux abords de la présidence, ont annoncé s'être retirés à l'est de la capitale afin de laisser aux civils le temps de quitter le centre ville. "Nous ne nous sommes pas fait repousser. Nous nous sommes retirés. Il ne faut pas que les gens croient que Deby a gagné", a déclaré un responsable de la rébellion.

    Dimanche, le bâtiment de la radio, gardé jusqu'en milieu de matinée par un char de l'armée qui s'est ensuite retiré faute de munitions, a été pillé par la foule. Le grand marché de N'Djamena a subi le même sort. Les rebelles accusent la France de "jouer la montre" pour permettre au président Deby de se réorganiser, et ont menacé dimanche soir d'attaquer l'aéroport dans les 24 heures. C'est de cet aéroport, où sont également établis les 1450 militaires français du dispositif Epervier, qu'avaient décollé quelques heures plus tôt des hélicoptères de l'armée qui avaient attaqué des pick-up de l'alliance rebelle. Dans la soirée, le Conseil de sécurité des Nations unies a annoncé qu'allait se tenir rapidement une réunion d'urgence sur le Tchad.

    Samedi, l'aviation française s'était bornée à sortir ses hélicoptères pour sécuriser l'aéroport afin d'évacuer quelque 400 ressortissants étrangers vers Libreville. Dimanche, des chasseurs Mirage F1 ont effectué des passages au-dessus de N'Djamena, selon des sources militaires. Les appareils ont ensuite été "mis à l'abri" dans des pays voisins, a précisé l'état-major français à Paris.

    Les combats de ce dimanche, au deuxième jour d'une bataille acharnée pour le contrôle de N'Djamena et, au-delà, pour le pouvoir, semblent avoir sonné le glas d'un cessez-le-feu à l'initiative du dirigeant libyen Mouammar Khadafi, médiateur désigné par l'Union africaine. Ils se sont même étendus : la rébellion a aussi attaqué la préfecture d'Adré, à la frontière du Soudan avec, selon le préfet tchadien de région, un soutien aérien de l'armée soudanaise, une accusation démentie par Khartoum. Le ministre français de la Défense Hervé Morin a par ailleurs confirmé que le chef d'état-major tchadien, Daoud Soumaïn, avait été tué dans des combats vendredi lors d'affrontements à Massaguet, à 50 km à vol d'oiseau de N'Djamena. 

    D'après agence

    Le déploiement de l'Eufor compromis ?

    Les rebelles, malgré des intérêts divergents, se sont alliés mi-décembre sous la pression du Soudan, selon des experts. Khartoum souhaite notamment, estiment ces experts, perturber le lancement de la force européenne de 3700 hommes au Tchad et en Centrafrique (Eufor) destinée à protéger les réfugiés du Darfour. Hervé Morin a indiqué dimanche que le déploiement de l'Eufor était "suspendu jusqu'à mercredi", ajoutant que "personne" n'avait l'intention d'y renoncer. Dans une interview à l'hebdomadaire français Le Journal du Dimanche, le chef des rebelles du Rassemblement pour le Changement (RFC), Timane Erdimi, a indiqué toutefois que son mouvement ne voyait "plus aucun inconvénient" à la présence de l'Eufor, si elle "a une mission noble qui consiste à sécuriser" les déplacés et les réfugiés. Par ailleurs, les ambassadeurs des 27 pays membres de l'Union européenne se sont réunis dimanche à Bruxelles pour examiner la situation militaire à N'Djamena, sans toutefois arrêter de date sur l'envoi de la force européenne dans l'est du Tchad.

    (LCI.fr 03.02.08)

     

  • Non sono fedele...

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    (Paru le 18 décembre 2007 dans "sarkozynews)

  • Carla Sarközy:ce qu'elle pense des nains et des Français

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    Son opinion sur les Français:
    C'est le site internet de programmes-tv qui a révélé l'information. Si Carla Bruni est plutôt discrète depuis le début de son idylle avec le Président Sarkozy, la potentielle future dame de France s'est montrée bien plus loquace il y a quelques mois lorsqu'elle s'est confiée au Daily Mail. Et ce qu'elle y exprime ne fait pas plaisir à lire...
    La demoiselle Bruni, d'origine italienne, vit dans l'Hexagone depuis qu'elle a cinq ans. Paris lui a permis de se faire un (grand) nom dans le milieu du mannequinat, et la France a consacré ses talents d'auteur-compositeur en achetant en masse son premier album "Quelqu'un m'a dit". On pouvait donc penser, que, même avant sa rencontre avec le Président, Carla Bruni vivait une jolie histoire avec notre pays... Que nenni.

     Morceaux choisis ? "Je ne me sens pas du tout Française, j'ai un passeport italien" (...) Les Français sont de mauvaise humeur sans raison tandis que les Italiens sont toujours de bonne humeur (...) Les Français sont tout le temps négatifs. Ils adorent leur langue, du coup dès quelque chose n'est pas en français, ça les rend dingues". On passera sur le fait que selon elle, Paris est polluée, que le centre de Paris est insupportable, qu'elle trouve Londres beaucoup plus jolie... Bref, que des gentillesses on vous dit ! Le seul Français qui trouve finalement grâce à ses yeux, est, on vous le donne en mille... Nicolas Sarközy. Les hommes de petite taille, auraient selon elle, "plus de caractère", et pour illustrer son exemple, elle citait déjà: "Napoléon... et Nicolas Sarkozy".

    (Voici.fr -21 Janvier 2008)

    Carlita, comme Cécilia, n'a pas une goutte de sang français dans les veines! Et dans un sens on préfère!

  • Une fondation pour l'Islam à Mantes-La-Jolie

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                                               Selon nos sources, des représentants du cabinet de Michèle Alliot-Marie, ministre de l’Intérieur chargée des cultes, ont assisté, le 30 janvier 2008, à un déjeuner à la mosquée de Mantes-La-Jolie, en compagnie du recteur du lieu de culte, Ali Berka, et de l’ancien maire de la Ville, Pierre Bédier.

    Ce dernier, président du Conseil général et député des Yvelines, désirait obtenir l’aval de la ministre pour un projet de création d’une fondation pour l’islam à Mantes-la-Jolie.

    Il existe déjà une fondation pour les œuvres de l’Islam de France, mise en place en 2005 par Dominique de Villepin, alors ministre de l’Intérieur. Cette organisation peine à exister et bien des observateurs doutent qu’elle parvienne jamais à remplir sa fonction: canaliser les fonds de donateurs étrangers afin de faciliter la construction de lieux de culte musulmans en France.

    D’après des proches du dossier, l’Arabie Saoudite, dont les caisses débordent, renâcle franchement à mettre au pot. Elle ne souhaite pas traiter avec une fondation dont le président est l’Algérien Dalil Boubakeur, recteur de la Mosquée de Paris.

    La nouvelle fondation, située à Mantes-La-Jolie, pourrait lui plaire davantage. L’Arabie Saoudite connaît bien la ville puisque La Ligue islamique mondiale - financée par le régime wahhabite - y possède son siège et que la mosquée a été financée aux trois-quarts par des fonds saoudiens. Le recteur de la mosquée, Ali Berka, est par ailleurs considéré comme très proche des dirigeants saoudiens.

    Reste qu’une telle fondation ne pourrait voir le jour sans le feu vert du Conseil d’Etat.

    (L'Express 02.02.08)

     

     

     

  • Idriss Déby Itno, président du Tchad

    Arrivé au pouvoir par les armes en 1990, le chef d'Etat tchadien Idriss Déby Itno pourrait à son tour devoir quitter la présidence chassé par les armes d'une coalition d'opposants comprenant certains de ses anciens alliés. Après avoir plusieurs fois échappé à des coups d'Etat, il semblerait que, cette fois-ci, ce chef de guerre, qui n'a jamais hésité à prendre la tête de ses troupes, n'ait pu résister à la vague de la colonne des 300 pick-up des rebelles qui a pris samedi la capitale, N'Djamena.

     

    Né en 1952 à Fada, dans le nord-est du pays, Idriss Déby est musulman et appartient à l'ethnie zaghawa, présente de part et d'autre de la frontière tchado-soudanaise. Comme beaucoup de fils du désert, il se destine vite au métier des armes. Baccalauréat en poche, il entre à l'école d'officiers de N'Djamena puis décroche en France une licence de pilote professionnel. De retour au pays, il lie son destin à celui d'Hissène Habré qui parvient en 1982 à chasser du pouvoir Goukouni Weddeye.

     

    En remerciement de son soutien, Idriss Déby est nommé commandant en chef. Sa renommée va alors croître avec les combats qu'il livre contre les forces pro-libyennes, au point de faire de l'ombre à Hissène Habré qui l'éloigne à Paris en 1985 pour y suivre les cours de l'école de guerre. Sitôt de retour, Idriss Déby décroche le poste-clé de conseiller militaire du président mais les rapports entre les deux hommes se tendent. Et en 1989, accusé de complot, il s'enfuit de N'Djamena pour la Libye puis le Soudan, où il fonde sa propre armée, le Mouvement patriotique du salut (MPS).

    Sa campagne militaire le conduit en décembre 1990 à N'Djamena et au pouvoir, après la fuite d'Hissène Habré. Le chef de guerre délaisse alors son treillis pour le costume d'homme politique. Elu président en 1996 lors du premier scrutin pluraliste au suffrage universel, il ouvre alors le gouvernement à une partie de ses adversaires. Mais, malgré sa réélection en 2001, Idriss Déby est de plus en plus critiqué par une opposition qui lui reproche des fraudes électorales, des violations des droits de l'Homme et, malgré son entrée en octobre 2003 dans le club des pays producteurs d'or noir, l'extrême pauvreté de son peuple.

    Plus grave, son clan se lézarde à la faveur de la guerre civile qui embrase le Darfour voisin. Son entourage lui reproche de ne pas soutenir ses "frères" zaghawa de la province soudanaise. Le malaise gagne l'armée et, en mai 2004, le pouvoir du président, que l'on dit gravement malade, vacille sous le coup d'une tentative de coup d'Etat militaire. A partir d'octobre 2005, les désertions d'officiers et les défections de proches s'accélèrent et vont grossir les rangs d'une rébellion de plus en plus menaçante, qu'il accuse le Soudan d'armer.

    Malade et fragilisé par un conflit qui l'oppose à la Banque mondiale sur la gestion des pétrodollars, Idriss Déby échappe à un nouveau coup d'Etat le 14 mars qui sera suivi d'une nouvelle tentative des rebelles qui échoueront aux portes de N'Djamena en avril. Ce n'est que partie remise, la rébellion installée au Soudan s'organise et de vient de plus en forte. Des combats, auxquels il participe, font des centaines de morts en novembre et en décembre 2007 avec les différentes factions dans l'est du pays. Celles-ci concluent une alliance en décembre et réussissent, à partir de leur bases soudanaises, à traverser le Tchad et en cinq jours d'est en ouest pour investir N'Djamena, la capitale symbole du pouvoir.

    (Le Monde 02.02.08)

  • Kenya: les violences ethniques continuent

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    AFP. Près de 1.000 personnes ont été tuées et 250.000 à 300.000 déplacées dans les violences politico-ethniques qui ont suivi l'annonce de la réélection, contestée par l'opposition, du président Kibaki fin décembre 2007.

    Samedi, l'Union africaine a appelé les dirigeants kényans à "coopérer pleinement avec les efforts de médiation" de l'ancien secrétaire général de l'ONU Kofi Annan, mandaté par l'UA, à la clôture de son 10e sommet à Addis Abeba.

    L'UA "déplore les pertes en vies humaines et condamne les violations des droits de l'homme perpétrées au cours des semaines écoulées", ajoute la déclaration finale du sommet.

    (02.02.08)

  • JUSTICE: 20 ans de prison pour le monstre

    La cour d'assises de Seine-Saint-Denis a condamné à 20 ans de réclusion un homme reconnu coupable du meurtre d'une vieille dame de 72 ans, étouffée et mutilée dans son appartement à Aubervilliers en 2004.

    Mounir Aït Menguellet, 32 ans, a été condamné vendredi à 20 ans de réclusion par la cour d'assises de Seine-Saint-Denis pour le meurtre d'une vieille dame de 72 ans, étouffée et mutilée dans son appartement à Aubervilliers en 2004.

    Vingt-cinq ans de réclusion avaient été requis par l'avocate générale Agnès Thibault contre cet Algérien, fils d'un musicien et poète kabyle renommé, qui clamait son innocence depuis quatre ans. «Malgré des éléments accablants que je ne conteste pas et que je ne m'explique pas, je maintiens que je suis incapable de commettre un tel crime», avait déclaré l'accusé juste avant que la cour ne se retire, affirmant: «je n'ai pas assassiné Mme Lopès, je n'y suis pour rien».


    Les jurés ont rendu leur verdict à l'issue d'un délibéré qui aura duré moins de quatre heures.

    L'accusé avait été interpellé le 15 janvier 2004 au domicile de la veuve, quelques heures après le crime. La vieille femme, Maria de Jesus Lopès, reposait sur son lit, le corps mutilé, un crucifix en main, une image du pape sur la tête, des inscriptions à connotation religieuse sur le corps.

  • Le calvaire de la retraitée de Sully

    Un homme a fait subir sept heures de violences physiques et sexuelles à une femme de 80 ans qui vivait seule à Sully, en Picardie verte. Il a été arrêté.

    Sept heures de souffrances, de violences et d'humiliations. C'est l'horrible calvaire vécu par une femme de 80 ans résidant à Sully, un village de 150 habitants situé à quelques kilomètres de Songeons, en Picardie verte. Mardi soir, aux alentours de minuit, un homme âgé d'une quarantaine d'années est entré, a priori par effraction, au domicile de sa victime.

    D'après nos informations, la vieille dame l'aurait découvert au pied de son lit. Elle aurait alors tenté de fuir en s'enfermant dans la salle de bains. Mais son agresseur l'aurait suivie puis, après avoir défoncé sa porte, l'aurait forcée à revenir dans la chambre. Pendant sept heures, elle aurait été victime de violences sexuelles et physiques, d'insultes et de menaces. A l'aube, vers 7 heures, son agresseur finit par s'endormir. La victime réussit alors à s'enfuir et se réfugie chez ses voisins. Après avoir prévenu la gendarmerie, le voisin en question bloque l'agresseur, ce qui permettra son arrestation. Placé en garde à vue, l'homme a été déféré au parquet. La gendarmerie poursuit toujours ses investigations et se refuse à tout commentaire. Pourquoi?

    Interrogé hier, Raymond Courtois, le maire de
    Sully, était toujours sous le choc de la nouvelle. « Ce qu'elle a vécu, c'est inhumain, impensable, atroce, déclare-t-il. C'est un véritable acte de barbarie. Ce type est un sadique de la pire espèce. J'en reste traumatisé. En plus, c'est une dame adorable. Elle a perdu son mari il y a trois mois. Nous allons essayer de l'entourer du plus possible d'attentions. »

    L'agresseur habite un village voisin. Il fréquentait régulièrement
    Sully, où il effectuait parfois divers travaux pour les agriculteurs du village (foins, élagage...). Il semblait savoir que sa victime était une femme seule, même si, quelques minutes plus tôt, il s'était présenté à un autre domicile, quelques maisons plus loin. « Il a toqué à ma porte à 23 h 30, raconte cette autre habitante de Sully. J'ai été surprise et je suis allée voir, mais je n'ai pas ouvert. Il m'a dit qu'il était en panne de vélo et il me demandait de le raccompagner. J'ai refusé en disant que mon mari dormait à l'étage et je pense que la présence de mon chien qui aboyait l'a dissuadé d'aller plus loin. Avec le recul, je me dis que j'ai eu beaucoup de chance. Même si rien ne laissait supposer qu'il allait commettre cet acte horrible, je m'en veux de ne pas avoir donné l'alerte. » L'agresseur a été incarcéré à la prison de Liancourt.

    (Le Parisien 02.02.08)

  • N'DJAMENA EST TOMBE AUX MAINS DES REBELLES

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    En quelques jours à peine, ils ont traversé tout le pays. Samedi matin, ils étaient aux portes de la capitale, N'Djamena, et des Français présents sur place et joints par téléphone par les télévisions et radios évoquaient des tirs d'arme lourde aux portes de la ville. A présent, les rebelles se sont emparés de la capitale tchadienne : la chute de N'Djamena a été annoncée samedi en fin de matinée de source militaire. "Toute la ville est entre les mains des rebelles. Il n'y a plus que des  combats de nettoyage", a indiqué cette source.

    Quant au président Idriss Déby, il est retranché dans le bâtiment de la présidence, près duquel des combats ont été signalés entre forces gouvernementales et rebelles. Le président a tenté pendant une demi-heure, apparemment sans succès, de desserrer l'étau de la rebellion qui l'encercle, en faisant tirer des chars le protégeant. "Idriss Deby est encerclé, il peut se rendre s'il le souhaite", a déclaré un responsable de la rebellion. Selon lui, la rébellion tchadienne envisagerait même d'attaquer le bâtiment présidentiel.

    La France condamne l'action des rebelles

    Face à la dégradation rapide de la situation, l'Union africaine, qui condamne l'attaque des rebelles, a mandaté le président congolais et le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi pour "trouver une solution négociée". Le président Idriss Deby Itno, chef militaire arrivé au pouvoir par les armes en 1990, avait regagné N'Djamena vendredi lorsque ses forces n'avaient pas réussi à  stopper l'avancée des rebelles lors de violents affrontements à une cinquantaine de kilomètres au nord de la capitale. Depuis, il s'est longuement entretenu au téléphone avec Nicolas Sarkozy, qui a ensuite fait le point avec le ministre de la Défense Hervé Morin.

    Paris condamne "fermement la tentative de prise du pouvoir par la force" au Tchad "par des groupes armés venus de  l'extérieur", appelle à "l'apaisement et à la réconciliation" et apporte son "soutien à la médiation que vient d'engager l'Union Africaine en ce sens". En parallèle, Paris prépare l'évacuation de 700 Français et étrangers, qui sont sous la protection de l'armée française. Ils pourraient être évacués dans samedi après-midi

    (LCI.fr 02.02.08)

  • Mariage en Sarköland

    Les rumeurs couraient depuis plusieurs semaines. Le président de la République Nicolas Sarközy et la top model- chanteuse Carla Bruni se sont mariés samedi matin à l'Elysée. Le maire du VIIIe arrondissement de Paris, François Lebel, interrogé sur Europe 1, a confirmé avoir procédé à ce mariage à 11 heures, "au premier étage de l'Elysée, dans un salon", en présence "d'une vingtaine de personnes : la famille proche et quelques amis". Selon lui, "la mariée était en blanc et le président en costume cravate comme il se doit dans n'importe quel mariage civil". Informé "depuis une dizaine de jours" de la date du mariage présidentiel, le maire du VIIIe arrondissement s'était présenté seul samedi à l'Elysée pour cette cérémonie.

    François Lebel a trouvé les nouveaux mariés "émus et amoureux". "Il y a eu un échange d'alliances et la traditionnelle bise. Il n'y a rien d'exceptionnel, si ce n'est que ça s'est passé au premier étage de l'Elysée." Selon la radio RTL, qui a révélé l'information, l'ancien collaborateur d'Edouard Balladur, Nicolas Bazire, était le témoin de Nicolas Sarkozy, Mathilde Agostinelli, responsable de la communication chez Prada, celui de Carla Bruni. L'ex-mannequin devient ainsi la nouvelle "Première dame de France", trois mois et demi après l'annonce du divorce entre Nicolas Sarkozy et son ex-femme Cécilia. Le couple serait depuis à la Lanterne, à Versailles.

    Le mois dernier, le Journal du Dimanche avait évoqué la possibilité d'un mariage début février, plus probablement le 9 février. Lors de sa conférence de presse le 8 janvier dernier, Nicolas Sarkozy avait dit : avec Carla Bruni, "c'est du sérieux, mais ce n'est pas le JDD qui fixera la date". Le président de la République avait même ajouté : "il y a de fortes chances pour que vous l'appreniez quand ce sera déjà fait". Finalement, c'est donc la radio RTL qui a la première révélé l'information samedi à la mi-journée, citant "des témoins". Samedi peu avant 18 heures, un communiqué de l'Elysée confirmait que Nicolas Sarkozy et Carla Bruni se sont mariés samedi "dans la plus stricte intimité".

    Selon le directeur de la rédaction de L'Express Christophe Barbier, le couple s'est rencontré lors d'un dîner chez le publicitaire Jacques Séguéla. "J'ai vécu le coup de foudre en direct", a raconté ce dernier sur Europe 1, fin décembre. La relation entre le chef de l'Etat et Carla Bruni avait été rendue publique mi-décembre alors que le couple s'était rendu à Eurodisney. Quelques semaines plus tard, Nicolas Sarkozy et Carla Bruni s'étaient rendus en Egypte, notamment à Louxor. Début janvier enfin, ils avaient visité ensemble, sous les flashs des photographes, les ruines de Petra en Jordanie.

    Les bans n'ont pas été publiés

    Selon Didier Decelle, adjoint au maire du VIIIe arrondissement de Paris, "il n'y a pas eu de publication des bans, avec l'autorisation du procureur de la République de Paris". En vertu de l'article 169 du Code civil en effet, "le procureur de la République dans l'arrondissement duquel sera célébré le mariage peut dispenser, pour des causes graves, de la publication et de tout délai ou de l'affichage de la publication seulement". Dans la pratique, ceci peut s'étendre dans certains cas à des personnalités.

  • Qui est Robert A. Day, administrateur américain de la SOCGEN?

    Comme l'a révélé l'Autorité des Marchés financiers, Robert Day, administrateur américain de la Société générale, a vendu pour 85 millions d'euros d'actions Soc Générale le 9 janvier, puis 10 millions d'euros le 10 janvier, puis 40 millions d'euros le 18 janvier, soit très exactement pendant les jours précédant l'effondrement des cours. Bien que la banque le démente, le soupçon de délit d'initié est donc extrêmement fort.

    Les medias ont relayé cette information.

    Mais ils restent en revanche muets sur un aspect très intéressant : qui est Robert A. Day ?

    Ce n'est pourtant pas très difficile de le savoir, il suffit de savoir chercher sur le web.

    Si ils faisaient leur métier, qui est d'informer le public en menant quand même quelques investigations, les medias pourraient révéler aux Français que Robert Day, de nationalité américaine :

    1) - est un multimilliardaire très proche de George W. Bush

    2) - est tellement proche de W. Bush qu'il a été l'un des principaux financiers de ses deux campagnes électorales présidentielles

    3) - est tellement proche que le président Bush l'a nommé en 2001 dans le sein des seins des services de renseignements américains : le "Presidential Intelligence Advisory Board" de la Maison Blanche

    4) - est en outre membre de plusieurs lobbys euro-atlantistes, tels le CSIS ou la Brookings Institution, qui militent ardemment pour la "Constitution européenne" , et qui sont par ailleurs fortement soupçonnés d'être des couvertures de la CIA.
    (Source voxnr- 01.02.08)