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Blog - Page 1918

  • La Veuve noire d'Al-Qaïda: de quoi mourir de peur!

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    La Veuve noire avec son fils Ilyass

    Au lendemain des interpellations d'islamistes en Espagne, les services secrets de ce pays ont alerté la France sur des risques d'attentats lors de la venue du président pakistanais Musharraf. Des menaces réitérées aujourd'hui, par Fatiha Mejjati, égérie d'Al-Qaïda.

    Certains l'appellent la « veuve noire d'Al-Qaïda ». Fatiha Mejjati, 47 ans, est la veuve de Karim Mejjati, un Franco-Marocain, abattu en avril 2005, en Arabie saoudite . Son mari est soupçonné d'avoir été le cerveau des attentats de Madrid du 11 mars 2004 perpétrés au même moment dans plusieurs gares de la capitale espagnole provoquant la mort de 195 personnes. Un carnage commis 911 jours après celui du 11 septembre 2001. La pasionaria d'Al-Qaïda prévient que « la France sera punie » pour « son allégeance à l'Amérique ». « La France ne sera plus épargnée ni protégée », assure cette femme, un temps au sommet de l'organisation terroriste, dont le mari est aussi accusé d'avoir coordonné les attentats de Casablanca du 12 mai 2003. Bilan : 45 morts. Une attaque qui précédait de quatre jours l'attaque, à Ryad (Arabie saoudite) le 16 mai 2003, d'un complexe résidentiel pour occidentaux où 35 personnes avaient trouvé la mort.

    Nous avions rencontré, au mois de juin 2007, Fatiha Mejjati, porte-drapeau de l'organisation terroriste que nous avons recontactée régulièrement et notamment hier après ces nouvelles menaces détectées par les services de renseignements espagnols. Elle tient des propos extrêmement virulents et outranciers mais qui éclairent sur la stratégie d'Al-Qaïda.

    Quelle est la réalité de la menace contre la France ?

    Fatiha Mejjati . Elle est désormais évidente. Le sanctuaire français n'existe plus. La politique étrangère de la France s'aligne sur celle des Etats-Unis. La France ne sera donc plus épargnée. Nicolas Sarkozy est devenu le jumeau de George W. Bush. L'indépendance politique de la France n'existe plus comme sous le président Jacques Chirac. La France est donc une cible prioritaire. Chaque jour des civils musulmans sont massacrés en toute impunité et l'Irak est devenu un concentré de tous les crimes de guerre. Les premières victimes sont des enfants et des femmes. Où sont les organisations féministes occidentales si moralisatrices d'habitude ? On dit chez vous : « Qui sème le vent, récolte la tempête ».


    Pourquoi cibler la France ?

    Il est clair que la France sera bientôt punie. La France est déjà menacée comme tous les pays qui font allégeance aux Etats-Unis. Des troupes françaises sont d'ailleurs toujours présentes en Afghanistan, sainte terre d'islam, et doivent se retirer sinon vous devez vous attendre à des représailles. Le voyage de votre président à Kaboul a provoqué un déclic. Al-Qaïda tient toujours sa parole. Quand on fait la guerre, il faut s'attendre à recevoir la guerre. Quand Sarkozy va en Arabie Saoudite, c'est pour vendre des armes contre les musulmans. Cette politique vous expose dangereusement alors que vous pourriez vivre en paix. Que la France s'occupe de la France!

    Comment expliquez vous votre passage d'une femme libre à celui d'une militante forcenée ?

    J'admirais sincèrement l'Occident tout comme la démocratie. Je croyais à la laïcité et à l'égalité. Cela faisait partie de mes convictions les plus intimes. J'étais athée. Je suivais la mode parisienne, je portais des tailleurs, des jupes courtes et des talons hauts. Je sortais en boîte. Mais il y a eu cette première guerre du Golfe et ce fut comme une baffe ! J'ai vécu une crise identitaire. Quand j'ai voulu porter le voile, ma vie est devenue un véritable enfer au Maroc. On me traitait de corbeau. Un seul choix s'imposait à ma famille, rejoindre la république Islamique d'Afghanistan pour vivre notre vie de musulmans.

    Mais le régime des talibans est à l'opposé de la démocratie ?

    Islam et démocratie sont incompatibles. La majorité n'a pas toujours raison. Et le peuple ne connaît pas toujours non plus ses intérêts. En islam, il n'y a pas de majorité, c'est l'expérience et le savoir qui commandent. Lorsque les talibans auront repris le pouvoir en Afghanistan, je suis prête à y retourner. Là bas, on vivait dans une véritable dignité. L'Arabie Saoudite n'est pas une terre islamique pour les vrais croyants. Elle a toléré des impies sur son territoire. Et quand le peuple palestinien choisit démocratiquement le Hamas, la communauté européenne lui coupe les vivres. La démocratie est seulement valable quand elle porte au pouvoir des régimes favorables aux pays occidentaux.

    Entre les mille imprécations de cette excitée du Coran, nous retiendrons cependant une phrase qui ne manque pas -involontairement - de sagesse: "Que la France s'occupe de la France!" 

     

  • 21 JANVIER 1793

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    Tombeaux de Louis XVI et de Marie-Antoinette à la Basilique de Saint-Denis
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    Gravure de l'époque révolutionnaire - BN

    À l'entrée de la seconde cour du Temple une voiture attendait Louis XVI, qui y prit place avec l'abbé Henri Essex Edgeworth de Firmont. Deux gendarmes s'installèrent en face d'eux. Le trajet dura plus d'une heure. La voiture, précédée de tambours, escortée par une troupe de cavaliers sabre au clair, avançait entre plusieurs rangs de gardes nationaux et de sans-culottes.

    La voiture parvint sur la place de la Révolution et s'arrêta dans l'espace que l'on avait aménagé au pied de l'échafaud, espace entouré de canons en batterie et d'une multitude de piques et de baïonnettes.

    Louis XVI demanda aux représentants de la Convention qui l'accompagnaient s'ils avaient reçu des nouvelles de la Pérouse, disparu depuis environ cinq ans début 1788. Il essaya aussi de discuter des Annales de Tacite.

    Le bourreau Sanson consigna son récit de l'exécution dans une lettre du 20 février 1793 : arrivé au pied de la guillotine, Louis XVI considéra un instant les instruments de son supplice et demanda à Sanson si les tambours s'arrêteraient de battre. Il s'avança pour parler. On cria aux bourreaux de faire leur devoir. Pendant qu'on lui mettait les sangles, il s'écria : « Peuple, je meurs innocent ! ». Ensuite, se tournant vers ses bourreaux, Louis XVI déclara: « Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe. Je souhaite que mon sang puisse cimenter le bonheur des Français. » Le couperet tomba. Il était 10 heures 22. Louis XVI était âgé de 39 ans.

    Parmi les conventionnels qui votèrent la mort du roi figure Louis Le Peletier de Saint-Fargeau (33 ans). Ce jeune aristocrate était sous l'Ancien Régime président à mortier au Parlement de Paris.

    Député de la noblesse de l'Yonne aux états généraux, il se rallie brusquement en juillet 1789 au camp de la Révolution et va dès lors défendre les idées extrêmes avec autant de fougue qu'il en mettait quelques années plus tôt à défendre les intérêts des privilégiés.

    Il est poignardé le 20 janvier 1793, à la veille de l'exécution de Louis XVI, par un ancien garde du corps du roi dénommé Philippe Pâris, dans un restaurant du Jardin-égalité (actuel Palais Royal). L'assassin voulait venger la condamnation du roi.

     

     

     

  • AUGUSTE CHABAUD (1882-1955)

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    Paysage provençal

  • Elle aurait été "sperminated" par Sarközy!

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    A-t-il une jamble plus courte que l'autre?
     

    Le couple Bruni / Sarközy continue leur petit bonhomme de chemin ! Des sous-entendus de Nicolas Sarközy permettent de suivre la piste d'un mariage... Un bébé viendrait compléter cette love affaire...

     

    Lors de la conférence de presse du 08 janvier, Monsieur Sarközy est venu semer le trouble dans les folles rumeurs sur sa vie intime avec Carla Bruni, "avec Carla, c'est du sérieux " ! En prévenant le J.D.D. qu'il ne déciderait pas la date de leur mariage, journal qui avaient avancé des dates de cérémonies, par : "il y a de fortes chances que vous l'appreniez quand ce sera déjà fait... ", il ne dément pas l'idée d'un mariage !

    Des paroles qui en disent long... D'après Le Figaro, Carla Bruni aurait déjà posé ses valises à l'Elysée, Le Parisien, elle y aurait son studio personnel d'enregistrement. Selon 20 minutes, la Belle serait enceinte, ce qui expliquerait sa visite à l'hôpital américain de Neuilly... Ah ! Le miracle de l'amour... Les paroles du Président prennent alors tout leurs sens ! Sans oublier son allusion à Monsieur Miterrand et sa fille, Mazarine Pingeot, pour exprimer son souhait de transparence, de refuser l'hypocrisie et le mensonge, voilà donc des indices sur la piste d'un mariage ! Avec le temps, le petit ventre de Carla pourrait devenir un petit ballon où se cacherait un petit d'Homme... A quand le baby-sitting à l'Elysée ?

     


  • Le vrai papa de Carla Bruni!

    Carla le sait depuis le décès d’Alberto Bruni-Tedeschi, il n’était pas son père biologique. Qu’importe, il l’a élevée comme sa fille légitime. Mais aujourd’hui Maurizio Remmert lève le voile dans une interview unique pour un quotidien brésilien, non pas pour se faire de la publicité précise-t-il mais pour combattre de fausses affirmations.

    L’interview est rapportée dans un article du journal italien La Repubblica dont nous vous proposons une traduction.

    “Carla est née d’une relation à Turin que nous avons eue moi, très jeune, et Marisa, 32 ans, mariée avec Alberto”, déclare Maurizio Remmert, 61 ans, entrepreneur italien résidant à San Paolo du Brésil, et père naturel de Carla Bruni, probable future première dame de France, interviewé par le quotidien Estado de S.Paulo.

    “Je sais depuis toujours qu’elle est ma fille, depuis qu’elle est née il y a 40 ans”, poursuit Remmert, cheveux blancs, visage sympathique, physique athlétique, qui habite à San Paolo depuis 32 ans. ‘Nous vivions à Turin. Marisa Tedeschi et moi nous sommes connus dans l’ambiance musicale de la ville. Elle était pianiste. Alberto, son mari, était entrepreneur et compositeur. J’ai joué longtemps avec Marisa. Et j’ai vécu une grande histoire d’amour avec elle, pendant 6 ans : ce n’était pas une relation fugace. Elle était mariée et à l’époque nous n’avons pas révélé qui était le vrai père de Carla quand elle est née en 1967″. (et non en 1968: erreur sur de nombreux sites?)

    Remmert explique que cette histoire était connue dans le Turin bien pensant de l’époque, “mais par nature, nous les Italiens du nord sommes discrets”. Et le mari, Alberto Bruni Tedeschi, décédé en 1996, connaissait-il la vérité sur la naissance de Carla ? “Je ne saurais dire quand il l’a découvert, mais c’était il y a longtemps”, dit encore Remmert, qui a épousé au Brésil Marcia de Luca, un professeur de yoga, dont il a eu une fille Consuelo. “C'était une personne sensationnelle, et il a toujours traité Carla comme sa fille légitime. Quand il est tombé malade, Marisa a révélé à Carla qui était son vrai père. Une conversation d’adultes, entre mère et fille”.

    Ainsi, la première fois que le père et la fille se sont rencontrés à San Paolo “a été une chose naturelle et tranquille : notre relation est très bonne. Le fait est que Carla disait toujours qu’elle se sentait différente des membres de sa famille, observe le père naturel. Aujourd’hui, elle est très proche de Consuelo, mon autre fille”.

    “Je parle avec Carla fréquemment et chaque fois que je peux je vois mon petit-fils Aurélien, aussi intelligent que son père, le philosophe Raphaël Enthoven, que j’estime beaucoup”.

    Et a-t-il parlé avec Sarkozy ? “Sur cette question, je n’ai aucun commentaire”, se renferme Remmert, “Je ne m’immisce pas dans la vie de mes filles. Je veux que Carla et Consuelo soient heureuses avec les personnes qu’elles choisiront. Elle ne m’a pas parlé de mariage avec le président et je ne lui ai pas demandé. J’ai cultivé la discrétion pendant les 61 ans de ma vie et maintenant, à l’improviste, tout devient un enfer”.

    L’homme conclut en annonçant qu’après cette unique interview il se renfermera de nouveau dans sa vie paisible : “Je l’ai fait seulement pour combattre la stupidité, comme ce journal qui a écrit “L’impresario clame qu’il est le véritable père de Carla Bruni”. C’est absurde : c’est comme si je voulais me faire de la publicité”.

    (Source: femmes-sans-complexes.com)

  • VIDEO: Marcos Baghdatis défend son pays contre la Turquie

    http://www.youtube.com/v/9fyEr8b9o6w&rel=1

    Marcos Baghdatis est né le 17 juin 1985 à Limassol (Chypre). Il a commencé à jouer au tennis à l'âge de cinq ans.

    MELBOURNE - Une vidéo le montrant en train d'entonner des chants anti-turcs et circulant sur Internet a contraint le Chypriote Marco Baghdatis à s'expliquer, vendredi à Melbourne en marge de l'Open d'Australie de tennis.

    Cette vidéo postée sur le site YouTube a été tournée à Melbourne l'an dernier mais elle a soudain refait surface ces derniers jours. On peut y voir le finaliste de l'édition 2006 de l'épreuve criant "Turquie dehors", lors d'un barbecue organisé par le Hellas Fan Club, un groupe de supporters grecs par ailleurs impliqué dans une altercation avec la police, survenue mardi, pendant le match opposant le Chilien Fernando Gonzalez et le Grec Konstantinos Econdomis.

    Dix membres de ce club de supporters avaient été jugés "fauteurs de trouble" et avaient été expulsés hors du court à l'aide de sprays au poivre. Son leader a depuis été interdit de stade pour toute la durée du tournoi.

    "Dans cette vidéo datant de 2007, a fait savoir le 16e joueur mondial par voie de communiqué, je défendais les intérêts de mon pays, Chypre. Nous protestions contre une situation que les Nations unies ne reconnaissent pas".

     La partie nord de l'île de Chypre est occupée depuis 1974 par l'armée turque, tandis que la partie sud est la seule officiellement reconnue internationalement en tant que République de Chypre. Le champion entendait protester contre cette occupation de son pays d'origine.

    "Maintenant, j'aimerais me concentrer sur le tournoi, a conclu Marcos Baghdatis. Et je demande à tout un chacun de respecter cela. J'aime l'Open d'Australie et j'ai envie de réussir ici". AP

     

     

     

  • Drogue dans les cités: il est déjà trop tard!

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    Michèle Alliot-Marie déclare la guerre aux trafiquants et à l'économie souterraine dans les quartiers. Elle convoque demain les patrons des GIR pour les remobiliser. La demande de drogue n'a jamais été aussi forte, et il est très facile d'en trouver.

    C'est une "déclaration de guerre". La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie souhaite faire de l'année 2008 celle de la lutte contre le trafic de drogue en France. Elle convoque d'ailleurs demainles 30 patrons des groupements d'intervention régionaux (GIR) au ministère pour une journée de remobilisation.

    Ces groupes réunissant policiers, gendarmes, douaniers et agents du fisc avait été créé en 2002 par l'ancien locataire de la Place Beauvau Nicolas Sarközy pour lutter contre l'économie souterraine liée notamment au trafic de drogue.

    Six ans plus tard, c'est pire!

    MAM a aussi officialisé son projet de centre opérationnel pour la Méditerranée qu'elle souhaite installer à Toulon (Var) pour lutter contre les importations de stupéfiants par voie maritime. Dans le même temps, la préfecture de police de Paris a lancé un plan antidrogue dans la capitale et plus d'une tonne de résine de cannabis a été saisie dans un garage du XVIIIe arrondissement au début du mois de janvier.

    Cette mobilisation générale intervient alors qu'un rapport de l'Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) qui vient d'être publié livredes chiffres sans appel : il y a en France plus d'un million d'usagers « réguliers » de cannabis et plus d'un million de Français avouent aussi avoir déjà « expérimenté » la cocaïne. Pire, les adolescents français seraient les plus gros consommateurs de hasch en Europe.

    « Pour gagner le combat, il faut s'attaquer à tout le monde : du petit dealer de quartier à l'organisation criminelle », avance Jean-Michel Colombani, le patron de l'Office central de répression du trafic illicite de stupéfiants (OCRTIS).

    Mais, si la matière première vient toujours des mêmes pays, le Maroc pour le cannabis, la Colombie, le Pérou et la Bolivie pour la cocaïne, elle se disperse dans des centaines de réseaux dès son arrivée en France. Se procurer du haschich est d'une facilité déconcertante et la cocaïne s'est aussi considérablement « démocratisée » depuis quelques années. « Les prix de la coke ont baissé et surtout on note un phénomène inquiétant : de plus en plus d'usagers de cannabis passe rapidement vers la cocaïne et les drogues de synthèse comme l'ecstasy », note Jean-Michel Colombani.

    Dans un mois, l'effet d'annonce passé, on n'entendra plus parler du "plan antidrogue" de MAM...

    Car la politique du Gouvernement est  celle des "coups d'épée dans l'eau"!

    Quant au "Plan-banlieue" de Fadela Amara, on se permettra de rire de cette nouvelle imposture quand on sait combien rapporte par jour le commerce de la drogue au plus petit dealer de cité: 150 euros! Soit 4 500 euros par mois, sans formation ni risques de chômage! Et toute la famille en profite dans l'impunité... (voir vidéo 2)

    Grâce à la drogue, on vit bien, très bien même, dans les cités!

  • VIDEO: Le marché lucratif de la drogue dans les cités de Marseille

    http://www.dailymotion.com/video/x2eded_le-marche-lucratif-de-la-drogue-a-m_news

  • Le Taser, arme d'autodéfense

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    Trois iTaser
     Après le Taser, ce pistolet à impulsion électrique, voici venu l'iTaser. Dévoilé lors du Consumer Electronic Show de Las Vegas, l'appareil est doté d'un nouvel accessoire: un lecteur MP3 de 1Go intégré dans le holster. En France, Olivier Besancenot est parti en guerre contre cette arme, l'accusant d'être responsable de la mort de plusieurs dizaines de personnes outre-Atlantique.

    Il est de couleur rose, ou léopard, et permet d'écouter n'importe quel morceau de musique. Mais, attention, ce faux MP3 aux allures de rasoir électrique est aussi capable d'envoyer une décharge de 15 000 volts aux personnes mal intentionnées ! Si les Français ne connaissent pas encore l'iTaser, les visiteurs du Consumer Electronic Show (CES) de Las Vegas ont découvert cette semaine cette arme d'autodéfense dernier cri destinée aux Américaines. Grâce à un simple bouton, elles peuvent tirer deux dards électrifiés sur leur agresseur qui s'effondre, victime d'une "incapacité neuromusculaire" de quelques secondes.
    Dans un pays où la détention d'armes à feu est inscrite dans la Constitution, l'iTaser est la version branchée du Taser C2, déjà vanté par certaines stars, dont Angelina Jolie, et que certaines femmes achètent lors de réunions à la mode Tupperware...

    Impensable chez nous? Et pourtant, baptisée Stoper C2, cette arme, déclinaison grand public du Taser, est discrètement vendue 499 euros, sur commande, en France. "Il est joint un DVD de formation et un numéro de code attribué au seul propriétaire, qui doit montrer patte blanche", précise prudemment Taser France. Si la société garde profil bas dans l'Hexagone, c'est que sa technologie y subit un feu de plus en plus nourri de critiques. Depuis un an, Olivier Besancenot est parti en guerre contre le modèle X26 professionnel, un pistolet à impulsions électriques (PIE) qui délivre des décharges de 50 000 volts et qui équipe 4 000 policiers et gendarmes depuis 2006. Accusé de "diffamation" par Taser France, le porte-parole de la LCR est convoqué demain, devant le tribunal de grande instance de Paris.

    Pour le leader d'extrême gauche, cette arme dite non létale serait liée à la mort de plusieurs dizaines de personnes aux Etats-Unis. Avec Noël Mamère, député des Verts, il a appelé, le 14 décembre, à un "moratoire" sur l'utilisation du Taser et à la réalisation d'études indépendantes. Amnesty International a dénombré 291 cas de personnes décédées aux Etats-Unis et au Canada, entre juin 2001 et septembre 2007, après avoir été "électrifiées". L'ONG admet que la plupart étaient des personnes vulnérables, sujettes à des troubles de santé ou sous l'emprise de stupéfiants. Selon elle, les médecins légistes américains auraient tout de même conclu à la responsabilité directe du Taser dans vingt décès.

    Cette accusation étonne le docteur Gérald Kierzek, du service des urgences médico-judiciaires de l'Hôtel-Dieu à Paris, qui a examiné une vingtaine de Français "tasés" et épluché la littérature médicale anglo-saxonne pour son étude publiée en septembre. "En général, les personnes décèdent de complications entraînées par leur état d'hyperexcitation, et non à cause du Taser", affirme ce spécialiste qui précise ne pas être payé par le fabricant américain. Ce dernier met en avant d'autres études, favorables, de cardiologues anglo-saxons. "Nous avons gagné les trente procès intentés aux Etats-Unis", assure-t-on chez Taser.

    Mais la vidéo montrant un immigrant polonais décédé le 14 octobre à l'aéroport de Vancouver (Canada), après avoir été touché par les deux dards électrifiés, a fait des ravages dans l'opinion publique. Critiquée pour l'emploi excessif de cette arme, la police canadienne vient d'ailleurs de restreindre son usage aux situations "où le sujet manifeste un comportement agressif, ou résiste activement".

    "Le problème, c'est la tentation de recourir trop facilement au Taser, au lieu d'utiliser d'autres moyens de coercition moins dangereux", estime Me Antoine Comte, l'avocat d'Olivier Besancenot. Les policiers et les gendarmes bénéficient de deux jours de formation, répond le ministère de l'Intérieur, qui attend la livraison de 3 000 PIE supplémentaires. En 2007, la gendarmerie l'a utilisé à 155 reprises et estime que l'usage d'une arme à feu a ainsi été évité dans 26 cas.

    Muni, pour certains modèles, d'une caméra permettant d'enregistrer une scène d'affrontement, le Taser X26, dont le coût oscille entre 1.500 et 2.000 euros, n'a fait pour l'instant l'objet d'aucun recours en justice. La Place Beauvau ne voit donc aucune raison de changer sa doctrine. Mieux, elle envisage d'autoriser les polices municipales à s'en équiper en 2008. Une belle cible de 17.000 agents, que Taser France compte bien ne pas rater. L'arme semble enfin intéresser l'administration pénitentiaire: celle-ci, contre l'avis du comité pour la prévention de la torture du Conseil de l'Europe, teste discrètement une centaine de Taser confiés aux surveillants des équipes régionales d'intervention et de sécurité (Eris).
    (JDD)

  • Le bêtisier de Christine Lagarde...

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    " Si chaque salarié faisait une demi-heure supplémentaire chaque semaine, la France gagnerait au bout de cinq ans  un quart à un demi-point de croissance".
    (le 18 janvier, lors de ses voeux à la presse)

  • Sondage-popularité: Sarközy chute encore, Fillon résiste

    La tendance se confirme au sommet de l'Etat: la cote de popularité de Nicolas Sarközy n'en finit plus de chuter, alors que François Fillon fait mieux que résister. Pour la première fois, le baromètre Ifop pour Le Journal du Dimanche voit le chef de l'Etat passer sous la barre des 50% de satisfaits. Le président de la République s'attire en effet 47% d'opinions favorables, selon notre sondage exclusif à paraître demain, en baisse de 5 points par rapport à décembre. La part des mécontents suit la courbe inverse, puisque de 47% en décembre, ils passent à 52% ce mois-ci.

     Le Premier ministre en profite pour devancer le chef de l'Etat dans l'opinion, une première depuis qu'il a été nommé à Matignon. François Fillon recueille 50% d'opinions favorables (+1 point), mais voit également le nombre de mécontents augmenter, à 46% (+1 point)...

    (JDD 20.01.08)

  • Le sommeil de l'innocence

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  • Avortement: photos du Centre pour la Réforme Bioéthique

    http://www.trdd.org/cbr/Resources/picturesF.html

    Trois photos parmi beaucoup d'autres:

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    10ème semaine
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    11ème semaine
    Le délai légal d'avortement a été avancé en France de la 10ème à la 12ème semaine de grossesse
  • La culture de mort s'affiche

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    Le conseil régional d'Île-de-France a financé, à hauteur de 300000 euros, une publicité qui fait débat.

    «Sexualité, contraception, avortement. Un droit, mon choix, notre liberté.» C'est le titre militant de la campagne d'information qu'a lancée­ hier le conseil régional d'Ile-de-France pour promouvoir l'accès des femmes à l'avortement. Une première qui indigne de nombreuses associations, non seulement d'un point de vue éthique mais encore d'un point de vue politique.

    En effet, si de fréquentes campagnes en faveur de la contraception ont eu lieu depuis la libération sexuelle, jamais ne s'était produit ce parti pris, véritable «publicité pour l'avortement», décrient les opposants à cette initiative. D'autant que les 300 000 euros engagés pour le placardage des quelque 600 affiches dans le métro et RER du réseau francilien relèvent d'un financement public.

     

    Choqué par cette campagne qui «vend » l'avortement comme un voyagiste ferait « une promo pour les vacances de ski », Pierre Balincourt, porte-parole de la Life Parade, une association militante pour la  vie et la famille,  s'indigne de cette «véritable incitation». «“Venez, c'est gratuit !”, a l'air de dire cette campagne, dit-il. C'est un sujet trop grave pour qu'on agisse ainsi.

     Des manifestations sont prévues demain, notamment à Paris avec la « marche pour la vie». Organisateur de cet événement annuel, qui se tient à chaque date anniversaire de la loi Veil, le collectif «30 ans, ça suffit» condamne ce «cran de plus dans l'horreur», cette «banalisation de l'imbanalisable », commente Paul Ginoux Desermon, porte-parole du collectif, qui attend 10 000 personnes.

         
  • Un historien américain accuse la Pologne communiste d'épuration ethnique

    Le régime communiste d'après-guerre aurait incité à l'exil les rescapés de la Shoah.

    C'est une nouvelle onde de choc que l'historien américain Jan Gross vient de déclencher en Pologne. En 2001, Gross, qui enseigne à l'université de Princeton, avait transgressé un tabou en racontant, dans son livre Les Voisins, le massacre de Jedwabne, une bourgade de l'est de la Pologne où, le 10 juillet 1941, la quasi-totalité de la population juive fut brûlée vive par des Polonais. Ces révélations impulsèrent un travail de mémoire sur les relations judéo-polonaises, demeurées longtemps une «page blanche» dans l'historiographie polonaise. Un vaste débat public qui conduisit l'ex-président Aleksander Kwasniewski à demander pardon au cours d'une cérémonie sans précédent à Jewabne.

    L'historien américain vient de récidiver en accusant cette fois la Pologne d'«épuration ethnique». Dans un nouveau livre, intitulé Fear (La Peur) et paru cette semaine en polonais, il évoque le sort réservé juste après la Seconde Guerre mondiale aux survivants de l'Holocauste et la vague d'antisémitisme dont ils furent à nouveau les victimes : leurs maisons occupées, les pogroms… Celui de Kielce notamment, où, le 4 juillet 1946, l'accusation de crime rituel d'un enfant polonais provoqua l'assaut d'un bâtiment occupé par des rescapés juifs et l'assassinat de 42 d'entre eux.

    Après ce massacre, 92 000 juifs quittèrent la Pologne. La communauté juive, estimée à 250 000 personnes en 1946, ne s'élevait plus qu'à 69 000, soit 2% de la population juive d'avant-guerre (3,5millions de personnes). C'est ainsi, écrit Gross, qu'à l'instar de la société «Judenrein» rêvée par les nazis «les communistes au pouvoir ont exaucé les vœux des nationalistes polonais en donnant naissance à un État ethniquement pur».

    Un «réquisitoire»?

     

    Dès les premiers exemplaires mis en vente, le parquet de Cracovie a lancé une enquête préliminaire destinée à vérifier si l'auteur ne s'était pas rendu coupable de « diffamation publique ». À l'initiative des frères Kaczynski, un nouveau paragraphe introduit en 2006 dans le Code pénal prévoit jusqu'à trois ans de prison pour «quiconque impute à la nation polonaise la complicité, l'organisation ou la responsabilité de crimes communistes ou nazis».

    En 2001, les révélations de Gross sur Jebwabne avaient provoqué une véritable catharsis. Cette fois, à l'instar d'Adam Boniecki, rédacteur en chef de l'hebdomadaire catholique Tygodnik Powszechny, beaucoup redoutent que ce nouveau livre perçu comme un réquisitoire «ne nuise aux relations polono-juives», voire renforce un courant antisémite canalisé par l'extrême droite et le courant intégriste de l'Église catholique incarné par Radio Maryja...

    (Le Figaro - 19.01.08)

         
  • Le grand dévot !

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    Lors de la présentation des voeux au corps diplomatique, il a encore prêché...

    La religion. Alors que la polémique sur la « laïcité positive » évoquée dans ses discours de Latran et de Riyad continue d'agiter la gauche, Nicolas Sarközy est encore revenu sur son thème de prédilection du moment. « Un des défis du 21e siècle est celui des conditions du retour du religieux dans la plupart de nos sociétés » a-t-il souligné. « C'est une réalité incontournable. Seuls les sectaires ne le voient pas «, a prévenu le chef de l'Etat en faisant allusion à la formule prêtée à André Malraux, «Le 21e siècle sera religieux ou ne sera pas».

    Par ailleurs il a cru bon de préciser que "la seconde (sic) religion de France était l'Islam"...

    (Source Le Figaro 18.01.08)

     

     

  • Les propos exacts qu'il a tenus en terre d'Islam

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    A Riyad

    Le président de la République a évoqué les fondements de sa «politique de civilisation» dans un discours prononcé devant le Conseil consultatif saoudien.

    » DOCUMENT - L'intégralité du discours du chef de l'État

    Un mois après son discours du Vatican qui avait fait couler beaucoup d'encre, Nicolas Sarközy est revenu hier, dans un tout autre cadre, sur le rôle «civilisateur» qu'il assigne aux grandes religions. Des propos qui, ne manqueront pas de critiquer certains, l'ont amené à frôler, voire à mordre, la ligne jaune que le chef d'un État laïque est tenu de respecter.

    Devant le Conseil consultatif (Majlis ach-Choura) du royaume wahhabite, l'Assemblée saoudienne composée de 150 membres, tous nommés par le souverain, le président de la République a rappelé que «les grandes religions divines se rassemblent autour d'un certain nombre de principes communs et partagent les grandes valeurs de tolérance». Un socle sur lequel, pour Nicolas Sarközy, «nous devons fonder la politique de civilisation dont le monde, aujourd'hui, a tant besoin».

    Dans l'enceinte officielle d'un pays dont le roi est le «gardien des lieux saints», connu aussi pour sa pratique la plus rigoureuse de l'islam, le président de la République a fait résonner des mots d'un œcuménisme pour le moins inhabituel. «J'ai le devoir de faire en sorte que chacun, qu'il soit juif, catholique, protestant, athée, franc-maçon ou rationaliste, se sente heureux de vivre en France», a-t-il déclaré. Mais, a enchaîné Nicolas Sarközy, «j'ai aussi le devoir de préserver l'héritage d'une longue histoire, d'une culture et, j'ose le mot, d'une civilisation». «C'est peut-être dans le religieux que ce qu'il y a d'universel dans les civilisations est le plus fort», a dit encore le chef de l'État.

    «Message dénaturé»

     

    Son discours a pris l'intonation d'un sermon quand Nicolas Sarközy a loué «Dieu qui n'asservit pas l'homme, mais qui le libère. Dieu qui est le rempart contre l'orgueil démesuré et la folie des hommes». Ce message, a souligné le président de la République a «souvent été dénaturé». Pourtant, a-t-il dit, «ce n'est pas le sentiment religieux qui est dangereux, c'est son utilisation à des fins régressives au service d'une nouvelle barbarie». Et d'ajouter, «le sentiment religieux n'est pas plus condamnable à cause du fanatisme que le sentiment national ne l'est à cause du nationalisme».

    Au pays qui fut l'un des creusets d'al-Qaida, Nicolas Sarkozy a martelé que «l'intégrisme, c'est la négation de l'islam». «La France et l'Arabie saoudite veulent tout faire pour que soit évité le choc des civilisations», a-t-il assuré.

    Pour conjurer ce risque, les deux partenaires devraient s'engager, sur la base des valeurs communes aux grandes religions, vers une «politique de civilisation, une politique qui se donne pour but de civiliser la globalisation». Cela implique, a insisté Nicolas Sarközy, de promouvoir une politique de diversité, de solidarité et de partage.

    «Une politique de civilisation, c'est d'abord une politique de justice. Car le sentiment de l'injustice nourrit la haine», a déclaré le chef de l'État, en illustrant ses propos par le conflit israélo-palestinien, le Liban, le Darfour et la nécessité d'un «partage plus équitable des rentes» au niveau mondial. «C'est au nom de la justice que la France soutient que l'accès au nucléaire civil doit être un droit pour tous les peuples», a dit encore Nicolas Sarközy avant de s'envoler pour le Qatar et Abu Dhabi, où un accord sur la coopération nucléaire doit être signé, du type de ceux passés avec l'Algérie et la Libye.

    (Le Figaro - 15.01.08)

         
  • Jeunes poseurs de bombes à Melun

    Melun (Seine-et-Marne)

    Deux jeunes, mineursde 15 et 16 ans, originaires de Melun (77), s'entraînaient depuis des mois à faire exploser des bombes dans les bois de la ville-préfecture. Avant-hier, ils ont décidé de passer à l'action en terrain urbain, en plaçant l'explosif entre les barreaux de la grille du collège Pierre-Brossolette à Melun, établissement où ils sont scolarisés. A 10 h 15 précises, l'engin explose.

    Pas de blessé, pas trop de dégâts, si ce n'est la grille qui a souffert. A 18 h 10, nouvelle explosion, cette fois dans la cage d'escalier d'un immeuble de la rue Estienne-d'Orves. Là non plus, pas de victime. Il n'empêche, deux explosions dans la même journée, l'inquiétude grandit dans la ville. Saisis de l'enquête, les policiers de la sûreté départementale entendent les jeunes du collège visé. Hier, deux mineurs de 15 ans sont interpellés. Ils se trouvaient à proximité de l'établissement lorsque l'explosion a eu lieu. Placés en garde à vue, ils vont être mis hors de cause rapidement. Cependant, ils vont donner des informations importantes sur deux de leurs copains. Ces derniers aimeraient confectionner des explosifs. A 11 heures, les policiers ramènent les suspects au commissariat. Très vite, ils vont passer aux aveux et expliquer« qu'ils ont fait ça pour se marrer. Ils voulaient voir les effets produits. Depuis des mois, ils confectionnent des explosifs qu'ils font péter dans les bois du quartier de l'Almont avant de voir ce que ça ferait en ville. »
    Les apprentis artificiers ont trouvé la formule en consultant Internet et auprès de leurs connaissances. Inconscients des risques qu'ils courent et font courir aux autres, ils prennent une bouteille en plastique et mélangent de l'acide chlorhydrique avec des barrettes d'aluminium. « Un cocktail qui, a tout moment, pouvait leur exploser en pleine figure ou leur arracher un bras ou une main. La bombe pouvait exploser en vingt, trente ou cinquante secondes suivant le dosage. Les jeunes l'ignoraient », explique un policier.

    Hier soir, les deux jeunes qui n'ont pas de casier judiciaire ont été remis à leurs parents. Ces derniers étaient hors d'eux et n'en reviennent toujours pas de ce qu'ont pu faire leurs enfants. Le 6 mars, les deux mineurs seront convoqués devant le juge des enfants de Melun pour dégradations volontaires de biens privés et biens publics par engins explosifs.

    Ils aiment ça, confectionner des bombes avec de l'acide chlorhydrique et des barrettes d'aluminium... Ils font ça pour se marrer, disent-ils, et la police les croit.

    On se demande qui sont les vrais crétins!

    (Source Le Parisien 19.01.08)

  • Le FN fera une "campagne de pauvre" à l'image des Français

    La vice-présidente exécutive du FN Marine Le Pen a assuré vendredi que le Front national n'aurait «aucune difficulté» à vendre son siège de Saint-Cloud et que le parti était «sorti de ses difficultés financières».

    «Le processus de vente du siège du Front national est en route. A partir du moment où la décision a été prise, et c'est récent, et bien je pense qu'on n'aura aucune difficulté de le vendre», a déclaré Mme Le Pen sur Canal+.

    «Le FN va pouvoir racheter un nouveau local plus performant, plus efficace, peut-être moins grand, peut-être plus moderne, plus adapté à l'activité politique» et il va aussi être en mesure de «régler ses dettes», a-t-elle ajouté.

    Marine Le Pen a toutefois concédé que son parti devrait «adapter son mode de vie» à la baisse des subventions publiques consécutive à ses faibles scores électoraux. «Cela ne nous pose aucune difficulté, nous conservons le courage, la détermination et la conviction plus que jamais», a-t-elle lancé.

    Pour les municipales et cantonales de mars, le FN fera «une campagne de pauvre. Les Français le sont aussi, donc ça tombe bien, ils vont nous comprendre», a-t-elle dit en réaffirmant qu'avec «près de 200 listes» le FN présenterait «plus de candidats qu'en 2001» aux municipales.

    (Le Parisien 18.01.08)