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Blog - Page 665

  • Des restes de bébés trouvés dans des colis: ils devaient être envoyés aux Etats-Unis

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    La police thaïlandaise a annoncé dimanche avoir retrouvé les restes humains de bébés dans trois colis à destination des Etats-Unis. Deux hommes ont été arrêtés et interrogés par les enquêteurs. 

     

     

     

    C’est en passant les colis au scanner que les employés du transporteur DHL ont fait la terrible découverte. Dimanche, la police de Bangkok a annoncé que les restes humains de plusieurs bébés avaient été trouvés alors qu’ils devaient être envoyés vers les Etats-Unis. Le «Bangkok Post» indique que dans le premier paquet se trouvait une partie de la tête et du visage d’un enfant. Dans le second se trouvait un pied droit coupé en trois morceaux. Le dernier colis était de son côté rempli de morceaux de peau et d’un coeur. Un morceau de peau prélevé sur un adulte et arborant un tatouage a également été retrouvé. Les paquets avaient été enregistrés comme contenant des «jouets».

    Deux suspects ont été arrêtés. Les deux hommes, considérés comme les expéditeurs, ont été interrogés pendant plus de trois heures samedi. Ils ont expliqué avoir acheté les restes des corps et d’autres organes dans un marché de nuit près de Saphan Phut. Ils ont cependant été incapables de donner l’adresse exacte du lieu, indique le «Bangkok Post». Ils auraient en outre indiqué avoir acheté ces morceaux de corps «bizarres» d’après eux, pour «faire une farce» à des amis vivants aux Etats-Unis. Ils ont été relâchés dans la soirée.

    L’autopsie bientôt réalisée

    Selon les enquêteurs, les restes humains pourraient avoir été volés dans un hôpital ou un centre d’études qui les étudiait peut-être. L'autopsie des restes devra déterminer «s'ils provenaient de bébé morts in utero ou après l'accouchement». Le colis était peut-être «destiné à un collectionneur ou destiné à des fins éducatives», a ajouté le porte-parole.

    En 2012, la police thaïlandaise avait saisi six foetus grillés et dorés à la feuille d'or destinés à des rituels de magie noire dans les bagages d'un Britannique d'origine taïwanaise. Dans les rituels de magie noire thaïlandais, également observés chez certaines communautés chinoises, les foetus sont supposés porter chance à celui qui les détient. Ils sont souvent conservés dans des sanctuaires, chez les particuliers comme dans les entreprises.

    Paris Match

  • Commémorations de 14-18: patriotisme et nationalisme. Par Guillaume Faye

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    http://www.polemia.com/commemorations-de-14-18-patriotisme-et-nationalisme/

    A lire absolument

     

     

  • Sarkozy/loi Taubira : ça ne coûte rien de mentir ! (Présent 8232)

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    17/11/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Mais quelle sincérité chez cet homme ! C’est impressionnant. On a beau connaître, à force, le mode de fonctionnement de ces animaux politiques, le grand numéro d’opportunisme et de cynisme électoraliste auquel s’est livré Nicolas Sarkozy samedi devant 2 500 personnes, laisse coi.

    Une du numéro 8232 de "Présent"Comme deux autres candidats à la présidence du parti, Hervé Mariton et Bruno Le Maire, l’ancien chef de l’Etat planchait à Paris, devant les militants de Sens Commun. Parmi eux beaucoup de jeunes des Manifs pour tous. Un public nettement moins facile que les septuagénaires sarkolâtres devant lesquels il tient ses meetings depuis trois mois.

    En promettant que « la loi Taubira devra être réécrite de fond en comble », Sarkozy pensait s’en tirer à bon compte. Il a aussitôt été interrompu par les huées de plusieurs centaines de militants scandant « Abrogation ! Abrogation ! »

    Nerveux, il a répliqué à la foule en dodelinant du chapeau : « Quand on dit qu’elle doit être réécrite de fond en comble, bon si vous préférez qu’on dise qu’on doit l’abroger… pour en faire une autre, en français ça veut dire la même chose, mais ça aboutit au même résultat. » Avant d’avoir cette incroyable réplique, d’un mépris souverain : « M’enfin, si ça vous fait plaisir, franchement, ça ne coûte pas très cher. »

     

    Un vrai marchand de tapis. En effet ça ne lui coûte pas cher de promettre n’importe quoi en sachant pertinemment qu’il n’en fera rien et en ne croyant pas un traître mot de ce qu’il dit. On l’a déjà vu à l’œuvre. Mais maintenant en plus il le dit !

    Totalement empêtré dans sa tentative d’explication, Sarkozy a ajouté de façon très floue qu’il restait favorable à une nouvelle forme de « mariage » homo… Evidemment il n’a convaincu personne et mécontenté tout le monde. Où sont ses convictions personnelles, à cette girouette ? On se doute bien que le mari de Carla n’a aucune envie d’être catalogué comme soutien des fascistes en loden qui ont plus de deux enfants et demi. Il veut juste leurs voix.

    « C’est une manœuvre électorale pour me siphonner des voix », a protesté Hervé Mariton tellement estomaqué qu’il a bien failli quitter le meeting de Sens Commun. Mais il ne l’a pas fait.

    De son côté Ludovine de la Rochère a appelé à ne pas être dupe : « Les propos tenus lors du meeting du mouvement Sens Commun par Nicolas Sarkozy, favori dans la course à la présidence de l’UMP, montrent que la plupart des ténors de l’opposition souhaitent son abrogation : de Jean-Christophe Fromentin à Marine Le Pen, en passant par Xavier Bertrand, Laurent Wauquiez, Hervé Mariton ou Nicolas Sarkozy. Mais ne soyons pas dupes. Il ne s’agit encore que de déclarations d’intention. »

    Mettre dans le même sac le cirque de Nicolas Sarkozy et la promesse constante et très claire de Marine Le Pen depuis trois ans n’est pas tout à fait honnête. Mais bon ça ne coûte pas cher.

    Caroline Parmentier

    Crédit photo : Guillaume Paumier via Wikipédia (cc)

  • Discours de Fabrice Robert aux Assises de la remigration

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    17/11/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Mesdames, Messieurs,

    Les guerres politiques sont des guerres idéologiques et les guerres idéologiques sont des guerres conceptuelles et sémantiques. Les mots sont des armes, certes, mais les mots sans concepts sont des armes chargées à blanc.
    Le colloque que nous tenons aujourd’hui vise à n’être ni plus ni moins que les fondations de l’arsenal dont la France et l’Europe ont besoin pour prendre l’offensive dans cette guerre politique, idéologique et conceptuelle qui nous est faite et que, depuis plusieurs décennies, nous subissons. Il s’agit d’armes de légitime défense, non létales, comme l’on dit dans le jargon administratif. J’insiste sur ce double point :

    Premièrement, la remigration n’est pas un concept agressif, c’est, au contraire, un concept de protection utile à tous.

    Ne nous lassons jamais à l’avenir de le répéter : remigrer, c’est la paix pour chacun. L’immigration, c’est la guerre pour tous.

    Secondement, la remigration est une arme de paix, de concorde, qui, si elle n’est pas utilisée, laissera place à des situations que, par commodité on appellera à la libanaise, et là, dans ce cas, ce sont hélas d’autres armes, de vraies, qui auront le champ libre. Disant cela, nous ne proférons aucune menace, nous constatons seulement que la guerre d’intensité modérée que nous subissons actuellement changera d’ampleur et de nature si, d’aventure, la remigration n’était pas transférée du domaine conceptuel au domaine pratique.

    Ne nous lassons jamais à l’avenir de le répéter : remigrer, c’est la paix pour chacun. L’immigration, c’est la guerre pour tous.

    Une fois ceci posé, comment mettre en place cette remigration ?

    D’abord, en faisant en sorte qu’elle soit la plus naturelle possible. En d’autres termes, qu’elle vienne des migrants. On ne vient pas boire à une source tarie. Pour atteindre ce but, il faut deux choses : un cadre législatif et une volonté politique.

     

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    Le cadre législatif est la chose la plus aisée à obtenir dès lors qu’un gouvernement national serait mis en place. Où fixer le curseur ? Jusqu’où aller et quel mince filet d’eau doit-on laisser couler pour rester fidèle à ce que l’on appelle la tradition d’accueil de la France ? La question ne doit pas relever de la morale, mais du pratique : quel budget la France peut-elle encore consentir pour abriter des populations étrangères ? De ce budget découle tout le reste, à commencer par le cadre législatif. Ce que des lois ont fait, d’autres le déferont.

    La loi n’est pas une morale, elle est l’expression d’une volonté, celle du peuple. Pas seulement au sens de 1789 et d’une souveraineté théorique donnée en hochet aux masses, mais au sens d’une entité vivante, consacrée par l’histoire, une entité ethnique et culturelle. Mais cette volonté du peuple encore faut-il qu’elle trouve un débouché politique animé lui-même d’une force de caractère à la hauteur des enjeux historiques.

    La volonté politique est donc une autre affaire que le législatif car elle relève d’un plan supérieur. Cette volonté exigera de celui – ou de celle… – qui gouvernera la France en 2017 de ne pas céder, ni à l’Europe de Bruxelles, ni aux lobbies de gauche. Dans ce but, son meilleur bouclier sera le soutien populaire. En d’autres termes, et c’est sur ce point qu’il convient d’insister, la question de la remigration devra être inscrite dans un programme afin de pouvoir en retirer une légitimité d’action. Être inclus dans un programme n’assure nullement la réalisation d’un projet, mais, du moins, il s’agit d’une garantie double.

    La loi n’est pas une morale, elle est l’expression d’une volonté, celle du peuple. Pas seulement au sens de 1789 et d’une souveraineté théorique donnée en hochet aux masses, mais au sens d’une entité vivante, consacrée par l’histoire, une entité ethnique et culturelle. Mais cette volonté du peuple encore faut-il qu’elle trouve un débouché politique animé lui-même d’une force de caractère à la hauteur des enjeux historiques.

    D’abord, je viens de le dire, pour ceux qui, nous gouvernant, pourront à bon droit dire qu’il sont élus sur ce programme. Ensuite, afin de pouvoir le cas échéant rappeler à certains qui pourraient vite préférer les ors du pouvoir, les bons cigares, les belles voitures, qu’ils n’ont pas été élus pour devenir amnésiques et s’inscrire dans la grande tradition républicaine de la trahison et du mensonge.

    Arrêt de l’immigration, condamnation de ceux qui l’encouragent, abrogation du regroupement familial, arrêt de l’islamisation, fin à la propagande d’Etat en faveur de l’immigration, du métissage, remigration concertée avec les pays d’origine… Je ne vous rappellerai pas ici l’ensemble des propositions faites par les Identitaires pour rendre opérationnelle cette remigration. Disons seulement qu’elles sont quasi-exhaustives et embrassent presque tous les domaines. Constatons cependant qu’elles concernent autant les migrants récents que ceux plus anciens et déjà naturalisés. Il n’est plus possible d’accepter ces vagues massives de naturalisations. Comme le dit Eric Zemmour, il est aisé de faire passer la population de la France de 65 millions à 165 millions d’habitants… Il suffit de naturaliser 100 millions d’Africains !

    C’est d’ailleurs l’excellente réponse de Zemmour, même s’il n’est pas le premier à la faire, qui rétorque à ceux qui lui opposent des statistiques : « Regardez dans la rue, dans les écoles, là est la réalité ».

    Les centaines de milliers de lecteurs d’Eric Zemmour l’ont bien compris, les Français qui répondent majoritairement du côté de la conscience ethnique, cette force lumineuse de l’instinct de conservation, à toutes les questions des instituts de sondage aussi. Mouvement d’instinct donc, et non de raison, mouvement engendré par des faits et non par des illusions, des utopies, des nuées, cette considération que la nationalité ne veut plus rien dire dès lors qu’elle est accablée par un flot de naturalisations, est d’une puissance inouïe qu’aucune démonstration du système ne peut mettre à bas. Et c’est d’ailleurs l’excellente réponse de Zemmour, même s’il n’est pas le premier à la faire, qui rétorque à ceux qui lui opposent des statistiques : « Regardez dans la rue, dans les écoles, la est la réalité ».

    Or, en effet, la France, comme l’Europe, ce ne sont pas des statistiques. Ce ne sont pas des êtres interchangeables. Celui qui ne croit pas à la personnalité des nations ne croit pas davantage à la personnalité des êtres. Celui qui ne croit pas aux frontières ne croit qu’à l’individu interchangeable, réduit à sa seule dimension consumériste, un individu si universellement humain qu’on ne sait plus s’il est une définition théorique ou un code barre.

    Dans ce contexte, la remigration n’est pas qu’une mesure politique, c’est également un fait à envisager dans une perspective écologique. Je le dis sans plaisanter. Au demeurant, que croient les Verts ? Que les centaines de millions de candidats à l’exode d’Afrique ou d’Asie se préoccupent de décroissance ? Sont avides de manger bio ?

    Or, en effet, la France, comme l’Europe, ce ne sont pas des statistiques. Ce ne sont pas des êtres interchangeables. Celui qui ne croit pas à la personnalité des nations ne croit pas davantage à la personnalité des êtres. Celui qui ne croit pas aux frontières ne croit qu’à l’individu interchangeable, réduit à sa seule dimension consumériste, un individu si universellement humain qu’on ne sait plus s’il est une définition théorique ou un code barre.

    Imaginent-ils que l’agriculture raisonnée, c’est-à-dire moins déraisonnable, qu’ils défendent à juste titre suffira à nourrir 20, 30, 50, 100 millions de nouveaux européens ? Les barrages qu’ils refusent, les fermes de 1 000 vaches qu’ils combattent, relèvent des mêmes causes que le tsunami migratoire qui s’abat sur nous. A moins qu’ils n’imaginent possible de peupler nos vallées du Jura, de Haute-Provence, d’Auvergne ou des Pyrénées, de paysans bambaras, peuls ou mandingues portant le béret et fabriquant, comme le chantait Jean Ferrat, la « tomme de chèvre »…

    La remigration ne doit donc pas être pensée comme l’inversion de l’immigration. Il ne s’agit pas d’une pensée antagoniste, ni même d’une conception différente du monde divisée en protagonistes, mais d’une pensée écologiquement holiste.

    Ayant posé ce cadre, étant à peu près certain de ne pas être compris des grands médias, simplificateurs par nature, caricaturistes par hostilité idéologique, il nous reste à dire en quoi la remigration possible est aussi nécessaire. Non pas à nos propres yeux avertis, mais telle qu’elle devrait, dans une analyse factuelle et complète, apparaître devant l’opinion publique.

    La remigration est nécessaire parce qu’elle est écologique, nous l’avons dit, parce qu’elle est gage de paix, nous l’avons également souligné. Nous pourrions ajouter qu’elle allégerait considérablement nos dépenses budgétaires. Mais, au fond, toutes ces raisons, excellentes, ne sont pas, en elles-mêmes, suffisantes.

    La raison suffisante et impérative est celle-ci :

    La remigration est nécessaire à la préservation de 40 000 ans d’identité européenne. La remigration est nécessaire pour l’avenir des enfants européens. En d’autres termes, la remigration ne relève ni de la morale, ni de l’économie, ni d’un quelconque domaine de l’activité. La remigration est un acte de vie, un acte identitaire et donc intrinsèquement politique, pour les peuples européens. Cette remigration qui peut sembler scandaleuse pour tous les adorateurs de la religion des droits de l’homme lorsqu’elle nous concerne, nous Européens, tendra à devenir durant ce siècle quelque chose d’universel.

    Les populations d’Afrique du Nord sont déjà soumises à la pression des masses africaines. Il est douteux que les gouvernements de ces pays agissent avec les mêmes scrupules humanitaires que les Européens. A ce moment là, et je pense que nous nous en approchons ou, à tout le moins, que nous pouvons déjà en parler, il deviendra très compréhensible, je ne dis pas qu’ils l’admettront mais qu’ils le comprendront, pour les populations issus de ces pays et vivant chez nous, que nous avons le droit, nous aussi, d’agir comme leurs pays d’origine.

    Le XIXème siècle a vu l’Europe conquérir le monde, puis, celui-ci conquis, le XXème siècle a été celui des grandes guerres civiles entre conquérants. Le siècle qui vient de s’ouvrir doit être celui de la reconquête de l’Europe par l’Europe. La remigration en est une des conditions. Nous n’aborderons pas ici les autres, même si elles devront être réalisées concurremment, et je pense notamment au retour d’une vitalité démographique proprement européenne.

    Le terme de remigration doit être repris dans le discours politique, inoculé dans les réflexions sociales, économiques, écologiques. Ce terme doit être musclé de faits, irrigué de sens. Il doit devenir central et prendre la première place tout en haut des solutions aux malheurs du temps. Nous affichons donc la couleur. Nous ne dissimulons pas nos objectifs. La remigration n’est pas une utopie. C’est une potentialité, et une potentialité nécessaire à la France et à Europe.

    Cette remigration qui doit être, nous en sommes ici les développeurs, les porteurs et les diffuseurs. Nous n’en revendiquons surtout pas l’exclusivité. Bien au contraire, nous allons faire tout pour que la remigration fasse son apparition à tous les étages de la sphère publique.

    Le terme de remigration doit être repris dans le discours politique, inoculé dans les réflexions sociales, économiques, écologiques. Ce terme doit être musclé de faits, irrigué de sens. Il doit devenir central et prendre la première place tout en haut des solutions aux malheurs du temps. Nous affichons donc la couleur. Nous ne dissimulons pas nos objectifs. La remigration n’est pas une utopie. C’est une potentialité, et une potentialité nécessaire à la France et à Europe. Faisons en sorte que cette potentialité soit une frontière claire entre ceux qui veulent vraiment que perdurent notre pays, notre continent, notre civilisation, et ceux qui prétendent y parvenir en vendant encore à leurs électeurs les astres morts de l’intégration et de l’assimilation.

    Cette intégration comme cette assimilation n’est pas possible. L’affirmer n’est ni une hypothèse ni une prédiction autoréalisatrice. Il s’agit d’un constat, d’un constat étayé par des milliers de faits, anecdotiques ou majeurs, enregistrés, non depuis un an ou même dix, mais depuis plus de trente ans.

    Lorsque le premier prénom donné en Seine-Saint-Denis est Mohamed, où est l’intégration ?
    Lorsque des cités entières sont peuplées de non-européens, lorsque des rames complètes transportent uniquement des Africains, où est l’assimilation ?
    Lorsque dans certains quartiers, on se croirait à Alger ou Bamako, quel constat faut-il faire ?

    Ce constat, c’est celui du Grand Remplacement. Le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes. Le Grand Remplacement est un phénomène dont l’accroissement est continu, à travers des politiques d’immigration toujours plus laxistes, mais qui est déjà quasiment abouti dans des zones entières du territoire où les Français de souche sont devenus minoritaires et ont même parfois totalement disparu, remplacés par des immigrés ou des Français administratifs issus de l’immigration.

    Le Grand Remplacement est justement tout sauf une théorie, c’est malheureusement une réalité criante. Une réalité criante et palpable pour de très nombreux Français de souche qui vivent et constatent le Grand Remplacement dans leur immeuble, dans leur quartier, dans l’école de leurs enfants… Il n’y a que les politiques et les journalistes du système pour parler d’un fantasme.

    S’ils ne croient pas au Grand Remplacement, ils continuent toutefois à vouloir nous imposer l’utopie du vivre-ensemble alors qu’il serait plus réaliste de parler aujourd’hui du subir ensemble.

    Quelqu’un peut-il réellement s’imaginer que nous allons « assimiler » la dizaine de millions de musulmans, de plus en plus revendicatifs et radicaux, aujourd’hui présents sur notre sol, ou bien que nous allons nous « réconcilier » avec les sympathiques supporteurs de l’équipe d’Algérie ayant démontré suffisamment clairement quel était leur vrai pays de sang et de cœur ?

    Imagine-t-on que d’un coup ceux qui brandissent des étendards du djihad ou sortent leurs drapeaux algériens à la moindre occasion, ceux qui se gavent de chansons où l’on répète que l’on « nique la France » à chaque refrain, vont devenir des bons petits Français parce qu’ils chantent la Marseillaise et agitent le drapeau tricolore ?

    Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d’assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d’éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles c’est aujourd’hui d’envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si certaines mesures proposées par les Identitaires peuvent sembler aujourd’hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires.

    Et je ne parle pas de ces centaines de “Français” partis faire le djihad en Syrie. Les nombreuses vidéos qui circulent sur Internet révèlent un certain nombre d’atrocités (victimes décapités, cadavres exhibés sur la place publique, etc.) commises par ces musulmans qui pourraient bien, un jour, revenir en France.

    Et c’est avec eux qu’il faudrait se réconcilier ? Alors qu’ils sont en guerre contre notre pays, notre civilisation, notre identité ? Hors de question !

    Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d’assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d’éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles c’est aujourd’hui d’envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si certaines mesures proposées par les Identitaires peuvent sembler aujourd’hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires.

    Nous revendiquons simplement pour les Français le droit fondamental dont disposent tous les autres peuples du monde : celui de vivre en paix, chez eux, selon leur identité, avec ceux qui leur ressemblent.

    Le Grand Remplacement est un constat. La Remigration est l’antidote. Séparer le constat de l’antidote, imaginer qu’il puisse exister un autre contrepoison, serait s’illusionner ou leurrer nos compatriotes. Avoir le choix est un luxe de riche. En terme de grande politique, les Français comme les Européens sont devenus des pauvres. A trop avoir laisser se créer des situations complexes, à force ne n’avoir su sinon résoudre les problèmes, du moins cesser d’en augmenter le nombre et l’ampleur, le choix des possibles s’est restreint.

    Les phénomènes migratoires sont de tous temps. Il en a existé de grande ampleur. Mais notre temps est celui des masses. Prétendre que le passé a vu des remigrations se faire, souvent sous la contrainte du glaive, serait donc vrai historiquement mais calquer un raisonnement faux sur une situation neuve.

    Ayant montré que la remigration est nécessaire, affirmé qu’elle est possible ; je pourrais ajouter qu’elle est probable, parce que, d’un bout à l’autre de l’Europe, des forces sont en train de s’éveiller, de s’organiser, de contre-attaquer et que face à elles ne se dressent que des idéologies épuisées.

    Loin d’être un facteur de désespoir, le caractère éminemment nouveau de ce que nous vivons doit être une source de réconfort et d’espoir. En effet, c’est précisément car il n’est jamais rien arrivé de pareil dans le passé que précisément tout est possible, tout nous est possible.

    Ayant montré que la remigration est nécessaire, affirmé qu’elle est possible ; je pourrais ajouter qu’elle est probable, parce que, d’un bout à l’autre de l’Europe, des forces sont en train de s’éveiller, de s’organiser, de contre-attaquer et que face à elles ne se dressent que des idéologies épuisées.

    Face à ceux qui disent que tout est foutu, nous répondons que tout est en train de se faire.

    De toute façon, nous n’avons pas le choix. Résister ou disparaître.

    Pour la France, pour l’Europe, pour notre civilisation, pour l’avenir de nos enfants.

    Nous sommes debout et nous nous battrons pour rester maîtres chez nous !

  • 4 000 personnes dans les rues de Dresde pour dire non à l’islamisation !

     

     

    17/11/2014- DRESDE (NOVOpress)
    Le 10 novembre dernier, 4.000 personnes ont défilé à Dresde pour dénoncer l’islamisation de l’Allemagne.

     

  • Trois jeunes tuent une jeune chatte en l’utilisant comme un ballon de foot

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    Illustration d'un chaton. - SIPA PRESS

    A.B.

    • Créé le 17.11.2014 à 18:40
    • Mis à jour le 17.11.2014 à 18:40

     

     

    Ils n’ont que 12 ans, mais les trois jeunes ont commis un acte odieux. Les faits se sont déroulés le vendredi 31 octobre, trois adolescents de Vauvert dans le Gard ont scandalisé les habitants du village en tuant Duchesse, une jeune chatte à qui ils ont fait endurer l’horreur. Ce jour-là, alors que la petite Duchesse jouait dans un arbre, les trois jeunes gens la font tomber du haut de sa branche à coups de pierres, avant de la jeter en l'air et de la laisser lourdement retomber sur la chaussée. Les adolescents ont poursuivi leur jeu morbide en rouant l’animal de coups de pied, finissant par se servir du petit chat comme d’un ballon de foot. Emmenée chez le vétérinaire dans un état critique, en état de choc et souffrant de saignements, d’un traumatisme crânien ou encore des lésions respiratoires profondes, Duchesse avait finalement été euthanasiée le lendemain.

    Une plainte déposée

    Les trois jeunes ont été entendus par les gendarmes, mais le parquet de Nîmes n'a pour le moment pas engagé de poursuites, rapporte le site du quotidien Midi Libre. Deux associations de défense des animaux ont d’ores et déjà déposé plainte. «Duchesse a subi un véritable calvaire», expliquent au Parisien Sabine Peyre de Fabrègues et Claudette Monvoisin, présidentes des associations Moustaches et coussinets (Saint-Nazaire-de-Pézan) et Chats grains d'amour (Aigues-Vives). Une pétition en ligne qui a également été lancée et a recueilli plus de 1 700 signatures.

    Les deux présidentes ont raconté le drame des derniers instants de l'animal : «Emmenée dans un état lamentable chez le vétérinaire, qui relèvera un état de choc, des saignements de la gueule, un traumatisme crânien, des émissions de plainte ou encore des lésions respiratoires profondes, elle sera euthanasiée le lendemain, samedi 1er novembre».

    Plusieurs associations de défense des animaux se sont constituées partie civile.

    Le Parisien

  • Roger Cukierman : "Il y a deux groupes qui posent problème : les musulmans et le Front national"

     

    Interrogé ce 14 novembre par Le Figaro, le président du CRIF Roger Cukierman réagissait à la publication d’une enquête de Fondapol sur « L’antisémitisme dans l’opinion publique française » :

    « Tout d’abord je tiens à dire que cette étude, et j’en suis heureux, montre que la France n’est pas antisémite et qu’elle est hermétique au négationnisme. Mais il y a deux groupes qui posent problème : les musulmans et le Front national. »

    « Les musulmans et le Front national » sont donc désignés très explicitement comme les adversaires politiques du CRIF, par son président Roger Cukierman qui se dit « satisfait de l’attitude des pouvoirs politiques ».

    L’étude en question, une addition de deux sondages, a été réalisée par Fondapol, la fondation pour l’innovation politique. Dirigé par Dominique Reynié, professeur à Sciences-Po, ce think tank proche de l’UMP qui se définit comme « libéral, progressiste et européen » a été fondé par l’homme d’affaires et ancien conseillé du président de la République Jacques Chirac, Jérôme Monod. Son conseil de surveillance est dirigé par Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d’Édouard Balladur, très proche de Nicolas Sarkozy (témoins lors de son mariage avec Carla Bruni), bras droit de Bernard Arnault et ancien associé-gérant de la banque Rothschild & Cie. On y retrouve le président de Poweo Charles Beigbeder, l’avocat Laurent Cohen Tanugi, le banquier Grégoire Chertok, etc.

    Comme indiqué dans son paragraphe d’introduction, cette étude « se situe dans le prolongement » d’un séminaire sur l’antisémitisme organisé en octobre dernier par l’American Jewish Committee (représenté par Simone Rodan Benzaquen) et la Fondation Jean Jaurès (représenté par Gilles Finchelstein), avec le partenariat du Figaro et de Libération et en présence de quatre parlementaires : Claude Goasguen, François Pupponi, David Assouline et Chantal Jouanno.

    E&R

    Il y a un 3ème groupe qui pose problème...

  • Marche pour l'identité française à Nouméa (Nouvelle Calédonie)

    http://videos.leparisien.fr/video/marche-pour-lidentite-francaise-a-noumea-17-11-2014-x2aeidd

  • Zambie: un éléphanteau survit à l'attaque d'une meute de lionnes


    Un éléphanteau survit à l'attaque d'une meute... par leparisien

     A voir en mode plein écran!

  • La France, pays judéo-chrétien ou helléno-chrétien ?

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    Sainte Chapelle (Paris)

    9h22

    Pour Florian Toumit, journaliste, la France n’est pas un pays judéo-chrétien mais un pays helléno-chrétien.

    La France, née du baptême de Clovis en 496, a treize siècles de royauté catholique en elle qu’il serait bon de regarder pour lui redonner ses lettres de noblesse helléno-chrétienne.

    Au lieu de « L’Identité malheureuse » d’Alain Finkielkraut ou du « Suicide français » d’Éric Zemmour (qui ne sont pas chrétiens), nous parlons ici de destruction par des élites traîtresses de cet héritage helléno-chrétien que nous devons retrouver si nous voulons nous relever.

     
     

    [...] On se remémore la phrase désormais célèbre de Claude Guéant : «Toutes les civilisations ne se valent pas». Une civilisation qui noie la France sous l’immigration massive, l’art contemporain, la culture littéraire et musicale de marché et non plus populaires (de Louis-Ferdinand Céline à Georges Brassens en passant par Michel Audiard) mérite, en effet, de crever.

    La France chrétienne, elle, n’avait rien détruit mais naquit dans l’eau baptismale. La société actuelle, issue des principes révolutionnaires de 1789, ne fait que détruire pour exister dans le mimétisme du capitalisme financier prédateur de destruction qui a pris le capitalisme entrepreneurial.

    Dans cette fuite en avant, d’homme nouveau non chrétien, la famille est un dernier verrou à faire sauter pour effacer ce qu’il reste de la France catholique. [...]

    bvoltaire

    FDS

  • Immigration. La police d’Oslo: « Nous avons perdu la ville »

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    20h57

    Article du Aftenposten, qui est le plus grand journal de la région d’Oslo, et qui « est normalement pro-islam et très multiculturel ».

    Cela n’est plus la Norvège ou l’Europe, sauf quand il y a de l’argent pour l’aide sociale à recueillir. En grande partie, la police a abandonné. Au début de 2010 Aftenposten a déclaré qu’il y avait des patrouilles de la charia dans cette zone, et que les couples homosexuels avaient été agressés et chassés de ces lieux.

    Les femmes sont violées la nuit à Oslo, et les hommes sont volés plus que jamais.

    « L’immigrante Fatima Tetouani déclare que« Grønland est plus musulman que le Maroc. « 

     

    Cela ressemble à Karachi, à Bassora et à Mogadiscio tout à la fois. Les gens vendent de la drogue ouvertement juste à côté de la station de métro Grønland.

    Grønland est à seulement deux arrêts de métro du Parlement, et un de la gare centrale, assez près des bureaux du gouvernement qui ont été bombardés par Breivik.

    lesobservateurs.ch (Merci à test99)

  • Peter Kassig, nouvel otage américain décapité par l'Etat Islamique

    Le groupe Etat islamique a revendiqué dimanche l'exécution de l'otage américain Peter Kassig, 26 ans. Cet ancien soldat, enlevé en Syrie le 1er octobre 2013, avait fondé une organisation humanitaire et s’était converti à l'islam. Portrait.

     

     

     

     

     

     

  • Scandaleux! Israël sanctionne le médecin norvégien qui soignait à Gaza lors du massacre de cet été

    15 novembre 2014 par Pierrot - Contre-info.com

    Mads Gilbert, l’urgentiste norvégien de 67 ans, considéré comme un héros dans son pays et par un grand nombre de Palestiniens, ne pourra plus jamais se rendre à Gaza pour sauver des vies, comme il l’a fait cet été durant plus de 50 jours à l’hôpital d’Al-Shifa.

    Le médecin Gilbert a été empêché de s’y rendre le 1er octobre dernier, alors qu’il rejoignait l’équipe médicale de l’hôpital pour apporter de nouveau son aide, comme il le rapporte sur le site norvégien The Local :

    « Quand nous sommes arrivés à la gare frontière d’Erez, des soldats israéliens m’ont dit que je ne pouvais pas rejoindre la bande de Gaza »

    L’urgentiste possédait pourtant des permis d’entrées et de sorties multiples, invité par le Ministre palestinien de la santé, et sur recommandation de son hôpital norvégien.

    Pour justifier cette interdiction d’entrer dans la bande de Gaza, les autorités israéliennes invoquent des « raisons de sécurité ».

    Source : Itélé

  • Pour rire un peu !

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    NDF

  • Ecosse: Nicola Sturgeon, pasionaria de l'indépendance, aux commandes du Parti nationaliste

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    Rédaction
    International
    A 44 ans et après 28 ans d'engagement militant au Parti nationaliste écossais (SNP), Nicola Sturgeon, nouvelle dirigeante du parti et Première ministre d'Ecosse dès mercredi, hérite de l'ambitieuse mission "de marquer l'Histoire" en conduisant le pays à l'indépendance.

     


    "Me tenir devant vous aujourd'hui, pour la première fois en tant que votre chef, est la plus grande fierté de ma vie", a confié samedi, à la clôture du congrès annuel de son parti, celle qui devient la première femme à la tête du SNP et de l'Ecosse.

    Reconnaissant avoir été profondément déçue après la défaite au référendum sur l'indépendance de septembre, Nicola Sturgeon, s'est dite plus déterminée que jamais à poursuivre le combat.

    "Notre cause n'a pas triomphé. Mais, mes amis, sachez qu'elle va l'emporter. L'Ecosse va devenir un pays indépendant", a-t-elle souligné, sous les hourras de ses partisans.

    Alex Salmond, en lui passant le relais vendredi, lui a lancé à la tribune : "ta future contribution -je n'ai aucun doute là-dessus- sera de marquer l'Histoire".

    En entrant dans le Concert Hall de Perth, il ne fait aucun doute que le parti s'est mis en ordre de bataille derrière sa nouvelle dirigeante : tee-shirts bleus de foot floqués "STURGEON" au-dessus d'un numéro 15 pour 2015, sacs, mugs et tee-shirts noirs "Nicola Sturgeon -The Tour- 2014" accueillent les visiteurs à côté des tartans aux couleurs indépendantistes et des polos sur lesquels est inscrit "Yes".

    - "Inspiration pour les petites filles" -

    Plus loin, chacun peut inscrire sur un tableau l'adjectif que lui évoque cette avocate, née à Stirling dans une famille peu politisée de la classe ouvrière et mariée à Peter Murell, le chef exécutif du SNP : "inspiratrice", "passionnée", "implacable", "drôle", "pragmatique" sont les mots qui reviennent le plus souvent.

    "C'est la première fois qu'une femme est à la tête du parti et je pense que cela envoie un message fort, elle est une inspiration pour toutes les petites filles", confie Stacey Devine, une jeune mère célibataire de 28 ans, membre du SNP à Edimbourg.

    A la tribune, elle a adressé un discours à son image : plus dense et structuré que lyrique, teinté d'humour, très à gauche et critique du Labour, riche en promesses à l'adresse des bas revenus, des femmes et de l'éducation.

    Ayant forgé sa conscience politique dans le rejet du thatchérisme, elle s'est engagée à faire "l'inverse" de ce que faisait la Dame de fer.

    "Nicola Sturgeon est une fervente partisane des questions d'égalité, je pense qu'elle a un sens plus poussé de la démocratie participative qu'Alex Salmond", estime Robin McAlpine, à la tête d'une organisation de défense d'une société plus juste sur les plans social et économique. Une ouverture qui pourrait être particulièrement utile pour intégrer les 60.000 nouveaux adhérents au parti depuis le référendum.

    - "D'étudiante militante à chef de parti" -

    Elevée à Dreghorn, un village proche de la côte occidentale de l'Ecosse, Nicola Sturgeon rejoint le SNP en 1986, à l'âge de 16 ans, en tant que coordinatrice adjointe pour la jeunesse, avant d'occuper tous les postes, de "l'étudiante militante au poste de chef du parti", selon son numéro deux, Stewart Hosie.

    "Elle est devenue une femme politique extrêmement efficace. C'est une brillante oratrice, même si elle n'a pas tout à fait le sens de la répartie de Salmond", analyse John Curtice, professeur de sciences politiques à l'université de Strathclyde.

    "Elle doit maintenant démontrer sa capacité à transmettre de l'empathie, à faire ce qu'on appelle le "job de président", dit-il. Son principal handicap sera "qu'elle n'aura pas une Nicola" pour ficeler les dossiers et lui laisser la possibilité de se concentrer sur la communication.

    Cette travailleuse acharnée, qui ne rechigne pas devant un bon verre de vin rouge, atténue cette image de première de la classe en maniant l'humour, souvent aux dépens du Premier ministre sortant, raillant gentiment son régime, "le même que Beyoncé", où son goût pour les paris sportifs.

    Elue à plusieurs reprises "personnage politique écossais de l'année", elle concrétise aujourd'hui ses ambitions nationales dont elle avait fait état le 22 juin 2004 en annonçant sa candidature à la direction du parti. Avant de renoncer pour soutenir la candidature d'Alex Salmond.
     
    VOXNR
  • La supercherie du blocus du lycée Montaigne

       15 novembre 2014 / /

     

    Communiqué de la fédération Front National de Paris

    Dans son édition du 15 novembre, le journal Le Parisien relatait le geste d’un parent d’élève assénant, après le lui avoir pris des mains, un coup d’extincteur à un adolescent revendiquant le blocage du lycée Montaigne (Paris VIe), en hommage à Rémi Fraisse. En illustration de l’article, une photographie, prise le même jour, montrant sur la tribune, parmi les organisateurs du mouvement, une jeune fille portant ostensiblement une djellaba aux couleurs du drapeau algérien… ?

    Tout en condamnant vivement la violence du geste, nous comprenons l’exaspération de parents et d’élèves majoritairement empêchés depuis une semaine de travailler à leur avenir. Nous dénonçons les manipulations et la supercherie de ces mouvements de blocage prétextes à dégradations et à récupérations communautaristes. Quel rapport en effet entre la mort de Rémi Fraisse et le drapeau algérien si visiblement mis en avant ? Que faisait là cet adolescent finalement victime, qui ne faisait pas parti de l’établissement, si ce n’est venir semer le trouble ? Que faisait-il enfin, avant que le parent d’élève ne le lui prenne, armé d’un extincteur sur la voie publique si ce n’est préméditer violences ou dégradations ?

    Nous condamnons une fois de plus l’inaction des pouvoirs publics, les mêmes qui préfèrent désarmer la Gendarmerie que les manifestants et qui obligent les parents à devoir s’improviser maintien de l’ordre pour assurer la sécurité de leurs propres enfants. Nous réclamons que soit mis fin à ces blocus scandaleux, que la majorité silencieuse puisse reprendre le travail sereinement et que les fauteurs de trouble soient systématiquement repérés et les sanctions adaptées prises. Nous demandons tout simplement que soient assurées la sécurité et la tranquillité de nos honnêtes concitoyens.

  • Profanation de Saint-Étienne-du-Bois : une photo explicite

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    En complément à mon post de ce matin sur la profanation de l’église de Saint-Étienne-du-Bois (Ain, diocèse de Bellay-Ars), j’ai récupéré une nouvelle photo de la profanation plus explicite que celle que j’avais mise en ligne. La voici. Elle montre dans quel état ces salopards ont laissé le Tabernacle ! Une telle rage indique assez sous quelle influence ils ont perpétré leur forfait…

    Observatoire de la christianophobie

  • Sarkozy prône l'abrogation de la loi Taubira, mais pas vraiment...


    Sarkozy prône l'abrogation de la loi Taubira par 6MediaSelection

     

    6Medias, 15/11/2014 - 21:00

    A l'occasion du meeting Sens Commun, auquel participaient les trois candidats à la présidence de l'UMP, Nicolas Sarkozy a pris position sur la question du mariage et de l'adoption pour les couples homosexuels. L'ancien chef de l'Etat estime que "la loi Taubira devra être réécrite de fond en comble, abrogée pour en faire une autre". Une manière de se positionner à mi-chemin entre Bruno Le Maire et Hervé Mariton; le premier a répété - sous quelque huées - qu'il n'entend pas abroger la loi Taubira, tandis que le second, opposant de longue date à cette loi, milite pour une abrogation.


    "Avec le mariage pour tous, la séparation entre le mariage et la filiation est impossible. (...) L'amour homosexuel doit avoir de la reconnaissance sociale. Cela ne me choque pas. (...) Le PACS n'est pas suffisant. Je veux un mariage pour les homos et un mariage pour les hétéros", a ajouté Nicolas Sarkozy.


    Jusqu'à aujourd'hui, l'ex-Président évitait d'aborder ce sujet épineux au sein de sa famille politique, se contentant d'éluder et d'évoquer qu'il fallait d'abord sonder l'UMP pour décider d'un point de vue commun. Dans les colonnes du Parisien, Hervé Mariton reprochait encore ce samedi à Nicolas Sarkozy de ne pas être "clair" sur ses intentions. "Tous ceux qui n'assument pas d'être clairs ont tort. (...) Il ne faut pas faire comme Nicolas Sarkozy qui dit qu'on verra après", précisait le député de la Drôme.