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  • La racaille frappe à Mantes-la-Jolie

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    Lycée Jean Rostand

     Une enseignante du lycée Jean Rostand de Mantes-la-Jolie a été violemment agressée vendredi matin par un inconnu. L'agression s'est déroulée vers 11h30 alors que ce professeur d'anglais donnait cours à une classe de BEP maintenance.

    «Un garçon jeune», selon les témoins, et portant un foulard sur le visage, est entré dans la classe et a donné deux coups de poings au visage de l'enseignante, enceinte.

    Il a pris la fuite. La victime a été transportée à l'hôpital. Après l'incident, les élèves ont été invités à quitter l'établissement pour la journée, les enseignants décidant d'exercer leur droit de retrait.
  • La France s'enfonce dans la récession

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    Croissance en chute libre fin 2008 et récession à la clef en 2009, plongeon des profits dans la filière automobile, suppressions d'emplois tous azimuts, explosion annoncée du chômage : la France entre de plain-pied dans la crise. L'économie française a subi un violent coup d'arrêt au dernier trimestre avec un effondrement de 1,2 % de son Produit intérieur brut (PIB). Faisant exploser au passage le déficit de l'État, privé de rentrées fiscales, à plus de 56 milliards d'euros.

    Contraint de tirer les conséquences de cette chute, la plus forte depuis 1974 et le choc pétrolier, le gouvernement a reconnu que la France n'échapperait pas à la récession qui frappe déjà ses voisins. Après un maigre + 0,7 % l'an dernier, la ministre de l'Économie Christine Lagarde a donc averti que le PIB de la France devrait diminuer d'au moins 1 % cette année. Une prévision qui sera affinée officiellement en mars mais qui reste nettement plus optimiste que celle de la Commission européenne (- 1,8 %) ou du Fonds monétaire international (- 1,9 %).
     Nombre d'économistes estiment, il est vrai, à l'instar du ministère de l'Économie, que la chute du PIB ne devrait pas être aussi forte dans les mois à venir, notant la résistance de la consommation des ménages fin 2008 (+ 0,5 %), traditionnel moteur de la croissance française. Ils soulignent également que l'essentiel de la baisse d'activité au dernier trimestre provient d'un arrêt de la production par les industriels pour écouler des stocks, un phénomène qui ne pourra se poursuivre tout au long de 2009.

    Malgré ces lueurs d'espoir, la récession attendue aura des conséquences sociales inéluctables, comme en témoignent les quelque 89.000 emplois détruits au dernier trimestre 2008. Pour 2009, l'assurance chômage pronostique déjà au moins 282.000 chômeurs supplémentaires. Et les résultats catastrophiques annoncés cette semaine par la filière automobile, première touchée par la crise, en donnent un avant-goût amer.



    Le constructeur PSA Peugeot Citröen a basculé dans le rouge en 2008 pour la première fois depuis dix ans et table sur de nouvelles pertes cette année. Conséquence : suppression de 11.000 postes, dont 6.000 à 7.000 en France. L'autre géant automobile français, Renault, a limité la casse avec un bénéfice de 600 millions pour 2008. Mais celui-ci est en recul de près de 80 % et n'empêchera pas les réductions d'effectifs de se poursuivre : 6.000 départs volontaires prévus en 2009. Leurs sous-traitants ne sont pas épargnés. L'équipementier Valeo a enregistré en 2008 une perte nette de 207 millions d'euros et a lancé un plan de réduction d'effectifs de 5.000 personnes, dont 1.600 en France. Son concurrent Faurecia, contrôlé par PSA, accuse une perte nette de 550 millions d'euros et va supprimer 1.215 emplois en France dans les deux ans à venir, dont 700 dès 2009.
    Quant au groupe de pneumatiques Michelin, il a vu son bénéfice chuter de plus de moitié en 2008 (375 millions) et se prépare à des "perspectives très défavorables pour les mois à venir".

    La crise ébranle d'autres grands groupes emblématiques : Danone et EDF continuent d'afficher des résultats confortables mais en net repli par rapport à 2007, tandis qu'Air France-KLM a annoncé des réductions d'effectifs de 1.000 à 1.200 personnes.
    Autre exception "culturelle" française, le groupe Pernod-Ricard table sur un bénéfice record pour son exercice 2008/2009.
    Le Point -13.02.09

  • Raid aérien sur Gaza: les sionistes ne respecte pas le cessez-le-feu

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    L'enfer, c'est les autres

    Un militant Palestinien a été tué et trois autres personnes blessées vendredi 13 février dans un raid aérien israélien dans le sud de la bande de Gaza, ont indiqué des sources médicales palestiniennes.

    L'armée a confirmé le raid. Un porte-parole militaire a affirmé que l'attaque avait visé "des éléments terroristes qui planifiaient une attaque en Israël".
    Des appareils israéliens ont également bombardé des tunnels de contrebande dans le secteur de Rafah à la frontière avec l'Egypte, selon des témoins.
    Ces nouvelles violences surviennent malgré l'entrée en vigueur le 18 janvier d'un cessez-le-feu ayant mis fin à l'opération militaire israélienne dans la bande de Gaza, où 1.330 Palestiniens ont été tués en trois semaines.

    Le Hamas, qui administre la bande de Gaza, a annoncé jeudi qu'une trêve de 18 mois négociée sous les auspices de l'Egypte devrait être annoncée dans les tout prochains jours.

    En Cisjordanie, un Palestinien de quatorze ans a été tué vendredi 13 février par des tirs de l'armée israélienne à Hébron dans le sud du territoire, ont indiqué des sources médicales et des témoins.

  • Soutien à l'Iran d'Ahmadinejad

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    Mahmoud Ahmadinejad est né le 28 octobre 1956
    Le président Mahmoud Ahmadinejad va se représenter devant les électeurs à l’occasion des prochaines élections présidentielles iraniennes de juin prochain.

      Je tiens à apporter tout mon soutien à Mahmoud Ahmadinejad pour cette élection présidentielle.

      Ahmadinejad a effectué un travail remarquable depuis qu’il est à la tête de l’Iran et tout particulièrement en matière de politique internationale. Ahmadinejad fait partie de ceux qui refusent de se mettre à genoux devant le nouvel ordre mondial. Alors certes, il est islamiste, mais islamiste en terre d’Islam et non sur notre terre. Jamais, l’actuel président iranien ne s’est montré menaçant à l’égard de notre civilisation européenne et chrétienne, jamais il n’a critiqué notre passé et jamais il n’a fait d’ingérences dans nos affaires intérieures.

      Alors qu’actuellement certains non-chrétiens s’attaquent à l’Eglise du fait de la réintégration des traditionalistes, Ahmadinejad, lui, n’a jamais porté de jugements négatifs vis-à-vis de la chrétienté. Mieux, le président iranien a prononcé un brillant message pour les fêtes de Noël à la communauté chrétienne lors d’un entretien réalisée par une chaîne de télévision britannique.

      Concernant les projets nucléaires civils du président iranien, on ne peut que les soutenir (à moins, bien sûr, d’être un opposant à l’énergie nucléaire). Au nom de quoi, l’Iran, ne pourrait-elle pas bénéficier d’une technologie récente en matière énergétique ? L’Iran a parfaitement le droit de disposer du nucléaire civil et même du nucléaire militaire.

    L’arme atomique iranienne ne constituerait en rien une menace pour notre continent, cette arme atomique servait uniquement à défendre le peuple iranien d’une éventuelle attaque venant d’un pays étranger.

      Une victoire d’Ahmadinejad en juin prochain serait synonyme d’un nouvel espoir pour ceux qui refusent la dictature du nouvel ordre mondial, ce serait également une excellente nouvelle pour ceux qui militent pour la paix au Proche-Orient.

    (Source: Kreuzer - Identita Nostra)


  • Les Antilles en route pour "Haïti" avec les mouvements indépendantistes?

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    Manifestation anti-blancs à Fort-de-France
    Officiellement, les Antillais manifestent contre la vie chère, officieusement les antillais luttent contre la « trop forte » présence de blancs parmi les chefs d’entreprise.

      La haine du Blanc ressurgit en Guadeloupe et en Martinique avec la propagation d’un discours dénonçant la trop forte présence de « békés » dans les îles. Les syndicats communautaristes antillais sont en première ligne dans la théorisation du discours anti-blanc.

      Avec un tel comportement, les Antillais prouvent une nouvelle fois qu’ils ne se reconnaissent pas dans l’identité française. D’ailleurs, il est extrêmement rare que les Antillais s’identifient par rapport à la France. Ainsi, la plupart des Antillais préfèrent mettre en avant leur identité afro-antillaise plutôt que de montrer leur attachement à la France.

      Pour ma part, je pense qu’il va bien falloir un jour ou l’autre prendre une décision concernant les Antillais. Pourquoi vouloir conserver à tout prix des populations qui ne se reconnaissent peu, voire pas du tout dans les valeurs nationales ?

    Je ne suis pas défavorable à l’indépendance de la Guadeloupe et de la Martinique. Ces deux îles constituent d’énormes boulets financiers pour le contribuable français, un contribuable français dont une partie de ses impôts finance indirectement des syndicats et partis politiques…indépendantistes !

    (Source: Kreuzer - Identita Nostra - 10 février 2008)

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  • Antillles: un climat de terreur s'est installé...

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    Le secrétaire d'Etat à l'outre-mer Yves Jégo a affirmé vendredi que "l'Etat fera respecter le droit" en Guadeloupe, en dénonçant "un climat de terreur, de pression" sur certains commerçants pour qu'ils ferment leurs magasins.

    "On ne peut pas rester dans une situation de cette nature-là, on ne peut pas accepter que des situations de droit ne soient pas respectées", a-t-il déclaré sur France 2.

    Assurant avoir "apporté 131 réponses à 132 revendications" du collectif contre la vie chère LKP, il a ajouté que l'Etat allait "conforter les entreprises pour qu'elles puissent faire de bonnes négociations salariales".

    "Mais l'Etat sera aussi un Etat de droit qui fera respecter le droit et en sorte qu'en Guadeloupe, comme partout dans notre pays, on puisse circuler librement et qu'un commerçant qui veuille ouvrir sa boutique puisse le faire", a dit le secrétaire d'Etat.

    Affirmant que la crise en Guadeloupe est "une situation que personne n'a vu venir", il a de nouveau assuré qu'il n'avait jamais fait de promesse pour l'augmentation des bas salaires, ce que contestent les élus locaux en s'appuyant notamment sur un message du secrétaire d'Etat et une interview.

    "Je n'ai jamais fait de promesse sur l'augmentation des bas salaires, ce n'est pas un ministre qui augmente les salaires dans une entreprise", a-t-il dit. "Je n'ai jamais évoqué dans les négociations les salaires, le montant des salaires."

    Selon M. Jégo, "si on ne veut pas aller au drame, il faut que les hommes et femmes de bonne volonté arrivent, maintenant qu'il y a des réponses sociales de la part de l'Etat et des collectivités, que les acteurs économiques savent quelles vont être les mesures qui vont être prises pour conforter l'économie qui souffre, se mettent autour d'une table pour arriver à une sortie par un accord négocié".

    Il en appelé à la "responsabilité" des "six représentants des organisations patronales et des six représentants des organisations syndicales". "Les 400.000 Guadeloupéens n'en peuvent plus", a-t-il dit.

    AFP. 13/02/09

     

  • Le corps de la noyée identifié comme celui d'Ophélie Bretnacher

    Le corps découvert jeudi sur les bords du Danube près de Budapest est bien celui d'Ophélie Bretnacher, l'étudiante française disparue le 4 décembre dans la capitale hongroise, a-t-on appris vendredi de source proche de l'ambassade de France.

      "La police hongroise nous a informés que le corps avait été identifié", a déclaré cette source à l'AFP.

    Le porte-parole de la police de Budapest, Laszlo Kago, a toutefois précisé à l'AFP que ses services attendaient le résultat des tests ADN avant de déclarer publiquement le corps comme identifié formellement.

    "Il y a de grandes probabilités" qu'il s'agisse de la jeune Française, a cependant admis M. Kago, en précisant que la morphologie, la dentition, les vêtements et deux bagues, et la durée du séjour dans l'eau correspondaient au cas de la Française disparue.

    Les parents de la victime se sont rendus en début de soirée à l'ambassade de France à Budapest, où ils ont été informés de l'identification de leur fille.

    "Nous n'avons pas vu le corps ni été informés par la police hongroise. Mais l'ambassade nous a clairement dit que le corps avait été identifié", a déclaré à l'AFP Francis Bretnacher, le père de la jeune femme.

    "Maintenant, nous voulons que le corps soit rapatrié en France le plus rapidement possible. Nous voulons pouvoir faire notre deuil", a-t-il ajouté.

    Ophélie Bretnacher, 22 ans, a disparu dans la nuit du 4 décembre dans la capitale hongroise après avoir passé la soirée dans une discothèque du centre-ville avec des amis.

    Son sac à main, avec ses papiers d'identité et son téléphone portable, a été retrouvé sur un pilier du pont des Chaînes reliant les deux rives de Budapest.

    Sa famille avait dans un premier temps privilégié la piste criminelle mais l'autopsie pratiquée dans la nuit de jeudi à vendredi sur le corps découvert jeudi soir en aval de Budapest a exclu cette hypothèse.

    Le médecin légiste n'a relevé "aucun signe d'agression ou d'acte criminel sur le corps", a indiqué la police qui estime que le drame résulte d'un accident ou d'un suicide.

    AFP. 13.02.09 - 21h40

    Y avait-il des caméras de surveillance sur ce pont?

     

  • AREVA répond au reportage de France3


    La thèse du reportage est la suivante: La Cogema, puis Areva, ne se seraient pas préoccupés de la gestion des déchets issus des quelques 210 mines d'uranium dispersées un peu partout en France. Problème: ces résidus contiennent une radioactivité plus importante que la radioactivité naturelle, mais aussi du radon, directement lié, entre autres, au cancer du poumon. Alors que des gens se balladent dans des parcs ou se pensent à l'abri dans leur maison, ils seraient exposés à une dose trop importante de radioactivité.

    Et c'est bien là tout le débat et l'enjeu: à partir de quelle dose, mais aussi à partir de quel délai d'exposition pouvons nous être en danger? Pour la CRIIRAD, la Commission de Recherche et d'Information Indépendante sur la Radioactivité, les doses des déchets d'uranium sont trop élevées et représentent de toutes façons un danger pour ceux qui se rendent sur les lieux qui en contiennent. Pour Areva, ces doses ne sont pas dangereuses, car il faudrait être exposé très, très longtemps pour qu'il y ait des conséquences sur notre santé.



    Sur Le Post, Elise Lucet affirmait dans une interview que "Les Français sont pris pour des imbéciles" alors qu'Areva rétorquait que "l'entreprise n'avait rien à se reprocher".

    Après la diffusion du reportage, Le Post a voulu savoir ce qu'Areva en pensait.

    Yves Dufour, porte-parole des activités minières à Areva affirme qu"il y a une atmosphère de psychose dans le reportage."

    Qu'avez-vous pensé du reportage de France 3 sur les déchets des mines d'uranium?

    "C'est un reportage à charge, clairement militant."

    Les craintes du reportage sont-elles justifiées?
    "J'ai regardé le reportage avec ma famille et des amis et ils n'étaient pas très rassurés, car il y a une telle atmosphère de psychose dans ce reportage..."

    Mais ces craintes sont-elles justifiées?
    "Non, et pour cela je reprendrais les propos d'un interlocuteur du reportage qui affirme qu' on ne s'intéresse pas plus que ça au déchets des mines d'uranium parce à des faibles doses, il n'y a pas de danger, on ne pourrait même pas voir les effets dans des études épidémiologiques."

    Pourquoi mettre des détecteurs de radioactivité aux endroits où la radioactivité est la plus faible?
    "Les positionnements des détecteurs sont décidés par l'IRSN, l'institut de radioprotection et de sûreté nucléaire."

    Pour vous, nous ne sommes donc pas en danger?
    "Ma conviction est faite: la radioactivité telle que nous la subissons ne nous laisse pas de raison de penser que c'est dangereux."

    Pourquoi alors la CRIIRAD ou d'autres dénoncent la dangerosité de ces résidus?
    "Les gens pensent différemment. Ce sont des militants qui oeuvrent pour des causes qu'ils croient justes. Ce sont des contre-pouvoirs qui jouent leur rôle. Mais nous respectons les normes internationales. Mais je trouve dommage que dans le reportage on ne voit pas des groupes d'expertise débattre pendant des heures sur ces sujets. Les journalistes ont filmé la réunion pendant 4 ou 5 heures, et on n'en voit même pas une minute dans le reportage."

    Mais la radioactivité est dangereuse, non?
    "Au fond, je pense que les réactions et les perceptions de ce sujet ne sont pas rationnelles. Nous sommes tous exposés à la radioactivité. Si on restait un an sur les zones montrées dans le reportage, ce serait juste l'équivalent d'un scanner".

    Estimez-vous qu'Areva ait correctement réaménagé les mines d'uranium?
    "Je pense en tout cas qu'il n'y a pas eu de négligences. Comment a-t-on su que le radon était cancérigène? Grâce à des recherches d'Areva. Qui a créé la radioprotection moderne? Areva. Le problème c'est qu'entre les associations et nous il faudrait trouver des interlocuteurs situés dans un juste milieu car tout ce que je vous dit n'est malheureusement pas crédible. Mais Areva a géré ses stockages de déchets de manière raisonnable en prenant en compte la plus grande connaissance à chaque époque. Il faut arrêter de penser que nous sommes des méchants prêts à déverser des saloperies n'importe où."

    Allez-vous tenter une action contre France 3 pour le reportage?
    "Nous allons regarder une nouvelle fois le reportage, mais rien n'est encore décidé pour l'instant."

    Source: Le Post - 12.02.09
  • Hongrie: le corps découvert est-il celui d'Ophélie?

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    Un corps de femme a été découvert jeudi soir sur les bords du Danube, près de Budapest. Et selon la police, il pourrait s'agir de celui de l'étudiante française disparue en décembre dernier dans la capitale hongroise. "Selon nos informations, nous ne pouvons pas exclure qu'il s'agisse du cadavre" d'Ophélie, a déclaré un porte-parole de la police de Budapest.

    La police a été alertée vers 18 heures, heure locale, par des bateliers qui ont aperçu un corps de femme sur les bords du fleuve à Csepel, dans le sud de Budapest. Selon l'édition en ligne du quotidien hongrois Nepszabadsag, la police pense qu'il y a de "grandes chances" qu'il s'agisse de la jeune Française. Le journal citait jeudi soir le commandant de police Gabor Toth déclarant "que vue la forme du corps et les vêtements, il y a de grandes chances que ce soit le corps d'Ophélie Bretnacher". "La seule chose visible, c'est que le corps a séjourné dans l'eau pendant plus de deux mois", a déclaré l'officier de police. La police a demandé une autopsie à des médecins légistes ainsi que des tests d'ADN pour identifier la victime et déterminer les circonstances de sa mort.

    Ophélie Bretnacher, 22 ans, avait disparu dans la nuit du 4 décembre dans la capitale hongroise après avoir passé la soirée dans une discothèque du centre de Budapest avec des amis. Son sac à main, contenant ses papiers d'identité et son téléphone portable, avait été retrouvé sur un pilier du pont des Chaînes, reliant les deux rives de la capitale hongroise. La jeune Française achevait à Budapest un master de finances dans le cadre du programme européen d'études Erasmus.

    LCI.fr - 12.02.09

  • LUTETIA URBS PARISIORUM

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    "Lutèce, ville des Parisiens" au début du XVIIème siècle

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    Plan de la cité gauloise des Parisii - gravure de Nicolas de Fer en 1705
    Lutèce plan en 508 - Clovis Ier en fait sa capitale.jpg
    Plan de Lutèce en 508
     Après l'avoir conquise contre les Romains en 496, Clovis 1er en fit sa capitale au début du VIème siècle 
    (Cliquez sur les images pour les voir en totalité)
  • Questions critiques - Un autre regard sur le monde

    Sitehttp://questionscritiques.free.fr/index.htm

    Le gazage des Kurdes: http://questionscritiques.free.fr/Jude_Wanniski/SPDG.htm

    Massacres à Gaza:

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

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    http://questionscritiques.free.fr/edito/haaretz/Gideon_Levy/guerre_de_Gaza_echec_Israel_220109.htm

    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

  • Dati maire de Lutèce?

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    Maire du VIIème arrondissement...

    Pour ses collaborateurs, ce n’est plus un secret : Rachida Dati veut être maire de Paris.

    « La capitale en 2014, c’est un vrai objectif pour elle, confie un de ses proches. Elle a l’idée de conquérir l’Hôtel de Ville. » L’une des plus fidèles de la ministre de la Justice, sa conseillère Emmanuelle Dauvergne, confirme ce projet : « Elle veut s’investir à Paris, c’est ce qu’elle fait déjà dans le VII e arrondissement. En effet, elle m’a confié que la mairie de Paris en 2014 l’intéresse vraiment. »


    Une ambition que la garde des Sceaux ne souhaite pas crier sur les toits car d’autres échéances l’attendent. Numéro deux sur la liste UMP en Ile-de-France lors des élections européennes de juin, derrière Michel Barnier, elle doit d’abord mener campagne pour ce scrutin avant de nourrir d’autres ambitions. « Aujourd’hui, sa vraie priorité, ce sont les européennes », tient à préciser Emmanuelle Dauvergne. « Si elle dit aujourd’hui : je suis candidate pour la mairie de Paris, à cinq ans de l’échéance, on dira qu’elle fait des plans sur la comète et qu’elle ne prend pas les européennes au sérieux », détaille un autre membre de son entourage.


    Alors que la droite parisienne se cherche un leader pour reprendre la mairie à Bertrand Delanoë, Dati se verrait donc bien endosser le costume du candidat providentiel. « Vous savez, ce n’est pas un hasard si lors des deux derniers Conseils de Paris, elle est intervenue sur des sujets tels que le Grand Paris et le budget de la Ville, explique un conseiller de Paris. Elle a choisi des sujets de premier plan pour s’opposer à la politique de la municipalité en place. » Analyse que rejoint le conseiller de Dati place Vendôme, Pierre-Yves Bournazel : « Elle doit faire cela échelon par échelon. Première étape : les européennes. Cela va lui permettre de voir les élus, les associations et les acteurs locaux. Les Parisiens vont se dire : la droite à Paris, c’est Dati. »


    Mais ce plan n’est pas du goût de tout le monde. « La présidence de l’UMP Paris lui était offerte sur un plateau, critique Roxane Decorte, conseillère du XVIII e arrondissement de Paris. C’eût été un boulevard pour entrer dans Paris. On n’a pas compris pourquoi elle n’y est pas allée », conclut-elle.


    « Quelle que soit la candidature, elle est prématurée et ne serait pas crédible, lâche Jean-François Lamour, président du groupe UMP à l’Hôtel de Ville. Elle travaille, elle vient au Conseil de Paris, mais on va voir comment elle va gérer son emploi du temps européen.»

    L’Elysée, qui suit de près la question, songeait plus à François Fillon pour être le leader de la droite à Paris il y a quelques mois. « Sarkozy pensait que Fillon pouvait être le bon choix. Surtout qu’après Matignon il lui faudra un nouveau champ de bataille », détaille un proche du président. Rachida Dati, qui devra quitter le gouvernement en juin, a déjà clamé dans le passé sa volonté de jouer les premiers rôles dans la capitale.

    Le Parisien -12.02.09

    Quelle Française immigrée sera maire d'Alger?

  • Martinique: Jégo condamne les propos "ignobles" d'un béké

    En pleine grève générale contre la vie chère, qui paralyse l'île, le reportage de Canal + sur le pouvoir des békés ou des  créoles, qui sont des Blancs descendants des premiers colons, suscite des réactions en cascade depuis sa diffusion vendredi dernier.

    Yves Jégo, secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, arrivé jeudi matin à Fort-de-France, a jugé «parfaitement ignobles» les propos de l'un des békés interrogés dans le documentaire.

     Alain Huygues-Despointes explique ainsi «vouloir préserver sa race», déclarant : «Quand je vois des familles métissées avec des Blancs et des Noirs, les enfants naissent de couleurs différentes, il n'y a pas d'harmonie.»

     «On a des lois qui protègent et qui interdisent ce genre de choses dans la République», a souligné le secrétaire d'Etat, interrogé sur Europe 1. Dès lundi, le parquet de Martinique a d'ailleurs ouvert une information judiciaire pour «apologie de crime contre l'humanité et incitation à la haine raciale».

    Autre conséquence des déclarations de l'entrepreneur fortuné : le déménagement du préfet Ange Mancini. Ce dernier, qui préside les négociations sur l'île, a annoncé mercredi qu'il avait quitté son logement appartenant à la famille... Despointes. Il loge depuis à l'hôtel.

    Des gendarmes à «Békéland» !

    Cette demeure ainsi que la propriété d'Alain Huygues-Despointes sont situées à Cap Est, près du François, dans la partie Est de la Martinique, surnommée «Békéland». C'est là que vivent la plupart des békés, qui représentent entre 1 et 2,5% de la population martiniquaise. Ils descendent d'aristocrates français qui avaient colonisé l'île au XVIe siècle. Plusieurs de ces familles dirigent aujourd'hui des sociétés prospères.

    Depuis deux jours, des gendarmes ont été déployés dans cette zone résidentielle pour prévenir toute manifestation de violences. Des appels au boycott des produits commercialisés par ces entrepreneurs ont été lancés.

    Selon Yves Jégo, les propos de M. Despointes «montrent quel est le climat» aux Antilles, marqué par «des problèmes culturels profonds qu'il faut essayer de dénouer». Il a jugé nécessaire de «mettre en place des moyens pour que les Guadeloupéens et les Martiniquais d'origine, les originaires comme on dit, puissent accéder aux responsabilités».

    (Source leparisien.fr -12.02.09)

    Les "originaires" sont originaires d'Afrique et non des Antilles

     

  • L'amour et le respect des femmes sont-ils nés en Occident?

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    Leila* aura attendu plus de huit ans pour que son affaire soit jugée. Mariée de force et contrainte à des relations sexuelles à l’âge de 14 ans, la « gamine » est devenue une jeune femme, aujourd’hui âgée de 23 ans.

     
    Hier, après de multiples problèmes de procédure, le tribunal correctionnel d’Evry a examiné son affaire malgré l’absence des deux principaux accusés.

    En cavale, le « mari » a été condamné à trente mois de prison ferme et un mandat d’arrêt a été délivré contre lui. Quant au père de la victime, un ancien imam de Grigny qui avait organisé son mariage, il sera jugé plus tard. En revanche, deux complices étaient à la barre : Fatima, la belle-mère de Leïla, qui ne se serait pas opposée au mariage, et Nas’r Eddine, frère du « mari » et intermédiaire.
    La première a été condamné à deux mois avec sursis et le deuxième à six mois avec sursis.


    Eté 2000. Leïla pose ses valises chez son père, qu’elle connaît peu. Elle confie « trouver mignon » Hafidallah, 21 ans, qu’elle a aperçu depuis sa fenêtre. Son père saute sur l’occasion. « Ma fille était chaude, déclarera-t-il aux policiers. Elle fumait. Il fallait la marier avant qu’elle ne fasse une bêtise. » Hafidallah a justement besoin de papiers. Il verse 300 € à l’imam. Une rencontre entre les « mariés » est organisée, une robe achetée. Deux semaines plus tard, le mariage religieux est célébré.


    A l’époque un peu déboussolée, Leïla accepte l’union bon gré mal gré. « Je voulais ma liberté… Je ne réalisais pas. Mon père m’a dit Tu verras ce sera une belle vie… A l’époque, je ne savais même pas ce que c’était un garçon. J’en veux surtout à mon père, il m’a livrée. » La nuit de noces est un cauchemar. Il va durer vingt-deux jours, le temps que Leïla réussisse à se réfugier chez sa grand-mère. « Il m’a forcée à le faire matin et soir, quotidiennement », explique Leïla. Le mari se montre, en plus, très violent.


    Aujourd’hui, Leïla a refait sa vie, loin de Grigny. Elle a un fils de 2 ans, mais « toujours des séquelles psychologiques », comme l’ont prouvé ses pleurs hier. Elle dit finalement ne pas en vouloir à Nas’r Eddine, qui a plaidé la bonne foi, ni à Fatima, qui avait tenté de la protéger d’une grossesse en lui donnant la pilule. « Elle était soumise. Elle a dû obéir à mon père. »


    * Le prénom a été modifié.

     Le Parisien -12.02.09

  • eBay pense aux collectionneurs

    Croix gammée et Hitler sur timbres 3ème Reich.jpg
    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)

  • Ruth Madoff avait retiré 15,5 millions de dollars avant l'arrestation de son mari...

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    Andrew Madoff, son fils, et Ruth Madoff
    Ruth, l’épouse de Bernard Madoff a retiré 15,5 millions de dollars, juste avant l’arrestation de son mari le 11 décembre 2008.

    Des retraits effectués en deux fois : 5,5 millions de dollars, le 25 novembre et 10 millions de dollars le 10 décembre.

    Des retraits effectués à la « Cohmad Securities », la société de courtage dont Bernard Madoff était co-actionnaire.

    Bernard Madoff, âgé de 70 ans, est accusé d’une gigantesque fraude de plus de 50 milliards de dollars.

    Ancien patron du Nasdaq, la bourse américaine spécialisée en nouvelles technologies, Bernard Madoff avait créé un fonds d'investissement où il proposait aux grosses fortunes ou à des banques de placer leur argent en Bourse de manière à en gagner beaucoup plus. Il promettait jusqu'à 17% de rendement...

    Il est actuellement assigné à résidence dans son luxueux appartement de Manhattan, d'une valeur de 7 millions de dollars.

    Le parquet vient de repousser jusqu'au 13 mars la décision d'inculper ou non le financier, âgé de 70 ans.

    (Source: Les Echos - Le Post - 11 février 2009)

  • Carla au Burkina Faso - en solo elle lutte contre le sida...

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     Que tient-elle à la main? Un paquet de préservatifs?
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    Pour 24 heures à Ouagadougou... C'est supportable...
    «Première dame, c'est une responsabilité. Ce n'est pas seulement une fonction, une expérience. C'est d'abord une responsabilité.» Crédits photo : AFP

    INTERVIEW - Ambassadrice du Fonds mondial contre le sida, l'épouse du président de la République a effectué mercredi son premier déplacement au Burkina Faso. Un voyage en solo pour "la première dame" alors que son mari se trouvait au même moment dans le Golfe.

    LE FIGARO.- Qu'est-ce qui vous le plus impressionnée tout au long de cette journée passée au Burkina Faso ?

    Carla BRUNI-SARKÖZY.- Je retiens des choses très positives. Comme l'engagement des médecins, des infirmières et de toutes les ONG qui luttent contre le sida, le paludisme et la tuberculose, ces trois maladies qui «assassinent» dans ce pays. Je relève aussi que le nombre de gens, et surtout de femmes, qui acceptent de se faire soigner est en augmentation. Ca, c'est très encourageant. Ca veut dire qu'ici les gens ont confiance dans la santé et les soignants qui les prennent en charge. Ici au Burkina Faso, tout le monde est réuni, gouvernement, Fonds mondial contre le sida et ONG pour se battre contre cette maladie. Je tire un bilan très positif de ma première visite de travail en tant qu'ambassadrice du Fonds mondial contre le sida.

    Pourquoi avez-vous choisi cet engagement humanitaire ?

    Première dame, c'est une responsabilité. Ce n'est pas seulement une fonction, une expérience. C'est d'abord une responsabilité. Je veux aider les autres. Le Fonds mondial me permet de le faire à l'étranger mais je compte aussi m'engager en France. Cet engagement humanitaire est un honneur, une occasion d'apporter quelque chose aux autres avec le soutien de mon mari.

    En acceptant d'être la vitrine du Fonds mondial contre le sida, est-ce que c'est compatible avec l'image de la première dame de France ?

    J'ai été désignée ambassadrice le 1er décembre mais je suis en fonction réellement depuis le 1er janvier. Je ne compte pas être une simple vitrine. Je ne prends du tout à la légère cet engagement. Je veux être efficace. Mon objectif est de sensibiliser l'opinion publique mondiale. Mon action s'inscrit dans la lignée de l'engagement de la France qui est le deuxième donateur du Fonds mondial et le premier en Europe.

    Avec la crise économique, les fonds versés à la lutte contre le sida risquent de baisser...

    C'est inquiétant. Il ne faut pas relâcher les efforts. Les pays ne doivent pas baisser leurs aides malgré les perspectives économiques.

    Nicolas Sarkozy est en voyage dans le Golfe. Vous vous êtes ici. Vous prenez votre autonomie ?

    Petit à petit, je prends effectivement mon autonomie. J'essaie de remplir cette fonction de première dame. Je tâtonne encore mais j'espère qu'au fil du temps, je vais être plus efficace. Grâce au terrain humanitaire, je prends une indépendance. Mon mari ne peut pas tout faire.

    Voulez-vous être une «first lady» à l'américaine ?

    Je n'ai pas étudié ce qu'elles ont fait. Moi, je n'étais pas programmée pour ça. Quand j'ai rencontré mon mari, il était déjà président. Je n'ai pas vraiment de modèle. Je suis plutôt un électron libre qui s'adapte aux situations. Dans ce premier voyage, j'ai essayé de réunir mes deux fonctions : première dame et ambassadrice.

    Souhaitez-vous avoir une action politique un jour ?

    Vraiment pas ! Je sais fondamentalement que la politique est un métier de terrain et d'actes. Pas de paroles. La politique pour moi, c'est être élue. Quand je regarde la trajectoire de Madame Bernadette Chirac, c'est celle d'une femme politique qui est une élue.

     Je ne suis pas de ces femmes qui pensent qu'en épousant un violoniste, on peut jouer dans l'orchestre.

    La Première dame de France", Carla Bruni-Sarközy, a affirmé mercredi lors d'un déplacement au Burkina Faso n'être "pas prête pour une carrière politique", en expliquant devant la presse que "ce n'est parce qu'on a épousé un violoniste qu'on peut jouer dans l'orchestre".

     

  • Vous êtes invité à une soirée poker chez les Zeitoun!

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    Paris 1er, le 30 janvier. Chez les Zeitoun, l’ambiance est très détendue autour de la table à poker. De gauche à droite : Sandra Zeitoun, la maîtresse de maison, Dove Attia, Christophe, Caroline Diament, Valery Zeitoun, Kool Shen et Bruce Toussaint.

    Un bel appartement à un jet de bouchon de champagne de la place Vendôme (Paris 1er). Entre une oeuvre dédicacée de Guy Pellaert et les photos des enfants, on cherche du regard la discothèque de Valery Zeitoun, que l’on imagine fournie. Le patron du label AZ, révélé au grand public comme juré de l’émission « Popstars », n’a pas encore sorti ses CD des cartons de déménagement.

    Mais les bouteilles d’apéro, elles, sont déballées et la table du salon couverte de tomates cerises, de délicieux biscuits et de bonbons.
    Chez les Zeitoun, on sait recevoir. Et dans la salle à manger, c’est soirée poker. « Comme tous les vendredis, annonce Sandra Zeitoun, coiffée d’un chapeau de cow-boy. On est des mordus de poker. Mais on joue entre copains, on boit, on se marre… » « Et ça peut faire une super-émission ! » s’est dit un soir l’une des joueuses, Catherine Comte, qui, le jour, est directrice de Jimmy.

    Aussitôt dit, aussitôt fait : la chaîne du câble a pris ses quartiers dans la salle à manger. Dans la cuisine, Valéry Zeitoun se fait maquiller pendant que son petit dernier, Dino en hommage à Dean Martin , finit son biberon. Les chambres des enfants sont envahies par la régie, avec aux manettes Serge Khalfon, qui a déjà capté des parties de poker pour Paris Première.


    Cette « Soirée poker chez les Zeitoun », qui sera diffusée fin mars sur Jimmy, mise sur une table iconoclaste : l’animatrice Caroline Diament, joueuse réputée, Kool Shen, moitié de NTM, le producteur Dove Attia, le journaliste de Canal + Bruce Toussaint, et le chanteur Christophe, « imbattable quand il a du jeu » et qui a fait nettoyer sa veste fétiche pour la télé. « Kool Shen et Toussaint à la même table, c’est génial, applaudit Valery Zeitoun. Au poker, un maçon peut jouer avec Bill Gates et le battre. C’est le jeu le plus social du monde. » « Et les soirées chez les Zeitoun sont les plus délirantes de France », assure Bruce Toussaint.

    Mais le patron, que l’on découvre facétieux, s’impatiente : « Alors on joue ? » Entre réglages et babillages, la partie ne commence qu’à 22 h 30. Evidemment, elle se joue à la parlante. Les dialogues naviguent entre « La vérité si je mens » et Audiard, les vannes passent de Jean-Pierre Pernaut à Ségolène Royal. Croupière sexy et extravertie, Sandra Zeitoun s’évertue à faire passer les dialogues sous la ceinture. On en oublierait qui sort le premier du jeu, à la surprise générale, et qui gagne à 2 h 30 du matin le gros lot, un jeton serti de diamants à 7 000 €.
     Dans le salon, Catherine Comte est pliée en deux : « Si on se débrouille bien, ça peut devenir culte ! »
  • Le peuple historique de Marseille n'a pas été consulté

    Grande Mosquée : n’oubliez pas les Marseillais! 

     

    Communiqué de Stéphane RAVIER

     

     

    On reparle de la Grande Mosquée qui est, nous dit La Provence, en très bonne voie puisqu’il semblerait qu'elle fasse l’unanimité.

     

    Monsieur Gaudin est le véritable père de ce projet, qui a forcé la main des musulmans les plus réticents et s’en fait une gloire à chaque instant.

     

    Monsieur Guérini, jusque là assez discret sur le sujet, vient de morigéner l’Algérie qu’il accuse de se montrer lente à délier sa bourse pour aider au financement de cet édifice hors norme. Ainsi, à contre-courant des assurances données jusque là de non-ingérence d’Etats étrangers dans ce projet, l’Algérie est, elle, encouragée à s’ingérer plus massivement.  Comprenne qui pourra…

     

    On nous parle de 200 000 musulmans très heureux et impatients d’entendre le premier cri du muezzin prévu pour 2011.

     

    On nous parle de tous les élus qui, du PC à l’UMP y sont favorables, y compris Monsieur Teissier  qui n’a de cesse de se racheter d’un passé d’extrémiste de droite  a désormais son Monsieur Mosquée !

     

    On nous parle même d’un éminent  ministre algérien qui souhaite que cette mosquée soit la plus grande de France ! De quoi j’me mêle !...

     

    En somme, il semblerait que tous aient donné leur avis sur la question ; tous,  sauf le principal concerné : le peuple historique de Marseille.

     

    Ces 700 000 qui professent une autre religion que la « deuxième » n’ont pas été consultés sur ce délirant projet. Messieurs Gaudin et Guérini, les « deux frères musulmans », ont interdit d’évoquer le sujet pendant la campagne des municipales, privant ainsi les électeurs et contribuables (intéressés malgré eux puisque la mairie cède un terrain municipal immense en contrepartie d’un loyer sous-évalué) d’un vrai débat. Comment peuvent-ils se prévaloir d’un soutien qu’ils n’ont ni quantifié ni même sollicité ?

     

    La vérité est qu’ils se moquent du peuple et qu’ils n’ont pas l’intention de lui  demander son avis.

     

    Stéphane RAVIER rappelle que rien n’est encore joué. Ce projet est encore sous la menace d’un recours déposé par le Front national et dont le délibéré peut encore  l’annuler. Tous  feignent  de l’ignorer, et leurs annonces périodiques sur cette grande mosquée  n’ont d’autre but que d’exercer une pression sur les juges pour contraindre leur décision. Mais les juges n’aiment généralement pas le chantage.

     

    Ils soutiendront le  Front national qui va se mobiliser et envisager toutes les voies de recours possibles, juridiques comme politiques, pour lui faire échec.

     

    La Justice nous a déjà écoutés. Le peuple nous entendra et enverra un premier signe fort en votant massivement pour les listes conduites par Jean-Marie Le Pen aux élections européennes du 7 juin prochain.

     

    Le 11 février 2009