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  • ANTONIO DE OLIVEIRA SALAZAR

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    Antonio de Oliveira Salazar (1889-1970)
    "Plus grand Portugais de tous les temps"

  • En Irak, la chute de Saddam Hussein a privé d'avenir les étudiants en hébreu

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    Etudiantes irakiennes

    BAGDAD — Coiffée d'un joli foulard rose, Marwa chante en hébreu "J'ai de l'amour en moi" de la star israélienne Sarit Hadad sous les applaudissements de ses camarades de l'université de Bagdad, dans un pays où il ne reste plus de juifs et qui est officiellement en guerre avec Israël.

    Voir début mai des élèves chanter et réciter des poèmes dans la langue de l'ennemi à l'occasion de la première fête du département de langue hébraïque depuis sa création en 1971 est un spectacle saisissant d'autant que depuis la chute de Saddam Hussein ces études n'offrent plus de débouchés.

    "J'étais attirée par l'anglais mais comme je n'ai pas obtenu d'assez bonnes notes au baccalauréat je me suis retrouvée à apprendre l'hébreu. Mes parents sont déçus mais moi j'en ai pris mon parti et je parle cette langue", confie Marwa Abdel Karim, 21 ans, qui a trouvé sur internet la chanson d'amour qu'elle a interprétée.

    Aucun des 150 étudiants du département n'a choisi d'étudier l'hébreu. Si les meilleurs élèves peuvent s'inscrire en anglais, français ou allemand, les cancres sont contraints d'opter pour le persan, l'hébreu ou le kurde.

    "Quand je dis que j'étudie l'hébreu, mes amis se moquent de moi mais après ma licence j'espère poursuivre mes études à Amman puis enseigner à l'université de Bagdad", dit-elle.

    A l'époque de Saddam Hussein, qui vouait une haine à l'Etat hébreu et dont les missiles Scud avaient été lancés sur Tel-Aviv en 1991, l'avenir des élèves du département était toute tracée: les services de renseignement.

    Aujourd'hui pourtant, ce n'est plus l'espionnage israélien qui obsède les responsables de la sécurité irakiens, mais le terrorisme.

    "Avant, beaucoup de professeurs et la totalité des élèves travaillaient pour la sûreté nationale mais aujourd'hui les choses ont changé. Nous sommes plus libres, mais les débouchés sont minces", assure Souad Karim, chef du département d'hébreu.

    "Mes études terminées, je frapperai à toutes les portes: le renseignement, les Affaires étrangères et les journaux qui cherchent des traducteurs", confie Ahmad Saadoun, 22 ans.

    Dans un sketch plein d'humour, il répond à un camarade qui lui demande à quoi servent ses études: "A rien, mais au moins pendant quatre ans je fréquente de jolies filles".

    Ils apprennent la grammaire, la littérature, des chansons et la Bible mais aucun n'a rencontré un juif. "Je n'en ai jamais vu. J'utilise internet pour communiquer avec eux mais aucun ne me répond", explique Ahmad.

    Il n'en reste plus dans ce pays où ils ont vécu plus de deux mille ans. La quasi-totalité est partie à la création d'Israël. En 1951, 120.000 Juifs, soit 96% de la communauté d'Irak, avaient émigré vers l'Etat hébreu. Les derniers ont suivi après l'invasion de 2003.

    Pour mettre du baume sur le coeur des élèves, le doyen de la faculté de langues, le professeur Talib al-Qoraishi, titulaire d'un doctorat d'hébreu, assure que c'est un sacré atout.

    "Beaucoup d'entre vous pensent que c'est une perte de temps, mais sachez qu'à travers le monde, ceux qui parlent cette langue occupent des positions très importantes", assure cet homme de 57 ans.

    Les 30 enseignants sont musulmans ou chrétiens et dans la bibliothèque les livres en hébreu sont dans un piteux état faute d'avoir été renouvelés. Il est interdit, selon M. Qoraishi, de s'adresser directement à Israël pour obtenir des manuels et passer par des intermédiaires est onéreux.

    Il rêve de créer un "Musée de la culture juive d'Irak" et insiste pour récupérer les milliers de livres hébraïques retrouvés par l'armée américaine en 2003 dans les caves des services de renseignement de Saddam Hussein et qui sont aujourd'hui entreposés aux Etats-Unis.

    AFP. 12/05/10

  • Benoît XVI entame son pèlerinage à Fatima sous les vivats

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    Arrivée à Fatima
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    Le Pape fait un signe à la foule avant d'entrer dans la chapelle des Apparitions
    (Ciquez sur les photos pour les voir en totalité)

    FATIMA — Le pape Benoît XVI a entamé mercredi après-midi, sous les vivats d'une foule immense, son pèlerinage à Fatima, symbole du Portugal catholique, quelques heures après avoir mis en garde contre les conséquences "dramatiques" d'une perte des valeurs chrétiennes.

    L'hélicoptère de Benoît XVI a atterri à 17H15 (16H15 GMT) au stade municipal de Fatima après avoir survolé à basse altitude le sanctuaire, acclamé par des dizaines de milliers de pèlerins, agitant drapeaux et mouchoirs.

    Le pape s'est aussitôt rendu en papamobile jusqu'à la chapelle des Apparitions, érigée à l'endroit même où, selon la foi catholique, la Vierge est apparue le 13 mai 1917 à trois petits bergers.

    "Ca a valu la peine de marcher huit jours, c'est différent des autres années, les mots me manquent...", confiait José Teixeira, 43 ans, venu à pied de Vila Pouca de Aguiar, à 370 km de Fatima.

    "C'est une grande émotion de le voir si près", abondait Lina Cardoso, déjà présente en mai 2000 lors de la dernière visite de Jean Paul II au sanctuaire.

    Mais, dit-elle, "pour moi, Jean-Paul II reste spécial. Quand il était arrivé ici, l'émotion était plus grande, j'avoue, et il y avait plus de monde, mais je suis persuadée que le sanctuaire sera plein demain", pour la grande messe que doit célébrer le pape à 10H00 (09H00 GMT).

    Accueilli aux cris de "Viva o papa!", Benoît XVI a observé à la Chapelle des Apparitions un temps de recueillement avant de prononcer une prière, à genoux devant la statue de la Vierge à qui il a offert une rose d'or, comme l'avait fait le pape Paul VI, le 13 mai 1967.

    Jean Paul II, convaincu que la Vierge de Fatima lui avait sauvé la vie lors de l'attentat commis contre lui le 13 mai 1981 à Rome, avait offert au sanctuaire la balle qui l'avait grièvement blessé, aujourd'hui enchâssée dans la couronne de la statue.

    Dans sa prière, Benoît XVI a évoqué ces événements: "c'est une profonde consolation pour nous de savoir que tu es couronnée, non seulement avec l'argent et l'or de nos joies et de nos espérances, mais aussi avec le projectile qui symbolise nos préoccupations et nos souffrances".

    Selon la foi catholique, la Vierge aurait révélé aux bergers de Fatima en 1917 trois "secrets", jugés prophétiques de l'Histoire du 20e siècle.

    Mercredi soir, célébrant les vêpres avec plusieurs milliers de membres du clergé portugais, le pape les a appelés à rester "fidèles" à leur "vocation" et à s'"aider réciproquement" à "rester debout".

    "Réservez une attention particulière aux situations d'affaiblissement des idéaux sacerdotaux ou bien au fait de se consacrer à des activités qui ne s'accordent pas complètement avec ce qui est le propre d'un ministre de Jésus Christ", leur a conseillé le pape lors de cette rencontre en l'église de la Très Sainte Trinité, l'une des plus grandes au monde avec 9.000 places assises.

    AFP. 12/05/10

  • Le faux prof de maths abusait des enfants

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Un éboueur de 30 ans a été incarcéré pour s'être livré à des attouchements pédophiles sur des collégiens à qui il donnait de prétendus de soutien en mathématiques près de Toulouse.

    Le suspect, présumé récidiviste, recrutait ses victimes sur un site d'annonces gratuites en proposant des cours à un prix très attractif.

    Il a été engagé par huit familles, qui lui ont confié leur enfant sans se méfier.

    Après avoir découvert des textos à caractère sexuel sur le portable de son fils de 13 ans, une mère a alerté les gendarmes d'Auterive, à 30 km au sud de Toulouse. Les enquêteurs découvriront que le faux prof de maths avait adressé des centaines de messages de ce type aux adolescents, sept garçons et une fille.

    Les cours étaient dispensés à domicile ou dans le du faux professeur, où il a également organisé des soirées avec les collégiens. Au cours de ces soirées, il diffusait des films pornographiques, ponctués de séances de masturbation et de caresses.

    Le pédophile présumé, célibataire et entraîneur dans un club sportif, avait déjà été mis en examen pour des faits similaires. Mais, malgré la demande d'incarcération du parquet, il avait été laissé en liberté sous contrôle judiciaire, avec interdiction de fréquenter des mineurs. Mis en examen pour corruption de mineurs de moins de quinze ans, agressions sexuelles, détention d'images pédo-pornographiques, il a été écroué fin avril.

    Le parisien - 12/05/10

  • Tarascon: le jeune profanateur serait d'une famille maghrébine...

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    Les sept tombes de soldats musulmans avaient été découvertes profanées jeudi dans le cimetière de Tarascon.

    Toute la smala socialiste et ump  était venue jouer les pleureuses devant les caméras de télévisions et les journalistes ameutés  au cimetière de Tarascon par la clique de l’UMPS, Brice Hortefeux,  Michel Vauzelle et la boxeuse Myriam Lamare en tête.
    Discours de circonstance sur le racisme, sur le retour de la bête immonde et patati et patata.
    Puis séances photos, sourires aux lèvres, larmes séchées, avec les « jeunes » du coin….
    Et voilà qu’on apprend aujourd’hui que les méchants profanateurs racistes ne seraient en fait qu’un gamin de 14 ans qui « aurait agit par jeu » et qu’il aurait préféré préféré cibler les plaques musulmanes, plutôt que les croix chrétiennes, plus difficiles à abîmer à coups de pied.

    Mais, ce n’est pas tout, on apprend aussi que le « jeune » serait issu d’une famille… maghrébine.

    Vauzelle, pourquoi tu tousses ?

    NP Info - 11/05/10

  • Affaire "Hors-la-loi" - Communiqué du CNC

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    Roger Holeindre  - (Cliquez sur la photo)
    Communiqué du Cercle national des combattants

    Les anciens soldats du Cercle national des combattants, représentant toutes les dernières générations du feu, guerre de 39-45, Résistance, déportation, Libération, Indochine et Algérie, remercient les patriotes français qui, par leur action énergique, n’ont pas permis que le dernier film de M. Rachid Bouchareb, « Hors La Loi », soit présenté au Festival de Cannes dans la sélection française !

    Le Cercle national des combattants s’élève une fois de plus contre le fait que des hommes, comme le metteur en scène et les principaux acteurs du film, profitent de leur double nationalité pour abuser les Français, culpabiliser notre pays… et caviarder notre histoire nationale, sous prétexte de « faire connaître la vérité ».

    Il est vrai que les auteurs de « ces révisions des événements d’Algérie » trouvent toujours des « historiens patentés », tel M. Benjamin Stora, pour les soutenir d’autant plus « objectivement »… qu’il était hier trotskyste et suppôt des nationalistes algériens !

    A force d’encourager la « créativité » et la libre « vision de l’Histoire » par des détraqués et des individus aux idéaux politiques débiles, mais aidés par la « Commission d’avances sur recettes », en arrivera-t-on à voir un jour un film inspiré de la vie de Jeanne d’Arc… fusillée à Orléans par la Das Reich… et agonisant dans les flammes en criant vive la semaine de 30 heures… et la retraite à 40 ans !

    Comme il s’agira encore de l’argent des contribuables, ne lésinons pas sur le budget… son bucher serait bien sûr entouré par des milliers de « jeunes » qui… se torcheront glorieusement l’arrière train avec des drapeaux tricolores… et hurleront… Nique ta mère ! Nique la France !

    Roger Holeindre
    Président du Cercle national des combattants

    12/05/10

  • Benoît XVI à Lisbonne dénonce la culture actuelle

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    Le Pape à Lisbonne le 12 mai - (Cliquez sur la photo)

    LISBONNE — Le pape Benoît XVI a plaidé mercredi en faveur des "valeurs" chrétiennes et d'une "saine tradition" au deuxième jour de son voyage au Portugal, pays catholique qui s'apprête à autoriser le mariage homosexuel, avant de s'envoler pour Fatima, "coeur" de son pèlerinage.

    Intervenant devant 1.500 intellectuels réunis à Lisbonne, Benoît XVI a dénoncé la culture actuelle qui "absolutise le présent, le détachant du patrimoine culturel du passé et sans l'intention de tracer les contours d'un avenir".

    Présentant l'Eglise comme "le grand défenseur d'une saine et haute tradition", il a mis en garde contre le risque, pour "le peuple", de "se perdre dans le labyrinthe du temps et de l'histoire, privé des valeurs clairement établies et sans grands buts clairement énoncés".

    Citant en exemple "les inquiétudes et les attentes de l'âme portugaise au milieu des turbulences de la société d'aujourd'hui", le pape a estimé que, pour un pays majoritairement catholique, "la tentative de trouver la vérité en dehors de Jésus Christ s'avère dramatique".

    Une heure à peine après avoir prononcé son discours, Benoît XVI recevait le Premier ministre socialiste José Socrates qui, en janvier dernier, avait défendu, en personne, devant le parlement la loi autorisant le mariage homosexuel, destinée selon lui à "réparer des décennies d'injustices faites aux homosexuels".

    A l'issue d'une brève audience de 30 minutes, M. Socrates s'est félicité de cette "conversation très agréable" avec "son éminence", titre réservé normalement aux cardinaux.

    De son côté, Benoît XVI devait quitter Lisbonne à 16H40 (15H40 GMT) pour gagner en hélicoptère la ville de Fatima, où l'attendent déjà des dizaines de milliers de personnes dans le cadre du traditionnel pèlerinage du 13 mai, commémorant la première apparition de la Vierge, en 1017, à trois petits bergers, Jacinta, Francisco et leur cousine Lucie.

    Selon la foi catholique, la Vierge aurait révélé à ces enfants, au cours d'apparitions répétées, "trois secrets" jugés "prophétiques" de l'histoire du 20e siècle.

    Si les deux premiers "secrets" étaient connus depuis le début des années 40, le troisième n'a été rendu public qu'en mai 2000 lors de la dernière visite de Jean Paul II à Fatima, la hiérarchie catholique "révélant" alors qu'il annonçait l'attentat contre le pape en mai 1981 sur la place Saint-Pierre de Rome.

    Mardi matin, dans l'avion qui l'amenait au Portugal, Benoît XVI avait élargi "l'interprétation" de ce secret à la lumière de l'actuelle crise de l'Eglise, en disant qu'"en plus de cette grande vision de la souffrance du pape", le message de Fatima faisait aussi référence aux "réalités de l?avenir de l'Eglise qui peu à peu se développent et se manifestent".

    "Il est vrai qu'au-delà de la personne du pape, ce sont des souffrances de l'Eglise qui sont annoncées", a déclaré Benoît XVI, se référant à la crise qui secoue l'Eglise depuis le début des révélations sur les cas de pédophilie dans le clergé, et surtout sur l'"omerta" de la hiérarchie ecclésiastique qui s'est poursuivie pendant des années.

    "Concernant les nouveautés que nous pouvons découvrir aujourd'hui dans ce message, a encore dit Benoît XVI, il y a aussi le fait que les attaques contre le pape et l?Eglise ne viennent pas seulement de l'extérieur mais que les souffrances de l?Eglise viennent précisément de l?intérieur de l'Eglise, du péché qui existe dans l'Eglise".

    Commentant ces déclarations faites juste avant son arrivée au Portugal, le quotidien de référence portugais Publico estimait mercredi que "Benoît XVI a voulu "régler" dès le début une polémique qu'on devinait susceptible d'assombrir son voyage".

    Confirmant sa volonté de faire baisser la pression, Benoît XVI s'est autorisé mercredi matin une entorse au protocole, fait rarissime en cinq ans de son pontificat.

    Selon le site officiel de la visite (www.bentoxviportugal.pt), le pape a "rompu le protocole et les règles de sécurité" en sortant de sa limousine blindée pour aller saluer des enfants. "Ca a été le délire", a assuré l'évêque auxiliaire de Lisbonne Carlos Azevedo, cité par le site.

    AFP. 12/05/10

  • Crash en Libye: 103 morts, un enfant de 8 ans seul survivant

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    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

    Cent trois personnes en provenance de Johannesburg sont mortes mercredi matin à Tripoli dans le crash d'un Airbus A330 d'une compagnie libyenne, un accident à l'atterrissage qui a fait un seul rescapé, un enfant de huit ans.

    "Nous écartons de manière définitive l'hypothèse que le crash soit le résultat d'un acte terroriste", a déclaré à la presse le ministre des Transports libyen Mohamed Zidane.

    "Il y avait 104 personnes à bord, 93 passagers et 11 membres d'équipage", a-t-il précisé, ajoutant que "96 victimes" avaient jusqu'ici été retrouvées.

    Un garçon néerlandais de huit ans est le "seul survivant", a poursuivi le ministre, notant encore que les boîtes noires avaient été récupérées.

    L'enfant a été hospitalisé à Tripoli et "ses jours ne sont pas en danger", selon le responsable libyen.

    Une source médicale a indiqué qu'il avait "perdu beaucoup de sang", et qu'il subissait une opération pour des fractures aux jambes. Mais elle a également noté qu'il était hors de danger.

    A La Haye, la Fédération nationale du tourisme (ANWB) a confirmé qu'un enfant néerlandais avait survécu, au contraire de 61 autres ressortissants. Plus prudent, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères a affirmé que la nationalité du garçon était à confirmer.

    Le ministre Zidane a souligné que les nationalités des passagers seraient précisées "dans la journée".

    Selon une source au sein de la compagnie aérienne, deux Allemands se trouvaient à bord. Londres a de son côté annoncé qu'il étudiait "de manière urgente" les informations sur la présence de Britanniques.

    L'avion d'Al Afriqiyah s'est écrasé à 06H00 (04H00 GMT) à son atterrissage. L'A330, un appareil neuf, avait été acquis en septembre 2009, selon M. Zidane.

    Les membres de l'équipage étaient tous de nationalité libyenne, selon une source aéroportuaire.

    "L'avion a pris feu juste avant l'atterrissage", selon une source au sein des services de sécurité de l'aéroport.

    Selon un journaliste de l'AFP, l'appareil s'est entièrement disloqué et des milliers de débris étaient éparpillés sur une vaste zone, à 500 m environ du bout de la piste d'atterrissage.

    L'arrivée du vol d'Al Afriqiyah était annoncée pour 06H10 (04H10 GMT) à l'aéroport, situé à une vingtaine de kilomètres de Tripoli.

    D'après le journaliste de l'AFP, les conditions météorologiques étaient bonnes à ce moment-là.

    L'entreprise chargée de gérer les affaires d'Al Afriqiyah en Afrique du Sud a relevé que l'avion avait passé tous les contrôles de sécurité avant le départ. "La compagnie avait un bon bilan en terme de sécurité", a déclaré Charmaine Thomé, directrice pour l'Afrique australe du groupe allemand Aviareps, spécialisé dans le transport aérien et le tourisme.

     

    AFP. 12/05/10

  • Un communiqué de l'AGRIF - Racisme anti-français

    Sur plainte de l’AGRIF devant le tribunal de Toulouse, Madame Houria Bouteldja,  présidente de l’association dénommée « Indigènes de la République », a été mise en examen pour avoir proféré une injure raciale à l’égard des Français. Il s’agissait de l’emploi très méprisant et péjoratif du terme « souchiens ».

     Le juge d’instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c’est-à-dire celui de son lieu de domicile.

     Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.

     Par ailleurs, la procédure contre le livre « Nique la France » édité par l’association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti-française est en cours.

     AGRIF                                                             

    70 Bd Saint Germain 

    75005     PARIS                

    Tél: 01.40.46.96.31               

    Fax: 01.40.46.96.47                   

    www.agrif.fr                   

    agrif@wanadoo.fr    

    Le 11/05/10

     

      

  • Carla Bruni confie ses secrets d'alcôve à Michelle Obama

    Un journaliste américain, le plutôt sérieux (d’ordinaire) Jonathan Alter prétend avoir la réponse à l’une des questions que nous nous posons tous: mais que se racontent donc les «premières dames» quand elles se rencontrent en privé, comme dernièrement encore dans les appartements des Obama à la Maison Blanche, loin des yeux et oreilles des journalistes. Et bien voilà: selon Jonathan Alter, dans son livre The Promise : President Obama, Year One, à paraître le 18 mai aux Etats-Unis, Carla Bruni aurait raconté à Michelle Obama avoir déjà fait attendre un important chef d’Etat (la Reine d’Angleterre, spéculent déjà les médias britanniques tout émoustillés) parce qu’elle était occupée à faire l’amour avec Nicolas Sarkozy. «Bruni voulait savoir si, comme les Sarkozy, Michelle et le président ont déjà fait attendre quelqu’un de cette façon, écrit Jonathan Alter dans son livre. Michelle a eu un petit rire nerveux et a répondu non.» Toujours selon l'auteur, Carla Bruni se serait aussi amusée à «raconter à des amis comment elle avait choqué Michelle Obama lors de leur première rencontre» en racontant que «la pression des affaires de l'Etat empêchaient son mari de lui faire l'amour autant qu'elle le voudrait.»

    "L’information" est déjà très reprise aux États-Unis, où précédemment on s’était déjà pas mal intéressé aux "rumeurs" sur les à-côtés conjugaux des Sarkozy. Et pour une fois, les commentaires des internautes américains sont souvent plutôt admiratifs de notre couple présidentiel : «Pourquoi ne pouvons-nous pas avoir des hommes politiques comme celui-ci dans notre pays. Il a mon vote», lit-on par exemple sur le site du Huffington Post. Ou encore : «J’aime les Français et Miss Bruni. Ils ont leurs priorités claires. La Reine n’est pas importante. Elle peut attendre!», «J’aime les Français, de plus en plus chaque jour». Merci à Jonathan Alter et à Carla Bruni, ce n’est pas tous les jours qu’on apprécie les Français à leur juste valeur sur le web américain...

    Great America - L'Amérique découverte par la correspondante de Libération à Washington, Lorraine Millot - 10/05/10

  • Cour suprême: Obama nomme une "progessiste"

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    Elena Kagan, 50 ans , née à New York City, de religion juive
    Le président a choisi Elena Kagan, brillante juriste progressiste, pour remplacer le juge démissionnaire John Paul Stevens. Un pas de plus dans la féminisation de cette institution cruciale.
    Le Figaro - 11/05/10

  • Photos printanières de Polanski

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    Blick.ch - 06/05/10

  • Bébé handicapé: gynécologue condamné

    Un gynécologue de Nancy a été condamné par la Cour d’appel à 15.000 euros pour dommage moral pour avoir fait perdre à sa patiente une "chance d’interrompre sa grossesse" faute d’information, a-t-on appris mardi de l’avocat de la plaignante.

    Celle-ci, âgée de 32 ans, a accouché en 2003 d’un enfant très lourdement handicapé, après avoir fait plusieurs fausses couches dans le passé. "Or, ces fausses couches révèlent souvent une anomalie génétique", a expliqué son avocat, Me Gérard Michel.

    "Lorsqu’on a des suspicions, le gynécologue doit prescrire un caryotype, c’est-à-dire une recherche d’anomalies génétiques", a-t-il poursuivi.

    Le gynécologue, qui avait conseillé cet examen avant la grossesse, l’avait toutefois estimé inutile après la conception de l’enfant, "considérant qu’il n’y avait alors plus de problème", précise Me Michel.

    En première instance, en 2007, le tribunal de grande instance de Nancy avait refusé d’indemniser la mère de l’enfant, "arguant que l’on ne peut se prévaloir d’un préjudice du fait de la naissance", explique Me Michel.

    Le Figaro - 11/05/10

  • Un étudiant juif assassiné en Ukraine

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    Kiev  - (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    Un étudiant Chabad a été assassiné en Ukraine il y a deux semaines, et son corps a été retrouvé découpé en dix morceaux. La police ukrainienne penche pour des motifs antisémites, l’histoire a été publiée dans les medias samedi soir.
     
    Des sources d’information religieuses orthodoxes rapportent que la victime, Aryeh Leib Misinzov zal était un étudiant de 25 ans fréquentant la Yeshiva Loubavitch de Kiev.
     
    La police a retrouvé les morceaux du corps de Misinzov dans la banlieue de Kiev. Apparemment, il a été enlevé et assassiné par un membre d’un gang le jour de l’anniversaire d’Hitler. Le chef du gang en question est pour le moment interrogé par la police de Kiev.
     
    Selon des sources Chabad, le grand Rabbin d’Ukraine, Rabbi Moshe Reuvein Asman, était en Israël au moment du meurtre, et a écourté son voyage afin d’organiser la récupération et l’enterrement du corps.
    Juif.org -11/05/10

  • Israël célèbre le 43ème anniversaire de la "réunification" de Jérusalem

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    JERUSALEM — Israël célèbre à partir de mardi soir le 43ème anniversaire de la "réunification" de Jérusalem, terme israélien désignant l'annexion de la partie arabe de la ville en juin 1967 après sa conquête lors de la guerre israélo-arabe la même année.

    Cette annexion de facto a été complétée par le vote, le 30 juillet 1980, d'une "loi fondamentale" proclamant Jérusalem "réunifiée et capitale éternelle d'Israël".

    Des cérémonies officielles doivent se dérouler mardi soir et mercredi à Jérusalem, en présence des principales personnalités de l'Etat hébreu.

    Par ailleurs, des concerts se dérouleront en plein air dans la partie ouest de la ville, avec notamment la présence de musiciens venus de l'étranger, comme le groupe américain de funk Kool and the Gang.

    Comme chaque année, des milliers de personnes, en majorité des juifs nationalistes religieux, participeront mercredi à une marche à travers la ville en direction du Mur des lamentations, situé dans la Vieille ville et l'un des lieux les plus sacrés du judaïsme.

    L'annexion de Jérusalem-Est, suivie par des constructions massives de quartiers de colonisation, n'a jamais été acceptée par la communauté internationale.

    La question de Jérusalem est l'une des principales pierres d'achoppement des pourparlers entre Israël et les Palestiniens.

    Les Palestiniens veulent faire de Jérusalem-Est la capitale de leur futur Etat tandis que les Israéliens considèrent la ville dans son ensemble comme leur capitale "éternelle et indivisible".

    AFP. 11/05/10

  • Près de 150 tombes profanées à Noisy-le-Sec - Il paraîtrait que ce sont des voleurs de ferraille...

    Cimetière de Noisy-le-sec.gif

    Près de 150 sépultures ont été vandalisées, dans la nuit du 6 au 7 mai, dans l’ancien cimetière communal de Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis).

    Selon les premiers éléments de l’enquête, les malfrats ont escaladé un grillage avant d’arracher diverses ornementations et objets métalliques posés ou fixés sur les tombes. « Les faits ont été découverts vendredi dernier au matin par un employé de la ville, confie une source proche de l’affaire. L’alerte a été donnée rapidement. Les policiers n’ont pu que constater les dégâts. » Après une fouille des lieux, l’ensemble des objets volés a été retrouvé, entreposé en tas à proximité du monument aux morts.



    « Les voleurs ont peut-être été dérangés au
    de la nuit, forcés de quitter les lieux, ajoute la même source. Les objets arrachés sont constitués de ferraille sans véritable valeur, autre que sentimentale pour les proches des personnes inhumées. Des vols insolites, comme par exemple des câbles contenant du cuivre dont la valeur a explosé ces dernières années ont déjà été signalés, mais de la ferraille dans un cimetière, c’est une triste première… Cette tentative de vol demeure assez incompréhensible. »
    Sollicitée, hier, la maire de la commune, Alda Pereira Lemaitre, a confirmé que « près de 150 tombes avaient été vandalisées ». Selon nos informations, plusieurs empreintes digitales et des traces de sang ont été relevées sur des objets touchés par les voleurs. « Les auteurs de cette tentative de vol se sont apparemment blessés en dégradant des stèles, indique un proche de l’affaire. Des analyses sont en cours. Plusieurs empreintes génétiques pourraient être identifiées et permettre de remonter jusqu’aux auteurs de ces faits. » Les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine de Noisy-le-Sec poursuivent leurs investigations.
    Le parisien - 11/05/10
  • Voile intégral: sécurité renforcée à l'Assemblée pour l'examen de la résolution

    L' a renforcé mardi les mesures de sécurité à l'entrée ainsi qu'à l'intérieur du Palais-Bourbon en raison de l'examen de la résolution parlementaire contre le port du voile intégral.

     Le personnel chargé de la sécurité, accompagné de chiens anti-explosifs, a ainsi fouillé l'hémicycle, les tribunes et les couloirs et les toits de l'Assemblée en début d'après-midi. Les visiteurs étaient toutefois admis, comme d'habitude, à l'intérieur du Palais-Bourbon.

    Mardi, les députés examinent en effet une résolution stipulant que le voile intégral est contraire aux valeurs républicaines. Cette étape est assez consensuelle puisque la majorité et les députés et PRG voteront la proposition de résolution . Seuls les députés PCF -à l'exception d'André Gerin, à l'intiative de la commission d'enquête parlementaire sur le voile intégral- refusent cette «opération de politique politicienne» qui stigmatise les musulmans. De plus, la résolution, nouvelle procédure parlementaire issue de la révision constitutionnelle de 2008, n'a pas force de loi ni pouvoir contraignant. 
     

    Le mercredi 19 mai, le projet de loi du gouvernement sera présenté en Conseil des ministres. Le texte actera l'interdiction du port du voile intégral dans tout l'espace public, y compris dans la rue. Il stipulera que «nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage» sous peine d'une amende de 150 euros.  

    Le texte sera ensuite examiné par les députés en juillet. En cas d'approbation, la France deviendrait le deuxième pays européen après la Belgique à interdire le voile intégral dans tout l'espace public.

    Le parisien avec AFP- 11/05/10








     
  • Conductrice de bus agressée à Aulnay: une quatrième jeune femme interpellée

    La quatrième personne soupçonnée d'être le principal agresseur de la conductrice de bus frappée dimanche soir à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a été interpellée et placée en garde à vue lundi soir. Agée de 18 ans, cette jeune femme originaire d'Aulnay-sous-Bois devrait être déférée au parquet ce mardi soir.

    Selon une source proche de l', elle a reconnu avoir les faits.

     

    Dimanche soir, à Aulnay-sous-Bois, une conductrice de bus de la compagnie TRA qui dessert 24 des 40 communes de Seine-Saint-Denis avait été rouée de coups parce qu'elle avait refusé de déposer ses «passagères» dans un secteur ne correspondant pas à l'itinéraire.

    Blessée, elle a été emmenée par les secours aux urgences où elle a reçu la visite du nouveau préfet, Christian Lambert. Elle a pu rentrer chez elle en fin de soirée, en état de choc. La circulation sur la ligne 610 a aussitôt été interrompue. Les autres bus sont rentrés au dépôt dans la foulée, à Villepinte, où s'est tenu un Comité d'hygiène et de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) extraordinaire. Ce mardi, le trafic a repris mais uniquement jusqu'à 19 heures.

    Trois mineures suspectées d'avoir participé à l'agression avaient été arrêtées dans un premier temps puis relâchées.

    Le Parisien - 11/05/10

  • Benoît XVI: la persécution de l'Eglise vient d'elle-même

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    Le pape a affirmé mardi au début d'une visite au Portugal que la plus grande souffrance de l'Eglise ne venait pas d'"ennemis extérieurs", mais de son propre "péché", dans sa référence la plus forte à ce jour à la des scandales de pédophilie au sein du clergé
    "Nous l'avons toujours su mais nous voyons aujourd'hui de façon beaucoup plus terrifiante que la plus grande persécution de l'Eglise ne vient pas d'ennemis extérieurs mais naît du péché de l'Eglise", a déclaré le pape dans l'
    qui le conduisait au Portugal.

    "Les attaques contre l'Eglise et le pape ne viennent pas seulement de l'extérieur, les souffrances viennent de l'intérieur de l'Eglise, du péché qui existe dans l'Eglise", a-t-il insisté devant les journalistes.
    L'Eglise a "un profond besoin" d'"apprendre le pardon et aussi la nécessité de la justice", a poursuivi Benoît XVI, soulignant que "le pardon ne remplace pas la justice".
    Benoît XVI répondait à une question à propos de la cascade de révélations sur des crimes de pédophilie commis par des prêtres et religieux qui éclabousse l'Eglise en Europe, mais aussi en Amérique du nord et latine depuis plusieurs mois.
    Arrivé en fin de matinée à Lisbonne, première étape d'un "pélerinage" de quatre jours au Portugal, le pape espère trouver, dans ce pays de forte tradition catholique, soutien et réconfort pour l'Eglise face à la tourmente.
    En dehors d'un voyage éclair mi-avril sur la petite île de Malte, c'est la première fois, depuis le début du scandale, que Benoît XVI pourra tester, hors du Vatican, la ferveur de ses fidèles.
    Dans un discours à l'aéroport, le président portugais Anibal Cavaco Silva a rappelé les "relations multi-séculaires" entre l'Eglise et le Portugal où, a-t-il dit, "la séparation entre l'Eglise et l'Etat cohabite avec les marques profondes de l'héritage chrétien".
    Benoît XVI a quant à lui insisté sur le fait que les questions éthiques et spirituelles n'étaient pas "du "domaine privé", alors que le Portugal s'apprête à autoriser le mariage homosexuel, trois ans après avoir dépénalisé l'avortement.
    "La considération essentielle du sens humain de la vie ne se réduit pas au domaine privé", a-t-il déclaré devant le chef de l'Etat portugais, catholique pratiquant, qui doit promulguer avant le 17 mai la loi sur le mariage homosexuel, votée en février dernier.
    Après l'aéroport, le pape a rejoint à bord de sa papamobile la Nonciature apostolique, située au centre-ville. Le long des 8 km du trajet, des dizaines de milliers de personnes étaient massées, criant "Viva o Papa!" (Vive le pape!)
    La première des trois grandes messes en plein air du séjour du pape au Portugal est prévue en fin d'après-midi sur le Terreiro do Paço, immense place de la capitale portugaise, en bordure du Tage.
    Le gouvernement socialiste portugais n'a pas ménagé son soutien à cette "visite d'Etat" et a accordé, malgré la crise budgétaire, un congé exceptionnel aux fonctionnaires de Lisbonne pour leur permettre d'y assister.
    Jeudi, les agents de l'Etat, à travers tout le pays, seront de nouveau en congé pour pouvoir participer aux célébrations de Fatima, symbole du Portugal catholique.
    Benoît XVI, lui-même, a rappelé que la ville-sanctuaire était sa "principale destination, à l'occasion du dixième anniversaire de la béatification des petits bergers Jacinta et Francisco".
    Le 13 mai 1917, ces deux enfants de 7 et 10 ans et leur cousine Lucie auraient, selon l'Eglise, vu la Vierge qui leur aurait ensuite révélé, au cours de nouvelles apparitions, des "secrets" jugés prophétiques de l'histoire du 20e siècle.
    Benoît XVI quittera le Portugal vendredi après-midi après une dernière messe en plein air, à Porto.
    Le Parisien - 11/05/10