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  • Polanski: Jack Lang interpelle la Suisse

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    L'ancien ministre de la Culture socialiste Jack Lang estime aujourd'hui dans une interview au Parisien que "la Suisse s'honorerait en libérant Roman Polanski", actuellement assigné à résidence à Gstaad dans l'attente d'une éventuelle extradition vers les Etats-Unis.

    "Je n'ai pas de leçon à donner au gouvernement suisse, mais je souhaite qu'on puisse obtenir de la ministre de la Justice qu'elle se penche sur ce dossier dans un esprit de sérénité et de sagesse", déclare Jack Lang.

    Pour l'ancien ministre, "le dossier est mal fichu et révèle une manipulation politicienne aux Etats-Unis". Interrogé sur les nouvelles accusations d'abus sexuels portées par l'actrice britannique Charlotte Lewis à l'égard du cinéaste, Jack Lang estime qu'"il ne faut pas se laisser gruger". "Ce nouvel épisode renforce le sentiment de manipulation", ajoute-t-il.

    Le député du Pas-de-Calais indique également être en contact "souvent au téléphone" avec Roman Polanski. "J'irai très prochainement le voir à Gstaad. Il est très courageux, mais il est évidemment très affecté", déclare-t-il.

    Roman Polanski est assigné à résidence en Suisse dans l'attente d'une éventuelle extradition, après son arrestation en septembre dernier sur mandat américain pour une affaire de "relations sexuelles illégales" avec une mineure, survenues en 1977.
    Vendredi, l'actrice britannique Charlotte Lewis l'a accusé de l'avoir "abusée sexuellement" au début des années 80, alors qu'elle était âgée de 16 ans.
    Le Figaro - 16/05/10

  • La Grèce victime des banques américaines

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Le Premier ministre grec Georges Papandréou a déclaré ce dimanche que les banques américaines avaient "une grande responsabilité" dans la crise grecque, dans une interview pour l'émission "Fareed Zakaria GPS" sur la chaîne américaine CNN

    Lorsque le présentateur Fareed Zakaria lui a demandé s'il pensait que la Grèce avait été "victime" des banques d'investissement américaines, Georges Papandréou a répondu : "Oui, je crois que le secteur financier, pour lequel j'ai entendu les mots fraude et manque de transparence, a une grande responsabilité". 

    Le premier ministre n'a pas exclu une action en justice contre des établissements américains, rappelant qu'"une commission parlementaire grecque était en train d'enquêter sur le passé, pour voir comment les choses avaient pris une mauvaise direction et comment des méthodes négatives ont été appliquées". 

    Il a également rappelé que des enquêtes similaires étaient en cours "dans d'autres pays", dont les Etats-Unis. 

    Le Figaro - 16/05/10

  • Le curé de Vergèze a eu beaucoup de chance

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    Eglise de Vergèze (Gard)

    Un homme encagoulé et armé, qui s’était introduit par surprise dans le presbytère pour voler les économies du curé, s’est retrouvé à confesse avec l’homme d’Eglise qui l’a amené à réciter le « Notre Père ».

    Il n’a pas eu le temps d’avoir peur et il ne veut surtout pas porter plainte.

    Pour l’abbé Bastidon, il faut savoir pardonner et il est hors de question de s’émouvoir de son agression. D’ailleurs, il ne comprend pas qu’on s’intéresse à son affaire : « On ne va pas en faire un et il n’y a rien d’héroïque », déclare le prêtre.
    Dimanche dernier, vers 17 heures, dans le presbytère de l’église de Vergèze (Gard), « un homme armé et muni d’une cagoule a fait irruption dans ma pièce de travail. Il a crié : Je veux de l’argent ou je tire.  Après un instant de surprise, je l’ai tutoyé et lui ai demandé : Que veux-tu ? Quelles sont tes motivations ?  J’ai rapidement ressenti qu’il s’agissait d’une personne qui avait des troubles psychologiques. Pour moi, il n’est pas venu simplement pour
    , il avait besoin de parler, de se confier. L’argent n’était pas sa véritable motivation. Il y avait quelque chose d’illogique, car tout le monde sait qu’un prêtre n’a pas d’argent », explique posément le curé, derrière le bureau où il a reçu cette visite imprévue le week-end dernier. 
    Rapidement, le prêtre se sent à l’étroit dans cette petite pièce et il entraîne son agresseur à l’extérieur : « Viens, on va sortir, on va discuter dehors. » Une scène surréaliste se déroule alors sur le banc du jardin entre l’homme de foi à la carrure de pilier de
    et l’individu petit et frêle mais toujours armé et encagoulé. « Je ne peux pas et ne veux pas vous raconter notre échange, cela fait partie du secret que doit garder un prêtre. Il m’a parlé de lui, de ses problèmes. Au bout d’un moment, on a prié ensemble, on a récité le Notre Père », affirme l’abbé Bastidon.
    Puis l’homme a voulu partir. Il s’est levé pour se diriger vers le mur qu’il avait sauté une demi-heure avant. « Je lui ai dit : Tu ne peux pas partir comme cela, donne-moi ton arme.  Il a refusé. Par contre, il a enlevé sa cagoule. J’ai ouvert le portail et il a filé », poursuit l’abbé.
    Une interrogation a tenaillé l’homme d’Eglise ce soir-là. « Avertir la gendarmerie, c’était trahir sa confiance. Mais le laisser en liberté avec une arme dans les mains, c’était faire courir à d’autres un danger potentiel. Je savais qu’en le dénonçant, il allait être poursuivi en justice, et que la place de cet homme fragile n’est pas en prison », ajoute-t-il, ému à cette idée.
    Finalement, le prêtre a prévenu les gendarmes et l’agresseur a rapidement été interpellé. « Mon client est très tourmenté, à 33 ans, il a déjà dix-huit condamnations, il souffre de problèmes psychiatriques graves », note son avocat, M e Ludovic Para. Les raisons de ce braquage à l’église ? L’homme aurait déclaré aux enquêteurs qu’il avait besoin d’argent pour payer un avocat afin de poursuivre des personnes qui auraient abusé de lui plus jeune. L’agresseur a été écroué, il sera jugé en correctionnelle le 8 juin.
    Le Parisien - 16/05/10
    Ndb: Fin avril, le Père Hugues Madesclaire, 42 ans, était découvert égorgé dans son presbytère à Marseille (9ème). La thèse du suicide a prévalu sur celle du meurtre.
  • Parade de l'OM à Marseille: violentes échauffourées

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    Le maire entouré de Mamadou Niang (G) et de Taye Taiwo (D) -16 mai 2010 -
    (Cliquez sur la photo pour la voir entotalité)
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    Sur le Vieux-Port  - 16 mai 2010
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    Le centre ville, à 18 heures

    18 h04: Des échauffourées se déroulent actuellement en bas de La Canebière, entre des supporters et les forces de l'ordre. Divers projectiles ont été lancés sur les CRS, ça court dans tous les sens. Des containers de poubelles ont été enflammés sur la place du général De Gaulle, ce qui provoque une épaisse fumée noire. Les pompiers sont en train d'intervenir pour les éteindre.

    La fête pour le titre de champion de l'OM n'en finit pas de dégénérer... Actuellement, de violentes bagarres ont lieu rue St-Ferréol. Des plaques d'égouts ont été retirés, des objets volent de part et d'autre. Sous la pression des forces de l'ordre, les incidents devraient glisser vers le secteur de la préfecture.

    La Provence - 16/05/10

  • L'Iran a tenu sa parole - Clotilde Reiss remercie Sarkozy et rend hommage à ses codétenus

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    Avec son père (G) à l'Elysée, dimanche 16 mai 2010  - (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Clotilde Reiss, universitaire française rentrée à Paris dimanche après avoir été retenue dix mois en Iran , a remercié Nicolas Sarkozy pour avoir "défendu" son "innocence". Le chef de l'État venait de la recevoir à l'Élysée une vingtaine de minutes, de 13h15 à 13h35 environ, avec son père et ses deux frères. Carla Bruni-Sarkozy a également assisté à l'entretien, ainsi que Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères, et Bernard Poletti, l'ambassadeur de France en Iran.

    Clotilde Reiss a ajouté lors de sa déclaration dans la cour du Palais présidentiel vouloir rendre hommage aux détenus qui étaient avec elle pendant un mois et demi à la prison d'Evin en Iran. "Ils m'ont traitée comme une soeur". Clotilde Reiss a rendu "tout particulièrement hommage" à "deux hommes qui étaient à mes côtés lors du procès que vous avez vu à la télévision et qui ont été exécutés", a-t-elle dit aux journalistes . "Je suis bouleversée par leur histoire. Mes pensées se tournent vers eux".

    Sarkozy salue "la dignité exemplaire" de Reiss

    La jeune femme était arrivée un peu auparavant à l'aéroport militaire de Villacoublay (Yvelines), à bord d'un Falcon 7X du gouvernement français, qu'elle avait pris à Dubaï, où elle avait fait escale, en provenance de Téhéran. "Après le retour en France de Clotilde Reiss, le président de la République exprime sa grande joie et celle de tous nos compatriotes", a affirmé un communiqué de l'Elysée. Le président Sarkozy "remercie tout particulièrement le président du Brésil, (Luis Ignacio) Lula da Silva, le président du Sénégal Abdoulaye Wade, et le président de la Syrie Bachar al Assad, "pour leur rôle actif" dans la libération de Clotilde Reiss .

    Selon Nicolas Sarkozy, toujours cité par l'Elysée, "Clotilde Reiss était retenue injustement en Iran depuis 2009. Elle a fait preuve tout au long de sa détention, puis de sa liberté conditionnelle à l'ambassade de France (à Téhéran), d'un courage et d'une dignité exemplaires". Après son entretien avec le chef de l'Etat, Clotilde Reiss a rejoint la résidence Marigny, tout près de l'Elysée, où elle doit se reposer toute la journée. Cette résidence accueille habituellement les chefs d'Etat et de gouvernement étrangers en visite en France.

    La jeune fille avait été détenue en Iran à partir du 1er juillet, accusée d'atteinte à la sécurité nationale de ce pays après avoir assisté à des manifestations à Ispahan (centre), avant d'être libérée sous caution à la mi-août, avec obligation de résider à l'ambassade de France.

    Le Point - 16/05/10

  • Le CRIF dénonce les propos "scandaleux" d'un évêque polonais sur la Shoah

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    Mgr Tadeusz Pieronek

    PARIS (EJP)---Le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF) a dénoncé les déclarations "scandaleuses" d’un évêque polonais qui a déclaré que "la Shoah en tant que telle est une invention juive" à deux jours du 65e anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz.

    Mgr Tadeusz Pieronek, ancien secrétaire et ex-porte-parole de l'épiscopat polonais, a tenu ces propos sur un site catholique traditionaliste italien.

    Il affirme que " la Shoah est "utilisée comme une arme de propagande et pour obtenir des avantages souvent injustifiés".

    Pour le CRIF, cette déclaration scandaleuse a été prononcée quelques jours après les propos réitérés par Mgr Richard Williamson.

    Il y a un an, Mgr Williamson, un évêque de la fraternité Saint-Pie X (FSPX) avait provoqué un tollé en déclarant « je crois que les chambres à gaz n'ont pas existé ».

    Dans une vidéo postée le 14 janvier 2009 et repérée par le quotidien La Croix, il affirmait, à propos de son procès en Allemagne pour « incitation à la haine raciale » : « C'est de l'excitation raciale, parce que j'ai mis en question les 6 millions de juifs gazés, et le mettre en question c'est un crime selon le droit allemand, donc ils m'attaquent.

    "Les positions de Mgr Pieronek et de Mgr Williamson sont très minoritaires : les Églises de France et d’Allemagne se sont élevées avec vigueur contre ce genre de propos et elles continueront certainement de le faire et le CRIF espère que l’épiscopat polonais réagira à cette déclaration".

    Le CRIF dit garder sa confiance sur la poursuite et le renforcement du dialogue judéo-catholique "malgré les difficultés actuelles".

    EJP - 26/01/10

  • Pologne: deux interpelletions pour insultes antisémites lors d'une match

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    VARSOVIE (AFP)---La police polonaise a annoncé vendredi avoir interpellé deux jeunes hommes âgés de 18 ans, soupçonnés d'avoir déployé lors d'un match de football des bannières à caractère antisémite et menaçant.  

    La police a "interpellé deux habitants de Rzeszow (sud-est) âgés de 18 ans.
     
    Selon les images des caméras de surveillance, ils sont responsables d'avoir déployé les bannières avec des slogans antisémites, selon un communiqué de la police qui n'a pas exclu d'autres interpellations dans cette affaire.
      
    Samedi dernier, une immense toile portant la caricature d'un juif coiffé d'une kippa, insérée dans un cercle rouge barré de rouge, symbolisant généralement une action ou un objet interdit, a été déployée lors d'un match de deuxième division polonaise.
      
    La kippa était bleue et blanche, aux couleurs de Stal Rzeszow, l'équipe qui affrontait samedi le club rival local de Resovia.
      
    Une autre bannière, portant une insulte antisémite et une menace apparemment destinée à l'équipe Stal Rzeszow, était déroulée plus haut dans les tribunes.
      
    Le parquet de Rzeszow a ouvert une enquête destinée à déterminer si cet incident peut être qualifié d'insulte raciste contre des personnes sur la base de leur nationalité ou origine ethnique.
      
    Une autre enquête a été ouverte par les services disciplinaires de la fédération polonaise de football.
      
    Cet incident intervient alors que la Pologne se prépare à accueillir l'Euro-2012 avec l'Ukraine.
    EJP - 14/05/10
      
  • Jérusalem-Est: toutes les maisons illégales seront rasées

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    Toutes les maisons construites de manière illégale à Jérusalem seront démolies dans les prochains jours. C'est ce qu'a fait savoir le ministre de la Sécurité intérieure, Itzhak Aharonovitch, mercredi.

    Aharonovitch répondait à une question du député Likoud Yariv Levin, qui se plaignait de voir la municipalité de Jérusalem ignorer les ordres de démolition prononcés contre les habitations arabes de Jérusalem-Est. Selon le ministre, les ordres ont été suspendus pour des raisons diplomatiques, mais ils seront mis en application très prochainement. "A certains moments, le gouvernement a estimé que le temps était inapproprié, en raison du processus diplomatique. Les ordres n'ont cependant pas été annulés, seulement reportés. Reports qui ne sont aujourd'hui plus d'actualité", a précisé Aharonovitch.

    "Encore une question de politique"

    Un certain nombre d'activistes opposés aux démolitions ont immédiatement condamné les remarques du ministre. Pour eux, une telle politique consiste simplement à maintenir le statu quo et risque même de porter atteinte aux nouvelles négociations indirectes de paix.

    "Le fait que ces maisons soient rasées prouve qu'Israël ne prend pas ces négociations au sérieux", estime Jeff Halper, directeur du Comité israélien contre la Démolition des maisons. "La première étape de la Feuille de route, qui est toujours officiellement à l'ordre du jour, appelle précisément à mettre un terme à ces démolitions. Cela étant dit, il ne s'agit ici ni d'un sujet juridique ni technique, mais plutôt politique", ajoute-t-il. "C'est une manière pour Israël de faire savoir que Jérusalem lui appartient, que l'Etat fera ce que bon lui semble et que cette ville est hors-négociations."

    JERUSALEM POST - 13/05/10

  • Tapie père et fils ensemble dans la vente en ligne

    Bernard Tapie fait aussi un retour indirect dans le monde des affaires, en s'associant avec son fils Laurent pour lancer un site de vente en ligne, baptisé www.bernardtapie.com. Le site, qui promet notamment "avions et hôtels garantis moins chers", des voitures "jusqu'à 40% moins chère" ou "jusqu'à -50% sur vos assurances", a officiellement démarré jeudi soir.
    Père et fils sont légalement associés dans l'affaire.
    Bernard Tapie a affirmé : "Pour des raisons qui tiennent à la notoriété, avec tout ce que ça comporte de positif et de négatif, Laurent a considéré que me mettre à la fois dans le générique du nom de son site et m'utiliser comme acteur gratuit pour le film télé, ça ferait du 'buzz' qui serait tout à l'avantage de son site. Les râleurs et ceux qui ne seront pas contents de me voir, s'ils achètent leur voiture 20% moins cher, ils se feront une raison".
    Pour Laurent Tapie, "l'objectif de ce site est de permettre aux gens de tout payer moins cher. Il espère également "lancer un mouvement consumériste en France", à l'image de celui qui peut exister aux Etats-Unis.

     L'Express - 15/05/10

  • Bernard Tapie va réintégrer le PRG à titre "purement militant"

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    Bernard Tapie est né en 1943

    PARIS — L'ex-homme d'affaires et ancien ministre Bernard Tapie va prochainement réintégrer le Parti radical de gauche (PRG) "dans un but purement militant et sans rechercher de fonction comme ministre ou député", a-t-il déclaré samedi à l'AFP, confirmant une information du Parisien.

    "La première chose que j'ai dite quand on m'a rendu mes droits civiques, c'est "maintenant, je vais retourner chez les radicaux de gauche, qui m'ont toujours soutenu et qui continuent d'avoir les mêmes idées que moi", a déclaré M. Tapie.

    "Pour qu'il n'y ait pas de spéculation, j'ai immédiatement précisé que c'était dans un but purement militant et sans recherche de fonction type ministre, député", a-t-il ajouté.

    "On s'est rencontrés avec Jean-Michel Baylet (président du PRG, ndlr), Jean-François Hory (ancien dirigeant des Radicaux de gauche), Yvon Collin (délégué général du PRG)", a-t-il poursuivi. "Ca m'a fait plaisir de voir qu'ils m'invitaient très chaleureusement à les rejoindre".

    Cette décision devrait être concrétisée au cours des prochaines semaines, a ajouté M. Tapie.

    Relaxé en avril de faits de banqueroute datant de 1994, M. Tapie a depuis soldé ses comptes avec la justice française. Dans un entretien au Parisien, il avait alors évoqué la possibilité de refaire de la politique, ajoutant que si c'était le cas, ce serait avec le PRG.

    Pendant la campagne présidentielle de 2007, Bernard Tapie avait apporté son soutien à Nicolas Sarkozy, un choix "pitoyable" aux yeux de Jean-Michel Baylet, qui l'avait alors écarté du mouvement.

    C'est avec les radicaux de gauche que Bernard Tapie a connu ses plus beaux succès, en particulier aux européennes de 1994, où sa liste Energie radicale avait obtenu 12,5%.

    Il avait rejoint le mouvement (à l'époque MRG) en 1993, alors qu'il était encore le ministre de la Ville de François Mitterrand. Il y forma durant quelques années un duo avec Jean-François Hory, avant que ses affaires judiciaires ne l'obligent à quitter le devant de la scène politique.

    AFP. 15/05/10

  • Une Australienne de 16 ans boucle le tour du monde à la voile sans escale

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    Jessica Watson à son arrivée à Sydney le 15 mai 2010 

    Une adolescente australienne, Jessica Watson, a bouclé samedi son tour du monde en solitaire à la voile, sans escale et sans assistance, entrant dans l’histoire comme la plus jeune navigatrice ayant réussi un tel exploit.

    Après 210 jours en mer et avec un mois d’avance sur le programme, Jessica Watson, 16 ans, a franchi la ligne d’arrivée sous les hourras, à l’entrée du port de Sydney, peu avant 14H00 (04H00 GMT).

    «Elle est de retour», s’est exclamée sa mère Julie, alors que des dizaines de milliers de personnes étaient venues au port pour saluer la jeune fille.

    Tandis que retentissait une sirène signalant la fin officielle du périple, un remorqueur crachait un jet d’eau au moment où la jeune fille entrait dans le port, en saluant de la main une foule de spectateurs.

    Incroyable changement pour la navigatrice qui a raconté s’être habituée à «la solitude».

    «Je n’ai pas vu âme qui vive pendant près de sept mois et tout d’un coup il y a des gens partout, des visages, plein de couleur, de bruit, plein de tout» s’est étonnée Jessica devant la presse. «C’est incroyable et émouvant».

    Le Premier ministre Kevin Rudd était présent aux côtés de ses parents, Roger et Julie, pour la féliciter, quand elle a fait ses premiers pas sur la terre ferme, sous les applaudissements.

    «Peut-être te sens tu un peu chancelante», a dit M. Rudd à Jessica, qui a eu besoin d’un peu d’aide pour faire ses premiers pour sauter de son bateau.

    «Mais pour les Australiens, tu es devenue notre nouvelle grande héroïne», a-t-il dit.

    «Je ne me considère pas comme une héroïne. Je suis une fille ordinaire qui a simplement cru dans son rêve», a répondu Jessica.

    «Il ne faut pas être quelqu’un de spécial pour réaliser quelque chose d’incroyable, il faut juste avoir un rêve, y croire, et travailler dur pour cela», a dit la jeune navigatrice, expliquant qu’elle avait prouvé qu’on peut tout faire si «on programme son cerveau, tout est possible».

    Jessica Watson avait quitté le port de Sydney le 18 octobre 2009, faisant fi des mises en garde, qui la dissuadaient d’entreprendre ce périlleux voyage de 23.000 milles sans escale et sans assistance, à bord de son bateau tout rose de 10,23 mètres.

    Aux Etats-Unis, une autre adolescente, Abby Sunderland, avait tenté l’aventure mais elle avait été contrainte d’abandonner.

    Bien que la Fédération internationale de la voile ne reconnaîtra pas ce record, l’âge minimum étant de 18 ans, l’adolescente est devenue la plus jeune navigatrice à avoir accompli un tel tour du monde.

    Le record était jusqu’à présent détenu par un jeune Australien, Jesse Martin qui avait réalisé le tour du monde en 327 jours en 1999, à seulement 18 ans.

    «Cela m’avait pris 11 mois, elle l’a fait en sept. Vous pouvez dire maintenant qu’après un tel exploit, elle peut tout faire», a-t-il reconnu.

    (Source AFP)

    Libération.fr - 15/05/09

  • Israël tire sur les Palestiniens de Gaza: un mort

    Un Palestinien a été tué ce matin et un autre blessé par des tirs de soldats israéliens près de la frontière séparant le nord de la bande de Gaza et Israël, ont indiqué des témoins et les services d'urgence palestiniens.

    Le Palestinien mortellement atteint était âgé de 65 ans et son identité n'est pas encore connue. Il a été tué alors qu'il se trouvait dans un secteur situé près du camp de réfugiés de Jabaliyah. Un autre Palestinien de 22 ans a été blessé par ces tirs et évacué par ambulance, a-t-on précisé de mêmes sources.

    Un porte-parole de l'armée israélienne a indiqué que "des soldats israéliens ont repéré la silhouette suspecte d'un homme s'approchant de la barrière de sécurité près du passage routier de Nahal Oz (Israël) et ont ouvert le feu dans sa direction après avoir tiré des salves d'avertissement". "Tout le secteur proche de la barrière de sécurité est considéré comme une zone de combats", a ajouté le porte-parole, en faisant état "de nombreuses provocations et tentatives d'attaques palestiniennes" dans cette zone.

    Cet incident survient alors que les Palestiniens et les Arabes israéliens marquent aujourd'hui la "Nakba", la catastrophe qu'a représenté pour eux l'exode des populations ayant accompagné la création d'Israël le 15 mai 1948, et la première guerre israélo-arabe qui a suivi.

    Le Figaro - 15/05/10

    Quand cesseront ces crimes?

  • Mitterrand: "les pseudo-accusations" de Charlotte Lewis...

    Le ministre français de la Culture, Frédéric Mitterrand a estimé aujourd'hui au sujet des rebondisements de l'affaire Polanski que toute intervention rendait les chose plus difficiles. "Les gens savent ce que je pense et moi, en tant que ministre, je vais pas en rajouter dans la mesure où tout cela est déjà assez complexe et douloureux", a-t-il répondu sur les ondes de RTL. "Il y a une procédure en cours et toute intervention, à mon avis, rend les choses plus difficiles", a ajouté le ministre.

    Concernant l'accusation faite vendredi par l'actrice britannique Charlotte Lewis d'avoir été violée par M. Polanski dans les années 80, M. Mitterrand a estimé que les "auditeurs se font une idée certainement très précise de ces pseudo-accusations".

    Vendredi une actrice britannique, Charlotte Lewis, a affirmé à Los Angeles avoir été "abusée sexuellement" par Polanski dans son appartement parisien au début des années 80, alors qu'elle était âgée de 16 ans.

    Le Figaro - 15/05/10

  • Sarkozy s'enquiert du sort de Polanski

    Le président Nicolas Sarkozy s'est enquis par téléphone avec son homologue suisse Doris Leuthard, du sort du cinéaste franco-polonais Roman Polanski, en résidence surveillée à Gstaad et de la question de son extradition, a annoncé aujourd'hui la présidence helvétique.

    "La présidente fédérale Doris Leuthard et le président Nicolas Sarkozy ont discuté de problèmes d'actualité au cours d'une conversation téléphonique organisée au dernier moment vendredi en fin d'après-midi", a indiqué le ministère de l'Economie dans un communiqué. La conversation entre les deux dirigeants a également porté sur la visite prévue en France de la présidente suisse fin juin, a indiqué une porte-parole du ministère suisse de l'Economie, Evelyn Kobelt.

    "La présidente Leuthard a également informé le président français de l'état du processus d'extradition concernant l'affaire en cours aux Etats-Unis contre Roman Polanski", ajoute le communiqué. La présidente suisse est également ministre de l'Economie.

    Polanski, assigné à résidence en Suisse dans l'attente d'une éventuelle extradition, a été arrêté en septembre sur mandat américain pour une affaire de "relations sexuelles illégales" avec une mineure survenues en 1977. Les Suisses attendent des informations complémentaires de la justice américaine avant de trancher sur la demande d'extradition.

    Le Figaro - 15/05/10

  • Le monde du cinéma divisé sur le soutien à apporter à Polanski après les révélations de Charlotte Lewis

    Ce nouveau rebondissement survient au beau milieu du Festival de Cannes, où le monde du cinéma apparaît divisé sur le soutien à apporter au cinéaste franco-polonais âgé de 76 ans.

     

    "Il y a le cinéaste et le citoyen. Le cinéaste est un immense cinéaste. Il y a le citoyen. Personne n'est à l'abri des lois", a déclaré samedi le président du Festival, Gilles Jacob.

     

    "Ce n'est pas à nous --on ne connaît pas le dossier-- ce n'est pas à nous de juger", a estimé Gilles Jacob, précisant qu'il n'aimerait pas que le festival de Cannes serve "d'appât pour arrêter des cinéastes", faisant allusion à l'arrestation de Roman Polanski en septembre 2009 au festival du cinéma de Zurich, en Suisse.

     

    La nouvelle accusation est venue de Charlotte Lewis, 42 ans, qui était en 1986 à l'affiche du film de Polanski "Pirates". L'actrice a affirmé vendredi à Los Angeles avoir été "abusée sexuellement" par le cinéaste dans son appartement parisien au début des années 80, alors qu'elle avait 16 ans.

     

    Elle a déclaré à la presse, au côté de son avocate Gloria Allred -- une habituée des affaires impliquant des personnalités -- qu'elle avait été "abusée sexuellement de la pire façon possible" par le cinéaste. "Tout ce que je veux, c'est que justice soit faite", a-t-elle affirmé.

     Roman Polanski est actuellement assigné à résidence en Suisse dans l'attente d'une éventuelle extradition, après son arrestation sur mandat américain pour une affaire de "relations sexuelles illégales" avec une mineure, survenues en 1977.

     Mme Allred a précisé que sa cliente avait fait une déposition auprès de la police de Los Angeles (LAPD) et du bureau du procureur, espérant que son témoignage serait pris en compte par les autorités suisses au moment de rendre leur décision sur l'extradition du cinéaste.

     Les avocats de Roman Polanski ont immédiatement menacé de poursuivre l'actrice britannique en justice.

    Me Georges Kiejman s'est déclaré "absolument ahuri par les déclarations" de Charlotte Lewis. "Si elle (les) réitère et quand j'en saurai un peu plus, a-t-il ajouté, il est probable que nous la poursuivions en justice".

     L'avocat a en outre estimé "assez troublant" que Mlle Lewis ait tourné dans "Pirates", en 1986, c'est-à-dire près de trois ans après les faits présumés.

     "Tout ce qui est dit est un tissu de mensonges", a déclaré un autre des avocats du cinéaste, Me Hervé Témime.

     Ce nouveau rebondissement n'a pas ébranlé l'écrivain Bernard-Henri Lévy, fervent soutien de Roman Polanski depuis son arrestation et qui a lancé une pétition en sa faveur à la veille de l'ouverture du festival de Cannes.

     L'intellectuel a affirmé que l''accusation de Charlotte Lewis ne changeait "pas un iota à (sa) position". La veille, il avait déploré le soutien insuffisant apporté, selon lui, au cinéaste par le président du jury du Festival de Cannes, l'Américain Tim Burton.

     Quelques heures plus tard, l'acteur Michael Douglas avait annoncé qu'il ne signerait pas la pétition en faveur de Roman Polanski, signée par plusieurs cinéastes présents à Cannes. "Je crois que ce ne serait pas juste pour moi en tant qu'Américain de signer une pétition pour quelqu'un qui a violé la loi", avait-il déclaré.

     Par ailleurs, la présidence helvétique a annoncé samedi que le président français Nicolas Sarkozy s'était enquis par téléphone auprès de son homologue suisse Doris Leuthard, du sort du cinéaste et de la question de son extradition.

    AFP. 15 mai 2010

  • Isère: tombes de harkis profanées par des inscriptions injurieuses

    Des inscriptions racistes visant notamment la communauté harkie ont été découvertes vendredi matin sur trois tombes du carré musulman du cimetière de Vienne (Isère), a-t-on appris samedi auprès de la préfecture.

    Les insultes "à caractère raciste et infamant", inscrites au feutre noir sur les stèles, ont été effacées après les constatations de la police en charge de l'enquête, a-t-on appris auprès de la mairie.

    Aucune autre dégradation n'a été relevée dans le carré musulman qui comprend une centaine de stèles, selon la préfecture.

    "Ces actes de vandalisme gratuit, qui portent atteinte à l'honneur de personnes qui se sont engagées avec la France, ne peuvent rester impunis", a déclaré dans un communiqué le député-maire UMP de Vienne, Jacques Remiller.

    "De telles inscriptions injurieuses sont inacceptables, il ne faut pas tolérer un seul instant ces propos humiliants et odieux qui blessent la mémoire de personnes auxquelles la France doit une forte reconnaissance", a-t-il ajouté.

    Le Point - 15 mai 2010

  • Clotilde Reiss, condamnée à une simple amende, peut quitter l'Iran

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    La française Clotilde Reiss va pouvoir, selon son avocat, quitter dimanche l'Iran où elle était retenue depuis juillet 2009 pour avoir participé à des manifestations anti-gouvernementales, après un jugement la condamnant samedi à une simple amende.

    La France a "pris note de la décision de justice concernant Clotilde Reiss" et attend "son retour sans délai", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Bernard Valero, se refusant à d'autres commentaires.

    Ce jugement, quelques jours après une décision française de ne pas extrader vers les Etats-Unis un Iranien retenu en France depuis mars 2009, clôt une affaire qui a empoisonné pendant plus de dix mois les relations franco-iraniennes par ailleurs assombries par la question nucléaire.

    "La cour a condamné Mlle Reiss à une amende de 300 millions de tomans (285.000 USD) que j'ai payée ce matin", a déclaré Me Mohammad-Ali Mahdavi Sabet.

    L'avocat a précisé qu'il n'avait pas fait appel de ce jugement, "proche d'un acquittement", et qui, surtout, "va permettre à Mlle Reiss de quitter l'Iran dès demain". "L'affaire est finie", a-t-il ajouté. Il a indiqué qu'il devait se rendre dimanche matin au tribunal révolutionnaire de Téhéran pour "récupérer le passeport de Mlle Reiss", qui n'a pas été restitué samedi "pour un problème administratif".

    Clotilde Reiss, lectrice à l'université d'Ispahan, a été officiellement accusée d'atteinte à la sécurité nationale de l'Iran, notamment pour avoir rassemblé des informations et des photos lors de manifestations dans cette ville les 15 et 17 juin contre la réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad.

    Elle a été condamnée à deux peines de cinq ans de prison pour ces faits, mais cette double peine a été immédiatement commuée en amende par "une décision de clémence" du régime, officiellement "en raison de la situation personnelle" de Mlle Reiss, a précisé l'avocat.

    La jeune femme de 24 ans avait été arrêtée le 1er juillet alors qu'elle s'apprêtait à regagner la France. Elle avait été libérée sous caution le 16 août avec obligation de résider à l'ambassade de France à Téhéran jusqu'à son jugement.

    Ce jugement aurait dû légalement intervenir fin janvier, après quatre comparutions devant le tribunal révolutionnaire, mais la justice a différé sa décision sans explication.

    Lors de sa première comparution, filmée par la télévision, Mlle Reiss avait reconnu avoir participé "pour des motifs personnels" aux manifestations et avoir rédigé un rapport pour un institut dépendant du service culturel de l'ambassade de France. Elle avait demandé "pardon" en espérant être "graciée".

    Paris a toujours affirmé qu'elle était innocente des charges retenues contre elle, réclamant sa libération.

    L'annonce du jugement intervient dix jours après une décision de la justice française de refuser l'extradition vers les Etats-Unis d'un ingénieur iranien, Majid Kakavand, retenu en France depuis mars 2009 à la demande de la justice américaine.

    Paris et Téhéran ont toujours officiellement démenti tout lien entre ces deux affaires. Mais le président Ahmadinejad avait déclaré le 18 décembre que la solution de l'affaire Reiss dépendait "de l'attitude des dirigeants français".

    Se félicitant de la libération de M. Kakavand, Téhéran avait déclaré le 11 mai espérer une "décision rapide" de la justice concernant Mlle Reiss.

    La justice française doit se prononcer le 18 mai sur la mise en liberté conditionnelle de l'Iranien Ali Vakili Rad, condamné en 1994 en France pour l'assassinat de l'ex-Premier ministre iranien Chapour Bakhtiar.

    Le Point - 15 mai 2010

  • Victoire judiciaire de la Phalange espagnole contre le juge Baltasar Garzon

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    Le Conseil général du pouvoir judiciaire (CGPJ) espagnol a suspendu, vendredi 14 mai, le juge Baltasar Garzon de ses fonctions, conséquence de sa mise en accusation pour avoir voulu enquêter sur les crimes amnistiés du franquisme. Cette mesure fait suite à la décision prise mercredi par un magistrat du Tribunal suprême d'ordonner l'ouverture du procès pour "forfaiture" (abus de pouvoir) du juge Garzon, dont la date n'a pas encore été fixé.

    Elle a été prise à l'unanimité des membres du CGPJ, l'organe de tutelle de la magistrature espagnole, a-t-on précisé de source judiciaire. La suspension provisoire est normalement automatique en Espagne pour tout magistrat appelé à comparaître devant un tribunal pour des délits présumés commis dans l'exercice de ses fonctions.

    Le juge Garzon avait tenté d'échapper à cette mesure humiliante en demandant, mardi 11 mai, sa mise en disponibilité pour travailler durant sept mois comme consultant à la Cour pénale internationale de La Haye. Mais le secteur conservateur du CGPJ, organe de tutelle de la magistrature espagnole, a déjoué cette manœuvre, en obtenant la convocation d'une réunion extraordinaire pour statuer sur sa suspension avant d'avoir à se prononcer sur sa demande de mise en disponibilité.

    La commission permanente du CGPJ devait se réunir vendredi après-midi pour examiner la demande de mise en disponibilité du juge Garzon, pionner de la "justice universelle" et mondialement connu pour avoir fait interpeller en 1998, à Londres, l'ex-dictateur chilien Augusto Pinochet. Dans une ultime tentative pour échapper à sa suspension, le juge Garzon a demandé, vendredi matin, l'annulation de l'ordonnance du juge du Tribunal suprême ayant ordonné son renvoi pour jugement, alléguant des irrégularités de procédure. Garzon est poursuivi notamment par la Phalange espagnole pour avoir voulu, en 2008, enquêter pour la première fois sur les disparus de la guerre civile et de la répression franquiste, en enfreignant sciemment selon eux la loi d'amnistie générale votée en 1977, deux ans après la mort de Franco.

    Il encourt une peine de vingt ans d'interdiction d'exercice de sa fonction de juge, qui mettrait un point final à sa carrière.
    SIX-FEVRIER.com - 14/05/10

  • HUMOUR

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  • Justice: Marine Le Pen soutient Nicole Guibon

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    Nicole Guibon, chauffeuse de bus dans le Calaisis, montrée en exemple de professionnalisme par son patron, est accusée, à tort, d’avoir enfreint le politiquement correct verbal pour avoir traité un « jeune »… de « menteur » et de « p’tit con » !

    Pour ce crime, il est vrai d’une rare barbarie, Nicole Guibon est maintenant l’objet d’une plainte et va certainement devoir aller en justice !

    Que cette chauffeuse de bus défende son honneur et son honnêteté au parquet de Boulogne-sur-Mer pour deux pauvres petits mots parfaitement justifiés relève du scandale.

    Le Front National condamne cette persécution judiciaire inutile et injuste.

    Il rappelle que les conditions de travail d’une chauffeuse de bus, en particulier spécialisée dans le ramassage scolaire, relèvent d’une grande pénibilité.

    Nicole Guibon, symbole d’héroïsme ordinaire, se doit, quotidiennement et à des heures fort matinales, d’assurer la sécurité et la ponctualité de ses ramassages scolaires pour de jeunes collégiens adolescents qui confondent souvent leur bus avec un dépotoir et leur conductrice avec une femme de ménage…

    Heureusement que Nicole Guibon ne porte pas plainte à chaque fois que ces individus l’insultent copieusement de tous les noms comme cela se fait désormais partout en France.

    Ces petites frappes revanchardes et agressives ne reçoivent plus aucune réprobation de quiconque, confortées dans leur statut de nouveaux petits tyrans tout-puissants d’une société d’impunité.

    Au nom de la Justice des Travailleurs, le Front National exhorte solennellement le parquet de Boulogne-sur-Mer à suspendre instamment cette convocation ridicule.

    Marine Le Pen rappelle le comportement scandaleux du parquet de Boulogne-sur-Mer, célèbre pour la persécution de personnes innocentes dans l’affaire d’Outreau…

    Le parquet de Boulogne-sur-Mer, incapable d’assurer la tranquillité des citoyens, en est réduit à traquer les honnêtes gens et à fermer les yeux sur les actes de vraie délinquance.

    Marine Le Pen,
    Présidente du Groupe Front NationalRassemblement pour le Nord-Pas-de-Calais

    NP Info - 14/05/10