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  • L'immigration responsable à 80% de l'accroissement démographique de l'UE

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    19/02/2011 – 18h00
    BRUXELLES (NOVOPress) :
    La lecture du Journal officiel de l’Union européenne réserve parfois de belles surprises. Ainsi l’avis du Comité économique et social européen sur l’immigration vient remettre les pendules à l’heure sur l’immigration et la démographie européenne.

    Le constat est édifiant et sans appel : « L’immigration est le principal facteur d’augmentation de la population de l’Union européenne pour la période 1999–2008. L’apport de l’immigration nette à la population de l’UE s’élève à près de 15 millions d’habitants. » Selon le Comité économique et social européen sur l’immigration, les flux migratoires « sont intervenus pour plus de 80 % dans l’augmentation de la population de l’UE ces dix dernières années. »

     Devant ces chiffres, ce comité ne préconise pas des mesures urgentes, mais tout simplement que l’Union européenne et les États membres disposent d’une législation plus ouverte en matière d’immigration !

     

  • Qui est-ce? 141

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    Indice: sans le vouloir, il a donné son nom à un quartier de Paris ainsi qu'à une chanson

  • Affaire Cassez: halte à la diplomatie émotionnelle! - par Aymeric Chauprade

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    (Cliquez sur la photo)

    Le président de la République et sa ministre des Affaires étrangères ont choisi de sacrifier  à la relation entre la France et l’un des pays les plus importants d’Amérique latine, le Mexique, officiellement au nom de «l’innocence d’une Française », en réalité au nom d’une pitoyable stratégie de communication émotionnelle à usage purement intérieur. L’instrumentalisation du sentiment s’est désormais complètement substituée, dans tous les domaines (sécurité, justice, économie…), à la vraie politique, laquelle consisterait à traiter en profondeur la racine des problèmes. Nos gouvernants ne savent plus que larmoyer, devant des micros, tout en s’agrippant aux caméras des familles de victimes.

    Attardons-nous un instant sur le fond de cette lamentable affaire Cassez. En décembre 2005, l’arrestation d’Israel Vallarta Cisneros et de sa compagne française, Florence Cassez, sonne le glas d’un terrible gang de kidnappeurs, « Los Zodiacos » lequel s’est rendu coupable de dizaines d’enlèvements, d’assassinats, de tortures et de viols. Plusieurs victimes, hommes, femmes et enfants témoignent et accusent Florence Cassez d’avoir participé aux séquestrations d’otage (qui se passaient dans le ranch où elle vivait avec son compagnon).

    Voici un extrait du témoignage écrit de la dernière victime du clan « Los Zodiacos », paru dans la presse mexicaine et bien sûr occulté par la presse française :

    « Mon nom est Cristina Rios Valladares. J’ai été victime d’une prise d’otage, aux côtés de mon époux Raul et de mon fils Christian qui avait 11 ans (…) Nous avons appris la nouvelle de la peine de prison que Florence Cassez méritait, cette femme dont j’avais écouté la voix à maintes reprises pendant ma captivité. Une voix d’origine française qui bourdonne encore aujourd’hui dans mes oreilles. Une voix que mon fils reconnaît comme celle de la femme qui lui a pris du sang pour l’envoyer à mon époux, avec une oreille qui lui ferait penser qu’elle appartenait à mon fils (…) Maintenant j’apprends que cette Florence réclame justice et clame son innocence. Et moi j’entends dans ces cris la voix de la femme qui, jalouse et furieuse, hurlait sur Israel Vallarta, son petit ami et chef de la bande, que s’il recommençait à s’approcher de moi, elle se vengerait sur ma personne».

    Florence Cassez

    Contrairement aux partis dominants qui, à l’unisson, semblent vouloir faire de Florence Cassez un nouveau Dreyfus, nous ne voulons pas être définitifs sur cette affaire. La reconstitution spectaculaire devant les caméras de la télévision mexicaine, au lendemain de l’arrestation, en 2005, obéissait sans doute à une volonté de la part du gouvernement mexicain de médiatiser son action de répression de ce qui est un véritable fléau au Mexique : les enlèvements de personnes privées avec demande de rançon et mutilations. N’oublions pas que le président mexicain est confronté à des gangs criminels et des cartels qui, depuis 2006, ont fait plus de 30.000 morts dans ses forces de sécurité. Il s’agit d’une véritable guerre, et c’est la raison pour laquelle le petit caprice émotionnel du Tout-Paris n’impressionne guère les Mexicains. Il n’en demeure pas moins que cette reconstitution a contribué à ternir la procédure judiciaire mexicaine ; mais il faut raison garder : elle ne doit pas en effacer le contenu.

    La vérité, c’est que le Mexique, grand pays membre de l’Alena et puissance importante de l’Amérique latine, dispose d’un vrai système judiciaire, et que les faits sont accablants pour Florence Cassez. Les témoignages sont là, et il est difficile par ailleurs (simple remarque de bon sens) de faire croire que Florence Cassez ait pu vivre pendant autant de temps dans un ranch où s’activaient une bande de tueurs, avec des armes et des munitions partout, des otages cachés et souvent torturés, ceci sans n’avoir jamais rien remarqué ! On la sent en tout cas beaucoup moins naïve depuis qu’elle s’occupe de sa défense et que, de derrière les barreaux et depuis son téléphone mobile, elle dicte au président de la France la politique qu’il faut suivre.

    Au moment où la diplomatie française semble définie par la famille Cassez, il convient de remarquer que celle-ci n’a pas toujours dit la vérité. Ainsi, les parents de Florence Cassez ont-ils affirmé à la presse française qu’ils ne connaissaient pas le compagnon de Florence, Israel Vallarta. Manque de chance, la presse mexicaine a publié les photos de Bertrand Cassez, le père, en train de trinquer avec Israel Vallarta dans le ranch Las Chinitas, à 29 km de Mexico !

    Cette affaire me fait penser à celle des deux Françaises, Sarah Zaknoun et Cécile Faye, emprisonnées en 2008 en République dominicaine pour trafic de drogue, et graciées en décembre 2009 par le président dominicain à la suite d’une campagne médiatique puis politique, depuis Paris. Je suis personnellement bien placé pour savoir que dans cette affaire, le même impératif médiatique et émotionnel faisait office de politique et écrasait le fond du dossier. Heureusement pour les deux gentilles « vacancières », le président dominicain voulait faire plaisir à la France et à son président. Mais la justice dominicaine n’avait pourtant pas été prise d’hallucination collective, pas plus que celle du Mexique et des victimes qui ont témoigné !

    Cesare Battisti

    Il semble donc que dans notre pays, il y a des théories du complot autorisées et d’autres qui ne le sont pas. Il est par exemple autorisé et même encouragé de penser (reprenez les chroniques de pseudo-experts de la Russie après le récent attentat de l’aéroport de Moscou) que les Russes s’infligent des attentats tout seuls, comme il est manifestement souhaitable de penser qu’une Française puisse être victime d’un gigantesque complot hier dominicain, aujourd’hui mexicain. Décidément, ne sont pas forcément xénophobes ceux que l’on croit. A lire la presse aujourd’hui, l’Amérique latine c’est Tintin chez les Picaros ou l’Oreille cassée, au choix. Ah ces Mexicains, tous des « sergents Garcia » corrompus !

    Je pense aussi à l’affaire Cesare Battisti, ce terroriste italien d’extrême gauche, que les médias français s’étaient mis en tête de faire libérer, au mépris de la justice italienne et des relations avec ce pays ami. On y a retrouvé les traditionnelles leçons de morale françaises, le mépris pour nos voisins et amis, le déni de justice et de souveraineté d’un partenaire de l’Union européenne.

    Je pense aussi à la gestion de l’affaire Bétancourt (la première, celle d’Ingrid), qui fut lamentable pour nos relations avec la Colombie.

    Nous avons tout faux dans ces affaires ! Non seulement, à chaque fois, il est beaucoup plus probable que nous nous préoccupions de coupables que d’innocents, mais qui plus est, nous affichons devant le monde entier une arrogance sans nom, un mépris pour la justice et la souveraineté de ces pays, comme si d’ailleurs notre justice et notre démocratie étaient exemplaires !

    En définitive, le problème fondamental de notre diplomatie en Amérique latine ne tient-il pas au fait que nos gouvernants n’y aient aucune habitude de vacances ? S’ils avaient des villas en Colombie, ou s’ils se doraient sur les plages du Mexique, plutôt qu’en Tunisie ou en Egypte, peut-être feraient-ils preuve de moins d’arrogance ? Avec beaucoup d’humour, Elisabeth Lévy suggérait que Florence Cassez avait la chance que le Mexique ne s’intéresse pas à l’avion Rafale, sinon elle serait oubliée depuis longtemps, par le pouvoir… et aussi par les médias !

    Ces opérations médiatiques à usage intérieur, qui visent ici, notamment pour la ministre des Affaires étrangères, à se refaire à bon compte une image émotionnelle positive après l’affaire de Tunisie, ne sont pas dignes du gouvernement de la France. Cette politique émotionnelle, « du coup médiatique », qui contamine jusqu’à notre politique étrangère, est devenue absolument insupportable ; elle finira d’ailleurs par se montrer contre-productive pour ceux qui en usent. Car si les Français ont des émotions et peuvent tomber dans ce genre de piège, ils comprennent par ailleurs de plus en plus que le pays est gouverné dans l’instant, sans vision stratégique, et que sa tête se pose de moins en moins la question du Bien commun.

    Aymeric Chauprade
    Realpolitik
    15 février 2011

    Professeur de géopolitique et Directeur de la Revue Française de géopolitique et du site www.realpolitik.tv, Aymeric Chauprade est l’auteur de l’ouvrage de référence Géopolitique, constantes et changements dans l’histoire (éd. Ellipses).

    NOVOPRESS - 17/02/11

  • Le président du Bélarus n'aime pas les "pédés" et le dit à un ministre allemand gay

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    Alexandre Loukachenko - (Cliquez sur la photo)

    Le président du Bélarus, Alexandre Loukachenko, a déclaré samedi ne pas aimer "les pédés" et a raconté avoir conseillé "les yeux dans les yeux" au ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, qui est ouvertement homosexuel, de mener une "vie normale".

    "Et voyez-vous, certains ministre des Affaires étrangères m'en veulent, mais nous vivons dans un société démocratique, et j'en suis le président. J'ai le droit de donner ma position", a ajouté le président bélarusse, un habitué des déclarations cassantes et imagées.

    "J'ai dit à Guido Westerwelle honnêtement, les yeux dans les yeux, qu'il faut mener une vie normale", a encore lancé le président bélarusse, sans préciser à quelle occasion il a tenu ces propos, alors que le chef de la diplomatie allemande était au Bélarus en novembre.

    La première manifestation autorisée d'homosexuels au Bélarus a réuni le 14 février à Minsk, une dizaine de participants.

    Le régime du président bélarusse est très critiqué en Occident, en particulier depuis le mois de décembre et une vague de répression de l'opposition, à la suite d'une manifestation contre la réélection de M. Loukachenko.
    AFP. 19/02/11
  • DSK ne pense qu'au FMI...

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    Le directeur général du Fonds monétaire international, Dominique Strauss-Kahn, a assuré samedi qu'il n'avait "rien d'autre à l'esprit" que le FMI qui l'occupe "à plein temps", coupant court à une question sur ses intentions pour la présidentielle de 2012.

    "Je n'ai rien d'autre à l'esprit", a-t-il enchaîné.

    Tenu à un strict devoir de réserve, M. Strauss-Kahn doit également s'exprimer dimanche au 20h00 de France 2. Il a par ailleurs accordé un entretien aux lecteurs du journal Le Parisien, à paraître lundi, alors que les spéculations vont bon train sur sa candidature à la primaire du Parti socialiste avant l'élection présidentielle de 2012.

    AFP. 19/02/11

  • France-Mexique, France-Israël: une diplomatie à géométrie variable

    Chacun a désormais entendu parler de Florence Cassez. Cette jeune Française, condamnée à 60 ans de prison au Mexique pour une sombre affaire de complicité d’enlèvement.

    Sur ce dossier on vient de voir du beau monde monter au créneau : Michèle Alliot-Marie qui a parlé d’une « décision inique », Frédéric Mitterrand qui, rappelant que « la France n’abandonne jamais ses ressortissants », a déclaré que « le procès s’était déroulé dans des conditions suspectes ». Quant à Nicolas Sarkozy qui a reçu à 10 reprises les parents de la jeune femme, il demandait son transfèrement en France et voulait lui dédier l’année de Mexique avant que le gouvernement du Mexique ne refuse sèchement et ne se retire des manifestations envisagées dans ce cadre.

    On peut comprendre la mobilisation des autorités de l’État devant une telle condamnation. On ne peut s’empêcher de faire le rapprochement avec la mobilisation de ces mêmes autorités dans le cas d’un autre Français, Salah Hamouri, lui aussi condamné par un État avec qui la France entretient des relations diplomatiques… Israël.

    Et de constater quelques éclairantes différences de comportement. Salah a été condamné par un tribunal militaire d’une force d’occupation, avec un dossier vide. La durée de sa peine a été fixée à 7 ans parce qu’il a accepté, sur le conseil de son avocat, un arrangement pour en éviter le double.

    Bernard Kouchner, en son temps, en a conclu qu’il avait reconnu les faits et que lui-même ne pouvait intervenir sur le fond, Salah ayant été jugé par un État de droit.

    Quant à Michèle Alliot-Marie… elle répondait le 5 janvier à Jean-Claude Lefort qu’il « ne (lui) appartient pas d’intervenir ou même de commenter les procédures judiciaires d’un État souverain ».

    La mère de Salah, malgré ses demandes répétées, n’a jamais été reçue par Nicolas Sarkozy, lequel n’a pas proposé de lui dédier le salon du livre israélien.

    Ne parlons pas d’hypocrisie ou de complicité et laissons à chacun le soin de tirer les conclusions qui s’imposent de ce bel exemple d’impartialité de l’État.


    A Paris, le 15/02/2011

    AFPS

    -- 
    Association France-Palestine Solidarité (AFPS)
    21 ter Rue Voltaire 75011 Paris 
    Tél: 00.33.1.43.72.15.79 
    
  • Marine Le Pen créditée de 19-20%: réaction FN et Hervé Morin

    PARIS — Voici des réactions du Front national et d'Hervé Morin (Nouveau centre) après la publication d'un sondage Ifop dans France-Soir vendredi, qui crédite Marine Le Pen de 19 à 20% d'intentions de vote si le premier tour de la présidentielle de 2012 avait lieu dimanche.

    - Hervé Morin, président du Nouveau centre: c'est "un sujet de grande inquiétude pour tous les démocrates. Il ne s'agit que d'un sondage, mais une cote d'alerte est franchie qu'il faut prendre très au sérieux, car il révèle un sourd et profond mécontentement chez nos compatriotes".

    "Il faut écrire une nouvelle page de la démocratie française reposant sur trois volets: la lutte contre les conflits d'intérêts, l'interdiction du cumul des mandats, l'introduction d'un code d'éthique et de déontologie à l'image des règles existantes dans les autres démocraties européennes.

    Cette cote d'alerte nous impose aussi (...) de répondre aux préoccupations des Français sans abandonner les valeurs de la droite et du centre. Il faut cesser d'attiser les haines, de chercher des boucs émissaires, de jouer sur les peurs". (communiqué)

    - Steeve Briois, secrétaire général du Front national: "Jamais depuis sa création, le Front National n'a été aussi haut dans un sondage présidentiel, de surcroît à 15 mois du scrutin. Souvenons-nous que 12 mois avant l'élection présidentielle de 2002, Jean-Marie Le Pen n'était crédité que de 6 ou 7 %.

    Nicolas Sarkozy a raison d'être inquiet car le système UMPS dont il est l'un des représentants prend l'eau de toute part. En revanche il commet une erreur politique majeure en mettant en avant des thématiques de campagne comme l'islam, l'insécurité ou l'immigration car, après 9 années de pouvoir absolu et surtout chaotique, cinq ans comme ministre de l'Intérieur (et des cultes !) et quatre ans comme président de la République, il n'a plus la moindre crédibilité pour résoudre ces problèmes. De son côté, le Parti socialiste n'est pas plus crédible, puisqu'il participe intégralement du système mondialiste et immigrationniste." (communiqué)

  • Selon Hortefeux, plus de 3700 Roms ont été expulsés

    Plus de 3700 roms ont été raccompagnés "de manière contrainte ou forcée" dans leur pays d'origine, et 70% des 741 campements illicites de roms recensés en juillet 2010 ont été évacués, a déclaré aujourd'hui le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux.

    "A ce jour, 70% des 741 campements illicites recensés au 31 juillet sur le territoire ont été évacués, dont 118 des 190 d'Ile-de-France", explique Brice Hortefeux dans une interview au quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France. "Et 3741 personnes ont été raccompagnées, de façon contrainte ou volontaire, dans leur pays d'origine", ajoute-t-il, précisant que tout n'est pas réglé. "Une situation d'une telle ampleur ne peut être résolue en six mois mais nous ne lâchons rien", a-t-il dit.

    Le ministre reconnaît qu"'il arrive que des campements se reconstituent mais nous agissons. Chaque fois qu'une nouvelle implantation est signalée, un traitement sanitaire, juridique et de sécurité est engagé, avant son évacuation", a-t-il insisté, affirmant que "certains de ces campements sont totalement insalubres". 

    Concernant le campement de Sarcelles, où vivraient un millier de personnes, il a expliqué que fin 2009 une première demande d'expulsion, faite par le propriétaire - une collectivité - "s'était vue opposer un refus par le tribunal de grande instance de Pontoise". Mais, a-t-il précisé, une nouvelle procédure a été engagée et une décision est attendue mi-mars. Selon lui, 12 enquêtes impliquant des occupants de ce camp sont en cours.

    Le Figaro - 18/02/11

  • Quick d'Avignon: Benjamin est bien mort d'une intoxication alimentaire

    Une information judiciaire a été ouverte contre X vendredi pour homicide involontaire, après le décès fulgurant le 22 janvier de Benjamin, un adolescent de 14 ans. La veille, il avait dîné avec son père dans un restaurant Quick d'Avignon (Vaucluse).

     Des examens ont révélé la présence de staphylocoques dorés dans le système digestif de la victime. Quick admet un possible «dysfonctionnement local».

    Les analyses ont formellement prouvé le lien entre la nourriture consommée dans ce fast-food et la mort du jeune homme. «La synthèse des rapports médico-légaux permet de conclure que Benjamin Orset est décédé d'une toxi-infection alimentaire, liée à l'absorption d'un repas pris quelques heures avant sa mort, soit la veille au soir le 21 janvier, au restaurant Quick Cap Sud à Avignon», a déclaré le procureur de la République de la ville, Catherine Champrenault. «Cette analyse résulte d'abord de l'exclusion de toutes les autres hypothèses étudiées par le juge d'instruction, repas pris à la maison, élevage d'animaux par la famille, déjeuner à la cantine scolaire», a-t-elle ajouté.

    Des bactéries retrouvées sur des employés et sur le sol

    Les expertises mettent en évidence, selon la magistrate,  «la présence de staphylocoques dorés dans le liquide gastrique» de la victime et «sur cinq employés sur les huit salariés ayant travaillé le 21 janvier 2011 dans l'établissement, ainsi que sur le sol carrelé du stand d'emballage des denrées alimentaires». L'information judiciaire a été ouverte pour homicide involontaire «par violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence, prévue par la loi ou le règlement».


    La préfecture du Vaucluse avait fermé le restaurant le 22 janvier après la mort de l'adolescent. Sa réouverture avait été autorisée la semaine dernière, mais il a fermé à nouveau ses portes, officiellement pour des raisons techniques, alors que le groupe Quick est en conflit avec le franchisé.

    Pour la chaîne de restauration rapide insiste, il ne s'agit pas, selon elle, d'une «défaillance des produits fournis par Quick». «Seule une défaillance au niveau local a pu provoquer cette situation dramatique», affirme Jacques-Edouard Charret, le président du groupe Quick, dans une vidéo diffusée après l'annonce du procureur.

    Le groupe s'est engagé à «renforcer ses contrôles et les mesures d’hygiène, d’ores et déjà au-delà des normes légales en vigueur», poursuit le dirigeant. Les détails de ces actions seront communiqués dans quelques jours.

    Le Parisien- 18/02/11

  • A Sarcelles, "on reste fidèle à DSK"

  • Dans un village d'insertion pour les Roms près de Lille

    REPORTAGE VIDÉO - Depuis près de deux ans, une banlieue de Lille loge 18 Roms dans trois mobil-homes installés en centre-ville. Un mode d'intégration à dimension humaine réussi.

    A Faches Thumesnil, dans la banlieue sud de Lille, la cérémonie des vœux de Monsieur le maire a pris une tournure inattendue, au début de l'année 2009. L'annonce de Nicolas Lebas, élu Modem, a suscité méfiance et inquiétude : un « village d'insertion pour les Roms » allait s'installer sur un terrain communal, à 200 mètres de l'Hôtel de Ville. Le maire répondait à un appel de la présidente de la communauté urbaine de Lille, Martine Aubry, pour accueillir ces familles vivant dans une grande précarité. Aujourd'hui, les craintes se sont dissipées, et le voisinage s'est habitué à ces 18 personnes issues de la communauté Rom, qui vivent dans trois mobil-homes, en plein centre-ville. Et pour le maire, « l'expérience est un succès ». « Il faut voir d'où on les a sortis, ajoute-t-il. Dans les campements illicites qu'ils occupaient, les enfants étaient nus sur le trottoir, c'était abominable. Maintenant, ils sont scolarisés. Ces personnes sont redevenues humaines. »

    Le Figaro - 17/09/10

     

     

      

     

         

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Essonne: plainte de la LDH contre un maire après un article sur les gens du voyage

    La ville de Moigny-sur-Ecole a diffusé des photos de plaques d'immatriculation de gens du voyage dans le bulletin municipal de janvier à côté d'un billet accusateur. La Ligue des droits de l'Homme a porté plainte. L'opposition dénonce «des idées proches du FN».

    C'était dans le bulletin municipal de janvier de Moigny-sur-Ecole, une petite commune de l'Essonne de 1300 habitants : un billet d'humeur dénonçait les «problèmes de nuisances que posent les gens du voyage quand ils décident de s'installer sauvagement dans une commune». Pour illustrer le propos, les photos de 40 plaques d'immatriculation photographiées en juillet pendant l'occupation illégale d'un terrain de sport par 70 caravanes - afin de montrer la détermination de la municipalité à surveiller» les nouveaux venus. Le texte, non signé et se défendant de tout «racisme primaire», a choqué au point de pousser une conseillère municipale à démissionner et la Ligue des droits de l'Homme à porter plainte contre le maire de la commune, qui est aussi directeur de la publication du bulletin.

     

    «Une peur légitime»

     

    Dans un premier temps, le billet déplore le coût supporté par la collectivité pour réparer les dégradations - «faciles à imaginer» - causées par l'occupation illégale du terrain municipal. Il regrette que la présence du campement ait privé les jeunes de la commune d'un lieu de loisir en pleines vacances scolaires. Selon ce texte, la mairie a obtenu 500 euros pour défraiement des consommations d'eau et d'électricité.

    Mais au fil du texte, l'auteur se livre à des associations d'idées qui tendent à présenter les gens du voyage comme un «fléau social», constituant une incitation à la discrimination, estime la LDH dans un courrier adressé le 27 janvier au procureur d'Evry.

    Le texte dénonce ainsi le «nomadisme fiscal aux frais des vrais contribuables» de cette communauté. «Au risque de diffamer, ces ‘déplacements' leur permettent d'éviter de payer un certain nombre d'impôts, de transformer la taxe professionnelle en patente d'ambulant, et permettent de s'adresser parallèlement à plusieurs caisses d'allocations familiales, voire à obtenir le RMI de plusieurs départements», écrit l'auteur. Et de déplorer : «Il est vrai que maintenant, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire et que la justice est beaucoup trop souvent du mauvais côté !».

    Le billet suggère encore la centralisation administrative des gens du voyage aux Sainte-Marie-de-La-Mer dans les Bouches-du-Rhône, «leur point de convergence», sur le modèle du rattachement des bateliers à Conflans-Sainte-Honorine.

    L'auteur du texte juge enfin «bien légitime» de la part de la population «de faire état de sa colère et de la peur que peut susciter une telle situation face aux nombreux cambriolages constatés ces derniers mois», une affirmation qui relève de la diffamation à caractère racial, selon la LDH.

    La Ligue des droits de l'Homme a également porté plainte contre la publication des photos de plaques d'immatriculation, arguant d'une atteinte à la vie privée via le droit à l'image

     

    L'opposition dénonce des idées proches du FN

     

    «C'est la première fois que l'on voit une initiative anti-Roms de cette force, entre ce billet d'humeur et la diffusion de photos non-floutées», constate François-Xavier Corbel, juriste à la LDH, interrogé par lefigaro.fr. Selon lui, «ce genre d'article est la conséquence des propos tenus par le ministre de l'Intérieur et de sa politique à l'égard des Roms».

    A la mairie de Moigny-sur-Ecole, l'adjoint à la voirie de la commune, Yannick Foucher a répondu que cette affaire «ne regardait personne». «Je n'ai aucun commentaire. On a autre chose à faire», a-t-il déclaré par téléphone, ajoutant que le maire UMP, Pascal Simonnot, était injoignable.

    Bernard Hasselin, président de «Moigny Avec Vous» et opposant au maire, a dénoncé «des idées proches du Front National» alors que, selon lui, «les gens du voyage n'ont pas causé de dégâts». Une conseillère municipale, Betty Laborrier, a démissionné de son poste: «Je ne me sens pas solidaire de ce genre de discours. Je l'ai découvert en ouvrant ma boîte aux lettres. C'est un texte rempli de haine, de racisme, et qui est diffamatoire», a-t-elle déclaré.

    Le Figaro - 18/02/11

  • Un prêtre polonais égorgé en Tunisie

    Un prêtre polonais, âgé de 34 ans, a été retrouvé égorgé ce matin dans une école privée dans la région de Manouba près de Tunis, a indiqué le ministère tunisien de l'Intérieur, attribuant le crime à "un groupe de terroristes fascistes".

    "Il a été retrouvé égorgé dans la garage d'une école des soeurs où ce religieux s'occupait de la comptabilité. Il a été agressé avant d'être égorgé", a ajouté cette source citée dans un communiqué. "C'est un groupe de terroristes fascistes ayant des orientations extrémistes qui est derrière ce crime compte tenu de la façon dont il a été assassiné", a ajouté le ministère sans donner davantage de précisions.

    La famille du prêtre ainsi que l'ambassade de Pologne en Tunisie a été informée de ce meurtre, selon la même source.

    Le Figaro - 18/02/11

  • Diversion? "L'islam sera un sujet phare de la présidentielle"

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    Secrétaire  d’Etat au Logement et président du « club 89 »,  Benoist Apparu  expliquait doctement en juillet  dernier que les attaques menées alors  par la gauche contre Eric Woerth en pleine affaire  Bettencourt avaient pour finalité   de « faire  monter le Front national » , pour planter électoralement l’UMP.  Il affirmait pareillement hier sur RMC et BFM-TVM qu’il «faut faciliter la construction de mosquées dans notre pays, quitte s’il le faut à ce que l’Etat y participe »,  « même si c’est contraire à la loi de 1905 ». La réponse qui lui apparaît idoine  face au développement de « l’islam des caves » et pour couper l’herbe sous le pied au « FN ».

    L’aile droite de l’UMP n’est à l’évidence pas d’accord sur la méthode pour contenir la poussée attendue de l’opposition nationale.  Les  vingt-huit députés UMP, membres du collectif La Droite populaire, ont immédiatement dénoncé dans un communiqué  ces propos, la volonté  «  d’utiliser l’argent des Français pour financer la construction de mosquées. » « Alors que la France est accablée par les déficits publics et sociaux, nos compatriotes demandent aux ministres de gérer l’argent public dans l’intérêt général du pays et non de faire du prosélytisme. »

    Marine Le Pen a eu beau jeu dans un entretien accordé au Point de rappeler que « le financement public des mosquées existe déjà, en contradiction avec la loi. (M. Apparu) nous propose d’entériner des violations de la loi de 1905 qui ont déjà lieu ! Par exemple, la Fondation des œuvres de l’islam de France permet à un certain nombre de musulmans de ne pas payer d’impôts parce qu’ils versent de l’argent pour la construction de mosquées. »

    Rappelons encore que de très nombreuses  municipalités  UMP mettent déjà des terrains à disposition des associations mahométanes, par le biais de baux emphytéotiques, à des prix aussi dérisoires que symboliques, afin d’y ériger mosquées et autres « centres culturels islamiques ».

    Cela n’empêche pas, Nicolas Sarkozy de réactiver le thème de l’Islam et de la laïcité dans la perspective de 2012 –voir notre article en date du 16 février. Ce dernier expliquait aux députés UMP rapportait Le Figaro hier, qu’ «il y a un décalage croissant entre les médias et les préoccupations des Français. Les racistes d’hier sont devenus les populistes d’aujourd’hui (sic). Notre formation politique puis le Parlement doivent s’occuper de ces sujets.» D’où l’idée d’organiser le 5 avril, par l’intermédiaire de  l’UMP,  une « convention sur la place des religions. »

    « Inquiet de la percée du Front national dans les sondages, Nicolas Sarkozy refuse de laisser (Marine Le Pen) préempter la question de la laïcité poursuit cet article qui explique encore : « Ces derniers mois, le chef de l’État a également été alerté par des élus, mais aussi les services de renseignements, inquiets d’un durcissement de certaines revendications communautaires, et d’une multiplication de prêches anti-Occident dans les mosquées. »

    « Le mois dernier, lors d’une réunion rassemblant plusieurs directeurs de cabinet, celui d’Alain Juppé, Jacques Gérault, a raconté son expérience comme préfet de Rhône-Alpes: Un grand imam de même que le responsable local du culte musulman (CFMC) m’ont dit qu’il arriverait un moment où ils ne pourraient plus contenir leurs troupes… Le témoignage a glacé l’assistance. «L’islam sera un sujet phare de la présidentielle», analyse un participant à cette réunion… »

    Nous estimons pour notre part qu’il eut été intellectuellement beaucoup plus honnête que ce soit « l’immigration » qui soit le « sujet phare de la présidentielle », à l’heure  notamment  ou les premiers tunisiens clandestins débarqués à Lampedusa ont déjà  été repérés à la frontière  entre la France et L’Italie.

    Cette question est pourtant essentielle  au moment où les pays du Maghreb et du Proche-Orient basculent dans une instabilité inquiétante. Le  ministre du Tourisme tunisien Mehdi Houas l’a déclaré à l’AFP : «La situation nʼa pas changé, les pauvres du Sud veulent toujours rejoindre lʼeldorado du Nord. Ce nʼest pas parce que l’on sʼest débarrassé de la dictature que tout sʼest arrangé. Il y a toujours 10 millions dʼhabitants, dont certains pensent quʼil nʼy a plus dʼespoir. »

    La réédition  du livre prophétique de Jean Raspail, « Le camp des saints » répond indubitablement à une actualité brûlante. Oui, les jours de la civilisation européenne son comptés, sans un rapide sursaut salvateur de nos peuples.

    Blog de Bruno Gollnisch - 18/02/11

  • DEBAT SUR L'ISLAM - Marine Le Pen: " Il faut obtenir la séparation de la mosquée et de l'Etat

    Propos recueillis par Ségolène Gros de Larquier

    Le Point.fr : L'UMP prépare une grande convention sur la place des religions, et donc de l'islam, en France. Que vous inspire cette initiative ?

    Marine Le Pen : Contrairement à ce que pense Jean-Luc Mélenchon, cela prouve que le FN sert à quelque chose ! Ces sujets n'étaient absolument pas abordés jusqu'à ce que nous réclamions l'ouverture d'un débat national. Je remarque que quand le FN est à 15 % dans les sondages, l'UMP parle des problèmes... Alors si demain le FN est à 30 %, le gouvernement commencera peut-être à régler un certain nombre de problèmes. Il faut donc que le FN soit à 30 % !

    Mais je ne suis pas dupe : cette convention sera du "blabla" alors qu'il faut agir. Si c'est pour nous assurer que les prières de rue vont être interdites à la fin du débat, il faut empêcher tout de suite l'UMP de gaspiller de l'argent ! Les prières de rue sont déjà interdites ! L'UMP doit agir, car c'est un parti au pouvoir et non de l'opposition !

    Le secrétaire d'État au Logement Benoist Apparu propose d'amender la loi de 1905 de séparation des Églises et de l'État afin de permettre à l'État de participer à la construction de mosquées...

    Mais le financement public des mosquées existe déjà, en contradiction avec la loi. Il nous propose d'entériner des violations de la loi de 1905 qui ont déjà lieu ! Par exemple, la Fondation des oeuvres de l'islam de France permet à un certain nombre de musulmans de ne pas payer d'impôts parce qu'ils versent de l'argent pour la construction de mosquées.

    Que proposez-vous pour encadrer l'islam en France ?

    Les juifs, les catholiques se sont soumis à l'encadrement politique en vigueur en France. On a obtenu la séparation des Églises et de l'État en 1905. Il n'y a plus qu'à obtenir la séparation de la mosquée et de l'État. C'est loin d'être fait. Pour y parvenir, je propose d'inscrire dans la Constitution que 'la République ne reconnaît aucune communauté'. Par là, on arrête les subventions aux associations communautaristes et on amène chacun au strict respect de la loi de 1905. Personne ne violait cette loi il y a quelques années. Mais aujourd'hui, la France est confrontée à des revendications de plus en plus importantes provenant de groupes politico-religieux musulmans. Il faut rappeler ces derniers à la loi et non pas torturer cette dernière pour des raisons clientélistes et électoralistes.

    Je plaide aussi pour un contrôle supplémentaire des financements étrangers. Il faut instaurer une règle juste et morale consistant à ne pas accepter de financements provenant de pays étrangers qui eux-mêmes ne respectent pas la liberté religieuse. C'est d'ailleurs ce que pratique le gouvernement norvégien.

    Faut-il plus de mosquées en France ?

    Je ne sais pas s'il faut construire plus de mosquées. Ce qui est certain, c'est que les prières de rue ne sont pas la conséquence du manque de place dans les lieux de culte musulmans. Cela, c'est un mensonge et une manipulation de l'opinion émanant de religieux fondamentalistes. Ainsi, à la demande de l'imam de la rue Myrrha à Paris, des musulmans de toute l'Ile-de-France se donnent rendez-vous pour faire croire qu'il n'y a pas assez de place dans les mosquées ! Au même moment, la grande mosquée de Paris est vide !

    Quid de la formation des imams ?

    Ce n'est pas à la République française de s'occuper de la formation des imams, pas plus que de celle des curés. En revanche, l'État est là pour s'assurer que tous respectent les lois de la République. Aujourd'hui, des imams prêchent la haine et la violence. D'autres marient une deuxième fois des personnes déjà unies par les liens du mariage. Et cela sans aucune sanction.

    Le Point - 18/02/11

  • Marine Le Pen: "encore un petit effort" de l'UMP et le FN atteindra 25%

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    La présidente du FN Marine Le Pen s'est félicitée vendredi matin du débat lancé par l'UMP sur la place des religions, notamment l'islam, en lançant ironiquement à Jean-François Copé, chef du parti : "Encore un effort" et le FN sera "à 25" (pour cent) à l'élection présidentielle.

        
    A la demande de Nicolas Sarkozy, l'UMP veut lancer un débat, avec une convention le 5 avril, sur l'exercice des cultes religieux, et "singulièrement le culte musulman", comme l'a indiqué le patron du parti majoritaire, Jean-François Copé.

    Interrogée sur France Info vendredi matin, Marine Le Pen s'en est félicité avec ironie, en assurant que "la dernière fois" que Nicolas Sarkozy a "utilisé cela, c'était le débat sur l'identité nationale et le Front national a fait 15% (des voix) aux régionales".

    "Alors, encore un effort Monsieur Copé ! Encore un petit débat, un petit blabla sur l'islam, la laïcité, et je pense effectivement que nous pourrons terminer à la présidentielle à 25" (pour cent), a-t-elle ajouté.

    AFP. 18/02/11

  • Pour Carlos Fuentes, Sarkozy instrumentalise l'affaire Cassez

    Pour l’écrivain et ex-ambassadeur du Mexique en France, Carlos Fuentes, Nicolas Sarkozy a converti l’affaire Cassez en une affaire d’Etat, car “il veut apparaître comme le défenseur de la Patrie au moment où sa popularité est au plus bas”.

     L’auteur du "vieux gringo" se dit également convaincu de la culpabilité de la Française.

    Dans cette interview donnée à une radio mexicaine, Carlos Fuentes a également exprimé son rejet de la décision de la France de dédier l’Année du Mexique à Florence Cassez. “On mélange une grande manifestation culturelle avec plus de 100 événements avec une affaire judiciaire, à la rigueur diplomatique“a-t-il déclaré.

    Si à chaque fois que l’on présente Poniatowska, une peinture de Tamayo ou un film de Gabriel Figueroa, l’on va dire que c’est en honneur de Florence Cassez, on ne peut pas participer à cette mascarade” a-t-il précisé.

    Opposé à cette Année du Mexique dédiée à Florence Cassez, Carlos Fuentes s’est aussi dit convaincu de la culpabilité de la Française. “Il y a eu des irrégularités, des montages, mais le fait central est que Cassez était intimement liée à une bande de criminels. Elle a participé à ces crimes, cela a été prouvé“.

    Pour en savoir plus : Lire l’article d’El Universal.

    Le Grand Journal - 15/02/11