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Blog - Page 1444

  • La mondialiste Laurence Parisot contre les mesures de Guéant et Baroin

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    (Cliquez sur la photo)

    « Je ne crois pas qu'il faille faire de l'immigration légale liée au travail un problème », a déclaré la présidente du Medef dans un entretien au Monde daté de dimanche-lundi. Elle a rappelé que l'immigration liée au travail ne représente que 20 à 30.000 personnes par an.

    « Restons un pays ouvert, qui accueille de nouvelles cultures et profite du métissage », a poursuivi Laurence Parisot.

     Face à la montée du populisme, « le plus grand danger, ce serait de se refermer », a-t-elle ajouté, en se livrant à un vibrant plaidoyer en faveur d'une plus grande intégration européenne.

    Ces propos sont donc très violemment opposés aux mesures annoncées vendredi soir par Claude Guéant sur le plateau de TF1. Le ministre de l’Intérieur souhaite en effet diminuer l’immigration légale de 20.000 individus, passant ainsi de 200.000 à 180.000 immigrés légaux par an. Selon lui, « l’intégration est en panne en France ».

    Une vision du monde que ne partage pas la présidente du Medef. Selon elle, ces questions de l’intégration de l’autre devraient tout d’abord être discutées à l’école : Si « il y a des enjeux d'intégration dans notre pays, c'est notamment à l'école et avec les enseignants qu'il faut les aborder », a-t-elle estimé.

    Ce n’est pas la première fois que la présidente du Medef s'indigne contre les promesses de Claude Guéant. Elle n'est d'ailleurs pas la seule à avoir critiqué cette dernière annonce, puisqu’avant elle Christine Lagarde, et les socialistes étaient montés au créneau.

    «Stupéfaite » par la proposition de Baroin

    Dans le même entretien, elle en a profité pour revenir sur la mesure controversée de François Baroin. « Nous sommes un peu stupéfaits », déclare-t-elle, face à la proposition du ministre du Budget de pousser les entreprises à verser une prime de 1.000 euros à tous les salariés, avant de distribuer les dividendes à leurs actionnaires. « Attention, s'il n'y avait plus de distribution de dividendes, il n'y aurait plus d'investissement ! », prévient-elle en soulignant au contraire la nécessité de soutenir celui-ci pour accélérer la sortie de crise. Elle a réaffirmé son opposition à la mesure en posant la question : « Comment accepter que l'Etat décide de la politique salariale de chaque entreprise au risque de tuer l'envie d'entreprendre et d'étouffer la liberté créatrice ? »

    16 avril 2011

  • Dix ans de réclusion pour les violeurs de la musicienne

    Olivier Armouche, 23 ans, et Miradji Said, 22 ans, ont été condamnés, hier, par la cour d'assises de Haute-Garonne à 10 ans, chacun, de réclusion criminelle pour le viol d'une femme à son domicile, le 27 décembre 2009, à Toulouse.

    Un troisième accusé, Clovis Awolimon, a écopé d'une peine de 4 ans d'emprisonnement pour vol et violences en réunion. Des peines légèrement inférieures aux réquisitions de l'avocate générale, Florence Galtier, qui avait demandé 15 ans de réclusion pour les deux jeunes gens accusés de viol.

    Hier, le verdict a été prononcé après trois jours de débats à huis clos et en présence, par intermittence, de la victime, une musicienne toulousaine âgée de 44 ans, au moment des faits. Une femme qui a vécu un véritable enfer un soir d'hiver, chez elle, en plein Toulouse, alors qu'elle rentrait d'un concert. Le 27 décembre, trois individus imbibés d'alcool et refoulés de discothèque font irruption à son domicile en cassant la porte. Deux d'entre eux la violent et le troisième fouille l'appartement et dérobe la carte bancaire de la victime menacée et traumatisée. Quelques semaines plus tard, le trio est arrêté par les policiers de la sûreté départementale.

    Commence alors, un long travail de reconstruction pour la victime. Une femme aujourd'hui soulagée. « Elle voulait passer cette étape du procès pour s'éloigner de ce qu'elle a vécu », a résumé son avocat, Me De Caunes. Défendu par Me Bouchaib, Awolimon n'a pas participé au viol, contrairement aux deux autres accusés défendus par MeLegros-Gimbert et Balbo.

    Source La Dépêche - 16 avril 2011

  • Le CRIF refuse de donner " un certificat de Cacherout" à Marine Le pen

    Marine Le Pen dépasse régulièrement 20% dans les sondages ; le Front National a aussi obtenu près de 20% dans les cantons où il était présent. Cette réussite est généralement attribuée à la stratégie moderniste et républicaine de Marine Le Pen. Mais ce succès ne va pas sans susciter des inquiétudes et des hostilités. Inquiétude de la superclasse mondiale (SCM) face à un projet qui fait la part belle à un protectionnisme raisonnable, à la souveraineté des lois françaises, à la préférence nationale et à l’exercice du pouvoir référendaire par le peuple. Or c’est la superclasse mondiale qui contrôle les médias. Par ailleurs, alors que, comme beaucoup de leurs compatriotes, de nombreux français juifs sont tentés par le vote FN, le CRIF – le Conseil représentatif des institutions juives - a lui adopté une position franchement hostile au Front National ; ainsi qu’à Marine Le Pen à qui il refuse que soit donné « un certificat de Cacherout » (sic).

    Or le CRIF est un groupe de pression puissant : le seul en tout cas en France qui soit capable de rassembler pour son dîner annuel la quasi totalité du gouvernement, les chefs de la police et de la justice ainsi que les grands dirigeants économiques et médiatiques. Il nous paraît intéressant de livrer au débat le point de vue du président Richard Prasquier qui entend agir pour maintenir la « diabolisation » du Front National.

    Andréa Massari

    Auto-interwiew de Richard Prasquier sur le site du CRIF

    « Je me suis élevé contre son invitation (de Marine Le Pen) dans une radio de la communauté juive de France parce que j’ai estimé que ce n’était pas à un media de la communauté juive de donner si facilement cet équivalent d’un certificat de cacherout qu’elle était venue chercher, c’est-à-dire de montrer qu’elle était tout à fait fréquentable. Il y avait quelque chose de profondément choquant dans cette démarche. (…)

    Je vais vous dire ce que je pense du Front national et de Marine Le Pen. Le président d’honneur du FN s’appelle Jean-Marie Le Pen. C’est lui qui tient les cordons de la bourse et c’est lui que Marine Le Pen vient voir après les élections. C’est ensemble qu’ils discutent de ses déclarations. Il est extrêmement présent.

    Jusqu’à maintenant, Marine Le Pen n’a jamais déclaré qu’elle était en opposition avec les sorties de son père. Je vous rappelle que Le Pen, c’est trente ans d’insultes vis-à-vis de la communauté juive : « Durafour crématoire » ; le « point de détail »…

    Marine Le Pen a gardé autour d’elle la même équipe que celle de son père, avec des antisémites parfaitement estampillés et extrêmement significatifs.

    Pensez-vous que Marine Le Pen soit antisémite ?

    Ca m’est égal. Il y a des gens qui sont antisémites et qui ne le sont pas quand ça les arrange. Elle est dans un parti qui n’a pas abandonné son antisémitisme et son mépris pour la Shoah. Quand on prétend qu’elle a dit que la Shoah était la pire des barbaries, c’est faux. Elle a dit que les camps étaient la pire des barbaries. C’est complètement différent. Il faut qu’elle en fasse plus pour que nous soyons convaincus. Elle a envie de montrer qu’elle est respectable.

    Comprenez-vous que des juifs puissent voter Front national ?

    Je ne les comprends pas. Il y avait cette fameuse phrase de Churchill sur la guerre et le déshonneur. Parfois je me dis : ils n’ont pas compris. Pensent-ils qu’avec le FN au pouvoir, les juifs vont pouvoir mener une vie heureuse en toute quiétude dans notre pays ?

    Qu’est-ce qui les motive, selon vous ?

    Il y a une phrase extrêmement simpliste sur laquelle il ne faut pas baser sa vie : les ennemis de mes ennemis sont mes amis. Lorsqu’on adhère à une phrase comme celle-là, on s’apprête à accepter toutes les dérives. Pour ceux qui connaissent l’histoire, ils savent à quels périls je pense, avant et après la guerre.

    Le lendemain de l’annulation de l’émission de Radio J, Marine Le Pen a fait appel à un cercle national juif. Avez-vous connaissance de ce cercle? Est-ce que ça vous inquiète ?

    Il y en a déjà eu un autour de son père. Je ne peux que hausser les épaules. Cela me fait penser à cette phrase que disent tous les antisémites : J’ai des amis juifs.

    Il y a un certain nombre de valeurs qui sont les valeurs vraies du judaïsme, qu’on ne peut pas piétiner pour de simples considérations élémentaires et absurdes de politique politicienne dont nous serons les premières victimes.

    Avez-vous pu écouter l’interview de Marine Le Pen ?

    Non. Mais j’ai écouté celui de l’ancien ambassadeur d’Israël. Ce qui rend l’entretien de Nissim Zvili accablant, c’est quand il dit : pourquoi le CRIF veut-il empêcher Marine Le Pen de s’exprimer ?

    Croyez-vous que la présidente du FN ne s’exprime pas ? Elle a toute les émissions de radio et de télévision de France à sa disposition quand elle le veut. C’est normal. Nous sommes dans un pays de liberté et de démocratie. Le FN peut s’exprimer dans les médias. Le CRIF ne l’empêche pas de prendre la parole. Simplement, ce n’est pas à la communauté juive de lui servir de marchepied.

    En tout cas, elle s’est exprimée sur la politique moyen-orientale, sur Jérusalem, sur l’Iran. Beaucoup de nos auditeurs ont été déçus par ses propos sur l’internationalisation de Jérusalem.

    S’ils ont été déçus, c’est qu’ils ne connaissent pas l’histoire. En 2009, son père a dit que Gaza est un grand camp de concentration. Marine Le Pen n’a pas dit qu’elle était choquée par cette analogie. Elle ne s’est pas fâchée avec son père à ce propos.

    Lorsque son père est devenu le parrain d’un enfant de Dieudonné, elle n’a pas dit : loin de moi ce personnage ignoble ! Et quand son père a dit qu’Ahmadinejad est quelqu’un de très respectable, qu’il ne comprend pas qu’on l’empêche d’avoir un armement nucléaire alors qu’Israël le possède, jamais Marine Le Pen n’a dit : je ne suis pas d’accord avec mon père.

    Elle l’a confirmé dans cette émission…

    On le savait mais Nissim Zvili ne le savait pas. J’aurais préféré qu’il ne s’exprime pas, qu’ il essaie de mieux comprendre la situation.

    Marine Le Pen est sur la même ligne que son père. Je vous rappelle que son père a été un soutien de Saddam Hussein, de Muamar Kadhafi et de Mahmoud Ahmadinejad, sans parler de tous ses jeux de mots antisémites et de sa phrase sur l’occupation allemande qui n’était pas, selon lui, si inhumaine que cela.

    Elle a dit qu’on ne peut pas renier son père

    Je ne lui demande pas de renier son père, mais quand on le nomme président d’honneur, quand on va le voir pour prendre des décisions politiques ? C’est un peu plus que de ne pas le renier.

    Le Crif en action
    Richard Prasquier : « Marine Le Pen préside un parti qui n’a pas abandonné son antisémitisme. » 15/04/11

    Correspondance Polémia - 16/04/2011

  • "L'avenir de notre civilisation se joue à Lampedusa, et non à Benghazi"

    Ci-dessous le discours que Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, prononçait ce soir à Paris, sur le Parvis des droits de l’homme au Trocadéro, lors de la manifestation organisée par le collection « Non à la guerre en Libye ». Ce rassemblement vise à dénoncer une guerre « motivée par des intérêts américains ». « Si Sarkozy veut entrer dans l’histoire, a lancé Fabrice Robert, qu’il utilise son énergie à protéger les côtes italiennes avec la Marine française » contre le « tsunami migratoire » qui est en train d’avoir lieu.

    Si nous sommes rassemblés ce soir à Paris, sur le parvis des droits de l’homme, c’est pour dénoncer l’engagement militaire français dans le conflit en Libye. « Au commencement de chaque guerre, il y a toujours un gros mensonge » et nous savons très bien que si les Américains veulent aujourd’hui la chute de Kadhafi, c’est uniquement pour garder la main dans la grande partie de poker mondial en vue de l’appropriation des matières premières.

    Derrière la liberté, derrière la démocratie, au-delà de toutes les belles valeurs que cet engagement militaire prétend défendre se cache une réalité économique. La Libye est le quatrième producteur de pétrole en Afrique et c’est pour profiter de cette richesse que les Etats-Unis mènent cette guerre. C’est bien les Etats-Unis qui dirigent l’ensemble des opérations militaires en Libye. Les Etats-Unis se moquent totalement du peuple libyen. D’ailleurs, il est possible de se poser des questions sur cette révolte libyenne lorsque l’on voit les images de barbus enturbannés qui tirent des rafales de kalachnikov en vociférant « Allah akbar » dans les rues de Benghazi.

    Nous avons déjà protesté, voici deux semaines, devant le consulat de Libye à Paris contre cette guerre. Mais nous sommes également mobilisés depuis plusieurs mois contre l’engagement français en Afghanistan. Notre position est claire. Le Bloc identitaire considère que la France n’a pas à jouer les supplétifs des Américains dont la stratégie est de réduire l’Europe à une simple zone de libre-échange.

    Faut-il rappeler qu’en Afghanistan, où la France est aussi engagée, 54 de nos compatriotes ont déjà trouvé la mort ? Oui, ce sont 54 soldats français qui sont tombés dans les montagnes afghanes. Ils sont tombés pour la France, au nom d’une guerre américaine ! En Libye, aujourd’hui, nous assistons au même scénario.

    Alors que les Français souffrent, que le chômage et la précarité ne cessent de se développer, alors que les caisses sont vides, que l’insécurité explose et que l’immigration incontrôlée est encouragée par les responsables politiques, notre pays s’est engagé dans une guerre qui coûte des millions d’euros. Cette guerre américaine, ce sont les Français qui la subventionnent.
    Sarkozy recherche à l’extérieur les succès qu’il ne réussit pas à engranger en France. S’il veut jouer les matamores, qu’il commence par assurer la sécurité dans nos banlieues, qu’il commence par nettoyer nos quartiers avant de vouloir jouer le justicier à l’étranger. C’est chez nous, ici, en France que le peuple, le nôtre, doit être protégé.

    Dans le même temps, les révoltes arabes ont poussé des milliers de nouveaux immigrés – rebaptisés « migrants » pour mieux faire passer la pilule – à partir à l’assaut de l’Europe. Alors que nous étions déjà confrontés à un véritable mouvement de substitution de population, la nouvelle donne risque d’aboutir à un véritable tsunami ethnique.

    Si Sarkozy veut entrer dans l’histoire, qu’il utilise son énergie à protéger les côtes italiennes avec la Marine française car l’avenir de notre civilisation se joue en ce moment à Lampedusa et non à Benghazi.

    Notre message est clair. De Kaboul à Tripoli : pas de guerre pour les Etats Unis !

    Pour contacter le collectif « Non à la guerre en Libye » : nonalaguerreenlibye@hotmail.fr


    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
    [http://fr.novopress.info]

    15 avril  2011

     

  • Israël: des clous romains peut-être liés à la crucifixion du Christ

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    Deux clous romains datant de 2.000 ans retrouvés dans la tombe d'un Grand prêtre juif, devant qui Jésus a comparu, pourraient être liés à la crucifixion du Christ, affirme un documentariste israélien.


    Ces bouts de fer tordus, de 8 centimètres de long chacun, ont été présentés aux médias mardi à l'occasion de la présentation d'une série documentaire télévisée sur cette hypothèse non corroborée par des historiens.

     Les deux clous en fer ont été découverts à Jérusalem il y a 20 ans lorsque des archéologues ont mis au jour une tombe familiale qui serait celle de Caïphe, le Grand prêtre du Temple juif devant lequel Jésus avait comparu avant d'être livré aux autorités romaines.
    Un des clous a été collecté dans un des douze coffres en pierre retrouvés dans le caveau. Le deuxième clou se trouvait par terre dans le tombeau.
    "La longueur des clous et le fait qu'ils étaient tordus à l'une de leurs extrémités pourrait accréditer l'idée qu'ils ont été enfoncés dans les poignets lors d'une crucifixion", a expliqué le réalisateur du documentaire, Simcha Jacobovici, reconnaissant toutefois que sa théorie n'était fondée que sur des spéculations.
    Gabi Barkai, professeur d'archéologie à l'université Bar Ilan de Tel Aviv, spécialiste de l'excavation de tombes à Jérusalem, a confirmé que les clous dataient du premier siècle après JC mais qu'il était impossible d'établir une datation plus précise.
    "La présence de clous dans des tombes datant de la période du Second Temple (détruit par les Romains en l'an 70) est rare", a affirmé le professeur aux journaliste, en précisant qu'aucun résidu d'os n'avait été identifié sur les deux clous.
    De nombreux historiens s'accordent aussi pour dire que la plupart des crucifixions à l'époque de Jésus se faisaient sans clou, les suppliciés étant attachés avec des cordes.

    Source dafina.net - 13 avril 2011

  • Khadafi défie les bombes de l'OTAN en parcourant les rues de Tripoli en décapotable - "Le dernier homme debout" - 14.04.2011

    TV libyenne -  14 avril 2011

  • Salim, franco-algérien prisonnier à vie en Algérie

    Ce Français d’origine algérienne est détenu depuis août 2008 à la prison d’Oran pour trafic de stupéfiants. Typhanie, sa compagne qui réside en France, se bat pour lui. Espoir dans une grâce présidentielle.

    Parti en vacances en 2008 en Algérie, Salim B. (ci-contre), Français d’origine algérienne, 30 ans, a tenté de rentrer en France avec 140 kilos de résine de cannabis à bord de son véhicule. Crédule ou intrépide, il a été appréhendé et immédiatement incarcéré en août de cette année-là à la maison d’arrêt d’Oran. Jugé en janvier 2010, le verdict est cinglant : réclusion à perpétuité. Il a fait appel de la décision, a demandé un pourvoi en cassation, mais rien n’y a fait, la sentence a été maintenue : c’est la prison à vie pour Salim. Une peine démesurée par rapport à l’infraction commise. Mais telles sont les peines applicables pour ce genre de délits en Algérie.

    Avec une centaine de détenus de la prison, il a démarré une grève de la faim pour alerter le gouvernement algérien sur ces peines impitoyables mais il s’est vite rendu compte que cela ne servirait à rien sinon à dégrader sa santé. En France, à Ivry-sur-Seine, c’est sa famille qui se mobilise pour lui. Sa grand-mère âgée de 77 ans a décidé de s’établir définitivement dans sa maison d’Alger à 6 heures de route d’Oran, afin de pouvoir lui apporter son panier une fois tous les 15 jours pour un parloir de 10 minutes derrière une vitre en plexiglas.

    Il n’a personne d’autre là-bas, et sans famille la vie carcérale est très rude. Pas de nourriture, pas de linge propre pour se vêtir ou pour dormir. Rien ! Ce ne sont pas les « prisons hôtels » de France, où les détenus sont nourris, logés, blanchis et peuvent même travailler. Lui est dans une cellule de 4 mètres de large et 15 de long, avec 22 codétenus. Ils dorment à même le sol et ont pour seules distractions les quelques promenades quotidiennes.

    Sa fiancée, Typhanie (ci-contre), âgée de 24 ans, secrétaire médicale, ne l’a pas ni vu ni même entendu depuis deux ans et demi. Une période durant laquelle elle a mis sa vie entre parenthèses. Elle ne parvient plus à garder un travail, une mélancolie qui la paralyse. Elle reçoit uniquement des nouvelles de Salim par courriers, plus de 800 lettres d’amours mêlant espoir et désespoir. Son père ne comprend pas forcément, il a essayé de la dissuader de s’accrocher à son fiancé : « Salim est très gentil mais tu es en train de gâcher ta vie, tu devrais passer à autre chose. » En revanche sa mère la soutient dans ses démarches, attristée et outrée par ce qui arrive à Salim. Typhanie redouble d’énergie quand il s’agit de se battre pour l’extradition de sa moitié. Elle a participé à la création de comités de soutiens notamment sur le net http://tousderrieresalim.webnode.fr/ecrire-un-message-a-salim/ et via Facebook «Soutien pour l’extradition Algérie-France de SALIM condamné à PERPETUITE ». Elle enchaîne les rendez vous avec différents avocats algériens et français dont Me Gilbert Collard.

    Elle lutte aussi pour pouvoir le serrer dans ses bras ne serait-ce que quelques minutes. Il faut savoir qu’en Algérie, les fiancées ne peuvent en aucun cas obtenir un permis de visite. Seuls les membres de sa famille sont autorisés à le voir. Elle se bat pour qu’on lui accorde le droit de voir son bien-aimé. Typhanie s’est donc rendue à plusieurs reprises en Algérie afin de faire les démarches nécessaires pour pouvoir se marier en prison. Elle a du se convertir à l’islam, une obligation à laquelle elle s’est pliée même si elle n’est pas croyante, car en Algérie toutes les demandes de mariage passent par le ministère des affaires religieuses qui exige que les époux soit de confession musulmane. Sinon pas de mariage.

    Son dossier est toujours en cours de traitement. En attendant elle continue de militer pour obtenir son retour en France.

    Source BondyBlog - Noria Yatim-Kaf

    15 avril 2011

  • Il n'y aura pas de concours spécial pour les étudiants juifs pratiquants

    "Il n'y a pas de session spéciale ou quoi que ce soit d'organisé pour des étudiants juifs", a affirmé Richard Melis, responsable du concours Mines-Pont. "Nous n'avons pas d'aménagement pour raison personnelle ou religieuse", a également dit Jean-Philippe Rey, secrétaire du jury du concours de Centrale-Supelec. Tous deux contestent donc les accusations du site Mediapart qui affirmait mardi avoir eu connaissance d'un "projet préparé à l'instigation de l'Elysée, visant à organiser deux séances secrètes de nuit, réservées à quelques étudiants juifs voulant passer les concours d'admission aux grandes écoles d'ingénieurs", pour leur permettre de respecter l'interdiction de travailler les jours de la Pâque juive (du 18 au 26 avril).

    • Selon Médiapart, l'Élysée aurait demandé à ce que des épreuves spéciales soient organisées, de nuit, pour les candidats juifs pratiquants qui souhaiteraient passer les concours qui tombent, cette année, en pleine Pâques juive de certaines grandes écoles. Ces dernières démentent.

    "Il n'y a pas eu de contact avec l'Elysée, a ajouté Jean-Philippe Rey. La seule chose que j'aie eue, c'est un contact du ministère il y a huit mois, qui m'a dit avoir été approché par l'UEJF (Union des étudiants juifs de France, ndlr). On a regardé comment on pouvait aménager les dates du concours et on n'a pas trouvé de solution. L'école est donc restée sur une organisation classique".
     
     Mediapart a maintenu ses informations en publiant mercredi "une note confidentielle" du directeur de l'Ecole centrale, Hervé Biausser, adressée à Bernard Belloc, conseiller de l'Elysée chargé de l'enseignement supérieur.

     Cette note propose plusieurs solutions pour aménager le concours, tout en avertissant de leur infaisabilité. Selon la note, une modification des dates serait "matériellement  impossible" et établir des "conditions particulières pour certains candidats" ne serait "pas envisageable" car cela ne permettrait pas de "garantir le secret" des sujets. "Le principe de laïcité nous interdit de pratiquer des aménagements sur la base de l'appartenance à une religion", est-il rappelé.

     La troisième solution envisagée est que les candidats concernés soient "relevés" de leurs obligations par les autorités de la communauté juive. "Cela suppose une intervention de l'Etat au plus haut niveau auprès de ces autorités, est-il précisé. Cette solution est évidemment, et de très loin, la meilleure et la plus simple à mettre en oeuvre."

    Dans un communiqué mercredi, l'UEJF a dit que la République n'avait "pas de  compte à rendre aux communautés religieuses". Elle a estimé qu'il n'y avait "rien de nouveau ni d'obscur dans la recherche de solutions qui permettent aux étudiants de combiner leurs pratiques religieuses avec le modèle républicain".

    TF1 le 14 avril 2011
  • Concours/Juifs: "demandes pas nouvelles" (Le Monde)

    Nouveau rebondissement dans l'affaire des "concours de nuit" pour les étudiants juifs pratiquants. Décaler les horaires de composition lors des sessions d'examen dans une université ou des écoles serait une pratique assez banale selon Le Monde. Le site Mediapart aurait-il légèrement survendu son enquête d'étudiants chauve-souris composant la nuit en secret ?

    C'est une petite mise au point sans en avoir l'air. Alors que Mediapart révélait mercredi 12 avril que "des sessions secrètes de nuit ont été prévues" pour les étudiants juifs pratiquants pour leur permettre de se présenter aux concours des grandes écoles qui doivent se tenir le jour de la fête de la Pâques juive, Le Monde semble indiquer que ces dérogations sont relativement courantes.

    Dans un article intitulé sobrement "Concours : la communauté juive réagit à la polémique", Le Monde relativise l’importance des révélations de Mediapart : "Comme elles le font régulièrement lorsque, pour des raisons religieuses (interdiction d'écrire ou de se déplacer autrement qu'à pied...), les étudiants les plus pratiquants ne peuvent pas composer, les organisations juives ont demandé aux grandes écoles une organisation spécifique". Des sessions secrètes de nuit ? Non, de simples horaires décalés : "lorsque les universités ou les écoles acceptent de prendre en compte ces demandes, les étudiants juifs sont confinés le temps de l'épreuve qu'ils ne peuvent pas passer et composent en horaires décalés, comme cela arrive pour les étudiants ultramarins" poursuit le quotidien.

    Le Monde et la polémique des étudiants chauve-souris

     Face aux étudiants chauve-souris qui participent à des sessions secrètes de "nuit", Le Monde préfère donc le terme plus sobre d'horaires décalés et insiste sur le fait que ces demandes de dérogation sont récurrentes et pas toujours acceptées : "Il semble que les directeurs des écoles aient refusé tout aménagement" ajoute le quotidien. Les responsables des concours ont même démenti que de telles options aient été envisagées cette année comme nous l'avions déjà souligné.

     Dans cette affaire, il n'y aurait donc rien de neuf, si ce n'est l'importance accordée cette année à ces demandes en raison des révélations de Mediapart : "Mais même si ces demandes ne sont pas nouvelles et se règlent habituellement "dans la discrétion, mais pas dans le secret", selon un rabbin, la publicité donnée au concours 2011 embarrasse les institutions juives" précise le quotidien. En cause, le fameux débat sur la laïcité organisée par l’UMP : "La présidente de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), Arielle Schwab, s'inquiète que cette affaire ne donne lieu à "de nouvelles crispations identitaires, servant à monter les communautés les unes contre les autres". Pour elle, il n'y a pas de problème, cette pratique est banale (ce qu'elle avait déjà signalé dans Libération).

    Sujet de concours de culture générale: entre des aménagements "secrets" ou "discrets", des "horaires décalés" ou des "sessions de nuit", montrez comme le choix des mots banalise ou dramatise. Durée de l'épreuve: 4 heures.

    Source Arrêt sur images - 15 avril 2011

     

  • Présidentielle 2012: Sarkozy "la sent bien"

    Garder le cap dans la dernière partie de son quinquennat: Nicolas Sarkozy a paru confiant lors de la réunion des députés du parti majoritaire à l’Elysée ce mercredi midi. Le président de la République, actuellement au plus bas dans les sondages, ne s’émeut pas de cette situation, selon des participants.

    Répondant aux questions des députés, le chef de l’Etat a souligné que la situation actuelle ressemble à «un marathon» selon le député de Haute-Savoie Lionel Tardy, puisque l’on subit une «crise du siècle» où «tout le monde paye». «La situation, je la sens bien», a lâché Nicolas Sarkozy, faisant allusion à l’élection présidentielle de 2012.

    «Deux jours dans le système médiatique»

    Répondant à une question sur la candidature à la présidentielle de Nicolas Hulot, annoncée ce mercredi matin à Sevran, le président de la République a estimé que cela représentait un «épiphénomène» dans «le système médiatique».

    Il a donné comme exemple l’appel du 19 juin 2010 de Dominique de Villepin, «que tout le monde a oublié», ou encore les dernières sorties de Jean-Louis Borloo - qui vient de quitter l’UMP- ou François Hollande –qui a annoncé sa candidature aux primaires socialistes pour 2012- qui «durent deux jours» dans ce système. 

    «Aucune appétence pour le PS»

    La candidature du présentateur de l’émission Ushuaïa durera «un jour» dans les médias, estime Nicolas Sarkozy, avant d’ajouter que l’exposition médiatique de Marine Le Pen est une bonne chose: A plus d’un an de la présidentielle, la présidente du Front national aurait le temps nécessaire de «faire des bourdes».

    Revenant sur les dernières élections cantonales, Nicolas Sarkozy a souligné que la perte de 22 cantons et d’un département était relative, selon le député UMP Lionel Tardy, jugeant qu’il  n’y avait pas de panique, et que les Français n’avait «aucune appétence pour le Parti socialiste».

    Divisions contre-productives

    Sur le récent départ de Jean-Louis Borloo, le chef de l’Etat a considéré que dans l’histoire de la Ve République, les divisions et les candidatures parallèles à la présidentielle «n’ont jamais rien données».

    C’est à cette occasion que le chef de l’Etat a jugé que les divisions sont inutiles et contre-productives, estimant qu’«à force de divisions, le quatre quart va devenir un mille pattes», dans une envolée mêlant référence culinaire et animalière pour définir l’UMP.

    «Pas le temps du bilan»

    Valorisant son expérience à la tête de l’Etat, Nicolas Sarkozy a ensuite jugé que l’«on construit un destin sur le rassemblement, pas sur la division», ajoutant que l’«on juge un Président sur la difficulté, pas sur la facilité», et qu’en la matière, il s’en «prenait plein la tête».

    Enfin, répondant à Alain Joyandet qui le questionnait sur «son bilan», Nicolas Sarkozy lui a rétorqué que ce n’était pas «le temps du bilan, mais le temps du travail».

    Source 20minutes - 13 avril 2011
  • Pour Delanoë, tous les martyrs n'ont pas la même valeur - Faut-il s'en étonner?

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    Lors de son récent passage à Tunis, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a rencontré, le jeudi 14 avril, le Premier ministre du Gouvernement provisoire, Béji Caïd Essebsi. A l’issue de son entretien, Bertrand Delanoë a réaffirmé le soutien de la ville de Paris au peuple et à « la révolution tunisienne » et pour la énième fois, il a indiqué qu’une place Mohamed Bouazizi serait inaugurée, au mois de juin prochain, dans le 14e arrondissement de Paris.

    Mohamed Bouazizi est ce jeune vendeur ambulant dont l’immolation par le feu, a été à l’origine du soulèvement en Tunisie. Il s’en est suivi la chute de Ben Ali et une onde de choc internationale qui a déclenché plusieurs révoltes dans le monde arabe...

    Selon Bertrand Delanoë, le but, en donnant son nom à une place parisienne, est de saluer « l’héroïsme de ce jeune homme » et aussi « l’énergie du peuple tunisien » qui ont « inspiré d’autres révolutions dans le monde arabe ».

    On rappellera qu’il n’existe toujours pas de place Jan Palach ou Alain Escoffier à Paris.

    Jan Palach était un étudiant tchécoslovaque en philosophie qui s’est immolé par le feu sur la place Venceslas à Prague le 16 janvier 1969 pour protester contre l’invasion de son pays par l’Union soviétique en août 1968.

     Alain Escoffier quant à lui était un militant nationaliste français qui s’immola par le feu le 10 février 1977 devant les bureaux de l’Aeroflot à Paris pour dénoncer la venue de Leonid Brejnev en France. Son dernier cri a été: "Communistes assassins!"

    NPI - 15 avril 2011

  • Comme prévu, le pouvoir sarkozyste se couche devant les atteintes à la laïcité

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Nous avons aujourd’hui confirmation de ce que le Front National annonçait : le grand ramdam sur l’islam et la laïcité, savamment organisé par Claude Guéant depuis des semaines, n’était qu’une vaste opération de communication à visée électoraliste. Un grand blabla pour rien, une grande entourloupe, preuve de l’absence totale de sincérité de l’UMP comme du gouvernement.

    M. Guéant vient en effet d’annoncer la création d’une « conférence départementale » et d’un « groupe de travail interministériel » sur la laïcité… Si nous étions le 1er avril, nous pourrions croire à une plaisanterie, tant cette méthode est caricaturale d’un gouvernement qui souhaite se débarrasser en douce d’un problème sans le régler.

    Autrement dit, rien, strictement rien, ne sera fait contre les multiples atteintes à la laïcité perpétrées chaque jour par des fondamentalistes musulmans. Rien en particulier contre les scandaleuses prières de rue, si ce n’est un nouvel aveu de faiblesse : l’annonce d’une « collaboration » avec le préfet de police sur ce sujet… Il n’y a pas à collaborer avec quiconque quand la loi de la République est bafouée : il faut la rétablir dans l’heure !

    Plus inquiétant, il y a même à craindre que ce rien ne cache un pire. La seule action du gouvernement semble en effet s’orienter vers un aménagement en catimini de la loi de 1905, afin de valider le financement illégal des nouvelles mosquées par les collectivités locales. Il a été redit ce matin que les baux emphytéotiques et les garanties d’emprunt devraient être facilités.
    On entend décidément de plus en plus souvent cette petite musique de la remise en cause de la loi de 1905 du côté de l’UMP. C’est extrêmement préoccupant.

    Marine Le Pen, Présidente du Front National, dénonce la passivité totale du gouvernement Sarkozy face au recul continu de la laïcité dans nombre de nos villes. Les risibles « conférences » et « groupe de travail » annoncés aujourd’hui par Claude Guéant sont quasiment une insulte à la République.

    Marine Le Pen sera extrêmement vigilante face aux contournements en préparation de la loi de 1905. Elle rappelle que pas un centime de l’argent versé par les contribuables ne doit aller au financement des cultes.

    Elle demande le respect intégral et immédiat de la loi républicaine : interdiction sans attendre des prières dans la rue, et application stricte de la loi de 1905 sur la laïcité, à tous les niveaux.

    NPI -15 avril 2011

  • VIDEO - Khadafi en décapotable sous les bombes de l'OTAN

    http://www.leparisien.fr/intervention-libye/video-kadhafi-en-decapotable-sous-les-bombes-info-ou-intox-14-04-2011-1408052.php

    Surréaliste!

    14 avril 2011

  • Abattage rituel - Affiches interdites - La plainte de Brigitte Bardot vient d'être rejetée

    La plainte de Brigitte Bardot contre Brice Hortefeux, ancien ministre de l’Intérieur, et Bruno Le Maire, ministre de l’Agriculture, pour non respect de la réglementation dans les abattoirs a été rejetée par la Cour de Justice de la République (CJR), a annoncé aujourd’hui sa Fondation.

    « Face à la généralisation, en France, de l’abattage rituel ‘Halal et Casher’ et l’immobilisme des pouvoirs publics », la Fondation Bardot avait saisi la CJR en février 2011, jugeant que les deux ministres portaient une part de responsabilité dans le non-respect de la réglementation européenne et du code rural par de nombreux abattoirs.

    http://www.islamenfrance.fr/2010/11/11/lautorite-de-regulation-professionnelle-de-la-publicite-interdit-les-affiches-de-brigitte-bardot/

    « Nous vivons dans un monde d’injustice où les coupables ne sont jamais punis. J’ai honte de mon pays, honte de nos ministres lâches, calculateurs, honte de nos institutions qui se plient devant la dictature de l’hypocrisie et du mensonge », a déclaré BB dans un communiqué, après le classement sans suite de sa plainte.

    Fin mars, Brigitte Bardot s’était offert une pleine page dans le quotidien Le Parisien pour dénoncer dans une lettre manuscrite le supplice des animaux soumis à l’abattage rituel dans des « conditions de violence et d’inhumanité abjectes » qui concernerait « 100% des bêtes en Ile-de-France ».

    Source : Le Figaro

    14 avril 2011

  • Qui sont les pauvres en France?

  • Nicolas Hulot rejette la main tendue du FN

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    (Cliquez sur la photo)

    Invité aujourd’hui au « 7/9″ de France Inter, Nicolas Hulot a jugé « impossible » et « inenvisageable » la compatibilité mise en avant par le Front national entre son projet et celui du parti d’extrême droite, en s’étonnant par ailleurs du « certificat d’honorabilité » délivré parfois au FN de Marine Le Pen.

    « Absence de valeurs »

    L’animateur, qui a annoncé hier sa candidature à l’élection présidentielle de 2012, estime que « les valeurs qui sont le socle » de son programme sont « très éloignées des valeurs ou de l’absence de valeurs que le Front national véhicule ».
    Marine Le Pen avait affirmé que le programme de Nicolas Hulot était proche de celui du Front national « sur la relocalisation de la production, sur la nécessité de fixer les populations dans leur pays d’origine ».

    Refus du « Pacte écologique » en 2007

    A la présidentielle de 2007, le candidat du FN Jean-Marie Le Pen avait refusé de signer le « Pacte écologique » de Nicolas Hulot, un refus que Marine Le Pen, alors directrice stratégique de la campagne de son père, justifiait par les taxest prévues par le pacte, selon elle excessives. « Ce n’est pas en prenant à partie les contribuables », en créant » un impôt supplémentaire alors qu’ils n’en peuvent plus » ou « en leur interdisant d’utiliser leur voiture » qu’on trouvera des solutions, avait-elle confié.

    Source : Le Figaro

    Défrancisation - 14 avril 2011