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Blog - Page 1891

  • Les "jeunes" sont devenus des "lycéens"!

    Des incidents ont éclaté ce matin devant le lycée Gustave Monod de Saint-Gratien, voisin de la ville d'Enghien-les-Bains (Val-d'Oise). A partir de 11 h 30, pendant trois quarts d'heure, des lycéens se sont affrontés aux forces de l'ordre devant l'entrée de cet établissement. Des pavés prélevés sur un terre-plein voisin ont été projetés en direction des policiers.

    Deux d'entre-eux ont été légèrement blessés. Dans le même temps, une voiture a été incendiée, des barrières et des panneaux routiers démontés et arrachés. Les policiers, qui ont fait usage de gaz lacrymogènes, ont bloqué les accès à Enghien-les-Bains afin de contenir les débordements. Un peu plus loin, à Saint-Gratien, un groupe de lycéens a saccagé les rayons d'une supérette. Toujours dans le Val-d'Oise, des incidents ont été signalés également en fin de matinée à Sarcelles.

    Un léger glissement sémantique!

    Il suffit que les "jeunes" (toujours les mêmes) soient à proximité d'un LYCEE pour être appelés "lycéens" par les médias!

    Parmi ces jeunes CPF, il peut y avoir des jeunes inscrits dans un lycée... Mais ces émeutes, ces altercations violentes avec la police, ces saccages et voiture mise à feu nous rappelent des émeutes où l'on ne parlait pas de "lycéens", mais de jeunes immigrés! 

  • Philippe Randa Diffusion PRIMATICE

    Chers amis lecteurs,

    Ce mois-ci, LA LIBRAIRIE PRIMATICE fête ses deux années d’existence samedi 12 avril (entre 11h00 et 19h00) dans ses locaux situés, comme son nom l’indique, au 10 de la rue Primatice dans le XIIIe arrondissement (métro Place d’Italie).
    Marcelline, Xavier et toute l’équipe de la librairie se joignent à moi pour inviter nos amis et lecteurs à venir prendre un (ou plusieurs) verre(s), et à profiter des nombreuses bonnes affaires qui vous seront proposées ce jour-là.
    Vous pourrez retrouver à cette occasion un grand nombre d’auteurs, ainsi que plusieurs journalistes et collaborateurs de journaux, revues ou sites internet politiquement incorrects.
    Par ailleurs, nos correspondants réguliers ont reçus ces jours-ci le 100e catalogue FRANCEPHI DIFFUSION et toute notre (très) petite équipe n’en est pas peu fière.
    Oui, nous avons une légitime fierté d’avoir pu, en dépit d’innombrables difficultés – manque de temps et surtout de moyens – vous informer des parutions nouvelles des meilleurs éditeurs non-conformistes. Grâce à la librairie Primatice et à Francephi diffusion, des milliers d’ouvrages non-conformistes ont ainsi pû échapper à l’oubli…
    Au fil des années, vous l’avez constaté, nos catalogues se sont enrichis de sujets, d’auteurs, d’éditeurs nouveaux… Nous avons ouvert notre diffusion aux revues, aux DVD, aux CD qu’il est difficile – parfois impossible – à se procurer dans les grands circuits de distribution, leur assurant une promotion inespérée et souvent vitale pour eux.
    Chaque mois, beaucoup d’entre vous nous font part de leur reconnaissance et nous sommes extrêmements sensibles à vos témoignages de sympathie. Pour ma part, j’estime qu’il n’y avait là rien que de très naturel entre hommes et femmes sensibles à la culture française, la défense du patrimoine national et européen, la recherche inlassable d’une meilleure connaissance de l’histoire, l’obsession de lutter encore, toujours et inlassablement contre la désinformation, voire la mahonnêteté intellectuelle.
    Nous avons investis beaucoup de temps, d’énergie et le peu de moyens que notre trésorerie permettait pour aller de l’avant, faire connaître notre librairie parisienne Primatice, améliorer nos services internet, diffuser nos catalogues auprès de nouveaux lecteurs, assurer un meilleur suivi de vos commandes… dans le même temps, tous nos frais ont augmentés : tarifs postaux, prix du papier, façonnage et impression des catalogues, charges sociales, frais divers, etc. J’arrête là une liste encore très longue…
    Aussi, comme il vaut mieux prévenir que guérir, je vous demande instamment de continuer à nous soutenir financièrement par des commandes régulières… QUE CHACUN D’ENTRE VOUS PASSE UNE COMMANDE, même minime, mais qui couvrira ainsi, au moins, les frais d’envoi de plus en plus lourds de nos catalogues.
    Si chacun d’entre vous passe une simple commande de 30 euros, nous pourrons envisager les prochains mois avec sérénité… 30 euros pour nous aider à continuer notre combat éditorial.
    D’avance, merci !
    Avec toute ma sympathie et… à samedi !

    Philippe Randa
    PRIMATICE DIFFUSION DISTRIBUTION
    10 rue Primatice - 75013 Paris
    Tél. 01 42 17 00 48 - Fax 01 42 17 01 21
    Mél. primatice@wanadoo.fr

    Vient de paraître:

    LA MERCATIQUE OU LE NOUVEL ART DE LA GUERRE
    Gilles Falavigna

    Éditions Dualpha
    Collection « À nouveau siècle, nouveaux enjeux », dirigée par Philippe Randa

    « Ce livre fait d’entrée ressortir remarquablement le parallèle, mais aussi l’analogie, entre deux mondes : celui de l’économie et celui du théâtre d’opérations militaires » (extrait de la préface du Gal Christian Piquemal)
    Philosophie d’intelligence économique et boîte à outils de sûreté : La mondialisation peut apparaître comme une grande aventure. Elle peut également apparaître comme une grande menace. L’entreprise, dans tous les cas, doit y faire front. En parallèle, la brutalisation des rapports dans la société met le patrimoine de l’entreprise en péril.
    La mercatique est le nouvel art de la guerre. L’Intelligence Économique en est l’outil d’aide à la décision pour mesurer les forces et faiblesses, opportunités et menaces. D’un côté, ce carré n’est qu’une continuité de la conception économique de la stratégie. De l’autre, c’est un cadrage très militaire qui révèle la nature guerrière du nouveau marché mondial. Pour rendre ce constat utile, l’auteur utilise la méthode basique de gestion de projet : le pourquoi détermine le comment.
    Philosophie et boîte à outil, la raison de l’Intelligence Économique permet de démystifier les prestations de l’univers occulte des services opérationnels de l’action et de les décliner, par niveau d’approfondissement, dans leur rôle de défense des intérêts de la société et des entreprises.
    « Construire le futur, c’est, me semble-t-il, faire face avec lucidité aux pressions du temps, tenir compte de l’évolution économique et sociale, travailler pour réussir, certes mais aussi savoir se défendre dans tous les domaines, avoir, en somme, une mentalité de soldat, dans l’espérance d’un monde de paix et de fraternité. Ne serait-ce pas là notre raison de vivre ? » (extrait de la postface du Gal Jean Combette)
    Gilles Falavigna est responsable d’une société de prestations d’Intelligence économique issue du savoir-faire des services secrets israéliens. Il est également l’auteur d’essais sociétaux.
    248 pages - 25 euros - (ISBN 978 - 2 - 35374 - 072 - 7)

  • IRAK: pillage des musées archéologiques, destructions des sites

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    Lion de Babylone en céramique  Porte d'Isthar ( sauvegardé au Musée archéologique de Berlin)
    Irak : le pillage des musées irakiens par les forces d'occupation


    Selon la chaîne européenne Euro-News, des militaires américains et britanniques sont responsables du pillage de milliers de pièces archéologiques appartenant aux musées irakiens.

    Cette chaîne a souligné la disparition d'objets de valeurs et des pièces extrêmement précieuses des musées irakiens, sous l'œil complice des militaires d'occupation qui ont souvent eux-mêmes participé à ces pillages.


    Euro-News a qualifié d'important le rôle des conservateurs en chef des musées américains et européens dans l'achat et la vente de ces chefs d'œuvres dérobés.


    Selon des sources irakiennes, les responsables culturels de ce pays cherchent, à l'heure qu'il est, pas moins de 3000 objets de valeurs.


    Au mois de mars dernier, des experts du monde entier au deuxième jour d'une conférence sur ce thème sous l'égide de l'UNESCO avaient mis en garde le pillage et le trafic de biens culturels soulignant qu'il connaissait un essor inquiétant, attesté par la mise à sac archéologique de l'Irak.


    «Le fait est que la culture se vend de plus en plus, et de plus en plus cher, d'où un boum du trafic lié aux zones de non-droit», a aussi relevé Françoise Rivière, sous-directrice générale pour la culture à l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).


    Non seulement le pillage lèse le pays concerné, il entraîne aussi le risque d'effacer des pans entiers de son passé en sortant l'objet de son contexte archéologique, ont souligné de nombreux participants à la conférence, conservateurs, directeurs de musée, archéologues ou juristes.


    Le cas irakien est exemplaire, selon Mme Rivière: outre que les fouilles sauvages ravagent parfois les sites au moyen de bulldozers, «nous en sommes au point où nous redoutons que les trafiquants ne jettent ou détruisent des tablettes cunéiformes, car il y en a tellement en circulation que leur valeur est en chute».


    Sur quelque 14 000 pièces volées lors du pillage du Musée de Bagdad, en avril 2003, moins de la moitié d'entre elles ont pu être récupérées, dont environ 4000 pièces à l'étranger, a pour sa part indiqué le colonel américain Matthew Bogdanos, chargé de l'enquête sur cette mise à sac.


    «Il est très difficile de repérer ces pièces. Les acheteurs, des négociants mais aussi des musées, sont patients et attendent», a-t-il souligné.


    Faute de pouvoir lutter contre le pillage avec seulement «1400 gardiens pour quelque 12 000 sites», l'Irak veut que la communauté internationale renforce sa lutte contre le trafic et facilite la restitution des vestiges, a insisté Bahaa Mayah, conseiller du ministre irakien de la Culture.


    «Il y a des pays européens qui saisissent des pièces mais nous demandent d'aller en justice pour les récupérer. Nous n'en avons pas les moyens, ce sont ceux qui sont en possession de ces biens qui devraient prouver la légalité de leur provenance, comme c'est le cas en Grande-Bretagne ou aux États-Unis», a-t-il plaidé.


    Le procureur italien Paolo Ferri, un des artisans de la récente restitution à l'Italie par le musée américain Getty de 42 antiquités, a appelé à continuer à exercer une pression sur les musées, «car même s'ils ont fait de véritables progrès, certains achètent encore des pièces à l'origine douteuse».

    Lundi 07 Avril 2008

     http://www2.irna.ir

  • L'arnaque monétaire internationale, face cachée de la mondialisation

    “ Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent

    733252396.jpg les banques est semblable, je n'hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. ”
    Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Economiques 1988,
    La crise mondiale aujourd'hui (Ed. Clément Juglar 1999)

    A l'heure où l'on nous rabâche à longueur de temps le problème de la dette publique, qui sert à justifier les réformes liberticides et anti-sociales que notre cher gouvernement fait passer avec plus ou moins de tact, il importe de se poser la question : Comment un état souverain peut-il devoir plus de 1 000 milliards d'euros à différents créanciers ? Lorsque tous les “ experts ” jurent que la relance de la croissance résoudra tous nos maux en diminuant le chômage et en augmentant notre pouvoir d'achat, il est bon de s'interroger sur les fondements de telles assertions. Quand enfin, notre modèle de société se caractérise par le flot toujours croissant de monnaie en circulation, il serait sage de se demander : Qu'est-ce donc que cette monnaie et d'où vient-elle ? Cet article a pour but de dissiper certaines idées reçues et de vous éclairer sur certaines réalités habilement dissimulées par une oligarchie de la finance prétentieuse, peu scrupuleuse, avide de pouvoir et de richesse...



    I - La monnaie n'est pas créée par l'Etat

     
    Contrairement à une idée largement répandue dans le public, la monnaie n'est pas créé par un organisme de l'Etat (autrement dit du peuple).
    En effet depuis le 1er janvier 1999, la Banque Centrale Européenne (BCE) s'est vue transférer les compétences des Banques Centrales Nationales (BCN) des Etats membres. La BCE et les BCN devenus ses sous-traitants forment le Système Européen de Banques Centrales (SEBC).
    La BCE a le monopole d'émission de la monnaie fiduciaire, autrement dit des pièces et des billets de banque. C'est une institution indépendante selon le traité de Maastricht et elle ne peut en aucun cas accorder un découvert ni aucune autre forme de crédit “ aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publiques des États membres ; l'acquisition directe, auprès d'eux, par la BCE ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite. ” (Article 104)
    “ L'objectif principal du SEBC est de maintenir la stabilité des prix ”. Et : “ Sans préjudice de l'objectif de stabilité des prix, le SEBC apporte son soutien aux politiques économiques générales dans la Communauté, en vue de contribuer à la réalisation des objectifs de la Communauté, tels que définis à l'article 2 ” (article 105, paragraphe 1, du traité). La Communauté se donne pour objectifs d'obtenir un niveau d'emploi élevé et une croissance durable et non inflationniste (article 2 du traité sur l'Union européenne).
    Autrement dit, l'Etat français doit financer son déficit en vendant aux organismes privés et à quelques riches investisseurs des bons du trésor. Il s'agit ni plus ni moins de prêts remboursables à plus ou moins long terme et auxquels sont associés des intérêts comme pour n'importe quel prêt contracté par une entreprise ou un particulier. Les détenteurs de ces bons du trésor sont donc les créanciers de l'Etat.


    II - Le processus de création monétaire

     
    Comme on l'a dit au point précédent, la BCE a le monopole d'émission de la monnaie fiduciaire. Or on sait bien qu'aujourd'hui la plus grande partie des transactions s'effectuent en monnaie scripturale (chèques, carte bleue, virements, etc.) qui est la forme dématérialisée de la monnaie. En 2006 par exemple, il y avait 7 387 milliards d'euros en circulation (agrégat M3 - bulletin N°153 de la Banque de France, septembre 2006) dont seulement 552 milliards d'euros de pièces et de billets.

    Mais alors comment sont créés les 6 835 milliards d'euros de monnaie supplémentaire ?

    Ce sont les banques privées qui créent cet argent par l'intermédiaire du crédit. Certains feront appel ici à une deuxième idée reçue pour se rassurer : “c'est l'épargne qui permet le crédit”.
    Malheureusement non, le crédit n'est nullement limité par la valeur des dépôts effectifs dans une banque, comme on pouvait le lire dans un opuscule édité en 1971 par la Banque de France, La Monnaie et la Politique monétaire : “ Les particuliers - même paraît-il certains banquiers - ont du mal à comprendre que les banques aient le pouvoir de créer de la monnaie ! Pour eux, une banque est un endroit où ils déposent de l'argent en compte et c'est ce dépôt qui permettrait à la banque de consentir un crédit à un autre client. Les dépôts permettraient les crédits. Or, cette vue n'est pas conforme à la réalité, car ce sont les crédits qui font les dépôts ”.

    Comment ça se passe ?

    Disons que vous avez besoin de 15 000 euros pour acheter une nouvelle voiture. Vous allez voir votre banquier qui n'a qu'à inscrire la somme sur votre compte, après vous avoir fait signer quelques papiers, vous engageant à lui rembourser le capital qu'il vous a prêté plus les intérêts convenus sous peine de saisie de vos biens. La monnaie est créée par un simple jeu d'écriture. Le banquier porte à l'actif de son bilan une créance de 15 000 euros et au passif les 15 000 euros qu'il vient de mettre sur votre compte.
    Vous pouvez noter que le banquier n'a pas créé les intérêts qu'il vous demande de payer, comme nous le verrons plus loin. Si vous parvenez à rembourser votre prêt, les 15 000 euros disparaîtront de la masse monétaire. C'est pourquoi on qualifie ce type de monnaie de temporaire ou encore de “ monnaie de crédit ”. Seuls resteront les intérêts que vous aurez versés (souvent équivalents voire bien supérieurs au montant emprunté) et qui représentent la rémunération du banquier pour avoir créé de l'argent à partir de rien. Incroyable mais vrai, désolé.
    La seule chose qui permette de limiter l'octroi par les banques de ce type de crédit est une règle prudentielle qui dit qu'une banque ne peut prêter qu'à hauteur de 98% des dépôts qu'elle détient. Mais il faut savoir que parmi ces dépôts une bonne partie provient de crédits accordés par d'autres banques à leurs clients, selon le même procédé douteux décrit ci-dessus.

    III - Le problème des intérêts

     
    Nous avons expliqué que la monnaie n'existait aujourd'hui que sous forme de crédit et donc de dettes. Ni l'euro, ni le dollars ne sont gagés sur l'or.
    Imaginez un instant que tous les citoyens du monde, las de toutes leurs dettes, décident de les régler toutes en même temps. Et bien on peut en déduire alors qu'il n'y aurait plus de monnaie du tout !
    En réalité, et c'est ça le plus incroyable, il est impossible de régler toutes les dettes puisque aucune banque n'a créé la monnaie nécessaire pour régler les intérêts demandés...


    Il est mathématiquement impossible de payer toutes les dettes car pour cela il faudrait plus de monnaie qu'il n'en a été mis en circulation ! Voilà la vraie raison d'être de la doctrine de la croissance. Nous devons créer toujours plus de crédits afin de pouvoir rembourser les intérêts. Mais en créant ces crédits nous engendrons de nouveaux intérêts qu'il faudra payer en faisant de nouveau crédits et ainsi de suite. C'est une spirale sans fin...
    L'intérêt est la cause principale de l'inflation, puisque avec un crédit à 5 % par an par exemple, c'est le double de la somme empruntée qui doit être remboursée sur 15 ans, par le jeu des intérêts composés. L'intérêt est le premier responsable de la pauvreté dans le monde et de l'élargissement de la fracture sociale. Sachez que les prix que vous payez sont constitués à 40-45 % du seul poids des intérêts, comme l'ont mis en évidence dans leurs études Magrit Kennedy et Ralph Becker (vraisemblablement 30-40% aujourd'hui), vous pouvez imaginer la somme colossale qui est transférée du monde de l'économie réelle au monde financier.
    A l'origine les intérêts servaient à rémunérer les épargnants dont les dépôts permettaient d'effectuer les prêts, le banquier se payant grâce à la différence des taux. Mais dans le contexte actuel, étant donné la façon dont la monnaie est créée, cela n'est plus justifié.
    La société civile doit prendre conscience de cette situation aberrante, étudier sérieusement la question et réclamer la fin de ces privilèges absurdes.
    Plus le temps passe, et plus la finance internationale, avec un cynisme effrayant, s'accapare les vraies richesses du monde (les réserves minières, l'eau, la terre, les biens immobiliers, et depuis peu les êtres vivants...) qu'elle achète avec de la monnaie de singe !

    Citation :
    “ Je crois que des institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos privilèges que des armées institutionnelles. Déjà ils ont élevé au sommet une riche aristocratie qui a défié le Gouvernement. Le pouvoir d'émission devrait être pris aux banques et redonné au peuple à qui il appartient.
    Si les Américains permettent un jour aux banques de contrôler l'émission de leur monnaie, d'abord par l'inflation et ensuite par la déflation, les banques et les sociétés qui grandiront autour d'eux priveront le peuple de toute propriété jusqu'à ce que leurs enfants se réveillent sans abri sur le continent de leurs pères. ”
    Thomas Jefferson, 3ème président des Etats-Unis,
    lettre au Secrétaire du Trésors Albert Gallatin (1802)


    IV - Que peut-on faire ?
     
    Pour commencer il faudrait faire l'effort de comprendre. Les économistes prétendument experts ont bon ton de dire que tout cela est tellement compliqué qu'un non-initié ne saurait s'y retrouver. C'est une façon de dissimuler ce qui se cache derrière ce système économique d'un autre âge. Il nous faut une refonte du système économique.
    Et pour commencer, les citoyens doivent reprendre le pouvoir de création monétaire, cédé par nos “ représentants ” aux puissances financières alors que la monnaie est et doit rester au service du peuple. La quantité d'argent injecté dans l'économie doit être proportionnelle à l'indice de croissance, qui correspond à la valeur cumulée des biens et services échangeables dans la zone concernée. Actuellement seulement 5% des transactions mondiales correspond à l'échanges de biens économiques réels. Le reste correspond à la spéculation boursière...
    Selon A.-J. Holbecq : “ Toute la monnaie nécessaire au développement de l'économie doit être produite par la BCE et confiée contre intérêts aux banques commerciales qui la distribueront aux emprunteurs en faisant payer leur travail et expertise par des honoraires. Et tous les intérêts de toute la monnaie créée dans le passé par les banques commerciales et par la BCE doit revenir aux États de la zone euro et donc à la population... C'est certainement plus de 350 milliards d'euros par an ”.
    Un nouveau crack planétaire surviendra bientôt en raison de la chute programmée du cours du dollar qui, je le rappelle, sert actuellement de monnaie de réserve internationale. Ce sera le moment d'exiger de nos élus une refonte complète du système monétaire pour qu'il soit vraiment au service de l'économie et non plus l'instrument de pouvoir d'une minorité de nantis.

    La démocratie restera un vœu pieux si les citoyens se laissent désinformer.

    Prenez votre destin en main : informez-vous !

    La liberté est à ce prix...
    (Source: Alterinfo - 7 avril 2008)






     

  • Marche blanche à Paris: les FARC doivent mourir de peur...

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    Manipulation des foules... hystérie collective...

    Aux cris de « Libérez Ingrid Betancourt », 5 000 personnes ont défilé hier dans Paris. Et d'autres marches blanches en France ont rassemblé des milliers de manifestants. Pour la famille il s'agit d'une course contre la mort.

    «C'est cette foule qui va la sauver ! » Hier, place de l'Opéra à Paris (IXe), Fabrice Delloye, son ex-mari, remercie au micro les milliers de personnes (5 000 selon la police, 30 000 selon les organisateurs) venues appeler à la libération d'Ingrid Betancourt. Lorenzo, le fils de l'otage franco-colombienne retenue depuis plus de six ans par les Farc (la guérilla marxiste colombienne), souhaite que sa « maman entende les cris des manifestants ». Soutenue par une importante délégation de politiques, de la première dame Carla Bruni-Sarkozy au maire de Paris Bertrand Delanoë en passant par des membres du gouvernement, la famille a rappelé l'état de santé inquiétant d'Ingrid Betancourt.

    « Nous n'arrêterons pas la mission humanitaire que nous avons lancée », leur promet Bernard Kouchner au côté de Cristina Kirchner, la présidente argentine. « Nous n'arrêterons jamais », ajoute le ministre des Affaires étrangères, très applaudi par les manifestants portant des vêtements ou des foulards blancs en signe de paix pour la Colombie.

    Soutien aux autres otages

    Depuis mercredi dernier, la France a envoyé sur place une mission humanitaire pour tenter d'entrer en contact avec la guérilla des Farc. Sans aucun résultat pour l'instant. Mais Carla Bruni-Sarközy, présente au début de la manifestation, assure que son mari « ne renoncera pas ». L'épouse du chef de l'Etat s'est elle-même dite « énormément touchée » par le sort de l'otage. Jean Sarközy, le fils du président, confie « être venu pour Lorenzo ». « J'ai quasiment le même âge et je me sens proche de lui », ajoute-t-il, foulard blanc autour du cou.

    Dans la foule qui a pris la direction de l'Assemblée nationale, beaucoup de parents sont accompagnés de leurs enfants. « C'est sa première manifestation, raconte Crépin au sujet de sa fille Myriam, 9 ans. C'est elle qui m'a convaincu de venir après que je lui ai raconté qui était Ingrid Betancourt et ce qu'elle vivait. » Beaucoup espèrent que le président colombien Uribe et les Farc verront les images de la quinzaine de marches blanches organisées partout en France. « La mobilisation populaire est aussi importante que la mobilisation politique », se réjouit Jacques Toubon, ancien ministre de la Culture. Un peu plus loin dans le cortège, quatre Colombiennes de Paris sont plus sceptiques sur l'utilité de telles manifestations. Elles ont tenu, malgré tout, à être là et arborent des photos d'autres otages détenus par la guérilla. « On ne parle pas assez d'eux », regrettent-elles. Luis Alfonso Beltran Franco, enlevé le 3 mars 1998, Robinson Salcedo Guarin, le 8 mars 1998... Quelques-uns des portraits des 2 800 personnes prisonnières des Farc (estimation officielle) fleurissent ici ou là dans le cortège.

    Concernant Ingrid Betancourt, les manifestants ont un sentiment d'urgence après les récentes déclarations des enfants de l'otage franco-colombienne qui redoutent le pire. « Les prochains jours seront décisifs », craignent Agathe et Maly, deux étudiantes qui sont venues pour montrer qu'« on n'oublie pas Ingrid ». Entre pessimisme et espoir, chacun reconnaît, comme l'a dit la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Rama Yade, que ce qui se joue actuellement, « c'est une course contre la mort, une course pour la vie ».

    Le curé colombien Manuel Mancera, qui avait révélé la présence d'Ingrid Betancourt dans le département du Guaviare a célébré, hier, une messe pour la libération de la Franco-Colombienne. L'office a eu lieu dans un hameau au nom symbolique : La Libertad.

    (Le Parisien 7 avril 08) 

  • Tibet: la photo "accusatrice" manipulée

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    Tibet : Enquête sur une photo manipulée
    Michel Collon  

     

     

    Regardez bien cette photo « Soldats chinois déguisés en moines », que vous avez sans doute reçue ou recevrez bientôt. Elle circule beaucoup sur le Net, avec le commentaire : « Londres - 20 mars - Le GCHQ, l'agence gouvernementale de communications qui surveille électroniquement la moitié du monde depuis l'espace, a confirmé l'accusation du Dalaï Lama, selon laquelle l'Armée Populaire de Libération chinoise, déguisée en moines, a provoqué les émeutes qui ont tué ou blessé des centaines de Tibétains... »

    Cette photo est censée le prouver, et elle a donc indigné beaucoup de gens. Maintenant, regardez attentivement cette photo, et jouons au jeu des sept erreurs...

    Les 7 erreurs...
    1. Avez-vous déjà vu une « photo - satellite » prise avec un tel angle de vue ? Physiquement, c'est impossible. D'un tel angle, on ne verrait qu'un brouillard bleu (Lorsqu'on voyage en avion, on ne peut voir que sous l'avion, pas très loin.)
    2. On nous dit que les soldats se déguisent en moines pour jouer les agents provocateurs. Sont-ils assez stupides pour mener une telle opération secrète en pleine rue ?
    3. On nous dit que la photo est récente, juste avant les événements. Qu'est-ce qui le prouve ?
    4. J'ai interrogé un ami connaissant le Tibet. Il dit que cette photo ne peut avoir été prise ce 14 mars, sous un soleil printanier, car le printemps n'est arrivé que le 21 mars cette année au Tibet.
    5. Il me dit aussi que ces couleurs des vélo - taxis de Lhassa ont changé à partir de 2005.
    6. Il dit également que ces uniformes des policiers ne sont plus utilisés depuis longtemps.
    7. Il fallait donc mener une petite enquête qui nous a fait découvrir une toute autre version...

    Mais alors d'où vient-elle ?
    En réalité, la photo date de 2003. Lors du tournage d'un film, les moines ont refusé de jouer les figurants. Ce sont donc des soldats qui en ont été chargés, et ils reçoivent ici leurs uniformes de figurants. Pratique courante là-bas, semble-t-il. En tout cas, rien à voir avec les récentes images TV montrant des moines exercer des violences et détruire des magasins à Lhassa.
    Bon, ça semblait tellement gros qu'il fallait quand même vérifier.

    (Alterinfo)

  • Charlton Heston

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    National Rifle Association
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    En 1959
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    Charlton Heston, l'une des dernières légendes d'Hollywood, couronné en 1959 par l'Oscar du Meilleur acteur dans "Ben Hur", est mort samedi à son domicile de Beverly Hills à 84 ans.

     
     L'acteur américain luttait ces dernières années contre la maladie d'Alzheimer.

    Il est décédé avec son épouse Lydia à ses côtés.

    "A ses amis, collègues et admirateurs, nous apprécions vos prières et votre soutien. Il se dévouait avec passion à chaque rôle qu'il incarnait, et souscrivait à chaque cause avec un enthousiasme et une intégrité incomparables", a déclaré sa famille dans un communiqué.

    Le président américain George W. Bush, qui lui avait accordé en 2003 la Médaille de la liberté, la plus haute distinction américaine récompensant les civils, a salué dimanche un "homme de caractère, intègre et au grand coeur" et un "grand avocat des libertés".

    Le candidat républicain à la présidentielle John McCain a également rendu hommage au "leader" "dévoué à la cause de la liberté pour tous les Américains, depuis la bataille pour les droits civiques dans les années soixante jusqu'à la protection du droit de porter des armes dans les années 1990".

    En plus de cinquante ans de carrière et une soixantaine de films, Charlton Heston, de son vrai nom John Charles Carter, s'était forgé une stature de comédien voué aux grandes figures historiques tout en restant un homme de théâtre.

    Ce fils de meunier était né le 4 octobre 1923 à Evanston (Illinois). Après des débuts à la radio et au théâtre, il suit des cours d'art dramatique à la North Western University puis sert dans l'armée de l'air pendant la Deuxième guerre mondiale.

    En 1945, il tente sa chance à Broadway. L'acteur aux yeux bleu acier et à la carrure d'athlète débute en 1947 dans "Antoine et Cléopâtre", puis enchaîne avec un rôle dans une adaptation de "Jules César" pour la télévision (1948), qui lui vaudra d'être remarqué par Hollywood.

    Il se voit proposer, en 1950, le rôle principal de "La Main qui se venge" de William Dieterle. Cecil B. De Mille l'engage ensuite "Sous le plus grand chapiteau du monde" (1951), qui remporte l'Oscar du Meilleur film. Charlton Heston est lancé.

    Dès les années 1950, il impose tout l'éventail de son talent dans une multitude de films historiques et d'anticipation.

    Seuls quelques uns de ses longs métrages peuvent être qualifiés de fresques épiques et costumées, comme "Les Dix commandements" de Cecil B. De Mille (1956), ou "Ben Hur" (1959), de William Wyler, consacré par l'Oscar du Meilleur acteur.

    "Chuck", pour ses intimes, s'illustre également dans "La furie du désir" de King Vidor (1952), "La soif du mal" d'Orson Welles (1958) ou "Le Cid" d'Anthony Mann (1961).

    Il joue dans des westerns et des films fantastiques ou de science fiction comme le remarquable "Soleil vert". "La Planète des singes" (Franklin F. Schaffner, 1968) ajoute à sa popularité.

    Estimant que les rôles les plus gratifiants sont ceux du registre shakespearien, l'acteur qui a tourné avec Sophia Loren et Ava Gardner remonte sur les planches lorsque son emploi du temps le lui permet.

    Tenté par la réalisation, il met en scène "Antoine et Cléopâtre" en 1971 ainsi que "La fièvre de l'or" en 1982.

    Après avoir été président à six reprises du syndicat des acteurs, il prend la tête de l'American film institute.

    Connu pour ses prises de position conservatrices, notamment contre l'avortement, l'acteur préside également de 1998 à 2003 la National Rifle Association, se consacrant alors à la défense du droit controversé de détenir des armes individuelles aux Etats-Unis.

    Charlton Heston était père de deux enfants.

    RIP

  • VIDEO Les oies

    Cette vidéo personnelle, LES OIES, fichier multimedia .avi, ne s'affiche pas. Je suis désolée.

  • Toute la laideur du monde pour les bobos bling bling

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    Le musée d'art contemporain de Lyon rend hommage jusqu’au 29 juin à Keith Haring, l'une des figures emblématiques de l'art urbain new-yorkais. L'exposition retrace l’itinéraire du peintre.

      Dix-huit ans après sa mort (*), la France offre à Keith Haring (1958-1990), jeune trublion new-yorkais et icône des folles années 1980, sa plus grande rétrospective. Elle présente un ensemble sans précédent d’oeuvres issues des plus importantes collections américaines et européennes, publiques et privées. Par ailleurs, la courte carrière de l'artiste, qui se déploie sur une seule décennie de 1980 à 1990, a permis au musée de présenter son travail en dehors de la chronologie selon un parcours original et diversifié.

    250 oeuvres exposées Vous découvrirez ses incontournables peintures sur bâches, ses dessins, ses sculptures monumentales et pour la première fois ses peintures sur métal. Mais l’exposition propose surtout au visiteur de découvrir l'extraordinaire diversité de supports et de technique s utilisés par l'artiste. Peinture vinylique, acrylique, émaillée, craie, encre, feutre, sur toile, métal, papier, bois… Plus de 250 pièces, complétées par des documents vidéo et une série exceptionnelle de photographies, dont ses interventions dans le métro, qui éclairent le conteste de production de l’oeuvre de Keith Haring et son évolution. Couleurs vives soulignées par un trait noir Son style direct et original, accessible à tous, est immédiatement reconnaissable : des graffitis aux formes synthétiques de couleurs vives soulignées par un trait noir. Son travail est vivant et énergique. Toujours en mouvement. L’artiste puise ses sources d’inspiration dans le monde de la rue, la vie quotidienne et la culture teenagers. Des hommes et des enfants, des postes de télévision, tout ce qui fait référence à la société contemporaine est présent dans ses oeuvres. Il aborde également les thèmes de la mort et de la sexualité. Enfin, les moments de remise en question et de révolte apparaissent dans les visions apocalyptiques et les créatures monstrueuses de son oeuvre, qui figurent les fléaux du monde moderne, comme la menace nucléaire ou les conséquences du virus du sida, maladie qui l’aura fauchée en pleine jeunesse. Un travail intense et très personnel qui élève sans conteste Keith Haring au rang des plus grands artistes d’art contemporain.

    (*) Keith Haring est mort du sida à l'âge de 31 ans en 1990.

    (AFP. 06.04.08)

     

  • BANALINFO.fr Poignardé à mort à 15 ans

    Un lycéen a été tué dans la nuit de vendredi à samedi dans une rue de Drancy. (Seine Saint-Denis)

    Drame dans les quartiers nord de Drancy. Dans la nuit de vendredi à samedi, un adolescent de 15 ans a été poignardé à mort par un ou plusieurs individus.

    Selon plusieurs témoins, l'agression est survenue vendredi à 21h30 alors que le jeune homme se dirigeait avec un ami vers la salle de sports où il pratiquait la boxe.

    Une voiture s'arrête à sa hauteur. En sortent un à quatre individus, selon les divers témoignages, qui lui assènent un ou plusieurs coups de couteau à l'abdomen.

    Transporté d'urgence à l'hôpital Avicenne de Bobigny, le jeune homme décèdera deux heures plus tard des suites de ses blessures.

    La PJ est chargée de l'enquête.
    (Le Parisien 6 avril 08)
  • IMMIGRATION: UN COÛT EXORBITANT

    Réalisée par Jean-Paul Gourévitch, expert international en ressources humaines, une étude récente, "Le coût réel de l'immigration en France", nous apprend que l'immigration proprement dite coûte au total 71,76 milliards d'euros (coûts sécuritaires, coûts fiscaux et sociétaux, coût de la protectoion sociale...) et ne rapporte que 45,57 milliards d'euros. L'immigration serait donc responsable des 3/4 du déficit public de la France.

    Face à ce problème, il est important de se baser sur la vérité des chiffres. En voici quelques-uns:

    - La France compte 6 868 000 immigrés, soit 11% de la population métropolitaine

    - L'immigration réduit des 2/3 la croissance du PIB

    - Le coût de l'immigration en France étant donc de 71,76 milliards d'euros et les recettes liées à l'immigration en France étant de 45,57 milliards d'euros, le déficit dû à l'immigration et supporté par les contribuables est de 26,19 milliards d'euros.

    - Lorsqu'une personne immigrée ne repart pas dans son pays d'origine à la fin de son contrat de travail, c'est l'Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales

    - Les immigrés extra-européens et leurs descendants  perçoivent 22% des prestations sociales

    - Le coût unitaire des demandes d'asile est de 15 000 euros

    - La plupart des dépenses d'immigration ne relève pas du ministère de l'Immigration de Brice Hortefeux 

    - Les dépenses sécuritaires liées à l'immigration s'élèvent à 5,2 milliards d'euros

    - Le travail au noir concerne au minimum 500 000 personnes immigrées et représentent un manque à gagner pour l'Etat de 3,81 milliards d'euros

    - 65 à 90% des prostitué(e) sont des étrangers

    - Le taux de chômage des immigrés est le double de celui des indigènes

    - Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages contre 5% pour les ménages indigènes. 

    On peut télécharger cette étude "Le coût réel de l'immigration en France" au format pdf sur le site www.contribuables.org

    (Source: Rivarol - n°2852 - 4 avril 2008)

     

     

  • VIDEO: KARAJAN "Marche de Radetzsky"

    http://www.dailymotion.com/video/x41qy3_marche-de-radetzky-strauss-karajan_music

  • Salzbourg fête le centenaire de la naisance de Herbert von Karajan

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    En 1982 à Paris
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    En 1950
    AFP.Salzbourg, la ville natale du chef d'orchestre Herbert von Karajan, a marqué samedi le 100e anniversaire de sa naissance, le 5 avril 1908, par une cérémonie d'hommage en présence du président de la République autrichienne, Heinz Fischer.

    La cérémonie, ponctuée par un quartette du Philharmonique de Vienne, s'inscrivait dans une série d'hommages rendus durant toute l'année à l'artiste en Autriche, en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux Etats-Unis, en Suisse et au Japon.

    L'opéra de Zurich (Suisse) programmait de son côté samedi, égalemement en hommage à Karajan, une reprise du "Chevalier à la Rose" de Richard Strauss, sous la direction de l'Autrichien Franz Welser-Möst.

    Salzbourg avait donné le coup d'envoi des festivités le 5 janvier, avec un concert où l'Orchestre du Mozarteum avait joué, dans le Palais des festivals qu'avait fait construire Karajan en 1960, le même programme que celui qu'il avait dirigé lors de ses débuts le 22 janvier 1929.

    Karajan, qui dirigea en parallèle plusieurs formations de prestige, dont le Philharmonique de Berlin, avait choisi de faire de sa ville natale le centre de ses activités après avoir pris son essor professionnel dans l'Allemagne nazie des années 1930.

    En 1956, il prit les rênes du Festival de Salzbourg, qu'il dirigea d'une poigne de fer jusqu'à sa mort en 1989. Il y créa en outre, en 1967 et en 1973, les Festivals de Pâques et de Pentecôte.

    Le Festival de Salzbourg programmera cet été, en hommage au maestro, "Un Requiem allemand" de Brahms interprété par le Philharmonique de Vienne sous la direction de Riccardo Muti.

     

  • Rama Yade dans ses petits souliers...

    Pour Bernard Kouchner, "en fonction de l'évolution le président décidera, tout est ouvert, la position n'est pas arrêtée, l'évolution nous importe, et c'est vrai la fin des violences, l'ouverture du Tibet et puis bien entendu le dialogue avec l'homme qui personnifie l'autonomie au Tibet - et non pas l'indépendance".

    Le rôle du ministre des Affaires étrangères, a-t-il noté, est de tenter de rapprocher Pékin et le dalaï-lama, qu'il a précisé avoir au téléphone deux à trois fois par semaine.

    "Il n'y a pas de condition à la position de la France, ce serait vraiment torpiller une éventuelle participation au dialogue", a souligné Bernard Kouchner.

    Dans un communiqué séparé, Bernard Kouchner et Rama Yade ont indiqué s'être entretenus samedi avec plusieurs associations de défense des droits de l'Homme sur la situation au Tibet et les droits de l'Homme en Chine.

    "Cette rencontre a permis au ministre et à la secrétaire d'Etat de réaffirmer leur attachement au respect des droits de l'Homme ainsi que la position des autorités françaises en faveur d'un dialogue concret et constructif entre les autorités chinoises et le dalaï-lama", lit-on dans le texte. "Ils ont par ailleurs rappelé leur demande en faveur de la réouverture du Tibet et de la liberté d'expression et d'information afin que lumière soit faite sur les derniers événements".

    Le passage de la flamme olympique à Paris a aussi été évoqué. "Les autorités françaises, tout en respectant la liberté de manifestation, entendent assurer le bon déroulement de cet événement", précise le communiqué.

    Priée de dire, dans l'interview au Monde, si elle sera sur le parcours de la flamme, Rama Yade répond que ce rôle revient traditionnellement aux ministres des Sports. "Moi, aujourd'hui, j'aimerais plutôt être à Dharamsala" (ville du nord de l'Inde où vit en exil le dalaï-lama), ajoute-t-elle.

    (L'Express - 05.04/08)

    A Dakar! Et sans conditions!

  • Le lombricomposteur d'intérieur: écolo, mais... beurk!

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    Dans le salon...
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    plutôt répugnant!
     

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    système de décomposer vos déchets, grâce aussi aux autres
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    Très facile à utiliser :
    Pas besoin de remuer ni de retourner : Dans le lombricomposteur
    Can-O-Worms, ce sont les vers qui remuent les déchets en creusant leurs galeries qui permettent ainsi à l’oxygène de circuler.
    Le lombricompostage se pratique aussi bien en intérieur
    qu’en extérieur
    , car le lombricompostage est sans odeur !
    Cette Note se place mal, mais je ne peux pas faire mieux!  
  • Des sirènes pour Ingrid!

    Elles sonnent chaque premier mercredi du mois, comme un test grandeur nature. Les sirènes d'Ile-de-France sonneront peut-être bientôt régulièrement pour soutenir Ingrid Betancourt.

    Claude Pernès, président de l'association des Maires de l'Ile-de-France (AMIF), a adressé un message au Président de la République Nicolas Sarközy pour lui proposer un acte symbolique : faire mugir dans les prochains jours, le même jour à la même heure, les sirènes de toutes les mairies de la région, voire même, propose l'élu, de toute la France.

    Nul doute que ce tocsin donnera encore plus d'ampleur à la campagne de mobilisation en faveur de l'ancienne sénatrice franco-colombienne, détenue depuis plus de six ans dans la jungle colombienne et dont l'état de santé est devenu extrêmement préoccupant.

    Grotesque!