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La délation ne passera pas par nous.
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La délation ne passera pas par nous.
Estimant bénéficier d'une « certaine antériorité » d'engagement politique et d'une « stature internationale » par rapport à la fille du leader du FN, il explique : « Je crois être en mesure de rallier à ma personne des courants divers que le FN a intérêt à rassembler. Le FN après Jean-Marie Le Pen ne sera pas celui avec Jean-Marie Le Pen », a-t-il déclaré.
S'il accède à la présidence du parti, Gollnisch sera le probable candidat du Front National lors des élections présidentielles de 2012. « Je ne suis pas comme Sarko, je n'y pense pas tous les matins en me rasant », a-t-il ironisé, précisant ne pas vouloir être à tout prix le « khalife à la place du khalife ». D'ici là, la bataille entre les prétendants désireux de briguer le trône du FN s'annonce rude.
Pour préparer le terrain de sa campagne de "séduction" des militants vis à vis desquel il pense avoir l'avantage, Bruno Gollnisch publiera à la rentrée prochaine un texte de réflexion sur sa vision « de la droite nationale ».
Lors de sa conférence de presse ce jeudi, entre autres sujets, il est revenu à plusieurs reprises sur sa vision très critique de l'écologie politique. Avec quelques perles savamment posées sur le fil du rasoir, équilibrisme dont le député européen frontiste est friand. "Il est étonnant de voir comment ils (les "khmers verts", comme il les nomme) sont très attachés à défendre la diversité et la sauvegarde des espèce animales. Et comment, pour les humains, ils prônent le brassage et le multiculturalisme". Ou encore, toujours sur le même thème, "il n'est pas certain que le réchauffement climatique soit le fait de l'activité humaine et il n'est pas certain que ce réchauffement soit nocif".
Déjà député européen, il envisage également de mener à nouveau la liste FN pour les prochaines régionales. "C'est dans l'ordre des choses", explique-t-il. L'an dernier, ses problèmes de santé (un quadruple pontage coronarien) l'avaient obligé à renoncer aux élections municipales. Il n'était alors même plus sûr de repartir dans l'arène.
LibéLyon - Benoit Pavan (avec A.Gd.) - 17 juillet 2008
Des rejets d'effluents radioactifs "sans impact sur l'environnement" ont été constatés dans une usine exploitée par une filiale d'Areva à Romans-sur-Isère (Drôme) à la suite d'une rupture de canalisation, a annoncé vendredi l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
Concernant Romans-sur-Isère, "les premières analyses montrent qu'il n'y a pas du tout d'impact sur l'environnement, car les quantités d'uranium sont très faibles, de l'ordre de quelques centaines de grammes", a déclaré Evangelia Petit, porte-parole de l'ASN.
L'incident s'est produit dans l'usine FBFC, qui fabrique du combustible nucléaire pour des centrales de production d'électricité et des réacteurs de recherche.
"Nous avons été avertis hier soir par Areva, exploitant de l'usine FBFC", a précisé Mme Petit.
"Trois inspecteurs de l'ASN se sont rendus sur place de 01H00 à 05H00 du matin pour examiner les circonstances de l'événement et les mesures prises par l'exploitant", a-t-elle ajouté.
"De notre point de vue, il n'y a absolument pas de lien avec Socatri car il n'y a pas du tout d'impact sur l'environnement", a expliqué la porte-parole.
A propos de l'usine Socatri sur le site du Tricastin, Areva a reconnu jeudi que des erreurs et des dysfonctionnements internes avaient conduit à la fuite et a décidé de remplacer le directeur de l'usine.
L'enquête interne, lancée par Areva, fait apparaître "un manque de coordination évident entre les équipes en charge des travaux et celles responsables de l'exploitation". Ce dysfonctionnement est "à l'origine de cet incident", a reconnu le groupe nucléaire dans un communiqué.
"L'erreur de l'exploitant est aussi d'avoir attendu les résultats des mesures complémentaires pour prévenir les autorités, près de trois heures" plus tard, a encore admis Areva.
Le groupe avait annoncé jeudi qu'un "audit interne et une inspection générale (étaient) en cours", soulignant que "d'éventuels manquements" pourraient être "sanctionnés".
Dont acte, puisque le groupe a annoncé la nomination d'un nouveau directeur pour Socatri, sans en dévoiler l'indentité.
Il sera chargé de faire "une revue globale du fonctionnement de l'établissement et de sa sécurité" et de "conduire avec l'aide du groupe un retour d'expérience approfondie de l'événement et sera chargé de la mise en oeuvre des conclusions".
Le groupe a aussi détaillé les circonstances de l'incident: "Le rejet dans l'environnement résulte d'un défaut d'étanchéité d'une cuve de rétention".
Selon Areva, ce rejet "involontaire" n'a eu de conséquence "ni sur la santé des personnels et des riverains, ni sur leur environnement".
"Des mesures d'accompagnement vont être proposées aux Chambres d'agriculture du Vaucluse et de la Drôme à destination des agriculteurs touchés par l'interdiction temporaire d'arrosage", a également assuré le groupe.
Une remise à plat des pratiques sur la sûreté nucléaire (transparence, contrôles...) sera réalisée d'ici à l'automne, a annoncé vendredi le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, après des incidents sur le site du Tricastin et à Romans-sur-Isère.
"Je veux tout remettre à plat", notamment dans "les dispositifs d'information, d'analyse et de sécurité", a assuré M. Borloo à l'occasion d'une conférence de presse, assurant que tous les acteurs seront entendus: industriels, opérateurs, militaires, associations.
La fuite, qui a eu lieu dans la nuit du 7 au 8 juillet, a conduit au rejet dans la nature de 74 kg d'uranium. Des mesures de précautions interdisent depuis aux habitants des abords du site de consommer l'eau, d'arroser, de pêcher ou de se baigner.
Sur place, les habitants et élus de la région estiment avoir été "traités en sous-citoyens" et affirment être déterminés à obtenir réparation, jugeant "inacceptable" la manière dont l'incident a été géré par les autorités et Areva.
A la suite de cet incident, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a imposé à la Socatri de suspendre l'activité d'une de ses deux stations de traitement du Tricastin (Vaucluse).
La Criirad (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité) compte déposer plainte "contre deux exploitants de Tricastin, tous deux filiales du groupe Areva: Areva NC (Cogéma) pour l'enfouissement de plus de 700 tonnes de déchets et Socatri pour ses rejets radioactifs dans l'environnement".
A-t-on distribué des pastilles d'iode?
Il s’agit de la fameuse « lutte contre les discriminations » qui a même donné naissance, dans la belle République française patrie de la liberté paraît-il, à la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité (HALDE), fille bâtarde de l’Inquisition médiévale et du KGB de l’ancienne union soviétique.
Il s’agit en réalité d’une vaste opération de sidération mentale, culturelle et juridique dont le seul objet est de favoriser le colonisation de peuplement de l’Europe par les surplus démographiques de l’Afrique et de l’Asie.
De quoi s’agit-il en effet ?
On commence d’abord par diaboliser le mot « discrimination » en l’affublant d’un sens négatif alors qu’il représente une des plus utiles fonctions de l’esprit humain. Vieille habitude des occidentaux de mettre en bas ce qui devrait être en haut et réciproquement…
Selon le Petit Robert, discriminer c’est « Discerner, distinguer les choses les unes des autres avec précision, différencier, choisir ». Aucun raisonnement scientifique ou philosophique, aucune activité technique ou créative, aucune organisation humaine ne pourraient exister sans la noble faculté de discrimination. En effet, raisonner, agir ou organiser suppose de savoir « distinguer les choses ou les êtres les uns des autres avec précision » et de « choisir ». Or, comme discriminer c’est choisir ; choisir c’est traiter différemment et, traiter différemment c’est donc nécessairement maltraiter puisqu’il est entendu, selon la vulgate moderne, que tout et tous doivent être traités sur un pied d’égalité.
Il y a, c’est évident, une formidable hypocrisie dans cette approche. Imaginez un instant les oligarques occidentaux, parmi lesquels le multimillionnaire Schweitzer président de la HALDE, traités comme « monsieur Toutlemonde » par les autorités de ce beau pays… même en prison, lorsqu’il leur arrive de se faire prendre la main dans le pot de confiture, ces gens là ont droit à des quartiers VIP… Discriminer, dans la novlangue officielle, devient alors par dérive successive : séparer, traiter et considérer quelqu’un de manière humiliante, dévalorisante, infériorisante. Etant entendu que si l’on est traité de la sorte c’est toujours par le fait de son appartenance à une catégorie essentialisée et victimisée.
Second temps de la manœuvre, il s’agit d’additionner des carottes avec des commodes Louis XV. En d’autres termes, on fait l’inventaire de toutes ces catégories jugées stigmatisées et on les met dans le grand fourre-tout des « victimes de la discrimination ». L’objectif réel est bien sûr de culpabiliser le blanc européen pour l’amener à se repentir d’abord, à concéder ensuite un traitement de faveur aux allogènes. Mais il est difficile d’y aller directement sans que la ficelle ne paraisse trop grosse. Alors on met dans le fourre-tout les allogènes bien sûr, mais aussi les femmes, les handicapés, les jeunes, les vieux, les homos, les nains, les sourds etc. En fondant dans un même opprobre les « discriminations » supposées à l’égard de catégories très variées les pouvoirs intellectuels et politiques cosmopolites entretiennent volontairement une confusion entre des phénomènes de nature différente afin de désarmer des réflexes élémentaires de survie ethnique.
En effet, il y a d’abord en jeu une différence de nature ethnique qui opère une partition entre indigènes (synonyme d’autochtone = qui est issu du sol même où il habite) et allogènes (d’une origine différente de celle de la population autochtone). On y ajoute une partition de genre (entre masculin et féminin) puis des différences d’âge (jeunes et vieux) ou de santé (handicapés) ou d’orientation sexuelle (homos). L’objectif de cette confusion volontaire est une opération à tiroir. En premier lieu nous l’avons dit, subvertir le vocabulaire et d’abord le verbe « discriminer » qui, d’un sens positif, se voit dévié vers un sens négatif. En second lieu, subvertir les notions ou concepts en suggérant implicitement que des référents de nature différente (allogènes, femmes, handicapés, orientations sexuelles) sont en fait équivalents par essence. Enfin, utiliser la compassion et les bons sentiments que le mauvais traitement d’un handicapé peut générer, utiliser la réprobation de la misogynie et du « machisme » dans un univers mental occidental devenu très largement féministe, pour les faire servir à la fortification des positions acquises par les allogènes. Ainsi, les intellectuels et politiciens cosmopolites pensent échapper aux effets pervers traditionnels des soit disant « luttes contre les discriminations » qui, lorsqu’elles ne sont qu’au seul service des allogènes, attirent en réalité doublement l’attention sur eux et les stigmatisent de manière involontaire. En procédant ainsi, on peut mobiliser morale, bons sentiments, et conformisme idéologique pour légiférer et pénaliser la résistance ethnique des indigènes à l’envahissement des allogènes. Alors, on peut quitter le domaine du débat d’opinions et de la controverse politique : la « discrimination » entre l’indigène et l’allogène étant devenue un délit justiciable des tribunaux, elle rejoint le statut, si joliment décrit par nos modernes Torquemada, des « opinions qui n’ont pas valeur d’opinion ». Beau tour de passe-passe pour rejeter tout débat qui dérange et continuer à ronronner entre « gens autorisés qui s’autorisent » comme eut dit le grand philosophe Coluche…
A la réflexion, nous sommes assez injuste à l’égard des occidentaux cosmopolites puisqu’ils ont récemment redécouvert l’intérêt de la discrimination en l’affublant du qualificatif « positive ». La manœuvre est aussi habile qu’écœurante.
Après avoir proscrit les « distinctions » entre autochtones blancs européens et allogènes dans l’idée affichée de réaliser une égalité parfaite, nos « belles âmes » occidentales ont décidé de passer à l’étape suivante qui vise explicitement, cette fois-ci, à inférioriser l’indigène européen sur les plans politique, social, culturel et économique.
On a donc posé au préalable que dans le passé les allogènes auraient subi des « discriminations » systématiques. Il faudrait donc « réparer » de supposées injustices accumulées. Le moyen choisi est tout simplement d’instituer des … inégalités pour promouvoir l’égalité, en accordant aux allogènes un traitement préférentiel dans l’éducation, l’accès à l’emploi, l’accès au logement, le traitement par les services publics et privés. On transforme ainsi progressivement la vie des indigènes européens dans leur propre pays d’origine en course de handicap permanente avec interdiction de se plaindre car toute plainte serait naturellement une manifestation de racisme…
http://www.youtube.com/v/WmQ2Mt2s9YI&hl=fr&fs=1
Jean-Marie Le Pen
Confirmez-vous être le parrain du 4ème enfant de Dieudonné, comme l'a écrit Libération ce mercredi matin ?
"Oui, je le confirme. Mais contrairement à ce qu'a écrit Libération, je suis le parrain du troisième enfant de Dieudonné, non du quatrième. Le reste est exact : cela s'est bien passé lors d'une cérémonie à Bordeaux la semaine dernière. Cela s'est bien déroulé dans la paroisse traditionaliste de Saint-Eloi. Le baptême a été célébré par l'abbé Philippe Laguérie."
"Je ne voyais pas l'intérêt d'en parler au grand public. C'est une circonstance de la vie privée. Je ne suis pas comme Sarkozy : je ne me sens pas obligé de mettre en scène ma vie privée."
Quelle est la nature de vos relations avec Dieudonné ?
"C'est Dieudonné qui m'a demandé de devenir le parrain d'un de ses enfants car il pense que ce n'est pas incompatible avec son sens de la vie et de l'honneur."
"J'ai de l'estime pour Dieudonné. Nous nous sommes rapprochés car nous avons des points communs. Nous appartenons tous les deux à la 'communauté des parias'. En plus, nous avons tous les deux des origines bretonnes : il est Breton à 50 %, moi à 100 %. Cela a créé un lien entre nous deux."
Avez-vous demandé à Dieudonné d'adhérer au FN ?
"Non, il le fera s'il le veut."
Edit à 20h05 : Contacté par Le Post, Dieudonné a indiqué qu'il ne souhaitait pas communiquer sur le sujet.
Le Post - 16 juillet 2008
Dieudonné, nouveau "dérapage"...
L'humoriste Dieudonné a mis en scène un sketch en milieu de semaine pour revenir sur l'histoire de Jean Marie Le Pen devenu parrain de sa fille...
Dès l'introduction du spectacle, la présentatrice revient sur l'affaire ("Tu as fait le con pour de vrai, cette fois-ci tu assumes"), avant que Dieudonné ne prenne longuement les choses en main... Douteux à plus d'un égard, comme d'habitude.
Décryptage:
Il explique pour commencer qu'il "n'avait pas les moyens de faire autre chose. Vous savez combien ça coûte une campagne de promo sur TF1 , quand t'es censuré, boycotté comme moi?"
Puis enchaîne... et dérape: "Au début j'avais pensé à une fausse agression, je me suis dit, je vais me faire taper à coup de barre à mine dans la rue... dans le 19ème, n'importe où... Mais j'ai un pote qui m'a dit laisse tomber, ils bougeront pas, il faut être juif pour ça!"
Une référence à l'agression de Ruddy, le jeune juif agressé le 21 juin dernier dans le 19ème arrondissement...
Joint par Le Post, Sammy Ghozlan, président du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme, proche de la famille de Rudy, a déclaré: "Plus rien ne m'étonne. Dieudonné fait partie de ceux qui incitent les jeunes d'origine africaine à l'antisémitisme. C'est un personnage dangereux."
Libération, 20minutes.fr, l'Agence France-Presse, et votre humble serviteur -Matinternet - Québec - sont parmi les médias qui sont tombés dans le panneau. Dieudonné n'a pas choisi le président du Front National, Jean-Marie Le Pen pour être le parrain d'un de ses derniers enfants.
C'est le journaliste montréalais Steve Proulx sur son blog qui a mis la nouvelle tirée d'une vidéo du site internet www.labanlieuesexprime.org.
Le controversé humoriste dit avoir voulu tester les médias et se faire de la publicité gratuite.
Source: Matinternet - Québec - 18 juillet 2008
http://www.matin.qc.ca/articles/20080718093942/dieudonne_pen_plusieurs_tombent_dans_panneau.html
18 juillet 2008, 8:37 Par: Steve Proulx | |
Dieudonné: un coup monté | |
La réponse de Dieudonné donnée hier à son spectacle au sujet du parrainage de sa petite dernière par Jean-Marie Le Pen: un coup monté pour attirer l'attention des médias. Après trois ans à être boycotté par les grands médias, il lui fallait une histoire négative à donner à manger aux journalistes... Visiblement, ça a fonctionné. |
Après une introduction jouée au piano (ou à l'orgue), le chœur entre pupitre par pupitre.
À la quarantième mesure, après un pont instrumental, une partie centrale modulante intervient en la bémol majeur (puis si bémol mineur), où l'œuvre atteint son plus haut niveau expressif.
Par un retour lent et solennel, la pièce évolue ensuite vers son caractère initial.
Le texte de Jean Racine (1639-1699) est en fait une traduction de l'hymne Consors paterni luminis datant du Moyen Àge.
Gabriel Fauré (1845-1924)
Le 28 juillet 1865, après avoir régulièrement obtenu des premiers prix de piano et de composition, il quitte l'école les études achevées, en remportant le premier prix de composition avec Le Cantique de Jean Racine (opus11).
http://www.dailymotion.com/video/x64w85_eric-woerth-ministre-croupion_news
Eric Woerth est un ministre croupion", "Le rapport d'orientation budgétaire est à pleurer", "Est-ce qu'on peut nous jeter de la zone euro si vraiment on est incapable de se fixer des règles de discipline ? ". Mais qui donc tient de tels propos en pleine préparation du budget 2009 ? François Hollande ? François Bayrou ? Non, tout simplement le député UMP Gilles Carrez, le rapporteur général du budget qui s'emporte face caméra contre l'explosion des dépenses l'année prochaine et donc à terme de la dette française. Il discute à Matignon avec un conseiller du Premier ministre, en attendant François Fillon.
Mais qui tient la caméra ? Un journaliste qui parvient à capter une conversation privée entre députés ? Non, tout simplement Alain Lambert, le sénateur UMP de l'Orne qui filme la scène avec son petit appareil photo numérique. Cet ancien ministre du Budget, bien connu des journalistes politiques amateurs de la toile, tient son premier scoop et n'est pas peu fier de cette vidéo qu'il a mise en ligne sur son blog.
http://www.dailymotion.com/video/x652q5_sarkozy-ridiculise-au-parlement-eur_news
«Allez, le temps est cher : il le faut employer.»
Mithridate
«L’argent ne nous vient pas si vite que l’on pense. Chacun de tes rubans me coûte une sentence.»
Les plaideurs
«On apprend à hurler avec les loups.»
Les plaideurs
«Plus l’offenseur m’est cher, plus je ressens l’injure.»
La Thébaïde
«Le peuple aime les rois qui savent l'épargner - il estime encore plus ceux qui savent régner.»
«Un bienfait reproché tient toujours lieu d'offense.»
Iphigénie
«Si la foudre d'abord accablait les coupables ! »
La Thébaïde
«Ma foi, sur l'avenir bien fou qui se fiera : Tel qui rit vendredi, dimanche pleurera.»
Les plaideurs
«Craignez, seigneur, craignez que le ciel rigoureux Ne vous haïsse assez pour exaucer vos voeux ! »
Phèdre
«Le lâche craint la mort, et c'est tout ce qu'il craint.»
«La modération n'est qu'une vertu ordinaire quand elle ne se rencontre qu'avec des qualités ordinaires.»
«Songez-y bien : il faut désormais que mon coeur, S'il n'aime avec transport, haïsse avec fureur.»
Andromaque
«Toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien.»
«On ne peut vaincre sa destinée.»
Phèdre
«Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon coeur.»
Phèdre
«Chercherons-nous toujours de l'esprit dans les choses qui en demandent le moins ? »
«On peut dire que le respect que l'on a pour les héros augmente à mesure qu'ils s'éloignent de nous.»
Bajazet
«La terre a moins de rois que le ciel n’a de dieux.»
Mithridate
«Le bonheur des méchants comme un torrent s’écoule.»
Athalie
«Un père en punissant, Madame, est toujours père : Un supplice léger suffit à sa colère.»
Phèdre
«Une extrême justice est souvent une injure.»
La thébaïde
«Mais sans argent l'honneur n'est qu'une maladie.»
Les plaideurs
«Il ne faut point d'esprit pour être homme de guerre.»
«Point d'argent, point de Suisse.»
Les plaideurs
«Quelques crimes précèdent toujours les grands crimes.»
Phèdre
«Ainsi que la vertu le crime a ses degrés.»
Phèdre
«Je meurs si je vous perds ; mais je meurs si j'attends.»
Andromaque
«Il faut se croire aimé pour se croire infidèle.»
Andromaque
«Vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez ! »
Bérénice
«Si je la haïssais, je ne la fuirais pas.»
Phèdre
«L'amour avidement croit tout ce qui le flatte.»
Mithridate
«Aimer un être, c'est le rendre transparent.»
«L'amour, toujours, n'attend pas la raison.»
Britannicus
«L'amour le plus discret Laisse par quelque marque échapper son secret.»
Bajazet
«La foi qui n'agit point, est-ce une foi sincère ?»
Athalie
«Les témoins sont fort chers, et n'en a pas qui veut.»
Les plaideurs
«Elle flotte, elle hésite : en un mot, elle est femme.»
Athalie
Le parquet de Béziers (Hérault) a ordonné une autopsie et ouvert une enquête pour homicide involontaire et privation de soins à enfant de moins de quinze ans après le décès d'une fillette de 19 mois retrouvée morte la veille dans une voiture où son père l'avait oubliée en plein soleil. "Le père très choqué n'a pas été placé en garde à vue", a précisé le procureur Denis Mondon. Sous le choc, il a été hospitalisé. "Il a disjoncté", a expliqué le maire. Le procureur Denis Mondon attendait jeudi de pouvoir recueillir son témoignage. "Les résultats des auditions en cours comme ceux de l'autopsie permettront de mieux cerner les infractions pénales à imputer et le choix du type de poursuites", a précisé le procureur de la République.
La petite Noémie avait été retrouvée mercredi en fin d'après-midi manifestement morte de déshydratation dans un véhicule où elle avait été oubliée par son père dans la zone industrielle du Capiscol à Béziers. Vers 16 heures, la maman de la fillette était venue la chercher à la crèche. "N'y trouvant pas l'enfant, elle appelle le père. Celui-ci se rend compte alors qu'il a oublié de déposer Noémie à la crèche et l'a laissée dans sa voiture garée au soleil à proximité de son lieu de travail", raconte le communiqué du procureur. "Il se rend immédiatement à sa voiture et découvre l'enfant sans vie. Le décès sera constaté par un médecin à 17 heures". Mais il devait remonter à la mi-journée, selon une source proche de l'enquête.
"Un homme très apprécié par tous"
Selon le journal Midi Libre, des témoins ont essayé de ranimer l'enfant après l'avoir découverte inanimée tandis que le père âgé d'une trentaine d'années, fou de douleur, donnait des coups de pieds dans la voiture. Il faisait mercredi 27°C à Béziers mais la température à l'intérieur d'un véhicule garé au soleil peut être beaucoup plus élevée. Selon le quotidien Midi Libre, le corps de la fillette doit être autopsié vendredi.
Les parents de la fillette, décrits comme un couple menant une vie normale, avaient deux enfants. Employé dans une entreprise de distribution de produits alimentaires pour professionnels de la restauration, le père y est chargé de superviser les chauffeurs. Le directeur de cette entreprise d'une centaine de salariés sur le site de Béziers, le décrit comme "un homme très apprécié par tous", "impliqué", "menant une vie normale et avait des horaires normaux". "Nous sommes totalement solidaires de la famille. Tout ce qu'on peut faire, c'est le soutenir et en particulier sa famille. L'entreprise est sous le choc, c'est un drame", a poursuivi le responsable. Une cellule d'aide psychologique y a été mise en place.
Pour le maire de Béziers également, les parents de la fillette sont "des gens normaux, élevant normalement leurs deux enfants". "Il n'y avait pas le moindre signalement contre eux. Ils étaient sans difficulté particulière", a ajouté M. Couderc selon lequel "on ne peut pas rechercher l'explication du côté de la précarité ou de difficultés psychologiques dues à l'absence de travail". "C'est pour cela qu'on est désorienté, parce qu'on ne sait pas l'expliquer, les gens sont démunis devant un événement comme celui-ci", a constaté le maire dans les rues de sa ville. Le personnel de la crèche a aussi été placé sous assistance psychologique, "totalement démonté", selon M. Couderc.
Source LCI.fr - 26 juin 2007
Pratiquement le même scénario et les mêmes réactions favorables au père! Comme si le père avait une sorte de droit archaïque de vie et de mort sur ses enfants dans l'inconscient collectif...
Il avait tout organisé pour l'excursion de ses élèves. Tout prévu. Sauf l'impensable, cette dramatique collision survenue le 2 juin à un passage à niveau à Allinges entre le car qui transportait ses élèves et un TER, faisant 7 morts et 25 blessés parmi les adolescents. Eric, 45 ans, professeur d'Histoire au collège de Margencel, en Haute-Savoie, n'a pas réussi à encaisser le choc. Il s'est donné la mort mercredi. "Son corps a été retrouvé pendu dans une forêt située sur la commune voisine de Fessy", explique une source proche de l'enquête. "Depuis le drame, il était très mal. Il ne prenait pas d'antidépresseurs mais était suivi par un médecin", poursuit cette source. Sa disparition avait été signalée mercredi. Aussitôt des pompiers, des gendarmes et des secouristes de montagne avaient entamé une battue pour le retrouver, mais ils avaient du stopper leurs recherches avec la tombée de la nuit. Le corps a été retrouvé ce matin.
Le 2 juin, un TER assurant la liaison Evian-les-Bains/Genève a percuté le car scolaire au passage à niveau à Allinges, causant la mort des sept collégiens et faisant 25 blessés. Le chauffeur du car scolaire a depuis été mis en examen pour "homicides et blessures involontaires" et placé sous contrôle judiciaire. Cet homme de 49 ans est soupçonné d'avoir franchi le passage à niveau où s'est produit l'accident, alors que le feu était rouge, ce qu'il dément. Les analyses toxicologiques, visant à déceler la présence d'alcool ou de stupéfiants, se sont révélées négatives. Quatre des sept familles des victimes se sont déjà constituées parties civiles, ce qui leur permet d'avoir accès au dossier et de demander des actes éventuels au juge d'instruction. Le 5 juin, trois jours après le drame, un vibrant hommage avait été rendu aux jeunes victimes, en présence du Premier ministre François Fillon.
LCI.fr 17 juillet 2008
Le pape Benoît XVI a rejoint jeudi les jeunes catholiques des cinq continents rassemblés à Sydney pour les Journées Mondiales de la Jeunesse, qu'il a exhortés à fuir les "fausses idoles" de la société de consommation afin de sauver la planète et l'humanité.
Des milliers de personnes se sont massées le long des rues empruntées par la papamobile. Au moins 150.000 jeunes ont participé à la "cérémonie d'accueil" organisée en l'honneur du pape sur le môle de Barangaroo où il a débarqué après avoir remonté en bateau la baie ensoleillée.
Des Aborigènes, dont les papes précédents, Paul VI et Jean Paul II, avaient pris la défense, ont exécuté pour lui des danses rituelles tandis que des centaines de drapeaux de tous les pays étaient agités par les pèlerins.
Dans un discours musclé, le pape s'est inquiété des dégâts écologiques provoqués par une exploitation sans frein des ressources de la planète. Il a aussi mis en garde les jeunes contre la séduction des "fausses idoles" et contre le "relativisme" de la société matérialiste.
Une semaine après le sommet des pays industrialisés du G8 qui a reconnu la nécessité de protéger l'environnement, Benoît XVI a évoqué "l'érosion, la déforestation, le gaspillage des ressources minérales et marines pour alimenter un esprit de consommation insatiable".
La Terre, "merveilleuse création de Dieu, en vient à être perçue par ses habitants comme une réalité hostile, quelque chose de dangereux", a-t-il remarqué.
Plusieurs milliers de participants aux JMJ de Sydney sont originaires des îles du Pacifique ou des pays asiatiques récemment frappés par des cataclysmes naturels imputés aux changements climatiques.
L'Australie elle-même souffre depuis sept ans d'une grave sécheresse.
Benoît XVI a lié sa défense de la planète, "création de Dieu", à celle de la vie humaine, se livrant passage à une charge contre l'avortement.
"Comment l'espace humain le plus beau et le sacré qu'est le sein maternel a-t-il pu devenir le lieu d'une violence indicible", a-t-il lancé.
Il a attribué les maux de la société moderne à la marginalisation de la religion et au "relativisme". "Quand Dieu est éclipsé, notre capacité à reconnaître l'ordre naturel, le but et le bien commence à s'éclipser", a-t-il dit.
Le pape, qui avait pris trois jours de repos près de Sydney avant d'entamer sa visite, a été officiellement reçu dans la matinée par les autorités politiques, le Premier ministre travailliste Kevin Rudd - un anglican - et le gouverneur général Michael Jeffrey.
Benoît XVI a rendu hommage à la "courageuse décision" récemment prise par le gouvernement australien de reconnaître les "injustices" subies dans le passé par les peuples aborigènes.
Son programme à Sydney s'achèvera dimanche par une messe en plein air, précédée par une veillée samedi soir. Il doit assister vendredi - sans y participer - à un chemin de croix dans les rues de la ville, et rencontrer samedi les évêques et les séminaristes australiens.
Il devrait à cette occasion évoquer le problème des abus sexuels commis par des membres du clergé, un dossier qui compromet l'image de l'Eglise australienne.
Le Premier ministre, interrogé à la radio Sky News a jugé "important que l'Eglise réponde à chaque cas individuel", alors que des victimes accusent la hiérarchie catholique d'être insensible à leur souffrance.
Qu'en pensez-vous? Est-il possible "d'oublier" à ce point son enfant?
Il avait deux ans et demi, il devait donc être profondément endormi pour ne pas se manifester lorsque son père est descendu et a refermé la portière en le laissant seul.
Si la voiture était climatisée, toutes les vitres devaient être remontées. Mais la climatisation a cessé dès que le père a coupé le contact...
Il a oublié son fils de 2 ans et demi dans son véhicule par 40°C, à Pont-de-Cheruy, parce qu'il a été témoin d'un délit de fuite, s'est-il justifié.
NOTES |
1 - Ainsi dans un article publié la fin du mois d’avril dernier, le quotidien L’Orient-Le Jour, indiquait que « les chrétiens de Jordanie se disent inquiets du prosélytisme de certaines communautés dirigées par des évangélistes étrangers et réclament la fermeture de ces Églises qui, selon eux, sèment la zizanie dans le pays. (…) Les responsables de la minorité chrétienne de Jordanie ont donc salué la décision du gouvernement d’expulser le mois dernier des missionnaires étrangers, accusés de prosélytisme sous couvert d’activités caritatives. Pour Fahed Kheitan, lui aussi chrétien, éditorialiste au quotidien al-Arab al-Yom (indépendant), ces missionnaires « s’attaquent aux fondements des Églises traditionnelles jordaniennes. (…) Depuis des années nous demandons la fermeture de telles “boutiques” chrétiennes, qui n’ont rien à voir avec le christianisme et la tolérance », explique M. Kawwas qui salue le geste gouvernemental, même s’il est « tardif ». (…) En février, le Conseil des Églises de Jordanie (CEJ), regroupant toutes les communautés chrétiennes, avait accusé 40 sectes de « semer la zizanie au sein de la communauté chrétienne et entre chrétiens et musulmans ». « Ces groupes tirent profit de la pauvreté, divisent les chrétiens et, plus grave encore, diffusent des idées étrangères au christianisme », avait regretté le patriarche latin de Jérusalem Michel Sabbah, cité par l’agence officielle Petra. « Nous rejetons leurs positions politiques non avouées et nous ne voulons pas que l’image du christianisme soit déformée », avait-il poursuivi ». (Source: Voxnr) |