Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 1873

  • VIDEO Marcel Leroux climatologue

    http://www.dailymotion.com/video/x33184_marcel-leroux-climatologue-non-peop_tech

  • Valeria Bruni Tedeschi, la soeur de la "première dame de France"...

    Valeria-bruni-tedeschi-au-chevet-de-marina-petrella.jpg
    Valeria Bruni Tedeschi connaît le milieu des Brigades rouges

    La sœur de Carla Bruni, Valeria Bruni Tedeschi, a rendu visite il y a quelques jours à l'ex-membre des Brigades rouges incarcérée en France Marina Petrella, assure-t-elle dans une interview lundi au Corriere della Sera. L'ex-brigadiste, en attente d'extradition vers l'Italie, est placée sous perfusion à l'hôpital pénitentiaire de Fresnes, près de Paris, pour écarter "un risque vital", ont indiqué dimanche ses médecins.
     
    "Je préfère ne pas parler de la rencontre car la situation est très délicate et ce n'est pas à moi de faire des déclarations publiques. Je peux seulement dire que cette personne va très mal, son poids est descendu à 40 kilos, elle ne mange plus depuis avril", a déclaré l'actrice, qui ne précise pas la date exacte de sa visite. Arrêtée en août 2007, visée par un décret d'extradition depuis juin, Marina Petrella est atteinte de "troubles dépressifs et suicidaires", selon les médecins. 
     
     
    Les deux médecins de Marina Petrella ont plaidé pour "une prise en charge dispensée dans un milieu spécialisé approprié", hors détention, car "le milieu carcéral ne peut qu'aggraver, s'il est possible, les troubles dépressifs et suicidaires tels que ceux de Mme Petrella, et précipiter une issue fatale".

    Marina Petrella a été condamnée en Italie en 1992 à la réclusion criminelle à perpétuité, notamment pour complicité de meurtre d'un commissaire de police à Rome en 1981.

     Elle vit en France depuis 1993, où elle est mariée et a eu une fille aujourd'hui âgée de dix ans.
     
    D'après agence

      

     

     

  • Sarközy fait profil bas en Irlande!

    Irlande Sarkozy ment.jpg

    Le président français, qui a brièvement rencontré le premier ministre irlandais, a assuré que l'UE ne voulait «pas imposer» une solution à l'Irlande.

    Une visite éclair en Irlande le temps de faire passer un message clair. Le président Nicolas Sarközy a assuré lundi à Dublin que l'Union européenne ne voulait «pas imposer» une solution à l'Irlande après le non au traité de Lisbonne lors du référendum du 12 juin, démentant avoir souhaité la tenue d'un second vote.

    «Je n'ai jamais dit que l'Irlande devait convoquer un nouveau référendum», a déclaré Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse conjointe avec le premier ministre irlandais Brian Cowen. ««Nous n'avons pas la solution miracle et surtout nous ne voulons pas l'imposer, nous voulons que le peuple irlandais se sente respecté dans son choix», a-t-il assuré. Le président français avait auparavant suscité la colère en Irlande, en jugeant en début de semaine passée devant des députés de son parti que les «Irlandais devront revoter».

    «Nous allons multiplier les réunions de travail» jusqu'au prochain Conseil européen d'octobre et la visite à Paris de Brian Cowen en septembre, a-t-il précisé. «Je suis convaincu qu'avec un peu de temps, et l'Irlande a besoin de temps, nous trouverons la solution pour donner aux Européens les institutions démocratiques dont ils ont besoin», a-t-il assuré. «Nous faisons confiance à l'Irlande pour trouver les raisons du non».

    Des pancartes affirmant «casse-toi pauvre con Sarkozy»

     

    Entre 1 400 et 1 800 manifestants, selon la police, ont accueilli Nicolas Sarkozy lors de son arrivée sur la terre irlandaise.  Des opposants au traité de Lisbonne ont brandi des pancartes demandant «Sarkozy, respectez le vote sur Lisbonne. Non c'est non», ou assurant «Le traité de Lisbonne est mort».

    Plusieurs manifestants ont choisi l'ironie en inscrivant sur leurs pancartes un «casse-toi pauvre con Sarkozy», en référence à l'invective lancée par le président français à un visiteur du salon de l'Agriculture à Paris en février dernier.

    Aucune percée n'est attendue à l'occasion de cette visite

     

    Au cours de ce bref déplacement, Nicolas Sarkozy, qui assure la présidence de l'Union européenne (UE), devait également s'entretenir avec les responsables des principaux partis. Une réunion séparée devait ensuite se tenir à la résidence de l'ambassadeur de France avec des représentants des camps du «oui» et du «non», notamment le dirigeant du parti Sinn Féin, Gerry Adams, seule formation représentée au Parlement à avoir appelé à voter non, ou le responsable de l'assocation Libertas Declan Ganley.

    Se disant prêt à «écouter», le chef de l'Etat français avait expliqué, dans une interview au quotidien Irish Times parue samedi, vouloir «comprendre» les raisons du «non» à 53% au référendum du 12 juin en Irlande. Mais aucune percée n'est attendue à l'occasion de cette visite éclair, Dublin ayant besoin de temps pour réfléchir à une sortie de crise, selon des diplomates français et irlandais.

    Le Figaro - 21 juillet 2008

         
  • Une petite fille laissée à la garde de son père malade mental

    Rome folie d'un père.jpg
    Place de Venise à Rome 

    Un Français de 37 ans, connu pour avoir des antécédents psychiatriques, a violemment cogné la tête de sa petite fille de 4 ans contre un monument à Rome. Il a été arrêté et incarcéré. Son enfant, très grièvement blessée, a été hospitalisée.

    Choqués, les nombreux témoins de la scène évoquent un acte d'une violence terrifiante. A Rome, dans la nuit de samedi à dimanche, Julien M., un Parisien de 37 ans, a violemment cogné la tête de sa petite fille de 4 ans sur un monument de la capitale italienne. Opérée d'urgence dans un service de neurochirurgie, la petite Luna se trouve dans un état grave.

    « Sa vie est en danger », précisait-on hier à l'hôpital de l'Enfant-Jésus où la fillette, dans le coma, a été admise pendant la nuit. Immédiatement interpellé, son père a lui été incarcéré dans une prison romaine. Très confus, cet homme qui a des antécédents psychiatriques n'a pas expliqué son geste.

    Les faits se sont déroulés vers 23 heures place de Venise, une des plus imposantes esplanades de Rome où se trouve notamment le majestueux monument dédié au roi Victor-Emmanuel II. Avant qu'il ne commette son terrible geste, le comportement suspect de Julien M. avait attiré l'attention d'autres touristes, inquiets de le voir maltraiter sa fille en pleurs. Mal en point, le père de famille avait également été aperçu en train de vomir. Avisée de la situation, une policière italienne a alors tenté, avec l'aide de passants, d'arracher la petite fille des bras de son père. Pour seule réaction, l'homme a subitement saisi la fillette par les cheveux avant de violemment cogner sa tête par trois fois sur le socle en marbre du monument.

    « J'ai pensé qu'elle était morte », a confié la policière à la presse italienne. Très perturbé, le père de la petite fille s'est ensuite mis à se taper la tête contre le sol.

    Contactée par les autorités consulaires françaises, la mère de Luna ne se trouvait pas en Italie au moment du drame mais en vacances en Turquie. Elle a expliqué qu'elle n'était pas au courant de la présence de ses proches en Italie. Selon elle, son compagnon et leur fille auraient dû se trouver à Paris. Elle devait rejoindre Rome hier dans la journée. Alertée rapidement, la consule de France Hélène Larose a passé la nuit au chevet de la fillette.

    Incarcéré à la prison Regina-Coeli, son père est pour l'heure resté totalement silencieux. Il n'a fourni aucune explication sur son soudain déchaînement de violence. Ses analyses de sang n'auraient pas révélé la présence d'alcool ou de stupéfiants. Il aurait en revanche, selon sa compagne, déjà séjourné dans un hôpital psychiatrique en France. Dans son sac à dos, les enquêteurs romains ont d'ailleurs retrouvé des médicaments qui laissent à penser qu'il suivait un traitement psychiatrique. L'expertise que devrait diligenter la justice italienne permettra sans doute d'en savoir plus.

    « La coopération avec les autorités italiennes est excellente », se félicite-t-on de source diplomatique française. Si sa fille venait à succomber à ses blessures, Julien M. serait alors poursuivi pour homicide.

    Tout récemment, les médecins ont refusé à un père diabétique, qui se soignait, d'avoir la garde partagée de son enfant estimant qu'il pouvait "avoir un accident de santé" tel que tomber dans le coma...

  • Renaud écarté par la snobissime Ingrid?

    Il manquait un nom à l'affiche du Trocadéro. Celui de Renaud qui, en fidèle combattant pour la cause d'Ingrid Betancourt, lui avait même dédié en 2006 sur son album « Rouge sang » une chanson intitulée « Dans la jungle ». Le chanteur avait également monté cette année des concerts de soutien et, l'an passé, une opération de largage de photos de l'otage au-dessus de la forêt colombienne.

    Selon les organisateurs du concert d'aujourd'hui, le grand absent des festivités est officiellement « en vacances en famille. C'est assez délicat, il a aussi eu la grippe plusieurs fois. Mais il soutient toujours la cause. » De fait, Renaud ne s'est ni montré ni exprimé publiquement depuis le 2 juillet, jour de la libération. En revanche, le président de la République Nicolas Sarközy ne s'est pas privé de le remercier pour ses actions à chacune de ses allocutions concernant Ingrid Betancourt.

    Nous nous moquons complètement de Renaud (Séchan), mais que ce ridicule "people" alcoolo manque à l'appel est assez étonnant!

  • Ce sont les Juifs qui le disent

    Jean-Paul II.jpg
    Jean-Paul II
    Dans un bosquet d'oliviers plantés durant le pèlerinage en Terre sainte du pape Jean Paul II en 2000, seul l'arbre qu'il a béni porte des fruits, a rapporté dimanche le journal israélien Yédiot Aharonot.

    A l'issue d'une prière collective au Mont des Béatitudes, qui surplombe le lac de Tibériade en Galilée, le souverain pontife avait béni un olivier offert par le Fonds pour le remembrement des terres en Israël (Kéren Kayemet le Israël - KKL), et celui-ci avait ensuite été planté avec onze autres oliviers.

    «Ils se trouvent tous sur la même parcelle et ont reçu les mêmes soins et la même quantité d'eau, mais seul celui béni par le pape porte des fruits», a affirmé au journal Yossi Karni, un expert en boisement du KKL.


    AFP - 20 juillet 2008

     

  • Israël attaquera-t-il l'Iran par l'Irak?

    bush_troops ISRAEL.jpg
    Bush à Al-Anbar
    L'Israel Air Force déjà à Haditha.jpg
    L'Israël Air Force déjà à Haditha?
    Les Américains parlent de plus en plus de l'éventualité d'une attaque de l'Iran par Israël. Des informations transmises par des sources issues du ministère irakien de la Défense à une chaîne de télévision irakienne laissent penser que la date d'un tel raid approche. D'après ces sources, l'armée de l'Air israélienne effectuerait depuis plus d'un mois des exercices dans l'espace aérien irakien. Les avions de Tsahal atterrissent dans des bases de l'armée américaine du pays. L'objectif de ces manœuvres serait de se préparer à une éventuelle attaque contre l'Iran. Le rapport, également évoqué par la presse iranienne, prétend que ces derniers temps de nombreuses manœuvres nocturnes d'avions de chasse sont observées dans les cieux irakiens. Les sources affirment que les forces américaines ont pris d'importantes mesures de sécurité et ont renforcé la surveillance autour de ces bases. D'après ces sources, citant des militaires à la retraite du district d'Al-Anbar, les avions viendraient la nuit du côté de la Jordanie, pénétreraient dans l'espace aérien irakien et atterriraient dans un aérodrome situé à proximité de la ville d'Haditha. Les sources irakiennes pensent qu'il s'agit d'appareils israéliens qui réalisent des exercices pour se préparer à une attaque contre les sites nucléaires iraniens. Les sources estiment également que les bases aériennes américaines pourraient servir de plateforme pour l'armée de l'Air israélienne lors d'un éventuel raid contre l'Iran. Dans ce rapport, il est précisé que si les avions israéliens veulent décoller à partir de ces bases stratégiques, ils pourront pénétrer dans le territoire iranien en cinq minutes et atteindre le réacteur nucléaire de Bouchehr en "un temps record". Notons que jeudi, le ministre de la Défense, Ehoud Barak, a menacé Téhéran en affirmant : "Israël est l'Etat le plus puissant de la région et il a prouvé par le passé qu'il n'avait pas peur d'agir lorsque ses intérêts fondamentaux sont menacés."
    (Source: Yael Ancri - AROUTS 7 - 11 juillet 2008)

       
      

  • Clip vidéo AIR COMORES


  • Les belles vacances marocaines

    Atlas blue arrivé à Lille après 26 h de retard.jpg
    Atlas Blue arrivé à Lille avec 26 h de retard...

    Plus de 13 heures de retard déjà lors du vol d'aller entre Lille et Marrakech... et un retour encore plus calamiteux. Dorothée Hacker, qui est sage-femme et travaille au CHU de Lille, n'est pas prête d'oublier ses vacances au Maroc. Encore épuisée par ses aventures, elle a raconté dimanche à LCI.fr son voyage en compagnie de 130 autres voyageurs du Nord.

    "Comme la plupart des passagers, j'avais acheté mon séjour auprès d'un tour-operator - en l'occurrence, Royal Tours. Déjà à l'aller, ça s'était mal passé avec la compagnie Atlas Blue, qui est pourtant une compagnie régulière : le jour du départ, le décollage était prévu à 1 heure de l'après-midi, et nous n'étions partis au final qu'à 2 heures du matin. Mais les vacances passant, on avait eu tendance à l'oublier un peu". Oubliées donc, sous le soleil marocain, la journée de forfait vacances perdue sans aucune compensation, tout comme l'attente à l'hôtel Mercure près de l'aéroport sans aucune information et l'impossibilité d'obtenir des attestations de retard.

    Les responsables se renvoient la balle

    Mais ces "couacs" de départ ressurgissent avec d'autant plus d'acuité à l'heure du retour. "Nous étions convoqués à l'aéroport samedi à 5h45, pour un départ prévu deux heures plus tard et une arrivée en France à 10 heures, raconte Dorothée Hacker. Nous avons demandé à Royal Tours s'il y avait des retards prévus et on nous a dit que non. Et une fois à l'aéroport, nous avons commencé l'enregistrement de manière normale. Jusqu'à ce qu'on nous annonce que l'avion ne partirait qu'à 13h30..." Colère des passagers, qui sont alors dirigés vers un hôtel voisin... Mais Dorothée Hacker, censée retourner au travail au CHU de Lille le soir même de son arrivée en France, et échaudée par les problèmes déjà rencontrés à l'aller, décide avec une amie de rester à l'aéroport pour obtenir, cette fois, une attestation de retard.

    Malheureusement, il n'y a aucun responsable à l'aéroport, et les seuls interlocuteurs présents se renvoient la balle. Royal Tours se défausse sur le transporteur aérien. Atlas Blue est la compagnie low-cost de Royal Air Maroc... mais Royal Air Maroc refuse de fournir la moindre explication. Et au guichet d'Atlas Blue, personne, si ce n'est un gardien, peu à l'aise face aux réclamations. Il faut attendre 9 heures et l'ouverture officielle du guichet pour voir arriver un employé... lequel ne peut rien expliquer, et ne peut donner aux voyageuses qu'un simple formulaire de réclamation.

    "Des blattes, une piscine vaseuse, une odeur d'égout"

    Il faut rejoindre l'hôtel. Là, autre mauvaise surprise. "C'était l'hôtel Royal Mirage de Marrakech, un ancien hôtel Sheraton, raconte Dorothée Hacker. Pourtant la crasse était épouvantable, il y avait des blattes, une piscine vaseuse, une odeur d'égout dans les chambres, pas de papier toilette... On nous a fait patienter là toute la journée, avec en tout et pour tout une bouteille d'eau pour cinq personnes. On nous avait dit : vous aurez des nouvelles à 18 heures. A 18 heures, rien". Il faut négocier pied à pied pour avoir un peu plus d'eau à boire. Un repas viendra finalement dans la soirée. Jusqu'à ce que soient, enfin, annoncées des navettes pour l'aéroport.

    "Les premiers passagers qui ont pris les navettes ont embarqué directement, puisque l'enregistrement avait déjà eu lieu, décrit Dorothée Hacker. Mais quand notre tour est venu, quelqu'un a surgi en criant : stop, on ne peut plus embarquer, il n'y a pas d'avion !" Car - et la sage-femme l'ignore alors - d'autres voyageurs, venus de Marseille, et eux-mêmes dans la même situation, ont déjà manifesté leur colère dans la journée, de sorte qu'Atlas Blue leur a attribué... l'avion prévu pour Lille. "Une quarantaine de passagers étaient déjà passés en zone internationale et sont donc restés bloqués, raconte la voyageuse. Et nous, nous avons décidé de rester jusqu'à ce qu'il y ait un avion".

    "Atlas Blue nous avait tellement menés en bateau..."

    La nuit sera calamiteuse. Les explications manquent toujours : est-ce une panne qui a nécessité un changement d'avion ? Un problème de grève ? Atlas Blue ira jusqu'à invoquer un problème de surbooking... Les heures passent et des mères se retrouvent sans lait et sans couche pour leur bébé, des enfants sont malades et les policiers présents à l'aéroport refusent d'appeler un médecin... L'eau manque, et il n'y a pas de nourriture. "On s'est dit : il faut être solidaire et obliger tous ensemble l'aéroport à réagir, raconte Dorothée Hacker. Vers 5h30 du matin, nous nous sommes assis sur les tapis roulants au niveau de l'enregistrement pour tout bloquer". Au risque de provoquer des rixes avec les passagers d'autres vols qui arrivent bientôt... Des hôtesses interviennent pour calmer le jeu et promettent un avion pour 7h30. Miracle, l'avion viendra bien, cette fois.

    "Nous somme montés dans l'avion, nous étions tous épuisés, conclut la voyageuse. Au cours du vol vers Lille, nous n'avons pas eu la moindre excuse. Le personnel n'a pas même essayé de nous donner des explications : Atlas Blue nous avait tellement menés en bateau depuis le début... "

    LCI.fr - 20 juillet 2008

  • Eclipse de soleil le 1er août

    PARIS (AFP) - Une éclipse totale de soleil, la 5e du XXIe siècle, obscurcira la Chine une semaine avant l'ouverture des Jeux Olympiques, le 1er août, selon l'Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides (IMCCE) à Paris.

    Cette éclipse sera visible en totalité sur une ligne commençant "au nord-est du Canada, puis traversant le nord-ouest du Groenland, l'océan glacial arctique, l'île d'Arkhangelsk, le nord sibérien et l'ouest de la Mongolie" avant de prendre fin en Chine, selon le site internet de l'IMCCE (http://www.imcce.fr).

    L'éclipse sera "quasi invisible" en France métropolitaine, où "le degré d'obscuration sera de l'ordre de 6%", a ajouté l'IMCCE. En revanche, elle touchera Saint-Pierre et Miquelon (22%).

    L'observation d'un tel événement "nécessite impérativement de se protéger les yeux afin d'éviter toute lésion oculaire, particulièrement chez les enfants", a rappelé mardi dans un communiqué la direction générale de la Santé.

    Une semaine plus tard, Pékin célébrera l'ouverture des Jeux Olympiques et de très nombreux Chinois se marieront, car il s'agira du 8 août 2008 (ou 8/08/08) : ce jour est considéré comme faste pour les mariages car le 8 est un chiffre qui porte chance en Chine.

  • Betancourt se bat pour l'amour et la fraternité mondiale

    Betancourt avec le chanteur colombien Juanes.jpg
    Au Trocadéro, avec le chanteur colombien Juanes, qui porte un chapelet autour du cou

    « Plus jamais d'otages ! ». Devant des milliers de personnes rassemblées au Trocadéro à Paris pour un concert organisé à l'occasion des fêtes d'indépendance en Colombie, Ingrid Betancourt lance un appel à la guérilla colombienne des Farc.

    «C'est un jour de fraternité pour les Colombiens et pour le monde entier», a déclaré l'ex-otage, qui s'exprimait en espagnol, sur une scène installée place du Trocadéro.



    «C'est pour l'amour que nous sommes là avec une seule obsession: la liberté pour tous», a-t-elle poursuivi devant un public scandant «libertad, libertad».

    En s'adressant au numéro un des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc), Alfonso Cano, Betancourt a déclaré: «regarde cette Colombie, accepte la main tendue par le président Uribe, déposez les armes et relâchez les otages».

    Libérée le 2 juillet dernier, après plus de six ans passés dans la jungle colombienne, Ingrid Betancourt n'a pas oublié ses anciens compagnons de captivité: «Je pense en particulier à mes amis otages restés dans la jungle, les soldats, les militaires, les civils, les politiques».

    Des photos des 26 otages «politiques» des Farc ont été brandies sur scène par des membres de la Fédération internationale des comités Ingrid Betancourt (Ficib), organisatrice du concert.

    Une trentaine d'artistes doivent se succéder sur scène, parmi lesquels les français Renan Luce, Alain Chamfort, Hugues Aufray ou encore les Neg'Marrons.

  • Ce que dit la loi à propos des "Protocoles"

    JORF n°121 du 26 mai 1990 page



    ARRETE
    Arrêté du 25 mai 1990 interdisant la circulation, la distribution et la mise en vente d'un ouvrage

    NOR: INTD9000211A
    Par arrêté du ministre de l'intérieur en date du 25 mai 1990:
    Considérant que l'ouvrage intitulé Protocoles des Sages de Sion est d'origine étrangère dès lors qu'il est traduit d'une langue étrangère;
    Considérant que la mise en circulation en France de cet ouvrage est de nature à causer des dangers pour l'ordre public en raison de son caractère antisémite;
    Considérant l'impossibilité d'appliquer les dispositions de l'article 8 du décret no 83-1025 du 28 novembre 1983,
    La circulation, la distribution et la mise en vente de l'ouvrage intitulé Protocoles des Sages de Sion sont interdites sur l'ensemble du territoire.
    Legifrance.gouv.fr

  • Serpent venimeux à deux têtes

    Serpent à deux têtes.jpg

  • VIDEO Les "Protocols": un faux machiavélique

    http://www.dailymotion.com/video/x5kxn4_13-protocoles-des-sages-de-sion_news

    On savait que ce "bréviaire de la haine" était un FAUX: cette vidéo en apporte encore la preuve de façon incontestable.

  • Un concert au Trocadéro pour les otages colombiens

    On allait l'oublier...

    Demain, c'est la fête nationale colombienne. A Paris, on pense aux otages, notamment en présence d'Ingrid Betancourt.


    Qu'est ce qu'il va se passer ce dimanche?
    Les Colombiens vont manifester pour demander la libération des 3.000 personnes encore retenues en otages.

    Et à Paris?
    A Paris comme dans le monde entier, des manifestations de soutien vont être organisées. Dans la capitale française, la place du Trocadéro accueillera un concert tout au long de l'après-midi, en présence de Bertrand Delanoë et d'Ingrid Betancourt, fraîchement libérée.

    Qui vient au concert?
    Au menu, on retrouvera Renan Luce, mais aussi Juanes, Yuri Buenaventura, Michel Delpech, Khaled, Camille Bazbaz, Adrienne Pauly, Alain Chamfort, Tcheky Karyo ou encore Hugues Aufray.

    (Source: Europe1)
  • Benoît XVI et l'honneur de l'Eglise

    Benoït XVI célèvbe la messe à Sydney.jpg
    Benoît XVI célèbre la messe à la cathédrale de Sydney

    Le Saint Père a pour la première fois présenté ses excuses publiques samedi à Sydney pour les abus sexuels commis par des prêtres, faisant un nouveau pas dans la prise en compte d'un scandale qui a gravement compromis la réputation de l'Eglise catholique dans plusieurs pays.

    Benoît XVI s'est dit "profondément désolé pour la souffrance que les victimes ont endurée" en Australie et les a assurées qu'il "partage leur souffrance". Il a souligné que les coupables devaient être "conduits devant la justice".

    C'est la première fois que le chef de l'Eglise catholique fait des excuses aussi explicites. Aux Etats-Unis où il s'était rendu en avril, il avait exprimé sa "honte", un terme qu'il a repris samedi en Australie. Il avait également reçu en privé plusieurs victimes.

    Le pape s'est exprimé sur ce sujet durant une messe célébrée samedi matin devant les évêques et les séminaristes australiens, dans le cadre des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) de Sydney.

    Dans la soirée, il a présidé une veillée qui a rassemblé 200.000 jeunes catholiques de tous les continents sur un hippodrome, dans un mélange de recueillement et de liesse.

    AFP. 19 juillet 2008

  • Un accord avec l'Iran? Colère des néoconservateurs

    « L’administration Bush, qui a accepté de participer à des pourparlers avec l’Iran sur le nucléaire (samedi 19 juillet à Genève), semble devenir plus pragmatique et s’éloigner de sa vision d’un “Axe du mal”, selon certains analystes. Le numéro trois du département d’Etat William Burns va participer à Genève aux entretiens entre le diplomate en chef de l’Union européenne, Javier Solana, des diplomates d’Allemagne, France, Grande-Bretagne, Chine et Russie, et le négociateur iranien Saïd Jalili. » (AFP, 17 juillet.) Par ailleurs, des rumeurs font état de l’ouverture d’une section d’intérêts diplomatiques américaine à Téhéran. Tout cela marque-t-il une percée dans le dossier ? Il est encore bien trop tôt pour l’affirmer. Mais la politique actuelle de l’administration américaine suscite la colère des éléments les plus conservateurs aux Etats-Unis.

    Dans une libre opinion publiée le 15 juillet 2008 par le quotidien américain The Wall Street Journal sous le titre « Israel, Iran and the bomb »
    John Robert Bolton.jpg
    "Quand vous avez un doute, bombardez!"

     John Robert Bolton, qui fut notamment le représentant des Etats-Unis aux Nations unies et qui est l’un des néoconservateurs les plus radicaux, écrit :

    « Plus de sanctions aujourd’hui (à supposer, de manière irréaliste, l’appui de la Russie et de la Chine) seront tout simplement “trop peu, trop tard”. Alors qu’un changement de régime serait la solution préférable, il n’y a pratiquement aucune chance de déloger les mollahs à temps. Si nous avions fait plus durant les cinq dernières années pour appuyer tous les mécontents – les jeunes, les non-Perses, les laissés-pour-compte de l’économie –, les choses auraient pu être différentes. »

    « C’est pourquoi Israël est à un tournant : faut-il qu’il utilise la force pour casser le contrôle par l’Iran du cycle du combustible nucléaire ? Si elle est couronnée de succès, une telle entreprise, hautement risquée et peu attractive, de bombardements aériens ou de sabotage ne résoudra pas la crise nucléaire iranienne. Mais elle aura l’avantage de faire gagner beaucoup de temps. Avec ce temps, nous pourrons effectuer un changement de régime à Téhéran ou, au moins, le mettre en route. »

    « Donc, au lieu de débattre pour savoir comment continuer cinq années de diplomatie qui ont conduit à l’échec, nous devrions considérer de manière sérieuse quelle coopération les Etats-Unis accorderont à Israël avant, pendant et après une attaque contre l’Iran. De toute façon, nous serons rendus responsables de l’attaque et nous en subirons les conséquences ; il est donc logique que nous faisions tout notre possible pour qu’elle réussisse. Au minimum, nous ne devrions mettre aucun obstacle à l’action israélienne et nous devrions aider ses efforts autant que possible. »

    « Ces sujets ne sont décidément pas très plaisants. Un Iran nucléaire l’est encore moins. »

    Le professeur Gary Sick, qui a servi au Conseil national de sécurité sous les présidences Ford, Carter et Reagan, et qui fut le principal conseiller à la Maison Blanche durant la révolution irakienne (1979) et la crise des otages américains, commente cet éditorial :

    « Comme d’habitude, John Bolton a absolument raison. Ses propositions pour une stratégie peuvent être dangereuses et frôler la folie (“Quand vous avez un doute, bombardez!”), mais son analyse de la politique à Washington est incontestablement juste. »

    « Alors que tout le monde s’émouvait de la possibilité que les Etats-Unis (et peut-être Israël) se préparent à une nouvelle guerre contre l’Iran, Bolton analysait la réalité et concluait que, loin de se préparer à attaquer, les Etats-Unis se préparaient à un accord (deal) avec l’Iran. Il constatait que, au cours des deux dernières années, les Etats-Unis ont complètement renoncé à leur politique d’opposition à un dialogue européen avec l’Iran. »

    « D’abord, les Etats-Unis ont déclaré qu’ils participeraient si les négociations donnaient des signes de progrès. Puis, quand cela n’a pas été le cas, ils ont été plus loin et ont participé à la formulation d’une offre plus attractive pour l’Iran. Bolton note que, quand cette offre a été présentée par Solana à Téhéran, elle comportait une signature de Condoleezza Rice aux côtés de trois autres membres du Conseil de sécurité et de l’Allemagne. »

    « Il a sans doute aussi noté la suggestion de la secrétaire d’Etat Rice d’ouvrir une section d’intérêts diplomatiques à Téhéran – un premier pas vers le rétablissement des relations diplomatiques. Et il n’a pas manqué de relever le ton particulièrement conciliant du témoignage sur l’Iran du sous-secrétaire William Burns devant le Congrès. »

    « Maintenant, un jour après le cri d’alarme de Bolton selon lequel les Etats-Unis devenaient mous (soft) sur l’Iran, nous avons appris que Burns participerait aux conversations de samedi à Genève avec le responsable iranien du dossier nucléaire. Les pires craintes de Bolton ont été confirmées. »

    (Source: le Monde diplomatique - 17 juillet 2008)

  • Vol d'explosifs: qui sont les vrais coupables?

    Entrée fort de Corbas.jpg
    Entrée du fort de Corbas

    La découverte, vendredi, de la disparition de 28 Kg d'explosifs dans un site de la Sécurité Civile de Corbas, près de Lyon, fait polémique. Le premier point d'achoppement concerne le lieu où les explosifs étaient stockés. Le préfet de police du Rhône, Xavier de Fürst, a  expliqué samedi sur RTL qu'il n'était  "pas habituel et surtout pas  autorisé" d'entreposer ce type de matériaux sur le site de la sécurité  civile du Fort de Corbas. Pire encore, il a révélé que le fort de Corbas ne disposait d'aucun moyen de protection particulier depuis sa  vente au ministère de l'Intérieur en 2005. "Le fort de Corbas a été revendu par la Défense au ministère de l'Intérieur  en 2005. Il était protégé à l'époque par des caméras, mais aujourd'hui, il ne  reste que les carcasses. Des travaux étaient prévus en 2009 pour remettre des  caméras et renforcer les entrées", a -t-il précisé.

    "Un dossier (pour autoriser le stockage d'explosifs dans le fort) était en  cours d'instruction. C'était un très bon endroit pour implanter ce genre de  site puisqu'il n'y a aucun danger pour les populations alentours et ils (les  responsables du site ) ont baissé leur garde, c'est un excès de  confiance", a dénoncé Xavier de Fürst. Le fort de Corbas "dépend entièrement du ministère de l'Intérieur,  d'ailleurs le dossier d'autorisation est instruit à Paris. Il est évident que si  les choses s'étaient passées normalement, la préfecture et le maire de la  commune auraient été au courant", a-t-il ajouté, précisant que les explosifs se  trouvaient là "probablement depuis janvier ou février 2008".

    "Une affaire prise très au sérieux".

    Outre le lieu de la disparition, la date à laquelle ils ont été dérobés suscite également des interrogations. Si le vol a été constaté, vendredi, il semblerait qu'elle ait eu lieu il y a plusieurs jours. "Ces explosifs se trouvaient là probablement depuis début 2008: le chef du  centre a anticipé le fait qu'il aurait une autorisation fin 2009 mais les  mesures de sécurité n'étaient pas encore en place", a-t-il déploré. "C'est le centre de déminage qui a jugé plus commode de les stocker à cet  endroit mais il a anticipé une autorisation à venir", a poursuivi le préfet,  précisant que ni le maire de la commune, ni la préfecture, ni les gendarmes  "n'étaient au courant" de ce stockage. Une enquête préliminaire a également été ouverte par le Parquet.

    La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, est également montée au créneau vendredi soir, pointant du doigt "des défaillances avérées dans la sécurisation de ce site ". Elle  "a immédiatement suspendu le chef  de centre et diligenté une enquête administrative interne", selon un communiqué  du ministère.

     Si l'affaire fait grand bruit, c'est en partie en raison de la dangerosité des produits dérobés. Dix kilos de Semtex peuvent casser un avion en deux mais un seul kilo de cet  explosif, bien placé dans un appareil, peut conduire à une dépressuration telle qu'elle conduira à la chute de l'avion. Selon une source judiciaire, "c'est une affaire  prise très au sérieux".

    (D'après agence)

  • St-Cyr-Coëtquidan: "l'armée est en phase avec les nouveaux enjeux"

    Armée ecole St Cyr.jpg
    Le commandant Philippe Creuset

    La cérémonie annuelle du Triomphe se prépare dans les écoles de Saint-Cyr-Coëtquidan.Rencontre avec un des chefs d'orchestre, le commandant Philippe Creuset.

    Samedi 19 juillet est un jour exceptionnel pour les militaires de Saint-Cyr-Coëtquidan. Ce jour-là, à l'occasion du Triomphe, ils font découvrir au grand public leur univers, leur quotidien durant une journée. Les portes des écoles militaires sont ouvertes pour engager un dialogue autour de leur métier.

     

    Le commandant Philippe Creuset est un des organisateurs de cette journée particulière. « Elle célèbre un événement historique que les élèves mettront en scène dans l'après-midi. Le Triomphe est à la fois une porte ouverte de nos écoles, une date qui clôt l'année pour les élèves qui s'en vont, et le baptême de ceux qui entrent », résume ce père de famille de 37 ans. Originaire de Bourgogne, il est à Saint-Cyr depuis trois ans et chef d'orchestre du Triomphe depuis deux ans. « J'avoue que pour cette deuxième fois, je vis la préparation avec la sérénité du vieux soldat », confie-t-il.

    « Tout au long de la journée, nous serons mille cinq cents personnes disponibles pour discuter avec le public. Nous avons installé des stands d'information, des ateliers ludiques pour les enfants et bien sûr les traditionnels spectacles ».

     Les nouveaux hélicoptères d'attaque, appelés les Tigres, seront présents, et pourront être approchés. Les parachutistes et les pompiers participent également à la journée. Un programme haut en couleur, clôturé par la traditionnelle cérémonie nocturne. « Elle reste la partie la plus solennelle et émouvante de la journée. C'est une prise d'armes, un véritable spectacle », indique fièrement le commandant.

    Cette journée marque la tradition de l'armée mais son évolution est aussi présentée. « L'armée est à l'image de la société », commente le lieutenant-colonel Chevallier. Davantage féminine, très colorée « black-blanc-beur », très moderne dans son armement et ses matériels, l'armée est en phase avec les nouveaux enjeux. C'est ce que veulent aussi montrer en ce samedi les militaires des écoles de Saint-Cyr.

     

     Samedi 19 juillet, portes ouvertes de 10 h à 20 h 30. Restauration sur place. Spectacle traditionnel à 14 h 15. Cérémonies nocturnes à partir de 22 h.

    Ouest-France - 19 juillet 2008
    On espère qu'il n'y aura pas de drame ni "d'erreur humaine"...