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  • Sarkozy fait l'unanimité... contre lui. La mafia politique aussi!

    Ce qu’il faut avant tout retirer d’une analyse des scrutins des 14 et 21 mars dernier, c’est un double rejet : celui de Nicolas Sarkozy bien sûr, mais aussi celui de la mafia politique dans son ensemble.

    Avec seulement 35% des suffrages à l’issu du second tour, le parti gouvernemental, la célèbre Union des maquereaux et des pourris, accuse vingt points de retard sur la gauche : une sanction plus grave encore que celle qui avait frappé le parti du président en 2004 où son déficit de suffrages n’était que de 13%. Même si elle n’est pas certaine, la défaite de Sarkozy se profile donc à l’horizon 2012, et son rejet actuel est tel qu’un sondage du 22 mars dernier indique qu’une forte majorité de Français (58 %) ne souhaite pas qu’il soit candidat à la prochaine élection présidentielle.

    Jean-Marie Le Pen, qui a autant fait campagne contre l’UMP que contre le PS, a eu raison d’affirmer, le soir des élections, que ce résultat marque « l’effondrement du sarkozysme. Le coup est très dur, d’autant plus que tous les ministres engagés sont battus. »

    Cela étant, l’opposition de gauche ne triomphe qu’en apparence, par défaut pourrions-nous écrire. On ne contestera pas son résultat impressionnant, tant en nombre de voix qu’en pourcentage, mais on constatera que pour nombre d’électeurs elle n’est nullement apparue comme le recours face au sarkozysme. Bien au contraire… et pour beaucoup de citoyens hostiles à l’UMP et à notre président, l’alternative n’a pas été - parce qu’ils rejetaient les pourris de droite - de voter pour les pourris de gauche mais de se réfugier dans l’abstention. Cette autre manière de protester par les urnes a ainsi connu une hausse significative de près de 20% par rapport à ce qui est habituel dans ce type d’élection.

    Certains ont ainsi pu parler d’une « véritable insurrection abstentionniste »... Cette abstention est particulièrement forte dans les zones où les industries ont été délocalisées, où le chômage et la misère sont le pain quotidien. Ce sont ces mêmes zones géographiques qui ont données ses meilleurs scores au Front national. Le quotidien Le Monde a cité l’exemple de la Moselle-Est où le FN est maintenant la deuxième force politique et où l’abstention dans certaines communes a frôlé les 80 % (79,84 % exactement à Farébersviller). De même, en PACA, c’est dans le Vaucluse, département à forte pauvreté durement frappé par la crise, que le Front réalise son meilleur score avec 26,54 %.

    Il y a là une concordance et une possible convergence. La concordance c’est celle du refus des pourris de droite et de gauche, du refus de l’Union des maquereaux et des pourris et du Parti des salauds. La convergence possible c’est celle des abstentionnistes qui n’ont plus confiance en personne et d’un Front national rénové. C’est celle qu’évoquait lors des européennes l’affiche nationale-jauressienne : « Celui qui n’a plus rien, la nation est son seul bien ». Cette convergence, si elle se réalisait, serait révolutionnaire et nous ne pouvons que la souhaiter et y travailler.

    Cela me ramène à un leitmotiv dont je suis coutumier, à savoir citer les termes d’une tribune libre qu’Alain de Benoist confia à voxnr.com peu de temps après les dernières législatives : « Le Front [doit] comprendre que la culture de ses électeurs n’est pas forcément la même que celle de ses militants (1). L’avenir du FN dépendra de sa capacité à comprendre que son “ électorat naturel ” n’est pas le peuple de droite, mais le peuple d’en-bas. L’alternative n’est pas pour lui de s’enfermer dans le bunker des “ purs et durs ” ou, au contraire, de chercher à se “ banaliser ” ou à se “ dédiaboliser ”. L’alternative à laquelle il se trouve confronté aujourd’hui de manière aiguë est toujours la même : vouloir encore incarner la “ droite de la droite ” ou se radicaliser dans la défense des couches populaires. »

    D’où le combat auquel je convie ceux qui me lisent et qui me font confiance : à l’intérieur ou à l’extérieur du FN contribuer à ce qu’il devienne, selon les termes d’Alain de Benoist, « une force de transformation sociale dans laquelle puissent se reconnaître des couches populaires au statut social et professionnel précaire et au capital culturel inexistant, pour ne rien dire de ceux qui ne votent plus. » Qu’il devienne en clair le véritable « parti du peuple de France ».
    Christian Bouchet
    VOXNR - 24/03/10

  • Apéro géant à Rennes... Pauvre Bretagne!

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    Plus de 5000 personnes...

    Ce vendredi matin, l’esplanade Charles-de-Gaulle gardait encore les stigmates de l’apéro géant qui a rassemblé hier, jusqu’à 5 000 personnes. Un apéro géant lancé sur le réseau social Facebook qui était très redouté par les autorités. Et si la première partie de soirée s’est déroulée dans une atmosphère plutôt sympathique, l’ambiance a changé après minuit.

    Là, l’alcool et l’ivresse ont pris le dessus et les pompiers et secouristes de la SNSM ont multiplié les interventions pour comas éthyliques, coupures, bagarres… Au bilan : 80 personnes ont été prises en charge par les secouristes et 19 évacuées au CHU. Une jeune fille de 19 ans a également été agressée.

    Les policiers, vers 3 h du matin, ont commencé à refouler la centaine d’irréductibles très alcoolisés qui refusaient de partir. Ces derniers ont répondu par des jets de bouteilles contre les forces de l’ordre qui ont fait évacuer la place. Dix personnes ont été interpellées.

    Ouest-France - 26/03/10

  • Grippe A: la campagne de vaccination a coûté 670 millions d'euros à l'Etat

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    L'organisation et la mise en oeuvre de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 ont coûté à ce jour 670 millions d'euros, selon des estimations des ministères de la et de l'Intérieur communiquées ce jeudi. Ce chiffre ne prend pas en compte les dépenses générées par la poursuite de la vaccination chez les généralistes et dans certains centres hospitaliers

    Le premier poste de dépenses concerne les vaccins, dont 94 millions de doses avaient été initialement commandées.

    Elles sont évaluées à 334 millions d'euros pour l'acquisition des doses et à 48 millions d'euros pour l'indemnisation des laboratoires après l'annulation d'une partie des commandes par la ministre de la Santé, .

     

    La somme consacrée à l'acquisition des vaccins inclut le coût (56 millions d'euros) des 9 millions de doses données à l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).

    23 millions d'euros pour le fonctionnement des centres de vaccination

    Le coût du dispositif des bons de vaccination (incluant la informatique, l'édition et l'expédition) est évalué à 52 millions d'euros. Les dépenses de fonctionnement des centres de vaccination, qui ont eux aussi fait l'objet de nombreuses critiques, sont évaluées aujourd'hui à 23 millions d'euros. Elles comprennent l'équipement des centres (17 millions) et l'indemnisation pour la réquisition des locaux (6 millions).

    172 millions d'euros pour le personnel

    Les dépenses de personnels sont estimées à quelque 172 millions d'euros, dont près de 104 millions pour les professionnels de santé et 68 millions pour les personnels administratifs.

    Par ailleurs, 2 millions ont été consacrés à la promotion de la campagne de vaccination par l'Institut de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).

    La ministre a fait le point sur les négociations avec les laboratoires, mardi devant la commission d'enquête sénatoriale : un contrat d'indemnisation a été signé avec Novartis, d'un montant de 16% du contrat initial, et les négociations «continuent» avec les autres laboratoires, GSK et Sanofi-Pasteur.

    Le Parisien - 25/03/10

  • Le Pen épingle Vauzelle au Conseil régional!

    Le socialiste Michel Vauzelle a été réélu aujourd'hui pour un troisième mandat président de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur, lors d'une séance présidée par Jean-Marie Le Pen, doyen de l'assemblée, marquée par un court incident de séance provoqué par les élus Europe Ecologie.

    M. Vauzelle a été élu au premier tour de scrutin avec 72 voix, contre 30 à l'UMP Thierry Mariani et 21 à la frontiste Lydia Schenardi, sur 123 élus dont 95 étaient présents.
    Avant le vote, des élus Europe Ecologie ont brandi dans l'hémicycle des pancartes proclamant " Liberté, Egalité, Fraternité ", en signe de protestation contre le Front national (FN) qui a remporté plus de 22% des voix et 21 élus au second tour des régionales.

    Alors que le FN demandait que cesse cette manifestation "pancartière", l'élu écologiste Philippe Chesneau lançait : "Ce sont les symboles de la République, ils ont leur place dans l'hémicycle".
    "Vous êtes meilleurs pour les pancartes que pour les débats", rétorquait Thierry Mariani, allusion au refus de M. Vauzelle de débattre entre les deux tours avec ses adversaires UMP et FN.

    Jean-Marie Le Pen décidait alors d'interrompre la séance une dizaine de minutes.
    M. Vauzelle, une fois élu, a rejoint la tribune sous les applaudissements de sa majorité et s'est exprimé debout après avoir passé l'écharpe de la région. Il s'est refusé à entrer dans la polémique, "même si l'envie ne lui manquait pas de parler des valeurs de la République".

    "Cela fait des années qu'on manifeste ou qu'on quitte les séances quand le FN parle, et il est toujours à 22%. Le problème, c'est de faire revenir vers nous une partie de ces 22%, notamment les électeurs de gauche", a expliqué le conseiller régional socialiste Patrick Mennucci.
    Dans son discours introductif, M. Le Pen avait déjà épinglé M. Vauzelle pour son refus de débattre, soulignant que ni le FN ni M. Mariani, "à moins qu'il ne cache vraiment bien son jeu", n'étaient des fascistes.

    "Ce n'est pas Jean-Marie Le Pen qui a été décoré à Vichy de la Francisque, mais le président de la République François Mitterrand, dont M. Vauzelle a été ministre et, qui plus est, ministre de la Justice ", a-t-il ironisé.
    Pour justifier son refus de débattre entre les deux tours, M. Vauzelle avait alors accusé M. Mariani de "faire campagne sur l'injure et la diffamation" et qualifié M. Le Pen de "personnage fascisant".

    Le Figaro - 26/03/10

  • Hervé de Charette scandalise le CRIF!

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    Hervé de Charette
    Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) s'est dit "scandalisé" après une question orale du député Hervé de Charette au sujet du conflit israélo-palestinien dans laquelle il "stigmatisait le seul Israël", dans un communiqué.

    Mercredi au cours des questions au gouvernement, le député NC du Maine-et-Loire avait parlé de la "politique réactionnaire" et de "l'intention délibérée" du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de "rendre impossible quelque négociation que ce soit avec les dirigeants palestiniens".

    "Le député, par ailleurs président de la Chambre de commerce franco-arabe, écrit le Crif, a utilisé des mots d’une extrême dureté et peu diplomatiques pour stigmatiser le seul Israël, imputant au seul Israël toutes les fautes possibles et en absolvant au même moment les Palestiniens des choix tactiques qui sont les leurs et le Hamas, des crimes qui lui sont imputables".

    Le Crif "estime que ce sujet doit être traité avec justesse et impartialité et ce type de débat demande de la tenue. Tout en réaffirmant son engagement pour la résolution pacifique de ce conflit et tout en soutenant que Jérusalem reste la capitale indivisible du peuple Juif depuis 3.000 ans, le CRIF regrette fermement que l’hémicycle de l’Assemblée nationale devienne le siège d’un tribunal, lorsqu'il est question d'Israël".
    Le Figaro - 26/03/10

     


  • 26 MARS 1962 Fusillade de la rue d'Isly à Alger

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     Du 26 mars 1962 rue d'Isly à Alger au 26 mars 2010 Quai Branly à Paris

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    Vendredi 26 mars 2010, la liste nominative des victimes de la fusillade du 26 mars 1962 sera enfin inscrite sur un monument national aux Morts, érigé à Paris Quai Branly. Ainsi, les nôtres nous survivront, ils continueront à exister par delà la mort, et cette liste portera témoignage pour les générations futures.

    • 14H30 Accueil par le choeur Montjoie Saint-Denis
    • 14H50 Heure précise du déclenchement de la fusillade, la liste du nom de chacune des Victimes commencera à défiler sur la colonne centrale du monument
    • 15H Dépot de gerbes, sonnerie aux Morts; Interventions de quelques membres des familles de victimes
    • 15H20 Chacun d'entre vous sera invité à se recueillir et à déposer une fleur bleue, blanche ou rouge au pied du monument

    Nous ne manquerons pas d'associer à cette cérémonie, toutes nos autres victimes de massacres ou d'exactions et, parmi elles, notamment celles du 5 juillet à Oran, les Harkis, les Disparus.

    Rendez-vous, vendredi 26 mars 2010 à 14h30, devant le Monument du quai Branly. Accès : métro ligne 6: station Bir Hakeim,ou RER C station Champ de Mars-Tour Eiffel.
    Munissez-vous si possible d'une fleur bleue, blanche ou rouge.

    EGLISE ST NICOLAS DU CHARDONNET 26 MARS 2010 A 18H 30

    En Mémoire des Victimes de la fusillade du 26 mars 1962 et de celles de l'Oranie du 5 juillet 1962, des disparus, des Harkis...

    une messe sera célébrée le vendredi 26 mars à 18H30 en l'église Saint-Nicolas du Chardonnet, 23 rue des Bernardins Paris 5ème

    (métro ligne 10, station Maubert Mutualité)

    Association des familles des Victimes du 26 mars 1962

     

    ALGER - TERRE DE FRANCE LE 26 MARS 1962 

     

    Un crime a été commis ce jour là. Les assassins n'ont pas été punis et les victimes n'ont pas été reconnues comme telles.

    Le massacre de Français sur une terre française n'intéresse personne et nos livres d'histoire sont muets.

     26 MARS 1962, rue d'ISLY, à ALGER.

    Alors que le cessez le feu a été signé, l'armée française tire sur ordre du gouvernement français sur une population innocente, dont le seul crime est de vouloir rester FRANCAISE sur une terre française. Une centaine de morts, plus de 200 blessés, des rescapés de ce génocide traumatisés à vie, des familles anéanties à jamais par ce drame.

    Ce qui rend cette journée atroce, c'est que des Français ont été assassinés par traîtrise : par des balles françaises, des rafales tirées dans le dos des manifestants. Pire, les blessés ont été achevés à bout portant, alors qu'ils étaient à terre, sans défense.

    MAIS POURQUOI CE DRAME ?

     19 MARS 1962.

    Le gouvernement français signe l'abandon de l'Algérie. A PARIS, la trahison s'installe et trouve son expression ignoble chez celui-là même qui avait été porté au pouvoir par les Français d'Algérie : DE GAULLE.

    Trahissant sans vergogne son engagement, il négocie avec les représentants du F.L.N.

    • Il trahit donc la France, la république puisqu'elle est une, indivisible, et que l'Algérie est formée de départements.
    • Il trahit son armée. Victorieuse sur le terrain, elle se voit refuser cette victoire.
    • Il trahit les Français d'Algérie, à qui il avait promis l'ALGERIE FRANCAISE.

    Une signature au bas de ce chiffon nommé les accords d'EVIAN, et il fallut abandonner le fruit du travail de nos aînés : 132 années de labeur acharné. Des marécages ont été asséchés, ces terres ont été ensuite cultivées, des hôpitaux, des routes, des voies ferrées, des barrages hydrauliques, des ponts, des écoles, une université ont été construits. Et aujourd'hui, il faut tout laisser.

    Les accords d'Evian donnent l'Algérie à des gens qui n'ont aucun droit historique sur ce pays et n'offrent que d'illusoires garanties. Celles-ci seront balayées dès que le gouvernement algérien sera au pouvoir. En fait, il ne faudra même pas attendre l'indépendance de l'Algérie pour que les engagements signés ne soient pas respectés et par le FLN et par le gouvernement Français. Désespérés, les Français d'Algérie vont refuser d'admettre l'horrible situation. Ils veulent encore croire qu'une solution est possible. Ils ont confiance en une partie de l'armée restée fidèle à la parole donnée.

     23 MARS 1962.

    Le quartier de BAB EL OUED est interdit aux forces de l'ordre. Malheureusement des coups de feu vont être échangés. Aussitôt, l'armée et la gendarmerie encerclent ce quartier, y pénètrent à grands renforts de blindés, écrasent les voitures, éventrent les devantures des magasins. Les troupes tirent sur les balcons, dans les rues, sur les façades, des maisons. Une petite fille à l'intérieur de son appartement trouve ainsi la mort. L'aviation mitraille les toits, les perquisitions se succèdent, les appartements sont saccagés. On ne sait pas combien il y a de morts. Les blessés, les malades ne sont pas soignés. Les morts ne sont pas enterrés. IL n'y a plus de ravitaillement…. BAB EL OUED est transformé en véritable ghetto.

    Alors, dans un immense esprit de solidarité le reste de la population va apporter son soutien, quelques vivres et un peu d'amitié à ce quartier martyr. Une manifestation pacifique est organisée.

     LUNDI 26 MARS.

    Ce jour-là, c'est en toute confiance que les ALGEROIS, drapeaux tricolores en tête, marchent vers BAB EL OUED. Ils n'y arriveront jamais. Ils trouveront la mort en chemin.

    Il y a bien quelques barrages, mais qui s'écartent devant la foule. Rien n'est fait pour dissuader les manifestants de continuer leur marche. Le piège est bien organisé. Tout est bien prémédité. Pour un rassemblement pacifique, les autorités ont prévu qu'elles auront besoin de leur équipement de combat, de leurs casques lourds et de leurs fusils-mitrailleurs.

    Soudain, une longue rafale, suivie d'autres. Des militaires, conditionnés pour tuer du FRANÇAIS sont là. Bien sûr, il ne s'agit pas de l'armée qui avait choisi l'honneur, qui s'était battue pour garder l'ALGERIE FRANCAISE. Non, ce sont les autres, qui obéissent aveuglément à ceux qui ont décidé de nous faire comprendre par la manière forte que nous n'étions plus chez nous.

    L'armée va tirer sans sommation, ce 26 mars 1962, pendant 12 minutes.

    La version officielle dira qu'il y a eut un tir venant d'une terrasse vers l'armée. Curieusement, au lieu de riposter vers le tireur embusqué sur le toit, l'armée va tirer sur les manifestants. Beaucoup se sont jetés à terre pour se protéger, d'autres se réfugient dans les immeubles mais rien n'arrête ces forcenés. Ils tirent dans le dos des manifestants qui fuient, qui se sont couchés sur le sol. Ils achèvent des blessés, vont jusque dans les immeubles, montant dans les étages pour terminer leur sinistre besogne.

    Peu importe que ces pauvres gens aient un drapeau bleu, blanc rouge. On tire sur les drapeaux. On tire à l'arme automatique sur tout ce qui bouge. Des pompiers sont blessés. Un médecin est assassiné alors qu'il fait son devoir, celui de porter secours. Pendant un cours instant, un petit lieutenant incapable de se faire obéir par ses hommes crie poussé par un civil : HALTE AU FEU ! 

    Voir les photos et lire la suite:  http://pagesperso-orange.fr/isly/main.htm

    Association des familles des victimes du 26 mars 1962 et de leurs alliés
    .

     

       

     

  • De plus en plus jeunes...

    Cinq mineurs âgés de 13 à 16 ans ont été mis en examen jeudi à Meaux pour vingt vols avec violence et trois vols en réunion commis entre novembre et mars dans trois villes de Seine-et-Marne, a-t-on appris jeudi de source proche du dossier.

    Ces adolescents inconnus de la police ont commis leurs méfaits entre «le 10 novembre et le 23 mars».

    Ils ont notamment volé  «sacs à main, papiers ou portables à des femmes et des jeunes» sur les villes de «Lognes, Noisiel et Champs-sur-Marne», a-t-on indiqué de source policière.

     La police a interpellé mercredi ces cinq jeunes avec trois autres qui ont été relâchés car leur implication était mineure, a-t-on ajouté de même source. Une est toujours en au commissariat de Noisiel.

    Le Parisien - 25/03/10

     

  • Mgr Dubost a confiance en Benoît XVI

    Mgr Michel Dubost, évêque d'Evry, a déclaré  avoir "confiance dans la volonté du pape de faire la clarté" sur les affaires de pédophilie.  Invité sur RTL à commenter les informations du New York Times selon lesquelles le futur pape, alors cardinal Ratzinger, avait protégé un prêtre américain soupçonné d'abus sexuels sur 200 enfants handicapés, Mgr Dubost a dit qu'il pensait "d'abord aux victimes", puis il a expliqué que depuis 1990, le cardinal Ratzinger avait "tout fait" pour que les affaires de pédophilie ne restent pas secrètes.

    "Depuis 1990, c'est lui qui nous a demandé de rendre publiques ces affaires, d'oser, même si cela provoquait le scandale", a-t-il insisté. Le cardinal Ratzinger était alors directeur de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Mgr Dubost, qui a rencontré le pape la semaine dernière, dit que Benoît XVI "est atteint au fond de lui-même" par ces accusations. "On ne lui laisse pas la présomption d'innocence; j'ai confiance dans sa volonté de faire la clarté", a-t-il ajouté.

    Le Figaro- 25/03/10

  • Abus sexuels du clergé: ce que les médias américains ne veulent pas dire

    Le Bureau pour la protection de l’enfance et de la jeunesse de la Conférence épiscopale américaine (USCCB) a rendu public le 23 mars son Rapport Annuel 2009.

    Bill Donohue de la Catholic League commente ce même jour les “réactions” des médias américains …

    * « On constate une diminution de 36 % des cas allégués d’abus sexuels dans le clergé entre 2008 et 2009. Comme d’habitude, la plupart des délinquants allégués sont morts et enterrés, ou ont déjà été expulsés du sacerdoce, ou sont portés disparus. On compte six allégations en 2009 ayant impliqué des mineurs. Six. Comme toujours, ce sont des personnes de sexe masculin qui ont été les cibles préférées. Le rapport donne une répartition par âge, mais ne signale pas le rôle significatif joué par les homosexuels. Les médias sont muets sur ce sujet.

    * Voici les réactions des médias. L’Associated Press a diffusé un article de 864 mots, mais la plupart des quotidiens l’ont ignoré. Seuls deux ont pris la décision de la reproduire : l’Asbury Park Press et le News Journal (Wilmington). Le Washington Post a fait un boulot responsable avec un article de 505 mots. Le St. Paul Pioneer Press a aussi proposé un résumé convenable [du rapport]. Par contraste avec ces derniers, le New York Times a fait paraître un article de 92 mots. Le Chicago Tribune a fait à peu près la même chose. Aucun des autres grands quotidiens – du Boston Globe cathophobe au Los Angeles Times fidèlement anti-catholique – n’a pris la peine de seulement le signaler. National Public Radio en a fait une brève mention, mais les stations de télévision et du câble l’ont ignoré.

    * Tout cela était très prévisible. Les mauvaises nouvelles sur l’Église catholique font la une, mais les bonnes nouvelles sont généralement ignorées. À ceux qui disent qu’ils n’y a aucune différence de traitement avec d’autres groupes, qu’ils considèrent ce qui suit. L’Associated Press signale aujourd’hui qu’un rabbin accusé d’avoir violé une fillette de 7 ans à New York voici dix ans, a été arrêté hier alors qu’il sortait de sa synagogue en Arizona. À part un très bref article dans le Daily News de New York, aucun quotidien de New York ou d’Arizona – ou de n’importe où ailleurs – n’a pris la peine de le publier. »

    SOURCE : http://www.americatho.org/article-abus-sexuels-du-clerge-ce-que-les-medias-americains-ne-veulent-pas-dire-47359402.html

     

    VIA : http://christroi.over-blog.com/article-pedophilie-deux-poids-deux-mesures-quand-c-est-un-rabbin-et-non-un-pretre-47366368.html

    Les Intransigeants - 25/03/10

  • VIDEO Le "slamant" rose

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafvA0L.html

    Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, s'est essayé au slam mercredi à Reims à l'occasion de la première journée du slam.

     

     

  • Dieudonné poursuivi par la LICRA...

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    La LICRA a réclamé mardi devant le tribunal correctionnel de Reims 10.000 euros de dommages et intérêts à l'encontre de l'humoriste Dieudonné pour des propos jugés diffamatoires envers l'association, tenus dans le journal l'Union en 2009. Dans une interview publiée par le journal régional le 25 avril 2009, Dieudonné - qui devait se produire à Reims quelques jours après - qualifiait les associations comme la Licra d'"associations mafieuses qui organisent la censure, qui nient tous les concepts du racisme, à part celui qui concerne les juifs. En fait, ce ne sont que des officines israéliennes".

    Dieudonné, qui donnait une représentation de son spectacle mardi soir à Reims, était présent au tribunal, assurant lui-même sa défense. Il a nié avoir tenu ces propos et réclamé à la barre des traces probatoires de l'interview, aucun enregistrement de ses propos n'ayant été présenté au tribunal. "Il faut apporter les preuves de ce qu'on avance, je réponds beaucoup aux journalistes mais là je ne reconnais pas ces propos", a-t-il déclaré au micro de France Bleu Champagne. Le parquet n'a pas requis de peine et s'en est remis à la décision du tribunal qui rendra son jugement le 8 juin 2010.

    Le Point 25/03/10

  • GAZA: deux Palestiniens blessés par des tirs israéliens

    VIDEO: Les pêcheurs de Gaza pris pour cibles par la marine isräélienne:

     http://www.youtube.com/watch?v=oNQBk6lxYZ4

    Deux Palestiniens ont été blessés par balles jeudi par les forces israéliennes lors de deux incidents séparés survenus dans la bande de Gaza contrôlée par le mouvement islamiste Hamas, a-t-on appris de sources médicales.

    Mouaouiya Hassanein, le chef des urgences de Gaza, a déclaré qu'un ouvrier journalier se trouvait dans un "état très critique" après avoir été atteint d'une balle dans le dos près du point de passage de Soufa avec Israël, dans le sud de la bande de Gaza.

    Un pêcheur a par ailleurs été blessé au large de la côte nord de Gaza par des tirs provenant de navires israéliens, a-t-il ajouté. Il est fréquent que la marine israélienne ouvre le feu à titre d'avertissement pour que les pêcheurs restent confinés dans leur zone de pêche de 3 milles (environ 5,50 km).

    L'armée israélienne n'a pas commenté ces deux incidents.

    Le Figaro - 25/03/10

  • Zemmour la nouvelle star!

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     (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    «Faites Zemmour pas la guerre», «Zemmour on t'aime»...Les banderoles de soutien se déploient sur le trottoir étroit du boulevard Haussman, en cette fin d'après-midi maussade du 25 mars. 

    Relayée notamment par certains sites catholiques, cette de soutien à l'éditorialiste devant le siège du Figaro, a rassemblé environ 150 personnes.

     Sur place, les organisateurs insistaient sur le caractère «apolitique» du rassemblement. 

     

    Zemmour acclamé comme une star

    «Nous sommes ici contre la pensée unique» ont-ils clamé en déposant une gerbe «à la liberté d'expression» sur le macadam.  «Zemmour on t'aime, on a besoin de toi».... Acclamé et embrassé, le journaliste est sorti un bref instant, en prenant soin d'éviter les journalistes

    Depuis qu'il a affirmé le 6 mars dernier, « les Français issus de l'immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes. C'est un fait», dans l'émission de , le provocateur est au coeur de la tourmente.

    Même s'il a exprimé des regrets, qui ont sauvé sa place au Figaro, la polémique continue toutefois d'enfler. 

    D'autant qu'un haut-magistrat Philippe Bilger a pris sa défense, en nuançant ses propos. «Je ne défends pas Eric Zemmour, je défends sa liberté d'expression...». Depuis, Bilger a été convoqué par le procureur général .

    Le parisien - 25/03/10

     

  • Pal Sarközy: " Mon fils aura une vie plus tranquille s'il ne se représente pas"

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    Pal Sarkozy, le père de président de la République, sur le plateau du Grand Journal, jeudi 25 mars. (Cliquez sur la photo)

    Tout juste revenu d’une exposition au Caire, le peintre Pàl Sarkozy - père du chef de l’Etat - publie ses Mémoires dans « Tant de vie ». Dans ce « livre vérité », l’auteur raconte comment il est arrivé sans un sou de Hongrie, en décembre 1948 avant d’entamer une carrière de publicitaire.


    Reconverti depuis quatre ans dans la peinture, il expose aujourd’hui ses toiles, à 82 ans, dans le monde entier.

    «On m'a accusé de beaucoup de choses, notamment d'avoir abandonné les miens», explique l'intéressé dans une interview à lire vendredi dans les colonnes du Parisien et Aujourd'hui-en-. «Il était temps de répondre à ces fausses accusations.» Dans ce livre - pour lequel n'a «jamais proposé la moindre correction» - Pal Sarkozy revient sur ses relations avec l'actuel de la République.

    Et lorsqu'on lui demande si son fils doit se représenter en 2012, Pal Sarkozy déclare : «C’est lui qui décidera. Mais, personnellement, je pense qu’il aura une vie beaucoup plus tranquille et beaucoup plus confortable s’il ne se représente
    pas. C’est une opinion de père qui aime son fils…et qui aimerait le voir heureux.»

    Le Parisien - 25/03/10

  • Un communiste à la tête de l'Assemblée de Corse

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    Dominique Bucchini

    Le candidat de la gauche, le communiste Dominique Bucchini, 67 ans, a été élu jeudi à Ajaccio président de l'Assemblée de Corse à la majorité relative au troisième tour de scrutin. Dominique Bucchini a été élu pour un mandat de quatre ans avec 24 voix (sur 51), battant au 3e tour le candidat nationaliste Gilles Simeoni (15 voix) et le représentant de la droite Camille de Rocca Serra, président sortant (12 voix).
     
    La majorité absolue des 26 voix n'avait pu être atteinte aux deux premiers tours. Lors de ces deux tours, Dominique Bucchini avait recueilli 24 suffrages, Camille de Rocca Serra 12, Gilles Simeoni 11 et l'autre candidate nationaliste Josepha Giacometti quatre. Cette dernière avait retiré sa candidature au 3e tour, appelant à voter pour Gilles Simeoni.

    "Démocratie et transparence"

    "La Corse a besoin de démocratie et de transparence", a déclaré Dominique Bucchini dans une allocution suivant son élection. "Nous allons nous mettre au travail tous ensemble et chacun avec ses options propres pour engager la Corse sur la voie d'une démocratie moderne et apaisée". "Il nous appartient de travailler (...) même si nous n'avons pas tous la même idée de la Nation, à construire collectivement quelque chose de neuf qui sera la contribution originale de la Corse à un ensemble national et européen plus démocratique, plus prospère, plus solidaire", a ajouté le plus ancien élu de l'Assemblée (élu depuis 1986, année de l'entrée en vigueur du statut particulier de la Corse). 

    Dominique Bucchini a proposé d'engager "sans tarder une large concertation dans tous les domaines où une modernisation et une ouverture s'imposent," de "développer une action dynamique de coopération interrégionale", d'"affirmer notre implication dans les affaires européennes".
     
    L'Assemblée devait ensuite élire la commission permanente composée à la proportionnelle d'élus de chaque groupe et procéder à celle des deux vice-présidents. La séance devait s'achever avec l'élection du président du conseil exécutif de la collectitivté territoriale de Corse. La gauche devait présenter le député PRG Paul Giaccobi, qui conduisait la liste de gauche aux élections territoriales.

    Par TF1 News (d'après agence) le 25 mars 2010 à 17:11
  • Villepin: "du rien dans un bas de soie"

    La vice-présidente du Front National (FN), Marine Le Pen, a estimé aujourd'hui que la création d'un mouvement politique par Dominique de Villepin était une "nouvelle opération de communication vide de tout contenu politique", "du rien dans un bas de soie".

    "Les Français ne seront pas dupes de cette nouvelle opération de communication vide de tout contenu politique de la part de celui qui, avec une hautaine vacuité, ose se vanter ouvertement d'avoir 'tout appris' du transparent Jacques Chirac", déclare Marine Le Pen.

    Dans un communiqué intitulé "du rien dans un bas de soie" - allusion au "de la merde dans un bas de soie" lancé par Napoléon Ier à propos de Talleyrand -, Marine Le Pen fustige "la morgue de ces énarques qui croient possible d'élaborer un projet politique simplement en ayant fréquenté les palais de la République sans avoir rencontré un seul électeur, ni fait une fois ses courses dans un supermarché".

    "Cette annonce d'une pseudo dissidence villepiniste confirme l'état de déliquescence de la 'majorité' présidentielle qui, face à l'effondrement pressenti de la maison Sarkozy, tente de nous présenter une nouvelle parodie d'alternative à droite", poursuit-elle. "Elle confirme également le fossé qui ne cesse de se creuser entre des élites autoproclamées et un peuple français en plein désarroi", écrit-elle encore.

    Le Figaro - 25/03/10

  • Bruno Gollnisch: le vrai scandale de l'affaire Zemmour-Bilger

    Communiqué de Bruno Gollnisch
    Député européen
    Conseiller régional Rhône-Alpes
    Vice-président du Front National
    (Affaires internationales – Questions thématiques)

    Au lieu de s’attaquer aux causes de la surdélinquance d’origine étrangère dans notre pays, les tartuffes s’indignent des propos pourtant anodins du journaliste Eric Zemmour et du magistrat Philippe Bilger. Persécutions professionnelles, judiciaires, lynchage médiatique, rien ne manque à ce scénario maintes fois utilisé.
    Ils ont dit la vérité, ils doivent être exécutés !

    Hier, à la télévision, chez Guillaume Durand, quelques cuistres s’indignaient de ce que les propos de Zemmour et Bilger ne soient pas appuyés sur des statistiques.
    Il est bien là le vrai scandale !
    Il n’existe aucune statistique fiable de la délinquance française d’origine étrangère, et aucun chiffre non plus sur la double nationalité. C’est un tabou.

    Les Français n’ont qu’un droit : souffrir et fermer leur gueule.

    Si ce tabou était levé, apparaîtraient de manière aveuglante les conséquences sur l’insécurité croissante d’une politique d’immigration, génératrice de déracinement, dont les gouvernements français, et eux seuls, portent devant l’histoire l’écrasante responsabilité.

    NPI - 25/03/10

  • L'ONU condamne l'islamophobie

    Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a adopté aujourd'hui à une courte majorité une résolution condamnant l'islamophobie et le "profilage ethnique et religieux des minorités musulmanes" ainsi que l'interdiction des minarets en Suisse.

    Le texte sur "la diffamation des religions", proposé par le Pakistan au nom de l'Organisation de la conférence islamique (OCI), a été adopté à une courte majorité de 20 voix contre 17. Huit des 47 pays siégeant au Conseil se sont abstenus.

    Avant le vote, l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis se sont fortement opposés à la résolution, Washington allant jusqu'à la qualifier d'"instrument de division". "L'UE estime que le concept de "diffamation des religions" n'est pas pertinent dans un débat sur les droits de l'Homme", a expliqué l'ambassadeur de France Jean-Baptiste Mattéi, qui s'exprimait pour le bloc européen. "Le droit international en matière de droits de l’Homme protège les individus dans l'exercice de leur liberté de religion ou de conviction. Il n'a pas et ne devrait pas protéger des systèmes de croyances", a-t-il ajouté.

    La résolution a été défendue par l'ambassadeur pakistanais Zamir Akram, qui a estimé qu'elle était destinée à "protéger contre l'antisémitisme, la christianophobie et l'islamophobie". "Des références spécifiques à l'islam et aux musulmans reflètent une situation regrettable dans certaines parties du monde où les Musulmans sont ciblés", a-t-il ajouté.

    En outre, la résolution "condamne énergiquement l'interdiction de construire des minarets et d'autres mesures discriminatoires prises récemment", les qualifiant de "manifestations d'islamophobie" et faisant clairement allusion à la Suisse où un référendum en ce sens a été tenu le 29 novembre 2009.

    Le Figaro - 25/03/10

  • Encore une tentative ignoble pour atteindre le Pape - Les ennemis du Christianisme ne reculent devant aucun mensonge

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    (Cliquez sur la photo)
    L'Osservatore Romano dénonce ce soir "une tentative ignoble d'atteindre à tout prix Benoît XVI" après la publication par le New York Times d'informations selon lesquelles le pape aurait dans le passé couvert les agissements d'un prêtre pédophile.

    "La tendance qui prévaut dans les médias est de travestir les faits" afin de faire de l'Eglise catholique "l'unique responsable des abus sexuels, image qui ne correspond pas à la réalité", affirme dans un éditorial l'organe officiel du Vatican, qui s'indigne d'"une tentative ignoble d'arriver à atteindre, à tout prix, Benoît XVI et ses plus proches collaborateurs". Pour le journal, il n'y a eu "aucune tentative d'étouffer l'affaire" Murphy, du nom du prêtre américain soupçonné d'avoir violenté quelque 200 enfants sourds de 1950 à 1974, comme l'affirme le New York Times.

    La preuve en est, selon l'Osservatore, que le père Lawrence Murphy a écrit en 1998 au cardinal Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI, pour "lui demander d'interrompre le procès canonique en raison de son grave état de santé".

    Le Figaro - 25/03/10

  • Merveilles de la cathédrale de Reims

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    Copie de la couronne des Rois de France
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    L'ange au sourire
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    La Vierge de la Visitation
    (Cliquez sur les photos)

    Notre-Dame de Reims est une cathédrale du XIIIème  siècle, postérieure à Notre-Dame de Paris et Notre-Dame de Chartres, mais antérieure aux cathédrales Notre-Dame de Strasbourg, Notre-Dame d'Amiens et à celle de Beauvais. Consacrée à la Vierge Marie, la cathédrale a été achevée au XIVème siècle lorsqu'on l'agrandit pour pouvoir accueillir les personnes présentes aux sacres royaux.

    Il s'agit de l'une des réalisations majeures de l'art gothique en France, tant pour son architecture que pour sa statuaire qui ne compte pas moins de 2 303 statues. Elle est inscrite, à ce titre, au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1991.