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Blog - Page 1558

  • Mascarade sécuritaire à l'Elysée: Sarkozy aboie, la cavane passe...

    Communiqué de presse de Marine Le Pen, vice-présidente exécutive du Front National

    La réunion consacrée aux nomades à l’Élysée est l’occasion pour un Président de la République en grande difficulté de gonfler les biceps devant les caméras, espérant faire croire aux Français qu’il agit. En réalité, comme d’habitude depuis huit années que Nicolas Sarkozy est en charge de la sécurité, il n’y aura que discours, vagues déclarations d’intention et détermination feinte. Comme sur tous les sujets, aucune action concrète ne suivra et la situation continuera de se dégrader, dans nos villes et nos villages où des centaines de camps illicites perturbent gravement la vie de nos concitoyens. La technique de communication sarkozyste est maintenant bien connue et elle trouve dans la gauche et les associations bobos des complices bien commodes. Les cris d’orfraie de ces « idiots utiles » permettent au gouvernement de faire croire à l’opinion qu’il est sur une ligne dure. Que ces professionnels de l’indignation se rassurent : le gouvernement ne fera strictement rien.

    Le problème mérite pourtant mieux que de l’affichage et de l’embobinage. Les Français sont à juste titre exaspérés par la multiplication des camps de nomades et les comportements inadmissibles d’une partie de ces populations : dégradation de l’environnement, vols, détournements de biens publics, agressions et meurtres parfois. Les Roms posent tout particulièrement un problème,venus massivement chez nous depuis l’élargissement de l’Union Européenne à la Roumanie et la Bulgarie, voulue et mise en place par le gouvernement actuel et ses prédécesseurs de gauche et de droite. Les camps de Roms ne se sont pas faits en un jour : face à ces populations, le laxisme prévaut. Les autorités sont comme paralysées et laissent la situation chaque jour empirer, avec la complicité de nombreuses communes PS et UMP. Dans ce contexte, les événements dramatiques de Saint-Aignan ont vocation à se multiplier.

    Marine Le Pen, vice-présidente du Front National, demande à Nicolas Sarkozy de cesser l’esbroufe médiatique et d’engager enfin une action de restauration de l’ordre public sur l’ensemble du territoire national. Les camps illicites doivent être démontés, les populations nomades en situation illégale renvoyées chez elles, sans pécule et avec l’assurance qu’elles ne reviendront pas, contrairement à ce qui se passe aujourd’hui. Partout, il faut s’assurer que l’ordre est respecté, et le moindre écart doit être puni.

    Pour cela, il est nécessaire de cesser de réduire nos forces de police et de gendarmerie de 3.000 effectifs chaque année.

    NPI - 28/07/10

  • Roger Holeindre: "devant l'accélération de l'insécurité en France..."

    Communiqué de Roger Holeindre, premier vice-président du Front national, président du Cercle National des Combattants

    Devant l’accélération de l’insécurité en France… nos gouvernants semblent tétanisés, et autant hébétés qu’une poule qui a couvé des œufs de canard !

    Pendant des décennies, la gauche a fait en sorte que les voyous et les criminels soient perçus comme des victimes de la société. Cette dernière, en l’occurrence, a bon dos ! Une partie des élus de l’UMP a fait de même… accusant le Front national de « surfer sur les malheurs de la France ». Tout pourtant est simple… pour ne pas dire simpliste…

    Les médias ne se sentent responsables de rien ! Leur dénigrement systématique de notre pays ne suscite en eux aucun sentiment de culpabilité… de même que l’humour au second degré des radios, pris pour argent comptant par les ignares anti-français, ne les interpelle, comme on dit aujourd’hui.

     

    Quant au million de fonctionnaires de l’éducation dite « nationale », ils ne se sentent en rien concernés, et il ne leur vient jamais à l’idée que leur sentiment antinational, qui est la base de leur enseignement, fait des enfants dont ils ont la charge des apatrides.

    Nos banlieues sont devenues ingouvernables parce que depuis 1968… « il est interdit d’interdire », et que même, il y a encore peu de temps, certains préfets ne voyaient pas d’un mauvais œil l’économie souterraine qui assurait des rentrées financières, et garantissait même parfois le calme dans certains quartiers. Calme nécessaire aux trafiquants !

    Aujourd’hui, les différents trafics, drogues de toutes sortes, armes, y compris de guerre, vente de faux papiers, convoyages de clandestins, prostitution planétaire, tout cela a pris une telle ampleur, et les sommes qui en découlent sont tellement vertigineuses que l’on pourrait se croire en Amérique du Sud, où les « narcos » font la loi !

    Faudra-t-il donc répéter ad vitam aeternam que le trafic de drogue, aujourd’hui, porte sur des centaines de tonnes ?

    Les « nouvelles mœurs » prônées par tous les médias, le relâchement qui s’ensuit, la glorification de l’homosexualité et de toutes les déviances, tuent la nation et la famille… hier pilier d’une France chrétienne, et renforce le mépris des musulmans, même des moins fanatiques.

    A cela s’ajoute bien sûr, sur toutes nos radios, le dénigrement perpétuel de la France et l’humour « bien français », au second degré… que tous les antifrançais prennent pour argent comptant.

    L’ensemble de ces dysfonctionnements est couronné par un laxisme judiciaire, voulu et entretenu par des syndicats de gauche, à commencer par le syndicat de la Magistrature !

    Il existe aujourd’hui parmi la jeunesse de nos villes des gens, nés chez nous, vivant des acquis sociaux de chez nous… qui ne veulent absolument pas s’assimiler et qui nous haïssent. Il en est de même parmi les gens, dit « du voyage », avec l’arrivée massive et continue d’originaires d’Europe centrale qui, vivant depuis des siècles dans ces pays, n’ont jamais réussi à en devenir citoyens !

    La guérilla urbaine actuelle, le saccage de locaux administratifs ou militaires, l’incendie continu de centaines de véhicules… vont-ils permettre enfin à nos dirigeants de comprendre… qu’il est déjà bien tard !

    L’assassinat de Mohamed, jeune assimilé, travailleur sérieux et honnête, sur l’autoroute A13, pour une banale affaire de constat d’accrochage, démontre que le seul mobile de ce crime est… la « haine » !

    « Fais donc pas ton Français ! » lui ont dit ses agresseurs avant de le tuer ! Oui messieurs… La haine de la France et des Français !

    Voilà le résultat de votre incapacité à gouverner… Cela s’appelle de l’abandon de peuple en danger !

    Dans le même temps, le journal de monsieur Jean-François Kahn fait placarder sur les kiosques des affiches annonçant un numéro spécial de Marianne, pour le 24 juillet 2010, dont voici le texte :

    « Fascisme… Antisémitisme… National populisme… de Maurras à Le Pen… l’extrême droite… Une politique de la haine ! »

    A quoi donc jouent ces gens là ?

    NPI - 28/07/10

  • Témoignage exclusif - Denis, policier à la BAC: "le flic est un sous-citoyen"

    Les effectifs de la BAC Grenoble ont été mis en repos de force par le préfet alors que circule la rumeur d’un contrat sur leur tête © Fabrice ANTERION / MAXPPP

    * INFO LEPOINT.FR GRENOBLE – Un contrat sur les policiers de la BAC

    Denis est policier à la Brigade anticriminalité (BAC). Il fait partie des hommes envoyés en renfort à Grenoble où des policiers sont menacés de mort par des caïds de cité. Il a accepté de témoigner pour Le Point.fr sous couvert d’anonymat. Édifiant.

    « ON SE COUCHE DEVANT LES CAÏDS »

    « Nos collègues de Grenoble ont leur nom et prénom tagués sur les murs du quartier de la Villeneuve. Et la seule réponse du ministère, c’est de les mettre au repos ou de les muter. Je suis dans la BAC depuis 10 ans. Aujourd’hui, je suis écoeuré. Une fois encore, on se couche devant les caïds. On nous a donné l’ordre de ne plus patrouiller en civil, de remettre nos uniformes pour ne pas être identifiés comme un flic de la BAC. C’est désastreux pour l’image. Les petits caïds se disent dans leur tête que les flics ont peur, qu’ils reculent. Parmi les policiers exfiltrés, il y a un major à deux mois de la retraite avec 15 ans de BAC derrière lui. C’est la honte. »

     « DE LA CHAIR À CANON »

    « On se fout de la gueule des flics, on nous prend pour de la chair à canon. Quand on pense que Sarko avait promis de karcheriser les cités ! La hiérarchie fait tout pour minimiser la gravité de la situation. Personne ne sait ce qu’est devenu l’agent de sécurité qui a failli prendre une balle. C’est l’omerta. Heureusement, l’info circule entre nous, via les portables. »

    « GILETS PARE-BALLES PÉRIMÉS »

    « Le 22 juillet, je me suis pointé au travail à midi. J’ai appris qu’à 16 heures je devais être à Grenoble pour une mission de neuf jours. Si tu refuses, t’es muté dans un service de merde. Alors, tu pars risquer ta peau pour 1.800 euros par mois. Mon métier, c’est de protéger les biens et les personnes. Pas de me faire tirer comme un lapin par un crevard de cité. Notre véhicule affiche plus de 100.000 kilomètres au compteur, à l’intérieur, le chauffage est bloqué. Voilà l’état de la police aujourd’hui, en tout cas de la sécurité publique, dont je fais partie. Rien ne fonctionne normalement, ni les voitures, ni les ordinateurs. Certains ont des gilets pare-balles périmés. Même nos brassards de police sont usés jusqu’à la corde, j’ai un collègue qui a été obligé de repasser au marqueur la lettre P du mot police. »

    « CE N’EST PAS LES CAÏDS QUI VONT FAIRE LA LOI »

    « J’entends certains dire il faut envoyer l’armée. Qu’on nous laisse agir, et ça ira très vite. Ce n’est pas une vingtaine de petits caïds qui vont faire la loi. Ces derniers jours, avec les renforts qui ont débarqué, les types se tiennent à carreau. Hormis quelques marioles qu’il faut savoir calmer. Hier, on est tombé sur un crevard de ce genre. Le type était au téléphone quand on s’est approché pour le contrôler. Je m’adresse à lui en le vouvoyant pour lui demander de mettre fin à sa conversation téléphonique, il me répond en me tutoyant : « Tu es qui toi pour me demander de m’arrêter de téléphoner. Personne ne me contrôle ici. » Il a pris direct deux pièces de cinq francs (des gifles). Après, il nous disait : « Bonjour, merci et au revoir. » Bien sûr que je me mets hors clous en agissant ainsi. Mais pourquoi devrait-on baisser la tête ? Si tous les flics agissaient ainsi, les problèmes seraient vite réglés. Pour moi, ça, ce n’est pas une bavure, c’est une démarche citoyenne. Il faut arrêter de verbaliser le citoyen lambda et s’attaquer aux caïds, aux dealers, aux braqueurs. Quand un jeune de 20 ans roule dans une X6 qui coûte 120.000 euros et qu’il ne travaille pas, c’est à lui qu’il faut confisquer la voiture sur le bord de la route. »

    « SARKO NE SAIT PAS CE QUI SE PASSE »

    « Il faut que la population sache que les policiers n’ont pas peur d’entrer dans les cités. Si nous n’y allons pas, c’est que nous avons ordre de ne pas y aller. Aujourd’hui, la hantise des autorités, c’est la bavure, l’émeute, l’embrasement. Mais à force de reculer, de renoncer, on arrive à des situations comme aujourd’hui. Un jour, on se réveille, c’est trop tard, c’est l’effet boomerang. Je ne crois pas que les conseillers de Sarko lui disent la vérité sur ce qui se passe. Il faudrait que tous ces délégués à la sécurité, préfets ou autres viennent tourner une nuit avec la BAC pour voir l’étendue des dégâts. On dit ici qu’un flic du Raid a eu dans la jumelle de son fusil un voyou perché sur un toit avec un lance-roquettes. Et qu’il n’aurait pas reçu l’ordre de tirer. Si j’avais été à sa place, j’aurais appuyé sur la détente. Et cela ne m’aurait pas empêché d’aller manger une pizza après. Est-ce qu’on attend qu’il pulvérise un fourgon de flics ? »

    « LA PAROLE D’UN FLIC NE VAUT RIEN »

    « Les flics vont se mettre à tirer. S’ils ne l’ont pas encore fait, c’est parce que la peur de perdre leur boulot est plus forte. Mais les flics en ont ras le bol. Après 15 ans de police, sans le moindre problème, je me suis retrouvé du jour au lendemain mis en garde à vue, perquisitionné à mon domicile parce qu’un crevard de cité, multirécidiviste, m’avait accusé de l’avoir agressé. Ce qui était faux. Mon service de nuit à peine terminé, je me suis retrouvé en garde à vue, puis mis en examen par le doyen des juges d’instruction. Pourtant, je suis un des flics les plus décorés de ma génération. Le doyen en question qui n’avait jamais mis les pieds dans un commissariat, ni même dans une voiture de flic m’expliquait comment il fallait que j’intervienne sur la voie publique. J’ai été suspendu durant neuf mois, privé de salaire. Je vivais avec 300 euros par mois. Si je ne suis pas mis une bastos dans la tête, c’est parce que mes proches m’ont soutenu. Au bout du compte, j’ai été relaxé par le tribunal. La parole d’un flic aujourd’hui ne vaut rien. Ni devant un jeune de cité, ni devant un juge, ni devant un élu. Le flic est un sous-citoyen. »

    Source : Publié le 28/07/2010 à 14 :17 – Modifié le 28/07/2010 à 21 :42 Le Point.fr 402

    NPI - 28/07/10

  • Athlétisme: Christophe Lemaitre nouveau champion d'Europe du 100m, Mbandjock 3ème

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    Christophe Lemaitre, né le 11 juin 1990 à Annecy
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    (Cliquez sur les photos)
     
    Près de trois semaines après être devenu le premier sprinteur blanc sous les 10 secondes sur 100m, Christophe Lemaitre, 20 ans, est devenu mercredi soir à Barcelone champion d'Europe de la spécialité. Cela faisait 48 ans que la France attendait un tel moment.
     Avec un chrono de 10 secondes et 11 centièmes, le Savoyard a devancé le Britannique Mark Lewis-Francis (10"18) et son compatriote Martial Mbandjock (10"18), qui prend la médaille de bronze. Le Britannique Dwain Chambers se classe seulement 5ème. Lemaitre et Mbandjock sont les premiers médaillés français de ce rendez-vous catalan.
    Surtout, Lemaitre est le premier Français titré sur la ligne droite aux Championnats d'Europe depuis Claude Piquemal en 1962 à Belgrade.
    RTL Sports - 28/07/10

  • Bosnie: arrivée à Sarajevo de l'ancien président Ejup Ganic

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    L'ancien président bosniaque, Ejup Ganic, est arrivé mercredi à Sarajevo, après le rejet mardi par la justice britannique d'une demande d'extradition de la Serbie à son sujet pour crimes de guerre, a constaté un photographe de l'AFP.

    Ejup Ganic a été accueilli par plusieurs centaines de personnes à l'aéroport. L'ancien président bosniaque est arrivé à bord d'un vol régulier en provenance d'Istanbul.

    "Merci à tous d'être venus. Le combat livré au cours des cinq derniers mois ne l'a pas été en vain", a déclaré M. Ganic à la presse à l'aéroport de Sarajevo.

    "Nous sommes revenus avec deux résultats. Le premier est un document confirmant que la Bosnie-Herzégovine a été victime d'une agression. Nous avons mis au clair le caractère de la guerre en Bosnie", a dit M. Ganic.

    "Le deuxième résultat est que le procès contre moi était motivé politiquement. La Serbie a abusé du système judiciaire britannique. Nous revenons une fois encore victorieux", a ajouté M. Ganic.

    Agé de 64 ans, Ejup Ganic, ancien membre musulman de la présidence bosniaque pendant la guerre et ex-président de la fédération de Bosnie-Herzégovine, avait été arrêté le 1er mars à l'aéroport londonien de Heathrow en application d'un mandat d'arrêt émis par la Serbie pour crimes de guerre. A la mi-mars, il avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

    La Serbie accuse Ejup Ganic d'avoir participé en 1992 à la conception d'attaques sur un mess d'officiers de l'armée yougoslave, puis sur des ambulances dépêchées sur place et enfin sur un convoi militaire à Sarajevo qui avait fait 18 morts. M. Ganic nie toute implication.

    Expliquant sa décision, le juge Timothy Workman du tribunal de Westminster, à Londres, a dénoncé mardi une "procédure lancée et utilisée à des fins politiques", ce qui "constitue un abus de procédure".

    La Serbie a annoncé mardi qu'elle ferait appel de la décision de la justice britannique.

    AFP. 28/07/10

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  • Un pétrolier japonais attaqué dans le détroit d'Ormuz ?

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    (Cliquez sur la photo)

    TOKYO — Une explosion s'est produite sur un pétrolier japonais dans le détroit d'Ormuz, attribuée par l'équipage à une attaque, mais le navire était en état de naviguer et aucune marée noire n'est à déplorer, a annoncé mercredi le ministère japonais des Transports.

    L'incident a eu lieu mardi à 20H30 GMT, soit dans la nuit de mardi à mercredi dans cette bande de mer entre l'Iran et le sultanat d'Oman, sur un bateau de la compagnie japonaise de transport maritime Mitsui OSK, le M. Star. Un marin a été blessé et le navire partiellement endommagé.

    "Un membre de l'équipage a vu une lumière à l'horizon à l'instant précédant l'explosion et l'entreprise suspecte très fortement une attaque", a précisé dans un communiqué le ministère, selon lequel cette zone n'est pas connue pour d'éventuelles activités de piraterie.

    Un responsable de Mitsui OSK basé au Qatar, Junto Endoh, a estimé qu'il ne s'agissait "pas d'un accident, mais peut-être d'une attaque terroriste", selon des propos cités par l'agence de presse Dow Jones Newswires.

    Il a précisé que le navire faisait désormais route vers Fujairah aux Emirats arabes unis pour y être réparé, ajoutant que l'explosion n'avait pas été énorme.

    "Le navire se dirige vers le port sans avoir besoin d'être remorqué. Les dégâts n'ont pas incendié le pétrole contenu dans les soutes", a-t-elle déclaré. Les détails supplémentaires ne pourront être connus qu'après une inspection qui sera lancée dès l'accostage du bateau, a ajouté la porte-parole.

    Ce pétrolier transporte 270.000 tonnes de pétrole brut et son équipage est constitué de 16 Philippins et 15 Indiens, selon le ministère. Il devait amener ces hydrocarbures depuis les Emirats arabes unis jusqu'au port de Chiba, dans la région de Tokyo.

    Le détroit d'Ormuz relie le Golfe persique, bordé de riches Etats pétroliers comme le Koweït, Bahreïn et le Qatar, à la mer d'Oman, et constitue un passage stratégique pour le transit du pétrole.

    AFP. 28/07/10

  • Huit cadavres de nouveaux-nés retrouvés dans le Nord, près de Douai

    Huit cadavres de nouveau-nés ont été retrouvés mardi dans un pavillon et un jardin du village de Villers-au-Tertre (Nord), a-t-on appris mercredi de source judiciaire.  Les parents présumés ont été placés en garde à vue. 

    Mis en examen jeudi?

     

     Le père et la mère, âgés tous deux d'environ 45 ans, étaient toujours en garde à vue mercredi après-midi.  Les gendarmes poursuivent les recherches dans la commune de Villers, où se trouvaient notamment des brigades cynophiles, selon la gendarmerie qui évoque «une enquête pour des faits criminels».

    Le parquet de Douai doit ouvrir jeudi matin une instruction judiciaire, lors de laquelle ils devraient être mis en examen.

    M.P. avec AFP
    20minutes.fr - 28/07/10
  • VIDEO Vacances à la campagne pour des Mamans de cités

    http://www.dailymotion.com/video/xe6nm5_vacances-a-la-campagne-pour-des-mam_news

    S'éloigner de la banlieue et de son univers difficile le temps d'une semaine, c'est ce que propose les associations Ni putes Ni Soumises, et Raid Aventure, aidées par la société Chèques Vacances, à une trentaine de mères des quartiers difficiles accompagnées de leurs enfants âgés de trois à seize ans.

    28/07/10

  • Grenoble: cache d'armes au sous-sol d'un bar, le patron déféré devant un juge

    Le patron d'un bar, où a été retrouvé une cache d', dans le quartier de la Villeneuve, à Grenoble, théâtre de récentes violences urbaines, devait être déféré mercredi devant une juge d'instruction qui se prononcera sur sa mise en examen pour «infraction à la législation sur les armes».

      

    Le parquet, qui devrait tenir un point presse à 16h30, va requérir son placement en détention.

    Agé de 44 ans, l'homme, sans antécédent à l'exception d'une conduite en état alcoolique, «nie» pour le moment «les faits qui lui sont reprochés», selon une source judiciaire. Ce dernier s'était présenté spontanément au commissariat lundi à la suite de la perquisition de son bar à la Villeneuve, où la police a découvert une cache d'armes au sous-sol.

    Le bar servait de lieu d'entraînement au tir

    Les policiers ont notamment saisi un pistolet-mitrailleur de marque Uzi, du même type que celui utilisé par le Karim Boudouda, décédé le 16 juillet lors d'un échange de tirs avec la police après avoir dérobé la caisse du d'Uriage-les-Bains (Isère), selon une source proche de l'enquête.

    Ils ont également découvert des «carabines, des armes de poing et des cartouches percutées», qui vont pouvoir être analysées pour savoir également si elles correspondent ou non à celles utilisées lors des violences urbaines. L'établissement servait vraisemblablement de lieu d'entraînement au tir.

    La mort de Boudouda avait provoqué trois nuits de violences à la Villeneuve, du 16 au 18 juillet, au cours desquelles les policiers ont été la cible de tirs à balles réelles. La justice ne dispose pas pour l'heure d'éléments permettant d'impliquer le patron du bar dans ces tirs, précise-t-on.

    La perquisition de son établissement s'est déroulée sur commission rogatoire de la juge dans le cadre d'une information judiciaire pour tentative d'homicide sur les policiers lors des violences.

    Trois autres enquêtes sont en cours concernant le vol à main armée du casino, l'usage des armes par les policiers dont l'Inspection générale de la police nationale a été saisie et une dernière autour de menaces de mort visant des policiers depuis la mort de Boudouda.

    Le Parisien - 28/07/10

    Pourquoi "omettre" le nom de ce patron de bar?

     

  • VIDEO - La Catalogne a voté l'interdiction de la corrida

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    BARCELONE — Le Parlement régional de Catalogne a porté un coup dur à la tradition taurine espagnole, en approuvant mercredi l'interdiction des corridas dans cette riche région du nord-est de l'Espagne.

    Les députés catalans ont voté, par 68 voix pour et 55 contre, en faveur d'une "Initiative législative populaire" (ILP) qui, avec l'appui de 180.000 signatures, réclamait la fin de ce spectacle "barbare".

    Lors du débat parlementaire préalable, la porte-parole de l'association "Prou!" ("assez!" en langue catalane) soutenant l'initiative, Anna Mula a demandé aux députés régionaux de lancer "un message de compassion et de progrès à l'humanité" en approuvant l'interdiction.

    La Catalogne est ainsi devenue la deuxième région d'Espagne à interdire la tauromachie, après l'archipel des Canaries qui l'a fait en 1991.

    Les milieux conservateurs espagnols ont accusé les parlementaires catalans d'arrière-pensées nationalistes et identitaires dans ce vote contre une tradition séculaire "espagnole".

    Mais le débat de mercredi avant le vote a tourné essentiellement autour du caractère "cruel" ou non des courses de taureaux et de la "liberté" de ceux qui veulent y assister, dans une région où la tauromachie fait de moins en moins recette.

    "C'est une cruauté gratuite, un spectacle de torture", a déclaré Francesc Pané, porte-parole pour la coalition écolo-gauchiste d'ICV-EUIA, farouchement opposée à ce spectacle "sans noblesse".

    Le président socialiste du gouvernement catalan, José Montilla qui avait laissé la liberté de vote à ses députés, a affirmé avoir voté contre l'interdiction parce qu'il "croit en la liberté".

    Avant ce vote "historique", plusieurs dizaines de manifestants pro et anti-taurins s'étaient rassemblés mercredi matin devant le parlement catalan, réclamant d'un côté la "liberté" pour les amateurs de corridas et de l'autre la fin de la "torture" animale, a constaté l'AFP.

    "Arrêtez la cruauté envers les animaux", demandaient en anglais des pancartes brandies par les anti-taurins, tandis que les partisans des corridas affirmaient: "les taureaux oui, la liberté oui".

    Cette interdiction est intervenue dans un contexte de crispation politique en Catalogne, après le rejet fin juin par le Tribunal constitutionnel espagnol d'une partie des prérogatives accordées à cette région dans son nouveau statut d'autonomie.

    Les débats entre anti et pro-corridas ont toutefois soigneusement évité de glisser sur le terrain politique et de virer à une confrontation entre "espagnolistes" et "catalanistes", se cantonnant à la défense du droit des animaux pour les uns et à la "tradition catalane" des taureaux pour les autres, soulignait mercredi le journal Publico.

    Anticipant la décision catalane, plusieurs régions espagnoles, dont celle de Madrid, avaient préalablement annoncé leur intention d'inscrire la tauromachie à leur "patrimoine culturel" pour la protéger, même si les opposants y gagnent aussi du terrain.

    Le principal parti d'opposition, le Parti populaire (PP, droite) devrait faire appel de la prohibition catalane notamment devant le Tribunal constitutionnel, ce qui devrait prolonger le débat jusqu'à ce que l'interdiction entre en vigueur début 2012.

    Cette prohibition dans une région disposant d'une longue tradition de corridas, surtout à Barcelone sa capitale, constitue un coup dur pour la tauromachie espagnole, qui subit déjà une relative désaffection des spectateurs depuis deux ans.

    AFP. 28/07/10

  • Perquisition chez Françoise Meyers-Bettencourt, Woerth toujours pas entendu par la Brigade financière

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    Domicile de Françoise Meyers-Bettencourt à Neuilly - (Cliquez sur la photo) 

    Le domicile de la fille de Liliane Bettencourt a été perquisitionné mercredi dans l'enquête liée à une plainte de l'héritière de L'Oréal, écoutée clandestinement à son domicile, tandis que dans un autre volet de cette affaire tentaculaire, l'audition d'Eric Woerth était toujours attendue.

    Les policiers de la Brigade financière se sont présentés mercredi à 6H30 au domicile de Françoise Meyers-Bettencourt, situé en face de la résidence de sa mère à Neuilly (Hauts-de-Seine), sur réquisition du procureur de Nanterre Philippe Courroye.

    Les policiers, qui ont perquisitionné mercredi matin le domicile de la fille de Liliane Bettencourt, ont notamment saisi des agendas appartenant à Françoise Meyers-Bettencourt et à son époux, a affirmé son avocat Me Olivier Metzner.

    "Ils ont saisi les agendas de Jean-Pierre Meyers, un agenda de 2010 de Mme Meyers sur lesquels il n'y avait rien", a-t-il assuré à l'AFP.

    Jean-Pierre Meyers, gendre de l'héritière de L'Oréal, est vice-président du conseil d'administration du numéro un mondial des cosmétiques et administrateur de Nestlé, le plus gros actionnaire de L'Oréal après les Bettencourt.

    Les policiers ont également emporté avec eux un ordinateur et "saisi ce que l'on leur avait déjà remis: les transcriptions des écoutes", a-t-il ajouté.

    Selon l'avocat, la perquisition "s'est terminée vers midi. Ils sont repartis très déçus".

    Les enquêteurs, agissant dans le cadre de l'enquête sur l'atteinte à la vie privée pour laquelle Liliane Bettencourt a déposé plainte, cherchent à déterminer dans quelles circonstances le maître d'hôtel de la milliardaire, Pascal Bonnefoy, a décidé d'enregistrer des conversations de l'héritière de L'Oréal avec son entourage, entre mai 2009 et mai 2010.

    Françoise Meyers-Bettencourt, qui a transmis à la police ces enregistrements après les avoir reçus du majordome, a assuré à plusieurs reprises qu'elle n'était pas à l'origine de ces écoutes.

    "Tout est transparent, nous n'avons rien à cacher", a affirmé Me Metzner à l'AFP, rappelant que sa cliente avait d'elle-même remis les enregistrements et leurs transcriptions à la justice.

    "Je pense que cette perquisition était un leurre. On annonce partout l'audition de M. Woerth et comme par hasard on va ailleurs chez la victime principale de cette affaire à 06H45 du matin", a fait valoir l'avocat de Françoise Meyers-Bettencourt.

    L'avocat a récusé le soupçon que sa cliente ait cherché à inciter d'anciens salariés de Mme Bettencourt à apporter des témoignages destinés à suggérer que celle-ci ait été l'objet d'un abus de faiblesse de la part du photographe François-Marie Banier. Me Metzner a ajouté: "qu'ils cherchent autant qu'ils veulent, il n'y a aucun problème là-dessus".

    Dans un autre volet de l'affaire, l'enquête sur le contenu de ces écoutes, le parquet de Nanterre a annoncé que l'audition comme témoin du ministre du Travail, Eric Woerth, n'aurait pas lieu mercredi.

    Cette audition, très attendue, devrait se tenir d'ici la fin de la semaine, selon plusieurs sources proches du dossier. Dans l'entourage du ministre, on indiquait que l'audition pourrait avoir lieu "jeudi, vendredi ou en début de semaine prochaine".

    AFP. 28/07/10

  • Carla Bruni tourne pour Woody Allen

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Au côté de l' américain , a fait ses premiers pas d'actrice de cinéma sous la direction de Woody Allen, mardi, à Paris. La Première dame de France, qui interprète le rôle d'une directrice d'un musée parisien dans le film «Midnight in Paris», est arrivée en fin d'après-midi dans une petite épicerie du Ve arrondissement, rue Mouffetard, où le tournage s'est déroulé.

     

    Vêtue d'une tunique blanche et d'un jeans, chaussée de ballerines et les cheveux relevés, elle a aussitôt été accueillie par Woody Allen, portant son éternel bob de toile, qui l'a embrassée. Interprète masculin principal, Owen Wilson, qui a notamment joué dans «Fantastic Mr. Fox», «Zoolander», ou encore «La Famille Tenenbaum», les a rejoints pour débuter le tournage.

    Ce n'est pas la première fois que l'épouse de Nicolas Sarkozy se retrouve devant la caméra. L'ancienne mannequin avait joué son premier (petit) rôle en 1995 dans «Catwalk» de l'Américain Richard Leacock. Et on l'avait aperçue en 1998 dans «Paparazzi» d'Alain Barbérian, main dans la main avec Johnny Hallyday.

    Mardi, sous les regards curieux de badauds venus en nombre dès qu'ils ont aperçu le célèbre cinéaste new-yorkais devant les étals garnis de fruits et légumes multicolores, le tournage a duré plusieurs heures. La rue était coupée à la circulation et des gardes du corps veillaient discrètement au bon déroulement des opérations.

    LA PARISIENNE - 27/07/10

  • Bruno Gollnisch: vers la guerre intérieure?

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    Communiqué de Bruno Gollnisch, député européen, conseiller régional

    Hier encore à Grenoble, 30 voitures ont été incendiées. Un dépôt d’armes de guerre a été découvert dans le sous-sol d’un bar grenoblois.

    On apprend que les policiers de la brigade anti-criminalité sont fichés, menacés de mort avec leurs familles, pour venger le braqueur Karim Boudouda. L’intimidation fonctionne. Plusieurs de ces policiers censés protéger les citoyens français ont été priés de « se mettre au vert » par leur hiérarchie. On envoie des renforts. Qui protègera ensuite les renforts ? Les parachutistes ? Les blindés ?

    Ces événements sont d’évidence les prémices d’une guerre intérieure révolutionnaire telle que les Français l’ont déjà subie en Algérie : guerre contre la France et l’État, contre les Français et leurs biens. Si « une politique se mesure aux résultats », force est de constater que celle des autorités françaises au pouvoir depuis des décennies est un échec cuisant. Elles seules, et non le préfet limogé, sont entièrement responsables de cette situation désastreuse.

    Seul le Front National propose depuis des années les mesures, qui s’attaquent non seulement aux effets de la criminalité, mais à ses causes : immigration invasive, naturalisations abusives, laxisme pénal, non-expulsion des délinquants étrangers, décadence scolaire, etc. La situation est grave. Il est temps de les appliquer.

    NPI - 27/07/10

     

  • L'affaire Bettencourt suspendue à l'audition du trésorier de l'UMP

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    Le feuilleton estival de l'affaire Bettencourt, au coeur de l'actualité depuis près de six semaines, est désormais suspendu à l'audition du ministre du Travail, Eric Woerth, dont la date reste inconnue.

    Première étape d'une semaine clé dans cette affaire riche en rebondissements, la milliardaire Liliane Bettencourt a été entendue pendant un peu plus de deux heures lundi par les enquêteurs de la brigade financière à son domicile de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine).

    Lors de cette audition, l'héritière de L'Oréal a été questionnée sur les deux comptes qu'elle détient en Suisse, dotés de plusieurs dizaines de millions d'euros, mais aussi sur le statut juridique de l'île d'Arros, aux Seychelles, et sur "ses relations avec Eric Woerth".

    Questionnée sur trois chèques de 4600 et 7500 euros signés début 2010 à l'intention de l'Association pour le financement de la campagne de Valérie Pécresse, l'Association de soutien à l'œuvre d'Éric Woerth et l'Association nationale de financement de l'UMP, elle a répondu: «Je ne me souviens que du seul nom de M. Woerth

    Alors que peu d'éléments nouveaux ont été apportés par cette audition à forte portée symbolique, les regards se tournent désormais vers Eric Woerth, qui doit également être entendu par la brigade financière.

    Annoncée pour mardi par plusieurs sources proches du dossier, cette audition "aura lieu prochainement, mais pas aujourd'hui", a annoncé à l'AFP une porte-parole du parquet de Nanterre, sans préciser la date de l'audition.

    Le Point - 27/07/10

  • NOM, décadence, abjection... Fausse beauté et vraie laideur

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    (fatigué de rencontrer des gens moches... rejoignez beautifulpricks où tout le monde est beau nu) (Cliquez sur la photo)

    Un site internet de rencontre qui ne réunit que des "belles" personnes vient de lancer un forum pour aider à mettre au monde de jolis bébés grâce à ses donneurs de sperme et d'ovules triés sur le volet. Et le service est ouvert aux "moches", préviennent les organisateurs.

    Très critiqué par des internautes qui y voient le zénith d'un "narcissisme zélé", le projet a été lancé en juin par BeautifulPeople.com. Le site créé au Danemark en 2002 s'adresse aux "gens beaux". Pour l'intégrer, les aspirants à la reconnaissance esthétique doivent voir leur photo approuvée par les membres.

    Quelque 600.000 personnes, dans 190 pays, payent ainsi pour vivre dans cette communauté virtuelle débarrassée des gueules cassées. Le site a même renvoyé il y a quelques semaines 5.000 membres considérés comme trop "moches" par les autres internautes parce qu'ils avaient pris du poids.

    Présenté comme une solution de bon sens pour les parents qui craignent de mettre au monde un petit monstre, le nouveau Fertility Forum est une "cause noble pour ceux qui ont du mal à concevoir", a déclaré à l'AFP le directeur général du site Greg Hodge, un Britannique basé à Los Angeles.

    "Les couples et les célibataires qui ne peuvent pas concevoir ont accès au forum Fertility qu'ils soient beaux ou moches. Les donneurs de sperme et d'ovules sont membres du site, donc ce sont des "gens beaux" qui ont réussi les tests de sélection du site", a expliqué à l'AFP Greg Hodge.

    "Au début on a hésité à ouvrir l'offre aux personnes laides", ajoute le fondateur du site Robert Hintze, Danois aux yeux bleus. "Mais tout le monde, même les moches, veulent mettre au monde des enfants mignons et nous ne pouvions pas être égoïstes", dit-il.

    Greg Hodge souligne que la demande de donneurs séduisants a tout de suite été énorme. "Pour un site dont les membres ressemblent à Brad Pitt, George Clooney et Angelina Jolie, vous pouvez imaginer", dit-il dans un café de Beverly Hills, où le moindre quidam ressemble à une star d'Hollywood.

    Le site affirme ne pas retirer de profits financiers avec ce forum et mettre en relation receveurs et donneurs simplement en vue d'accroître sa fréquentation.

    Lisa Bluemel, 30 ans, a rejoint Beautifulpeople pour "rencontrer des gens et élargir son réseau" mais "si une romance naît de ces rencontres, c'est bien aussi". Elle a décidé de donner des ovules via ce forum.

    "Naturellement l'intelligence et la santé, il n'y a rien de plus important. Mais pourquoi ne pas essayer de réunir les meilleurs caractéristiques pour son bébé ? Qui ne ferait pas cela pour son enfant ?", interroge-t-elle benoîtement.

    Pour Richard Paulson qui dirige la division Endocrinologie de la reproduction et Infertilité de l'école de médecine de l'université de Californie du sud, le forum Fertility n'est "pas dangereux ou menaçant" mais juste "amusant".

    "Choisir son futur partenaire, que ce soit pour se marier ou se reproduire, en se fondant sur les informations mises en ligne sur un site web, c'est, au mieux, naïf", juge-il.

    Le Point - 27/07/10

  • Ribéry n'a pas payé les deux filles!

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     Franck Ribéry continue de nier toute relation tarifée avec Zahia. (Reuters)
     
     
    Alors qu'il a récemment fait l'objet d'une mise en examen pour sollicitation de prostituée mineure, Franck Ribéry a tenu à mettre les choses au clair lors de son entrevue avec la la brigade de répression du proxénétisme en affirmant que s'il avait effectivement eu des relations sexuelles avec Zahia, elles n'avaient en aucun cas été tarifées. C'est ce que révèle la chaîne M6 qui est parvenue à se procurer quelques extraits des procès-verbaux de l'audition de l'international tricolore.

      Alors que Karim Benzema nie toujours en bloc avoir eu des relations avec Zahia, Franck Ribéry, lui, réfute de son côté avoir eu des relations tarifées avec la prostituée mineure au coeur de l'affaire de proxénétisme qui touche les deux joueurs.

    M6, qui avait déjà dévoilé les tous premiers prémices de l'histoire, a en effet dévoilé des extraits des procès-verbaux d'audition du "Munichois", entendu mardi dernier par la brigade de répression du proxénétisme.

    "Il y avait dans la suite réservée par mes soins Kamel, moi, Zahia et sa copine. Kamel et moi avons eu des relations sexuelles avec les deux filles. Nous changions de partenaire au cours de la soirée. Je ne savais pas que Zahia était mineure. Ces filles viennent pour coucher avec moi, enfin pour mon nom, parce que j'ai de l'argent, parce qu'elles voulaient passer un bon moment", explique donc Franck Ribéry, qui reste sur une ligne de conduite qu'il avait déjà adopté le 13 avril dernier, lors de sa première audition, en tant que témoin.

    Mis en examen mardi dernier, le "Bavarois" a pourtant une nouvelle fois réfuté les accusations de relations tarifées avec Zahia. "Non, il ne s'agissait pas de relation tarifée. J'ai laissé 100 euros aux deux filles pour qu'elles puissent manger et sortir le lendemain, le temps de l'entraînement. J'avais déjà financé l'hôtel, l'avion, le resto. Ça a dû me coûter au moins 2.000 euros. ", a ainsi affirmé le joueur, qui a repris dimanche une activité physique avec son club, et qui rappelle sur le site du club qu'il a "encore besoin d'une semaine ou de dix jours avant d'être prêt pour reprendre avec le groupe".
    AFP. 27/07/10

  • Les bonnes questions de Mediapart

    Voici les treize questions relatives à l'affaire Bettencourt que Mediapart souhaiterait poser au président de la République:

    1/ Le conflit d'intérêts,

    que révèle l'affaire Bettencourt, et dans lequel est pris Eric Woerth, est-il conforme à l'esprit de «la République irréprochable» que vous avez appelé de vos vœux?

    Eric Woerth a été trésorier du parti au pouvoir (UMP) et ministre du budget entre 2007 et 2010. Pendant cette même période, la femme du ministre travaillait pour la structure gérant la fortune de la première contribuable française..., laquelle finance à la fois l'UMP et, semble-t-il, les activités politiques personnelles d'Eric Woerth dans l'Oise. 

     

    2/ Florence Woerth,

    l'épouse de M. Woerth, n'a-t-elle pas reconnu elle-même le conflit d'intérêts reproché à son mari?

    Eric Woerth a annoncé, le 25 juin, après les premières révélations de Mediapart, la démission de Florence Woerth de ses fonctions au sein de la structure gérant la fortune de Liliane Bettencourt. Dans un article du quotidien Le Monde du 29 juin, Mme Woerth a déclaré: «Je reconnais que j'avais sous-estimé ce conflit d'intérêts.»

     

    3/ Saviez-vous

    que votre ancien conseiller pour la justice, Patrick Ouart, renseignait une partie – Patrice de Maistre, gestionnaire de la fortune de Mme Bettencourt – dans le cadre d'une enquête judiciaire?

    Il ressort des enregistrements clandestins réalisés chez Liliane Bettencourt et authentifiés par le parquet de Nanterre, que Patrick Ouart, lorsqu'il était le conseiller pour la justice de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, entre mai 2007 et novembre 2009, a informé à l'avance une partie d'une décision judiciaire, confirmée dans les faits deux mois après. En l'occurrence, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre, annonce en juillet 2009 à la milliardaire que la plainte pour «abus de faiblesse» déposée par sa fille sera classée sans suite par le procureur de Nanterre le 3 septembre. Ce qui a effectivement été le cas.

     

    4/ Votre ancien conseiller

    justice se serait également vanté de pouvoir influer sur la justice, qu'en pensez-vous?

    Les enregistrements clandestins réalisés au domicile de Liliane Bettencourt laissent aussi supposer des pressions sur la justice, à l'instar de cette phrase de Patrick Ouart rapportée par le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt, Patrice de Maistre, s'adressant à cette dernière: «En première instance, on ne peut rien faire de plus mais en cour d'appel, si vous perdez, on connaît très très bien le procureur.»

     

    5/ Votre ancien conseiller

    justice aurait continué à transmettre des informations confidentielles après son départ de l'Elysée, comment l'expliquez-vous?

    Toujours d'après les enregistrements réalisés au domicile de Liliane Bettencourt, Patrick Ouart aurait continué après novembre 2009 à informer Patrice de Maistre des avancées judiciaires du dossier Bettencourt, et ce alors qu'il ne travaillait plus à la présidence de la République, mais avait regagné le privé (en l'occurrence le groupe LVMH). 

     

    6/ Trouvez-vous normal

    que le bouclier fiscal ait permis de rembourser 30 millions d'euros à Liliane Bettencourt?

    En 2008, l'héritière de l'empire L'Oréal a touché 30 millions d'euros de l'Etat au titre du bouclier fiscal. A cette période, la principale contribuable de France disposait pourtant d'au moins deux comptes en Suisse non déclarés d'une valeur de 78 millions d'euros. L'un des objectifs affichés du bouclier fiscal était d'éviter l'évasion fiscale.

     

    7/ Etes-vous directement intervenu

    dans la gestion judiciaire de l'affaire Bettencourt/Banier?

    Il s'agit de la procédure ouverte à Nanterre pour «abus de faiblesse» à la demande de Françoise Bettencourt-Meyers, la fille de Liliane, qui soupçonne François-Marie Banier d'avoir profité de la dégradation de l'état de sa mère pour obtenir d'importants avantages financiers. D'après les enregistrements clandestins, Nicolas Sarkozy se serait investi dans ce dossier: il a d'ailleurs rencontré deux fois Patrice de Maistre  à l'Elysée, dont une avec Liliane Bettencourt, en novembre 2008, comme l'a récemment révélé Le Nouvel Observateur.

     

    8/ Vos liens d'amitié

    avec le procureur de Nanterre ne jettent-ils pas un doute sur l'impartialité de la justice, dont vous êtes institutionnellement le garant, dans une affaire susceptible de vous mettre en cause ?

    Ni Nicolas Sarkozy ni Philippe Courroye ne s'en cachent: les deux hommes s'apprécient depuis longtemps. Une proximité qui n'a pas que des avantages pour le magistrat, étiqueté “sarkozyste”, et donc accusé de ne pas traiter objectivement les dossiers concernant, de près ou de loin, l'actuel chef de l'Etat. La juge de Nanterre Isabelle Prévost-Desprez, chargée du jugement des affaires financières, a dénoncé cette année dans un livre la frilosité du parquet dans certains dossiers susceptibles de nuire à des proches de M. Sarkozy, dont il faut rappeler que le département des Hauts-de-Seine constitue le bastion.

     

    9/ L'implication particulière

    du procureur de Nanterre ne justifie-t-elle pas le dépaysement du dossier?

    Premier point: Philippe Courroye est régulièrement cité dans les enregistrements clandestins, Patrice de Maistre s'interrogeant sur sa “fiabilité”. Par ailleurs, il est notoire que le procureur est en guerre ouverte avec la présidente de la XVe chambre du tribunal de Nanterre, Isabelle Prévost-Desprez, chargée de juger l'affaire Bettencourt/Banier. La magistrate menace aujourd'hui de mener des investigations concurrentes à celles du procureur qu'elle soupçonne de vouloir étouffer l'affaire.

     

    10/ Les Bettencourt ont-ils financé

    en espèces, via Eric Woerth, votre campagne présidentielle en 2007?

    D'après les déclarations réitérées de Claire Thibout, l'ancienne comptable de Liliane Bettencourt, devant la police judiciaire et à Mediapart, la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 aurait été financée illégalement, par l'entremise de Patrice de Maistre puis d'Eric Woerth, à hauteur de 150.000 euros en espèces provenant des époux Bettencourt. Les propos de Mme Thibout sont contredits par M. de Maistre mais confortés par les livrets de comptes des époux Bettencourt qui témoignent d'importantes et inexplicables sorties en espèces dans les mois précédant la présidentielle de 2007, comme l'a rapporté Marianne le 11 juillet.

     

    11/ Avez-vous déjà perçu

    des enveloppes d'argent liquide chez les Bettencourt?

    D'après les déclarations de l'ex-comptable Claire Thibout, publiées mardi 6 juillet par Mediapart et confirmées par son avocat le matin même, puis partiellement démenties par elle le lendemain devant les policiers, M. Sarkozy ferait partie des personnalités – pour la plupart de droite – ayant bénéficié d'enveloppes en espèces provenant d'André Bettencourt. Après avoir été affirmative devant Mediapart, Mme Thibout a simplement indiqué devant les policiers que c'était «possible».

    12/ Liliane Bettencourt

    vous a-t-elle déjà fait des chèques?

    Dans les enregistrements clandestins réalisés au domicile de Liliane Bettencourt, il apparaît que cette dernière aurait signé, le 4 mars 2010, un chèque en faveur du président de la République. Aucune explication cohérente de la part de l'UMP ou de l'Elysée n'a pu être livrée quant au montant et à l'ordre de ce chèque. 

    13/ Diffuser les enregistrements

    réalisés chez Liliane Bettencourt est-il «fasciste»?

     Xavier Bertrand, secrétaire général du parti du président, l'UMP, a affirmé que la diffusion par Mediapart des écoutes réalisées clandestinement au domicile de Liliane Bettencourt entre 2009 et 2010 s'apparentait à des «méthodes fascistes». Pourtant, le tribunal de Paris, le 1er juillet, a estimé au contraire qu'elle relevait de «la publication d'informations légitimes et intéressant l'intérêt général».

  • 5 VIDEOS - Des élèves allemands de souche terrorisés par des élèves musulmans...

     http://fr.novopress.info/63875/des-eleves-allemands-terrorises-par-des-eleves-etrangers/

    Il arrive, c’est rare, que les grands médias oublient le politiquement correct. Le 21 juillet 2010, la chaîne allemande ARD a diffusé un documentaire intitulé “Conflit dans la salle de classe – Elèves de la minorité”, la minorité étant les Allemands de souche dans une école où 70% des élèves sont musulmans (Turcs, Libanais, Kurdes).

    Le lendemain, le journal Bild a consacré un article au reportage de l’ARD : il y est question d’“écoliers allemands terrorisés par des étrangers”. Ils sont battus, insultés, menacés et traités de “nazis”. Parce qu’ils sont allemands…

    Battus, insultés, menacés et traités de « nazis » parce qu’ils sont Allemands, dans une école en Allemagne.

    Reportage-choc à la télé hier soir : pendant 45 minutes l’ARD [chaîne allemande] a présenté dans « Conflit en salle de classe » une journée ordinaire dans une école d’Essen (Rhénanie du Nord-Westphalie).

    156 élèves, 70 % de musulmans. Turcs, Libanais, Kurdes. La directrice Roswitha Tschüter : « Les élèves libanais sont les premiers à contester l’autorité. »

    NOVOPRESS - 26/07/10

  • Agression de Beauvais: pourquoi Malik Adjout était-il en liberté?

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    Malik Adjout, 30 ans
     

    C’est à la faveur d’une fausse adresse que Malik Adjout, l’agresseur d’Estelle et Odile Villerelle, est sorti de prison il y a deux mois. Malgré l’avis du parquet, ce délinquant multirécidiviste de 30 ans a été libéré en mai par un juge d’instruction après avoir effectué cinq mois de détention provisoire dans le cadre d’une affaire d’agression sexuelle, toujours à Beauvais.

    En dépit du passé judiciaire chargé d’Adjout et sur la base d’informations erronées, le magistrat instructeur avait préféré le simple contrôle judiciaire au maintien en détention.

     

    Vendredi matin, au moment d’interpeller le suspect, cette fausse adresse a mené les hommes du GIPN droit dans l’appartement d’une femme totalement étrangère à l’affaire. « Au , Adjout disposait de quatre domiciles potentiels à Beauvais, Songeons et Cuy-Saint-Fiacre, en Seine-Maritime, précise un proche de l’enquête. Il a finalement été logé à Songeons, chez les parents de sa concubine. »

    Cette fausse adresse donnée au juge d’instruction alimente les interrogations autour de la libération d’Adjout. « L’individu est un multirécidiviste condamné à six reprises, cette décision a de quoi surprendre, relève une source judiciaire. Surtout que les faits pour lesquels il a purgé cinq mois de provisoire ont été commis quelques semaines seulement après sa sortie de prison. » L’agression en question remonte à octobre 2009. A l’époque, Adjout venait juste de recouvrer la liberté après une condamnation à quatre ans de prison dont un avec sursis pour agression sexuelle à l’arme blanche, elle aussi commise à Beauvais, près de la piscine Tournesol. « Le sursis et la mise à l’épreuve qui étaient au-dessus de sa ne l’ont pas empêché d’agir à nouveau, poursuit cette même source. Cela aurait dû suffire à alerter le magistrat en charge du dossier sur le risque d’une possible récidive. » Selon nos informations, Malik Adjout aurait formulé deux demandes de remise en liberté lors de ces cinq mois de détention provisoire. La première fut rejetée. Pas la seconde. Mais le juge d’instruction avait-il le choix ? Une nullité ou un vice de procédure ne l’ont-ils pas contraint à remettre le délinquant sexuel en liberté? « Non, répond le parquet de Beauvais, catégorique. Il n’y a eu aucun vice de procédure dans ce dossier. Le juge d’instruction a pris cette décision en son âme et conscience. Une décision qu’il ne nous appartient pas de commenter. Le mis en cause n’a pas été simplement lâché dans la nature. Il a été placé sous un contrôle judiciaire strict et il l’a d’ailleurs scrupuleusement respecté. »

    Malik Adjout et sa compagne avaient trouvé un appartement dans le paisible quartier de Notre-Dame-du-Thil à Beauvais, à deux pas de la maison d’Odile et Estelle Villerelle, ses deux dernières victimes. Mis en examen dimanche pour « tentative d’homicide suivie ou précédée d’un ou plusieurs crimes », Adjout encourt une peine de prison à perpétuité.

    Le Parisien - 27/07/10

     

  • Grenoble: la police veut interpeller les auteurs des menaces de mort contre des policiers de la BAC

    GRENOBLE — La police de Grenoble se disait mardi "déterminée" à interpeller les auteurs des menaces de mort contre des membres de la Brigade anti-criminalité (BAC) qui avaient tué un braqueur le 16 juillet, entraînant la flambée de violences urbaines dans le quartier de La Villeneuve.

    "C'est peut-être aller un peu loin que de parler de contrats" sur les policiers de la BAC, "mais il s'agit de menaces qu'on ne peut pas prendre à la légère", a souligné lors d'un point presse la directrice départementale de la sécurité publique de l'Isère, Brigitte Jullien.

    La police judiciaire de Lyon a été saisie de l'enquête. Une information judiciaire pour "association de malfaiteurs en vue de commettre un crime en bande organisée" a été confiée à la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lyon.

    Les menaces ont été proférées depuis la mort de Karim Boudouda, un braqueur tué lors d'un échange de tirs avec la police à la Villeneuve, le 16 juillet. Son décès avait donné lieu à trois nuits de violences urbaines au cours desquelles les policiers ont été visés par des tirs à balles réelles.

    Il s'agit de "menaces très concrètes et confirmées par diverses sources de renseignement", a assuré à l'AFP le secrétaire départemental du syndicat de police SGP-FO (Syndicat des gardiens de la paix-Force ouvrière), Daniel Chomette.

    Elles ont provoqué la mise en place de "mesures" visant à protéger certains fonctionnaires de la BAC, confirmées lundi par le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux. L'hôtel de police de Grenoble est également sous surveillance.

    Les trois fonctionnaires de la BAC, impliqués dans les tirs contre ce braqueur, ont été mutés à leur demande tandis que les autres agents de ce service se sont vus proposer "quelques jours de repos" après avoir fait part à leur direction de leur "fatigue physique et mentale", selon Mme Jullien.

    "Ils ont pu prendre du recul mais, dès cette semaine, nous allons pouvoir envisager une reprise normale de la BAC de Grenoble", a-t-elle souligné.

    Pendant leur absence, des renforts venus de Marseille, de Lyon et de Saint-Etienne ont été envoyés à la Villeneuve, où les policiers "n'ont pas lâché le terrain", a-t-elle souligné.

    Lundi, une perquisition a notamment permis de découvrir une cache d'armes, qui servait de "stand de tir, où plusieurs armes de guerre et de multiples douilles ont été retrouvées", selon M. Chomette.

    Cette opération s'est déroulée sur commission rogatoire du juge d'instruction chargé d'une information judiciaire concernant les tirs à balles réelles sur les policiers pendant les violences.

    Le patron du bar, qui s'est présenté spontanément à la police lundi, se trouvait toujours en garde à vue mardi.

    A la Villeneuve, la tension restait vive. Dans la nuit de lundi à mardi, un local municipal a été incendié par une voiture en flammes projetée sur le bâtiment. Les renforts de CRS et de gendarmes mobiles restent déployés.

    Jeudi, le nouveau préfet de l'Isère, Eric le Douaron, ex-haut gradé de la police, désigné par Nicolas Sarkozy pour remplacer le préfet actuel à la suite des violences, prendra officiellement ses fonctions.

    Vendredi, le président viendra à Grenoble installer officiellement le nouveau préfet.

    AFP. 27/07/10