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Blog - Page 1560

  • Les 500.000 € de Madame Bettencourt? C'était pour s'acheter une bague!

    La politique cosmétique peut parfois déboucher sur un vaudeville : l'audition de Patrice de Maistre, le gestionnaire de Madame Bettencourt, qui prétend que les 500 000 € qu'elle voulait retirer en espèces de la banque Dexia, quelques mois avant l'élection présidentielle, n'étaient que de l'argent de poche, quelques misérables fifrelins destinés à acheter des cadeaux et des sucreries à la veille de Noël.

    500 000 € ? A moins qu'avec ce pactole, elle puisse renflouer les restaus du coeur,ou bien sauver de la famine quelques centaines de milliers d'enfants en Afrique.

    "Elle voulait aussi, tout simplement, s'acheter une bague" ajoute l'homme de confiance de la milliardaire,qui dénonce les "fantasmes des journalistes en mal de copie" lorsqu'ils imaginent qu'une partie de la somme devait probablement rejoindre le bas de laine du candidat de Madame Bettencourt à l'élection présidentielle !

    Le vaudeville vire carrément au cynisme lorsqu'on apprend grâce aux carnets de l'ex-comptable Claire Thibout, que l'honorable Eric Woerth avait rendez-vous avec l'honorable Patrice de Maistre, dans un café. Sans doute pour lui montrer la nouvelle bague de Madame Bettencourt.

    Vingtras - MEDIAPART 25/07/10

  • Incendie criminel sur la Côte Bleue, près de Marseille: 900 hectares de végétation ravagés

    Incendie criminel Côte Bleue.jpg
    Un incendie d'origine criminelle qui a ravagé 900 hectares de végétation près de l'étang de Berre (Bouches-du-Rhône) depuis samedi soir était en voie d'extinction dimanche. "On espère en venir à bout dans le courant de l'après-midi, après avoir mis de l'eau sur toutes les lisières", a déclaré le colonel Gérard Patimo, chef du PC installé à Carry-le-Rouet, station balnéaire de la côte Bleue, au pied de collines dont une partie offre désormais un paysage lunaire. "On traite toujours le flanc droit, le seul encore un peu actif entre Saint-Julien et Sausset. Le vent reste soutenu, mais les rafales ne sont pas aussi fortes qu'annoncé", a-t-il ajouté.

    Les derniers foyers, statiques, sont situés dans un secteur vallonné difficile d'accès, qui nécessite des moyens de débroussaillement pour acheminer les tuyaux, en complément des noyages aériens. Quelque 450 pompiers et une centaine d'engins restaient mobilisés en début d'après-midi.

    L'origine criminelle du feu a été confirmée, un véhicule 4 x 4 de luxe ayant été retrouvé incendié en plein milieu du massif sur une voie qui n'était pas ouverte à la circulation, selon la même source. Volé auparavant, ses occupants l'auraient abandonné en le brûlant. L'incendie, qui a démarré à Châteauneuf-les-Martigues samedi vers 21 heures et était visible depuis Marseille à une quinzaine de kilomètres de distance, a été attisé par un très fort mistral soufflant jusqu'à 90 km/h. Il n'a pas fait de victimes, ni de gros dégâts, détruisant un cabanon et léchant le toit de maisons isolées sur les hauteurs de Carry.

    750 hommes mobilisés

    Plus de 750 hommes et 130 engins ont été dépêchés sur les lieux, avec des renforts des départements voisins. Les largages aériens, interrompus samedi à la tombée de la nuit, ont repris dimanche à 7 heures avec quatre Canadair, un Dash 8 et deux hélicoptères bombardiers d'eau.

    Dans la nuit colorée de lueurs rougeâtres, les pompiers ont concentré leurs efforts sur les zones périurbaines. À Sausset-les-Pins, les flammes se sont approchées à quelques dizaines de mètres des premières maisons d'un lotissement. "On a vécu une mauvaise aventure, avec tout ce que cela peut comporter de stress et de larmes. Le feu était à 30-40 mètres de chez nous, c'était l'angoisse", a commenté un propriétaire, Franck Jaillet, au lever du jour, sous une pluie de cendres et dans une atmosphère difficilement respirable. "Sur ces communes de la côte Bleue, c'est un drame", a souligné le maire UMP de Sausset, Éric Diard. "Elles avaient déjà été touchées (par des incendies) dans les années 1970-80. Depuis, la nature avait repris ses droits".

    À Carry-le-Rouet, l'incendie a provoqué l'évacuation, par précaution, des 2.000 vacanciers du camping Lou Souleï, dont certains ont été hébergés dans un gymnase. Le directeur, Hervé Artero, a pris lui-même la décision d'évacuer, qu'il a communiquée par micro aux campeurs, et la sortie s'est faite dans le calme. L'établissement compte quelque 10 % de clients étrangers. "On était à table, on a commencé à voir de la fumée blanche, puis noire, on a vraiment été surpris, on a eu peur. On nous a dit : faites vos valises", a raconté Cindy Bertrand, originaire de l'Ain, qui a passé la nuit au gymnase. Les vacanciers ont pu réintégrer les lieux dimanche matin.

    C'est le premier gros incendie de l'été en Provence-Alpes-Côte d'Azur. Il y a un an, 1.100 hectares de végétation avaient été dévastés aux portes de Marseille et plus de 6.000 avaient brûlé en Corse.
    AFP. 25/07/10

  • FRANCIS JAMMES (1868-1938)

     J'aime l'âne

    J’aime l’âne si doux
    marchant le long des houx.
     
    Il prend garde aux abeilles
    et bouge ses oreilles ;
     
    et il porte les pauvres
    et des sacs remplis d’orge.
     
    Il va, près des fossés,
    d’un petit pas cassé.
     
    Mon amie le croit bête
    parce qu’il est poète.
     
    Il réfléchit toujours.
    Ses yeux sont en velours.
     
    Jeune fille au doux cœur,
    tu n’as pas sa douceur :
     
    car il est devant Dieu
    l’âne doux du ciel bleu.
     
    Et il reste à l’étable,
    fatigué, misérable,
     
    ayant bien fatigué
    ses pauvres petits pieds.
     
    Il a fait son devoir
    du matin jusqu’au soir.
     
    Qu’as-tu fait jeune fille ?
    Tu as tiré l’aiguille...
     
    Mais l’âne s’est blessé :
    la mouche l’a piqué.
     
    Il a tant travaillé
    que ça vous fait pitié.
     
    Qu’as-tu mangé petite ?
    — T’as mangé des cerises.
     
    L’âne n’a pas eu d’orge,
    car le maître est trop pauvre.
     
    Il a sucé la corde,
    puis a dormi dans l’ombre...
     
    La corde de ton cœur
    n’a pas cette douceur.
     
    Il est l’âne si doux
    marchant le long des houx.
     
    J’ai le cœur ulcéré :
    ce mot-là te plairait.
     
    Dis-moi donc, ma chérie,
    si je pleure ou je ris ?
     
    Va trouver le vieil âne,
    et dis-lui que mon âme
     
    est sur les grands chemins,
    comme lui le matin.
     
    Demande-lui, chérie,
    si je pleure ou je ris ?
     
    Je doute qu’il réponde :
    il marchera dans l’ombre,
     
    crevé par la douceur,
    sur le chemin en fleurs.

    De l'Angélus de l'aube à l'Angélus du soir (1898)


    Ils m'ont dit

    Ils m’ont dit : « Il faut chanter la vie à outrance ! »
    ... Parlaient-ils des ménétriers ou des noix rances ?
    ou des bœufs clairs dressés hersant avant l’orage ?
    ou de la tristesse du coucou dans les feuillages ?
     
    — « Pas de pitié ! Pas de pitié ! » me disaient-ils.
    ... J’ai mis un hérisson blessé par un gamin
    dans mon vieux pardessus et puis dans un jardin,
    sans m’inquiéter davantage de leurs théories.
     
    Je fais ce qui me fait plaisir, et ça m’ennuie
    de penser pourquoi. Je me laisse aller simplement
    comme dans le courant une tige de menthe.
    J’ai demandé à un ami : Mais qui est Nietzsche ?
     
    Il m’a dit : « C’est la philosophie des surhommes. »
    — Et j’ai immédiatement pensé aux sureaux
    dont le tiède parfum sucre le bord des eaux
    et dont les ombres tout doucement dansent, flottent.
     
    Ils m’ont dit : « Pourrais-tu objectiver davantage ? »
    J’ai répondu : « Oui... peut-être... Je ne sais pas si je sais. »
    Ils sont restés rêveurs devant tant d’ignorance,
    et moi je m’étonnais de leur grande science.

    Le Deuil des primevères (1901)

     

     

     

  • Woerth apparaît détendu à Chantilly - Comme si de rien n'était...

    Eric Woerth à Chantilly.jpg
    A Chantilly, ce week-end
    Le ministre du Travail Eric Woerth, qui doit être entendu prochainement par la police dans le cadre de l'affaire Bettencourt, est apparu détendu aujourd'hui, à la sortie d'une réunion à la mairie de Chantilly, dans l'Oise.

    Eric Woerth, qui est maire de la ville, s'est refusé à tout commentaire à l'issue de cette réunion dont rien n'a filtré. "Il n'y a rien d'extraordinaire", a commenté un membre de son entourage. "M. Woerth passe régulièrement les week-ends dans sa permanence à Chantilly", a-t-il ajouté.

    Après la réunion, le ministre s'est rendu, peu avant midi, dans un café du centre-ville situé entre l'hôtel de ville et son domicile, pour prendre un café avec des amis. Il est ensuite rentré à pied chez lui, saluant les voisins et s'arrêtant parfois pour discuter avec certains d'entre eux.

    Interrogé sur son emploi du temps de la journée, Eric Woerth a déclaré qu'il "sort[ait]d'une réunion à la mairie" et qu'il allait assister au "jumping cet après-midi". Il s'agit d'un concours international de saut d'obstacles à cheval, classé cinq étoiles qui se tient à Chantilly du 23 au 25 juillet.
     
    Le Figaro - 24/07/10

  • Grenoble: Kalid, 19 ans, a été condamné à 3 mois de prison ferme

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    Samir, le père de Kalid, est en larmes

    C’est le premier émeutier du quartier de la Villeneuve à comparaître. Devant le tribunal correctionnel de Grenoble, Kalid, 19 ans, est jugé en comparution immédiate pour avoir lancé des pierres sur des policiers dans la nuit du 17 au 18 juillet, lors des violences urbaines qui ont suivi la d’un . Les cheveux peroxydés, vêtu d’un maillot de l’équipe de , l’adolescent pleure comme un bébé.

    C’est parce qu’il a envoyé un SMS à un ami, « MDR, je suis en émeutier », que Kalid a été identifié par la police. Dans le box, le jeune homme dit avoir été « dépassé par les événements » : « J’ai été pris par la mauvaise ambiance du quartier. C’était le bordel, ça criait de partout.
    Je voulais ajouter mon grain de sel. J’ai ramassé deux pierres et je les ai lancées vers les policiers. Jamais j’aurais dû le faire. Je regrette. Si je pouvais m’excuser envers les policiers, leur envoyer une lettre d’excuses…
    » Et Kalid sanglote.
    Lycéen, il vient d’effectuer sa première année de bac pro en maintenance des équipements industriels. Son père est chaudronnier, sa mère tient un commerce. Il est déjà passé deux fois devant le juge des enfants. Pour des broutilles. Un refus d’obtempérer alors qu’il était à scooter et une bataille de yaourt liquide dans une rame de tramway.
    Mais pour la procureure, « les faits sont d’une grande gravité. Il a participé à ces violences urbaines. Il a même remonté son tee-shirt pour dissimuler son visage. Attaquer les institutions, les forces de l’ordre, ce n’est pas admissible. Le parquet est déterminé à poursuivre tous ceux qui voudraient semer la terreur et la violence et qui estiment que la loi républicaine ne s’applique pas à leur quartier », déclare Estelle Cros, en réclamant une peine de six mois de prison, dont trois avec sursis, avec mandat de dépôt à l’audience.
    Me Emmanuel Decombard, l’avocat de Kalid, s’insurge : « C’est un quasi primodélinquant et vous voulez l’envoyer en prison, lui faire porter le chapeau pour les vrais émeutiers, ceux qui ont tiré sur les policiers à balles réelles et qui sont tranquillement chez eux. Kalid a 19 ans, il est bien inséré. Il ne faut pas que sa vie s’arrête », lance-t-il au tribunal. Le jeune homme s’excuse une dernière fois : « Je ne pensais pas que ça irait si loin », lâche-t-il en pleurant encore. Condamné à trois mois de prison ferme, Kalid part directement en prison.
    Son père, Samir, est lui aussi en larmes : « Je suis vraiment en colère. Trois mois de prison pour avoir jeté deux cailloux… Ils ont voulu faire un exemple avec mon fils. Mais c’est un gamin. Il ne méritait pas ça. Il a dû vouloir frimer devant ses copains. Il n’a rien à faire en prison. C’est injuste. Maintenant, il est détruit. » Un père qui affirme « condamner toutes les violences qui ont eu lieu dans le quartier de la Villeneuve ».
    Le Parisien - 24/07/10
  • Demain la guerre civile!

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    Par Roger Holeindre, président du CNC et premier vice-président du FN

    Dès le début de cet article, je tiens à faire remarquer à mes lecteurs qu’en ce qui concerne le titre, je n’ai pas mis un point d’interrogation.

    J’ai toujours prié pour que notre pays ne connaisse pas de troubles internes graves… Aujourd’hui, je pense que les crétins sans foi qui nous gouvernent, ou qui essaient de nous gouverner, nous emmènent vers un désastre sanglant !

    Tout a été fait ces dernières décennies pour que les forces de l’ordre aient… petit à petit… les mains liées. Les voyous ont toujours raison et la police, quoi qu’elle dise, quoi qu’elle fasse… TOUJOURS TORT !

    Un état d’esprit nauséeux a été mis en place et les « anars » de tous les médias s’en donnent à cœur joie. Il est vrai que M. Sarkozy a généreusement distribué des bâtons pour se faire battre. Avec ses airs de petit loubard de banlieue, ses éternelles promesses… la main sur le cœur… n’ont pas, non plus, arrangé les choses.

    Mais cet homme est le Président de notre République et la façon dont il est caricaturé, ridiculisé, chaque jour par l’ensemble des médias, fait qu’il a perdu toute crédibilité.

    Le marxisme est mort… un beau jour… derrière feu le mur de Berlin… qui est vendu aujourd’hui en morceaux dans les échoppes… mais la vérole marxiste, elle, se porte bien, puisqu’une grande partie de nos journalistes en reste imprégnée, comme par une sorte de pandémie mentale à gonocoques rouges… dont on ne guérit jamais.

    Les peuples du monde dit libre avaient réussi à ne plus croire « aux lendemains qui devaient chanter ». Ils avaient compris que Karl Marx, Mao, Staline et compagnie, n’étaient que des criminels, des charlatans sanglants !

    Il faudra expliquer à nos descendants pourquoi les adeptes du « libéralisme libéral » d’aujourd’hui, auront réussi à faire encore plus de mal aux populations de la planète

    Certes, sans avoir recours aux assassinats programmés et généralisés qui laissaient des traces, mais par des mensonges éhontés, une dictature « douce », une falsification de l’histoire et un bourrage de crâne, auprès duquel celui du sieur Goebbels peut passer aujourd’hui pour un travail d’amateur.

    Ce dernier 14 juillet a été l’objet de plusieurs opérations malveillantes envers la France et ce, encore, de la part de scribouillards dont une grande majorité est politiquement nulle, pour ne pas dire composée d’ignares malfaisants et sans patrie.

    Je ne sais sur proposition de qui la France de M. Sarkozy a décidé d’inviter à Paris les chefs d’État de ces ex-colonies qui, voici cinquante ans, accédèrent à l’indépendance ? Mais ce que je sais, c’est que ces chefs d’État étaient donc nos hôtes officiels, et que la moindre des choses était de ne les considérer que comme tels ! Pourtant, aussitôt, la quasi-totalité de notre presse et de nos médias entra en transe… Tous les marxistes aux mains rouges de sang, tous les justiciers de banlieue, les guillotineurs du dimanche, les droits-de-l’hommiste, se déchaînèrent sans aucune retenue, avec d’autant plus d’aisance qu’ils savaient ne rien risquer.

    À entendre tous ces Fouquier-Tinville au petit pied… ces dirigeants venus d’Afrique n’étaient pas démocrates ! L’étaient-ils donc hier, quand ils étaient marxistes où socialos scientifiques ? Quand, grâce à Moscou, une grande partie de ces États avaient basculé dans la terreur et, copiant la maison mère… installaient des goulags locaux, dont les leaders ne régnaient que par le meurtre organisé et les tueries de masse… s’en prenant partout aux ethnies minoritaires que la France avait sauvegardées.

    Le peuple français est-il donc devenu tellement « abruti » qu’il ignore que ce sont les mêmes, ou leurs pères, qui, hier, poussaient à l’indépendance immédiate… même pour les territoires les moins avancés où la France aurait dû, ne serait-ce que par charité humaine, rester quelques décennies de plus.

    Une grande partie de ces colonies ne voulaient pas de l’indépendance immédiate. Aimé Césaire, lui-même, l’a dit et écrit vingt fois !

    Quant aux Français connaissant et aimant l’Afrique (il y en eu beaucoup), ils sonnaient le tocsin pour alerter les populations métropolitaines abusées par des marchands de vent… Attention… à notre départ, c’est le tribalisme qui règnera sans partage ! Ce fut le cas presque partout ! Dans le même temps où ils insultaient nos hôtes, les « anticolonialistes de salon » trouvaient nécessaire d’en remettre une couche sur la France… ses forfaits… ses crimes… mélangeant allègrement, une fois encore, esclavage et colonisation, alors que le premier fut stoppé net… par la seconde !

    De nouveau, la légende des tirailleurs… chair à canon, fit la une de certains journaux et permit aux « petits marquis » de la télévision de traîner une fois encore leur pays, dont ils se foutent… dans la boue.

    Tout le rituel antifrançais était bon en ce jour de fête nationale… « Nous les avons exploités »… « Nous les avons pillés »… Dans quel marbre faudra-t-il donc graver la vérité, à savoir… qu’à notre départ, la forêt était intacte… la faune aussi… Il restait 1.800.000 éléphants… Quant au pétrole, nous ne l’avions nulle part exploité… sauf en Algérie, ce qui nous valut les problèmes que l’on connaît.

    Faut-il constamment, à titre d’exemple, rappeler qu’à notre départ la forêt recouvrait encore la quasi-totalité de Madagascar, et que l’île exportait de la viande de zébu dans le monde entier ?

    Et que dire de cet acharnement à vouloir supprimer nos liens avec ces États. À entendre ces « raisonneurs »… Il faut mettre fin à la France-Afrique ! Ces gens qui savent tout (c’est ce qu’ils prétendent), ignorent que ce qu’il y avait à reprocher à cette coopération entre nos anciennes colonies et Paris, c’étaient les trafics en tout genre, initiés par les réseaux gaullistes, mais qui perdurèrent ensuite avec autant d’assiduité… Ces magouilles d’ailleurs ne coûtaient rien à ces États, puisque… avant que des mallettes de billets quittent ces capitales africaines « indépendantes », il fallait déjà que Paris ait envoyé les fonds sous forme de prêts ; ce n’est que la ristourne qui revenait dans les caisses des partis.

    Ce sont les concussionnaires… qu’il fallait mettre en prison… mais il fallait aussi protéger les intérêts de la France et, par ricochet, ceux des nouveaux États, en préservant notre pré carré nécessaire pour nos grandes industries… et nos PME… au travers de contacts humains souhaitables, facilités par une langue commune et un passé commun qui ne fut pas ce que raconte les affabulateurs.

    Les plus abrutis de nos concitoyens se laissent même aller à dire… « D’ailleurs, ils ont la Chine ! » Voilà une bonne nouvelle ! En 1945, quand les Chinois occupaient le Tonkin, Ho Chi Minh qui souhaitait leur départ déclara dans un discours célèbre, à l’adresse de ses partisans… « Croyez-moi, il vaut mieux sentir la crotte des Français pendant quelques temps… que de manger la merde des Chinois pour l’éternité… »

    Que font donc les Chinois en Afrique ? Ils commencent par se désintéresser totalement des droits de l’homme… Ils soutiennent tous les régimes, fussent-ils totalement corrompus… et ils achètent tout… métaux précieux, pétrole, bois tropicaux… quitte à raser des forêts entières… le cobalt, l’uranium…

    Ils accaparent tous les chantiers d’infrastructure, voies ferrées, ponts, routes, immeubles… Leurs prix sont imbattables par le fait qu’ils imposent leur propre main-d’œuvre, payée à la chinoise et logée de même. De plus, ne reculant devant rien, en plus de mépriser les « locaux », dans leur sillage arrivent des commerçants pour qui tout est bon… y compris les petites échoppes tenues jusqu’alors par des ressortissants du pays.

    Aux dernières nouvelles, ils implantent même leurs prostituées, au grand dam des « filles de joie locales » dont elles cassent les tarifs. Sans oublier le trafic d’ivoire et de cornes de rhinocéros, vendues chez eux comme aphrodisiaque !

    Il est sûr et certain que les peuples d’Afrique n’accepteront pas cette mainmise encore longtemps !

    Déjà, des contremaîtres chinois, tenus par des plannings très serrés et des objectifs drastiques, très précis… en temps et en argent… s’énervent… et en sont arrivés à frapper des adjoints locaux… ce qui ne « s’arrange » que grâce à des versements… sonnants et trébuchants !

    Pendant ce temps, chez nous, feignant d’ignorer tout ce qui les dérange… décrivant le monde tel qu’ils le voient avec leurs lunettes déformantes… nos intellectuels de gauche, et la racaille antifrançaise, ayant annihilé tout sentiment national ; s’alignent sur la « pétroleuse verte », Dominique Voynet, qui déclarait récemment, « Tout cela est à mettre à la poubelle ! » Elle avait bien raison, puisqu’au moment de l’enquête sur la nationalité, un ministre de M. Sarkozy s’est rendu en banlieue pour expliquer à une soixantaine de dirigeants d’associations… que la France… ce n’était… ni un pays… ni une langue… ni une race… en fait, ce n’était rien !

    Si l’on fait correctement un état des lieux, on s’aperçoit que ces nihilistes vont finir par avoir raison, car la double nationalité, le fait que beaucoup de ces jeunes aillent faire leur service militaire outre Méditerranée, voire en Israël… tout cela ne peut que renforcer le communautarisme qui est un poison mortel pour nos nations d’origine chrétienne.

    Le dénigrement systématique de nos valeurs qui ont fait la France, la complaisance sordide, allouée jour et nuit dans tous nos médias à ceux qui prônent une politique antinationale, donnent les résultats que nous pouvons constater chaque jour dans nos banlieues.

    À cela s’ajoute bien sûr, tous les racontars sur la guerre d’Algérie, et que, malgré le fait que nous ayons gagné cette guerre, des « spécialistes de l’on ne sait quoi », racontent aux lascars inassimilables de nos banlieues, que l’armée française n’était composée que d’un ramassis d’assassins qui ne pensaient qu’à violer leurs grand-mères, avant d’être écrasée par les héros du FLN !

    L’islamisation actuelle de notre pays, même avec l’immigration-invasion mise en place par nos dirigeants, n’aurait jamais été possible…

    • Si la nation s’était tenue debout.
    • Si nous nous étions fait respecter ;
    • Si nous n’avions jamais permis que notre Pape fut roulé dans la fange…
    • Si nos évêques avaient fait respecter la « Fille aînée de l’Église » et n’avaient pas confondu les slogans syndicaux avec les Évangiles…

    Quoi qu’il se passe dans les banlieues, et il s’y passe des choses de plus en plus graves, les micros et les caméras arrivent aussitôt et propagent les déclarations des voyous, des loubards et trafiquants qui devraient être en prison.

    Seuls les journalistes d’aujourd’hui ignorent quelles étaient les consignes données aux tueurs du FLN par leurs avocats français….

    Premièrement, niez ! Niez tout ! y compris l’invraisemblable !

    Deuxièmement, déclarez jusqu’à plus soif que vous avez été torturés !

    Voilà, c’est cela la guerre psychologique à laquelle le général De Gaulle ne croyait soi-disant pas, quand il fallait l’appliquer au FLN.

    Lui-même et ses successeurs, tous ses successeurs, de droite comme de gauche, ont trouvé préférable de l’appliquer aux Français… en faisant taire les … « Desouche »… en changeant la population par l’immigration de substitution.

    Le résultat est que, abasourdis, les Français qui aiment encore leur pays, qui ne veulent pas le voir disparaître… se taisent, muselés par des lois liberticides, un peu étonnés quand même en apprenant que des soirées « pinard-cochon » sont interdites… et que des individus se glorifient en placardant des photos où l’on voit des « ordures » se torcher l’arrière-train avec notre drapeau national !

    Qui peut nier aujourd’hui, quelle loi nouvelle pourrait nous interdire de dire… que la préférence nationale voulue par une majorité de Français, est devenue une préférence étrangère… à tel point que devant la rigueur annoncée, peut-être nécessaire, les réfractaires auraient moult raisons plus ou moins valables de se plaindre… mais n’attaquent jamais les sorties d’argent du peuple au profit exclusif d’étrangers (logements en hôtels, polygamie, etc, etc…)

    Au temps de la guerre d’Indochine, le général Giap, chef de l’armée viêt, disait, après des combats perdus face aux soldats français, qui jamais ne perdirent l’espoir… « Quand j’avais des doutes sur l’issue de nos combats… je lisais la presse parisienne… j’étais rassuré »

    C’est exactement le même raisonnement que faisaient les dirigeants du FLN battus durant la bataille d’Alger… battus dans les djebels… écrasés par le courage de nos troupes, qu’elles fussent composées d’engagés ou d’appelés du contingent qui, n’en déplaise à la FNACA, ont, dans leur écrasante majorité, fait leur devoir de citoyens français, sans oublier nos soldats musulmans abandonnés aux couteaux des égorgeurs.

    Que le Dieu des soldats les garde en son paradis… et que, par compassion, Il se penche sur notre patrie, la France… qui ne veut pas mourir… et qui ne mourra pas : Car, ceux qui pensent (quels qu’ils soient) qu’ils peuvent disposer de notre patrie à leur guise… se trompent ! S’il le faut, nous nous battrons ! Et nous aurons à nos côtés beaucoup de Français venus d’ailleurs, qui ne pensent pas… eux… que la France leur doit tout… mais qui savent qu’être Français, cela correspond à des droits… certes… mais aussi à des DEVOIRS !

    NPI - 24/07/10

  • Bettencourt- Perquisitions à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière - La milliardaire entendue "la semaine prochaine"

    Les locaux de l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, siège de trois associations qui figureraient dans le testament de Liliane Bettencourt, ont été perquisitionnés vendredi, a-t-on appris auprès du parquet de Nanterre, confirmant une information du Parisien.

    Liliane Bettencourt sera quant à elle entendue "la semaine prochaine" par les policiers, probablement à son domicile de Neuilly (Hauts-de-Seine) dans le cadre des enquêtes ouvertes à Nanterre, a-t-on appris samedi auprès de son entourage, confirmant une information du site de -Match.

     


    "Mme Bettencourt rentrera d'Espagne en début de semaine et sera entendue par les policiers de la Brigade financière, probablement à son domicile", a précisé à l'AFP l'entourage de la milliardaire.

    Les trois associations de recherche médicale, perquisitionnées vendredi par la brigade financière, seraient bénéficiaires testamentaires de l'île d'Arros, aux Seychelles, au même titre que l'artiste François-Marie Banier, affirme le Parisien dans son édition de samedi, comme l'avait déjà révélé Le Monde.
    Les associations Orvacs, Solthis et le Crepats ont été fondées par Gilles Brücker et Christine Katlama, un couple de médecins très réputés dans le domaine de la publique et de la recherche contre le sida.

     

    Dans Le Monde du jeudi 22 juillet, M. Brücker avait affirmé avoir découvert avec stupeur trois jours plus tôt dans ce même quotidien que ses associations étaient bénéficiaires testamentaires de l'île d'Arros et n'avoir jamais eu aucune discussion à ce sujet avec Mme Bettencourt, bien qu'il se soit rendu en famille sur l'île à deux reprises, en 2000 et 2006.

    Estimée à 500 millions d'euros, la propriété de cette île des Seychelles ne serait toutefois pas précisément établie par les enquêteurs.


    M. Brücker, ami d'enfance de François-Marie Banier, a en revanche confirmé que Liliane Bettencourt l'avait nommé en 2003 comme son exécuteur testamentaire, mais avoir appris seulement en 2009 que cette fonction serait assortie d'une dotation d'un million d'euros.


    Au coeur de la tempête politico-judiciaire, Mme Bettencourt est actuellement en villégiature à Formentor (Espagne). Elle a accueilli vendredi avec "soulagement" le rejet par le procureur de Nanterre, Philippe Courroye, d'une nouvelle demande de mise sous tutelle déposée par sa fille, Françoise Meyers-Bettencourt.


    L'entourage de Mme Bettencourt avait précisé vendredi que son patrimoine s'élevait au 1er mars à environ 15,63 milliards, dont 92% sont destinés à sa fille et ses deux petits-enfants.

    AFP - 24/07/10

     

     








     

     

  • Nouvelles révélations: l'agenda qui accuse Woerth et Maistre

    Mariane Trésorier - fac similé.jpg
    Le fameux rendez-vous du 19 janvier 2007: "Patrice et trésorier" (surligné en jaune)
    (Cliquez sur l'image pour l'agrandir et la voir en totalité)
     
     
     
    Dans son édition de ce samedi 24 juillet, Marianne publie un fac-similé de l’agenda 2007 de Claire Thibout, l’ex-comptable de Liliane Bettencourt. Première surprise : à la date du 18 janvier 2007, 13h30, elle a inscrit : « Patrice de Maistre, RV Mme Bettencourt », suivi d’une flèche indiquant sur la page de droite : « pour donner enveloppe qui donnera à Patrice ». Claire Thibout affirme que, ce jour-là, elle a remis une enveloppe contenant 50.000 euros en liquide.
    Mais deuxième surprise, à laquelle Marianne n’a pas tout de suite prêté attention : à la date du vendredi 19 janvier, 8h30, elle a inscrit : « Patrice et trésorier ».
     Or, dans l’agenda 2007 de Patrice de Maistre, saisi par les policiers de la brigade financière, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt a noté, le même jour à la même heure, un rendez-vous avec Eric Woerth «au café».
     
    1) Cette information prouve, à l’évidence, que depuis le début de cette affaire, Claire Thibout est bien informée lorsqu’elle évoque des remises d’enveloppe à des politiques.

    2) Le rendez-vous « Patrice et trésorier », inscrit dans l’agenda de la comptable, le lendemain de la remise d’enveloppe, ne laisse-t-il pas entendre clairement qu’il s’agissait de remettre à Eric Woerth, en tant que trésorier de l’UMP, les 50.000 euros remis la veille ?

    En tout cas, pour la première fois, les enquêteurs tiennent une piste tangible. Le 21 décembre 2006, Liliane Bettencourt demande 500.000 euros en espèces à la banque Dexia (lire Marianne n°692). Refus circonstancié de la banque qui lui accorde finalement 100.000 euros contre un chèque libellé à son ordre. Le 18 janvier 2007, trois mois à peine avant le 1er tour de l’élection présidentielle, Claire Thibout remet une partie de cette somme, 50.000 euros, à Liliane Bettencourt au cours d’un rendez-vous qui apparaît à la fois dans l’agenda de la milliardaire et dans celui de la comptable. L’héritière de L’Oréal remet alors l’enveloppe à Patrice de Maistre. Puis, le lendemain, le même de Maistre rencontre Eric Woerth au « café », au cours d’un rendez-vous qui, cette fois, est inscrit dans l’agenda de Maistre et dans celui de la comptable.

    Quelle explication Eric Woerth et Patrice de Maistre vont-ils cette fois avancer pour se justifier ? De Maistre pourra éventuellement arguer qu’il n’a fait que boire un « café » avec son « ami » Eric Woerth. Mais ce dernier est désigné es qualité de « trésorier » par Claire Thibout dans son agenda : trésorier de l'UMP et, donc, de la campagne du candidat Nicolas Sarkozy. L’audition de l’ex-ministre du Budget, qui doit intervenir d’un jour à l’autre, s’annonce décidément passionnante.
    Marianne - 24/07/10

  • Manoeuvres: Pyongyang menace d'une "puissante dissuasion nucléaire"

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    Le porte-avions USS George Washington, à quai, le 21 juillet 2010, dans le port de Busan en Corée du sud - (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    SEOUL - La Corée du Nord a menacé de recourir à une "puissante dissuasion nucléaire" face aux maneuvres militaires prévues à partir de dimanche entre les Etats-Unis et la Corée du Sud, ont annoncé les médias officiels.

    La Corée du Nord est prête à une "guerre sacrée de représailles", a déclaré dans la nuit de vendredi à samedi l'agence officielle nord-coréenne KCNA, citant la Commission de la défense nationale nord-coréenne.

    "Toutes ces manoeuvres guerrières ne sont rien d'autre que de pures provocations destinées à étouffer quasiment la République populaire démocratique de Corée par la force des armes", a ajouté KCNA.

    "L'armée et le peuple de la RPDC vont s'opposer d'une manière légitime avec leur puissante dissuasion nucléaire aux exercices de guerre nucléaire les plus importants jamais organisés par les Etats-Unis et les forces de la marionnette sud-coréenne", affirme l'agence officielle.

    (©AFP / 23 juillet 2010 23h56)

    Romandie News

  • Les 44 communes sinistrées du Var sont-elles oubliées par l'Etat?

    DRAGUIGNAN — Les maires des 44 communes sinistrées par les inondations de juin dans le Var, qui ont causé plus d'un milliard d'euros de dégâts, ont réclamé vendredi des moyens et une simplification des procédures administratives, alors que tous les travaux de remise en état sont loin d'être réalisés.

    "Donnez-nous des sous, mettons en place un plan Marshall," a dit le maire du Cannet-des-Maures Jean-Luc Longour lors d'une réunion au Conseil général à Draguignan.

    Le préfet Hugues Parant a déclaré être intervenu pour "qu'un décret d'avance puisse être signé le plus rapidement pour permettre l'engagement des travaux" et avoir demandé que soit accélérée "la mission d'évaluation" diligentée par l'Etat.

    A ce stade 1/3 des fonds de premiers secours ont été attribués sur les 3 millions débloqués par l'Etat, selon le préfet, qui a précisé que le reste sera utilisé pour des opérations sanitaires et de sécurité.

    "A Paris il y a quelqu'un qui tient la caisse. La confiance est totale, mais un peu de vérification ne nuit pas," a-t-il dit, ajoutant que les travaux devaient être exécutés conformément aux avis des experts.

    Reconstruction de ponts, réfection de canalisations figurent parmi la longue liste de travaux en attente.

    Le Conseil général doit faire face à plus de 60 millions d'euros de travaux sur les routes, 8 millions pour les travaux d'eau et assainissement, 2,6 millions pour les bâtiments et les 12 collèges touchés. Un fond de 30 millions d'euros a été créé en faveur des communes sinistrées, a ajouté le président UMP Horace Lanfranchi.

    Les inondations, consécutives à des pluies torrentielles, avaient fait 23 morts et deux disparus les 15 et 16 juin.

    Un mois et demi après, il reste 283 familles (693 personnes) à reloger dont 193 à titre définitif, essentiellement à Draguignan et Fréjus.

    Sur le plan économique, au 23 juillet, 334 autorisations de chômage partiel pour 1.752 salariés avaient été enregistrées.

    AFP. 23/07/10

  • Outrager le drapeau français pourra coûter 1500 euros - Et le brûler, combien?

    Drapeau français ciel.jpg

    Outrager le drapeau est désormais passible d'une amende de 1 500 euros. Le décret du ministère de la instaurant l'incrimination d'outrage du drapeau tricolore a paru vendredi au journal officiel.

    La Garde de Sceaux, Michèle Alliot-Marie, travaillait depuis avril à un ajout réglementaire permettant de punir l'outrage aux couleurs nationales après la polémique suscitée par une photographie, primée lors d'un concours à Nice, dans la catégorie «politiquement incorrect», montrant un homme s'essuyant le postérieur avec le drapeau français.

    Une photo un temps exposée à la Fnac de Nice qui a depuis engagé deux procédures de licenciements envers la directrice de la communication du magasin et un cadre de l'action culturelle.

     

    Le décret institue une amende prévue pour les contraventions de 5e classe, soit 1 500 euros, qui sanctionnera le fait, «lorsqu'il est commis dans des conditions de nature à troubler l'ordre public et dans l'intention d'outrager le drapeau tricolore», de «détruire, détériorer ou utiliser de manière dégradante» le drapeau «dans un lieu public ou ouvert au public».

    Le texte précise qu'est également puni, «pour l'auteur de tels faits, même commis dans un lieu privé, le fait de diffuser ou faire diffuser l'enregistrement d'images relatives» à ces faits.

    Le Parisien - 23/07/10

     

  • Languedoc-Roussillon: la seule opposition, c'est le Front National

    Communiqué de France Jamet, président du groupe Front National au Conseil régional Languedoc-Roussillon

    La séance plénière du vendredi 23 juillet 2010 qui vient de s’achever a montré à quel point la seule opposition à la majorité de gauche dirigée par Georges Frêche, se composait uniquement des 10 élus du Front National.

    Sur la plupart des dossiers essentiels, que cela soit sur l’attribution de logements sociaux, sur la question de la préservation de la viticulture, sur le clientélisme frêchiste ou encore sur la sauvegarde mémorielle de l’Algérie française, seuls les défenseurs des Français d’abord derrière France Jamet ont su faire front ; l’UMP-Nouveau Centre se contentant de faire acte de présence.

    A quelques occasions, lors de cette plénière, les propositions et argumentations du Front National ont mis le président Frêche sur la défensive, ce dernier allant même jusqu’à donner raison aux élus patriotes sur la question de la gestion catastrophique du port de Sète.

    Désormais, seuls les élus du Front National incarnent en Languedoc-Roussillon la seule alternative crédible à la majorité socialo-communiste dirigée par l’autocratique président de région, pour la défense des languedociens et roussillonnais d’abord.

    NPI - 23/07/10

  • VIDEO La naissance d'un bébé blanc surprend ses parents noirs - Un canular?

    VIDEO  http://www.youtube.com/watch?v=3uvUZbUwOiA 

     

    Les cheveux blonds et les yeux bleus, la petite Nmachi a provoqué la stupeur de ses parents originaires d'Afrique noire, qui n'ont pas d'ancêtres blancs dans leur famille. Un phénomène génétique pour l'instant inexpliqué.

    Les lois de la génétique sont parfois indéchiffrables. Un couple de Britanniques d'origine nigériane, tous deux noirs de peau, a donné naissance à une petite fille blanche, aux cheveux blonds et aux yeux bleus dans un hôpital de Londres, révèle le journal britannique The Sun. Une surprise d'autant plus grande que ces parents ont déjà eu ensemble deux enfants à la peau très foncée et qu'ils n'ont pas connaissance d'ancêtres blancs dans leur famille respective.

    La stupeur passée, le mari s'est tout d'abord interrogé sur la fidélité de sa femme. «S'agit-il bien de mon enfant ?», s'est demandé Ben Ihegboro. Des doutes rapidement dissipés par les médecins de l'hôpital qui lui ont affirmé que la petite fille n'était ni albinos, ni métissée. «Ma femme est sincère avec moi. Et même si elle m'avait trompé, le bébé n'aurait pas la peau aussi blanche et les cheveux aussi blonds», a conclu le père du nouveau né. Sa femme, Angela, a quant à elle qualifié la naissance de sa fille de «miraculeuse». «Elle est magnifique», s'est-elle réjouie, tandis que son mari a assuré que l'essentiel est que leur fille «soit en bonne santé».

     

    «Un phénomène extraordinaire»

     

    Alors que le couple a baptisé l'enfant Nmachi, qui signifie «Beauté de Dieu» dans leur langue maternelle, les généticiens ne parviennent pour l'instant pas à expliquer sa couleur de peau. «C'est un phénomène extraordinaire», a expliqué au Sun le professeur Bryan Sykes, chef de génétique humaine à l'université d'Oxford. «Dans les populations métissées, il arrive que la variante de teinte de peau plus claire ressurgisse sur un enfant. Et elle peut parfois être étonnamment différente de la couleur de peau des parents, poursuit le spécialiste. Cela peut notamment survenir au sein des populations où les mélanges génétiques sont nombreux, comme les afro-caribéens. Mais au Nigeria, il y a peu de mélange». «Les règles de la génétique sont complexes. Nous ne savons d'ailleurs toujours pas ce qui se passe dans de nombreux cas», conclut le généticien, évoquant une probable mutation génétique d'origine inconnue pour la petite Nmachi.

    Le Figaro - 22/07/10

  • Une Congolaise transportait 20.000 euros dans son vagin

    Une Congolaise de 19 ans a été condamnée vendredi à 45 jours de prison ferme après avoir été interpellée à l'aéroport d'Oslo avec 20.000 euros en grosses coupures dissimulées dans le vagin, a-t-on appris auprès de la police norvégienne.

    La jeune femme, dont l'identité n'a pas été fournie, a été condamnée pour "complicité involontaire" dans ce que les policiers norvégiens estiment être un trafic de devises.

    "Elle a été repérée par les douaniers de Gardermoen (l'aéroport international d'Oslo, ndlr) qui lui ont demandé si elle transportait des devises", a expliqué à l'AFP Marianne Klausen, une responsable de la police locale.

    "Au départ, elle n'a montré que 325 euros mais elle a fini par avouer qu'elle transportait 20.000 euros" dans le vagin, a-t-elle ajouté.

    Originaire de la République démocratique du Congo, la jeune femme, qui devait prendre un vol pour Amsterdam, a indiqué à la police qu'elle avait accepté de transporter l'argent à la demande d'un homme rencontré sur Facebook.

    La somme saisie se décomposait en deux "paquets" contenant chacun 20 billets de 500 euros, a précisé Marianne Klausen.

    Selon le journal local Romerikes Blad, un Nigérian résidant aux Pays-Bas avait déjà été interpellé en mai avec 20.000 euros cachés dans le rectum.

    Le Point - 23/07/10

  • Mme Bettencourt voulait 500.000 euros en liquide

    Sur l'agenda de l'ex-comptable de l'héritière de L'Oréal, dont Marianne publie des extraits samedi 24 juillet, il est question de rendez-vous, d'enveloppe, et de sommes à six chiffres...

    Cinq cent mille euros. Tel est le montant du retrait en liquide qu’aurait dû effectuer Claire Thibout pour le compte de sa patronne Liliane Bettencourt. C’est ce qui ressort de l’enquête que publie Marianne ce samedi 24 juillet. La semaine dernière, notre hebdomadaire révélait, fac simili du chèque à l’appui, un retrait de 100 000 euros effectué par la comptable de la femme la plus riche de France fin 2006, en pleine campagne présidentielle. Ce montant n’était donc qu’un zakouski, au regard de ce qu’escomptait obtenir Liliane Bettencourt, et que la banque Dexia aurait refusé d’honorer : « devant l’énormité d’un tel retrait, et craignant sans doute d’avoir à se justifier devant Tracfin, l’organisme chargé de la lutte contre les mouvements illicites de capitaux, les responsables de la banque ont refusé de lui accorder une telle somme. »

    Quelle était dès lors la destination finale de ces fonds ? Là encore, il faut chercher du coté de Claire Thibout. L’ex-comptable de Liliane Bettencourt avait évoqué dans un entretien accordé à notre confrère Mediapart, un financement politique. Ses déclarations, qu’elle n’a que partiellement renouvelées devant les policiers venus promptement la questionner, faisaient ressortir le versement de 150 000  euros à Eric Woerth en vue du financement de la campagne de Nicolas Sarkozy. Le ministre du Travail a évidemment qualifié de calomnieuses les déclarations de la comptable.

    Les documents que Marianne publie cette semaine, le fac simili de l’agenda de Claire Thibou, font état d’un rendez-vous avec Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt « pour donner enveloppe qui donnera à Patrice ». Ce rendez-vous serait suivi d’un autre « au café » entre celui-ci et Eric Woerth, comme l’indique cette fois les agendas de Patrice de Maistre saisis par la police.  Encore un « amalgame », dira sans doute l'infortuné - façon de parler - ministre...

    Marianne - 23/07/10 

  • Fadela Amara: "certaines pratiques de la police doivent changer"

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    Le 21 juillet, sortant de Matignon - (Cliquez sur la photo)
     Fadela Amara, la secrétaire d'Etat chargée de la Politique de la Ville, a estimé jeudi que certaines "pratiques" de la police devaient "changer", tout en soutenant "fermement" la politique de sécurité du gouvernement, confronté à des violences urbaines.

    "On le sait, il y a des fois, de temps en temps, des contrôles d'identité qui peuvent paraître pour (certains jeunes) comme étant abusifs, quand on les tutoie" par exemple, a-t-elle déclaré lors d'un déplacement dans un quartier en pleine rénovation de Hem, près de Lille (Nord), consacré aux commerces de proximité.

    "Il faut changer ces pratiques", a estimé Mme Amara tout en soulignant que "la majorité de la police qui intervient dans les quartiers est une vraie police républicaine et respectueuse des citoyens".

    L'ancienne présidente de l'association Ni Putes Ni Soumises a également tenu à soutenir la politique du gouvernement au moment où le président Nicolas Sarkozy hausse le ton sur le thème de la sécurité, suite aux violences urbaines qui ont récemment secoué des quartiers de Grenoble et du Loir-et-Cher.

    "Je soutiens fermement la politique du (ministre de l'Intérieur) Brice Hortefeux" et "totalement la police républicaine", a-t-elle martelé. "Je n'accepte pas et je ne tolère pas l'insécurité dans les quartiers, parce qu'elle touche en premier lieu les habitants".

    AFP. 22/07/10

  • Blocs de béton lancés sur l'A4: 24 véhicules touchés, pas de victime

    A4 blocs de béton.jpg

    Le pire a été miraculeusement évité ce jeudi matin sur l'autoroute A4 à hauteur de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis). Des blocs de béton ont été jetés par un individu posté sur le pont enjambant les voies de circulation, provoquant d'importants dégâts sur une vingtaine de véhicules qui arrivaient à ce moment-là, dont deux poids lourds.

     Ces blocs de sécurité, d'un mètre de long et de 30 cm de haut, ont été descellés de la route.

     

    Au , trois véhicules ont été percutés par les morceaux de béton, tandis que 21 autres ont heurté les débris épars sur l'autoroute, sans qu'aucune victime ne soit à déplorer, a précisé le procureur adjoint de la République en Seine-Saint-Denis, Philibert Demory. Ce geste criminel s'est produit peu avant 5 heures et les deux voies de droite ont été neutralisées jusqu'à environ 7h30.

    Très vite, l'hypothèse d'un acte de malveillance s'est confirmée. Deux automobilistes ont aperçu sur le pont un inconnu lançant ce qu'ils ont pris pour des parpaings. Ils sont intervenus mais l'homme a réussi à disparaître dans un bois proche.

    «Ma voiture est morte»

    Les témoignages de nos internautes, confirment ces explications : «C'est un individu qui a lancé les parpaings sur les voitures en visant volontairement le conducteur, je le sais, j'étais le premier ! Ma voiture est morte. Cela a commencé à 4h50. Ce n'est absolument pas un camion qui a perdu sa cargaison», témoigne Adajo.

    «Je peux confirmer que c'est un acte malveillant. Puisque, j'ai évité un gros parpaing ce matin vers 4h45 sur la A4 et c'était bien une personne qui les jetaient du haut du pont», indique aussi Sydna.

    Une a été ouverte par les policiers pour tenter de retrouver l'individu qui serait à l'origine de ces actes malveillants. 

    Le Parisien - 22/07/10

  • L'indépendance du Kosovo confortée par la Cour Internationale de Justice

    Les États-Unis ont été très prompts à saluer l'annonce de l'organe judicaire des Nations unies, qui est un sérieux revers diplomatique pour la Serbie. 

    En déclarant unilatéralement son indépendance il y a deux ans et demi, l'ancienne province serbe à majorité albanaise du Kosovo «n'a violé aucune règle applicable du droit international». Voilà, c'est dit. Et par la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute instance juridique des Nations unies. Son président, Hisashi Owada, a précisé, hier après-midi, que «la Cour a conclu que l'adoption de la déclaration d'indépendance du 17 février 2008 n'a violé ni le droit international général, ni la résolution 1244 du Conseil de sécurité, ni le cadre constitutionnel».

    L'avis, rendu à La Haye, n'a beau être que consultatif, il est d'une grande portée diplomatique: pour la première fois, en effet, le droit international, exprimé par la CIJ, reconnaît la sécession d'une ancienne province d'un État membre de l'ONU. La Serbie, la partie plaignante dans cette affaire, soutenue principalement par son grand frère slave, la Russie, n'a eu de cesse, ces dernières années, de dénoncer le «défi» lancé par le Kosovo à l'ordre juridique international fondé sur le principe de la souveraineté des États.

    La Russie s'était servie du mauvais exemple que représentait à ses yeux le Kosovo pour justifier l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud, deux provinces de la Géorgie qu'elle aura aidée par les armes à s'émanciper de Tbilissi. Bien que le parallèle soit osé, et qu'Abkhazie et Ossétie du Sud n'aient guère été reconnues que par leur puissance tutélaire, la Russie a agité le chiffon rouge kosovar pour expliquer que, demain, il viendrait à l'idée de telle ou ­telle province, en Europe ou ailleurs, de quitter sa mère patrie.

    La Russie regarde vers plusieurs de ses républiques caucasiennes, à commencer par la Tchétchénie. La Chine pense au Tibet et au Xinjiang. L'Espagne songe au Pays basque et à la Catalogne. Pour des raisons plus ou moins officielles, nombre de pays, dont cinq appartenant à l'Union européenne Espagne, Slovaquie, Roumanie, Grèce et Chypre n'ont pas à ce jour reconnu l'indépendance du Kosovo, en revanche célébrée par 69 des 192 nations représentées à l'ONU, dont les États-Unis et les pays fondateurs de l'Europe.

    Après la décision de la CIJ, la liste des parrains d'un Kosovo indépendant devrait rapidement s'allonger. «Le moment est venu pour l'Europe de s'unir pour un avenir commun», déclarait hier Philip Crowley, le porte-parole du département d'État américain. Washington, qui a mis fin par les bombardements de l'Otan sur la Serbie à la guerre dans l'ex-Yougoslavie, continue de veiller sur le Kosovo. C'est d'ailleurs aux États-Unis que le premier ministre kosovar, Hashim Thaci, qui y a rencontré le vice-président Joe Biden, a souhaité attendre la décision de la CIJ de La Haye…

     

    L'enclave serbe de Mitrovica 

     

    Demeuré à Pristina, le président Sejdiu s'est chargé de qualifier la journée d'hier de «journée bénie pour la République du Kosovo et tous ses citoyens». Un sentiment que ne peuvent partager les quelque 120.000 Serbes qui, dans le nord du pays, vivent reclus à Mitrovica et alentour, face à 2 millions de Kosovars d'origine albanaise. Cette enclave est portée à bout de bras par la Serbie voisine, dont le président, Boris Tadic, a encore réaffirmé hier que son pays ne reconnaîtra «jamais» l'indépendance du Kosovo. «Des jours difficiles sont devant nous, de grands défis», a affirmé le ministre des Affaires étrangères, Vuk Jeremic, sans que l'on puisse déduire de tels propos l'attitude qui sera maintenant celle de la Serbie. Belgrade, qui va être de plus en plus isolée sur la question du Kosovo au sein d'une Union européenne à laquelle elle veut adhérer, va-t-elle s'engager sur la voie du compromis ou chercher à maintenir, contre tous ses voisins, sa position historique?

    Le Figaro - 22/07/10

  • Tags antisémites et croix gammées sur la synagogue de Melun

     

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/une-agression-dans-un-quartier-calme-sans-aucune-tension-entre-communautes-1150724

    coix gammée synagogue.jpg

      MELUN — Des tags antisémites et des croix gammées ont été découverts jeudi matin sur le mur qui entoure la synagogue de Melun (Seine-et-Marne), ainsi que sur un mur du bâtiment, a-t-on appris jeudi de source policière.

    Le mur qui entoure la synagogue Etz Haïm a été recouvert dans la nuit de mercredi à jeudi de "tags antisémites faisant référence au nazisme et à Hitler", ainsi que de "croix gammées", a-t-on précisé de source policière, confirmant une information de RTL.

    Les tags ont été inscrits sur toute la longueur du mur qui fait 70 mètres, et la hauteur des caractères atteint 70 cm, a précisé le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) selon lequel une plainte en justice doit être déposée dans la journée.

    "Un des côtés de la synagogue, donnant directement sur la rue" et qui n'est "pas protégé par le mur de clôture", a également été "recouvert de tags antisémites", a ajouté la source policière.

    Une "enquête judiciaire a été diligentée par le parquet de Melun" et "tous les moyens d'enquête utiles sont mobilisés notamment pour analyser les traces et les indices relevés sur place", a déclaré à l'AFP le procureur de la République de Melun, Bruno Dalles.

    "La lutte contre ce type de phénomène exceptionnel est une priorité pour le parquet étant donné que c'est la première fois que cela arrive à Melun", a poursuivi M. Dalles.

    Si les auteurs sont interpellés, "une réponse pénale rapide et ferme sera décidée", a assuré le procureur de la République.

    Selon le Crif, la synagogue a été construite il y a quarante ans.

    Dès jeudi matin, des employés municipaux s'activaient à "effacer ces tags antisémites et ces croix gammées", selon la source policière.

    L'enquête a été confiée au commissariat de Melun.

    "Le Crif demande que les agresseurs soient interpellés au plus vite et que les peines qui leur seront appliquées soient extrêmement lourdes" car "c'est le seul moyen de montrer aux profanateurs qu'ils ne feront pas loi", a déclaré à l'AFP Marc Kmobel, chercheur au Crif.

    "Il n'y a rien de plus horrible que de toucher à la sacralité", a-t-il ajouté.

    AFP. 22/07/10

  • BRUNO GOLLNISCH - Grenoble: vers la guerre civile? - Les nouveaux barbares

    http://www.gollnisch.com/category/actualites/

     

    Le scandale que révèlent les émeutes de Grenoble ne réside pas dans la mort du braqueur multirécidiviste Karim Boudouda. Il y a des risques dans des métiers honnêtes. Il faut bien qu’il y en ait aussi pour les auteurs d’attaques à main armée.

    Le vrai scandale, c’est que l’intéressé, déjà condamné trois fois en Cour d’Assises pour des faits semblables, n’ait pas été fermement et définitivement expulsé vers son pays d’origine, l’Algérie.

    Combien l’éducation, les soins, l’entretien, les procès de Karim Boudouda ont-ils coûté à la France ? Et, toute honte bue, sa mère porte plainte contre l’Etat français !

    Venant après les émeutes de Villiers-le-Bel, celles de Grenoble révèlent les périls dans lesquels les politiques successives ont placé notre pays : que se passera-t-il quand tous les voyous attaqueront en même temps ceux qui sont censés assurer la sécurité des Français ?

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    Membre de la communauté dite « du voyage », Luigi Duquenet a été  tué par les tirs d’un gendarme dans la nuit de vendredi à samedi  à Thésée (Loir-et-Cher) à l’issue  d’une course-poursuite.  Le « voyageur » en question aurait foncé sur les forces de l’ordre parce qu’il n’avait pas son  « permis » avance ses amis, parce qu’il était impliqué dans un cambriolage qui venait de se produire estime  d’autres sources.  Résultat,  la colère de sa « tribu »  a débouché sur l’attaque en règle par plusieurs dizaines d’individus cagoulés   armés de haches,   de gourdins, de tronçonneuses et  de barres de fer ,    des « locaux du peloton d’autoroute et des cabines de péage à Saint-Romain », a expliqué la préfecture.

    Une simple mise en jambe avant le  saccage de la commune de Saint-Aignan où ils ont  attaqué et détruit des commerces du matériel urbain, incendiés des véhicules et abattus des arbres. Hier   trois voitures ont  été  également  brûlées dans le village d’Onzain, une vitrine a été défoncée à la voiture bélier à Meher et une salle de la mairie de Couddes a été détruite par  un engin incendiaire toujours dans le cadre de cette opération  de  représailles. Cette situation insurrectionnelle a nécessité l’envoi sur place de 300 militaires.

     

    Vendredi à Grenoble cette fois, c’est la mort du braqueur multirécidiviste Karim Boudouda, tué lors d’un échange de tirs avec la police à la suite du braquage  du casino d’Uriage-les-Bains en Isère,  qui a  déchaîné la colère de la communauté dite des « jeunes ». 80 voitures  ont été incendiées des commerces pillées dans le quartier de la Villeneuve , base arrière de  ce voyou.  Surtout, depuis trois jours, les forces de l’ordre  ont été le cible de tirs à balles réelles.

     

     Un tabou est tombé depuis l’embrasement général des quartiers pluriels  de l’automne 2005 et les affrontements de Villiers-le-Bel en  2007 : désormais ceux qui ont la « haine » n’hésitent plus à tirer contre les porteurs d’uniformes, symboles à leurs yeux d’un Etat  français détesté.    Les trois nuits de violences urbaines qu’a connu ce quartier périphérique de Grenoble ont une raison simple rapporte l’Afp :    « les jeunes de la cité appréciaient beaucoup (Karim Boudouda), et  (accusent) la police de bavure ». Lourdement armé lorsqu’il a été abattu par les policiers en état de légitime défense,- Un fusil d’assaut et un fusil mitrailleur ont été retrouvé à ses côtés dans son véhicule-   Boudouda avait déjà été condamné trois fois aux assises pour « vol à main armée ».

     

     

    Nous en avons l’habitude en pareil cas,  le  ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux a promené son visage accablé  et résigné sur les lieux samedi pour annoncer le déploiement à la Villeneuve de   240 hommes supplémentaires, dont des   membres du Raid et du GIPN. Au vu  de l’effort en moyens humains et matériels nécessaire pour rétablir la calme, on  peut une nouvelle fois douter de la capacité de l’Etat à assurer l’ordre républicain et la sécurité des Français dans l’hypothèse d’une multiplication  des émeutes. A fortiori alors que  dans la police comme dans  la gendarmerie,  9000 postes ont été supprimés et qu’autant le seront  d’ici 2012…

     

     Relatant les faits,  Le Monde soulignait que   « c’est après une prière au mort récitée dans la soirée par un imam, écoutée en silence par une cinquantaine de jeunes rassemblés dans un parc du quartier de la Villeneuve, d’où était originaire le braqueur tué, que la situation a dégénéré ».  « La famille du défunt qui a récupéré le corps du braqueur dimanche a lancé un appel au calme à l’occasion de l’inhumation de ce dernier,     selon le rituel musulman, dans un cimetière d’une banlieue de Grenoble », a précisé un  proche   de la victime » à l’Afp. « Nous serons en deuil pendant plusieurs jours a-t-il ajouté  et il est hors de question pour nous qu’il se passe quoi que ce soit dans la cité. On respecte l’âme du défunt ». Propos qui ne sont pas anodins puisque ils sont une manière d’affirmer que le retour au calme (relatif) ne découle pas  de la massive présence policière mais des consignes données, eu égard au  respect de la période de deuil et de  la  religion coranique…

     

     La   mère de la victime,  a elle aussi  lancé un «appel au calme» avant d’ajouter :  «ils ont déconné les flics, ils ont déconné. Je vais voir le procureur et je vais porter plainte. Ca va aller très loin» a-t-elle menacé . Loin jusqu’où ? Car si la douleur de cette mère de famille pleurant un fils est dans l’ordre des choses,  nettement plus  inquiétante  est la collusion qui s’est de nouveau manifestée ici entre les « jeunes » de cette  cité et  ce  voyou qui a trouvé la mort.

    Elle révèle  l’état de ghettoïsation de pans entiers de notre territoire national  qui ont  basculé dans l’économie mafieuse, de l’absence  de repères moraux et éthiques d’une jeunesse, très majoritairement de nationalité française, mais qui refuse  de s’assimiler au modèle national, rejette l’Etat de droit  et  qui vit même dans une détestation foncière  de la France et  des Français.

    Ce n’est pas faute pour le FN, d’avoir inlassablement prévenu la classe politique des conséquences  de sa folle politique d’immigration et de fabrication à la chaîne de français de papier. Vox clamantis in deserto