Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1739

  • VIDEO Dieudonné à propos des élections en Iran contestées par Sarkozy...

    http://www.dailymotion.com/video/x9nyxm_dieudonne-sur-lelection-en-iran-et_news

  • Le Conseil des Gardiens de la constitution écarte toute fraude

    Ahmadinejad le 24 juin à Téhéran.jpg
    Le président Ahmadinejad le 24 juin à Téhéran

    Le pouvoir iranien a affirmé vendredi que la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad avait été la plus "propre" de l'histoire du régime islamique, alors que le G8 a appelé Téhéran à cesser la répression des manifestants qui crient à la fraude.

    Kouchner au G8 de Trieste.jpg
    Kouchner au G8 de Triste le 26 juin 2009
    "Nous pouvons dire avec certitude qu'il n'y a eu aucune fraude", a déclaré Abbasali Kadkhodai, le porte-parole du Conseil des Gardiens de la constitution, l'institution chargée de confirmer la validité des scrutins.

    Le principal rival de M. Ahmadinejad et chef du mouvement de contestation qui a suivi l'élection du 12 juin, Mir Hossein Moussavi, et le candidat réformateur Mehdi Karoubi réclament toujours son annulation pour fraude.

    "La dernière élection a été la plus propre" de toutes les présidentielles en Iran, a dit M. Kadkhodai. "Les examens faits au cours des dix derniers jours montrent qu'en dehors d'irrégularités mineures, il n'y a pas eu d'irrégularités majeures".

    Il avait déjà exclu mardi une remise en cause de la réélection du président ultraconservateur alors que le Conseil s'est donné jusqu'à lundi pour confirmer définitivement le résultat.

     Des manifestations sans précédent en 30 ans de République islamique ont suivi l'annonce de la victoire du président Ahmadinejad avec plus de 63% des suffrages. Mais le pouvoir est ensuite parvenu à réprimer la contestation dans la rue qui a fait au moins 17 morts selon des médias officiels.
    AFP. 26.06.09
  • Le neveu rend hommage à Michael Jackson

    Frédéric Mitterrand.jpg
    Le 25 juin 2009 (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    Le ministre de la Culture et de la Communication Frédéric Mitterrand a rendu hommage vendredi à Michael Jackson, "génie musical et du spectacle" mort dans "une grande solitude" et dont la destinée tragique rejoint celles de Marilyn Monroe, James Dean et Elvis Presley.

    "On a tous un peu de Michael Jackson en nous", a réagi le nouveau ministre de la Culture sur Europe 1, qui a rendu hommage à une "star universelle", un "génie musical et du spectacle" qui était "le mouvement de la jeunesse".

    Michael Jackson, c'était aussi une "aventure personnelle", un destin marqué par la "souffrance" et la "tragédie", a-t-il souligné.

    "Tout le monde est fasciné par ce genre de destin que l'Amérique a créé. Il rejoint Marilyn Monroe, James Dean, Elvis, finissant d'une manière pas très différente de la sienne, dévoré par les médicaments dans une très grande solitude", a estimé M. Mitterrand.

    Selon lui, Michael Jackson était une "contradiction vivante": son rapport "complexe à la négritude" témoignait d'une "grande difficulté à assumer son physique" mais il affichait aussi une "fidélité forte à la race noire".

    Sa vie a été à la fois marquée par une "force extraordinaire, car il était dès l'enfance le meilleur de la famille", et par une "solitude parce qu'il était différent des autres".

    Il a rappelé la "souffrance" de son enfance avec un père qui "traitait les enfants brutalement et une mère qui ne l'a pas bien compris".

    "Elisabeth Taylor était sa mère d'emprunt, elle en parlait comme de son fils, et en même temps elle l'adorait", a raconté le ministre.

    AFP. 26 juin 2009

  • Florence Rey libre après 15 ans de prison

    Florence Rey.jpg
    Florence Rey avait été condamnée le 30 septembre 1998 à 20 ans de réclusion criminelle
    Florence Rey, jeune femme de 19 ans à l'époque, qui, avec son compagnon Audry Maupin, 22 ans, a tiré le 4 octobre 1994 sur des policiers, place de la Nation, à Paris, "a été libérée en mai". C'est ce qu'affirme une porte-parole de l'administration interrégionale des services pénitentiaires à Rennes, confirmant une information de France Info .

    Après avoir passé 15 ans sous les verrous, Florence Rey, aujourd'hui âgée de 34 ans, serait sortie de prison le 2 mai dernier après avoir bénéficié d'une remise de peine. Me Françoise Berrux, avocate des familles des policiers décédés, a appris la libération de Florence Rey par voie de presse, une nouvelle qui, pour elle, n'est pas une surprise. "Cela paraît logique. Cette décision était prévisible, cela fait partie des règles du jeu judiciaire", confie-t-elle au point.fr, souhaitant juste que la jeune femme "bénéficie d'un bon encadrement à l'avenir".

    Sa petite tête butée - une écorchure sur la joue droite et un immense défi dans le regard - a fait la une des médias. Florence Rey n'a eu d'autre visage que ce cliché anthropométrique pris dans les locaux de la brigade criminelle, dans la nuit du 4 au 5 octobre 1994, au terme d'une traversée de Paris qui coûta la vie à cinq personnes. Quelques heures plus tôt, Florence Rey et son amoureux, Audry Maupin, ont fait irruption dans les locaux de la préfourrière de Pantin pour voler, sous la menace de leurs fusils à pompe, deux revolvers Manhurin de calibre 38. La suite est connue. Le taxi pris en otage a provoqué une collision avec une voiture de police, et la fuite des deux jeunes braqueurs a dégénéré en tuerie. Trois policiers et le chauffeur de taxi ont été abattus au cours de deux fusillades successives, l'une place de la Nation, l'autre dans le bois de Vincennes.

    Audry Maupin est mort le lendemain, à l'hôpital, laissant Florence Rey seule devant l'objectif du photographe judiciaire et quatre ans plus tard devant les juges. Le 30 septembre 1998, la cour d'assises de Paris l'a condamnée à 20 ans de réclusion criminelle. 
    Le Point 26 juin 2009

     

  • Elle lui donne un couteau parce qu'il ne descendait pas assez vite du métro...

    Gare du Nord métro.jpg
    Rame de métro à la gare du Nord

    Une femme âgée de 31 ans a été interpellée mercredi soupçonnée d'avoir donné, le 19 juin dernier, un coup de couteau à un voyageur le blessant légèrement parce qu'il ne descendait pas assez vite d'une rame de métro, a-t-on appris vendredi auprès de la préfecture de police.

     

    Le 19 juin vers 20H30 la jeune femme, d'origine haïtienne, qui voyageait avec son compagnon, a porté un coup de couteau de cuisine au thorax d'un homme de 56 ans à la station gare du Nord sur la ligne n°4 du métro car elle lui reprochait d e ne pas descendre assez vite de la rame.

    En exploitant les images de vidéosurveillance les policiers du service régional de la police des transports (SRPT) ont pu identifier et interpeller mercredi la jeune femme bien connue des services de police et qui, le jour de son arrestation, dissimulait un couteau de cuisine dans ses sous vêtements.

    Elle a été placée en garde à vue et devait être déférée vendredi au parquet de Paris. AFP. 26.06.09

    Voilà ce qu'est devenu notre pays...
  • Il propose un référendum sur "l'autonomie" à la Martinique

    Autonomie de la Martinique.jpg
    Au Lamentin, le 25 juin 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    Le président Nicolas Sarközy a proposé vendredi à Fort-de-France l'organisation d'un référendum sur un éventuel statut d'autonomie pour l'île de la Martinique, aujourd'hui département-région régi par l'article 73 de la Constitution, tout en excluant l'indépendance.

    "Je suis venu vous annoncer clairement que j'ai l'intention de consulter les Martiniquais sur l'évolution institutionnelle de leur territoire comme la Constitution m'y autorise", a-t-il déclaré lors d'une cérémonie au cours de laquelle l'aéroport de Fort-de-France a été rebaptisé du nom du poète et homme politique martiniquais Aimé Césaire.

    "Les Martiniquais seront libres de choisir en leur âme et conscience le chemin qu'ils souhaitent emprunter", a ajouté le chef de l'Etat.

    Interrogé par la presse à l'issue de son allocution, Nicolas Sarkozy a confirmé que cette consultation prendrait bien la forme d'un "référendum", un terme juridique réservé à la consultation de l'ensemble du pays.

    Le chef de l'Etat a pris la précaution de bien délimiter le cadre de cette consultation populaire, précisant qu'elle ne concernerait que le "degré d'autonomie" de la Martinique par rapport à l'Etat et ne proposerait en aucun cas l'indépendance de l'île française des Caraïbes.

    "Le débat dont nous parlons n'est pas celui de l'indépendance. Il ne s'agit pas d'organiser, à mes yeux subrepticement, un je ne sais quel "largage" de la République. Le débat qui est ouvert est celui du juste degré d'autonomie, celui de la responsabilité, celui de l'équation unité-singularité", a-t-il dit.

    "La Martinique est française et le restera, d'abord parce qu'elle le veut, et aussi parce que la France le souhaite (...) je le dis, la France sans la Martinique ne serait pas la France", a souligné Nicolas Sarkozy.

    "Tant que je serai président de la République, la question de l'indépendance de la Martinique, c'est-à-dire de sa séparation d'avec la France, ne sera pas posée", a-t-il également souligné.

    Devant la presse, Nicolas Sarkozy a précisé que les modalités de la consultation seraient définies d'ici à "fin septembre, début octobre", après une large consultation avec les élus martiniquais.

    Les élus départementaux et régionaux de Martinique réunis en Congrès avaient voté vendredi 19 juin une résolution demandant le report des élections régionales prévues en 2010, dans la perspective d'une consultation de la population martiniquaise sur une évolution institutionnelle.

    Interrogé sur ce point, Nicolas Sarkozy s'est refusé à prendre position pour l'instant. "Je ne répondrai pas à ça maintenant car il y a des positions divergentes et je dois bien préserver ce consensus (sur le principe du référendum, ndlr)", a-t-il répondu, "ça fait partie des discussions que je vais avoir avec les élus".

    L'article 72 de la Constitution autorise le chef de l'Etat de à consulter les populations des départements et territoires d'Outre-mer sur son "organisation", ses "compétences" ou son "régime législatif". Tout changement de statut doit recueillir l'approbation des populations concernées, selon ce texte.

    AFP. 26 juin 2009

  • VIDEO L'ambassadeur d'Iran en France

    http://www.youtube.com/watch?v=QzwB1IDuJWQ

    "Le peuple iranien a quand même une civilisation de 7.000 ans, nous savons gérer nos propres affaires", a déclaré jeudi matin sur Europe 1 Seyed Mehdi Mir Aboutalebi, l'ambassadeur iranien en France.

    "Les déclarations hâtives des responsables français sont une véritable ingérence dans les affaires de notre pays", a-t-il estimé.

    L'objet de sa colère: les critiques exprimées par les autorités françaises à l'encontre du régime iranien. Celui-ci est accusé d'avoir truqué l'élection présidentielle du 12 juin dernier, qui a vu la réélection du sortant et ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad.

    L'Iran demande des excuses
    "Quand on voit des résultats à ce point incohérents, l'Europe qui se tairait ne correspondrait pas aux valeurs qui sont celles de l'Europe", a déclaré Nicolas Sarközy.

    La France s'est aussi inquiétée des violences commises à l'encontre des manifestants de l'opposition depuis le vote. Dans un communiqué, le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a "condamné cette répression brutale" et a appelé à "la libération immédiate des personnes arrêtées".

    Si les autorités iraniennes ont demandé à Paris de présenter ses excuses, certains évoquent la possibilité de se montrer plus ferme avec l'Iran et d'aller au-delà de la simple critique en appliquant des sanctions économiques, alors l'Union européenne est un partenaire commercial-clé de l'Iran.

    AFP. 26 juin 2009

  • Le BEA publiera mardi son premier rapport - aucune piste n'est écartée

    Les autorités brésiliennes ont identifié mardi le corps du commandant de bord du vol AF 447, Marc Dubois, ainsi que celui d'un steward. L'information a été confirmée jeudi par la direction d'Air France.

    Ces deux nouvelles identifications portent ainsi le nombre de victimes identifiées de 11 à 13 sur les 50 corps repêchés dans l'Atlantique sud. La confirmation de cette information par Air France et non par le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), en charge de l'enquête, confirme un certain malaise avec les autorités brésiliennes. Celles-ci n'ont en effet pas accueilli au sein de leurs équipes le médecin français envoyé par le BEA qui est revenu sans informations.

    Le BEA a en revanche annoncé qu'il rendrait officiel mardi prochain son premier rapport sur la catastrophe. D'ici là, l'enquête pourrait s'accélérer si les boîtes noires de l'avion étaient localisées et retrouvées. Selon plusieurs sour­ces contactées jeudi, les forces françaises ont bien capté un signal, «elles tournent autour depuis quelques jours pour le localiser», explique une source militaire. «La question est dorénavant plutôt de savoir si l'émetteur est toujours solidaire de la boîte noire vu les conditions de l'accident», explique un proche du dossier.

     

    Masses nuageuses difficilement identifiables

     

    Dans l'état actuel des investigations, aucune piste n'est officiellement écartée, ni privilégiée. «Un tel accident est souvent le résultat d'un faisceau de causes et non d'une cause isolée», rappelle un expert. Un phénomène météo pourrait ainsi expliquer une partie du drame. Le témoignage du pilote du vol Sao Paulo-Paris passé vingt minutes après le vol 447 dans le Pot au noir, et révélé dans Le Figaro, semble indiquer la présence de masses nuageuses particulièrement actives et difficilement identifiables au radar.

    La piste de la panne des sondes Pitot mesurant la vitesse de l'avion n'a pas non plus été écartée. Air France et Airbus expliquent depuis dix jours que «rien ne permet aujourd'hui de lier la catastrophe à une défaillance de ces sondes». Pourtant, d'après une note interne d'Air France datant de l'été 2008 et révélée par le site Eurocokpit, la compagnie française avait il y a un an déjà enregistré 6 cas de pannes de sonde. Celles-ci avaient alors produit les mêmes alertes (les fameux messages Acars) que celles enregistrées peu avant la disparition du vol AF 447.

    La note rappelle qu'Airbus était au courant. «Une étude menée par Airbus a mis en évidence que la majorité des “Nav IAS Discrepancy” était associée à l'accumulation d'eau dans les pitots Thales», peut-on y lire.

     

     

    Cette note aurait même été réimprimée le 1er juin au matin à l'attention des mécaniciens qui auraient à intervenir à l'atterrissage du vol AF 447.

    Les deux groupes sont très discrets pour l'instant sur le sujet car les résultats de l'enquête pourraient engager la responsabilité du constructeur ou au contraire celle d'Air France.

    Reste enfin la piste de l'erreur humaine. Un rapport de la compagnie publié en juin 2006 avait déjà mis l'accent sur l'occurrence des erreurs humaines dans les accidents en vol. En l'absence des boîtes noires, la seule façon d'étayer cette piste serait que l'équipage du vol AF 447 ait eu une conversation avec un autre vol ­au-dessus de l'Atlantique. Les pilotes des vols Sao Paulo-Paris et Buenos Aires-Paris ont indiqué au Figaro qu'ils n'avaient eu aucun contact. Mais ni le BEA, ni Air France n'ont annoncé officiellement qu'aucun contact n'avait été établi avant le drame. «Tout le monde s'interroge sur le sujet, explique un responsable syndical, mais nous n'avons eu aucune information ni démenti.»

    Le Figaro - 25 juin 2009

  • Autobiographie d'un homosexuel

    Couverture Mitterrand.jpg

      "La mauvaise vie" de Frédéric Mitterrand - extrait

     "Un jour, il fait semblant de vouloir me violer pour faire rire la compagnie;j'ai dû leur dire encore une fois tout le mal que je pense de leurs plaisanteries cyniques et l'heure est au défoulement collectif. Il est beaucoup plus fort que moi, il me colle sur le sol et pèse de tout son corps contre le mien, il se penche et tente de m'embrasser sur les lèvres ; je crie, je m'agite comme un forcené, je tourne la tête en tous sens pour échapper à sa bouche ; il comprend très bien que ce n'est pas un jeu pour moi, ma panique c'est le secret dévoilé, le piège que je craignais et dans lequel je suis tombé."

    - chapitre : Quentin - éditeur : Robert Laffont - 21 mars 2005

  • Bruno Gollnisch: une victoire du droit mais aussi du bon sens

    Bruno Gollnish communiqué de presse.jpg

    L’arrêt de la Cour de Cassation réduisant à néant les injustes condamnations qui me frappaient pour “contestation” de crimes contre l’humanité est non seulement une victoire du droit, mais aussi du bon sens.

    Cette victoire est d’autant plus écrasante que, fait exceptionnel, la juridiction suprême, qui, lorsqu’elle casse une décision, renvoie normalement le procès à une autre cour d’appel, a cette fois-ci cassé “sans renvoi”. Dans notre histoire judiciaire, cette procédure exceptionnelle a été utilisée pour la première fois dans l’affaire Dreyfus.

    Cela signifie que rien ne subsiste des accusations portées contre moi. Les “parties civiles”, associations stipendiées friandes de dommages et intérêts vont devoir rembourser les dizaines de milliers d’euros qu’elles se sont octroyés.

    Je remercie mes avocats, Maîtres Wallerand de Saint-Just et Bruno Le Griel qui ont toujours cru en la justesse de ma cause, les membres et dirigeants du Front National qui m’ont soutenu, tous ceux qui m’ont manifesté leur sympathie ou qui simplement, comme feu Raymond Barre, n’ont pas voulu ajouter leur pierre à ma lapidation politico-médiatique.

    Mais je n’entends pas en rester là.

    Au delà de mon cas personnel, cette affaire requiert des suites légales, académiques et politiques qui feront l’objet d’une conférence de presse que je tiendrai ce vendredi 26 juin à 10h30, 38 cour de Verdun à Lyon, à la Fédération du Rhône du Front National (renseignements : 04.72.77.50.00).

  • QUI a tué Neda, la "martyre" de la contestation?

    Neda Agha Soltan.jpg
    Image vidéo Youtube

    La presse ultraconservatrice disculpait jeudi les forces iraniennes dans le meurtre de Neda, jeune Iranienne dont les images de la mort ont fait le tour de l'internet, accusant même un journaliste de la BBC d'avoir embauché un tueur à gage pour l'assassiner.

    Les images de la mort à Téhéran de Neda Agha-Soltan ont suscité une vague d'émotion et d'indignation parmi les Iraniens et la communauté internationale et la jeune femme est devenue le symbole de la vague de contestation de la réélection du président Mahmoud Ahmadinejad.

    Son fiancé, Caspian Makan, a affirmé qu'elle n'avait pas participé aux manifestations et qu'elle ne faisait que passer lorsqu'elle a été tuée par la milice.

    "L'enquête a montré qu'une personne a ouvert le feu sur plusieurs personnes rue Karegar avec une arme de contrebande et l'une des balles a atteint Neda Salehi (Agha-Soltan) dans le dos", écrivent plusieurs journaux, citant l'agence conservatrice Fars.

    D'après Fars, qui cite une source non identifiée, "les forces de sécurité ont lors des dernières semaines saisi des dizaines d'armes du type de celle qui l'a tuée, passées en contrebande en Iran principalement à partir des frontières occidentales".

    Le journal Vatan Emrouz, qui soutient le président réélu Ahmadinejad, a accusé le journaliste de la BBC Jon Leyne, qui a été expulsé par les autorités iraniennes, d'avoir "embauché un voyou et l'avoir payé afin de tuer quelqu'un pour son documentaire".

    Plusieurs journaux ont publié jeudi des accusations similaires à l'encontre du journaliste, ainsi que l'avait déjà fait mercredi le journal ultraconservateur Javan.

    La vidéo non authentifiée diffusée sur YouTube notamment montre la jeune femme à terre, le visage souillé de sang et les yeux grand ouverts.

    AFP. 25.06.09

  • "Sa libération constitue une priorité pour la france"

    559367_int.jpg
    Copains comme cochons - 24 juin 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    Nicolas Sarközy, qui a reçu le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, hier à l’Elysée , en a profité pour évoquer longuement le sort du soldat Gilad Shalit, enlevé le 25 juin 2006 il y a trois ans aujourd’hui alors qu’il était caporal de l’armée israélienne, lors d’une opération menée par un commando palestinien à la lisière de la bande de Gaza.

    « Sa libération constitue une priorité pour la France », a souligné le président français, en se disant prêt à « toute initiative utile pour aider » à son élargissement. « Il est détenu dans un trou noir, dans une cellule quelque part, nous ne savons pas où », a déploré le Premier ministre israélien, qualifiant la situation de cet otage franco-israélien de « tout à fait inacceptable ».

     

    Le Parisien - 25.06.09

    Gilad Shalit est un prisonnier de guerre capturé par la Résistance palestinienne.

  • VIDEO Pierre Lellouche, secrétaire d'Etat chargé des affaires européennes, est-il un agent américano-sioniste?

    Lellouche Pierre en 2007.jpg
    Pierre Lellouche en 2007
    Pierre Lellouche est connu pour ses positions favorables à Israël et à l'entrée de la Turquie en Europe, ce qui lui vaut d'être accusé d'être à la solde des États-Unis et d'Israël. On peut effectivement se poser la question tant ses positions rejoignent les intérêts américano-sionistes.
    ............................................................................................................................

    Fils d'un artisan tunisien de confession juive, Pierre Lellouche quitte la Tunisie à l'âge de 5 ans. Il a étudié au lycée Condorcet à Paris. Il est diplômé d’études supérieures de la Faculté de Droit de Paris X-Nanterre (1972) et de l’Institut d'études politiques de Paris (1973), Master of Laws (LLM) et docteur en droit de la Faculté de Droit de Harvard.

    Il est divorcé et père de 3 enfants. (Wikipédia)

  • Les corps du commandant de bord et celui d'un steward du vol AF 447ont été identifiés parmi les victimes retrouvées

    Les corps du commandant de bord et d'un steward du vol AF447 qui s'est abîmé en mer entre Rio et Paris ont été identifiés parmi les victimes retrouvées dans l'Océan Atlantique, a indiqué jeudi à l'AFP une porte-parole de la compagnie Air France.

      "Parmi les victimes retrouvées grâce aux recherches en mer, deux membres de l'équipage d'Air France ont été à ce jour identifiés: le commandant de bord et un steward", a dit la porte-parole de la compagnie, confirmant une information parue sur le site internet du Figaro.

    Jusqu'à présent 50 corps ont été retrouvés, a précisé jeudi le Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA), chargé de l'enquête technique sur l'accident survenu le 1er juin et qui a provoqué la mort de 228 personnes.

    Les autorités brésiliennes avaient annoncé dimanche avoir identifié onze des 50 corps grâce aux empreintes digitales et aux dossiers dentaires: dix Brésiliens -cinq hommes et cinq femmes- et un étranger de sexe masculin.

    L'Airbus A330 d'Air France s'est abîmé dans l'Atlantique pour une raison encore indéterminée. Les boîtes noires de l'avion, déterminantes pour expliquer les causes du crash, n'ont jusqu'ici pas été retrouvées.

     Les recherches pour retrouver ces enregistreurs de vol se poursuivront au delà du 30 juin, date à laquelle ils sont censés ne plus envoyer de signaux, les enquêteurs ayant bon espoir qu'ils continuent à émettre encore plusieurs jours après.
    AFP 25 juin 2009
  • Travestis philippins arrêtés en Arabie saoudite

    Concours trans et travestis à manille.jpg
    Transexuels et travestis philippins candidats pour un concours de beauté à Manille
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    Human Rights Watch (HRW) a dénoncé aujourd'hui l'arrestation de 67 Philippins en Arabie saoudite au motif qu'ils participaient à une soirée déguisés en femmes, appelant à l'arrêt des poursuites à leur encontre. "Si la police en Arabie saoudite arrête les gens simplement parce qu'ils n'aiment pas leurs vêtements, personne n'est à l'abri", a déclaré une responsable de HRW, Racha Moumneh, dans un communiqué.

    Les 67 Philippins ont été arrêtés, ainsi qu'un Yéménite, alors qu'ils participaient à une soirée privée près de Ryad le 13 juin. Ils ont été ensuite libérés et remis à leurs employeurs, dans l'attente des poursuites. Selon le vice-consul de l'ambassade des Philippines, Roussel Reyes, ils risquent des peines de prison ainsi que des coups de fouet pour travestissement et pour avoir enfreint la loi en matière de consommation d'alcool. "Aucune norme légale écrite et accessible n'existe pour criminaliser le port de vêtements féminins par des hommes", poursuit HRW. "Néanmoins, par le passé des juges saoudiens ont décrété des sentences, allant de la prison aux coups de fouet, pour des hommes accusés de conduite féminine", ajoute l'organisation basée à New York.

    Près d'un million de Philippins travaillent en Arabie saoudite. Le royaume ultraconservateur applique strictement la charia (loi islamique).

    Human Rights Watch (HRW) a dénoncé aujourd'hui l'arrestation de 67 Philippins en Arabie saoudite au motif qu'ils participaient à une soirée déguisés en femmes, appelant à l'arrêt des poursuites à leur encontre. "Si la police en Arabie saoudite arrête les gens simplement parce qu'ils n'aiment pas leurs vêtements, personne n'est à l'abri", a déclaré une responsable de HRW, Racha Moumneh, dans un communiqué.

    Les 67 Philippins ont été arrêtés, ainsi qu'un Yéménite, alors qu'ils participaient à une soirée privée près de Ryad le 13 juin. Ils ont été ensuite libérés et remis à leurs employeurs, dans l'attente des poursuites. Selon le vice-consul de l'ambassade des Philippines, Roussel Reyes, ils risquent des peines de prison ainsi que des coups de fouet pour travestissement et pour avoir enfreint la loi en matière de consommation d'alcool. "Aucune norme légale écrite et accessible n'existe pour criminaliser le port de vêtements féminins par des hommes", poursuit HRW. "Néanmoins, par le passé des juges saoudiens ont décrété des sentences, allant de la prison aux coups de fouet, pour des hommes accusés de +conduite féminine+", ajoute l'organisation basée à New York.

    Près d'un million de Philippins travaillent en Arabie saoudite. Le royaume ultraconservateur applique strictement la charia (loi islamique).

    Le Figaro - 24 juin 2009

  • Don Floriano Abrahamowitz - conférence-débat au théâtre de La Main d'Or le 18 juin 2009

    http://www.plumenclume.net/textes/2009/Europe/chretiens/abrahamowitz-invit-180609.htm

  • "J'ai traversé le pot au noir 20 minutes après le vol AF 447"

    Carte vols traversée pot au noir.jpg
    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)

    EXCLUSIF - Le commandant de bord d'Air France qui a effectué un vol Sao Paulo-Paris la même nuit que le vol AF 447 raconte au Figaro sa traversée de l'Atlantique.

    C'est un témoin essentiel dans l'enquête sur la disparition de l'Airbus d'Air France au-dessus de l'Atlantique. Le commandant du vol AF 459, qui a quitté Sao Paulo le lundi 1er juin à 0h10, heure française, à bord d'un AirbusA330 identique à l'appareil qui a disparu, souhaite garder l'anonymat. Mais il se souvient avec précision des conditions rencontrées sur

    La route empruntée un peu plus tôt par le vol AF 447. Selon ce pilote, les informations météo font état ce jour-là de masses nuageuses importantes dans le pot au noir. «Les cartes satellites signalaient une zone orageuse mais rien d'inquiétant, explique-t-il, ce sont des conditions très fréquentes dans cette région.» Une fois dans la zone de convergence intertropicale, l'équipage augmente le «gain» de son radar, c'est à- dire sa sensibilité. Cette manipulation peut brouiller la lecture de l'écran, qui est pollué par de nombreuses informations superflues, mais renforce la fiabilité des données sur les nuages. «Cette manipulation nous a permis d'éviter une grosse masse nuageuse que l'on n'aurait pas identifiée avec le radar en mode automatique.»

    Selon l'un de ses deux copilotes, «cette masse nuageuse était difficile à déceler, car il n'y avait pas d'éclair». Le vol AF 459 doit faire un détour de 70 milles nautiques, soit 126 kilomètres, tandis que le vol AF 447, passé vingt minutes plus tôt, a dû logiquement traverser cette zone, ajoute le copilote. Son commandant de bord ne souhaite toutefois pas confirmer cette dernière information.

    Une erreur humaine peu probable

    Dans le pot au noir, l'équipage du vol AF 459 ne remarque rien de particulier. «Mis à part cette masse nuageuse, les conditions de vol ont été normales et nous n'avons rien entendu sur la fréquence de détresse. Nous n'avons pas non plus eu de contact radio avec le vol AF 447 avant la catastrophe, comme une rumeur a pu le laisser entendre depuis trois semaines.» Le commandant de bord n'a alors aucune information sur la disparition du vol AF 447. Cette partie de l'Atlantique n'est en effet pas couverte par les fréquences du contrôle aérien qui vont jusqu'à 200 milles des côtes.

    En arrivant à proximité des îles Canaries, le commandant de bord du vol AF 459 entre pour la première fois en contact depuis le drame avec les contrôleurs aériens. Ils lui demandent de faire le relais et d'essayer de contacter le vol AF 447. «Nous avons appelé en vain sur la fréquence de détresse, raconte-t-il. Mais nous ne nous sommes pas plus inquiétés que cela, car des coupures radio à bord d'un avion, ça peut arriver. Nous espérions également qu'un autre avion plus proche de lui soit entré en contact avec lui.»

    Le commandant de bord et son équipage ne découvrent la catastrophe qu'en atterrissant à Roissy-Charles- de-Gaulle le lundi matin à 11h35, heure française. «C'est terrible d'apprendre une telle nouvelle. En plus, on était juste à côté. Tout l'équipage a été très secoué. On est restés soudés et régulièrement en contact depuis.» Pour le commandant de bord, l'erreur humaine est peu probable pour expliquer la disparition du vol AF 447: «Les photos satellites étaient claires au départ, et n'importe quel pilote est capable de se servir de son radar.» Reste à savoir si le vol 459 n'a pas réussi à échapper à une masse nuageuse particulièrement active mais difficile à localiser en poussant au maximum la sensibilité de son radar, une manipulation qu'aurait pu ne pas faire le vol 447. «C'est certain que tout le monde ne fait pas cette manoeuvre», reconnaît le commandant de bord du Sao Paulo-Paris.

    L'équipage n'a pas été entendu

    Dès son arrivée, l'équipage du vol 459 a rédigé un rapport qu'il a remis à l'officier de la sécurité des vols. Curieusement en revanche, plus de trois semaines après le drame, il n'a toujours pas été entendu par le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), chargé des investigations. L'équipage a poursuivi ses rotations sans être convoqué. Le commandant de bord du vol AF 459 a décollé mardi pour la Thaïlande sans savoir quand il serait auditionné par le BEA qui a pourtant annoncé la publication de son rapport d'ici à la fin du mois. Contacté par Le Figaro, le Bureau n'a pas souhaité faire de commentaires sur ce délai.

    24 juin 2009

  • Révisionnisme: Gollnisch gagne en cassation

    Le vice-président du Front National (FN), Bruno Gollnisch, dont la Cour de cassation vient d'annuler la condamnation à 3 mois de prison avec sursis et 5 000 euros d'amende pour contestation de crimes contre l'humanité, s'est dit «satisfait». Le député européen a affirmé que «ce succès judiciaire met à néant toute accusation contre moi».

     

    Le 11 octobre 2004, lors d'une conférence de presse à Lyon, l'élu frontiste avait assuré «ne pas remettre en cause les déportations» ni «les millions de morts» des camps nazis, avant d'ajouter : «Quant à savoir la façon dont les gens sont morts, ce débat doit avoir lieu». Interrogé alors plus spécifiquement sur les chambres à gaz, Bruno Gollnisch avait répondu : «Je ne nie pas les chambres à gaz homicides. Mais je ne suis pas spécialiste de cette question et je pense qu'il faut laisser les historiens en discuter. Et cette discussion devrait être libre».

    Poursuivi devant la justice lyonnaise pour ces propos, Bruno Gollnisch avait été condamné le 18 janvier 2007 par le tribunal correctionnel de Lyon à trois mois de prison avec sursis et 5 000 euros d'amende.

    Le 28 février 2008, la cour d'appel de Lyon avait confirmé ce jugement, condamnant par ailleurs l'élu frontiste à payer 39.000 euros de dommages et intérêts à neuf parties civiles (associations contre le racisme et associations d'anciens déportés). Il avait alors formé un pourvoi en cassation.

    Enfin, concernant sa suspension de ses fonctions d'enseignant-chercheur, Bruno Gollnisch a affirmé vouloir «entamer des démarches auprès du ministère de l'Education» afin de réintégrer son poste et être «blanchi». Professeur en langue et civilisation japonaise à l'université Lyon-III, il avait été suspendu pour cinq ans, en mars 2005.

    Le Parisien - 24 juin 2009

  • La première députée voilée de Belgique applaudie au Parlement régional de Bruxelles

    Belgique première députée voilée.jpg
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    La Belge d'origine turque Mahinur Özdemir, élue le 7 juin au Parlement régional de Bruxelles, est devenue mardi la première députée de Belgique portant le voile, sous les applaudissements.

    "Je jure d'observer la Constitution", a-t-elle déclaré, comme les autres députés régionaux qui ont prêté serment peu après 16H00 (14H00 GMT).

    Avec le chef du gouvernement régional sortant, Charles Picqué, elle a été la seule députée à être applaudie par le public. La présidente de la séance, la doyenne de l'assemblée Antoinette Spaak, avait demandé à l'assistance de ne pas se manifester.

    Très souriante pendant toute la séance, Mahinur Özdemir, 26 ans, portait un ensemble beige classique, légèrement satiné, ainsi qu'un foulard à carreaux turquoise, blanc et or.

    En s'installant à la tribune à gauche de la présidente, place réservée à la benjamine de l'assemblée, elle avait fait un discret "V" de la victoire en direction du public, nombreux, parmi lequel avaient pris place six femmes portant le voile.

    Conseillère municipale depuis trois ans à Schaerbeek --un quartier de la capitale belge à forte population immigrée -- cette fille de petits commerçants turcs, diplômée en sciences politiques, est membre du Centre démocrate humaniste (CDH), l'ancien parti social-chrétien francophone.

    Elle porte le foulard "de sa propre initiative", dit-elle, depuis l'âge de 14 ans, et n'entend pas l'enlever pendant les cinq années de son mandat au Parlement régional.

    Son foulard a relancé le débat en Belgique sur le voile islamique et déclenché les protestations de quelques élus du Mouvement Réformateur (MR), le parti libéral francophone belge proche de l'UMP (Union pour un mouvement populaire) du président français Nicolas Sarközy...

    AFP. 23 juin 2009

     

  • Les médias sionistes occidentaux veulent la chute du président Ahmadinejad

    La révolution iranienne, le Guide suprême et le président Ahmadinejad ont perdu leur légitimité d'abord en truquant la présidentielle et ensuite en tirant sur la foule. A court terme, le pouvoir s'est maintenu par la force. Mais à long terme, ses bases sont indiscutablement ébranlées. 

      La répression a découragé les manifestants mais l'opposition n'est pas vaincue. La contestation demeure et va changer de forme. Les divisions au sein de la hiérarchie ne vont pas disparaître. Obama a raison de rester prudent et de dire que l'on ignore encore comment tout cela va se terminer. Décréter des sanctions aujourd'hui reviendrait à aider les ultras en leur permettant de mobiliser contre le "Grand Satan"

    L'ouverture créée par l'élection d'Obama -sa main tendue- n'est pas étrangère à la soif de changement qui s'exprime en Iran. Elle affaiblit les radicaux et encourage les modérés. Le président américain reste sur la même ligne, il se félicite du "débat extraordinaire" ouvert en Iran et fait comme si les dirigeants iraniens étaient capables de canaliser ce débat. Il sait que c'est impossible et attend de voir ce qui va suivre. Les Iraniens l'ont bien compris: ils se rappellent qu'il a fallu plus d'un an de manifestations avant d'aboutir à la chute du Shah, il y a trente ans.  

    Blog du FIGARO - 23 juin 2009