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  • "Honte à toi, Khameini!" - A Villepinte, les Moudjahidine du Peuple...

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    Maryam Radjani à Villepinte le 20 juin 2009
    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    "Honte à toi, Khamenei, abandonne ton règne": des milliers de partisans des Moudjahidine du Peuple iraniens réunis samedi à Villepinte, au nord de Paris, ont clamé leur opposition au régime de Téhéran et leur soutien au mouvement de contestation dans le pays.Evènement

    En face d'elle, une foule en liesse applaudit, agitant drapeaux jaunes, arborant des casquettes et des gilets à sa gloire.

    Venant de toute l'Europe, du Canada, des Etats-Unis, en autobus, en avion ou en voiture, ils sont chaque année plusieurs dizaines de milliers, selon les organisateurs, à assister à ce rassemblement régulier depuis 2003.

    Le rendez-vous, qui se tenait samedi dans un immense hall des expositions, avait cette année une dimension particulière en raison de la contestation de la réélection du président iranien Mahmoud Ahmadinejad.

    "Le régime des mollahs est plus affaibli, la résistance va continuer", a assuré Mme Radjavi.

    "Les véritables vainqueurs de l'élection que le régime a organisée, c'est nous, nous le peuple iranien, nous les Iraniens assoiffés de liberté, dans le monde et à Achraf", a-t-elle poursuivi, en référence au camp d'Achraf, qui abrite 3.500 Moudjahidine iraniens en Irak. Selon l'OMPI, le gouvernement irakien menace de fermer le camp et de les chasser du pays.

    "Dans le régime du Guide suprême (Ali Khamenei), il n'existe aucune autre solution pour l'Iran et son peuple en colère, si ce n'est un changement démocratique et des élections libres sous l'égide de l'ONU", a-t-elle ajouté.

    "Nous sommes entièrement d'accord avec la demande d'annulation de la farce électorale, que nous avons appelé à boycotter dès le début", a-t-elle dit, affirmant que le chiffre de participation de 40 millions d'électeurs était "truqué".

    Le CNRI est considéré comme la principale force d'opposition extérieure au régime de Téhéran.

    Les Moudjahidine, qui avaient participé en 1979 à la révolution contre le Shah avant de rompre un peu plus tard avec le régime de la République islamique, figurent sur la liste des organisations terroristes du gouvernement américain. Mais ils ont été retirés de celle de l'Union européenne le 26 janvier dernier.

    A Villepinte, Massoumeh Taheri, assise à côté de sa fille en poussette, est venue avec ses enfants et son mari de la région milanaise où elle s'est exilée depuis 30 ans.

    "Nous ne voulons pas Moussavi, pas Ahmadinejad. Moussavi fait partie de ce régime, ce régime doit partir", explique-t-elle. Mir Hossein Moussavi était le principal concurrent de M. Ahmadinejad lors de l'élection présidentielle.

    "Nous ne devons pas être silencieux, nous devons parler pour notre peuple qui ne le peut pas. Nous combattons pour les libertés", affirme-t-elle.

    Un peu plus loin, Marie-Laurette Guilloux, un canotier sur la tête appelant au "soutien du peuple iranien", est une habituée du rendez-vous. Elle est une voisine de Maryam Radjavi à Auvers-sur-Oise, la commune de la région parisienne où le CNRI s'est établi. "C'est un réseau de résistance qu'il faut soutenir", dit-elle.

    AFP. 20 juin 2009

  • Téhéran: Moussavi provoque Khameini et lance ses émeutiers dans les rues

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     Membres de la police anti-émeute le 20 juin 2009
    Iran partisans de l'opposant 20 jiuin XXX.jpg
    Des partisans de Moussavi affrontent la police à Téhéran -20 juin 2009
    (Cliquez sur les photos pour les voir en entier)

    Le chef de l'opposition Mir Hossein Moussavi a lancé samedi une critique sans précédent contre le guide suprême d'Iran Ali Khamenei, alors que de violents heurts ont opposé la police à des milliers de manifestants protestant à Téhéran contre la réélection de Mahmoud Ahmadinejad.

    Au 8e jour de la pire crise en Iran depuis la révolution islamique de 1979, la police anti-émeute a tiré des balles et des gaz lacrymogènes et eu recours aux canons à eau et matraques pour disperser les manifestants qui ont défié l'appel de M. Khamenei à cesser la contestation dans la rue, selon des témoins.

    Face à cette escalade, le président américain Barack Obama, haussant le ton par rapport à ses précédentes déclarations, a appelé le gouvernement iranien "à mettre fin à tous les actes de violence et d'injustice contre sa propre population".

    Alors qu'aucun personnage politique iranien n'avait osé émettre une critique envers le guide suprême, M. Moussavi, qui réclame l'annulation des résultats du scrutin, a dénoncé ses propos vendredi sur la validation de la réélection de M. Ahmadinejad, selon une déclaration publiée par son site internet.

    M. Moussavi, principal candidat malheureux à la présidentielle du 12 juin, a accusé, sans le nommer, le numéro un du régime de menacer le caractère républicain de la République islamique et de viser l'imposition d'un nouveau système politique.

    Il a dénoncé "un projet qui va au delà de l'imposition au peuple d'un gouvernement non voulu, l'imposition d'une nouvelle vie politique au pays".

    Evoquant l'argument de M. Khamenei selon lequel aucune fraude ne pouvait expliquer une aussi large victoire de M. Ahmadinejad (62,63% des voix), il a rétorqué: "si cette énorme taille de la fraude est présentée comme la preuve d'une absence de fraude, alors l'aspect républicain du système sera massacré et cela prouverait que l'islam est incompatible avec la République".

    Depuis l'annonce le 13 juin de la victoire d'Ahmadinejad, Moussavi, un conservateur modéré soutenu par les réformateurs, n'a cessé de prendre à contre-pied le guide suprême, en défiant à chaque fois ses injonctions.

    Le Conseil des Gardiens, qui s'est dit prêt à un recomptage de 10% des urnes, choisies au hasard, rendra sa décision d'ici mercredi.

    Bravant l'interdiction de protester contre la réélection de M. Ahmadinejad, des milliers de manifestants sont descendus dans le centre de Téhéran malgré l'avertissement du chef de la police Ahmadi Moghadam de les "réprimer fermement".

    "La police a interdit aux gens d'approcher" de la place Enqelab et "bloqué les gens sur les trottoirs, les poussant sur la chaussée et les frappant", a dit un témoin. Devant l'Université de Téhéran, la police a utilisé des canons à eau et des gaz lacrymogènes pour disperser un à deux milliers de manifestants, a indiqué un autre témoin.

    Selon un troisième témoin, des milliers de manifestants se sont rassemblés près de la place Azadi. Ils se rassemblaient en groupes généralement silencieux. Mais on entendait des slogans comme "Mort au dictateur", en référence à M. Ahmadinejad.

    Au moins un homme a été blessé par balle, selon un autre témoin.

    Un manifestant a raconté à l'AFP que la police et la milice islamiste des bassidjis avaient lancé une attaque "brutale" contre un rassemblement pacifique. "Ma tête est encore pleine des cris des femmes", a-t-il dit.

    L'ensemble des médias étrangers ne sont pas autorisés à couvrir les manifestations interdites.

    La télévision d'Etat a diffusé des images sur les émeutiers, où l'on voit des civils sur un trottoir frappés à coups de matraques par des policiers et un manifestant embarqué dans un véhicule.

    Entretemps, un terroriste s'est tué en faisant détoner sa veste explosive au mausolée de l'imam Khomeiny, père de la révolution islamique, à Téhéran, blessant jusqu'à trois pèlerins, selon des médias.

    Depuis le 13 juin, les partisans de M. Moussavi organisent des manifestations quasi quotidiennes à Téhéran, dont l'une a dégénéré lundi avec la mort, selon une radio officielle, de sept manifestants.

    AFP. 20 juin 2009

    Contestation permanente, provocation/répression, "mort au dictateur", manipulation de l'opinion internationale... ou comment ON fomente une révolution pour installer une démocratie à la solde des Américano-sionistes de Washington

  • VIDEOS Le N.O.M. - Les Etats-Unis à la conquête de l'Est

     A voir absolument:

    1- http://www.youtube.com/watch?v=RJV1NzgHuPM

    2- http://www.youtube.com/watch?v=2dSfJ6V8OWg

    4- http://www.youtube.com/watch?v=kgHKm174f8I

    Dans ce documentaire tourné en 2005, Manon Loizeau dévoile ceux qui financent et fomentent les révolutions dans les pays de l’Est traditionnellement favorables à la Russie.

    Très utile pour comprendre la situation iranienne actuelle et les promoteurs du mouvement…

    http://fr.altermedia.info/general/comment-se-preparent-les-revolutions-colorees_24128.html#more-24128

  • Tiphaine, 5 ans, reste introuvable

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    Tiphaine Taton, 5 ans

    Les recherches se poursuivaient, hier soir, à Maubeuge (Nord) après la disparition, jeudi après-midi, d’une petite fille de 5 ans. Anne-Sophie, 23 ans, sa mère a expliqué avoir perdu la trace de son enfant, prénommée Tiphaine, vers 16 heures, alors qu’elles se promenaient dans le centre-ville.
    Les policiers de la PJ de Lille n’écartent aucune hypothèse : accident, enlèvement ou piste familiale.

    « Malheureusement, nous ne savons pas où se trouve Tiphaine, a expliqué hier après-midi le procureur d’Avesnes-sur-Helpe, Bernard Beffy. Nous ne pouvons pas affirmer si elle est toujours en vie ou déjà morte. » Jeudi vers 16 heures, l’enfant a échappé à la vigilance de sa mère qui se trouvait en centre-ville de Maubeuge avec également une autre de ses filles en poussette. La mère a expliqué que la fillette était derrière elle. Quand Anne-Sophie s’est retournée, la petite aux cheveux châtains, aux yeux bleus et qui portait un pull rose Dora, avait subitement disparu. D’importants moyens ont été déployés dans le secteur, proche des rives de la Sambre. Des plongeurs ont sondé la rivière. En vain.

    Deux témoins ont expliqué avoir aperçu vers 17 heures une petite fille en pleurs correspondant au signalement de Tiphaine déambulant dans le secteur. « Ces témoignages sont à prendre avec prudence, tempère une source proche de l’affaire. Des vérifications sont en cours. »
    « C’est une petite fille dynamique, éveillée, qui sait se débrouiller. Les heures passent, c’est très inquiétant. On espère qu’elle est vivante quelque part », a confié la grand-mère paternelle, Marie-Josée Taton.
    Hier, dans la matinée, la maman de la petite disparue et son compagnon qui n’est pas le père de Tiphaine ont été placés en garde à vue au commissariat. « Il s’agissait de vérifier plusieurs incohérences dans leurs déclarations, a souligné un enquêteur. C’est une famille un peu compliquée. » Anne Sophie avait la garde « de fait » de Tiphaine depuis janvier. Les parents s’étaient mis d’accord à l’amiable. François, le père, qui vit dans la banlieue lilloise, assure qu’il ne l’a pas revue depuis. « On ne comprend pas ce qui s’est passé, on n’a pas de nouvelles » témoignait-il hier, impuissant.

     

    "Nous pensions qu’elle était chez son papa"

    Les policiers de la PJ ont perquisitionné le domicile de la mère et du concubin à Aulnoye-Aymeries, près de Maubeuge. Ils se sont attardés sur une voiture stationnée sur le trottoir.

    Le couple avait plutôt bonne réputation, mais certains riverains s’étonnent de n’avoir jamais vu Tiphaine, contrairement aux deux autres filles. « Nous pensions qu’elle était chez son papa, on ne se posait pas de questions. C’est un foyer sans histoires, ils s’occupaient bien de leurs enfants, mais on ne parlait jamais de Tiphaine », explique Julie, la boulangère. Tiphaine n’avait pas été rescolarisée depuis qu’elle était arrivée dans la région de l’Avesnois. Le concubin, pompier volontaire, est décrit comme un « homme sans histoire ». Anne Sophie, la mère, ne travaillait plus depuis sa dernière grossesse il y a un an.


    Ce couple a été interrogé jusqu’en fin de soirée. Un enquêteur laissait entendre que la fillette pourrait avoir disparu depuis plus longtemps : « Il n’y a pas eu de témoignages vraiment concordants sur Maubeuge. »

     Dans la journée, un appel avait été reçu à la rédaction de France 3 Nord-Pas-de-Calais et à la mairie de Maubeuge pour signaler que la fillette avait été retrouvée noyée. Selon la police, cette piste qui a été exploitée n’a rien donné. Il s’agissait d’une personne qui pensait avoir une bonne information et qui n’avait aucun lien avec l’affaire.


    De nombreuses questions restent en suspens alors que Tiphaine demeure introuvable. La garde à vue de la mère ainsi que celle de son compagnon ont été levées hier soir vers 22 h 30.

    Le parisien.fr - 20 juin 2009
     

  • Vol AF 447: des témoignages troublants

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    A Brasilia

    Les enquêteurs français ont déjà recensé une dizaine d'avions susceptibles de fournir des indications sur les causes du crash.

    Parallèlement aux recherches mises en œuvre pour retrouver les débris de l'Airbus A 330 d'Air France et, si possible, ses deux boîtes noires, les gendarmes français sont désormais en quête de témoins susceptibles de décrire les conditions météo sur la route empruntée par l'AF 447.

    Au lendemain du crash, des passagers d'un autre vol Paris-Rio avaient en effet spontanément confié avoir traversé des turbulences « étranges » au milieu de l'océan Atlantique, quelques heures avant le passage de l'A 330.

    Un couple, présent à bord d'un Airbus de la compagnie portugaise TAP, a de son côté raconté au journal O Globo : « Toutes les lumières se sont éteintes à bord durant une heure à une heure et demie. L'avion semblait en panne. »

    Soucieux de recueillir le plus de précisions possible, les enquêteurs souhaitent donc interroger les équipages des avions qui ont traversé, dans la nuit de dimanche à lundi, la région dans laquelle le vol AF 447 a disparu, lundi vers 2 h 14 GMT. Pour ce faire, ils ont entrepris un recensement qui pourrait déboucher, « au cours des prochaines semaines », sur la mise en œuvre d'investigations judiciaires auprès des compagnies concernées.

    « À ce stade, les enquêteurs ont recensé une petite dizaine d'avions qui, affrétés par diverses compagnies, ont traversé cette nuit-là une zone de référence située sur la route du vol AF 447 et marquée par de violentes turbulences, précise une source proche du dossier, qui ajoute : Pour mettre toutes les chances de leur côté, ils travaillent sur une période de temps large, qui s'étend entre 23 heures et 03 h 30 GMT. »

    Témoignages troublants

    Cette démarche, qui pourrait nécessiter la délivrance de commissions rogatoires internationales, permettra notamment de vérifier certains témoignages troublants qui ont été rendus publics depuis la catastrophe. Jeudi, le quotidien El Mundo a notamment fait état du rapport adressé par un pilote de la compagnie Air Comet à l'agence de sécurité aérienne espagnole.

    Ce commandant de bord, qui effectuait un vol Lima-Madrid et se trouvait apparemment au nord de la route empruntée par l'AF 447, écrit : « Soudain, nous avons observé au loin un éclat fort et intense de lumière blanche, qui a suivi une trajectoire descendante et verticale, et qui a disparu en six secondes. » Selon le directeur d'Air Comet, ce rapport aurait été aussitôt transmis à Air France et à Airbus. Toutefois, cette observation pourrait n'avoir aucun lien avec la disparition de l'Airbus A 330 dans la mesure où l'avion d'Air Comet se trouvait, selon plusieurs pilotes et experts interrogés jeudi, à une très grande distance de l'Airbus d'Air France.

    Jeudi, enfin, la compagnie allemande Lufthansa a fait savoir que les trois pilotes du vol Sao Paulo- Francfort, qui a traversé la zone concernée une demi-heure avant la disparition de l'A 330, « n'ont rien remarqué d'anormal » dans les conditions météorologiques de ce trajet.

    Le Figaro - 05 juin 2009

  • Vol AF 447: un tir de missile US? Témoignage d'un pilote espagnol

    LE VOL AF 447 A -T- IL PU ÊTRE VICTIME D’UN TIR DE MISSILE US?
    jeudi 4 juin 2009 (16h00)

    "Vol Rio-Paris : les interrogations s’amplifient "

    «Un éclat fort et intense»

    Ce jeudi, le témoignage d’un commandant de bord de la compagnie espagnole Air Comet nouveau semer le trouble. Alors qu’il volait dans une zone proche de l’accident, le pilote affirme avoir « observé au loin un éclat fort et intense de lumière blanche, qui a suivi une trajectoire descendante et verticale et qui s’est dissipée en six secondes», selon des propos rapportés par El Mundo. Le quotidien espagnol affirme que le copilote et une passagère ont également vu cette scène. Le pilote a transmis son rapport à la direction de sa compagnie, laquelle a transmis l’information à Air France, Airbus et à la Direction générale de l’aviation civile espagnole."

    et:

    "VOL AF 447, les brésiliens parlent d’un essai de missile...INFO OU INTOX ???"

    "Il semblerait qu’un sous-marin US croisait au nord-est du Brésil et aurait procédé a des essais de missiles antiaériens cette nuit là."

    (Sources: Bellaciao et le Post)

  • Un peu d'humour!

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    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)

  • Au nom du N.O.M. Barack Obama "met en garde" l'Iran

    Le président américain Barack Obama a averti l'Iran aujourd'hui que "le monde observe" son comportement dans la crise consécutive à l'élection présidentielle, quelques heures après l'intervention du Guide suprême Ali Khamenei qui a exigé la fin des manifestations"
    "Au vu de la teneur et du ton de certaines déclarations qui ont été faites, il me semble très important que le gouvernement iranien se rende compte que le monde l'observe", a déclaré M. Obama dans une interview accordée à la chaîne de télévision CBS News.

    "La façon dont ils (les dirigeants iraniens) traiteront des gens qui tentent d'être entendus par des moyens pacifiques donnera, je pense, à la communauté internationale une bonne idée de ce qu'est ou n'est pas l'Iran", a ajouté le président.

    Le Figaro 19 juin 2009

  • Traité de Lisbonne: un 2ème référendum pour les Irlandais

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    Pauvre France! Pauvre Allemagne! (sommet de Bruxelles le 19 juin 2009)
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    Pauvre Irlande! (Brian Cowen, le Premier ministre irlandais au sommet de Bruxelles le 19 juin 2009)
    (Cliquez sur les photos pour les voir en entier)

    Les dirigeants de l'Union européenne (UE) ont levé vendredi le dernier obstacle à la tenue sans doute début octobre d'un nouveau référendum en Irlande sur le traité de Lisbonne, avec l'espoir d'en finir avec des années d'incertitude institutionnelle.

    Lors du sommet à Bruxelles, les 27 dirigeants ont aussi dénoncé l'attitude du régime iranien qui exige la fin des manifestations contre les résultats de l'élection présidentielle. Mais avec prudence pour ne pas envenimer une situation qui pourrait se retourner contre les opposants.

    Pour permettre à l'Irlande d'organiser un nouveau référendum, les dirigeants de l'UE ont entériné des garanties censées dissiper les inquiétudes de sa population qui avait rejeté le texte lors d'un premier référendum en juin 2008.

    "Je suis très satisfait que nous soyons parvenus à adopter les garanties irlandaises, cela me rend très optimiste sur le fait que nous obtiendrons un "oui" au référendum", a déclaré le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso.

    "Nous avons eu ce que nous voulions", s'est réjoui le Premier ministre irlandais Brian Cowen. "Je crois que nous avons maintenant une base solide pour demander à nouveau aux Irlandais de ratifier le traité".

    M. Cowen a ajouté que son gouvernement pourrait "organiser un référendum début octobre".

    Le contenu même des garanties ne faisait guère débat: il s'agissait d'assurer aux Irlandais que le traité n'affecterait ni la neutralité militaire de l'Irlande, ni son interdiction de l'avortement, ni sa fiscalité. Et que chaque pays garderait "son" commissaire à Bruxelles.

    Autant de points qui avaient nourri le camp du "non" il y a un an, lorsque le traité avait été rejeté par 53,4% des voix.

    Mais il restait à déterminer la forme juridique de ces garanties.

    M. Cowen est arrivé au sommet en demandant que ses 26 partenaires s'engagent à renforcer la valeur juridique de ces garanties, une fois que le traité de Lisbonne sera en vigueur, condition pour lui d'obtenir un "oui" lors du prochain référendum.

    Son objectif: transformer une "décision" en "protocole", afin de lui donner valeur de traité, ce qui implique de le faire ratifier partout.

    Les autres dirigeants, le Britannique Gordon Brown en tête, refusaient initialement d'aller jusque là, de peur de rouvrir un débat risqué sur la ratification du traité de Lisbonne.

    Les conservateurs de David Cameron, donnés gagnants aux prochaines législatives en Grande-Bretagne, ont en effet agité la menace de soumettre le traité de Lisbonne, pourtant déjà ratifié par le pays, à un référendum.

    Au final, les Irlandais ont bien obtenu l'engagement écrit des 27 que les garanties deviendront un protocole "lors de la conclusion du prochain traité d'adhésion" d'un pays à l'UE - soit probablement lorsque le bloc des 27 accueillera la Croatie ou l'Islande, en 2011 au plus tôt.

    Pour éviter toute difficulté en Grande-Bretagne - ou encore en République tchèque et en Pologne, deux pays où la ratification reste inachevée - le texte final souligne cependant que le protocole "ne changera ni le contenu ni l'application du traité de Lisbonne". Et que les garanties "ne nécessiteront pas de nouvelle ratification du traité".

    Rédigé après l'échec du projet de Constitution européenne en 2005, le traité de Lisbonne, censé rendre l'UE plus efficace et plus influente dans le monde, n'entrera en vigueur que s'il est ratifié par les 27 pays de l'UE.

    Les dirigeants ont aussi soutenu M. Barroso pour un second mandat à la tête de la Commission européenne.

    Le conservateur portugais n'est néanmoins pas au bout de ses peines. Il devra encore passer sous les fourches caudines du nouveau Parlement européen, où il a de nombreux ennemis.

    AFP. 19 juin 2009

     

  • Pas de burqa pour Fadela?

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    Niqab (burqa sans grillage devant les yeux)

    AFP. 19/06/09. La secrétaire d'Etat à la Ville Fadela (Fatiha) Amara s'est dite favorable à une loi contre le port de la burqa, dans un entretien au Parisien vendredi.

      "Il faut que le débat actuel débouche sur une loi qui protège les femmes", a déclaré Mme Amara, qui avait approuvé jeudi la proposition faite par le député André Gerin (PCF, Rhône) de créer une commission d'enquête sur le port du voile intégral.

    "Je suis favorable à l'interdiction totale de la burqa dans notre pays", a ajouté la secrétaire d'Etat, qualifiant le voile intégral de "cercueil qui tue les libertés fondamentales".

    Une soixantaine de députés, emmenés par le député PCF de Vénissieux (Rhône) André Gerin, ont demandé la création d'une commission d'enquête parlementaire sur le port en France de la burqa ou du niqab.

    Le type même du  faux problème posé par les pro-immigrationnistes: il ne s'agit pas de légiférer sur le port de la burka, du niqab ou du voile, mais d'INTERDIRE l'immigration maghrébine en France

    Les Français n'ont pas vocation à "protéger" les femmes musulmanes des coutumes de leur pays, religion, etc...

  • Une fillette de 5 ans a disparu jeudi à Maubeuge

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    Tiphaine Taton, 5 ans

    Une disparition de plus en plus inquiétante. Les policiers ne savent pas ce qui est arrivé à Tiphaine, 5 ans, portée disparue depuis jeudi en milieu d'après-midi à Maubeuge. L'alerte a été donnée peu après 16H30 par la mère de la fillette. Selon elle, Tiphaine a disparu «en l'espace de cinq secondes», à un croisement, dans le centre-ville, non loin des rives de la Sambre, alors qu'elle accompagnait sa mère qui faisait ses courses.

    Les enquêteurs n'écartent pas l'hypothèse de la noyade mais semblent privilégier la piste d'un différend familial. « Il y avait beaucoup de monde sur les rives de la Sambre, il faisait beau. On n'imagine pas qu'elle puisse être tombée à l'eau sans que quelqu'un s'en aperçoive», avance-t-on de source policière. La mère de Tiphaine et son compagnon, qui n'est pas le père de l'enfant, ont été placés en garde à vue vendredi pour «éclaircir les circonstances de la disparition de l'enfant». Les enquêteurs, qui n'ont «pas d'éléments contre la mère» cherchent à vérifier s'il n'y avait pas de problème de couple qui pourrait expliquer la disparition de l'enfant.

    Les parents de Tiphaine sont séparés eux depuis quatre ans et demi et entretiennent une relation difficile. Selon la Voix du Nord, Tiphaine a été élevée par sa grand-mère et par son père à Faches-Thumesnil. Mais depuis un an, Tiphaine vivait avec sa mère, selon un accord tacite entre les parents, explique-t-on de source policière. La mère de la fillette avait déjà la garde de l'aîné et a un troisième enfant avec son nouveau concubin.

    D'importants moyens ont été immédiatement mis en œuvre pour retrouver Tiphaine. Un portrait de la fillette a été diffusé localement, des équipes cynophiles ont ratissé le centre de Maubeuge et des plongeurs ont sondé la Sambre, en vain. Les recherches, suspendues au milieu de la nuit, ont repris au lever du jour pour s'achever vers midi.

    Tiphaine a les cheveux châtains coupés au carré et mesure 1,10 cm. Elle était habillée au moment de sa disparition d'un tee-shirt rose et chaussée de baskets rouges.

    Le Figaro - 19 juin 2009

  • Le Guide suprême de l'Iran Ali Khameini demande l'arrêt des manifestations

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    Une jeune Iranienne avec le portrait d'Ali Khamenei lors d'une manifestation pro-gouvernementale à l'université de Téhéran - 19 juin 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    Le Guide suprême de l'Iran Ali Khamenei a réclamé vendredi la fin de manifestations sans précédent en 30 ans de République islamique, apportant son soutien à la réélection controversée du président Mahmoud Ahmadinejad.

    "Le bras de fer dans la rue est une erreur, je veux qu'il y soit mis fin", a dit le Guide, la plus haute autorité de l'Etat, avertissant qu'il "ne céderait pas à la rue".

    Dans sa première apparition en public après une semaine de colère populaire depuis la présidentielle du 12 juin, l'ayatollah Khamenei a exclu que toute fraude à grande échelle ait pu fausser le scrutin et a mis en garde l'opposition menée par le principal rival de M. Ahmadinejad, Mir Hossein Moussavi, contre l'"extrémisme" débouchant sur la violence.

    "Le peuple a choisi celui qu'il voulait", "le président a été élu par 24 millions de voix", a-t-il lancé, confirmant les résultats officiels du scrutin. Celui-ci est contesté par les trois candidats rivaux de M. Ahmadinejad qui ont parlé d'"irrégularités" et réclament une nouvelle élection.

    Pour lui, "l'élection a témoigné de la confiance du peuple dans le régime" islamique grâce à une participation exceptionnelle de 85%.

    Il a seulement réaffirmé que "tout doute sur les résultats devait être examiné par des moyens légaux". Le Conseil des gardiens de la Constitution doit rendre au plus tard dimanche un avis sur un possible nouveau comptage partiel.

    L'opposition n'avait pas immédiatement réagi au discours de l'ayatollah Khamenei.

    Les partisans de M. Moussavi avaient annulé pour la première fois depuis le début de leur mouvement une manifestation prévue vendredi à l'Université où l'ayatollah Ali Khamenei s'exprimait.

    Ils avaient prévu de descendre de nouveau samedi dans la rue, mais les autorités ont interdit ce nouveau rassemblement.

    "Aucune autorisation n'a été délivrée (...) J'espère que (...) que cette manifestation n'aura pas lieu", a déclaré le gouverneur de Téhéran Morteza Tamadone.

    A Bruxelles, les dirigeants de l'UE ont appelé Téhéran à laisser le peuple "se rassembler et s'exprimer pacifiquement et à s'abstenir d'utiliser la force contre les manifestations pacifiques", alors que le président Nicolas Sarközy appelait les dirigeants iraniens à "ne pas commettre l'irréparable".

    Depuis l'annonce samedi des résultats de la victoire du président Ahmadinejad, les partisans de M. Moussavi ont organisé d'imposantes manifestations quotidiennes dont l'une avait dégénéré lundi avec la mort de sept manifestants.

    Face à la colère, le pouvoir a multiplié les arrestations au sein du camp réformateur qui soutient M. Moussavi.

    Il a également limité le travail de la presse étrangère, lui interdisant notamment depuis mardi la couverture des manifestations "illégales" et d'autres événements. Vendredi, le discours de l'ayatollah Khamenei a été ouvert à la presse étrangère.

    Dans son long prêche devant des milliers de fidèles rassemblés à l'Université de Téhéran, dont M. Ahmadinejad, le guide suprême a aussi dénoncé les critiques des Occidentaux sur la victoire de cet ultraconservateur au premier tour (62,63%) face à M. Moussavi (33,75%), un conservateur modéré.

    Les pays occidentaux "ont montré leur vrai visage, en premier lieu le gouvernement britannique", a-t-il lancé, alors que la foule criait "A bas la Grande-Bretagne".

    AFP. 19 juin 2009

  • Les trésors de la cour de Russie au XIXème siècle exposés au musée de l'Ermitage à Amsterdam

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    Une femme (voilée?) visite le nouveau bâtiment du musée - 18 juin 2009
    Le faste des tsars en plein coeur d'Amsterdam : le nouveau bâtiment de l'Ermitage, extension du musée éponyme de Saint-Pétersbourg, ouvrira vendredi avec une exposition sur la cour de Russie au XIXe siècle, en présence du président russe Dmitri Medvedev.
    L'Ermitage d'Amsterdam est désormais installé dans l'Amstelhof, un bâtiment du XVIIe siècle voisin de celui qu'il occupait depuis sa création en 2004. Sa superficie a été multipliée par dix pour atteindre près de 10.000 mètres carrés.

    "C'est un rêve qui devient réalité : la magnifique métamorphose d'un hospice en musée moderne du XXIe siècle", s'est réjouit jeudi le directeur de l'Ermitage d'Amsterdam, Ernst Veen, lors d'une conférence de presse dans le bâtiment rénové, aux lignes épurées et aux pièces spacieuses.

    Le musée, qui sera inauguré vendredi soir par le président russe Dmitri Medvedev et la reine Beatrix des Pays-Bas, répond à la volonté de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg de "rendre sa collection accessible à tous", explique à l'AFP son directeur, Michail Piotrovsky.

    "A cette fin, l'Ermitage a envoyé à l'étranger de nombreux "Spoutnik", comme des galeries et des centres de recherches, et collabore avec de nombreux musées. Mais celui d'Amsterdam est sans conteste une grande station spatiale", affirme-t-il.

    Il proposera jusqu'au 31 janvier 2010 une exposition sur les tsars, "A la cour de Russie. Palais et protocole au XIXe siècle", qui promet d'être l'une des plus grandes jamais réalisées aux Pays-Bas.

    Quelque 1.800 pièces, sélectionnées parmi les 300 millions d'objets du musée de Saint-Pétersbourg, retraceront l'histoire de "l'une des cours les plus flamboyantes de l'Europe du XIXe siècle", selon le musée, de Paul Ier à Nicolas II, exécuté par les bolcheviks en 1918.

    La vie officielle du palais et son strict protocole sont illustrés par un défilé de costumes de courtisans, alignés devant le tsar assis sur un trône d'or et de velours rouge orné d'un aigle à deux têtes, l'emblème de la dynastie des Romanov.

    Une aile du musée redonne vie aux bals fastueux qui animaient l'Ermitage de Saint-Pétersbourg. D'élégantes robes de soie brodée pastel, aux longues traînes, sont présentées dans des vitrines rondes qui tournent au rythme d'un air de valse, sous les yeux des membres de la haute société dont les portraits ornent les murs.

    L'opulence des souverains russes apparaît aussi dans les toiles de maîtres hollandais, les vases de jaspe, de porphyre ou de lapis-lazuli, les tabatières et les bijoux de Fabergé, la porcelaine de Sèvres...

    L'Ermitage d'Amsterdam, qui prévoit de monter deux expositions par an, possède également une collection permanente sur l'histoire de l'Amstelhof et les relations entre les Pays-Bas et la Russie.

    "Saint-Pétersbourg a été fondée en 1703 par Pierre le Grand, sur le modèle d'Amsterdam où il avait séjourné en 1696", explique Ernst Veen. Les familles Orange-Nassau et Romanov étaient liées par le mariage du roi Guillaume II des Pays-Bas avec la fille de Paul Ier, Anne Paulowna.

    La rénovation de l'Amstelhof, entamée au printemps 2007, a coûté 40 millions d'euros, pris en charge par des partenaires publics et privés. L'ancien bâtiment, le Neerlandia, a été aménagé pour accueillir des ateliers pour enfants.

    Pour son premier week-end d'ouverture au public, l'Ermitage restera ouvert pendant 31 heures à partir de samedi 10H00 (08H00 GMT).

    AFP. 18 juin 2009

  • Des députés s'inquiètent, un peu tard, de la généralisation du port de la burqa...

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    Après Manuel Valls qui prend conscience qu’il est le seul Blanc à la brocante d’Evry, des députés s’inquiètent de la généralisation du port de la burqa dans leur circonscription...

    A Vénissieux, la troisième plus grande ville du Rhône, les niqabs, ces longs voiles noirs qui ne laissent apparaître que les yeux (comme des burqas afghanes, mais sans grillage) sont très en vogue.

    Le député (PCF) de cette circonscription, André Gerin, réclame un débat national. Et pas seulement parce qu’il s’est retrouvé incapable de marier une femme dont le futur époux refusait qu’elle dévoile son visage.

    Cinquante-sept autres députés (2 PCF, 7 PS, 43 UMP, 2 Nouveau Centre et 3 non-inscrits) ont signé la proposition de résolution qu’il vient de déposer à l’Assemblée nationale, et qui sera rendue publique demain.

    Ces politiciens , ont-ils simplement conscience qu’ils sont les premiers responsables de cette colonisation territoriale, culturelle et religieuse?
    Pour l’heure aucun d’entre eux n’a conclu qu’il fallait arrêter l’immigration. L’invasion va donc pouvoir continuer.

    Altermedia info. 17 juin 2009

     

    Le député André Gerin (PCF) a déposé une proposition de résolution afin de créer une commission d'enquête parlementaire sur le port, par certaines femmes musulmanes, de la burka ou du niqab - un voile qui les recouvre entièrement-, a-t-on appris de source parlementaire.

    Le texte, cosigné par 58 députés de toutes tendances politiques, en particulier de droite (3 PCF, 7 PS, 43 UMP, 2 NC, 3 NI), prévoit la mise en place d'une commission de 30 membres.

    Elle serait chargée de "définir des propositions afin de lutter contre ces méthodes qui constituent une atteinte aux libertés individuelles sur le territoire national".

    Si elle était créée, elle devrait rendre son rapport le 30 novembre au plus tard.

    "Nous sommes aujourd'hui confrontés, dans les quartiers de nos villes, au port par certaines femmes musulmanes de la burqa, voilant et enfermant intégralement le corps et la tête dans de véritables prisons ambulantes ou du niqab qui ne laisse apparaître que les yeux", écrit M. Gerin, député-maire de Vénissieux (Rhône), dans l'exposé des motifs du texte. Il juge cette "tenue vestimentaire dégradante".

    "La vision de ces femmes emprisonnées nous est déjà intolérable lorsqu'elle nous vient d'Iran, d'Afghanistan, d'Arabie Saoudite... Elle est totalement inacceptable sur le sol de la République française", considère M. Gerin.

    Outre André Gerin, le texte est signé notamment par Christian Bataille (PS), Patrick Beaudoin (UMP), Alain Benisti (UMP), Véronique Besse (NI, MPF), Jacques Desalangre (PCF), Nicolas Dupont-Aignan (NI), Jean-Pierre Kudeicha (PS), Pierre Lellouche (UMP), Maurice Leroy (NC), Lionnel Luca (UMP), Thierry Mariani (UMP), Jacques Myard (UMP).

    AFP. 17 juin 2009

    Ce qui est dégradant, c'est de laisser l'Islam envahir la France, terre chrétienne et laïque!

  • Véronique Courjault n'a que huit ans de prison pour l'assassinat de ses trois bébés, et elle pourra sortir bien plus tôt...

    Après un dernier regard à son mari et avoir touché la main d'une de ses soeurs, Véronique Courjault en larmes a quitté son box, condamnée jeudi par la cour d'assises d'Indre-et-Loire à huit ans d'emprisonnement pour des infanticides commis sur trois de ses nouveau-nés.

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    Après presque huit heures de délibéré, l'accusée, âgée de 41 ans, était restée impassible à l'énoncé du verdict, de même que son mari Jean-Louis, assis en face d'elle.

    Jugée pour "assassinats", elle encourait la réclusion criminelle à perpétuité... Mais elle pourrait sortir bien plus tôt, selon plusieurs avocats.

    "A l'évidence, c'est une décision d'espoir à partir du moment où une condamnation permet de calculer une libération en mois", a déclaré à la presse Me Marc Morin, conseil des parties civiles.

    Selon une des avocates de l'accusée, Me Hélène Delhommais, Véronique Courjault pourrait en effet être libérée assez rapidement. "Noël, c'est trop tôt, elle fera au moins un an de détention", a-t-elle dit à l'AFP.

    Au sortir de l'audience, Jean-Louis Courjault, le sourire aux lèvres, s'est réjoui d'une peine qui pour lui laisse entrevoir une prochaine sortie de prison et va "nous permettre de reconstruire, d'entrevoir le bout du tunnel".

    "Dans quelque temps, quelques mois, Véronique pourra retrouver ses enfants et ce sera le début du renouveau. Je suis sûr que ce sera de bons moments", a-t-il déclaré à la presse.

    "Je viens de l'annoncer le verdict à mes enfants et je peux vous assurer qu'il y a de la joie à la maison", a-t-il estimé.

    L'avocat général Philippe Varin avait requis la veille 10 ans de prison à l'encontre de l'accusée. "Ne diabolisez pas Véronique Courjault, mais n'en faites pas une icône non plus", avait-il demandé.

    Une seule certitude pour l'avocat général: il ne s'agissait "en aucun cas d'un déni de grossesse".

    "Cette femme a commis une faute, un crime, mais ce n'est pas un monstre", a lancé jeudi matin, la voix brisée par l'émotion, Me Henri Leclerc, l'un des défenseurs de Véronique Courjault.

    "Je voudrais qu'elle sorte, qu'est-ce que vous avez à craindre? Elle n'est pas dangereuse", a poursuivi Me Leclerc. "Il faut qu'elle se reconstruise avec ses enfants", a encore plaidé l'avocat, en faisant allusion à Jules et Nicolas, les deux fils du couple Courjault.

    "J'ai eu conscience d'être enceinte, cette conscience, je l'ai perdue à un moment. Pour moi, je n'attendais pas de bébé", a rappelé tout au long du procès Véronique Courjault.

    Elle a aussi reconnu à de nombreuses reprises que les faits étaient "monstrueux et inexplicables".

    "L'instruction m'a permis de prendre conscience de plein de choses, de me poser des question. Mais je n'ai toujours pas de réponse. J'espère en trouver", a-t-elle déclaré mardi, au septième jour d'un procès entamé le 9 juin.

    La découverte le 23 juillet 2006 par le mari de deux bébés dans le congélateur de leur maison à Séoul avait été le point de départ de ce fait divers qui a marqué les Français.

    Le couple a d'abord nié "être les parents", mais a ensuite été rapidement confondu par les tests ADN. Véronique Courjault a été incarcérée le 12 octobre 2006 à Orléans.

    Devant les enquêteurs elle a reconnu trois infanticides. Le premier sur un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en Charente-Maritime, les deux autres sur deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 à Séoul où son mari ingénieur travaillait pour une société américaine.

    AFP 18 juin 2009

    Une envie de vomir!

  • VIDEO Obama tue une mouche!

    http://www.dailymotion.com/video/x9ly2w_obama-tue-une-mouche_news

    Attirée par Obama, une mouche est venue l'importuner... le monde entier va-t-il admirer son sang-froid?

     

  • Iran: une élection démocratique

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    MOSCOU, 17 juin - RIA Novosti. La présidentielle du 12 juin dernier en Iran remportée par le président sortant Mahmoud Ahmadinejad a été absolument démocratique, a estimé mercredi lors d'une conférence de presse à RIA Novosti Pavel Zarifoulline, rédacteur en chef du portail analytique Geopolitika (Russie).

    " A titre d'observateur, j'ai participé à bien des élections, notamment en Biélorussie et en Moldavie, mais je n'ai vu nulle part d'élections aussi démocratiques qu'en Iran", a dit l'expert qui a suivi parmi les observateurs russes la dernière élection présidentielle en Iran.

    Et d'expliquer qu'au cours de la campagne électorale en Iran, les journaux d'opposition se vendaient librement, alors que la télévision locale transmettait les meetings de contestataires du régime en place.

    Selon M.Zarifoulline, l'ampleur des heurts éclatés dans la capitale iranienne à l'annonce samedi dernier de la réélection de Mahmoud Ahmadinejad a été excessivement "exagérée" par les médias occidentaux.

    "Les troubles étaient plutôt localisés et n'avaient principalement lieu que dans deux quartiers de Téhéran, alors que le reste de la capitale continuait à vivre tranquillement", a-t-il dit.

    Le calme régnait aussi dans les provinces iraniennes, ce qui s'explique, selon l'expert, par le fait que toute la province soutient Mahmoud Ahmadinejad, et c'est seulement dans la capitale que son principal rival Mir Hossein Moussavi a des positions solides.

    "Dans les régions du pays, on ne voyait que des portraits de Mahmoud Ahmadinejad, alors que ceux de Mir Hossein Moussavi étaient arrachés à peine accrochés", a indiqué M.Zarifoulline.

    Le président sortant Mahmoud Ahmadinejad a remporté l'élection présidentielle avec 62,63% des voix au 1er tour. Son principal rival Mir Hossein Moussavi a clamé sa victoire même avant l'annonce officielle des résultats du scrutin et a crié à la fraude.

    Les sympathisants de Mir Hossein Moussavi ont contesté la victoire du président sortant et sont descendus dans la rue. Des milliers de manifestants ont participé à des accrochages avec la police, en saccageant des magasins et en se livrant à d'autres excès.

    Le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, qui a qualifié la réélection de M.Ahmadinejad de "grande fête", a concédé ensuite qu'un recomptage partiel des résultats sujets à caution pourrait être nécessaire.

  • Etes-vous plus Français que lui?

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    L'allocution du 17 juin 1940 du maréchal Pétain

    Allocution prononcée à la radio française le 17 juin 1940.


    Français!

    A l'appel de M. le président de la République, j'assume à partir d'aujourd'hui la direction du gouvernement de la France. Sûr de l'affection de notre admirable armée, qui lutte avec un héroïsme digne de ses longues traditions militaires contre un ennemi supérieur en nombre et en armes, sûr que par sa magnifique résistance elle a rempli son devoir vis-à-vis de nos alliés, sûr de l'appui des anciens combattants que j'ai eu la fierté de commander, sûr de la confiance du peuple tout entier, je fais à la France le don de ma personne pour atténuer son malheur.
    En ces heures douloureuses, je pense aux malheureux réfugiés, qui, dans un dénuement extrême, sillonnent nos routes. Je leur exprime ma compassion et ma sollicitude. C'est le cœur serré que je vous dis aujourd'hui qu'il faut cesser le combat.
    Je me suis adressé cette nuit à l'adversaire pour lui demander s'il est prêt à rechercher avec nous, entre soldats, après la lutte et dans l'honneur, les moyens de mettre un terme aux hostilités.
    Que tous les Français se groupent autour du gouvernement que je préside pendant ces dures épreuves et fassent taire leur angoisse pour n'écouter que leur foi dans le destin de la patrie.

  • Appel aux Français du Maréchal Pétain le 17 juin 1940

    Français! J'ai demandé à nos adversaires de mettre fin aux hostilités. Le gouvernement a désigné mercredi les plénipotentiaires chargé de recueillir leurs conditions.

    J'ai pris cette décision, dure au coeur d'un soldat, parce que la situation militaire l'imposait. Nous espérions résister sur la ligne de la Somme et de l'Aisne. Le général Weygand avait regroupé nos forces. Son seul nom présageait la victoire. Pourtant la ligne a cédé et la pression ennemie a constraint nos forces à la retraite.

    Dès le 13 juin, la demande d'armistice était inévitable. Cet échec vous a surpris. Vous souvenant de 1914 et de 1918, vous en cherchez les raisons. Je vais vous les dire.

     
    Le 1er mai 1917, nous avions encore 3 280 000 hommes aux armées, malgré trois ans de combats meurtriers. A la veille de la bataille actuelle, nous en avions 500 000 de moins. En mai 1918, nous avions 85 divisions britanniques: en mai 1940, il n'y en avait que 10. En 1918, nous avions avec nous les 58 divisions italiennes et les 42 divisions américaines.

    L'infériorité de notre matériel a été plus grande encore que celles de nos effectifs. L'aviation française a livré à un contre six ses combats. Moins forts qu'il y a vingt-deux ans, nous avions aussi moins d'amis. Trop peu d'enfants, trop peu d'armes, trop peu d'alliés: voilà notre défaite.

    Le Peuple français ne conteste pas ses échecs. Tous les peuples ont connu tour à tour des succès et des revers. C'est par la manière dont ils réagissent qu'ils se montrent faibles ou grands.

     
    Nous tirerons la leçon des batailles perdues. Depuis la victoire, l'esprit de jouissance l'a emporté sur l'esprit de sacrifice. On a revendiqué plus qu'on a servi. On a voulu épargner l'effort: on rencontre aujourd'hui le malheur. J'ai été avec vous dans les jours glorieux. Chef du gouvernement, je suis et resterai avec vous dans les jours sombres. Soyez à mes côtés. Le combat reste le même. Il s'agit de la France, de son sol, de ses fils.
    (Source: partisans. ifrance)