Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • Seule photo trouvée de Jean-Paul Steijns

    Jean-paul Steijns photo floutée.jpg
    et encore elle est floutée...
    Jean Paul Steijns arrive au palais de justice de Marseille le 22 octobre 2005 après la découverte des corps des deux enfants de sa femme, âgés de 7 et 8 ans
    Les photos de la mère meurtrière, Marie-Hélène Martinez, ne manquent pas, mais curieusement on n'en trouve aucune de son mari, Jean-Paul Steijns, le beau-père des enfants empoisonnés...

  • VIDEO Cérémonie d'hommage aux soldats français tués en Afghanistan

    http://tf1.lci.fr/infos/france/0,,4754676,00-hommage-de-la-nation-aux-deux-soldats-du-3e-rima-.html

    Une occasion pour Sarközy de reparler du 11-Septembre... et de l'honneur de la France!

    Mais qu'il envoie donc ses fils combattre les talibans!

  • Le Pen: "C'est le temps de la gestapo!"

    Jean-Marie Le Pen a jugé aujourd'hui que le "tollé soulevé" par les propos équivoques de Brice Hortefeux sur un jeune militant UMP d'origine arabe, était "scandaleux". "Ce serait comique si ce n'était pas scandaleux. Non pas la déclaration de Brice Hortefeux qui n'a aucune importance mais le tollé que cela soulève dans l'opinion", a dit le président du Front national. "Il y a désormais en France une censure antiraciste qui s'exerce par l'intermédiaire des médias", a-t-il dénoncé.

    Mais, a ajouté le président du FN, "Brice Hortefeux y a prêté la main lui-même; il a mis à la retraite d'office un préfet accusé d'avoir tenu un propos déplaisant paraît-il pour les immigrés lors d'un contrôle à l'aéroport".

    "Petit à petit l'espace de liberté d'opinion des Français se restreint, même l'humour n'est plus accepté. Il faut que les Français exigent la liberté de parole. C'est le temps de la gestapo, jamais plus ça", a-t-il dit.

    Le Figaro - 11.09.09

  • VIDEO "Il faut sauver le ministre Hortefeux"!

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafMRyd.html

    Le jeune militant UMP, Amine (ou Hamid) Benalia-Braouch, qui apparaît sur la vidéo dans laquelle Brice Hortefeux tient des propos équivoques, a affirmé jeudi soir que la discussion «n'a jamais tourné autour de ses origines», confirmant la version donnée par le ministre de l'Intérieur.

    Nous verrons sans doute ce jeune homme obtenir bientôt un poste au gouvernement! Il ment si bien!

  • Feu à Marseille: deux jeunes arrêtés le 5 septembre...

    Deux adolescents soupçonnés d'être à l'origine d'un incendie qui s'est déclaré cet après-midi à Marseille non loin d'habitations et est désormais maîtrisé ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Agés de moins de quinze ans, ces deux jeunes ont été repérés par un policier hors service alors qu'ils jetaient des pétards et ont été placés en garde à vue à la Sûreté départementale de la ville, a indiqué cette source, précisant qu'ils étaient pénalement irresponsables.

    Le feu s'est déclenché "à 16h15 au sud du bassin du vallon d'Ol" - qui se situe au nord de la ville -, avant de "progresser dans une végétation méditerranéenne basse et moyenne, menaçant les quartiers ouest de la Batarelle", a déclaré un porte-parole des marins-pompiers. Il "était très virulent et menaçait plusieurs habitations", a-t-il souligné, ajoutant qu'il avait ravagé une dizaine d'hectares.

    Près de 150 hommes, marins-pompiers de Marseille et sapeurs-pompiers du département des Bouches-du-Rhône, ont été mobilisés pour combattre le feu, avec une quarantaine de véhicules de secours, trois Canadair, deux Tracker, un Dash 8 et un hélicoptère bombardier d'eau.

    Le Figaro - 05 septembre 2009

  • La "taxe carbone" est bel et bien un impôt nouveau!

    nicolas-sarkozy- taxe carbone.jpg
    "On paye l'inertie des comportements depuis des générations et je vais me battre pour défendre ce choix". Jeudi dans l'Ain, Nicolas Sarközy a longuement justifié son choix de créer "une fiscalité écologique" car "le réchauffement climatique est le défi de notre génération". Et de critiquer au passage ceux qui ne respectent pas aujourd'hui leur signature du pacte écologique de Nicolas Hulot pendant la campagne présidentielle. "Je l'ai signé, je le fais", a-t-il affirmé, en visant sans la nommer Ségolène Royal.  
     
    Le chef de l'Etat a donc décidé de créer dès l'an prochain une taxe carbone. Cette taxe carbone sera instaurée sur la base de 17 euros la tonne de CO2, ce qui représente une hausse de 4,5 centimes par litre de fioul et de gasoil et de 4 centimes par litre d'essence.

    Combien ça coûte ? Combien ça rapporte ?
     
    La création de la taxe carbone s'accompagnera d'une compensation pour tous les ménages français, sous forme d'une réduction d'impôt sur le revenu ou d'une "chèque vert" pour les foyers non imposables. Cette taxe n'augmentera pas les prélèvements (obligatoires) dans notre pays (...) je n'augmenterai pas les impôts", a précisé le chef de l'Etat, insistant sur cette "règle intangible". "Dans un esprit de justice", cette compensation en faveur des ménages sera différenciée, selon la taille de la famille et selon que celle-ci vit en zone urbaine où il existe des transports en commun ou bien en zone rurale, a précisé le président de la République.
     
    Nicolas Sarközy a donné deux exemples :

    - un ménage avec deux enfants vivant en zone urbaine bénéficiera dès le mois de février prochain d'une réduction de 112 euros sur son premier tiers provisionnel s'il paie l'impôt sur le revenu, d'un "chèque vert" du même montant s'il est non imposable
    - le même ménage vivant en zone rurale dépourvue de transports en commun bénéficiera de 142 euros.

    Pour prouver à l'opinion que sa décision n'entraînait pas une hausse des prélèvements obligatoires, Nicolas Sarközy a annoncé la création d'une "commission indépendante" afin de garantir une "transparence totale" sur les compensations de la taxe carbone.
     
    LCI.fr - 10.09.09 

  • Une jeune fille sauvée in extremis de ses agresseurs sexuels

    Il est un peu plus de 14 heures, ce mercredi 9 septembre. Antoine* a rendez-vous avec sa petite-amie Amélie* près du centre commercial de Châteauroux. Elle est en retard. C'est alors qu'il reçoit un SMS en langage abrégé dans lequel elle lui dit être montée dans une voiture avec deux individus et être en difficulté. Antoine, qui connaît bien son amie, comprend tout de suite que ce n'est pas une blague et demande de l'aide aux agents de sécurité du magasin Carrefour, qui appellent la police. Quelques minutes plus tard une patrouille est sur les lieux. "A la lecture du texto et devant l'évidente sincérité du jeune homme, les policiers ont tout de suite pris cette affaire très au sérieux", explique à LCI.fr Brigitte Siffert, directrice départemental de la sécurité publique à Châteauroux

    Une course contre la montre commence. "Nous avons prévenu la police municipale, les gendarmes et 'vidé' le commissariat de ses 30 fonctionnaires. Tous sont allés sur le terrain pour établir un maillage le plus serré possible" poursuit la commissaire principal. Un hélicoptère de la gendarmerie est même mis en alerte au cas où la traque s'éterniserait.
     
    Le téléphone d'Amélie est également placé sous géolocalisation. Une mesure d'autant plus utile que la jeune fille de 17 ans continue d'envoyer des textos, très brefs, pour donner des infos. Les enquêteurs apprennent grâce à elle que la voiture est blanche et les routes qu'elle suit : Velles, puis Luant, situé à une douzaine de kilomètres de Châteauroux. C'est là que des gendarmes repèrent le véhicule à l'arrêt. Les deux hommes sont à l'arrière avec Amélie. Ils sont interpellés alors qu'ils tentent d'agresser sexuellement la jeune fille. Entre le signalement de l'enlèvement et son dénouement, il se sera écoulé moins d'une heure et demie. Les deux individus, des Roumains de passage dans le département, étaient toujours en garde à vue jeudi en début d'après-midi et devaient être déférés dans les heures qui viennent au parquet de Châteauroux.
     
    "Cette jeune fille a eu beaucoup de chance. C'est le résultat d'un énorme sang froid de sa part et aussi d'une très belle collaboration entre services de police", estime Brigitte Siffert. Selon les premiers éléments de l'enquête, Amélie n'aurait pas subi de violences pour monter dans la voiture. "Les deux individus ont utilisé une ruse, disant apparemment qu'ils travaillaient pour l'Unicef et qu'ils avaient besoin d'un coup de main. La jeune fille, peut-être un peu naïve, n'a rien vu venir. Elle n'était pas préparée à ce genre de chose et n'a pas su dire non".

    "Ne jamais monter dans une voiture avec un inconnu"

    Alors que ce genre d'affaires, aux issues parfois bien plus dramatiques que celle-ci, se multiplie ces dernières semaines, la commissaire principal Brigitte Siffert rappelle quelques consignes de base :
    Que faire si l'on est accosté par quelqu'un en voiture ?
    "
    Que l'on soit un garçon ou une fille, il ne faut 'jamais' monter dans une voiture avec un inconnu. Quel que soit le prétexte invoqué. Encore plus si la personne dit être en détresse ou mourante car ce type d'agresseur profite de la crédulité des jeunes pour faire d'eux une proie. A Châteauroux, qui est pourtant une ville très tranquille, la jeune fille ne doit son salut qu'à l'incroyable chance qu'elle a eu de pouvoir communiquer avec son téléphone".
    Que faire si la personne insiste ?
    "Il faut prévenir ses parents, faire du bruit, crier, courir... tout ce qui peut faire attirer l'attention sur vous".
    Les jeunes filles doivent-elles se méfier d'autres types de situation ?
    "Il faut toujours se méfier des inconnus. Et je recommanderai aux femmes d'éviter de se trouver seules dans des endroits isolés, comme de faire un footing en forêt".
    Quand les parents doivent-ils parler de ce genre de risque à leurs enfants ?
    "Le plus tôt possible. Dès qu'ils sont en âge de comprendre en fait. Quitte à dramatiser un petit peu les faits Ce qu'il faut aussi, c'est leur parler de faits réels qui sont arrivés pas loin de chez vous. Et de bien expliquer que cela n'arrive pas qu'aux autres, malheureusement"

  • La réaction du préfet Girot de Langlade

    Le préfet Paul Girot de Langlade, soupçonné de propos racistes et "mis à la retraite d'office", a estimé jeudi sur France Info à propos de la vidéo de Brice Hortefeux sur l'immigration qu'il n'était pas "le plus raciste des deux".

    "Moi, il (le ministre de l'Intérieur, ndlr) m'a mis à la retraite d'office, alors j'attends de voir maintenant ce que vont faire les associations antiracistes face à ce dérapage verbal", a déclaré M. Girot de Langlade, au lendemain de l'officialisation de sa retraite annoncée en Conseil des ministres.

    Benoît Hamon, porte-parole du PS, s'est demandé jeudi ce que faisait "encore au gouvernement " Brice Hortefeux, après des propos, à ses yeux, "honteux et inqualifiables".

    Les Verts ont dénoncé jeudi l'expression d'un "racisme banal, bête et méchant" chez le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux.

    Diffusée sur Dailymotion, cette vidéo postée à 16H05 sur le site du Monde, a connu d'emblée un grand succès avec plus de 130.000 connexions enregistrées à 18H40.

    AFP - 10.09.09

  • VIDEO Hortefeux tient en public des propos racistes!

    http://www.dailymotion.com/video/xafxrd_quand-brice-hortefeux-derape_news

    Sur cette vidéo que s'est procurée "Le Monde", le ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a posé pour la photo en compagnie d'Hamid, un jeune militant, samedi 5 septembre 2009 lors de l'université d'été de l'UMP, à Seignosse dans les Landes. "Il ne correspond pas du tout au prototype", plaisante M. Hortefeux en référence à l'origine arabe du jeune homme, avant d'ajouter : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes".

  • Brice Hortefeux fait scandale!

    La scène se déroule en marge des universités d'été à l'université de Seignosse () les 5 et 6 septembre dernier. C'est Le Monde.fr qui la révèle. Elle met aux prises le ministre de l'Intérieur, pull bleu ciel noué autour du cou et Jean-François Copé, chef de file des députés UMP à l'.

      

    La discussion s'engage sur les origines du ministre, élu d'Auvergne. «N'oubliez pas un truc. Il est Auvergnat. Il est Auvergnat, c'est un drame», avertit le député-maire de Meaux (Seine-et-Marne).

    Un jeune militant Hamid s'invite auprès des deux élus pour se faire prendre en photo. Il est visiblement l'attraction.
    «C'est l'intégration ça», lance un homme. «Il mange du cochon et boit de la bière», entend-on un peu plus loin sur la bande son. 

     

    Brice Hortefeux, en faisant allusion aux origines du jeune Hamid, glisse alors : «Il ne correspond pas du tout au prototype». Avant de poursuivre: «Il en faut toujours un. Quand il y a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup que ça pose problème.» La vidéo disponible sur la plateforme Daily Motion agite la toile.

    Le préfet Paul-Girot de Langlade vient d'être mis à la retraite d'office après la polémique suscitée par des propos racistes qu'il aurait tenus à l'aéroport d'Orly (Val-de-Marne) envers du personnel de la plateforme. Dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France, le 27 août, il s’estimait victime d’une « affaire orchestrée par le ministre de l’Intérieur».

    Le parisien - 10.09.09

  • Julie la fugueuse de 14 ans: la vérité sur cinq jours de calvaire à Toulouse

    Une enquête pour « viol sur mineure » est ouverte après la fugue de l'adolescente de 14 ans retrouvée le 25 août. Trois personnes ont été arrêtées.

    La fugue de Julie, cette adolescente de 14 ans, retrouvée à Toulouse, le 25 août, n'a pas livré tous ses secrets. Alors que l'on croyait cette affaire définitivement close après l'heureux dénouement venant ponctuer cinq jours d'angoisse pour sa famille, l'enquête vient de révéler une toute autre réalité.

    Durant son séjour toulousain, la jeune fille a vécu un véritable cauchemar. Selon les informations que révèle La Dépêche du Midi, Julie a subi du 20 au 25 août, à Toulouse, un épouvantable calvaire. Elle a été victime à plusieurs reprises de violences sexuelles.

    Ces faits ont été volontairement maintenus secrets pour protéger à la fois la jeune fille, en état de choc, et le travail des enquêteurs.

    Hier et mardi soir, trois personnes ont été interpellées à Toulouse, dans le quartier de la gare et vers Croix-Daurade et du côté d'Antibes (Alpes-Maritimes), par les gendarmes de la section de recherches de Toulouse. Des arrestations qui n'ont pas échappé à des riverains qui ont vu défiler des voitures de police et de gendarmerie dans ces différents secteurs.

    Deux hommes d'origine turque et une femme ont été placés en garde à vue dans le cadre d'une enquête ouverte pour « viol sur mineure », confiée à la juge d'instruction toulousaine Danièle Ivancich. Hier, le parquet n'a pas souhaité commenter ces informations.

    Arrivée le jeudi 22 août à Ramonville et laissée devant un supermarché de la ville par un homme de 30 ans, mis hors de cause dans l'enquête, Julie poursuit sa route à pied en direction de la Ville rose. Cet homme, un Toulousain avec lequel elle échangeait des SMS durant ses vacances à Elne, lui aurait promis l'aide d'un ami qui ne viendra jamais. Lorsqu'elle est déposée à Ramonville, Julie porte seulement un petit short et un haut de maillot de bain.

    Sur le chemin, une voiture s'arrête. À son bord deux hommes. Elle monte dans le véhicule sans se méfier, avec l'innocence de ses 14 ans. C'est le début de l'enfer. Durant cinq jours, ses agresseurs présumés vont la séquestrer et abuser d'elle.

    Les viols se seraient produits dans une voiture et dans un hôtel du centre-ville avec la complicité d'une femme, qui fréquenterait les milieux de la prostitution toulousaine.

    A la lumière de ces révélations, l'errance de la jeune adolescente ne s'est pas résumée à la simple fugue racontée par le parquet de Perpignan au moment où elle a réapparu. Une fugue où elle n'aurait croisé que des âmes bien intentionnées et généreuses dans le monde de la nuit. Ballottée dans les rues de la ville, entre une chambre d'hôtel et la voiture des suspects, Julie aurait bien été maintenue sous la coupe de ses ravisseurs. Mais des zones d'ombre subsistent encore sur l'enchaînement des faits. Comment a-t-elle réellement fui ? Ses agresseurs avaient-ils d'autres idées derrière la tête ? Les circonstances de sa réapparition en pleine nuit le 25 août restent mystérieuses ? L'adolescente a été retrouvée par une patrouille de police dans le quartier des Minimes peu avant quatre heures du matin. Traumatisée mais bel et bien en vie.

    Jusqu'à hier, c'était l'histoire d'une fugue qui finissait bien

    Jusqu'à nos révélations, l'histoire de Julie était celle de la fugue d'une jeune fille en grande détresse psychologique, très marquée par le décès de son père en 2007 et par la grave maladie de sa mère. Le mercredi 19 août dernier, l'adolescente, âgée de 14 ans, est en vacances dans le camping municipal Los Padragets à Elne, près de Perpignan (Pyrénées Orientales) avec ses grands parents maternels, lorsqu'elle disparaît. Un appel à témoins est lancé par la gendarmerie. Sa famille est persuadée qu'il s'agit d'une fugue et qu'ils remonteront tous ensemble dans le Pas-de-Calais.

    Cinq jours plus tard, Julie est retrouvée à Toulouse et un scénario se dessine. Le 19 août au soir, elle aurait décidé de suivre M. Z., habitant à Toulouse, cousin d'un campeur voisin de la caravane de ses grands-parents et avec lequel elle a échangé des SMS. Après une première nuit passée à Narbonne dans l'appartement d'un ami absent dont il avait les clés, M. Z. dépose Julie sur le parking de l'Intermarché de Ramonville avec 40 € en poche. L'adolescente, qui a détruit la carte SIM de son téléphone mobile à Narbonne, va alors errer, sans boire ni manger, le premier jour. Elle est prise en charge par un homme qui la confiera à un ami. Elle se fixe ensuite dans le quartier des Minimes. Hébergée la nuit suivante dans un hôtel grâce à la générosité de prostituées, elle échoue dans un squat. La police, qui a retrouvé, interrogé puis libéré M.Z, retrouve Julie mardi 25 août, traumatisée. Le scénario de la fugue qui finit bien s'achève. La réalité est hélas tout autre et ceux qui apparemment l'avaient généreusement aidée sont désormais ses tortionnaires présumés.

    Une enquête tenue secrète et une stratégie payante

    Au matin du 25 août, Julie, alors retrouvée à Toulouse, est prise en charge par les enquêteurs de Perpignan chargé d'éclaircir les circonstances de sa fugue survenue le 19 août dernier.

    Mais très vite, le récit l'adolescente bascule vers un tout autre scénario et va révéler l'horreur d'une affaire volontairement maintenue secrète. Pour deux raisons. Il s'agit d'abord de protéger la jeune fille déjà perturbée à la suite de la mort de son père et en état de choc après le calvaire subi. Un double traumatisme que ses proches, sa famille et les services sociaux doivent à présent gérer. Selon ses propres déclarations, la jeune fille en avait « marre de tout » et voulait quitter ses grands-parents avec lesquels elle passait ses vacances au camping municipal d'Elne. Ensuite, il y a l'enquête des gendarmes.

    Pour mener à bien leurs investigations et ne pas éveiller les soupçons des présumés violeurs, il fallait rapidement livrer de toutes pièces le récit d'une aventure qui se termine bien.

    Une fugue finalement heureuse, où la victime, après cinq jours d'errance passés en compagnie de gens bienveillants, retrouve les siens. Pendant ce temps, la machine judiciaire avance…

    Après les révélations de Julie, les gendarmes de la section de recherches de Toulouse prennent le relais. Saisi par le parquet de Toulouse qui ouvre une information judiciaire pour « viol sur mineur », ce service d'enquête spécialisé et doté de moyens adaptés aux situations sensibles traque dans la plus grande confidence les suspects. Le centre-ville de Toulouse, le quartier des Minimes, les environs de la gare, les secteurs de la rue Bayard et de la place Belfort, sont investis en toute discrétion. Les enquêteurs sillonnent les lieux de la prostitution toulousaine en compagnie de la jeune fille. Alors que l'on croyait cette affaire de fugue close et résolue, les enquêteurs accumulent les indices, collectent des témoignages, assemblent des éléments et finissent par localiser les suspects après plus de dix jours d'investigation.

    Trois personnes, dont une femme, sont finalement interpellées entre mardi et hier matin. L'un des suspects est arrêté mardi soir à Juan-les-Pins, dans les Alpes-Maritimes. Le résultat d'un travail judiciaire rondement mené où la stratégie de la fausse piste s'est avérée payante.

    La Dépêche du Midi - 10 septembre 2009

  • Sarközy impose aux Français la "taxe carbone"

    Nicolas Sarközy a annoncé jeudi dans l'Ain la mise en place, à partir de 2010, d'une "taxe carbone", compensée "intégralement" par des baisses d'impôts et destinée à encourager les Français à consommer plus propre, pour lutter contre le réchauffement climatique. 

    Le président de la République a profité d'un déplacement dans l'Ain, où il a visité à Culoz une usine de pompes à chaleur, la Compagnie industrielle d'applications thermiques (Ciat), pour annoncer, depuis Artemare, ses arbitrages sur une taxe qui suscite l'hostilité d'une majorité de Français et divise profondément la gauche comme la droite.

    Pour donner de la solennité à sa démarche, il était accompagné de plusieurs ministres: Jean-Louis Borloo (Ecologie), Eric Woerth (Budget), Christine Lagarde (Economie), ainsi que la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno.

    Cette taxe, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2010, sera "progressive" et sera fixée "au départ" sur la base de 17 euros la tonne de CO2, aussi bien pour les ménages que pour les entreprises. Elle ne concernera pas l'électricité - ce que demandaient les Verts et le PS notamment - mais uniquement les énergies fossiles (pétrole, fioul, gaz).

     Le président s'est basé sur le prix du marché, relevant au passage que c'était son Premier ministre François Fillon qui avait proposé cette base de calcul.

    Sur cette base, "la taxe carbone représentera déjà un effort significatif  de près de 4,5 centimes par litre de fioul et de gasoil, 4 centimes par litre d'essence et environ 0,4 centime par KWh de gaz", a fait valoir M. Sarkozy.

    Il a également justifié le caractère progressif de cette taxe en estimant "normal" que'elle soit "plus élevée dans quelques années lorsque les comportements auront eu le temps de s'adapter".

    Alors que les deux-tiers des Français y sont également opposés, selon un sondage publié jeudi dernier, et que droite et gauche sont divisées sur le sujet, l'Elysée a certifié que cette taxe serait "intégralement compensée par la baisse d'autres prélèvements" (réduction d'impôts sur le revenu ou chèques verts pour ceux qui n'en paient pas).

    "La création de la taxe carbone se fera sans dommage pour le pouvoir d'achat des français et sans pénaliser la compétitivité de nos entreprises", a promis M. Sarkozy.

    Il a chargé le gouvernement d'étudier les moyens pour éviter que cette taxe ne pénalise excessivement la compétitivité des entreprises particulièrement dépendantes des carburants, comme la pêche, l'agriculture ou les transports.

    M. Sarkozy a annoncé en outre la création d'une commission indépendante chargée de garantir "une transparence totale sur les compensations", une proposition du groupe d'experts.

    A ses yeux, cette taxe représente "la première étape d'une révolution fiscale appelée à se déployer sur plusieurs décennies".

    AFP. 10.09.09

     

  • Paul GAUGUIN (1848-1903)

    sermon Gauguin.jpg
    La vision après le sermon -1888
    bretonnes Gauguin.jpg
    Deux Bretonnes -1889
    dance_bretonne_1888.jpg
    Danse bretonne
    (Cliquez sur les tableaux)
    Paul Gauguin - Ecole de Pont-Aven (1886 à 1889)

  • VIDEO Ca sent si bon la France

    P349.jpg
    Ça sent si bon la France
    Paroles et Musique: Louiguy, J.Larue 1941


  • Le cambrioleur à la morphine

    Depuis plusieurs semaines, les policiers de Seine-Saint-Denis tentent de remonter la piste d’un cambrioleur au mode opératoire inédit et particulièrement inquiétant.

    Pour abuser ses victimes, cet homme, qui agit toujours à visage découvert, les drogue avec un dérivé de morphine, injecté dans une part de gâteau. Doté d’un sérieux bagout, le suspect cible exclusivement des retraités qu’il aborde sous différents prétextes avant de leur proposer une pâtisserie « piégée » et de les cambrioler une fois qu’ils sont endormis.


    « Depuis le mois de mars, au moins une dizaine de faits similaires ont été recensés en Seine-Saint-Denis. La plupart ont été perpétrés à -sous-Bois et dans quelques communes environnantes, relate une source proche de l’affaire. Après avoir gagné la confiance de ses victimes accostées, la plupart du temps dans la rue, le malfrat leur propose de leur faire un cadeau. Il se présente ensuite à leur domicile, muni d’un paquet renfermant des gâteaux. Quelques minutes après en avoir ingurgité un morceau, les retraités sont plongés dans une profonde léthargie. Le cambrioleur fouille alors l’ensemble de leur maison avant de prendre la fuite. L’analyse des gâteaux a permis de déterminer qu’ils contenaient des traces d’un puissant antalgique à base de morphine. »
    Les policiers de la sûreté départementale (SD) de Seine-Saint-Denis ont été chargés de l’enquête par le parquet de Bobigny. « Cet homme met en péril la santé de nombreux retraités, poursuit la même source. Il prend beaucoup de risques en les droguant ainsi pour un butin plutôt maigre. Les personnes visées sont âgées pour les plus jeunes de 70 ans. Les risques sont d’autant plus élevés de voir l’un des retraités succomber à une surdose. »

     « Il noue facilement contact »

    Pour l’heure, le suspect, dont une description a pu être fournie par plusieurs victimes, n’a toujours pas été interpellé.
    « Il s’agit d’un homme âgé entre 30 ans et 40 ans, de petite taille, plutôt costaud, confie un proche du dossier. Il apparaît sous un visage totalement inoffensif et noue très facilement contact avec ses victimes. A plusieurs reprises, il a modifié sa façon d’opérer. Parfois, il aborde les gens directement dans la rue mais il peut aussi se présenter au domicile en proposant l’achat de fruits et de légumes.

    Il n’a jamais exercé de violence mais il pourrait avoir commis des attouchements sur certaines victimes. Il y a deux faits pour lesquels des agissements à connotation sexuelle ont été décrits. »

    « Les patrouilles ont été renforcées dans le secteur, confie une source policière. Mais la première des choses à faire pour les retraités est de ne pas ouvrir leur porte à n’importe qui. Quand ils ont un doute, ils ne doivent pas hésiter à composer le 17 pour prévenir la police. »

    Le Parisien - 09 septembre 2009
     

     

  • Déjà, il y a 4000 ans, un Mur de séparation de huit mètres de haut...

    Muraille cyclopéenne à Jérusalem.jpg
    Section de la muraille cyclopéenne à Jérusalem

    Des archéologues israéliens ont annoncé mercredi la mise au jour d'une imposante muraille de huit mètres de haut ayant défendu la ville de Jérusalem du temps des Cananéens il y a près de 4.000 ans.

    Une section de 24 mètres de long de la muraille a été découverte sur le site originel de la ville sainte dite "Cité de David" dans le quartier palestinien de Silwan, à Jérusalem-est (annexé après sa conquête en 1967).

    "C'est une fortification gigantesque, la muraille la plus massive qui ait jamais été découverte autour de la Cité de David", a déclaré à la presse le responsable de la fouille, l'archéologue Ronny Reich, de l'université de Haïfa (nord d'Israël).

    Selon lui, "la muraille, dont une petite portion avait été découverte dès 1909, protégeait la source de Shiloah (Silwan) qui alimentait la ville en eau potable".

    Ces fortifications, les plus anciennes découvertes dans la région de Jérusalem, remontent selon lui à 3.700 ans et attestent de l'importance de la ville à l'âge de Bronze avant même la période dite israélite décrite dans la Bible.

    AFP. 09.09.09

     

  • 2000 femmes porteraient la burqa en France: ce chiffre est largement minoré

    Burqa à Vénissieux.jpg
    Burqa à Vénissieux, près de Lyon

    L'évaluation est contenue dans un rapport confidentiel du ministère de l'Intérieur sur l'islam que Le Figaro a pu consulter.

    Quelque 2 000 femmes porteraient la burqa en France. Le chiffre apparaît dans un rapport sur l'islam, rédigé cet été par la sous-direction de l'information générale du ministère de l'Intérieur et resté confidentiel. La note, que Le Figaro a pu consulter, évoque notamment les mouvements radicaux comme le salafisme, qui prône un retour à la vie du prophète et commande aux femmes de porter le voile intégral. S'il est impossible de les compter individuellement, les policiers se sont livrés à une estimation sur la base des lieux de culte salafistes. Le «chiffre de moins de 2 000 femmes paraît crédible», peut-on lire.

    «C'est une évaluation plus raisonnable mais toujours sous-estimée», juge André Gerin, le président de la mission parlementaire sur la burqa qui reprend ses travaux aujourd'hui.

    L'ancien maire de Vénissieux, en banlieue lyonnaise, alarmé par l'augmentation du nombre de ces femmes totalement dissimulées, avait lancé le débat au printemps, réclamant une commission d'enquête parlementaire. Nicolas Sarközy avait affirmé, lors de son discours devant le Congrès à Versailles, que «la burqa n'était pas la bienvenue en France».

     

    «Dire clairement non à l'intégrisme»

     

    Alors que certains députés appelaient déjà à une loi pour proscrire le voile intégral de l'espace public, une note d'une autre direction de la police, celle du renseignement intérieur, avait semé le trouble en recensant «367 femmes» portant la burqa en France. «C'était totalement absurde !» s'emporte André Gerin. «On en compte plus dans la seule agglomération lyonnaise !» Depuis, le ministère de l'Intérieur assure qu'il ne s'agissait que «d'un échantillon et bien entendu pas du chiffre global».

    La mission parlementaire, un temps ébranlée, réclame toujours une évaluation plus précise. «Pour mieux cerner le phénomène et apporter des réponses pragmatiques», explique Éric Raoult, rapporteur UMP de la mission. «C'est pourquoi nous allons également consulter les bailleurs sociaux, très proches du terrain, ou encore les rectorats qui sont au courant lorsque se posent des problèmes d'identification des mères à la sortie du primaire.» Ces institutions pourraient cependant se montrer réticentes à rassembler des informations jugées sensibles sur les familles.

    Mais la burqa n'est pas qu'un «problème de nombre», selon André Gerin. Elle démontre «la montée de l'intégrisme depuis quinze ans». «Au départ, les Belges, les Hollandais et les Anglais jugeaient ce phénomène marginal. Ils se réveillent aujourd'hui avec dans certaines villes, de nombreuses femmes en burqa», assure Mohamed Abdi, le conseiller spécial de Fadela Amara. Les antagonismes se sont fait jour en Hollande ou encore en Belgique, avec «des agressions de femmes voilées», assure le conseiller. «C'est pourquoi il faut être ferme en France et dire clairement non à l'intégrisme. Cela nous évitera la montée du racisme

    Fadela Amara, qui s'est prononcée à plusieurs reprises pour une loi, réfléchit à une interdiction de la burqa dans le service public : écoles, hôpitaux, mairies… mais aussi dans les transports. Enfin, des contrôles d'identité seraient effectués dans les lieux sensibles comme les gares et les aéroports. Une procédure que les juristes doivent toutefois encore valider.

    Le Figaro - 09.09.09

  • Le préfet Girot de Langlade déterminé à aller jusqu'au bout

    Le préfet Paul Girot de Langlade, qui, soupçonné de propos racistes, a été suspendu à la mi-août de ses fonctions, a été "mis à la retraite d'office", selon le communiqué du Conseil des ministres diffusé mercredi.

    Le haut fonctionnaire est visé par une enquête judiciaire pour "injures publiques à caractère racial", après la plainte d'une employée de sécurité de l'aéroport parisien d'Orly. A la mi-août, excédé par un contrôle trop lent, il aurait, selon une source judiciaire, déclaré: "On se croirait en Afrique", "il n'y a que des noirs ici".

    Aussitôt, le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait annoncé la suspension du préfet de sa fonction de coordonnateur local pour La Réunion des états généraux de l'Outre-mer.

    "Je m'y attendais un peu, ils l'ont fait", a réagi le préfet Girot de Langlade à sa mise à la retraite d'office, au micro de RTL. "Moi je continue sur ma lancée, on va attaquer. On va attaquer le ministre. Il aurait pu au moins me prévenir, me convoquer, il y a des conseils de discipline qui sont prévus pour ça, je ne suis pas passé devant, tout ça ne tient pas la route", a-t-il ajouté.

    "C'est injuste et sans fondement, non, je ne lâcherai pas. On n'est plus dans une démocratie, on est dans une dictature, et je n'accepte pas cette affaire là, je m'attendais à ce qu'au moins, ils me fassent passer devant un conseil de discipline, ils n'ont même pas eu ce courage là", a-t-il dit. "Même ça, ça m'est refusé, je ne suis plus ni triste ni en colère, mais je suis déterminé, j'irai jusqu'au bout", a-t-il déclaré.
    AFP. 09.09.09
  • "Le système scolaire français tend à exclure les enfants des migrants" selon Marie-Rose Moro

    Marie-Rose Moro.jpg
    Marie-Rose Moro se pose bien des questions qui pourraient être rapidement résolues...
    (Cliquez sur la photo)
    Les talents et difficultés spécifiques des enfants de migrants sont souvent négligés par le système scolaire qui exclut rapidement un très grand nombre de ces élèves, souligne dans un entretien à l'AFP Marie-Rose Moro, professeur de psychiatrie.

    "L'école ne reconnaît pas à l'enfant de migrants son bilinguisme, son statut transculturel et le prive ainsi de compétences, notamment linguistiques, qui sont essentielles pour son parcours scolaire futur", note celle qui a développé la clinique transculturelle à l'hôpital Avicenne de Bobigny.

    Selon le professeur Moro, "la culture et la langue d'origine de l'enfant - le bambara, le turc ou l'arabe - sont reléguées à un statut mineur ou ignorées par l'école alors qu'il faut au contraire donner à l'élève l'envie d'atteindre une rive en s'appuyant sur celle qu'il connaît".

     

    A un des moments de "grande vulnérabilité psychologique", celui des grands apprentissages - lecture et écriture - de 6 à 8 ans, "on demande à l'enfant de migrants d'effectuer un choix impossible et traumatique: tourner le dos à ses parents en prenant le risque de perdre leur amour pour s'intégrer dans son pays d'accueil".

    "Cette situation crée chez l'enfant un clivage entre le monde du dedans - la famille - et celui du dehors représenté par l'école - et provoque parfois une inhibition qui bloque les apprentissages et le potentiel créatif", dit-elle.

    "Pourtant, in fine, les enfants de migrants sont en avance sur les autres et ont naturellement une grande agilité intellectuelle, la capacité d'avoir une réflexion sur le langage puisqu'ils naviguent entre deux langues", poursuit-elle. "Mais on doit les aider à créer des ponts entre les mondes et les savoirs".

    "Une frange réussit de manière spectaculaire sur le plan scolaire", relève la psychiatre, "mais une énorme proportion est en échec et est orientée très rapidement". Ainsi environ 40% d'une classe d'âge en moyenne est dirigée, souvent contre son gré, dans des voies dites "adaptées ou professionnelles", d'autres décrochent.

    Et cet échec scolaire est "vécu comme une exclusion très violente qui a des répercussions sur l'ensemble de la vie", explique le professeur Moro.

    Pour le prévenir, explique-t-elle, il faut notamment "reconnaître qu'il existe d'autres rapports au savoir" - l'initiation et l'oralité des Soninkés du Mali par exemple- , "valoriser les parents à l'école", "prendre en compte le fait que l'enfant aura peut-être du mal à réussir en s'identifiant à des parents humiliés par l'exil", "former les enseignants, qui sont d'ailleurs très demandeurs, à l'anthropologie et au plurilinguisme".

    Le professeur en psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent regrette que l'Education nationale "ne généralise pas les initiatives de transculturalité qui marchent, par exemple en Seine-Saint-Denis, alors que la majorité des écoles aujourd'hui accueillent un métissage d'enfants".

    Marie-Rose Moro se dit "encouragée" par une résolution du parlement européen d'avril 2009 sur ce sujet et espère qu'une "prise de conscience" de l'Education nationale lui permettra un jour de ne plus recevoir en consultation des jeunes "placés dans une situation intenable par un système scolaire qui les conduits à renier une partie d'eux-mêmes".

    AFP. 09.09.09

    Pour éviter ces "drames", le mieux est que ces enfants et leurs parents restent dans leur pays d'origine! Et ne viennent pas perturber l'enseignement donné aux petits Français!

     

  • JEUX - Charade

    Mon  premier est un chien ou un petit poisson

    Mon second qualifie un certain âge

    Mon troisième n'inspire que le mépris

    Mon quatrième se trouve au fond des rivières

    Mon tout est un écrivain français du XIXème siècle