Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Un hommage à Julien Quemener trois ans après sa mort

    Quemeneur.jpg
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Il y a trois ans jour pour jour, Julien Quemener, supporteur du PSG, avait trouvé la , tué par le policier Granomort, après la victoire de l'Hapoël Tev-Aviv contre le PSG (4-2). Ce lundi soir, plusieurs centaines de Parisiens lui ont rendu hommage dans le calme.

    Les supporteurs, 500 selon les organisateurs de la tribune Boulogne, 300 selon la police, étaient plus nombreux que l'an passé et se sont rendus du Parc des Princes à la Porte de Saint-Cloud, dans le XVIe arrondissement parisien, là même où le jeune homme de 25 ans avait été tué en 2006. La mémoire du jeune homme avait été douloureusement évoquée vendredi lors du match OM-PSG.

    Derrière des membres de la famille en pleurs, qui portaient des gerbes de fleurs, plusieurs centaines de personnes marchaient, tenant une banderole à fond noir sur laquelle on pouvait lire «Justice pour Julien». Sous la pluie, le cortège a ensuite déposé les fleurs au sol avant de se recueillir.

    Le parisien - 23 novembre 2009

  • A Marseille, les banderoles de la honte

    banderole de la honte à Marseille.jpg
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
    STADE VELODROME , MARSEILLE (BOUCHES -DU-RHONE), VENDREDI.  Des supporteurs marseillais avaient hissé cette banderole faisant référence à la mort de Julien Quemener, il y a trois ans.

  • VIDEO Sarközy en banlieue

    http://videos.leparisien.fr/video/iLyROoafIm3_.html


    A six mois des élections régionales, Nicolas Sarkozy a effectué son retour en banlieue pour y évoquer la sécurité. Avant d'inaugurer la direction territoriale de la sécurité de proximité à Bobigny (93) et de participer à une table-ronde au Perreux (94), le président de la République a visité le commissariat d'Epinay-sur-Seine (93) où il s'est offert un petit bain de foule.

    A qui s'adresse-t-il en disant " Reste calme" ou "Restez calmes"?

    24.11.09

  • Marine Le Pen accuse Sarközy de "racisme contre les Français"

    La vice-présidente du Front national, Marine Le Pen, a accusé mardi Nicolas Sarkozy de "racisme contre les Français", réclamant l'expulsion de tous les sans-papiers et l'inscription dans la Constitution du refus de tout communautarisme.

     
    "Accorder des avantages à un certain nombre uniquement sur la couleur de leur peau, sur leur origine ou sur leur ethnie, oui, cela s'appelle du racisme", a déclaré Mme Le Pen sur RMC, en reprochant au chef de l'Etat de promouvoir la discrimination positive.

    Soulignant que la Constitution stipule "l'égalité des droits quels que soient la race, la religion ou l'origine", la vice-présidente du FN estime que "M. Sarkozy, en mettant en place la discrimination positive, fait exactement l'inverse".

    "Il fait du racisme contre les Français d'origine française", a-t-elle dit, en demandant d'"inscrire dans la Constitution que la République ne reconnaît aucune communauté".

    Mme Le Pen a également fustigé le concept de l'immigration choisie, prônée par le président. "Ce n'est pas humain de continuer l'immigration choisie et de faire venir des gens pour travailler alors qu'il y a 5 millions de Français chômeurs", a-t-elle affirmé.

    Elle s'est aussi prononcée pour l'expulsion des sans-papiers qui travaillent depuis des années et vivent en famille.

    "On peut leur dire avec respect et humanité qu'ils sont entrés sur notre territoire de manière illégale, que nous ne pouvons pas les accueillir, que nous n'avons plus les moyens", a expliqué la députée européenne, dénonçant le signal "totalement contradictoire" du gouvernement.

    "On leur dit : "venez, on va vous régulariser même si vous êtes clandestins". On leur dit qu'ils sont clandestins mais que si leurs enfants sont scolarisés, ce qui est une obligation, ils ne pourront plus être expulsés. Donc, on crée des clandestins légaux", a-t-elle déclaré.

    Mme Le Pen a enfin comparé l'emploi des sans-papiers à de "l'esclavagisme moderne", qui vise à "peser à la baisse sur le salaire des Français".

    Le projet gouvernemental de sanctionner les employeurs de clandestins n'est qu'un "discours" mais "il n'y a rien derrière", a-t-elle dit, en rappelant qu'une "loi existe déjà" en la matière.

    "Nous demandons au gouvernement d'être logique avec lui-même, il faut faire appliquer la loi, y compris quand les patrons en question sont les copains de M. Sarkozy", a-t-elle affirmé.

    AFP. 24.11.09

     

  • Allemagne: un record de 1936 reconnu rétroactivement à une athlète juive

    Une championne juive privée de jeux Olympiques par les nazis, qui avait réalisé un record allemand de saut en hauteur en 1936, s'est vue reconnaître son titre par la fédération allemande d'athlétisme (DLV).

    "Lors de son 45e congrès, la DLV a décidé de reconnaître comme record allemand la performance de Gretel Bergmann", a indiqué mardi à l'AFP le président d'honneur de la fédération, Theo Rous.

    Le 30 juin 1936, l'athlète juive de 22 ans avait franchi 1,60m établissant un nouveau record d'Allemagne.

    En reconnaissant rétroactivement sa performance de l'époque, "nous savons que cela ne peut être une réparation mais c'est moralement un geste important et un acte de justice qui devraient lui faire plaisir", a indiqué M. Rous.

    La DLV va envoyer une lettre à l'athlète âgée aujourd'hui de 95 ans pour lui annoncer la nouvelle.

    "La championne avait été sélectionnée pour les jeux Olympiques de Berlin mais parce qu'elle était juive le pouvoir nazi décréta ses performances insuffisantes" et la fédération sportive du Reich avait refusé de reconnaître son record", raconte-t-il.

    Ironie du sort, "c'est une Hongroise juive qui avait gagné l'épreuve avec 1m60".

    Selon M. Rous, 'adaptation cinématographique de sa vie, "Berlin 36", de l'Allemand Kaspar Heidelbach, sorti en septembre en Allemagne "a rouvert la discussion au sein de la DLV sur le sort de Gretel Bergmann et joué un grand rôle dans la décision de faire reconnaître son titre".

    Après la promulgation des lois anti-juives en 1933, l'athlète qui avait grandi à Laupheim (sud de l'Allemagne), avait été interdite d'entraînement et d'études et s'était exilée en Grande-Bretagne.

    Elle avait été cependant contrainte par les nazis à revenir en Allemagne afin de prouver au monde, inquiet de la politique raciale allemande, que des athlètes juifs participeraient bien aux Jeux Olympiques de 1936, organisés dans la capitale du Reich.

    Depuis 1937, année où elle a remporté le titre de championne américaine de saut en hauteur, elle vit aux Etats-Unis avec son mari, sous le nom de Margaret Lambert.

    "Pendant des décennies, elle a refusé tout contact avec l'Allemagne", a affirmé M. Rous mais "au début des années 1980, les gens de son ancienne fédération avaient réussi à prendre contact avec elle".

    A la suite de cela, la DLV lui avait envoyé "une lettre et une médaille" en souvenir de l'injustice sportive dont elle fut victime.

    Puis elle fut l'invitée d'honneur du comité olympique allemand aux JO d'Atlanta en 1996.

    AFP. 24.11.09

     

  • Sarközy parle de "sécurité" pour contrer le FN

    Gnome sécurité.jpg
    Sarközy au Perreux-sur-Marne le 24 novembre 2009

    A quatre mois du scrutin régional, Nicolas Sarkozy a enfilé mardi son costume de "premier flic de France" pour réaffirmer en banlieue parisienne ses priorités en matière de sécurité et d'immigration, deux des thèmes favoris de son électorat.

    Le scénario est désormais rôdé. Comme l'an dernier à l'approche des élections européennes, le chef de l'Etat a repris le chemin des commissariats et des gendarmeries pour renouveler son message de fermeté en matière de lutte contre la délinquance et rappeler à ceux qui pouvaient en douter que la "sécurité des Français" restait une priorité.

    Première étape de la tournée présidentielle de ce mardi, le siège de la police municipale d'Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) pour une rencontre avec ceux qui vivent l'insécurité au quotidien et des trafics en tous genres.

    "Je suis venu pour vous dire que nous allons prendre toutes les mesures nécessaires", promet Nicolas Sarkozy, "tous ces messieurs qui ne travaillent pas et qui ont de belles voitures devront s'expliquer". "Tous ceux qu'on prendra pas sur le fait, on les prendra par les éléments de train de vie, les voitures, les montres...", ajoute-t-il.

    La caravane présidentielle repart toute sirènes hurlantes pour Bobigny et sa direction territoriale de la sécurité de proximité. Nicolas Sarkozy y visite la salle de commandement et inspecte une dose de haschisch et quelques armes récemment saisies. "La Kalachnikov, vous l'avez trouvé où ?", s'inquiète-t-il, "c'est quand même pas mal, c'est des armes de guerre".

    Plus loin, il félicite des agents des impôts venus s'installer en banlieue pour y débusquer les signes extérieurs de richesse des trafiquants.

    "Il ne faut pas oublier qu'Al Capone est tombé par le fisc", rappellera plus tard opportunément le député-maire du Perreux-sur-Marne, Gilles Carrez.

    Le Perreux, justement. Terme de la tournée et l'occasion pour Nicolas Sarkozy de répéter ses arguments lors d'une table-ronde, devant les caméras.

    D'abord sur la nécessaire "sanctuarisation" des écoles. "Ce sera systématique, la vidéo, le policier référent, la lutte contre les décrocheurs, le fait que nous n'acceptons pas l'absentéisme", dit-il, "arrêtons le petit système qui consiste à tout vouloir expliquer, il n'y a rien à expliquer quand on vient avec une barre de fer à l'école".

    Pour protéger les commerçants, même solution, la vidéosurveillance. "Notre objectif, c'est de tripler le nombre de caméras (22.000 aujourd'hui) installées sur la voie publique d'ici 2012", annonce le président, "et désormais tout wagon acheté par la RATP ou la SNCF sera équipé de six caméras".

    Au passage, le chef de l'Etat en profite pour égratigner les "grand penseurs qui ne vont pas dans vos quartiers" et qui voient dans la généralisation de la vidéosurveillance une régression des libertés. "Ceux qui seront contre, qu'ils l'assument devant la population", lance-t-il aussi à la gauche, proposant d'en débattre d'ici aux régionales.

    Nicolas Sarkozy ne rate pas non plus l'occasion de reprendre la patronne du PS Martine Aubry, qui s'est prononcée pour une régularisation des sans-papiers. "Je ne l'accepterai jamais parce que c'est contraire à l'idée que je me fais des valeurs de la République", répond-il, tout en refusant "toute forme d'amalgame odieuse" entre délinquance et immigration.

    Avant de repartir, le président a un dernier mot pour féliciter le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux pour ses "bons résultats" d'octobre et renvoyer les socialistes à leur bilan. François Hollande (PS) lui a répondu en avance, dénonçant son "échec" en la matière.

    AFP. 24.11.09

     

  • Militaire poignardé: l'arme blanche n'était pas une arme de dotation

    Une altercation entre les deux militaires semble être à l’origine du drame, qui s’est produit dimanche, vers 6 h 30, sur un terrain militaire du fort de Montbré (Marne), à une dizaine de kilomètres au sud de Reims. Les deux militaires «bivouaquaient avec plusieurs autres de leurs camarades», selon le procureur de Reims, Fabrice Belargent. «Leurs camarades qui dormaient ont été réveillés parce qu’ils ont entendu des cris. Lorsqu’ils sont sortis de leur tente, ils ont constaté qu’un de leur camarade était blessé et ils ont vu dans le même temps un autre militaire qui prenait la fuite, sans arme de dotation», a ajouté le procureur.
    Le militaire décédé aurait reçu une dizaine de coups de couteau, selon une source judiciaire, qui indique que les deux militaires avaient été incorporés au régiment début novembre. L’arme blanche utilisée ne faisait pas partie des équipements de dotation donnés par l’armée à ces jeunes engagés, selon le lieutenant Laetitia Poulet, officier de communication du régiment. Lors du drame, la victime et son agresseur présumé étaient de faction, chargés de surveiller le campement, a indiqué l'officier.

    Le Républicain lorrain - 24.11.09

  • Noël aux Champs-Elysées...

    Illuminations.jpg
    Charlotte Gainsbourg et Delanöe s'apprêtent à illuminer les Champs-Elysées
    (Clliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    La comédienne Charlotte Gainsbourg a déclenché les illuminations des Champs-Elysées, lundi soir, au côté du maire de Paris Bertrand Delanoë.

     Jusqu'au 10 janvier, de la place de l?Etoile à la place de la Concorde, les 415 arbres qui bordent la plus belle avenue du monde sur 2,2 km, scintilleront dès la nuit tombée de plus d'un million de points lumineux aux reflets rose fushia, après le halo "bleu européen" de l'an dernier.

    Depuis trois hivers, les illuminations des Champs-Elysées utilisent la technologie LED qui permet de réduire la consommation de 70%.

    Cet engagement envers le développement durable se traduit par une consommation totale d?électricité qui est passée de 570.000 KW en 2006 à moins de 50.000 KW prévus en 2009, équivalent seulement de celle de 12 familles parisiennes sur la même période, selon le Comité des Champs-Elysées.

    La célèbre avenue accueille à nouveau un marché de Noël mobilisant 170 chalets --deux fois plus qu'en 2008--, une exposition de sculptures de glace, de nombreuses attractions pour les enfants et la Grande Roue de Marcel Campion, place de la Concorde.

    Mickey et Minnie, les personnages de Walt Disney, déserteront le parc Disneyland Paris pour inaugurer mercredi ce marché traditionnel, en compagnie d'enfants défavorisés invités par la Croix Rouge Française.
    AFP. 23.11.09
  • Un jeune militaire français poignardé à mort à Mourmelon

    Sur Le Post, le parquet de Reims dit que "l'auteur présumé a 17 ans" et "aurait utilisé un couteau de bivouac pour frapper son camarade de 18 ans."

    Règlement de comptes? Coup de folie? Jalousie? Abus d'alcool?

    "C'est trop tôt pour dire ce qu'il s'est passé" nous répond le parquet de Reims ce lundi après-midi.

    Le mystère reste donc entier, pour l'instant, sur les circonstances du drame qui a éclaté dimanche matin tôt près de Reims, dans la Marne.

    "Un jeune militaire de 18 ans a été tué de plusieurs coups de couteau" nous dit le parquet de Reims.

    Qui est l'auteur présumé? "Un autre militaire de presque 18 ans" nous précise-t-on aussi.

    Que faisaient-ils debout, dimanche matin, à 6h30? "Ils étaient en faction, ils surveillaient le camp du 501e régiment de chars de combat de Mourmelon" nous précise encore le parquet.

    Que s'est-il passé? Ces deux jeunes militaires avaient-ils des problèmes particuliers? Que s'est-il passé la soirée précédant le drame?

    Sur Le Post, le parquet de Reims répond:

    Que s'est-il passé?
    "Dimanche matin, vers 6h30, alors qu'il se trouvait au Fort de Montbré, un jeune militaire de 18 ans est décédé des suites de ses blessures après avoir reçu plusieurs coups de couteau."

    Qui est l'auteur présumé?
    "C'est un de ses camarades de presque 18 ans, avec lequel il était en faction. Ils surveillaient le camp, quand, vers 6h30, des camarades ont été réveillés par des cris et ont donné l'alerte."

    L'auteur des coups de couteau s'est d'abord enfui?
    "Oui. Il a pris la fuite dans un premier temps, avant de se constituer prisonnier, vers 12h30, à la police de Reims."

    Quelle piste privilégiez-vous?
    "La piste criminelle, c'est certain. Il est toutefois encore trop tôt pour parler du mobile du crime ou pour aller plus en avant dans les détails."

    Qu'a-t-il pu se passer?
    "Il est trop tôt pour dire ce qu'il s'est passé."

    Ces deux jeunes gens avaient-ils un compte à régler? Etaient-ils animés par une jalousie particulière?
    "Pas a priori. Mais des auditions sont en cours."

    Une autopsie a-t-elle été pratiquée?
    "Elle est également en cours."

    Quelle est l'arme utilisée?
    "Si cela se confirme, l'arme utilisée est un couteau de bivouac confié à chaque militaire pour ses besoins quotidiens."

    Le Post- 23 novembre 2009

  • L'Iran avertit Israël

    Téhéran commence le deuxième jour d'un exercice aérien qui prend le sens d’un avertissement fort pour Tel Aviv : Les chasseurs Israéliens « vont venir s’écraser » s'ils franchissent la ligne.  
     
     Israël menace régulièrement de bombarder les sites nucléaires de l'Iran, arguant du fait que leurs activités d'enrichissement nucléaire sont une menace existentielle pour Tel Aviv, qui ironiquement dispose d’un arsenal de 200 têtes nucléaires.  
     
     Les menaces ont encore été réitérées ne serait-ce que la semaine dernière, quand Gabi Ashkenazi, Chef d’Etat-major des Forces Armées Israéliennes, a donné de lourds indices concernant une prochaine attaque contre l'Iran.  
     
     En réponse à ces menaces, Amir Ali Hajizadeh, Commandant du Corps de Gardes
    (IRGC) de la Révolution Islamique de la Force Aérospatiale, a averti qu'Israël payera le prix fort  s'il décide de commettre une telle erreur.  
     
     « Un pas hors de la ligne et les chausseurs israéliens seront complètement détruits, » a dit Hajizadeh, expliquant que l'Iran annihilera les chasseurs
    F-15 et F-16 Israéliens, si le pays est attaqué.  
     
     « Même s’ils échappent à notre système de défense sophistiqué, ils ne reverront plus jamais leurs bases ; parce que nos missiles sol-sol sont sur leurs marques pour viser les bases militaires israéliennes avant que la situation ne revienne au calme, » a-t-il ajouté.  
     
     Hajizadeh a fait ces commentaires lors du deuxième jour d'une manœuvre aérienne de cinq jours appelée  « ciel de Velayat 2 » (Sky of Velayat 2).  
     
     La manoeuvre, qui a commencé dimanche et qui représente le plus grand exercice jamais mené en Iran, implique toutes les unités des forces de défense de l'Iran, y compris l’Armée de Terre, l'IRGC, et l'Armée de l'Air.  
     
     Visant à aiguiser l’efficacité de défense aérienne de l'Iran contre toute éventuelle attaque sur les centrales nucléaires du pays, l’exercice couvrira une large zone allant des parties nord-ouest du pays, jusqu’au  sud.

     
     Sur une note différente, Hajizadeh a déclaré que les demandes au sujet de l’échec de la Russie pour livrer les missiles S-300 aux termes d’un accord préalablement convenue ne signifient pas que l'Iran a désespérément besoin du système pour protéger son espace aérien.  
     
     « Les forces militaires et armées iraniennes exigent simplement une explication sur la raison pour laquelle le Kremlin refuse de fournir le système anti-aérien sophistiqué, qui selon des rapports officieux, vaut environ $800 millions, » a-t-il dit.  
     
     Baptisé par l’OTAN sous le nom de code « Gargouille SA-20 » (SA-20 Gargoyle), le S-300 est un système mobile terrestre, conçu pour abattre des avions et des missiles de croisière.  
     
     L'hésitation de la Russie serait liée à la forte opposition israélienne contre cette vente.
     
     http://www.presstv.ir/detail.aspx?id=111957&sectionid=351020101

    Alter Info - 23 novembre 2009

  • Pour Besson l'immigration n'est pas un besoin démographique mais un choix idéologique

    Le ministre de l’Immigration- invasion, le socialo-sarkozyste Besson, vient de rappeler sa position. Il confirme que “l”immigration n’est pas un nécessité démographique pour la France” (vérité scientifique incontestable que les nationaux défendent depuis des décennies)

    Si la France n’a pas besoin quantitativement d’un apport démographique, qu’est ce qui peut bien justifier la poursuite d’une immigration débridée?

    Le ministre nous apporte la réponse en ajoutant immédiatement que la France a «intérêt au brassage et à l’ouverture»; il reprend ainsi a demi mot l’excrémentielle thématique sarkozyte sur la France “consanguine”.

    Soucieux de laisser se poursuivre l’invasion de peuplement et se propager la colonisation de la France pour des raisons idéologiques, il réaffirme donc avec force son attachement au regroupement familial en France et défend ” les mariages mixtes qui contribuent au métissage de la société française»(sic).

    Altermédia info - 23 novembre 2009

  • Le Vélib': un vandalisme record!

    Vélib vandalisme.jpg

    Depuis le lancement à Paris en juillet 2007, 18 000 vélos ont été dégradés et plus de 8 000 volés.

    Guidons tordus, paniers arrachés ou vélos totalement rouillés après un séjour prolongé dans la Seine : le vandalisme des Vélib' à Paris et en proche couronne a atteint un niveau inédit. Depuis le lancement en juillet 2007 de ce système en libre-service, on compte 18 000 vélos détériorés et le nombre de vols a franchi la barre des 8 000. «C'est bien simple, en moyenne, chacun des 20 000 Vélib' parisiens a été remplacé au moins une fois», souligne Albert Asséraf, directeur général stratégie-études et marketing de JCDecaux. Le nombre de vols a d'ailleurs dépassé les estimations de l'opérateur qui misait sur quelques centaines seulement par an.

    «Nous apprenons en roulant», signale Albert Asséraf en rappelant aussi que, par son étendue, Vélib' est unique au monde. Mais la note est salée pour l'afficheur puisque, entre mi-2007 et août 2009, ces actes de vandalisme -  dégradations et pillage compris - ont coûté 8,5 millions d'euros. Or, avec le succès toujours grandissant de Vélib', ce coût pourrait continuer à progresser.

     

    L'ampleur de ce vandalisme est à l'origine de discussions serrées entre la Ville de Paris et l'opérateur en vue de revoir les termes du contrat. Au terme de ces négociations, les bases d'un accord ont finalement été trouvées et donnent lieu à une délibération soumise lundi au conseil de Paris.

    À l'avenir, il a ainsi été décidé que la municipalité versera une contribution de 400 euros par vélo lorsque 4 à 25 % du parc sera vandalisé. Jusqu'à présent, en vertu d'un premier avenant adopté fin mars 2008, cette contribution n'était considérée comme due que lorsque la proportion d'appareils endommagés était comprise entre 4 et 20 %.

     

    Par ailleurs, JCDecaux devrait être pour la première fois intéressé aux résultats dégagés par Vélib'. Au-delà de 14 millions d'euros de recettes et jusqu'à 17,5 millions, 35 % de la somme serait rétrocédée à l'afficheur. Au-delà de 17,5 millions d'euros, ce dernier récupérera la moitié.

     

    Une bicyclette consolidée

     

    JCDecaux aura donc tout intérêt à faire reculer le vandalisme. Un objectif difficile. Une des raisons des vols tient au fait qu'il y a chaque jour beaucoup de «primo-utilisateurs», comme les appelle Albert Asséraf. Des touristes français ou étrangers qui pour visiter la capitale se servent de Vélib', mais le raccrochent mal ensuite dans la station… Quelques passants malintentionnés n'ont plus ensuite qu'à se servir. Quant aux dégradations, l'afficheur a déjà consolidé le vélo qui donne un peu plus de fil à retordre aux vandales.

    En contrepartie de cet intéressement, la Ville de Paris souhaite un effort en matière de service. Ainsi la régulation doit être améliorée : les utilisateurs doivent trouver facilement un Vélib' et une place pour le rendre. Par ailleurs et pour la première fois, la Ville a fixé des objectifs pour les réclamations : l'attente d'un utilisateur au téléphone ne devra pas dépasser deux minutes et la réponse à un courrier d'un usager de Vélib' doit intervenir dans les quinze jours.

    Pour répondre à ces exigences de qualité, l'opérateur a prévu de pérenniser tous les emplois des 40 collaborateurs du centre d'appel et d'en porter le nombre à 60 environ.

    Le Figaro - 23 novembre 2009

  • VIDEO Trois harkis campent devant l'Assemblée nationale dans l'ignorance des médias et des députés

    http://www.dailymotion.com/video/xb7p7v_harkis-devant-lassemblee-nationale_news

    Depuis sept mois, Zohra, Hamid et Abdalla, trois enfants de harkis, campent devant l'Assemblée nationale sans que personne n'en parle ou presque. Ils ont certes choisi d'investir le flanc est du bâtiment, à l'opposé de l'entrée presse du Palais Bourbon. Mais tout de même : en 200 jours, trois journalistes seulement sont venus leur tendre un micro -Radio Courtoisie, Radio Notre-Dame et France Culture.

    Au départ, le but de ces quadras nés ici ou en Algérie, de parents qui avaient choisi la France, était de faire parler de la cause harkie : enchaînement aux grilles, banderoles… et médiatisation attendue. Au bout d'une heure, l'affaire était pliée, direction le commissariat en garde à vue.

    A la sortie, ils ont repris le siège, dormant sur un banc, sous une tente ou dans leur break immatriculé dans l'Hérault, qu'ils ont garé face au restaurant « Le Bourbon », QG des députés. C'était en mai.

    Or les députés, justement, ont plutôt tendance à les ignorer -à part une poignée, dont l'ex-gréviste de la faim Jean Lassalle (indépendant, Pyrennées-Atlantiques), qui les aurait, disent-ils, encouragés.

    Banderoles virulentes et ignorance des députés

    Leurs banderoles ne passent pourtant pas inaperçues : « De Gaulle, traître », « La France est raciste ». Certaines sont carrément diffamatoires, mais ça leur est égal. Plus on les ignore, plus ils haussent le ton. Leur but, c'est de réveiller les élus sur le sort des harkis ; leur colère se porte plus particulièrement contre la droite, à laquelle ils ont été fidèles depuis leur première carte d'électeur.

    Zohra, fille d'un militaire de carrière qui avait fait l'Indochine, est née à Alger et arrivée en France peu après. Retournée une seule fois en Algérie en 1988, elle dit « La France de mon enfance » quand elle en parle. Elle a toujours voté à droite. Elle s'estime trahie par l'UMP, à commencer par Nicolas Sarkozy, qui s'était engagé en mars 2007, en promettant à une délégation reçue durant la campagne présidentielle :

    « Je veux rendre hommage aux soldats que vous fûtes. Des soldats qui ont combattu dans l'armée française contre la rébellion indépendantiste de 1954 à 1962. La Nation a un devoir moral envers vous. (…) Si je suis élu président de la République, je veux reconnaître officiellement la responsabilité de la France dans l'abandon et le massacre de harkis. »

     

    Un recours contre Nicolas Sarkozy devant la justice administrative

    Depuis, silence radio du côté de l'exécutif dans ce dossier, dénoncent Zohra, Hamid et Abdalla, qui ont même tenté de déposer un recours devant la justice administrative contre le chef de l'Etat au motif qu'il aura failli à son engagement. (Voir la vidéo)

    En attendant d'être reçus à l'Elysée, ils harranguent donc les députés, sans croire toutefois à leur pouvoir. Ils ont d'abord crié des slogans contre « Cette France qui a honte de son histoire ». Puis commencé, mi-novembre, à distribuer des tracts.

    Avec un résultat plutôt maigre. Mercredi dernier, Dominique Perben longeait ainsi toujours les barrières flanquées de leurs banderoles, les yeux ailleurs. Suivi peu après d'une poignée d'attachés parlementaires, rictus ironique et sourcis levés bien haut.

    Plainte contre Jean-Michel Fourgous

    Zohra, Hamid et Abdalla semblent presque ragaillardis par le mépris qu'ils ressentent. On les sent parfois tendus, même si une voisine du quartier, doudoune chic et cheveux nattés, vient les encourager. Le 27 octobre, ils ont eu une altercation avec un député UMP des Yvelines, Jean-Michel Fourgous.

    Les versions divergent drastiquement : les trois harkis affirment, et écrivent toutes banderoles dehors, que l'élu les as traités de « Sales harkis ». Voici les propos qu'ils attribuent à Fourgous et contre lesquels ils ont porté plainte récemment :

    « Il nous a traités de “Sales harkis”, nous a dit : “Retournez chez vous en Algérie avec vos banderoles, vous faites honte à la France ! ” Il nous a dit : “Vous nous faites chier, je vais vous casser la gueule ! ” »

     

    Vendredi soir, Rue89 interviewait l'élu par téléphone, lui apprenant au passage l'existence de cette plainte :

    « Franchement, j'en suis à mon troisième mandat, vous croyez vraiment que je vais m'amuser à insulter des harkis devant l'Assemblée nationale de bon matin ? Ce n'est pas sérieux ! Eux, en revanche, sont extrêmement agressifs, insultants. Ils nous disent d'ailleurs qu'ils n'ont aucun respect pour les députés. Tout ce qu'ils font, c'est instrumentaliser la cause harkie. »

     

    Militants de la troisième génération ?

    Tous trois militent depuis l'adolescence pour la cause harkie, même si Abdalla est né en France, en 1966. A l'époque, ses parents vivaient parqués dans le camp du Larzac, au milieu d'autres familles exilées. Il déplore encore que la France aie « désarmé » les siens et parle des combattants pro-indépendance du FLN comme de barbares sanguinaires.

    Zohra et Hamid, eux, ont eu ensemble quatre enfants qui ont aujourd'hui moins de 30 ans. Eux ne militent pas et ne sont « pas encore » venus rendre visite à leurs parents sur la petite place triangulaire qui jouxte l'Assemblée.

    Difficile de mobiliser la troisième génération autour d'une cause dont on parle peu ? Zohra veut croire que non. En attendant d'être entendus, ils se réchauffent dans leur voiture où ils potassent les dossiers qu'ils ont amassés sur l'histoire des leurs. Au-dessus de l'autoradio, trône aussi l'annuaire des députés, qu'ils mémorisent afin de reconnaître ceux qui détournent les yeux.

    Rue89 - 23 novembre 2009

  • La TVA des restaurateurs de nouveau à 19,60%?

    La commission des Finances du Sénat a lancé lundi un avertissement aux restaurateurs et au gouvernement en votant, à l'unanimité, un amendement au projet de budget 2010, visant à rétablir à 19,6% le taux de TVA sur la restauration qui avait été réduit à 5,5% en juillet.

      "C'est peut-être une façon de délivrer un message aux restaurateurs en leur disant "attention, jouez le jeu", mais sur le fond je ne me fais aucune illusion, il y a eu une majorité pour voter le passage de 19,6% à 5,5% et il n'y aura pas de majorité pour repasser" à 19,6%, a indiqué à l'AFP le président centriste de la commission, Jean Arthuis.

    "C'est sûrement une façon de rappeler que c'est une mesure coûteuse (proposée par le gouvernement, NDLR) et que la situation des finances publiques est préoccupante", a-t-il ajouté.

    Président du groupe UMP au Sénat, Gérard Longuet a reconnu que ce vote visait à "adresser un coup de semonce" aux restaurateurs. Mais il a toutefois relevé que la commission des Finances, lorsqu'elle a adopté cet amendement, "était rassemblée à la moitié de ses membres".

     L'amendement a été présenté par le sénateur Jean-Jacques Jégou et trois de ses collègues centristes. Il a toutefois peu de chances d'être voté en séance publique. Déposé après l'article 8 bis du projet de loi de finances 2010, il doit être présenté en séance lundi en fin d'après-midi ou en soirée.

    "Dans le contexte budgétaire tendu que notre pays connaît et face au risque de creusement de notre déficit public, cette baisse de la TVA pour les restaurateurs décidée en juillet ne nous semble pas justifiée, d'autant plus que les consommateurs n'ont pas vu de résultats probants sur les prix pratiqués par les restaurateurs", explique l'exposé des motifs de l'amendement.

    "On n'en a pas eu pour notre argent", a résumé le rapporteur Philippe Marini dans les couloirs du Sénat. "On est des gens sérieux, il y a trop de trous dans le budget", a renchéri Jean-Pierre Fourcade. La mesure représente un manque à gagner annuel de 3 milliards d'euros pour l'Etat.

    AFP. 23.11. 09

  • Dieudonné à Téhéran - Clotilde Reiss n'a pas voulu le rencontrer

    Dieudonné M'Bala M'Bala a cherché à rencontrer dimanche Clotilde Reiss à . Le ministère des affaires étrangères vient de confirmer au parisien.fr que l'humoriste et leader du «Parti antisioniste» s'était en effet présenté aux portes de l'ambassade de dans la capitale iranienne «en demandant à rencontrer Melle Reiss».

     Il était accompagné du président de son mouvement, Yahia Gouasmi.

    Le premier conseil de l'ambassade l'a informé que «Melle Reiss ne souhaitait pas le voir étant en pleine procédure judiciaire». La jeune universitaire française est poursuivie pour espionnage par la justice iranienne. Elle est en libération conditionnelle à l'ambassade depuis la mi-août dans l'attente de son jugement

     Le parti de Dieudonné M'Bala M'Bala, déjà condamné pour antisémitisme, a par ailleurs affirmé que l'humoriste et activiste politique français aurait été reçu dimanche, lors d'une visite en Iran, par le président Mahmoud Ahmadinejad. Canular ou ultime provocation?


    «L'entretien a duré une heure. Détendu et amical, celui-ci a permis d'aborder de nombreux sujets, entre autres, le sionisme», affirme dans un communiqué le «Parti antisioniste». Sur cette entrevue, le Quai d'Orsay ne disposait d'aucune information.

    Le Parisien - 23 novembre 2009

    En quoi cela serait-il un canular ou une "ultime" provocation?

    Le président iranien reçoit qui il veut quand il le veut!

     

  • Obama nomme une responsable pour le combat contre l'antisémitisme

    Hannah Rosenthal.jpg
    Hannah Rosenthal
    Le gouvernement américain devrait annoncer la nomination d'une nouvelle responsable du combat global contre l'antisémitisme. Le chef du cabinet de la Maison Blanche, Ram Emanuel, devrait annoncer la nomination devant l'assemblée annuelle des communautés juives de l'Amérique du Nord, mais on estime que la déclaration sera publiée durant la semaine.

    La candidate au nouveau poste est l'avocate Hannah Rosenthal, qui a, dans le passé, rempli de nombreuses fonctions dans des organisations juives aux Etats-Unis. Des officiels de Washington ont mentionné que le processus d'examinations pour l'octroi de l'autorisation du travail de la candidate au sein du gouvernement n'a pas encore été complété et que c'est la raison pour le délai de l'annonce à ce sujet.

    Le bureau gouvernemental de l'Envoyé Spécial pour le Contrôle et le Combat Contre l'Antisémitisme a été créé sous l'administration de l'ancien président Georges Bush Junior en 2004. Son rôle est de présenter un compte-rendu annuel sur la situation de l'antisémitisme dans le monde, dans le cadre du compte-rendu sur les droits de l'homme et la liberté de religion dans le monde.

    L'avocate juive, fille d'un rabbin réformiste rescapé de l'Holocauste, a présidé pendant cinq ans le Conseil Juif des Relations Publiques – l'organisation qui rassemble les communautés juives des Etats-Unis. Elle a ainsi été la femme au poste le plus important parmi les juifs des Etats-Unis. Elle est terminé ce poste en 2005 et depuis, elle dirige la Fondation pour les Femmes de Chicago.

    Source: http://www.ynet.co.il/

    CFCA - 12 novembre 2009

  • Malgré le fiasco retentissant du Plan Banlieue, Fadela Amara ose encore demander de l'argent aux ministères!

    Fadela Amara Zara.jpg

    Fadela Amara vient de visiter à Paris une boutique Zara pour vérifier un plan d'insertion professionnelle... - 20 novembre 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Fadela Amara, secrétaire d'Etat chargée de la politique de la Ville, a regretté dimanche que certains ministères, comme celui de la Santé, soient "en retard" dans l'application du plan "Espoir banlieue", assurant cependant que "ça bouge dans les quartiers".

    "Je vais être très honnête et très claire: les ministères se mobilisent inégalement", a déclaré sur Canal+ Mme Amara, à propos de ce plan lancé en juin 2008, auquel elle avait donné une note de 11/20 en janvier 2009.

    "Il y a des ministres qui se sont mobilisés très vite, je pense par exemple à l'Education qui très vite a mis en place un programme triennal", a-t-elle précisé.

    "Des ministères sont moins mobilisés que je l'espérais, par exemple on est en retard sur la santé", a-t-elle ajouté. Sur "47 maisons de santé" construites en 2008-2009, "il y en a trois actuellement dans les quartiers par exemple", alors que le ministère de la Santé s'était engagé à en construire "10 chaque année", soit 20 en deux ans, a-t-elle précisé.

    Mais la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, "a promis qu'elle allait mettre le coup d'accélérateur", a ajouté la secrétaire d'Etat.

    "Je souhaite toujours que le Conseil interministériel à la ville, le CIV, se tienne sous la présidence de François Fillon" et que "chaque ministre dise où il en est", a-t-elle dit. "J'attends la date pour le prochain".

    "Moi-même, j'ai dit à maintes reprises que je voulais que ça aille encore plus vite", a-t-elle dit.

    Selon elle, "on peut dire quant même que ça bouge dans les quartiers".

    Elle a cité notamment "plus de 549" projets de rénovation urbaine, ainsi que "la réussite éducative, l'accompagnement éducatif".

    "Rien que sur ces deux dispositifs qui mobilisent plus de 100 millions d'euros, on a plus de 2 millions d'enfants qui sont concernés pour qu'on puisse les aider à réussir", s'est félicitée Mme Amara.

    AFP. 22.11.09

  • Marine Le Pen se déclare contre la double nationalité et dénonce des propos tenus par Rama Yade

    Marine le 219 nov 09 à Lille.jpg
    Le 19 novembre 2009 à Lille
    (Cliquez sur la photo)

    La vice-présidente du Front national, Marine Le Pen, s'est prononcée dimanche pour la suppression de la double nationalité en dénonçant les supporteurs de l'Algérie en France et des propos tenus par Rama Yade.

    "Oui je crois qu'il faut changer le code de la nationalité, qu'il faut supprimer le droit du sol et je pense qu'il faut supprimer la double nationalité", a-t-elle déclaré au Grand Jury RTL-Le Monde-Le Figaro.

    "Si la main de Thierry Henry avait été égyptienne je crois qu'il y aurait eu des morts", a-t-elle déclaré au sujet des supporteurs de l'équipe de football d'Algérie qui ont manifesté mercredi dans plusieurs villes de France après sa qualification pour le Mondial-2010 de football.

    "Je crois qu'il faut demander à ces jeunes de choisir. On ne peut pas avoir deux nations au coeur, deux allégeances", a poursuivi Mme Le Pen.

    "Comment voulez-vous demander à ces jeunes de choisir quand la secrétaire d'Etat, Mme Rama Yade, déclare dans son livre: "jusqu'à 18 ans, s'il y avait eu une guerre entre le Sénégal et la France, j'aurais choisi le Sénégal. Et depuis, je ne sais pas", a-t-elle encore déclaré.

    Elle a poursuivi en disant: "Quand le Front national arrive à 9 ou 10% dans les sondages, le gouvernement se met à parler: sécurité, identité nationale, lutte contre l'immigration clandestine. Si le Front national était à 30%, il agirait".

    Elle a confirmé qu'elle était candidate au poste de présidente du mouvement frontiste après le départ de son père Jean-Marie Le Pen.

    AFP. 22.11.09

  • Saint-Gaudens: viols sur une enfant de 14 ans - 6 individus incarcérés

    Les auteurs présumés avaient été interpellés dans la communauté des gens du voyage.


    Lundi matin, de très importantes forces de police ont investi différents quartiers de la ville, tout particulièrement celui de Stournemil où réside la communauté des gens du voyage.

    Les policiers, au nombre d'une centaine, placés sous les ordres du commandant Madieu, interpellaient dans la journée six individus, cinq à Saint-Gaudens et un à Muret. Ils étaient placés en garde à vue, poursuivis pour être les auteurs présumés de viols en réunion sur une jeune fille. Le contexte, l'environnement ont amené les policiers à transférer ces individus à Toulouse.

    Au terme de 48 heures de garde à vue, les six personnes, trois adultes et trois mineurs ont été présentées devant Myriam Viargues, vice-présidente du tribunal de Toulouse, chargée de l'instruction au pôle criminel, lequel instruit les affaires criminelles passibles des assises. C'est pourquoi, cette affaire ouverte par le parquet de Saint-Gaudens, a été transférée à Toulouse.

    Viols et sévices répétés

    Les six individus ont été mis en examen. Ils sont poursuivis pour viols en réunion. Les trois mineurs ont été incarcérés à la prison pour mineurs de Lavaur. Les trois adultes ont été conduits à la prison de Seysses.

    Aujourd'hui, nous pouvons lever le voile sur une affaire ô combien douloureuse qui nécessitait de protéger la victime (mineure) et les témoins qui ont déposé plainte.

    Les faits remontent à 2008. Ils ont duré plusieurs mois. Durant toute cette période une enfant, âgée de 14 ans, a été la proie d'individus, victime de viols et sévices répétés, de menaces, de violences.

    L'enquête, menée par les officiers de police judiciaire de la brigade de sûreté urbaine de Saint-Gaudens a été longue. Selon nos informations, les policiers ont travaillé durant de longs mois pour parvenir à cerner les différents individus impliqués.

    La préparation de l'intervention permettant les interpellations a été aussi longue et minutieuse. Elle a été précédée d'une mise en sécurité de la victime et des témoins pour éviter qu'elles soient victimes de menaces. Elle a évité que l'un ou l'autre des individus ne passe au travers des mailles du filet. Aujourd'hui, ils sont sous les verrous, passibles de 20 ans de réclusion criminelle. L'enquête se poursuit.

    La Dépêche - 20 novembre 2009