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15.12.09
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15.12.09
Les parents de Florence Cassez, emprisonnée depuis 4 ans au Mexique pour des enlèvements auxquels nie avoir avoir participé, ont été reçus ce matin à l'Elysée par le président Nicolas Sarkozy " pour "faire le point de la situation" de la jeune femme.
La famille de Florence Cassez était accompagnée de son avocat Franck Berton et de Thierry Lazaro, député UMP du Nord, d'où est originaire la jeune femme. "Le Président de la République a assuré les parents de Florence Cassez que les autorités françaises, qui sont préoccupées par les zones d'ombre qui entourent cette affaire et conduisent à douter qu'elle ait bénéficié d'un procès équitable, continueront de suivre attentivement sa situation et de lui apporter toute assistance prévue par le droit".
Nicolas Sarkozy avait demandé en juillet dernier qu'elle puisse purger sa peine en France dans le cadre d'un transfèrement prévu par une convention internationale, mais son homologue mexicain Felipe Calderon a rejeté la requête. L'avocat mexicain de Florence Cassez, Me Agustin Acosta, a récemment annoncé qu'il préparait un pourvoi en cassation sur la base d'"arguments qui l'innocentent".
Le Figaro - 17.12.09
Vingt ans de réclusion criminelle ont été requis aujourd'hui devant la cour d'assises d'Ille et Vilaine contre un quinquagénaire accusé d'avoir violé ses deux fillettes et prostitué la plus âgée via internet.
"C'est la peine maximum pour les faits commis, mais c'est à mon sens un minimum, compte tenu de sa dangerosité et du préjudice infligé. C'est la première fois que je regrette que la loi ne permette pas une peine supérieure", a souligné l'avocate générale, Catherine Denis, dans son réquisitoire.
Le père de famille qui vivait dans la région de Rennes est accusé d'avoir plusieurs fois violé sa fille de 9 ans entre 2004 et 2005 et de l'avoir vendue à d'autres via un site internet qu'il avait créé. "Il n'a de père que le nom. Il a soumis sa fille aînée à des situations d'humiliation, d'avilissement, il l'a exhibée sur internet et offerte aux fantasmes d'autres hommes", s'est indignée l'avocate générale. Pour le dixième anniversaire de l'enfant, "il projetait de la faire déflorer par le plus offrant", a-t-elle rappelé.
Des peines de 7 à 15 ans ont été requises contre quatre "clients", jugés avec lui pour viols depuis deux semaines. Trois d'entre eux sont accusés d'avoir payé de 500 à 1.000 euros le week-end. La prise de contact sur internet était suivie d'une séance de visionnage par webcam avant mise à disposition de l'enfant.
L'homme de 58 ans qui s'occupait de ses filles le week-end et pendant les vacances scolaires depuis l'éclatement de son couple, a été arrêté après avoir dénoncé par un internaute. L'enquête a permis d'établir qu'il avait également violé son autre fille, âgée de 4 ans et demi à l'époque des faits.
L'accusé reconnaît les viols, mais nie le proxénétisme aggravé. Le ministère public a demandé d'assortir sa peine d'un retrait de son autorité parentale, ainsi que d'un suivi socio-judiciaire de quinze ans, avec injonction de soins.
Le Figaro - 17.12.09
Des policiers israéliens ont encerclé ce matin le Centre culturel français à Jérusalem-Est, où ils étaient apparemment venus interpeller la co-organisatrice palestinienne d'un événement culturel dans le cadre d'un festival consacré à Jérusalem, selon un diplomate français. La police israélienne a entouré l'entrée du bâtiment et procédé à des vérifications d'identité, sans pénétrer à l'intérieur, selon un photographe de l'AFP. L'incident a pris fin au bout d'une heure.
Le conseiller culturel du Consulat général de France, Benoît Tadié Tadié, a confirmé que la police avait demandé si Rania Elias, co-organisatrice de l'événément, était présente sur les lieux. Celle-ci est sortie par une porte arrière du bâtiment. Une cinquantaine de personnes, y compris des responsables de l'Autorité palestinienne, se trouvaient au centre culturel pour cette manifestation organisée dans le cadre du festival "Jérusalem, capitale arabe de la culture 2009". Rafic al-Husseini, directeur de cabinet du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a quitté le centre avant l'arrivée de la police, a précisé Tadié.
"Nous sommes ici pour exprimer notre soutien à la culture palestinienne", a affirmé le consul général de France à Jérusalem, Frédéric Desagneaux, pour expliquer les raisons pour lesquelles cette manifestation s'était tenue dans un institut français. La police avait averti qu'elle empêcherait l'organisation de toute manifestation culturelle palestinienne dans la ville proclamée par Israël comme sa capitale "réunifiée".
"Toute activité politique, culturelle ou économique de l'Autorité palestinienne est interdite à Jérusalem-Est", a déclaré le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld. Une manifestation palestinienne réunissant quelque 200 personnes dans le cadre du festival, a par ailleurs été dispersée par la police devant la Porte de Damas, une des entrées de la Vieille ville de Jérusalem, dans le même quartier. Le Figaro - 17.12.09
Les chrétiens de la ville septentrionale de Mossoul ont été aujourd'hui victimes d'une nouvelle exaction avec l'assassinat par des inconnus d'un des leurs, deux jours après des attentats contre des églises.
Un ouvrier chrétien de 30 ans, Zeid Majid Youssef, qui venait de garer son véhicule pour rentrer chez lui a été abattu par des hommes armés à bord d'une voiture dans l'ouest de la ville. L'un des attaquants est même descendu pour s'assurer qu'il était mort avant de s'enfuir, a affirmé un témoin Mohammad Abdel al-Jabbbar.
Mardi, deux attentats ont visé dans cette ville du nord de l'Irak deux églises, tuant un nourrisson et blessant 40 personnes.
Dans le centre-ville, l'explosion d'une voiture piégée, visant l'église syriaque orthodoxe de la Vierge Très Pure et une école chrétienne à proximité, a causé la mort d'un nourrisson et blessé 40 personnes, dont cinq lycéens, selon un responsable administratif de la Cité médicale de Mossoul, à 350 km au nord de Bagdad.
Une bombe a également explosé près de l'église syriaque catholique de l'Annonciation à Chourta, dans le nord de la ville, sans faire de victimes.
Le Figaro - 17.12.09
Le propriétaire d'un café de Lavaur (Tarn) qui avait tué d'un coup de fusil un cambrioleur, mineur de 17 ans surpris dans son établissement, a été mis en examen mardi soir pour homicide volontaire et tentative d'homicide volontaire et écroué, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Le meurtrier présumé, qui habite au-dessus de la salle du café, avait entendu du bruit dans son établissement dans la nuit de dimanche à lundi vers 2H30.
Descendu armé de son fusil de chasse, il était tombé nez-à-nez avec deux personnes et avait tiré, tuant l'un des deux cambrioleurs sur le coup.
Le second cambrioleur, un autre mineur originaire de Lavaur, avait pris la fuite. Il s'était présenté spontanément aux gendarmes lundi en fin d'après-midi.
Le propriétaire du bar, âgé d'une «cinquantaine d'années et sans antécédents judiciaires», avait été placé en garde à vue à Castres, avant d'être déféré au parquet de Toulouse.
Le parisien - 17.12.09
http://www.youtube.com/watch?v=8EG4624A1e0&feature=player_embedded
VIDÉO - Lors de la commission parlementaire sur le port du voile intégral (la burqa), le député UMP des Yvelines Jacques Myard affirme : « C’est une obligation divine, et c’est là où en tant que laïc, je commence à poser des questions, ça va être le choc des cultures à terme, pour ne pas parler d’autre chose. »
NOVOpress - 16.12.09
Capture écran du 15 décembre 2009 montrant une radio de l'estomac d'un enfant de 2 ans où on distingue des dizaines d'aiguilles dans l'hôpital de Barreiras au Brésil
"Son état est grave mais stable. Une aiguille lui a perforé le poumon et il est affaibli. On lui a mis un drain et il s'alimente par sonde", a déclaré à l'AFP Kelly Bessa, porte-parole de l'hôpital de Barreiras, à quelque 900 km de Salvador de Bahia où l'enfant a été interné.
Il a été hospitalisé dimanche après des vomissements et de fortes douleurs à l'estomac. Les radios ont montré une cinquantaine d'aiguilles dans le cou, la poitrine, l'estomac, le foie et les jambes.
"Les médecins disent qu'il n'a pas pu avaler ces aiguilles de couture car si c'était le cas, elles se trouveraient dans le transit gastro-intestinal. Ils évaluent l'état physique de l'enfant pour une possible opération de retrait des aiguilles qui sont près des organes vitaux. Mais cela peut être plus dangereux que de les laisser", a-t-elle précisé.
Le commissaire en charge de l'enquête, Helder Fernandes Santana, a déclaré également à la presse "être certain" que les aiguilles ont été introduites intentionnellement par quelqu'un.
Il a dit qu'il enquêtait sur toutes les personnes ayant eu des contacts avec l'enfant. La police recherchait mercredi le beau-père de l'enfant qui a disparu depuis mardi.
Le journal A tarde de Salvador de Bahia affirme mercredi que la mère de l'enfant, Maria Souza Santos, 38 ans, soupçonne que son enfant "a pu être victime de magie noire".
Elle a dit avoir retrouvé chez elle une bouteille de cachaça (eau de vie de canne à sucre) et d'autres objets utilisés pour ce type de rituel. Elle vit avec ses six enfants, sa mère et son nouveau mari que la police recherche.
Le Point - 16.12.09
http://www.dailymotion.com/video/xbfv2r_claude-sarraute-a-europe-1-le-91209_fun
Ca a fait le tour du Web, mais je reviens quand même dessus parce que c’est assez hallucinant. Elle avait bu, ou quoi ? Pour d'autres, on ne se priverait pas d'accuser la sénilité, comme on l'a vu en certaines circonstances.
Bref, interviewée par un copain, Fogiel, sur Europe 1 il y a quelques jours, la journaliste Claude Sarraute s’est lâchée dans les grandes dimensions :
« Un de vos confrères est venu vous défier sur le thème « tu n’oseras jamais taquiner sur la shoah » et vous avez écrit :
Regardez-nous les juifs, ce qu’on a réussi à faire avec notre shoah
Ah, j’ai dit ça à une Arménienne
On l’a vendue partout. On est couverts d’argent. On est vraiment plus fort que vous
Oui, j’ai dit ça à une Arménienne (…)
Ces cons-là, ils ont vraiment eu la même chose et tout ce qu’ils trouvent à faire, c’est de s’asseoir par terre dans la rue ».
Intéressant. On peut en retenir que les Arméniens sont des cons – ils apprécieront sûrement. Qu’ils ont eu « la même chose ». Ah tiens, je croyais que c’était tellement indicible que c’en était hors de l’histoire.
Et enfin que les juifs ont très bien vendu la chose. On s’en doutait un peu, mais c’est bien qu’une juive le dise. Merci, Claude.
Blog d'Anne KLING -16.12.09
Faut-il une loi pour interdire le port du voile intégral en France ? La mission parlementaire d'information, mise en place en juillet 2009 et qui réunit 32 députés de toutes tendances, doit entendre en fin de journée Brice Hortefeux, Eric Besson et Xavier Darcos sur le port du "niqab", une pratique minoritaire qui concernerait moins de 2.000 musulmanes en France, selon les spécialistes. Selon plusieurs sources, Brice Hortefeux serait pour une loi d'interdiction dans les lieux publics et Xavier Darcos plutôt pour une résolution parlementaire, une déclaration solennelle non contraignante.
André Gerin, député PCF du Rhône et président de cette mission qui doit rendre ses conclusions fin janvier, s'est déclaré favorable à "une proposition de loi touchant à la notion de l'ordre public". Toutefois, a-t-il souligné, la position commune de la mission parlementaire "n'est pas de proposer une loi qui aurait un sens de stigmatisation" des musulmans dans leur ensemble, mais de proposer des mesures touchant à l'interdiction du voile intégral "particulièrement dans les domaines de l'éducation et de la santé". Qualifiant le port du voile intégral de "dérive intégriste", André Gerin a justifié cette position en expliquant que, parmi les femmes qui le portent, "un quart sont volontaires alors que les autres y sont contraintes, y compris des mineures et il est donc question de protection judiciaire de la jeunesse".
"ll faut revenir à la loi de 1905"
Nicolas Sarkozy a dit le 22 juin à Versailles, puis le 12 novembre à la Chapelle-en-Vercors (Drôme), son hostilité au voile intégral. Parmi la cinquantaine de personnes auditionnées par la mission - islamologues, sociologues, historiens, maires, membres d'associations féministes, musulmanes, défenseurs de la laïcité et même une femme habituellement voilée qui a témoigné à visage découvert à huis clos - Antoine Sfeir, directeur des Cahiers de l'Orient et spécialiste de l'islam, a notamment estimé que légiférer contre le voile "aura pour résultat de dire que les députés ont légiféré contre l'islam". "Il faut revenir à la loi de 1905" sur la séparation des églises et de l'Etat et "aux principes de laïcité", a-t-il estimé en rappelant que le voile n'était pas une prescription religieuse.
Les responsables du culte musulman en France ont clairement dit que c'est aux musulmans eux-mêmes de mettre fin à la "pratique ultra-minoritaire" du port du voile intégral, par "la persuasion et l'éducation" plutôt que par la contrainte. Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Jean-François Copé, qui a lancé son propre "groupe de réflexion", a jugé mardi "indispensable" une loi d'interdiction du voile intégral, estimant qu'avec ce voile "des extrémistes testent la République en encourageant une pratique qu'ils savent contraire aux principes essentiels de notre pays".
Après cinq semaines de procès, le jury a rendu son verdict et condamné Dominique Guillouche à 20 ans de réclusion. Jugé pour avoir violé ou agressé sexuellement au moins 19 victimes, dont 18 fillettes de 2 à 14 ans, cet homme de quarante ans a été condamné pour tous les faits qui lui étaient reprochés. Sa condamnation a été assortie d'une peine de sûreté de près de 14 ans.
Au deuxième jour de son procès, le premier pédophile interpellé en France grâce à l'alerte enlèvement en 2005, a raconté sa vie entre une mère et une épouse dominatrices.
Au gré des auditions, les députés ont découvert de nouvelles exigences religieuses ou communautaristes. Consultant en ressources humaines, notamment pour des sociétés du CAC 40, Carl Pincemin a raconté comment des salariés ayant obtenu des menus confessionnels, refusent désormais que «la viande halal soit proposée à côté de plats contenant de la viande “normale” jugée impure». En clair, ils désirent des cantines séparées et ne veulent plus «s'asseoir à côté de personnes qui mangent du porc !», tempête Jacques Myard, député UMP de la mission. D'autres ont constitué l'équivalent d'un «syndicat confessionnel». Ils réclament la reconnaissance de jours fériés musulmans, demandent des lieux de culte dans l'entreprise et prétendent que les femmes de service chargées de servir les plats à la cantine doivent se présenter «les bras couverts».
Ces revendications, de la plus simple aux plus extravagantes posées au nom de l'islam, embarrassent les responsables des entreprises. «Ils perdent leur bon sens», estime l'anthropologue Dounia Bouzar, auteur d'un livre intitulé Allah a-t-il sa place dans l'entreprise ? (Albin Michel, 2009). «Certains craignent d'être traités d'islamophobes s'ils refusent. Et cèdent à des pratiques intolérables.» Jusqu'à accepter que des salariés ne passent plus l'entretien d'évaluation avec leur chef de service si c'est une femme. Tandis que d'autres, à l'inverse, «répriment toute manifestation de foi, même si elle ne perturbe pas le bon fonctionnement du service». Pour Cathy Kopp, l'ex-DRH d'Accor chargée de mission au Medef, «l'entreprise est demandeuse de règles plus claires en matière de revendications religieuses».
L'hôpital aussi, si l'on en croit André Gerin (PCF), le président de la mission parlementaire sur le voile intégral. Les députés ont visité à Lyon la maternité Mère-Enfant. «Le personnel se sent abandonné.» On compte «quatre à cinq incidents par semaine» dans les services d'obstétrique, affirme André Gerin. «Un homme sage-femme appelé à la rescousse lors d'un accouchement difficile s'est fait casser la gueule en octobre par un mari», a raconté le responsable hospitalier. Les pompiers ont dû le réanimer pour qu'il achève l'accouchement. Un traumatisme pour tout le service, qui «n'en peut plus» de devoir slalomer entre les exigences religieuses et déminer l'agressivité de certains. «Les maris insistent pour que leurs femmes soient vues par des médecins femmes. Beaucoup refusent une anesthésie par crainte qu'un homme apparaisse», a relaté le personnel. Comme en 2004, lorsque pour la première fois, plusieurs chefs de service d'obstétrique avaient dénoncé ces pressions devant la commission Stasi. Depuis, une charte rappelle qu'on ne peut choisir son médecin dans le service public. «Mais les personnels restent seuls à gérer les conflits», regrette André Gérin.
Sur le terrain, les maires de banlieue réunis dans l'association Ville et Banlieue s'inquiètent d'une montée en puissance des exigences religieuses. Après les repas sans porc à l'école, les requêtes portent sur des menus sans viande ou halal. Tandis que la demande pour des créneaux horaires réservés aux femmes s'accroît dans les piscines et les gymnases.
Il vaut mieux en rire qu'en pleurer!
AFP. MOSCOU- 15.12.09 — Un froid glacial s'est abattu mardi sur Moscou, où le thermomètre est tombé à -25 degrés, défiant les conférenciers qui planchent sur le réchauffement climatique à Copenhague...
Si elles n'atteignent pas un record pour un 15 décembre (-27,3 degrés en 1997), de telles températures sont inédites depuis trois ans dans la capitale (-28,3 en février 2006), a relevé le directeur de l'agence locale de météorologie, Alexeï Liakhov, cité par l'agence Ria Novosti.
Le thermomètre a aussi dégringolé à -51 degrés dans la république des Komis (Grand Nord), -46 dans la région d'Irkoutsk (Sibérie) et -49 à Krasnoïarsk (Sibérie orientale), contrées traditionnellement abonnées aux grands froids.
Une personne est morte de froid dans la capitale, a indiqué une source au sein des services d'urgence citée par l'agence Ria Novosti.
Les Moscovites ont ressorti leur équipement d'hiver, chapkas, manteaux et bottes fourrés, et se sont acharnés pour certains à faire démarrer leur voiture.
Au centre de la capitale, le trafic était très perturbé mardi, des véhicules paralysés par le gel bloquant la circulation. Le 7 décembre, de fortes chutes de neige avaient déjà créé des embouteillages monstres et soulevé une polémique sur les compétences des services météo.
Depuis plusieurs jours, les patineurs ont retrouvé droit de cité sur les étangs gelés de Moscou, dont l'Etang des Patriarches, rendu célèbre par le roman "Le Maître et Marguerite" de Mikhaïl Boulgakov.
La presse populaire mettait toutefois en garde mardi patineurs et amateurs de pêche au trou, rappelant qu'il faut au moins cinq à sept jours de fortes gelées pour que la glace tienne bon sous leur poids.
http://www.youtube.com/watch?v=y6Y1pyy8ESM
A la télévision suédoise. Sous-titrage ajouté en français.
Filmé à Malmö.
Malmö (danois : Malmø) est une ville au sud de la Suède.
C'est la ville la plus importante de la région de Scanie avec 248 000 habitants.
La commune de Malmö a 270 000 habitants, ce qui en fait la 3e plus importante de Suède, après celles de Stockholm et Göteborg.
La métropole de Malmö compte plus de 530 000 habitants et jouxte celle de Copenhague et ses 1 million d'habitants ; cet ensemble, appelé région de l'Øresund constitue un pôle majeur en Scandinavie.
Un tiers des habitants de Malmo sont des immigrés de première ou deuxième génération
(Source Wikipedia)
Après des décennies de laisser-faire, la situation en Suède est devenue explosive. Dans certaines villes, telle Malmö, troisième ville du pays, plus d’un quart de la population est étrangère et l’ensemble des services publics se disent submergés par l’afflux des migrants.
NOVOPRESS - 15.12.09
Au Danemark, 65% des mineurs de moins de 18 ans arrêtés en 2007 à Copenhague sont d’origine immigrée. Tout groupe d’âge confondus, le chiffre s’élève à 63%. Un danger qui se dessine sur le long terme. Chargée d’enseignement à l’Université de Paris X, Anastassia Tsoukala remarque qu’au sein des pays d’Europe du Nord, la « criminalisation des immigrés » « couvre aussi bien les immigrés clandestins que les demandeurs d’asile et les immigrés de la deuxième génération ». Italie, France, Allemagne, Belgique… Au chapitre, « La criminalité étrangère à travers les statistiques », l’universitaire rappelle que le taux d’incarcération des immigrés est très nettement supérieur à celui des nationaux.
15/12/2009 (NOVOpress) – Après la sous-culture, l’industrie du fast-food s’intéresse à l’islam. La chaîne Quick propose des hamburgers halal dans huit villes de l’Hexagone : Toulouse, Marseille (deux enseignes), Roubaix, Villeurbanne (près de Lyon), Argenteuil, Garges-lès-Gonesse, Buchelay (région parisienne). Une foultitude de petits restaurants imposaient déjà leurs produits confectionnés avec de la viande certifiée consommable par les musulmans. Désormais, il s’agit d’un groupe international, le numéro un de la « restauration rapide » en Belgique, Luxembourg et numéro deux en France, qui s’étend aussi en Algérie, Russie, Catalogne, etc.
L’initiative de Quick, observée de près par son concurrent américain, McDonald’s, renforce le communautarisme et l’islam en Europe. Elle suscite aussi de nombreuses protestations des défenseurs des animaux. Car pour que la viande convienne aux musulmans, il faut que le boeuf soit égorgé vif, la tête tournée vers La Mecque par un sacrificateur agréé. L’un de nos lecteurs vient d’écrire à Valérie Raynal, responsable de la communication corporate Quick (valerie.raynal@quick.fr). « Au nom d’une religion (mais qu’est ce donc que cette religion qui impose la souffrance des animaux pour les consommer ?) nous connaissons un retour à la barbarie », déplore-t-il, en ajoutant dans son courriel : « La souffrance inutile des animaux de boucherie, c’est le retour à la barbarie ». Mais que pèse la souffrance des animaux face au business du marché halal ?
Valérie Raynal a déjà fait savoir que ceux qui ne voulaient pas manger halal n’avaient qu’à aller se restaurer… ailleurs. Dans un courriel adressé à WLS, la Webtélévision souverainiste, la « responsable communication corporate » assène : « Vous écrivez que “Quick impose à ses clients des menus halal“. Depuis le 30 novembre, nous avons en effet pris la décision de tester la vente d’une gamme de produits à base de viande halal dans un restaurant franchisé de Villeurbanne ; ce qui ne constitue en rien une obligation pour nos clients car parallèlement, nous disposons de 10 restaurants Quick dans l’agglomération de Lyon, 33 en région Rhône Alpes, proposant des menus classiques. » Elle ajoute : « Enfin, une dernière précision, les viandes halal dans les menus de ce restaurant test sont certifiées par différentes mosquées selon la région où se trouve l’abattoir. » Des mosquées, mais cela elle ne le précise pas, qui se font rétribuer pour cela. Ou quand « Quick corporate » nourrit le budget d’« Allah corporate ».
Dernière précision : Quick n’est pas une simple entreprise privée. Ainsi que le révèle Minute http://www.minute-hebdo.fr à paraître demain, Quick, société belge à l’origine, a été acquis en 2007 par CDC Capital Investissement. « Une filiale… de la Caisse des dépôts et consignations, supposée assurer, pour le compte de l’Etat français, des missions d’intérêt général. » Elle est placée sous le contrôle du Parlement et a pour devise : « Foi publique ».
Des vols en augmentation.
Au cours des dix premiers mois de l’année, 9 226 vols par ruse ont été enregistrés sur l’ensemble du territoire. A Paris et en petite couronne parisienne, 1 403 vols de ce type ont été relevés sur la même période contre 1 381, l’an passé. « Au total, pour l’année 2008, 1 666 faits avaient été relevés à Paris et en petite couronne, relate une source proche de la préfecture de police. Un peu plus de 700 faits ont été élucidés et 232 personnes mises en cause interpellées. » A Paris, les X e et XIX e arrondissements ont été les plus touchés en 2008.
Des dizaines de modes opératoires.
Selon un policier, « il existe autant de techniques, qu’il y a d’équipes ». Récemment est apparue la technique dite des « cardiaco-dépressives ». Deux jeunes femmes suivaient des retraitées en train de faire leurs courses, notaient discrètement le code secret de la carte bancaire, composé par la victime pour régler ses achats avant de la suivre. Dans le hall de son immeuble, une des deux simulait un malaise cardiaque. Elles demandaient de l’aide à leur victime avant de lui voler discrètement sa carte bancaire…
Le parisien - 15.12.09
http://www.dailymotion.com/video/xbh81v_dlr-75018-la-laicite-remise-en-caus_news
Interloquée par plusieurs sources faisant état de personnes priant dans la rue dans le 18ème arrondissement, la fédération de Paris de Debout La République a voulu en avoir le coeur net. Un adhérent parisien de DLJ (Debout Les Jeunes) s'est ainsi rendu sur place, à l'origine pour atteindre la rue Myrha.
La vidéo commence à 14h11 le vendredi 11 décembre 2009 au croisement de la rue de la Goutte d'Or et du boulevard Barbès. Pour info, elle finit faute de bande (elle s'est en effet révélée plus longue que prévue).
Ce qui y est montré est une contribution aux débats sur l'identité nationale et sur la votation suisse interdisant les minarets.