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  • Carla: "en tant qu'épouse, un mandat pour Sarkozy, ça me suffirait!"

    Carla Bruni-Sarkozy a affirmé qu'"en tant qu'épouse, un mandat (pour son mari), ça (lui) suffirait", dimanche sur TF1.

      "S'il se représente, c'est son affaire. En tant qu'épouse, comme ça, dans l'intimité, un mandat me suffirait", a affirmé Mme Bruni-Sarkozy, qui était interrogée sur une éventuelle seconde candidature de son mari à l'élection présidentielle, en 2012.

    "On n'en discute jamais, parce que je pense que je ne dois pas me mêler de ça, ça lui appartient tellement. Tout ça est très compliqué, c'est son métier. C'est comme s'il venait mettre le nez dans les accords majeurs ou mineurs d'une de mes chansons. C'est mon affaire, si je mets un majeur ou un mineur", a-t-elle poursuivi.

     Alors qu'on lui rappelait que Bernadette Chirac s'inquiétait, lorsque son mari était encore président, de ce que Jacques Chirac pourrait faire sans le pouvoir, Carla Bruni-Sarkozy a répondu: "je pense que mon mari pourrait tout faire, parce qu'il donne tellement tout ce qu'il a, il utilise tellement tous ses moyens pour faire les choses, que c'est cela qui fait la réussite dans le travail d'une vie".

    "C'est quelqu'un qui s'engage des pieds à la tête et même amoureusement. Ca, pour une femme, c'est tout à fait inédit, et pour un pays aussi, c'est tout à fait inédit", a-t-elle insisté.

    "Donc, moi, je suis contente pour les Français qu'ils aient mon mari" comme président, a-t-elle également affirmé, se défendant de faire de la propagande.

    "Ce n'est pas une vision béni oui-oui. C'est une vision réaliste. Ca se voit dans la seconde où il entre dans une pièce. C'est quelqu'un qui est complet, qui est entier. Je pense que, s'il était menuisier, il serait un menuisier entier. Je pense que c'est comme ça qu'on réussit sa vie professionnelle et sa vie personnelle aussi. C'est-à-dire en donnant tout ce qu'on a", a-t-elle affirmé.

    Depuis février 2008 (quand ils se sont mariés), "notre vie a changé. J'ai calmé notre vie, je l'ai apaisée. Notre vie personnelle est très douce, très calme, très tranquille. On en a tous deux grand besoin. Je suis mieux avec lui que seule. C'est quelque chose que je n'aurais jamais imaginé dans ma jeunesse", a-t-elle également confié.

    AFP. 13.12.09

     

  • Le Pen promet à Sarkozy une cruelle surprise aux régionales

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    Conférence de presse de Jean-Marie Le Pen à Marseille le 13 décembre 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Le président du Front national, Jean-Marie Le Pen, a promis dimanche à Nicolas Sarkozy une "cruelle suprise" aux élections régionales, en affirmant que son débat sur l'identité nationale avait "tourné à l'avantage" de son parti.

    Le président de la République "va avoir l'occasion de regretter son initiative car elle a tout naturellement tourné à l'avantage du Front national qui, sur ce sujet, fait connaître des positions claires depuis de nombreuses années", a lancé M. Le Pen, lors d'une conférence de presse à Marseille.

    Lui-même chef de file en Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA) pour son probable dernier combat électoral à 81 ans, le président du FN s'exprimait à l'issue d'un bureau politique "délocalisé" dans un hôtel de luxe de la cité phocéenne, en présence de l'ensemble des têtes de liste du parti.

    Quintuple candidat à l'Elysée, M. Le Pen, dont une partie de l'électorat avait été siphonné par Nicolas Sarkozy lors de la dernière présidentielle, se dit convaincu que ses électeurs savent qu'ils "ont été floués" et que l'immigration est un "outil de destruction de l'identité nationale".

    "Le président, qui est un fin manoeuvre, a pensé à cette occasion qu'il allait pouvoir réédditer ce qu'il avait fait en 2007, c'est-à-dire essayer de piéger les électeurs du FN, c'est là qu'il se trompe", a-t-il dit.

    Selon M. Le Pen, qui ne craint que l'"abstention", "Nicolas Sarkozy doit s'attendre --et on le voit dans les sondages où il ne cesse de dégringoler-- à une cruelle surprise lors des élections régionales".

    Après des législatives calamiteuses (4,3%) en 2007 qui l'ont plongé dans une grave passe financière, suivies d'un léger redressement aux européennes de juin dernier (6,8%), M. Le Pen estime que son parti peut se maintenir au second tour des régionales dans douze régions, soit cinq de moins qu'en 2004.

    Sa fille Marine, vice-présidente du FN et chef de file dans le Nord/Pas-de-Calais, qui participait à la conférence de presse aux côtés de son alter ego et rival dans la succession à la tête du mouvement, Bruno Gollnish, investi en Rhône-Alpes, espère que le parti obtiendra 10% au niveau national.

    "Ces régionales montreront que nous ne sommes pas sur le déclin mais sur une pente ascendante. A 10%, le gouvernement est obligé de reprendre nos thèmes. A 30%, il serait obligé d'agir", assure-t-elle.

    AFP. 13.12.09

     

  • Une mosquée "profanée" à Castres

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    Mosquée Bilal à Castres
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)

    La mosquée Bilal de Castres, dans le Tarn, a été profanée dans la nuit de samedi à dimanche par des inconnus. Après avoir franchi le portail, ils ont dessiné des croix gammées et écrit «Sieg heil» (slogan nazi, ndlr) sur les murs extérieurs de l'édifice, où ils ont également tracé des inscriptions telles que «La France aux Français» et «White power», a indiqué le président de l'Association islamique de Castres, Abdelmalek Bouregba, responsable du lieu de culte.

    Des pieds de cochon ont également été suspendus à la poignée du portail. Sur la porte, des oreilles de cochon avaient été agrafées et des affiches placardées sur lesquelles étaient dessinés des drapeaux français, a-t-il précisé. Il a indiqué que les auteurs de la profanation n'avaient pas pénétré à l'intérieur de la mosquée. La police s'est rendue sur place pour procéder à des relevés d'empreintes, a ajouté Abdelmalek Bouregba, en précisant qu'il allait porter plainte.

    Le responsable de la mosquée, ouverte en 1986 dans un ancien hangar et comportant une salle de prière de quelque 200 m2, s'est déclaré outré par la profanation, qu'il a qualifié d'«acte prémédité». «C'est un ensemble. Depuis un certain temps, on n'arrête pas de viser la communauté musulmane», a-t-il dénoncé, faisant notamment allusion à certains dérapages dans les débats sur l'identité nationale et au référendum pour l'interdiction de la construction de nouveaux minarets en Suisse.

    «Aucune piste n'est écartée», a déclaré Paul Agostini, le directeur de la police départemental du Tarn, qui a précisé qu'aucun incident, ni litige n'avait été signalé les jours précédents autour de la mosquée.

     

    Condamnations unanimes

     

    SOS Racisme a condamné dans un communiqué la profanation, qui «vise très clairement, de la part des auteurs de ces méfaits, à laisser entendre qu'un musulman ne saurait être Français», et déplore «la libération de la parole raciste, libération que le débat sur l'identité nationale permet et organise».

    La préfète du Tarn, Marcelle Pierrot, a rencontré sur place la communauté musulmane «pour lui exprimer sa solidarité». «Ces actes de profanation condamnables (sont) contraires aux valeurs de notre république laïque qui permet à chacun de pouvoir exercer sa foi dans le respect des règles et des valeurs de notre démocratie», a-t-elle souligné. Le député du Tarn Bernard Carayon (UMP) a dénoncé pour sa part cet acte, estimant qu'«il faut beaucoup de médiocrité et de haine pour s'attaquer aux lieux sacrés qui rassemblent les croyants». Quant au député Philippe Folliot (app-NC), il a «condamné de la manière la plus absolue cette provocation», parlant d'«acte lâche».

    L'actuelle mosquée Bilal, d'une capacité de 250 personnes, ne peut accueillir tous les pratiquants, la prière du vendredi regroupant près de 350 personnes venant de Castres et des environs. Les femmes et d'autres fidèles sont accueillis dans une salle proche. La construction d'une nouvelle mosquée est envisagée, pour une ouverture d'ici à 3 ans, avec «une salle de prières de 800 m2 pour accueillir 600 fidèles, et aucun minaret n'est prévu», a noté Abdelmalek Bouregba.

    Le Figaro - 13.12.09

       
  • Les Sarkozy au soleil du Maroc pour Noël!

    Le couple présidentiel n'aime pas passer les fêtes de Noël dans le froid, ils préfèrent laisser ça aux Français d'en bas. Après le Brésil l'année dernière, ils se devaient de trouver une autre destination 'calor'.

    Alors non ! Pas de sapins enneigés, pas de mains qui gèlent pendant qu'on sort en catimini les cadeaux des enfants en pleine nuit et encore moins de file d'attente indigeste au Carrefour du coin pour ramener une dinde toute fripée à la maison...

    Car nous le savons tous, Nicolas Sarkozy et Carla Bruni, qui font l'éloge de la proximité avec le petit peuple, savent faire des exceptions quand ça les arrange. Donc cette année ce sera au Maroc, qu'il célèbreront l'arrivée du petit Jésus à défaut de celle du fils de Jean Sarkozy.

    Confortablement installés dans un des palais du royaume chrétien du Roi Mohammed VI, ils rateront la naissance du premier petit fils du Président mais dans la vie il faut faire des choix !

    Et puis... l'excuse est béton car selon le Parisien : 'Le roi voudrait remercier le couple présidentiel, car début octobre, son frère cadet, Moulay Rachid, avait été hospitalisé à Paris. Les Sarkozy avaient alors invité la famille royale à prendre le thé un dimanche après-midi. Un geste qui a beaucoup touché Mohammed VI'.

    Ça explique tout, ils sont justes polis à l'Elysée...

    Marie Claire - actu people - 04.12.09

  • Climat: manifs, violences et heurts à Copenhague...

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    Blacks Blocs à Copenhague le 12 décembre 2009
    (Cliquez sur la photo)

    Des dizaines de milliers de personnes ont marché samedi dans le monde pour réclamer un accord ambitieux et contraignant à la Conférence sur le climat de Copenhague, où la police, sur le qui-vive, a interpellé près de 700 personnes en marge d'une imposante manifestation.

    Trente mille personnes, selon la police, une centaine de milliers selon les organisateurs, ont défilé dans le froid l'après-midi dans la capitale danoise, qui accueille jusqu'au 18 décembre les délégués de 193 pays, à la recherche d'un accord qui devra entrer en vigueur le 1er janvier 2013.

    Parti du Parlement, le cortège, globalement bon enfant, a pris la direction du Bella Center, où se déroulent les négociations. Les manifestants se sont arrêtés à 500 mètres environ du centre, sans chercher à y pénétrer.

    Une scène avait été dressée pour accueillir les orateurs prévus, avant une veillée aux chandelles avec la participation de l'ancien archevêque sud-africain du Cap, Desmond Tutu.

    Quelques instants après le départ du cortège, un groupe de quelques centaines de manifestants, entièrement vêtus de noir, munis de briques et de marteaux, a brisé des vitrines, a constaté un journaliste de l'AFP.

    Des policiers anti-émeutes les ont aussitôt encerclés et sont intervenus sans ménagement, jetant plusieurs d'entre eux à terre.

    La police a annoncé l'interpellation de 600 à 700 personnes, précisant qu'il s'agissait principalement de membres "des Blacks Blocs", ces groupuscules ultra-violents qui s'étaient notamment illustrés au sommet de l'OTAN à Strasbourg, en avril.

    En fin d'après-midi, un policier a été blessé à la mâchoire par un pavé et quatre voitures incendiées près d'un squat lors d'incidents qui ont conduit à l'interpellation d'une vingtaine de personnes, selon la police.

    "Nous avons à l'oeil les groupuscules extrémistes", avait prévenu le porte-parole de la police, Henrik Jakobsen, tandis que les hélicoptères des forces de l'ordre tournaient dans le ciel.

    La majorité des manifestants, venus en car et en train des grandes villes d'Allemagne, de Londres, d'Amsterdam ou encore de Milan, étaient d'origine européenne. Mais de nombreux Asiatiques, dont quelques Chinois et Coréens, étaient également présents ainsi que des Africains.

    Près de 3.000 personnes, pour la plupart en imperméable bleu ciel, avaient formé un premier rassemblement dans la matinée à Copenhague à l'appel des Amis de la Terre, qui entendaient former des "marées bleues" pour la "justice pour le climat".

    "Aujourd'hui, nous descendons dans les rues pour demander réparation de la dette écologique en faveur du Sud", expliquait Lidy Nacpil, militante philippine de la Jubilee South Coalition à Copenhague.

    "On ne peut pas continuer à se dire: on a du temps", a estimé la chanteuse béninoise Angélique Kidjo. "Il y a des rivières qui s'assèchent en Afrique, il y a des cours d'eau où on peut marcher alors qu'on ne l'avait jamais fait avant. C'est maintenant ou jamais", a-t-elle déclaré à l'AFP en marge de la manifestation.

    Pour la première fois dans l'histoire de la diplomatie climatique, née en 1992 avec l'adoption de la Convention de l'ONU, le mouvement altermondialiste s'est rapproché des organisations environnementales.

    L'eurodéputé français José Bové, figure de l'altermondialisme, a déclaré à l'AFP être venu à Copenhague pour "lier justice climatique et justice sociale" : "aujourd'hui, il n'y pas de coupure entre le combat contre le réchauffement climatique et le combat pour un autre monde".

    L'organisation Oxfam a mobilisé plusieurs personnalités, dont le mannequin danois Helena Christensen, l'ancienne commissaire de l'ONU aux réfugiés Mary Robinson, qui devaient s'adresser à la foule.

    La région Asie-Pacifique, qui abrite de nombreuses îles particulièrement vulnérables au réchauffement, avait donné le coup d'envoi des manifestations. Quelque 50.000 personnes, selon les organisateurs, étaient descendues dans les rues en Australie.

    A Manille, quelques centaines de personnes, étudiants pour la plupart, ont manifesté, vêtues de rouge et arborant des bandanas vantant l'énergie solaire devant la mairie de la capitale philippine.

    A Hong Kong ou Djakarta, des rassemblements de quelques centaines de manifestants se sont également tenus pour réclamer une action contre le changement climatique.

    En France, les manifestations organisées par le réseau "350" ont rassemblé quelques centaines de personnes, notamment à Paris, Marseille (sud), Lille (nord), Bordeaux (ouest) et Lyon (est). A Genève quelques dizaines de personnes se sont rassemblées.

    AFP. 12.12.09

     

  • Défendons nos couleurs!

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    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

  • Le Petit Chaperon Uf explique la shoah aux enfants

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    La compagnie Etincelles présente jusqu’au 11 décembre 2009 à l’espace Renaudie d’Aubervilliers le Petit Chaperon Uf de Jean Claude Grumberg. Sortez de Paris, et promenez vous dans les bois où vous croiserez un petit chaperon rouge qui rencontre un loup, normal…Mais Wolf, est un loup déguisé en caporal. Il apprend au petit chaperon rouge la triste vérité : Elle est Uf et, comme pour tous les Ufs petits et grands, tout ou presque lui est interdit.
     
    Isabelle Charaudeau installe ses comédiennes fabuleusement masquées dans un décor intelligemment épuré  et des costumes soignés. Ils nous racontent  une allégorie des statuts des Juifs d’octobre 1940 et juin 1941 à travers le personnage du loup , déguisé en caporal-Kapo ( Rafaele Arditti) dont les exactions renvoient à l’histoire de la collaboration en France et à l’application des mesures d’exclusion envers les juifs: port de l’étoile : « capuchon jaune caca d’oie», classement de la population ( « Uf et non-Uf »), restrictions alimentaires , clichés dévalorisants stigmatisant les Juifs : Le loup se pince le nez comme si ça sentait mauvais:  « Ufs sales, très toujours» …
     
    Par un travail scrupuleux avec les enfants à partir de 7 ans, la troupe a circulé dans les classes pour accompagner les instituteurs dans une première approche de l’enseignement du génocide des Juifs, le Petit Chaperon Uf est une oeuvre pédagogique et drôle pensée pour le tout public qui mêle conte et réalité de façon pertinente.
     
    Jeudi 10 décembre 2009 à 14h, vendredi 11 décembre à 14h et 19h, à l’Espace Renaudie, 30 rue Lopez et Jules Martin 93300 Aubervilliers (Métro : Fort d’Aubervilliers) 01 48 11 08 02.
     
    Photo : D.R.
    CRIF - 10.12.09

  • Condamné pour trafic de stupéfiants, Abdelali Benamara ne sera pas expulsé de France...

    06/12/2009 – 19h20
    SAINT BRIEUC/SANT BRIEG (NOVOpress Breizh) –
    Abdelali Benamara, 25 ans, a été condamné jeudi dernier par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc a à quatre ans de prison ferme pour trafic d’héroïne et cocaïne. À cette peine, s’ajoute une révocation de deux sursis de 6 mois, 10 250€ d’amende douanière et saisie de 14 000 euros retrouvés à son domicile.

    Le prévenu n’a pas contesté les faits qu’on lui reproche. Après sa sortie de prison, en août 2008, il a recommencé à vendre de l’héroïne et de la cocaïne dans des «teufs». Et les 14.000 euros qu’il avait dissimulés dans la structure métallique de son appareil de musculation proviennent bien, en partie, de son trafic.
    Lors de l’audience, le procureur de la République a dénoncé, dans son réquisitoire, non un « simple traficotage, mais un véritable business. Benamara se présente comme une victime. Mais les véritables victimes sont au cimetière. En 2007, il y a eu 17 morts par surdose d’héroïne ou de cocaïne en Bretagne. Et depuis le début de l’année, il y a eu cinq morts par overdose dans les Côtes-d’Armor. Et je ne parle pas des suicides, des meurtres commis sous l’emprise de la drogue et des accidents». Outre les peines évoquées plus haut, le représentant du ministère public avait demandé qu’une interdiction de séjour sur le territoire français d’une durée de 10 ans soit prononcée à l’encontre de Benamara.


    Le tribunal ne l’a pas suivi sur ce point, estimant que, sa peine purgée, le prévenu pourra continuer à vivre en France. Précisons que Benamara a déjà été condamné à 13 reprises par le passé, notamment pour des faits de vols, d’outrages, de trafic de stupéfiants, et de violences. Pas de quoi justifier, en effet, une expulsion du territoire...

  • Graves affrontements devant un lycée catholique à Bordeaux

    12/12/2009 – 16h40
    BORDEAUX (NOVOPress) -
    De graves affrontements se seraient déroulés devant le lycée catholique Grand Lebrun à Bordeaux jeudi soir. Vers 18h30 plusieurs dizaines de Maghrébins, dont un certain nombre en cagoules et barre de fers, auraient attaqué, rue de la Cape, des lycéens sortant de ce lycée privé bien connu à Bordeaux.
    Selon un témoin qui de la scène a contacté Novopress, deux groupes se sont violemment affrontés avant d’être séparés par les forces de l’ordre. Il semblerait qu’une "histoire d’amour" soit à l’origine de ces violences. Selon les témoins, celles-ci auraient impliqué près de 150 personnes.

    Bordeaux était jusque-là assez préservé des affrontements ethniques. Il semble que ce temps soit révolu. Contactés par Novopress Aquitaine, certains jeunes ont assuré qu’ils ne laisseraient pas cette affaire sans suite. L’hiver risque d’être chaud sur Bordeaux.


  • Miss Gibraltar devient Miss Monde 2009

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    (Cliquez sur la photo)

    JOHANNESBOURG -12 décembre — Kaiane Aldorino, une belle brune aux longues jambes originaire de Gibraltar, a été couronnée Miss Monde samedi à Johannesbourg, sous une pluie de confettis argentés.

    La jeune femme n'avait "pas de mots" pour exprimer ses sentiments à l'issue du concours de beauté qui aura duré deux heures. Elle a tout de même confié être "vraiment heureuse".

    Kaiane Aldorino avait remporté la compétition du défilé en maillot de bain.

    Elle avait les faveurs du public, qui a cependant réservé ses plus gros applaudissements à Tatum Keshwar, Miss Afrique du Sud, élue seconde dauphine.

    Le titre de première dauphine est allé à Miss Mexique, Perla Beltran Acosta.

  • Les mariages entre Egyptiens et israéliennes menacent la sécurité nationale de l'Egypte

    LE CAIRE, 14 novembre 2009 - RIA Novosti. La forte hausse du nombre des mariages conclus entre des Egyptiens et des Israéliennes menace la sécurité de l'Egypte, estime Farid Ismaïl, député des Frères musulmans, le plus grand parti d'opposition.

    Le député, cité mardi par le journal des Emirats arabes unis Al Khaleej, affirme que plus de 220.000 Egyptiens ont reçu la nationalité israélienne suite à leur mariage.

    "Grâce à ces mariages, les Egyptiens acquièrent la nationalité israélienne, puis reviennent dans leur pays pour se livrer à l'espionnage pour le compte de l'Etat hébreu", a affirmé le député.

    Selon lui, le traité de paix signé en 1979 entre l'Egypte et Israël visant à normaliser les relations entre les deux pays dans tous les domaines et permettant de recevoir la nationalité israélienne par le biais du mariage, est à l'origine du problème.

    "C'est une menace sérieuse pour notre Etat", a déclaré M. Ismaïl dans une demande adressée récemment au premier ministre égyptien Ahmed Nazif et au ministre égyptien de l'Intérieur.

    Selon le député, les Egyptiens revenant dans leur patrie "sèment le mal" après avoir été formés par Israël.

    Le député appelle le gouvernement égyptien à revenir sur le traité de paix signé avec Israël et à livrer les "espions israéliens" à la justice.

  • Russie: toujours moins de mariages mixtes

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    MOSCOU, 7 décembre - RIA Novosti. Le nombre de mariages conclus entre ressortissants russes et étrangers sur le territoire russe est en baisse régulière ces trois dernières années, selon les données du ministère de la Justice citées lors d'une table ronde à la Douma lundi.

    Si 68.499 mariages internationaux ont été enregistrés en Russie en 2007, leur nombre s'est élevé à 60.627 en 2008 et à 29.317 au cours de la première moitié de 2009.

    D'après les données ministérielles, les Russes préfèrent épouser des habitants d'ex-républiques soviétiques, dont l'Ukraine (18.984 mariages en 2007, 16.143 en 2008 et 7.298 au cours du premier semestre de 2009) et l'Arménie (9.452 en 2007, 8.851 en 2008 et 4.144 au cours des six premiers mois de l'année).

    Le Tadjikistan, l'Azerbaïdjan, l'Ouzbékistan, la Moldavie, la Biélorussie, le Kazakhstan, la Géorgie et le Kirghizstan font partie du Top 10 des pays dont les ressortissants s'unissent dans les liens du mariage avec des Russes.

    Côté Europe, ce sont les Allemands, les Britanniques, les Lituaniens, les Italiens et les Français qui viennent le plus souvent se marier en Russie.

    Les ressortissants turcs, israéliens, américains et chinois officialisent souvent leurs relations avec des Russes.

  • Six associations caritatives mises en examen pour escroquerie

    Seule une infime partie des millions d'euros de dons collectés aurait bénéficié aux causes défendues. Parmis ces organismes, l'Association internationale pour la recherche sur la maladie d'Alzheimer (Aima), ou encore l'Association pour la recherche sur le diabète (ARD).

    Six associations caritatives, soupçonnées de détournements de dons, ont récemment été mises en examen en tant que personne morale pour escroqueries en bande organisée.

    L'Association internationale pour la recherche sur la maladie d'Alzheimer (Aima), l'Association pour la recherche sur le diabète (ARD), Pain et eau pour l'Afrique (PEA), Village du monde pour enfants (VMPE), Agir pour les enfants du monde (AEM) et Mission médicale internationale (MMI) ont été mises en examen entre lundi et vendredi par le juge financier Fabrice Naudé.

    Elles se sont vu imposer un contrôle judiciaire comprenant le versement d'une caution de 50.000 à 150.000 euros.

    Les présidents de l'Aima, de l'ARD, de PEA et de VMPE ont également été mis en examen des mêmes chefs. Ressortissants américains, ils ont eu l'autorisation de regagner leur pays. Egalement convoqués, les dirigeants d'AEM et de MMI ne se sont en revanche pas présentés devant le juge.

    Les enquêteurs de la Brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) s'intéressent à la destination réelle de millions d'euros de dons collectés par ces associations, dont la plupart ne disposent en France que d'une simple adresse de domiciliation d'entreprise.

    Seule une infime partie des dons aurait bénéficié aux causes défendues par ces associations, le reste étant notamment absorbé par des sociétés américaines de marketing direct, chargées de gérer les envois de courriers aux donateurs et de centraliser les dons, soupçonnent les enquêteurs.

    Le Figaro - 12.12.09

  • Yazid Sabeg redoute le Front national

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    Le commissaire à la Diversité Yazid Sabeg s'est dit jeudi "pas très à l'aise" avec le débat sur l'identité nationale qui, selon lui, "ouvre un champ et un espace au Front national".

    "Il est certain que pour moi, ça ouvre un champ et un espace au Front national, il n'y a pas l'ombre d'un doute. Je pense que la manière dont le débat a été engagé le rend difficilement contrôlable. Je n'en connais pas les objectifs et je n'en connais pas le but", a déclaré M. Sabeg, invité de l'émission "Parlons-en" LCP/Journal du Dimanche, qui sera diffusée intégralement dimanche.

    Comme on lui faisait remarquer qu'il était commissaire du gouvernement, il a répondu: "je l'ai dit à Eric Besson, j'ai des doutes, je ne suis pas très à l'aise avec ce débat". "J'ai tout de suite dit que ce débat était dangereux.

    Il a dit "croire vraiment" qu'il y avait "une volonté politicienne" de la part du ministre de l'Immigration avec ce débat. A la question: "Vous voyez une volonté politicienne ?", il a déclaré: "cela en a l'air de sa part. Je le crois vraiment, je le pense. Si c'est un calcul, c'est dommage".

    "L'identité ne doit pas être "racialisée". Je pense que le président de la République peut siffler la fin de la récréation, il va avoir l'occasion de le faire", a-t-il ajouté.

    M. Sabeg a expliqué ne pas vouloir que ce débat "nuise" à Nicolas Sarkozy "parce que si cela lui nuit à lui, cela nuira à la République; parce que le président de la République a une autorité morale, il a une capacité d'infléchir l'opinion et d'agir sur la transformation de la société".

    Rappelant que l'islam était "la deuxième religion de France depuis 179 ans", le commissaire à la Diversité a jugé que "l'islam pos(ait) problème à la société française depuis longtemps".

    "Et moi, a-t-il poursuivi, je pose deux questions. Est-ce que l'on peut être musulman dans ce pays ? Et deuxième sujet : est-ce qu'il est normal, est-ce qu'il serait décent que l'islam soit l'otage de débats politiques et de calculs politiques dans ce pays ?".

    AFP. 12.12.09

     

  • Hannoukah : Obama présente ses voeux aux Juifs du monde entier

    Le président des Etats-Unis Barack Obama a présenté aujourd'hui ses "voeux les plus chaleureux" aux Juifs du monde entier à l'occasion du début de Hannoukah, "la fête des lumières".

    Hannoukah, qui signifie "inauguration" et dure huit jours, célèbre dans la tradition hébraïque le temps pendant lequel a brûlé un chandelier dans le Temple de Jérusalem après la victoire des Maccabées sur les Grecs en 165 avant Jésus-Christ.

    "L'histoire des Maccabées de Hannoukah et des miracles auxquels ils ont assisté nous rappelle que la foi et la persévérance sont des forces puissantes qui peuvent nous soutenir en des temps difficiles et nous aider à surmonter les le plus grands défis", a déclaré Barack Obama.

    "Hannoukah n'est pas seulement le moment de célébrer la foi et les coutumes des Juifs, mais pour les gens de toutes les confessions de fêter nos aspirations communes", a développé Barack Obama, à son retour d'Oslo où il a reçu jeudi le prix Nobel de la paix.

    Le Figaro - 11.12.09

  • La mystérieuse affaire de la Josacine empoisonnée au cyanure

    Condamné à vingt ans de prison en 1997, Jean-Marc Deperrois a toujours nié avoir versé du cyanure dans le sirop de la petite Emilie, neuf ans.

    Les drames et les doutes de l'affaire de la Josacine éclatent le 11 juin 1994. Dans le village de Gruchet-le-Valasse (Seine-Maritime), Émilie Tanay, 9  ans, succombe après avoir ingéré de la Josacine, un sirop antibiotique pour enfants alors très utilisé. L'enquête révèle la présence de cyanure dans le médicament. Et les gendarmes comme le juge d'instruction concluent finalement que la fillette a été victime d'un empoisonnement dont elle n'était en fait pas la cible…

    Selon la thèse de l'accusation, retenue par les jurés de la cour d'assises, Jean-Marc Deperrois aurait voulu éliminer l'époux de sa maîtresse. Il aurait donc versé du poison dans le médicament posé dans la cuisine du couple sans savoir qu'il s'agissait du sirop de la jeune Émilie, qui séjournait alors chez eux.

    Jean-Marc Deperrois, jugé pour empoisonnement, a écopé de vingt ans de réclusion criminelle. Il a toujours nié avoir acheté le cyanure de sodium fatal à la fillette. Condamné par une cour d'assises avant l'instauration d'un appel criminel dans le droit français - ce sera le cas quatre ans plus tard avec la loi Guigou -, Jean-Marc Deperrois a, depuis, toujours réclamé un nouveau procès. Deux requêtes en révision ont été déposées mais toutes ont été rejetées. L'une d'elles avait pourtant donné lieu à un long complément d'enquête durant lequel tous les acteurs de l'affaire ainsi que les experts avaient été réentendus.

    Mes Valérie Rosano et Éric Dupont-Moretti, les avocats de Jean-Marc Deperrois, comptaient alors sur de nouvelles expertises montrant qu'une forte odeur d'ammoniaque se dégageait du flacon quand le sirop et le cyanure y étaient mélangés. Cet élément n'était pas apparu lors du procès. Considérant que «l'élément nouveau» qui était présenté par la défense était insuffisant, la cour de révision a par deux fois refusé de renvoyer l'affaire devant une nouvelle cour d'assises. En février dernier, ils avaient souligné que «les éléments fournis à l'appui de la requête en révision de Jean-Marc Deperrois ne permettent pas de faire naître un doute sur la culpabilité du requérant».

    Libéré sous conditionnelle en 2006, Deperrois était soumis jusqu'à ce samedi à l'interdiction de s'exprimer publiquement et de se rendre en Seine-Maritime. Depuis sa libération, il a repris ses activités d'entrepreneur dans l'imagerie thermique industrielle.

    Le Figaro - 11.12.09

  • VIDEO Jean-Marc Deperrois parle pour la première fois - affaire de la Josacine empoisonnée

    http://videos.tf1.fr/jt-we/josacine-empoisonnee-jean-marc-deperrois-parle-pour-la-1re-fois-5591939.html

  • Deperrois: "j'ai été victime d'une erreur judiciaire"

    EXCLUSIF - Condamné à vingt ans de réclusion dans l'affaire de la Josacine empoisonnée, il sort d'un silence imposé par la justice.

    Quinze ans après les faitsqui l'ont conduit aux assises et en prison, Jean-Marc Deperrois, qui bénéficiait d'une libération conditionnelle depuis 2006 et qui, à ce titre, n'avait pas le droit de s'exprimer, continue de plaider son innocence.

    LE FIGARO. - Pourquoi parlez-vous aujourd'hui ?

    Jean-Marc DEPERROIS. - La justice m'avait interdit de dire que j'étais innocent. Ma liberté conditionnelle précisait que je n'avais pas le droit de m'exprimer publiquement pour évoquer l'affaire et ma défense. J'ai observé scrupuleusement tout ce qui m'a été imposé. Désormais, je retrouve mes droits et je les assume.

    La justice a refusé à deux reprises la révision de votre procès. Vous adresserez-vous à nouveau à elle ?

    Je veux dire à tous que ce n'est pas moi qui ai introduit du cyanure dans le flacon de sirop de la petite Émilie Tanay. Et je cherche à comprendre pourquoi la justice n'a pas accepté «le fait nouveau». Tout le monde, tant les experts qui ont travaillé à ma demande que ceux qui ont travaillé à la demande de la Cour de révision, ont constaté que l'argumentation que j'ai développée n'avait pas été exploitée durant les audiences devant la cour d'assises. Comment se fait-il que ce ne soit pas considéré comme un fait nouveau ? Les jurés populaires n'ont pas eu connaissance de l'argument selon lequel le cyanure a été introduit après 20 heures. Or cet élément est fondamental. Ça m'innocente.

    La version des faits retenue par la justice met en avant un crime passionnel raté qui vous aurait fait mettre du cyanure dans le sirop pour éliminer un rival sans penser qu'il s'agissait du médicament destiné à une petite fille. Quelle est votre version aujourd'hui ?

    Je n'ai pas à dire qui a pu faire cela. Je ne suis là que pour dire que je suis innocent. Ce n'est pas moi qui ai mis le cyanure. Des éléments existent dans le dossier. C'est à la justice de les exploiter. J'ai été victime d'une erreur judiciaire. Ce n'est pas à moi de jeter sur la place publique le nom de quelqu'un. C'est à la justice de le faire.

    La famille Tanay a déjà souligné lors des procédures de révision précédentes que vous raviviez des douleurs sans prendre en considération leur deuil. Que leur répondez-vous ?

    Je suis conscient de ce que le fait d'avoir perdu leur petite fille peut engendrer chez M. et Mme Tanay. Je voudrais qu'ils essayent de comprendre que j'ai besoin de retrouver mon innocence. Ils vivent un drame mais j'en vis un également. On a tous besoin de la vérité. Et pas de celle que la justice a dite.

    Comment se sont déroulées à vos yeux les procédures de révision réclamées par vos avocats ?

    Je savais que j'avais en face de moi des gens qui ne voulaient pas d'une révision. Les magistrats refusent d'admettre une erreur d'une cour d'assises. Pour eux, accepter une erreur de la justice serait un trouble trop grand. Quand les experts ont imposé le fait de sentir le flacon à 20 centimètres du nez (selon la défense, une forte odeur d'ammoniaque se dégageait de ce flacon où avaient été mélangés du sirop et du cyanure alors qu'un infirmier, le jour des faits, avait senti le flacon sans déceler d'odeur particulière, NDLR), c'était une façon de ne pas vouloir observer l'élément nouveau. Tout le monde a compris que c'était la preuve de mon innocence. Mais comment s'en rendre compte en sentant à 20 centimètres ?

    Le Figaro - 11.12.09

  • Algérie: proposition de loi pour criminaliser la colonisation française

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    Abdelaziz Belkhadem
    NOVOPRESS - 10.12.09. Des députés algériens vont déposer une proposition de loi criminalisant la colonisation française en Algérie pendant 132 ans. Cette motion a été signée par une cinquantaine de députés de différents partis représentés au Parlement algérien. Une initiative téléguidée par le Front de libération nationale (FLN), au pouvoir depuis 47 ans. De telles gesticulations permettent à ses dirigeants d’occulter les nombreux crimes du terrorisme algérien. Le projet de loi comprend 15 articles et formule « une demande officielle de réparation à la France pour la période coloniale, et des crimes commis contre le peuple algérien désarmé dans la foulée du mouvement de libération ». Le projet de loi appelle aussi « à juger les criminels de guerre ».
    Cette nouvelle provocation de la dictature du FLN s’inscrit aussi dans la mouvance des partisans de la « conquête criminelle » de l’Algérie par la France. Ces voix dénombrent un total de 500 000 Maghrébins qui seraient des victimes directes de la colonisation française, commencée en 1830. Or, ce déficit n’est dû ni à la guerre, ni à des exactions de l’armée française, mais à une famine touchant tout le Maghreb entre 1865 et 1868.
    Pour Alix Ducret, rédactrice en chef d’historia-nostra.com, l’accusation « de crime ne tient donc pas ». La journaliste souligne dans l’ouvrage « Mythes et polémiques de l’histoire », que « la France, se révélera un soutien essentiel pour le pays en accordant quelque 660 00 francs de crédits et en approvisionnant, de manière massive, l’Algérie en blé, riz ou pommes de terre. Des denrées sans lesquelles la mortalité eut été autrement plus élevée ».

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    L’Algérie vient de fêter le 55e anniversaire du début des attentats terroristes du FLN en novembre 1954. A cette occasion, le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, également ministre d’Etat et représentant personnel du président Bouteflika, a exigé de la France «des excuses et des réparations pour les crimes barbares et génocidaires commis durant 132 ans par le colonialisme en Algérie».

    Le dirigeant de ce parti au pouvoir depuis 47 ans, a ajouté que « la période de destruction coloniale fut la plus difficile et la plus horrible jamais vécue par notre peuple ». Dans un communiqué diffusé samedi dernier, le FLN enfonce le clou : « L’Algérie ne cessera pas d’exiger la reconnaissance par la France de ses crimes coloniaux à l’endroit du peuple algérien ».

    Ce chantage permet au FLN de faire pression sur la diplomatie française et d’occulter ses nombreux crimes. L’exigence de repentance d’Alger est une insulte à la mémoire des Pieds noirs, ces colons européens qui contribuèrent à mettre en valeur l’Algérie depuis la fin du XIXème siècle : construction d’infrastructures (routes, ponts, chemins de fer, ports, aéroports…), aménagement et création de villes modernes, développement de l’agriculture et de l’industrie, création de systèmes sanitaires et éducatifs performants, etc. Des progrès qui -au lieu d’un génocide comme le dit Abdelaziz Belkhadem- ont permis à la population d’Algériens d’être multipliée par sept pendant les 132 ans de colonisation !

    C’est aussi une insulte à la mémoire des européens soumis pendant des siècles à un esclavage particulièrement sanguinaire au Maghreb, esclavage qui n’a cessé justement qu’avec… la colonisation française. Mais l’Algérie n’a pas exprimé la moindre repentance envers les Européens !

    NOVOPRESS INFO - 05.11.09