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  • Gordon Brown le sioniste veut changer la loi...

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    Le Premier ministre britannique Gordon Brown propose de modifier les conditions d'émission des mandats d'arrêt internationaux pour crimes de guerre, après la polémique avec "Israël" sur le mandat contre l'ex-chef de la diplomatie israélienne Tzipi Livni, c'est ce qu'a rapporté jeudi le Daily Telegraph.
       
    "La seule question à mes yeux est de savoir si notre objectif est servi au mieux par un processus selon lequel un mandat d'arrêt pour les crimes les plus graves peut être émis sur la base de preuves les plus minces", écrit le chef du gouvernement dans une tribune.
     
    "Comme nous l'avons observé, il existe maintenant un risque significatif qu'une telle disposition soit exploitée par des organisations ou des individus pour des motifs politiques", écrit le Premier ministre britannique.
     
    Dans sa tribune, le chef du gouvernement propose de remettre au Parquet la responsabilité de l'émission de ces mandats d'arrêt.
     
    Brown soumettra, ce jeudi, des modifications de la loi à une commission parlementaire, selon le Daily Telegraph.
     
    Livni, citée par le Daily Telegraph, a salué la décision de Brown, qualifiant d'"absurde" le mandat à son encontre. Livni qui était à la tête de la diplomatie israélienne durant l'offensive contre Gaza, avait annulé une visite prévue à Londres en décembre dernier, de crainte d'être arrêtée après qu'une cour britannique eut émis un mandat d'arrêt à son encontre, basé sur une plainte d'activistes palestiniens.
     
    Notons que les juges britanniques peuvent émettre des mandats d'arrêt internationaux pour crimes de guerre en se fondant sur les dispositions de la Convention de Genève de 1957 et sans l'aval du Parquet.
    Alter Info - 04.03.10

  • Tarascon: le policier toujours dans le coma - Sarkozy à son chevet

    Christophe Coycault, le policier grièvement blessé à Tarascon (Bouches-du-Rhône) dans la nuit de mardi à mercredi lors d'un contrôle routier, était toujours jeudi soir dans un état critique à l'hôpital Nord de Marseille.

      Plongé dans un coma artificiel, ce père de deux enfants, âgé de 34 ans, a été percuté par un automobiliste lors d'un contrôle routier. Dans l'après-midi, s'est déplacé à son chevet, une «occasion de rendre hommage aux forces de l'ordre et que chacun comprenne que ces gens font leur travail dans des conditions très difficiles».

     Les deux suspects mis en examen

    Du côté de l', le procureur de la République d'Aix-en-Provence, Olivier Rothé a annoncé que les deux occupants de la voiture qui a heurté le policier allaient être mis en examen. Le chauffeur du véhicule, qui s'était enfui à pied avant la collision avec le policier, est inculpé de «défaut de permis de conduire, refus d'obtempérer, conduite après avoir fait usage de produits stupéfiants et défaut d'assurance», a indiqué le magistrat. Il se serait soustrait au contrôle car il n'avait pas de permis valable. Le chauffard, né en 1982 avait déjà condamné à neuf reprises, en particulier pour défaut de permis de conduire, usage de stupéfiants, et vol aggravé, selon une source proche de l'enquête.

    Le passager qui, selon les premières investigations aurait pris le volant et écrasé le policier avant de se sauver à pied, devait être mis en examen pour «tentative d'homicide volontaire sur un fonctionnaire de la police nationale». Selon une source proche de l'enquête, ce suspect, né en 1984 et de nationalité algérienne, bénéficiait d'un titre de séjour temporaire et avait été plusieurs fois condamné notamment pour infractions à la législation sur les stupéfiants. Le parquet devrait requérir la détention dans les deux cas.

    «Une nouvelle fois un fonctionnaire de police paie un très lourd tribut»

    Au sortir d'une rencontre à l'Hôpital Nord de Marseille avec la famille du policier, le président de la République a déclaré : «Une nouvelle fois un fonctionnaire de police paie un très lourd tribut» à cause de «deux délinquants chevronnés dont je souhaite qu'ils assument durement les responsabilités qui sont les leurs». «J'espère que la justice décidera des conséquences des actes de ces agresseurs très sévèrement», a-t-il ajouté. «Je leur ai donné des consignes de sortir de leur commissariat, d'aller au contact, de ne pas laisser faire les voyous», a-t-il poursuivi, soulignant que le policier avait «payé cher» d'avoir fait preuve de la réactivité demandée.

    La veille, David-Olivier Reverdy, représentant régional du syndicat Alliance, deuxième organisation chez les gardiens de la paix avait expliqué que «la multiplication de ces incidents suscite l'inquiétude des policiers».

    Dimanche en Dordogne, un motard avait percuté et tué un gendarme en refusant de s'arrêter à un contrôle routier. Il a été mis en examen et écroué. Le 27 décembre, un policier de 51 ans était décédé après avoir été renversé par deux malfaiteurs en fuite à la suite d'un cambriolage à Montévrain (Seine-et-Marne), suscitant une vive émotion des syndicats de police.

    Le Parisien - 04.03.10

  • Une cinquantaine de navires bloqués par les glaces en mer Baltique

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    (Cliquez sur la photo)
    Une cinquantaine de navires, dont des ferries avec des milliers de passagers, sont bloqués jeudi soir dans les glaces de la mer Baltique et la plupart ne pourront pas être dégagés avant plusieurs heures, ont annoncé les autorités maritimes suédoises.
    "Quelque 50 navires marchands attendent les secours de brise-glaces et nous avons eu jusqu'à six gros ferries bloqués mais nous avons réussi jusqu'à présent à en dégager deux", a précisé à l'AFP Johny Lindvall, de l'unité des brise-glaces de l'Administration maritime suédoise.

    Ces ferries assurent la liaison entre la Suède et la Finlande sauf le Regal Star, bloqué depuis mercredi 23h00 GMT alors qu'il se dirigeait vers l'Estonie, a-t-il ajouté.
    La plupart des navires sont pris dans les glaces par fort vent à l'entrée de l'archipel de Stockholm qui compte quelque 24 000 îles où les températures sont négatives depuis la mi-décembre dans un hiver inhabituellement très rigoureux.
    Dans une première information l'agence suédoise TT avait annoncé que 2.630 passagers de deux gros ferries de la compagnie Viking line, le Isabella et le Amorella, étaient bloqués. L'agence a révisé leur nombre à 1.841 passagers et précisé que l'un des deux ferries, le Isabella, avait été dégagé.
    "Nous n'avons jamais vu autant de bateaux bloqués depuis les années 80", a affirmé Johny Lindvall.
    Deux brise-glaces sont arrivés dans la zone où sont paralysés les ferries tandis qu'un troisième les rejoignait après avoir secouru des cargos plus au nord de la Baltique, dans la baie de Botnie, a-t-il ajouté.
    "Mais il n'y parviendra pas avant minuit, au plus tôt, et ils (les 4 ferries) resteront bloqués jusqu'à demain matin au moins", estime-t-il.
    Le directeur de Viking line Jan Kaarström a expliqué que sa compagnie était bien équipée pour affronter les glaces et que tous les passagers à bord étaient saufs.
    Plusieurs des cargos sont bloqués dans l'étroite baie de Botnie où la glace est plus épaisse ainsi qu'autour des îles Aaland, entre la Suède et la Finlande.
    Les ferries ont été piégés à l'entrée de l'archipel de Stockholm où la glace, par plaques, est mouvante et "où il est difficile de naviguer", selon Lindvall.
    Les gros ferries sont généralement bien équipés pour tracer leur route à travers les fines couches de glace qui recouvrent souvent la mer Baltique. Pour cette raison sans doute nombre d'entre eux ont ignoré l'alerte de l'Administration maritime suédoise diffusée cette semaine, selon Ulkf Gullne de l'unité des brise-glaces.
    "Le problème de ces gros ferries c'est qu'ils pensent pouvoir affronter la glace. Ils ont des moteurs extrêmement puissants mais cette fois c'est trop difficile pour eux", a-t-il dit à la radio publique suédoise.
    Le directeur de Viking line a cependant affirmé à l'agence TT que ses deux ferries avaient déjà quitté le port de Stockholm lorsque l'alerte a été lancée.
    AFP. 04.03.10







  • Grèce, Espagne, Portugal... la crainte d'une contagion

    Grèce, Espagne, Portugal… après le séisme de 2008, ces Etats, cibles ces dernières semaines d’une vague spéculative, sont aujourd’hui confrontés à un tsunami économique. Au point que le Premier ministre grec, Giorgos Papandréou, évoque une « situation de guerre ». Hier, sous la pression de Bruxelles, il a demandé aux Grecs un nouvel effort, de 4,8 milliards d’euros, pour soulager le budget de l’Etat dont la dette abyssale atteint 300 milliards d’euros.

     
     Gel des et des retraites, report de l’âge de la retraite à 63 ans… les 700 000 fonctionnaires grecs vont devoir tirer un trait sur leur quatorzième mois de salaire. A côté, les taxes sur l’essence, le tabac, l’alcool et les produits de luxe vont bondir de 20 %. Un plan choc « insupportable » pour les syndicats qui préparent la riposte.

     La crainte d’une contagion

    En Espagne, où le taux de chômage atteint déjà 20 %, le gouvernement Zapatero veut repousser l’âge de la retraite de 65 ans à 67 ans et le patronat défend l’idée d’un nouveau contrat de travail moins protecteur. Confronté lui aussi à un déficit public historique (143 milliards d’euros), le Portugal renoue avec les privatisations et réductions d’effectifs dans son budget 2010 qui doit être voté le 12 mars. La crainte d’une contagion s’étend au-delà des pays les plus fragiles. Ainsi, Londres s’inquiète du recul de l’économie et de la monnaie britannique...

    Le Parisien - 04.03.10

  • La Grèce malade de l'Union Européenne

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    Georges Papandreou

    Sous la pression conjointe de l'Union européenne et des marchés, le gouvernement grec a présenté une série de hausses de taxes, concernant notamment la TVA, pour réduire la dette du pays. L'Allemagne s'est félicitée du plan présenté. La Grèce pourrait se tourner vers le FMI pour lui demander son aide.

    Le gouvernement grec n'avait guère le choix. Sous l'œil inquisiteur de Bruxelles et sous la pression des marchés, Athènes a présenté mercredi matin une série de nouvelles mesures représentant 4,8 milliards d'euros d'économie, soir 2% du PIB. Berlin «salue» les nouvelles mesures d'austérité et se dit «convaincue qu'elles envoient un signal clair de confiance», a déclaré mercredi un porte-parole de la chancelière Angela Merkel. Christine Lagarde, ministre française de l'Economie, a salué pour sa part ces mesures «solides et tangibles».

    Le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, Jean-Claude Juncker, et la Commission européenne se sont aussi félicités du nouveau train de mesures. «Cette annonce confirme l'engagement du gouvernement grec à prendre toutes les mesures nécessaires pour atteindre les objectifs de son programme» d'économies, et «en particulier à s'assurer que l'objectif d'une réduction du déficit de 4% du PIB en 2010 sera atteint», a déclaré le président de la Commission José Manuel Barroso.

     

    Hausse de la TVA

     

    Il s'agit pour moitié de hausses de taxes d'une part et de baisse des dépenses de l'autre. Côté recettes, sont concernés le tabac et l'alcool (+20%), ainsi que la TVA qui passera de 19% à 21%. De quoi renflouer les caisses de l'Etat à hauteur de 2,4 milliards d'euros de recettes supplémentaires.

    La baisse des dépenses publiques passera par une réduction de 60% du quatorzième mois des fonctionnaires et de 30% du treizième. Les retraites du secteur public seront gelées (1,7 milliard d'euros d'économies).

    Mardi soir, le premier ministre Georges Papandreou avait prévenu que la situation «catastrophique» des finances publiques justifiait des «mesures sévères», seules à même d'éviter une «banqueroute». Le gouvernement s'est engagé début 2009 à réduire le déficit public de 12,7% du PIB en 2009, à 8,7% en 2010. Le commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, Olli Rehn, en visite à Athènes lundi, avait demandé au gouvernement de prendre des mesures supplémentaires afin de remplir ces objectifs.

    Le gouvernement grec avait annoncé en janvier un plan d'économies de 10 milliards d'euros. La moitié, soit 5 milliards, devait être réalisée grâce à la croissance économique. Trop risqué et pas réaliste, selon les experts mandatés par Bruxelles, qui ont donc réclamé pour 5 milliards d'euros supplémentaires d'économies. Ce qu'ils ont obtenu finalement ce mercredi.

    Fort de cette nouvelle preuve de bonne volonté, Georges Papandreou commencera vendredi une tournée internationale par une visite à Berlin. Il recontrera ensuite Nicolas Sarkozy à Paris dimanche avant de s'envoler pour Washington, où il devrait s'entretenir avec Barack Obama. Son voyage aux Etats-Unis pourrait être aussi l'occasion pour la Grèce de se rapprocher du FMI.

     

    Le FMI comme solution

     

    Le premier ministre grec envisage en effet de se tourner vers le Fonds monétaire international (FMI) si l'Union européenne ne lui apporte pas son aide, rapporte l'agence Reuters citant un responsable gouvernemental. «Le premier ministre a fait savoir lors du conseil des ministres qu'il existait une option pour la Grèce consistant à se tourner vers le FMI si l'UE ne lui apportait pas son soutien», a ainsi déclaré le responsable qui a assisté au conseil des ministres.

    En réponse, le président de la Commission européenne José Manuel Barroso a assuré mercredi en conférence de presse que «nous devons faire preuve de solidarité au sein de l'Union européenne» en faveur de pays en difficulté comme la Grèce, «personne n'est opposé à cela». Mais il s'est refusé à préciser les moyens qui pourraient être mis en oeuvre.

    Le Figaro - 04.03.10

  • Israël: des laïcs demandent à la justice de reconnaître le "peuple israélien"

    La Cour suprême a examiné jeudi un recours d'intellectuels laïcs israéliens pour autoriser l'inscription de la mention "israélien" sur les registres d'état civil, au lieu de "juif", "arabe", "russe", ou autre comme c'est le cas aujourd'hui. La Cour a mis son jugement en délibéré sur cette question portant sur l'existence d'un peuple israélien et touchant aux bases de la création de l'État hébreu.

    L'association "Je suis Israélien", qui a recueilli plusieurs milliers de signatures sur une pétition, réclame depuis plusieurs mois que la mention "israélien" soit inscrite sur les registres d'État civil. Les militants de l'association veulent être reconnus comme membres du "peuple israélien" et refusent toute autre mention d'appartenance à un groupe national, quel qu'il soit. Il y a 134 groupes nationaux reconnus par la loi israélienne, parmi lesquels des minorités religieuses.

    20 % de la population d'Israël est non juive

    "Il est absurde que l'État d'Israël soit quasiment le seul État du monde à ne pas reconnaître l'existence d'un peuple israélien puisqu'il refuse à ses citoyens d'être inscrits comme tels", a déclaré à l'AFP le président de l'association "Je suis israélien", le linguiste Uzi Ornan. "Il est grand temps de faire la différence entre l'appartenance à un groupe ethnique ou religieux et au peuple israélien", a souligné Uzi Ornan. L'avocate de l'association, Yoëla Harshefi, a fait valoir devant la Cour que le registre du ministère de l'Intérieur comprenait des références à des groupes nationaux qui n'ont aucune valeur légale dans le monde comme "arabe", ou même "nationalité inconnue" ou encore "peuple inconnu", mais pas "israélien".

    Les représentants de l'État ont affirmé en revanche que la justice n'avait pas à trancher sur ce type de question qui touche à l'identité de l'État et relève selon eux du Parlement. Ils ont demandé à la Cour suprême de rejeter l'appel des pétitionnaires, comme l'avait fait auparavant le tribunal du district de Jérusalem. La Cour suprême, sous l'autorité de sa présidente Dorit Beinisch, a mis le jugement en délibéré. Sur le fond, le ministère de l'Intérieur, traditionnellement aux mains de partis religieux, s'oppose à la mention "peuple israélien" du fait qu'elle recouvre juifs et non-juifs, et donc porte atteinte au caractère juif de l'État.

    Depuis plusieurs années, la mention "nationalité" ne figure plus sur les cartes d'identité, mais seulement sur les registres d'état civil et les certificats de naissance.

    Toutefois, les cartes d'identité différencient entre juifs et non-juifs, en mentionnant pour les seuls juifs la date de naissance selon le calendrier hébraïque. Israël comprend environ 1,5 million de citoyens non juifs sur 7,3 millions d'habitants : 1,2 d'Arabes et 300.000 immigrés d'ex-URSS.

    Le Point - 04.03.10

  • Yvelines: le voleur frappe un enfant de 2 ans

    Les enfants ne sont plus épargnés par les violences contre les personnes. Ce midi, une jeune mère de famille a été victime d'un à la portière aux Mureaux (Yvelines). La conductrice patientait à un situé à l'entrée de la ville, à deux pas de la cité sensible des Musiciens, lorsqu'un adolescent âgé d'une quinzaine d'années a brisé la vitre du côté passager pour lui voler son sac à main.

    La jeune femme s'est accroché à son sac.

     

    Comme elle ne lâchait pas, son agresseur s'est retourné vers son fils de 2 ans et n'a pas hésité à frapper le bambin aux jambes. Immédiatement, la mère a lâché son sac à main et son agresseur s'est sauvé en direction de la cité avec son butin.

    Le garçonnet ne souffre pas de blessures, mais il a été extrêmement choqué par l'agression. A l'arrivée de la police, il hurlait. Les du commissariat des Mureaux ont immédiatement quadrillé le secteur. L'enquête se poursuit.

    Le parisien - 04.03.10
     

  • VIDEO Le Pen au salon de l'agriculture

    http://www.dailymotion.com/video/xcg6tr_salon-de-l-agriculture-front-nation_news

    Le Front National s'est rendue au salon de l'agriculture le mercredi 3 mars 2010 en compagnie de plusieurs tête de liste dont notamment Marie-Christine Arnautu, candidate FN en Ile-de-France. Elle a pu rencontrer plusieurs exploitants et producteurs locaux pour les soutenir clairement sans langue de bois. L'accueil fut chaleureux et réel!

  • Honteux: deux députés allemands suggèrent à la Grèce de vendre ses îles!

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    (Cliquez sur la carte pour l'agrandir)

    D’après une information diffusée par Reuters, on apprend que deux députés allemands, de la coalition de droite au pouvoir en Allemagne, ont eu le culot de suggérer à la Grèce de vendre ses îles afin de résorber au plus vite sa dette !

    Après la France à la découpe Sarkozyste, le système allemand présidé par Angela Merkel soulève le voile …

    C’est le quotidien Bild qui a repéré ces propos tenus par les députés Josef Schlarmann, membre de la CDU de la chancelière Angela Merkel, et Frank Schäffler, expert en finances publiques chez les libéraux du FDP.

    Le quotidien précise d’ailleurs qu’Angela Merkel, qui reçoit son homologue grec George Papandréou vendredi à Berlin, « ne peut promettre aucune aide à la Grèce« . Le Bild d’en rajouter une couche avec le titre de son article : « Vendez vos îles, vous les Grecs endettés ! Et vendez l’Acropole aussi !« 

    « Ceux qui sont insolvables doivent vendre tout qu’ils ont pour payer leur créditeurs. La Grèce possède des bâtiments, des entreprises et des îles inhabitées, qui pourraient tous être utilisés pour résorber la dette« , précise Josef Schlarmann.

    Un message est plutôt clair à l’attention des Grecs. La solidarité Européenne Mondialiste aurait-elle des limites ? Enfin non, lorsqu’il s’agit de faire disparaitre les nations au profit d’une idéologie pour un gouvernement mondial…

    NPI - 04.03.10

  • Forte avancée de l'extrême droite aux Pays-Bas

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    Geert Wilders a 46 ans

    Le Parti pour la liberté du député Geert Wilders est arrivée en tête mercredi à Almere et deuxième à la Haye, dans les deux seules villes où il se présentait aux municipales.

    Le scrutin avait valeur de test à trois mois des élections législatives anticipées. Il est plutôt réussi pour le député d'extrême droite Geert Wilders. Mercredi, son mouvement, le Parti pour la liberté (PVV), est arrivé en tête aux élections municipales à Almere et deuxième à La Haye, selon des résultats partiels publiés jeudi. En baisse par rapport à 2006 (58,56%), le taux de participation a atteint 56%, selon une estimation de l'institut Synovate.

    Le PVV, qui se présentait dans ces deux villes seulement, participait pour la première fois à des élections locales depuis sa création en 2006. Le parti de Geert Wilders a ainsi obtenu 21,6% des suffrages à Almere, une ville dortoir de 187.000 habitants située à l'est d'Amsterdam. «Ce qui est possible à La Haye et Almere est possible dans tout le pays. C'est un tremplin pour notre victoire», s'est réjoui le député, dont le parti totalise 9 sièges sur un total de 39 à Almere.

    Le PVV, qui affirme vouloir «lutter contre l'islamisation des Pays-Bas», y devance ainsi le parti travailliste (PvdA). Ce dernier, qui était arrivé en tête aux précédentes élections municipales en 2006, obtient 17,6% des votes soit sept sièges, selon les résultats de 96 des 98 bureaux de vote de la commune.

     

    L'extrême droite déjà bien présente aux européennes de 2009

     

    A La Haye, siège du gouvernement, le parti de Geert Wilders a décroché la deuxième place, derrière le premier parti, le PvdA. Le PVV détient désormais 8 sièges de conseillers municipaux, contre 10 pour le PvdA.

    Mais le parti travailliste n'est pas le seul à devoir se méfier de cette montée en puissance de l'extrême droite. Dans les sondages, le Parti de la liberté devance ou talonne également le parti chrétien-démocrate (CDA), principal parti de la coalition de centre-gauche. Ce dernier avait démissionné le 20 février, victime de ses dissensions sur une éventuelle prolongation de la mission des Pays-Bas en Afghanistan, souhaitée par l'Otan.

    Le PVV n'en est pas à sa première percée. Déjà aux élections européennes de juin 2009, le parti de Geert Wilders avait obtenu 16,7% des voix, arrivant ainsi deuxième derrière le CDA. Il avait alors fait son entrée au parlement européen. Il détient également 9 sièges de députés sur 150 à la chambre basse du parlement néerlandais.

    Selon un sondage réalisé mercredi à la sortie des urnes par l'institut Synovate, si le scrutin avait été une élection législative, le PVV arriverait en troisième position, avec 24 sièges, contre 9 actuellement. Le CDA de l'ancien premier ministre Jan Peter Balkenende resterait le premier parti avec 29 sièges de députés, mais il en perdrait 12. Il continuerait de devancer le parti travailliste qui obtiendrait 27 sièges contre 33 actuellement.

    Le Figaro - 04.03.10

  • VIDEO Evénements survenus à l'issue des matches avec l'Algérie durant octobre et novembre 2009

    http://www.youtube.com/watch?v=WYBy1cnis60

    Le drapeau français est brûlé...

  • La LICRA saisit la justice pour l'affiche anti-islamisme du FNJ

    La LICRA a fait délivrer vendredi 26 février une sommation à Jean-Marie Le Pen et au Front National (FN) de retirer l'affiche « anti-musulmans » qu’ils ont fait placarder en région PACA et mis en ligne sur Internet. Lundi 1er mars les affiches étaient toujours en place et en ligne. Comme elle l’avait annoncé, la LICRA saisit ce jour le président du Tribunal de Grande Instance de Marseille aux fins d’être autorisée à assigner Jean-Marie Le Pen, tête de liste du Front National en région PACA, et le Front National en référé d’heure à heure pour obtenir judiciairement et sous astreinte le retrait de cette affiche. Le président du Tribunal de Grande Instance de Marseille a fait droit à cette requête et a fixé l’audience au 5 mars 9h30 au Palais de justice de Marseille, 6 rue Joseph Autran. La LICRA sera représentée dans cette affaire par Maître Michel Pezet, avocat au barreau de Marseille
    Par Licra Mulhouse - Publié dans : Actualités
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    Jean-Marie LE PEN comparaîtra vendredi 5 mars 2010 au Tribunal de Grande Instance de Marseille suite aux actions en justice opérées par les professionnels de l’antiracisme suite à la publication de l’affiche « NON à l’islamisme » du FNJ.

    Le Front National appelle l’ensemble des Provençaux, Alpins et Azuréens à venir soutenir notre Tête de liste aux élections régionales.

    Le rendez-vous est fixé à 9h30 devant le Tribunal de Grande Instance de Marseille, 6 rue Jospeh Autran.

    Jean-Marie LE PEN fera un point presse à 10 h 00 devant le Tribunal de Grande Instance.

    Frédéric Boccaletti
    Directeur de campagne de Jean-Marie LE PEN

    NPI - 03.03.10

     


  • Très fortes vagues attendues en Basse-Normandie

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    (Cliquez sur la photo)

    De très fortes vagues sont attendues jeudi sur les côtes du Calvados et de la Manche avec un risque de "débordement sur le littoral" sous l'effet combiné du vent et d'un fort coefficient de marée, ont prévenu mercredi les autorités préfectorales.

    Les vagues, d'une hauteur moyenne de 2,5 mètre, pourront atteindre localement 3 mètres en raison d'un vent de nord-est de 60 à 80 km/h, conjugué à une marée élevée (coefficient 102).

    Le risque a été identifié sur les côtes ouest du Calvados et est de la Manche, le secteur le plus exposé courant de Port-en-Bessin (Calvados) à Barfleur à la pointe est de la Manche, selon la préfecture de région.

    La préfecture de la Manche invite dans un communiqué à la "plus grande vigilance" et conseille aux riverains de prendre "toutes les précautions utiles afin de parer aux risques ponctuels d?inondations".

    "L?ensemble des maires des communes du secteur concerné ont été avisé du risque par le système d'alerte automatisé", précise le texte.

    "On craint le pire ce soir peu avant minuit et surtout demain midi", a indiqué Benoît Endelin, maire adjoint de Saint-Marcouf (au milieu de la côte est du département de la Manche), où 15 maisons ont été inondées dimanche jusqu'à 1,20 mètre d'eau.

    "Nous sommes en train de pomper depuis 13H00 cet après-midi dans la quinzaine de jardins déjà inondés ce matin", pour limiter les dégâts mercredi soir et jeudi midi, a ajouté M. Endelin.

    "Nous avons prévenu les habitants" de la quinzaine de maison concernées mais personne n'a pour l'heure voulu évacuer, a-t-il aussi indiqué.

    Le Point - 03.03.10

  • Tags sur une mosquée en construction: trois lycéens mis en examen

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Trois lycéens, soupçonnés d'être les auteurs d'inscriptions racistes sur les murs de la future Grande mosquée de Saint-Etienne, ont été mis en examen et laissés en liberté sous contrôle judiciaire, a-t-on appris mercredi auprès du parquet. Ces jeunes, âgés de 18 à 20 ans et inconnus des services de police, sont scolarisés dans un lycée professionnel de Saint-Etienne.

    Ils ont été convoqués devant la justice le 23 mars. D'ici là, ils ont interdiction de se rencontrer et de porter des armes. Un quatrième lycéen, placé en garde à vue lundi soir en même temps que les trois autres, a été libéré, aucun élément n'ayant été retenu contre lui.

    Les prévenus ont dits être des sympathisants d'extrême-droite mais ne feraient pas partie d'un réseau organisé, selon le parquet.

    Le Point - 03.03.10

  • Violences en bandes: nouvelle loi publiée au J.O.

    La loi sur la violence en bandes et à l'école, adoptée par le Parlement le 11 février, a été publiée mercredi matin au Journal officiel.

    Dans son article 1, la nouvelle loi prévoit que "le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation (...) de violences volontaires contre les personnes ou de destruction ou dégradation de biens est puni d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende".

     L'article 13 réprime l'intrusion de personnes non autorisées et l'introduction d'armes dans un établissement scolaire, ce qui constitue un délit puni d'un an d'emprisonnement et 7.500 euros d'amende. Dans certaines circonstances (intrusion en réunion avec arme), on peut encourir jusqu'à cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende.

    Le Parlement avait donné le 11 février son feu vert définitif à ce nouvel arsenal contre la violence en bandes, à l'école et dans les stades, avec un ultime vote du Sénat. La proposition de loi "renforçant la lutte contre les violences de groupes et la protection des personnes chargées d'une mission de service public" avait été rédigée par le député-maire UMP de Nice, Christian Estrosi, avant son entrée au gouvernement en juin 2009.

    De "l'éradication des bandes de racailles" (Lefebvre)

    Lors d'une réunion mardi au ministère de l'Intérieur entre le directeur de cabinet, des dirigeants du PSG et des responsables policiers, à la suite des incidents survenus dimanche en marge du match PSG-OM (un supporteur parisien grièvement blessé"), diverses mesures ont été annoncées. Selon un communiqué du ministère, Brice Hortefeux a par ailleurs demandé aux préfets "à Paris, comme dans tous les départements concernés, de faire application immédiate des dispositions nouvelles prévues par la loi sur les bandes ". Ainsi, "les interdictions administratives dont la durée maximale peut désormais être de six mois (au lieu de 3 précédemment) sont portées à 12 mois en cas de récidive, assorties de peines d'emprisonnement en cas de non-respect" de la mesure. Les associations de supporteurs à l'origine de violences ou de troubles à l'ordre public pourront être suspendues ou dissoutes.

    Frédéric Lefebvre s'est félicité mercredi de la publication, le même jour, de la publication au Journal officiel de la loi anti-bandes. Le porte-parole de l'UMP affirme dans un communiqué que la France, et "en particulier l'Ile-de-France", est "gravement touchée par ce phénomène" et souhaite d'une "application très ferme sur le terrain des nouveaux dispositifs".

    "L'éradication des bandes de racailles, qui prennent toujours pour cible les plus fragiles de nos concitoyens dans les quartiers les plus populaires, impose que l'État et les régions travaillent mains dans la main", précise Frédéric Lefebvre dans ce communiqué, arguant de "la généralisation de la vidéo protection" dans et aux abords des lycées, des gares, des centres commerciaux et zones commerçantes. Ce sera "une des conditions (...) pour permettre aux forces de l'ordre (...) de démanteler ces bandes violentes qui font régner la terreur", expose-t-il.

    Le Point - 03.03.10

    Encore un loi pour rien! Mais il s'agit avant tout de rassurer et de tromper les électeurs avant les régionales

    Le problème de la violence en bandes est essentiellement celui de l'immigration massive

  • VIDEO Gollnisch président?

    http://www.dailymotion.com/video/xce92f_gollnisch-président_news

    Ce vendredi 26 février, près de mille frontistes de toute la région Rhône-Alpes se sont retrouvés pour un grand banquet à Lyon, appelé le «Banquet des mille» ! En présence de Bruno Gollnisch et de tous les autres élus régionaux FN, ils ont ainsi publiquement manifesté leur détermination à ne pas abandonner la Région à la décadence et les partis du système !

    Altermedia Info - 03.03.10

  • Le maire de Woippy poursuit le père du jeune tué en scooter

    Le député-maire UMP de Woippy, François Grosdidier, a annoncé ajourd'hui le dépôt d'une plainte pour dénonciation calomnieuse contre le père de Malek Saouchi, mort en scooter au terme d’une course-poursuite avec la police municipale le 20 janvier dernier. L’élu reproche au père de la victime d’avoir rendu publics ses doutes quant à la version donnée par les policiers, à la sortie d’un entretien avec le juge d’instruction en charge de l’affaire.

    Malek Saouchi a ainsi produit une photo d’un véhicule de la police municipale, sur laquelle apparaît l’enfoncement d’une aile du véhicule qui pourrait démontrer, selon lui, le contact entre la voiture et le scooter. "C’est du mensonge pur et simple. Tous nos véhicules sont cabossés! La photo qu’il montre est celle d’un 4x4 qui a glissé sur le verglas le lendemain de Noël", a précisé le maire de Woippy, qui a indiqué vouloir "responsabiliser l’émetteur des dénonciations calomnieuses" par son dépôt de plainte. "Ce que je lui reproche, ce n’est pas d’aller devant le juge d’instruction, c’est d’aller devant les caméras. Moi, je n’ai pas dit tout ce que j’aurais pu dire sur les familles concernées", a ajouté François Grosdidier.

    L’élu a également appelé "l’avocate [des parties civiles] à se responsabiliser, et pas qu’elle se répande dans les bistrots de Woippy, comme elle n’a pas manqué de le faire". Maître Liliane Glock, avocate de la famille de Malek Saouchi, a déploré "qu’on ne laisse pas le juge d’instruction faire un travail de tranquillité : c’est une pression intolérable sur l’instruction". L’avocate a en outre estimé qu’elle n’avait "de leçon de responsabilité à recevoir de personne".

    Le 20 janvier dernier, trois jeunes gens roulaient sans casque et sans éclairage sur un scooter volé à Woippy, lorsqu'ils ont été pris en chasse par un véhicule de la police municipale. Malek Saouchi, le conducteur du scooter, a tenté d'échapper aux forces de l'ordre en s'engageant dans un sens interdit. Il est mort sur le coup, tandis que les deux passagers ont été gravement blessés.

    Le Figaro - 03.03.10

  • VIDEO Sarkozy voulait construire dans les zones inondables

    http://www.dailymotion.com/video/xcfsh4_n-sarkozy-voulait-assouplir-les-rég_news

    Il y a un an, Nicolas Sarkozy estimait qu'il fallait assouplir les règles de construction en zone inondable, sous conditions. Cécile Duflot, pour les Verts, accuse le chef de l'Etat d'avoir mis en péril la loi Littoral.

  • La Halde défend les diseuses de bonne aventure

    La Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité vient d'épingler deux arrêtés - pris en 2008 et 2009 - du maire des Saintes-Maries de la mer visant à interdire la présence des diseuses de bonne aventure sur une grande partie de son territoire.

    La Halde, par la voix de son président Louis Schweitzer, considère cet arrêté comme discriminatoire dans la mesure où l'activité de diseuse de bonne aventure est étroitement liée à celle de la communauté gitane.

    La Halde recommande donc au maire de modérer et justifier son prochain arrêté. Le premier magistrat avait justifié cet arrêté par les nuisances et les atteintes à l'ordre public (vol, harcèlement, escroqueries, etc) provoquées par des dizaines de diseuses de bonne aventure dans sa commune.

    La Provence - 03.03.10