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Blog - Page 1724

  • La France a versé la caution pour Clotilde Reiss

    Après plus de vingt-quatre heures d'imbroglio et de joutes diplomatiques verbales sur les modalités de l'arrangement, Luc Chatel, le porte-parole du gouvernement, a confirmé mercredi en fin d'après-midi que la France avait accepté la proposition iranienne d'accueillir temporairement Clotilde Reiss à son ambassade de TéhéranAfin de sortir la jeune femme de sa prison, Paris a notamment dû payer une caution et s'est engagé à ce qu'elle ne quitte pas l'ambassade jusqu'à l'énoncé du verdict, dont le jour n'est pas encore fixé. "Le but du gouvernement, c'est d'obtenir sa libération définitive", a expliqué Luc Chatel sur I-Télé.

    Un peu plus tôt, le procureur de Téhéran, Saïd Mortazavi, avait indiqué que le procès de Clotilde Reiss était terminé. Il avait précisé qu'en cas de remise en liberté sous caution, que seul le juge pouvait accorder, elle ne pourrait pas quitter le pays.

    Les modalités de cet arrangement constitue un assouplissement de la position française. Mardi, après la proposition de l'ambassadeur d'Iran en France, le Quai d'Orsay avait en effet répliqué avoir déjà expliqué à Téhéran qu'il était prêt à accueillir Clotidle Reiss "dès lors que celle-ci bénéficierait d'une mesure de remise en liberté". Sous-entendu : une remise en liberté totale, sans caution et encore moins sans obligation de résider à l'ambassade. Mais mercredi, à la mi-journée, Luc Chatel, avait déjà nuancé cette position en indiquant attendre "dans les meilleurs délais"  la libération "sous caution dans un premier temps".

    LCI.fr - 12.08.09

  • Une bande de jeunes de l'Essonne a créé l'enfer à Royan

    Tentatives de racket, agressions, vols, menaces de , dégradations, intimidations et insultes... Un groupe de jeunes, originaires de la banlieue parisienne, a multiplié les délits dans les rues de Royan (-Maritime) depuis la fin du mois de juillet, terrorisant les habitants et les commerçants proches du front de mer. Les policiers de la ville ont recensé une quinzaine de faits imputables à cette petite bande venue d’Epinay-sous-Sénart ().

      
    Dernier épisode en date : le 10 août, vers 16 heures, une trentaine de commerçants, forains et sédentaires, ont voulu en découdre avec plusieurs de ces jeunes après une agression, commise la veille, sur l’un d’entre eux. Ils ont brisé plusieurs vitres et la porte d’entrée du domicile de ces derniers, rue Jules-Lehucher, avant d’être retenus par la police. A l’intérieur, sept garçons apeurés ont rapidement plié bagages avant d’être conduits, sous escorte policière, jusqu’à la gare de Saintes, direction Paris.

     Tentatives de racket contre les commerçants

    «Nous avons rencontré une situation pas facile à gérer, reconnaît le commissaire de Royan. Fin juillet, nous nous sommes aperçus qu’une équipe de jeunes venus de Paris était en ville. On en a retrouvé une quinzaine dans un squat d’où on les a délogés. Ils ont ensuite investi un ancien garage réhabilité en logement, rue Jules-Lehucher. Ils se sont toujours montré arrogants et provocants à notre égard et vis-à-vis de la population. »
    La tension n’a cessé de grandir entre ces jeunes "vacanciers" et les riverains, excédés par leur comportement. « Nous n’avons pas arrêté d’appeler la police et la mairie pour dénoncer leurs agissements, affirme un habitant, sous couvert d’anonymat. Personne n’a bougé ou trop tard. La situation n’était plus vivable. Ils intimidaient les gens et faisaient peur à tout le monde. Sans compter, les tentatives de racket contre les commerçants. » Selon la police, ces jeunes ont provoqué des incidents dans ou à proximité de commerces avant de tenter d’intimider les responsables de ces magasins ou restaurants.


    Ainsi, dans la nuit du 5 au 6 août, les vigiles d’une discothèque refusent l’entrée à plusieurs membres de la bande. Le ton monte. Un coup est porté au visage d’un des agents de sécurité qui use de gaz lacrymogène pour se défendre. Quelques minutes plus tard, l’un des jeunes revient à la charge en expliquant que, dans la bousculade, une paire de lunettes a été brisée. « Il a réclamé 200 € de dédommagement au patron de la discothèque, sous peine de sérieuses représailles. Ils ont recommencé, à deux autres reprises, ailleurs. Un commerçant a cédé », précise une source policière.
    L’un des racketteurs, âgé de 21 ans, a été condamné hier à quatre mois de prison ferme. Deux autres ont écopé de deux mois de prison et de 40 heures de travail d’intérêt général (TIG) après des violences et des dégradations.

    « La police et nos services ont fait de leur mieux, estime Didier Besson, adjoint au maire de Royan, en charge de la sécurité. Nous avons été confrontés à une bande de jeunes de banlieue "qui ont voulu se comporter comme chez eux". Ici, la population sédentaire est un peu âgée et leur sensibilité à l’insécurité est un peu plus exacerbée qu’en région parisienne.


     Par ailleurs, nous avons eu le plus grand mal à amener les victimes à déposer plainte. »

    Le parisien - 12 août 2009

    Les peines sont très faibles, a minima...

     

     


     

  • L'incendie de Sevran était criminel - règlement de comptes entre trafiquants de drogue ivoiriens

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    L'immeuble de la cité des Beaudottes à Sevran

    Cinq personnes, un couple, deux enfants et un nourrisson, ont trouvé la très tôt hier matin dans l’incendie de leur immeuble HLM de la cité des Beaudottes à Sevran (Seine-Saint-Denis). Les vingt-neuf personnes intoxiquées par la fumée sont hors de danger. Les rescapés expliquent avoir été pris au piège par les flammes.

    Selon eux, le feu aurait pris vers 3 heures à deux endroits de la cage d’escalier, aux septième et deuxième étage. Les pompiers sont rapidement intervenus, venant à bout du sinistre peu après 6 heures. L’origine de l’incendie n’a pas encore été déterminée mais la police judiciaire, chargée de l’enquête, s’oriente vers une piste criminelle.
    « 90 % des habitants voulaient déménager »

    Hier matin, la colère montait parmi les habitants du quartier attroupés devant le lieu du drame sans quitter des yeux le trou noirci du huitième étage. L’immeuble de dix étages du 6, allée de la Pérouse était connu pour héberger un important trafic de drogue. « C’était de notoriété publique », insiste un riverain.
    Entièrement dévasté par les flammes, l’appartement où ont été retrouvés les cinq corps était squatté depuis un an par des occupants d’origine ivoirienne « sans droit ni titre », selon le bailleur, l’Immobilière 3F (I3F). Une procédure judiciaire était en pour les expulser.

    « Ici, 90 % des habitants voulaient déménager, rapporte une quadragénaire. Ceux qui arrivaient, il fallait vraiment qu’ils soient dans la m... » Et de dénoncer « le désintérêt » du bailleur et de la municipalité pour le quartier. « Ils sont tous responsables. Ils nous ont abandonnés. Même les gardiens étaient partis », peste-t-elle. Retirés des loges en mars 2008 « parce que leur vie était en danger », selon le bailleur, les gardiens n’étaient jamais revenus.

    « La Pérouse, c’était le point noir des Beaudottes, reconnaît-on à la mairie de Sevran. Depuis des années, on tirait la sonnette d’alarme, on frôlait la catastrophe. » « On a mené une bataille pour le retour des gardiens et puis tout s’écroule », déplore le maire (PC), Stéphane Gatignon.
     « En colère », il rappelle qu’un groupement local de traitement de la délinquance était mis en place depuis deux ans dans le quartier.
    Une cellule psychologique a été activée dans la journée au service jeunesse de la mairie. Hier soir, les trente-sept familles sinistrées étaient relogées chez des proches ou dans des hôtels. Dans un communiqué, le nouveau secrétaire d’Etat au Logement, Benoist Apparu, a demandé que « toute la lumière soit faite sur les circonstances exactes de cet d’une gravité exceptionnelle ».
    Le parisien - 11 août 2009
    Ces trafiquants de drogue, connus de toute la cité, ne sont ni punis ni expulsés!
  • La France prête à payer une caution pour la libération de Clotilde Reiss

    Le procès de Clotilde Reiss est terminé mais la jeune Française, arrêtée le 1er juillet et accusée d'avoir été impliquée dans les manifestations de juin, reste en prison et ne pourra quitter l'Iran avant que soit rendu un verdict, a annoncé mercredi la justice iranienne.

     

    "Reiss est en détention mais le procès pour examiner les accusations qui pèsent sur elle est terminé", a déclaré le procureur de Téhéran, Saïd Mortazavi, cité par l'agence Fars.

    "Toute décision pour qu'elle soit libérée sous caution ou qu'elle reste en prison appartient au juge", a-t-il ajouté.

    "Dans le cas d'une acceptation de la caution et d'une remise en liberté, cette ressortissante française n'a aucunement le droit de quitter le pays jusqu'à ce que soit rendu le verdict", a-t-il précisé.

    S'agissant de Mme Afshar, libérée sous caution mardi, M. Mortazavi a souligné que "l'examen des accusations contre elle se poursuivait".

    Plusieurs agences de presse iraniennes ont affirmé mercredi que la France avait dit être prête à payer une caution pour obtenir la libération de Mlle Reiss.

    L'ambassade de France à Téhéran a envoyé une note officielle constituant un engagement à payer une caution pour la libération de Clotilde Reiss, indique une source politique iranienne non-identifiée citée par ces agences.

    Ce document a été transmis à la justice, selon la même source.

    Interrogé sur ces informations, Romain Nadal, porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, a déclaré: "Les autorités françaises demandent la libération de Clotilde Reiss et font le nécessaire pour l'obtenir. Elles demandent également l'abandon de toutes les poursuites à l'encontre de Clotilde Reiss et Nazak Afshar".

    "Le tribunal peut décider d'une caution lourde pour la libérer jusqu'au moment du verdict", a indiqué à ce sujet M. Mortazavi.

    Paris a indiqué plus tôt mercredi qu'une mise en liberté conditionnelle de Clotilde Reiss, assortie d'une assignation à résidence à l'ambassade de France en Iran, des mesures évoquées par l'Iran, ne pourrait constituer qu'une "première étape" avant l'abandon des poursuites judiciaires.

    Plus d'une centaine de personnes sont jugées depuis le début du mois d'août devant le tribunal révolutionnaire de Téhéran pour avoir participé aux manifestations post-électorales.

    AFP. 12.08.09

  • Le "burkini" interdit à la piscine

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    Une militante islamique en burkini

    Deux mois après la fronde de 65 députés contre le port de la burqa en , une nouvelle affaire est en passe de déclencher les foudres des défenseurs de la laïcité. Cette fois, la polémique n’a pas pris racine à l’Assemblée mais à Emerainville, petite commune de Seine-et-Marne. C’est ici que le 1er août, Carole, musulmane de 35 ans, s’est vu refuser l’accès à la piscine par le maître nageur de service.

     
      Motif invoqué : la direction de la piscine n’accepte pas le « burkini », le maillot de bain islamique avec lequel elle souhaitait se baigner.
    Après cette fin de non-recevoir, Carole s’est immédiatement rendue au commissariat de police de Noisiel pour déposer une main courante. Aujourd’hui, cette Française de souche, convertie à l’Islam depuis ses 17 ans, veut aller plus loin en déposant plainte auprès du procureur de la République de Meaux.

     

    « Je m’étais dit que cela pouvait m’autoriser le plaisir de la baignade sans trop me découvrir »

    Carole avait pourtant déjà eu l’occasion de se baigner à la piscine d’Emerainville dans ce « burkini », composé d’un voile, d’une tunique et d’un pantalon, acheté lors de récentes vacances à (Emirats arabes unis). « En le prenant, je m’étais dit que cela pouvait m’autoriser le plaisir de la baignade sans trop me découvrir, comme le recommande l’islam », souffle-t-elle.
    Bien sûr, la jeune femme se doutait bien que sa nouvelle tenue était susceptible de poser problème. « J’avais donc appelé plusieurs piscines du département, se souvient-elle. A la troisième, le maître nageur m’a demandé de venir le voir et de porter la tenue afin qu’il puisse se faire une idée. Il n’y voyait pas de problème, mais m’a prévenue qu’il n’était pas seul à décider. »
    Le 27 juillet, vêtue de ce maillot intégral, elle se met donc à l’eau... sous l’oeil médusé des autres baigneurs et recommence les jours suivants en compagnie de ses enfants. Elle achète même un abonnement de 10 heures à la piscine locale...dont l’accès lui a finalement été interdit le 1er août.

    « Pour moi, c’est de la ségrégation et je me battrai pour faire changer les choses »

    « Je comprends que ça puisse choquer, reconnaît la mère de famille. Surtout que nous sommes en France. Mais ce qui m’ennuie, c’est qu’on m’a fait comprendre qu’il s’agissait d’un problème politique. » Yannick Decompois, directeur général du syndicat d’agglomération nouvelle (San) de Marne-la-Vallée, qui gère les piscines du secteur, affirme de son côté que la question n’est pas là. « Il ne s’agit nullement d’un problème de laïcité, mais tout simplement d’hygiène, comme pour l’interdiction des shorts de bain », justifie-t-il. « Cette dame peut sans problème venir voilée à la bibliothèque. Nous n’y verrons aucun inconvénient. L’erreur est d’avoir laissé passer la chose à la piscine les premières fois. »


    Carole, elle, n’entend pas en rester là. Déterminée à saisir la justice, elle compte également alerter le Mrap (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) et SOS Racisme. « Pour moi, c’est tout simplement de la ségrégation lance-t-elle. Je me battrai pour tenter de faire changer les choses. Et si je vois que la partie est perdue, je n’exclus pas de quitter la France. »
     

    Le Parisien - 12 août 2009

    Qu'elle quitte la France! On ne la retient pas!

     

     

     

     

     

     

  • VIDEO Imprudence fatale au passage à niveau selon les témoins du drame

    http://www.youtube.com/watch?v=ejTXHWPxGaQ

    Les témoignages concordent: la conductrice, une mère de famille, a franchi la chicane des demi-barrières après le passage du premier train. Hélas un second arrivait à près de 150 km/h et n'a pu éviter la voiture engagée sur les voies. Bilan 3 morts.

    Le Post - 11.08.09

  • Des bébés éternels

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    A Cagnes-sur-mer, dans son salon transformé en atelier, Chantal fait du "reborning"
    (Cliquez pour voir la photo en totalité)

    Au milieu du salon, sept nourrissons se partagent les canapés sans bouger ni faire le moindre bruit. Et pour cause, les bébés de Chantal Triquet sont faux ! Cette Cagnoise, ancienne assistante de direction, s'est lancée dans le reborning (1), une discipline venue des États-Unis qui consiste à réaliser des poupons plus vrais que nature à partir de poupées existantes ou de modèles standards dédiés à cette pratique.

    « J'ai découvert le phénomène à la télé en novembre et je suis immédiatement tombée sous le charme des oeuvres de toutes ces artistes », se rappelle-t-elle. Ni une ni deux, elle commande dès janvier des « kits » sur internet : jambes, bras, tête en vinyle, accompagnés d'un corps en tissu. « On trouve de tout. Personnellement je préfère les touts-petits, depuis le prématuré jusqu'au nourrisson de moins de 3 mois », précise la faiseuse de bébés.

    Après réception de ces petits corps vierges, le véritable travail peut commencer. Avec pour objectif la réalisation d'un poupon unique en son genre.

    Première étape, peindre la poupée. « J'utilise des peintures très diluées que j'applique en couches successives pour rendre la profondeur et la complexité de la peau du nouveau-né avec ses veines, mais aussi toutes ses rides sur les mains ou les pieds », explique-t-elle. Entre chaque couche, passage obligatoire du bébé au four, à 135°C, pour un séchage optimal.

    Place maintenant à la chevelure. Des centaines et des centaines de cheveux et de cils en mohair sont implantés un par un à l'aide d'une petite aiguille. « C'est la partie la plus fastidieuse du travail », reconnaît Chantal, qui s'estime récompensée par la douceur de ces petites têtes qu'elle ne se lasse pas de caresser.

    Après ce travail de fourmi, les membres sont lestés avec des billes de verres et de polystyrène de façon à reproduire le poids d'un véritable nourrisson. « Quand vous le portez, il faut d'ailleurs bien penser à lui soutenir la tête », prévient l'artiste qui accompagne la recommandation d'une petite démonstration. « Ils ont une présence incroyable dans les bras, c'est saisissant. ! »

    Ne reste plus qu'à habiller ce petit reborn. « J'adore ce moment, confie-t-elle Je leur mets une couche puis je les habille avec des vêtements achetés dans des boutiques traditionnelles. » Une tétine à embout métallique associée à un petit aimant placé dans la bouche peuvent compléter la panoplie. « Certaines personnes âgées qui ont des pace-maker ne tolèrent pas l'aimantation, je n'en mets donc pas de manière systématique », précise Chantal.

    Des bébés « adoptés » par les clientes

    Chaque nouveau-né factice est alors vendu aux enchères sur Ebay. Mais attention, les clientes n'achètent pas : elles « adoptent ». C'est la terminologie d'usage dans le monde du reborning. En témoigne le certificat de naissance fourni avec le kit et rempli par l'artiste-reborneuse qui donne alors un prénom à sa création. Depuis janvier, Chantal a déjà écoulé dix-sept poupées, la plupart du temps à des collectionneuses, pour des sommes allant de 200 à 400 euros.

     Le succès est tel qu'une clientèle de commande commence à se constituer. « Ce sont souvent des grands-mères qui m'envoient des photos de leur petit-fils ou de leur petite-fille pour que je m'en inspire, explique-t-elle. Elles veulent tout simplement garder un souvenir impérissable du nouveau-né...»

    Derrière ces fans inconditionnelles se cachent toutefois un grand nombre de personnes heurtées par cet hyperréalisme revendiqué. Chantal le reconnaît d'ailleurs volontiers : « Soit les gens adorent, soit ils détestent, il n y a pas de juste milieu. » Une chose est sûre : personne ne reste indifférent.

    1. le terme newborning peut être utilisé lorsque la poupée est réalisée à partir d'un corps vierge. Par usage, le mot reborning recouvre l'ensemble de ces pratiques.

    Nice-Matin - 11 août 2009

    Assez malsain...

  • Nice: deux enfants trouvés morts dans la baignoire

     Une a été ouverte pour homicide après la découverte des corps de deux enfants, morts dans la baignoire de leur domicile, mardi à . La mère des deux enfants a été placée en garde à vue.

    Les deux enfants, un garçon et une fille, âgés respectivement de trois ans et demi et deux ans, auraient été retrouvés noyés ou étouffés.

    Dans son édition de mercredi, Nice-Matin explique que la mère a téléphoné à son mari en milieu de journée en lui tenant des propos incohérents sur les enfants. Le mari a alors alerté les pompiers et s'est précipité chez lui, où il est arrivé après les secours.

     Le mari et la femme, tous les deux âgés de 39 ans, de nationalité française, avaient emménagé boulevard de la Madeleine, à l'ouest de la ville, il y a trois mois, et n'étaient pas connus du voisinage, pas plus que des services de police, précise Nice-Matin.

    A son arrivée chez lui, le mari, qui était accompagné d'un ami, a eu une altercation avec les policiers. Ceux-ci l'ont menotté et l'ont conduit dans leurs locaux où il a été interrogé. Il ne se trouvait pas en garde à vue mardi soir.

    Contacté par l'AFP, le parquet s'est refusé à donner ou à confirmer la moindre information sur cette affaire, évoquant seulement une possible conférence de presse mercredi.

    Le Parisien - 11 août 2009

  • Au Cap Black

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    Une médaille en or brille sur son torse bronzé... Un signe religieux? Mais lequel?
    (photo Nice-matin - 11.08.09)

  • Deux employés municipaux d'une piscine parisienne poignardés par un jeune stagiaire

    Deux employés de la piscine de Reuilly (XIIe arrondissement de Paris) ont été poignardés par un jeune collègue mardi vers 13h30, a-t-on appris de sources policière et judiciaire. L'un d'eux se trouve dans un état grave. L'auteur présumé a été interpellé et placé en garde à vue dans les locaux de la 2e division de police judiciaire (DPJ).

    Selon les premiers éléments de l'enquête, un jeune stagiaire de la Ville de Paris, âgé de 18 ans et domicilié à Paris, s'en est pris à son supérieur hiérarchique à qui il a asséné un coup de couteau. Il s'est ensuite attaqué au gardien de la piscine qu'il a poignardé à plusieurs reprises avant de s'enfuir. Il a été interpellé peu après par une patrouille de la Brigade anticriminalité (BAC).

    Dans un communiqué, le maire de Paris Bertrand Delanoë a adressé ses "voeux sincères de rétablissement" aux deux victimes et à les assurer, ainsi que leur famille, de sa totale solidarité. Alors qu'une cellule psychologique a été mise en place au sein de la piscine à l'attention des autres agents, l'équipement sera fermé jusqu'à jeudi matin pour les besoins de l'enquête, précise-t-il.

    Le Figaro - 11 août 2009

    On sait quels jeunes portent sur eux des couteaux et s'en servent pour frapper des Français...

  • Jane Birkin n'achètera pas de rubis à la Brimanie et ne fait plus son plein chez Total

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    Jane Birkin, femme de gauche, née en 1946
    Réagissant "avec colère" à la condamnation aujourd'hui d'Aung San Suu Kyi à 18 mois d'assignation à résidence, Jane Birkin a appelé à des "sanctions vraiment sévères" contre la junte birmane.

    "C'est le seul prix Nobel de la paix qui est derrière les barreaux, il faut hurler contre ça", a déclaré l'actrice-chanteuse britannique lors d'un rassemblement organisé par le collectif "SOS Aung San Suu Kyi" et l'association "Info Birmanie" à proximité de l'ambassade de Birmanie, dans le VIIIe arrondissement de Paris.

    "Après les belles paroles, il faut vraiment prendre des sanctions, mais vraiment sévères. C'est-à-dire qu'il ne faut plus vendre des armes en Birmanie, pour que les généraux puissent continuer de torturer, de supprimer les personnes qui les gênent", a estimé Jane Birkin, qui a salué les réactions de Nicolas Sarkozy, du Premier ministre britannique Gordon Brown et de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton.

    "C'est très bien d'attaquer des rubis, des bijoux, le tek, les armes, mais il y a aussi le pétrole. Il y a Total qui se trouve là-bas", a-t-elle ajouté. "Il faut dire ces choses clairement pour que les pays comprennent qu'on peut faire les sanctions nous-mêmes en décidant de ne pas acheter des bijoux qui viennent de Birmanie, de refuser le tek, de refuser de faire le plein à Total. C'est ce que je fais personnellement".
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    Le Figaro - 11 août 2009

  • Interdiction d'une marche à la mémoire de Rudolf Hess

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    Rudolf Hess, né le 26 avril 1894, décédé le 17 août 1987 à la prison de Spandau (Berlin-ouest)

    Le Premier ministre hongrois Gordon Bajnai a demandé l'interdiction une manifestation néo-nazie prévue le 15 août.

    Cette marche entend commémorer la mort de Rudolph Hess, l'ancien numéro deux d'Hitler.

    "Budapest et la Hongrie ne sauraient être le paradis des néo-nazis", a déclaré le chef du gouvernement cité par l'agence hongroise MTI. Il a prié la police de "prendre tous les moyens légaux possibles pour interdire" l'événement.

    Gordon Bajnai réagissait à une information du quotidien Nepszabadsag qui a annoncé lundi qu'un groupe néo-nazi, le Front national-socialiste hongrois, entendait organiser une marche et plusieurs concerts pour commémorer la mort de Rudolph Hess.

    Des appels en ce sens pour inviter d'autres groupes néo-nazis étrangers ont été publiés en anglais et en allemand sur internet, selon le journal. Face à ce front, plus de 50 organisations ont déjà annoncé une contre-manifestation samedi dans les rues du centre de Budapest.

    La police hongroise a promis de faire une déclaration mercredi, jour-limite pour l'annonce d'une manifestation le samedi suivant.


    Rudolph Hess était numéro deux du parti nazi, avant d'être capturé en Grande-Bretagne où il s'était rendu secrètement en 1941 pour y négocier un accord de paix. Il est mort en prison en 1987 où il se serait suicidé. Mais sa famille maintient la thèse du meurtre.

    France 2 - 10.08.09

  • "500 millions d'Européens!"... y compris les Turcs!

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    Infographie dans le JDD du 8 août 2009
    Pour le JDD, la Turquie fait déjà partie de l'Union européenne!

  • Scènes de guerre à Bagnolet...

    Yacou Sanogo qui avait importuné les riverains une après midi entière avec des allers-retours dangereux et bruyants sur une moto cross de 125 cm3 non autorisée en ville s’est tué en voulant échapper aux policiers de Bagnolet qui cherchaient à le contrôler.

    Comme d’habitude dans ces cas là, cet accident a servi de prétexte aux troupes d’occupation pour perpétrer des scènes de violence et de destruction : démonstration d’individus brandissant des barres de fer, 29 voitures brûlées, tirs sur la police, …

    Il est vrai que la victime connu “défavorablement des services de police” avaient de nombreux “soutiens” dans le quartier. Ceux-ci visiblement hermétiques à l’économie (autres que parallèle) ont agressé un technicien de BFM TV.

    Hortefeux, toujours aussi pâlichon, s’est contenté de poser le problème des rapports entre la police et les “jeunes”. Il n’a en revanche rien dit des rapports des “jeunes” avec les lois de la France.

    Altermedia.info - 10 août 2009

  • Sarközy veut enlaidir la France!

    Chantiers et grues.jpg
    (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)
    Les promoteurs dont le nouveau slogan est “osons la densification” vont pouvoir s’en donner à cœur joie: merci Sarközy!

    En plein cœur de l’été, la loi dit « Grenelle I » publiée le 3 août 2009 au journal officiel a entériné la modification de l’article L. 642-3 du Code du patrimoine qui supprime l’avis conforme des architectes des Bâtiments de France (ABF), préalable à l’autorisation des travaux situés dans ces zones, pour le transformer en avis simple. .

    Il s’agit de faciliter le lancement de travaux dans les zones de protection du patrimoine urbain et paysager (ZPPAUP).

    Le changement a légitimement ému l’Association nationale des villes et pays d’art et d’histoire, qui a écrit le 22 juillet au ministre de la Culture pour lui demander « de tout mettre en œuvre pour que cette décision puisse être reconsidérée dans l’immédiat.

    Altermedia.info - 10 août 2009
  • Incendie à Sevran: 5 morts dont 4 squatters

    Quatre des cinq victimes dont trois enfants retrouvées mortes lundi dans l' d'une HLM à Sevran (Seine-Saint-Denis) et qui semblent appartenir à la même famille occupaient un appartement qu'elles «squattaient», a annoncé le procureur de la République devant la presse.

    «Il semblerait que l'homme et les trois enfants retrouvés dans un appartement du 8ème étage, faisaient partie de la même famille», a déclaré le procureur adjoint, Philibert Demory, au d'un point de presse au tribunal de Bobigny.

     
    Multimédia
    Video : "J'ai vu la mort devant moi"
     
     
    En savoir plus
    Colère après l'incendie mortel
     

     

    Des victimes difficiles à idenfier selon le procureur adjoint de Bobigny

    Il a précisé que l'identification des victimes se poursuivait mais qu'elle était rendue difficile par le fait qu'elles «squattaient» l'appartement dans lequel elles ont été retrouvées.

    Interrogé sur les circonstances précises du sinistre et l'origine de l'incendie, le procureur s'est refusé à tout commentaire. La brigade criminelle a été chargée de l'.

    M. Demory a par ailleurs ajouté que la «trappe» de sécurité, mise en cause par plusieurs habitants, «disposait d'un système de ventilation et était aux normes en vigueur». La trappe, qui n'est pas une issue de secours mais permet d'accéder au toit, était fermée, selon plusieurs d'entre eux.

    Selon le directeur général adjoint d'Immobilière 3F, bailleur de l'immeuble, «la grille alvéolée qui permet une ventilation naturelle et une évacuation des fumées a fonctionné. Le cadenas qui la ferme avait été cassé par des dealers mais le toit n'est pas une issue de secours !».

    Deux hommes, deux enfants et un nourrisson ont trouvé la mort dans l'incendie. L'un des deux hommes a été retrouvé mort dans la cage d'escalier de l'immeuble de 10 étages. Les autres victimes ont été découvertes dans un appartement du 8e.

    Le feu a surpris les habitants dans leur sommeil vers 4 heures du matin. De la cage d'escalier, il s'est rapidement propagé avant d'être éteint vers 6h20. Les pompiers ont dû évacuer des habitants à l'aide de grandes échelles.

    Vingt-neuf personnes ont été légèrement intoxiquées par la fumée. 15 d'entre elles ont été évacuées vers l'hôpital Robert-Ballanger à Aulnay-sous-Bois.

    Trente-sept familles doivent être relogées, selon le bailleur.

    Le Parisien - 10.08.09

    Ces gens devraient retourner vivre en Afrique dans leur pays natal.

    Le véritable coupable, ce n'est pas le feu, c'est la politique anti-France!

     

  • Un "fils de boche" obtient enfin la nationalité allemande

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    Daniel Rouxel

    Daniel Rouxel, né en 1943 de l'union d'une Française et d'un soldat allemand, est le premier «enfant de la guerre» à se voir accorder la double nationalité par Berlin.

    «Ce que je ressens est inexplicable.» Daniel Rouxel, 66 ans, peine à exprimer l'émotion éprouvée lorsqu'il a obtenu la nationalité allemande, la semaine dernière, au consulat d'Allemagne à Paris. Après quinze ans d'efforts auprès des deux gouvernements, la décision de Berlin d'accorder la double nationalité à ceux que l'on a longtemps appelés «enfants de boches» lui a permis d'obtenir gain de cause. Né en 1943 de l'idylle «rendue impossible par la guerre» d'un lieutenant en poste au camp militaire allemand de Pleurtuit (Ille-et-Vilaine) et d'une Française qui y travaillait comme cantinière, il dit accéder en devenant allemand à «la deuxième moitié de son identité» qui lui a tant manqué.

    L'historien Fabrice Virgili estime à 200 000 le nombre de ces enfants nés entre 1940 et 1944 ou dans l'immédiat après-guerre. Fils et filles de soldats allemands, appelés de la Wehrmacht ou prisonniers de guerre à la Libération, ces «enfants maudits» sont élevés dans la honte de la «faute» maternelle. Pour ces «bâtards de boches», qui subissent brimades et insultes à l'école, leurs origines s'apparentent à une tare. Grands oubliés de la réconciliation franco-allemande, ils sont les victimes d'un conflit qu'ils n'ont pas connu.

     

    Il a fallu du temps aux «enfants de la guerre», aujourd'hui âgés de 64 à 69 ans, pour sortir du silence. En 2004, le journaliste Jean-Paul Picaper, ancien correspondant du Figaro en Allemagne, leur consacre un livre (Enfants maudits, aux éditions des Syrtes). Plusieurs centaines d'entre eux, découvrant qu'ils ne sont pas seuls, se fédèrent au sein de l'Amicale nationale des enfants de la guerre (Aneg) ou de l'association Cœurs sans frontières. S'adressant aux services d'information des Archives de la Wehrmacht à Berlin, 139 des 253 membres de l'Aneg ont retrouvé leur famille allemande, selon sa présidente Jeanine Nivoix-Sevestre.

    Le Figaro - 10 août 2009 

  • Sarközy se met en quatre pour Clotilde Reiss

    L'Elysée affirme que le chef de l'Etat «multiplie les interventions auprès de tous ceux qui peuvent exercer une influence sur l'Iran» pour obtenir la libération de la jeune Française.

    Depuis le Cap-Nègre, où il est en vacances jusqu'au 20 août, Nicolas Sarközy suit de près l'affaire Clotilde Reiss. Selon un communiqué de la présidence diffusé lundi matin, le chef de l'Etat «multiplie les interventions auprès de tous ceux qui peuvent exercer une influence en vue d'un règlement rapide et de sa libération. C'est son objectif prioritaire dans cette affaire». Cette réaction est la première du président de la République depuis la comparution samedi, devant un tribunal à Téhéran, de la jeune Française emprisonnée en Iran pour sa participation présumée à la contestation dans ce pays, ainsi que d'une employée locale de l'ambassade de France, Nazak Afshar.

    Dimanche, c'est le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, qui avait exigé la libération immédiate de Clotilde Reiss, «coupable de rien du tout» selon lui. Le ministre des Affaires étrangères avait en outre stigmatisé l'audience à laquelle avait comparu l'universitaire française, «spectacle que nous avons déjà connu dans d'autres circonstances». Et Bernard Kouchner d'estimer que les «accusations portées contre elle «sont dénuées de fondement et ne tiennent pas, ce sont des allégations fallacieuses». «Nous voulons, nous exigeons, nous souhaitons au plus vite sa libération», avait-il insisté, déclarant que l'ambassade de France à Téhéran était prête à accueillir les manifestants iraniens poursuivis par la justice.

    L'Union européenne était elle aussi intervenue ce week-end dans le dossier, estimant qu'«une action contre un pays, un citoyen ou du personnel d'ambassade de l'UE est considérée comme une action contre l'UE dans son ensemble et sera traitée en conséquence». Les Etats-Unis, par la voix de leur ambassadrice à l'ONU, ont pour leur part condamné «les procès-spectacle» menés à l'encontre des participants aux manifestations contre la réélection contestée du président Ahmadinejad. «Si l'Iran veut prouver qu'il est prêt à être un membre responsable de la communauté internationale il doit traiter ses citoyens avec respect et respecter l'état de droit. Malheureusement, ces procès-spectacle vont dans la direction opposée.»

     

    «Nous résisterons fermement face à toute intervention»

     

    Reste à savoir si ces différentes interventions suffiront à convaincre les autorités iraniennes de libérer la jeune femme. Lundi matin, Téhéran a réaffirmé qu'il n'accepterait pas d'«intervention» étrangère dans ses affaires intérieures, assurant que les procès se déroulaient conformément «aux lois internationales» et qualifiant la réaction des pays occidentaux d'«illégale et surprenante». Et le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères d'insister : «nous résisterons fermement face à toute intervention».

    Lectrice à l'université d'Ispahan, Clotilde Reiss, 24 ans, avait été arrêtée le 1er juillet alors qu'elle s'apprêtait à quitter l'Iran, à la fin de son contrat. Elle est, depuis cette date, détenue dans une prison de Téhéran.


    Le Figaro - 10 août 2009

  • JEUX Devinettes

    I

    J'ai des rues sans chaussées,

    des villes sans immeubles,

    des forêts sans arbres,

    des rivières sans eau...

    Que suis-je?

    ........................................................................................................................................................................................

    II

    Le pape en a un mais ne l'utilise pas. Ton père en a un et ta mère l'emploie. Les nonnes n'en ont pas besoin. Le mari de ton amie en a un aussi et ton amie l'a adopté.

    Qu'est-ce?