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Blog - Page 1753

  • L'Algérien ex-détenu de Guantanamo hospitalisé à Clamart

    L'Algérien Lakhdar Boumediene, ex-détenu de Guantanamo arrivé vendredi en France, se trouvait samedi à l'hôpital militaire Percy à Clamart, à l'ouest de Paris, a-t-on appris de sources militaires, une admission entourée de la plus grande discrétion.

    L'ex-détenu de 42 ans innocenté pa la justice américaine, affaibli par plus de sept ans d'emprisonnement et plus de deux ans de grève de la faim, avait atterri vendredi sur la base militaire d'Evreux (Eure), selon les mêmes sources.

    Lakhdar Boumediene, qui a voyagé dans un avion militaire américain, devait retrouver en France sa femme, Abassia Bouadjimi, et leurs deux filles, Radjaa, 13 ans, et Rahma, 8 ans, arrivées depuis peu d'Algérie où elles résidaient, selon l'avocat américain de l'ex-détenu, Robert Kirsch.

    Selon l'avocat, Lakhdar Boumediene devrait passer quelques jours à l'hôpital pour des examens.

    Il devrait ensuite rejoindre un appartement mis à sa disposition par le gouvernement français pour se réadapter à une vie normale.

    Le reste de la famille de l'ex-détenu résidant en France affirmait samedi quant à elle n'avoir aucune nouvelle de lui depuis plusieurs jours.

     "On n'a pas dormi de toute la nuit. On est de plus en plus stressé parce qu'on ne sait rien du tout", a déclaré à l'AFP sa belle-soeur, Louiza Baghdadi, qui vit à Nice avec ses cinq enfants dans un appartement où elle se dit disposée à accueillir son beau-frère.

    Mme Baghdadi, avec des larmes dans la voix, s'est dit certaine que son beau-frère "n'est pas bien".

    "Ce qui serait normal c'est que le gouvernement nous donne des informations, nous dise comment il est entré, comment il va, qu'on sache s'il va venir ou non habiter chez nous. Mais nous ne sommes au courant de rien", a-t-elle dit.

    L'hôpital d'instruction des armées Percy de Clamart (Hauts-de-Seine) est un hôpital polyvalent, d'une capacité de 426 lits, dont le personnel est composé majoritairement de militaires mais qui accueille principalement des patients civils. L'hôpital avait accueilli le président palestinien Yasser Arafat, qui y était mort en novembre 2004.

    AFP. 16/05/09

     

  • FÊTE DU LIVRE SOUS L'AQUEDUC

    affiche fete du livre.JPG
    (Cliquez sur l'image pour l'agrandir)
    Dimanche 17 mai, durant la matinée, les coureurs à pied se donneront rendez-vous à Ventabren pour la traditionnelle course pédestre. Mais dès midi, ils pourront se restaurer dans le parc du Château de Roquefavour et participer à la première fête du livre sous l’aqueduc qui regroupera une trentaine d’auteurs et éditeurs régionaux.

    Poursuivant sa volonté de promotion des auteurs régionaux et de présentation de son catalogue, la maison d’édition PROLEGOMENES, en partenariat avec le CRUSOE, organisera le dimanche 17 mai une fête du livre dans le cadre exceptionnel du Château de Roquefavour, à 10 minutes d’Aix-en-Provence, au pied même de l’Aqueduc de Roquefavour, plus grand aqueduc en pierre du monde, classé monument historique.

    CHÂTEAU DE ROQUEFAVOUR
    RD 65 -
    4642, route de Roquefavour
    13122 Ventabren

  • VIDEO Carla Bruni rencontre cinq lectrices de Femme Actuelle

    Quelques vues:  http://www.youtube.com/watch?v=BsQiKvr4EOo 

    Carla Bruni a accordé une interview d'une heure à 5 lectrices de Femme Actuelle.

     Pour le numéro de lundi prochain, Femme Actuelle a augmenté son tirage.


    Sur Le Post, Marie-Laure Zonszain, chef de rubrique actualité de Femme Actuelle, raconte les coulisses de l'interview.

    Carla Bruni-Sarkozy a-t-elle accepté rapidement votre invitation?
    "Quand Carla Bruni-Sarkozy est arrivée dans le paysage pipolitique français, nous nous sommes dit que nous pourrions l'interviewer dans le cadre de ces rendez-vous que nous organisons avec nos lectrices et différentes personnalités. Nous avions par ailleurs reçu Nicolas Sarkozy avant la présidentielle. Nous avions fait la demande et un jour son attachée de presse m'a rappelée et m'a dit que l'idée d'être interviewée par des lectrices lui plaisait beaucoup. En outre, elle lance sa fondation sur la culture et l'éducation, donc ça lui permettait d'en parler."

    Comment s'est passée la rencontre avec vos lectrices?
    "Très bien. Carla Bruni n'avait aucune exigence, elle ne s'est braquée sur rien et à répondu à toutes les questions. Nous avions rendez-vous vers 15h et nous sommes arrivées en avance pour nous préparer. Nous ne nous y attendions pas, mais Carla Bruni est arrivée elle aussi en avance, elle est venue nous dire bonjour et elle est restée tout le temps de la préparation avec nous. Ce moment a contribué à briser la glace. Elle a mis à l'aise nos lectrices tout de suite. Elle n'est vraiment pas conventionnelle!"

    Des moments ou des questions vous ont marquée?
    "Quand une lectrice lui a demandé si elle aimerait redevenir anonyme, elle a alors répondu "Je me déguise". Au départ, nous pensions que c'était une blague, mais elle nous a affirmé que c'était réellement le cas. On lui a demandé comment, car tout le monde la reconnaît. Elle nous a affirmé: 'Pour aller faire mes courses, je me déguise en mettant des lunettes, et je change ma voix'. Elle nous a donc fait entendre la voix qu'elle prenait!".

    Avez-vous vu Nicolas Sarkozy?
    "Oui! On ne s'y attendait pas, mais à un moment leurs deux chiens sont arrivés et on s'est demandé qui pouvait arriver, et c'était le Président! Nos lectrices étaient estomaquées! L'une d'entre elles ne s'est pas démontée: elle leur a dit: " Vous avez l'air très bien à deux!" Il n'est pas resté longtemps, cinq minutes environ. Ils avaient des gestes très affectueux, elle lui a même remis les sourcils!"

    Le Post- 15 mai 2009
    Comment peut-on être aussi BÊTES?


  • La France en récession depuis un an...

    Christine Lagarde 6 mai 09.jpg
    La France sombre mais elle résiste! - 6 mai 2009
    Carte la france en récession.jpg
    (Cliquez sur l'image pour la voir en totalité)

    La France se trouve depuis un an dans une récession profonde, caractérisée par un recul de l'activité de 1,2% au premier trimestre 2009, selon des chiffres officiels publiés vendredi, mais elle est sauvée du naufrage par la résistance de la consommation.

    L'Institut national de la statistique (Insee) a publié vendredi une série de chiffres qui montrent que la récession a commencé il y a un an. Il a révisé à la baisse les chiffres de croissance des trois trimestres précédents: -1,5% au quatrième trimestre 2008, -0,2% au troisième et -0,4% au deuxième.

    Même si elle traverse sa plus grave crise depuis le premier choc pétrolier de 1975, la France semble résister un peu mieux à la récession mondiale que ses principaux voisins. L'Allemagne a subi une chute de 3,8% de l'activité au premier trimestre, l'ensemble de la zone euro un recul de 2,5%.

    "La France résiste mieux, s'agissant de ce trimestre beaucoup mieux, que les autres pays de la zone euro", a commenté vendredi le Premier ministre François Fillon, en déplacement en Bretagne (ouest).

     "Le PIB de la France a reculé de 1,2% au 1er trimestre 2009. C'est énorme dans l'absolu, mais, au regard des standards internationaux, cette baisse est relativement limitée", a souligné Nicolas Bouzou, économiste au cabinet Astères.

    La France est, avec les Etats-Unis, le seul pays industrialisé où la consommation des ménages a progressé ces derniers mois. La hausse est certes modeste (0,2%), mais elle permet de sauver la face.

    Cette consommation des ménages est cependant très fragile et la flambée du chômage pourrait avoir raison dans les prochains mois de cette exception française au sein de l'Union européenne. Selon les chiffres publiés vendredi, 138.000 emplois ont été détruits dans le pays au premier trimestre.

    "Si la consommation venait à céder sous les coups de boutoir de la flambée du chômage, il serait alors possible que la récession se transforme en dépression", a mis en garde Alexander Law, économiste à l'institut Xerfi.

    Dans la foulée de la publication de ces chiffres, le gouvernement français a révisé à la baisse ses prévisions économiques officielles pour l'ensemble de l'année. Il table désormais sur une contraction de 3% du Produit intérieur brut (PIB) contre une précédente prévision de -1,5%.

    Toutefois, le gouvernement compte toujours sur "une reprise graduelle en 2010", a rappelé la ministre de l'Economie Christine Lagarde.

    AFP. 15/05/09

  • L'Arctique, dernière destination à la mode!

    Arctique touristes cherchant à voir un ours polaire.jpg
    Près du village de Ny-Aalesund en Norvège, des touristes cherchent à voir un ours polaire (26 avril 2009)
    (Cliquez sur la photo)
    Davantage que les ours blancs ou les blizzards, les touristes débarqués en masse par de gros navires polluants représentent la bête noire des scientifiques de l'Arctique, pourtant tributaires de cette manne pour pouvoir effectuer leurs travaux.
    A Ny-Aalesund, communauté isolée de chercheurs sur l'archipel norvégien du Svalbard (Spitzberg), les termes de l'équation sont connus mais, même pour de brillants cerveaux, la solution idoine semble difficile à trouver.

    "Plus de touristes, c'est plus d'argent mais aussi plus de pollution", explique Bendik Eithun Halgunset, conseiller scientifique de Kings Bay, la société qui gère le site, minuscule empreinte humaine posée entre fjord et montagnes.

    Certains jours d'été, il arrive qu'entre 2.000 et 3.000 visiteurs, appareils photo en bandoulière, envahissent pour quelques heures le paisible petit village où ne retentit généralement que le bruit des motoneiges.

    De quoi déborder la modeste population de scientifiques qui atteint tout au plus 180 personnes.

    "C'est un peu surréaliste. Tout d'un coup, il y a ici vingt fois plus de touristes que de chercheurs", confie Dorothea Schulze, une ingénieur allemande de l'Institut polaire norvégien.

    Chaque arrivée de bateau s'accompagne d'un pic d'émissions de CO2 qui affolent les fines mesures atmosphériques réalisées à Ny-Aalesund. En une journée, les paquebots peuvent polluer davantage que la centrale au diesel, qui fournit le village en électricité, en un an.

    "Les visiteurs eux-mêmes n'affectent pas directement les travaux scientifiques mais leurs navires polluent", témoigne Marcus Schumacher, directeur de l'institut de recherche franco-allemand Avipev, qui réalise notamment des études atmosphériques.

    "Nos données sont plus difficiles à interpréter", ajoute-t-il.

    Difficile aussi de garder un oeil sur ces hordes humaines strictement cantonnées dans l'enceinte du village en raison de la menace des ours polaires qui rôdent dans les parages, attirés par l'odeur des cadavres de phoques dont on nourrit les chiens.

    La venue des touristes, souvent des retraités venus des Etats-Unis ou de pays européens, laisse parfois des souvenirs mémorables.

    "Il est arrivé qu'ils nous donnent des pommes" croyant que le village est totalement coupé du reste du monde, explique M. Halgunset.

    "Ou bien ils nourrissent les renards polaires (ce qui les habitue à l'homme, ndlr), ou ils touchent des équipements valant des millions de dollars ou ils ramassent et emportent avec eux des vestiges", ajoute-t-il.

    A Ny-Aalesund, où tout le monde se connaît, on a perdu l'habitude de fermer les portes à clé. Ce qui n'est pas non plus sans poser problème.

    "Nous avons des visiteurs qui entrent dans nos chambres et qui prennent des photos", précise M. Halgunset.

    La manne touristique reste néanmoins indispensable, représentant une contribution de 4 à 5 millions sur un budget de fonctionnement annuel d'environ 37 millions de couronnes (4,3 millions d'euros), selon Kings Bay.

    "Cela permet de limiter le coût de séjour des scientifiques", confirme M. Schumacher de l'Avipev.

    Ne voulant pas apparaître comme des ermites dépensant l'argent des contribuables dans le secret des laboratoires, les chercheurs tiennent aussi à garder un lien avec le monde extérieur pour vulgariser leurs travaux.

    "Une solution serait peut-être d'interdire les gros paquebots et de n'accepter que les petits navires embarquant des passagers moins nombreux mais plus avides d'apprendre", estime M. Halgunset.

    "Mais le risque serait alors que les gros paquebots fassent escale dans d'autres endroits vulnérables du Svalbard où l'on n'aurait plus aucun contrôle sur eux", dit-il.

    AFP. 11/05/09
  • Un keffieh palestinien pour Benoît XVI

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    Au Vatican, le 22 avril 2009
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)
    Un groupe de jeunes Palestiniens, originaires de Bethléem, a offert un keffieh noir et blanc au pape Benoît XVI, qui a brièvement mis sur ses épaules ce symbole du peuple palestinien, mercredi à l'issue de l'audience générale place Saint-Pierre au Vatican.

    Un jeune homme et une jeune fille, membres d'une délégation de 27 pèlerins venus d'une paroisse de Bethléem, en Palestine, ont remis le grand foulard noir et blanc au pape lorsque celui-ci leur a serré la main.

    Benoît XVI se rendra en Jordanie et en Israël du 8 au 15 mai. Une étape est prévue à Bethléem le 13 mai.

    (Dépêche AFP - Blog  ACTU VUE PAR JSS)

    Le Vatican et la Ligue arabe ont signé jeudi 23 avril 2009 un accord de coopération politique et culturel "en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité régionale et internationale", a indiqué le Vatican.

    L'accord, qui entre en vigueur immédiatement, a été paraphé par le ministre des Affaires étrangères du Vatican, Mgr Dominique Mamberti, et le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a précisé le Vatican dans un communiqué.

    L'accord renforce "les liens de collaboration existants entre le Saint-Siège et la Ligue arabe, spécialement au niveau politique et culturel, en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité régionale et internationale", dit le Vatican.

    M. Moussa sera reçu vendredi après-midi par le pape Benoît XVI, a indiqué jeudi le père Federico Lombardi, porte-parole du Vatican.

    Cet accord a été signé peu avant le premier voyage du pape en Jordanie et en Israël du 8 au 15 mai. (belga/th)
     (7 sur 7 - 23/04/09)
  • Darcos envisage des portiques de détection des métaux, mais...

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    Le ministre Darcos le 15 mai devant le collège François-Mitterand à Fenouillet, dans la banlieue de Toulouse
    (Cliquez sur la photo)

    Le ministre de l'Education nationale Xavier Darcos, en visite au collège de Fenouillet (Haute-Garonne) où une enseignante à été grièvement poignardée vendredi, a envisagé l'installation de portiques de détection de métaux devant certains établissements.

    "Nous sommes en face d'un fait divers grave, face auquel il faut chercher des solutions, mais nous ne sommes pas en face d'un problème structurel", a déclaré M. Darcos après s'être entretenu avec les enseignants et les parents d'élèves du collège François Mitterrand.

    "Est-ce que nous sommes capables d'empêcher que des armes par destination puissent entrer dans les établissements?", a demandé M. Darcos.

    Il a a annoncé l'organisation mercredi d'une réunion des services du ministère "avec les responsables des établissements que sont les départements et les régions".

    Il s'agit, a-t-il dit, "d'examiner toutes les solutions possibles: on peut imaginer dans certains établissements des portiques, des systèmes de fouille. Nous verrons. Les collectivités territoriales estimeront peut-être que dans certains établissements, c'est une réponse possible".

    Il a par ailleurs annoncé que le recteur et l'inspecteur d'académie de Haute-Garonne reviendraient lundi au collège de Fenouillet pour faire "un diagnostic". Si "cet établissement n'a pas de difficultés particulières, il y a un public scolaire qui se dégrade un peu", a-t-il dit.

    "Cet établissement de 600 élèves est très bien doté. Vous ne réglerez pas avec un demi-poste de surveillant de plus le fait qu'un enfant de 13 ans arrive avec un couteau pour frapper un professeur alors qu'on n'a aucun signalement de violence", a-t-il souligné.

    AFP. 15/05/09

    Cet élève de 13 ans a beaucoup de force et une certaine expérience des couteaux, semble-t-il...

     

  • Un collégien de 13 ans poignarde sa prof

    I - Un élève de 13 ans a agressé vendredi matin sa professeure, la blessant légèrement d'un coup de couteau, dans une salle de classe du collège François-Mitterrand à Fenouillet, près de Toulouse, a-t-on appris auprès de l'inspecteur d'académie du département.

      Le collégien, en classe de 5e, "avait été puni la veille et a attendu que l'enseignante soit dans sa classe ce matin (vendredi 15 mai) pour lui donner un coup de couteau de cuisine" au torse, a dit à l'AFP l'inspecteur d'académie, Jean-Louis Baglan, qui s'est rendu sur place.

    L'enseignante, âgée de 32 ans, professeur de mathématiques en poste depuis 3 ans à Fenouillet, "souffre d'une plaie superficielle et a été soignée par le Samu" avant d'être conduite à l'hôpital Rangueil de Toulouse, a ajouté M. Baglan, précisant que "les poumons n'ont pas du tout été touchés".

    L'élève n'est pas "spécialement connu pour des problèmes de comportement", a dit M. Baglan, précisant que l'établissement scolaire de Fenouillet était considéré comme "un collège tranquille" de la banlieue de Toulouse.

    Selon les premiers éléments de l'enquête, la punition infligée jeudi au collégien de 13 ans par sa professeure était "liée à son travail en classe, pour un corrigé de devoir non rendu", a dit l'inspecteur.

    "Cet enfant, d'un milieu modeste, avait quelques difficultés d'apprentissage mais n'était pas repéré comme un enfant violent", a indiqué de son côté le principal du collège, Serge Blanc.

    Le collégien a été entendu par les gendarmes puis "remis à la brigade des mineurs de la gendarmerie", a précisé le principal.

    AFP. 15/05/09

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    2 - L'enseignante blessée d'un coup de couteau vendredi matin par un élève de 13 ans dans un collège de Fenouillet (Haute-Garonne) a été opérée dans la journée pour une hémorragie interne mais ses jours ne sont pas en danger, a-t-on appris auprès du rectorat de Toulouse.

      Le premier diagnostic de la blessure de l'enseignante, Véronique Adès, professeur de mathématiques de 32 ans, faisait état vendredi matin d'une "plaie superficielle". "Après les premières constatations du Samu, des investigations complémentaires à l'hôpital de Toulouse-Rangueil ont révélé une hémorragie interne d'une artère du thorax", a déclaré à l'AFP Michel-Paul Montredon, porte-parole du recteur de l'académie de Toulouse.

    L'enseignante blessée, a ajouté le porte-parole, se trouvait en fin d'après-midi en salle de réveil après son opération à l'hôpital de Rangueil.

    "Le pronostic vital n'est pas engagé mais les blessures sont plus importantes que le diagnostic initial", a souligné M. Montredon, présent sur place au collège de Fenouillet où le ministre de l'Education était attendu en fin d'après-midi.

    "Le ministre (Xavier Darcos) envisageait de lui rendre visite mais tout cela reste conditionné à l'aval du corps médical", a indiqué M. Montredon.

    AFP. 15/05/09

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    Le collège François-Mitterrand à Fenouillet le 15 mai 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
  • Plainte déposée contre le Pape "coupable de recel" dans les caves du Vatican

    “Itamar Ben Gvir et Baroukh Marzel, militants du « Ihoud Leoumi » ont annoncé leur intention de porter plainte contre le Pape Benoît XVI, en tant que responsable de l’Eglise, « pour les objets du Temple volés par les Romains lors de la destruction du deuxième Temple et qui seraient encore conservés aujourd’hui dans les caves du Vatican ».


    Dans la lettre qu’ils présenteront au Tribunal de Paix du District de Jérusalem, est mentionnée toute une série d’objets et d’ustensiles du Temple, et parmi eux la célèbre Menorah à 7 branches (Candélabre), la Table des Pains de Proposition, l’Autel des Encens, l’Autel en or des sacrifices etc. A noter qu’il ne s’agit pas là d’une initiative due à un petit groupe d’activistes politiques. Sur la lettre de plainte, ont signé d’éminentes personnalités religieuses, et rien moins que les deux Grands Rabbins d’Israël, Rav Shlomo Amar et Rav Yona Metzger, ainsi que le Rav Israël Ariel, Directeur de l’Institut du Temple.


    Les requérants affirment détenir des documents qui attesteraient que ces objets, ou une partie d’entre eux au moins, sont secrètement conservés depuis l’époque dans les fameuses caves du Vatican. Mais la liste ne s’arrête pas là. Ben Gvir et Marzel prétendent que le Vatican détient également près de 7500 ouvrages de la littérature religieuse juive, tels des exemplaires du Talmud, de l’œuvre de Maïmonide et des ouvrages de philosophie juive. Ils affirment qu’une partie de ces livres a même été exposée à plusieurs reprises dans des expositions internationales.


    Pour Ben Gvir et Marzel, « le Pape, ainsi que d’autres hautes personnalités du Vatican sont tout simplement coupables de recel, et doivent remettre au Peuple juif le patrimoine qui lui a été volé ».


    En plus de la plainte portée contre la Pape, Ben Gvir et Marzel veulent obtenir une interdiction de sortie du territoire à l’encontre de Benoît XVI jusqu’à ce que les Tribunaux aient prononcé leur verdict sur cette question !


    Ces requêtes n’ont aucune chance d’être acceptées, car elles touchent à des domaines trop sensibles des relations internationales, et judéo-chrétiennes en particulier. Mais elles ont le mérite d’avoir été déposées, au moment où le représentant de l’Eglise Catholique, qui a un passif si lourd envers le peuple juif, se rend en Israël avec toute une série de revendications concernant des biens que l’Eglise demande à Israël de lui céder, notamment dans le domaine foncier.”
    __________________

    *Article extrait du journal israélien Actu.co.il

  • L'Annonciation - Pèlerins à Nazareth

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    L'Annonciation - Fra Angelico (vers 1430)
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)
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    Nazareth - 14 mai 2009

  • Le chat "Hitler"

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    (Photo non retouchée)

  • Le Parlement italien criminalise l'immigration clandestine

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    Le gouvernement de droite de Silvio Berlusconi a remporté mercredi 13 mai un vote de confiance du Parlement sur un projet de loi controversé instaurant un tour de vis dans la lutte contre l'immigration clandestine, qui devient désormais un délit passible d'une importante amende.

    316 députés ont voté pour et 258 contre ce texte, alors que l'Italie est critiquée en Europe pour avoir refoulé à deux reprises ces derniers jours des embarcations chargées de clandestins vers la Libye, sans même offrir la possibilité aux candidats à l'entrée sur son territoire de déposer une demande "d'asile politique".

    Le projet de loi prévoit ainsi que l'entrée ou le séjour illégaux sur le territoire italien deviennent un délit et soient passibles d'une amende de 5 000 à 10 000 euros.

    Le séjour des immigrés clandestins dans les centres d'identification et d'expulsion passe de deux à six mois tandis que les personnes louant un logement aux clandestins ou les hébergeant risquent jusqu'à trois ans de prison.

    Les mesures de lutte contre l'immigration font partie d'un projet de loi plus vaste, sur la sécurité en général, prévoyant deux autres votes de confiance, sur la microcriminalité dans les villes et la lutte contre la mafia. Le document devra ensuite passer au Sénat qui doit le voter dans les mêmes termes pour qu'il entre en vigueur.

    Les autres mesures de cette loi controversée et à laquelle même certains élus de droite étaient opposés, raison pour laquelle le gouvernement a dû demander un vote de confiance, prévoient, entre autres, un «registre des sans-abri» qui seront fichés par le ministère de l'Intérieur.

    Le Figaro - 14 mai 2009

    VIVA ITALIA !

  • Dieudonné a déposé sa liste anti-sioniste au ministère de l'Intérieur

    Dieudonné a déposé mercredi au ministère de l'Intérieur son unique liste "anti-sioniste" pour les européennes du 7 juin en Ile-de-France.

    "Tout le monde a bien compris que la politique actuelle était paralysée par une mafia. Nous sommes là pour libérer la France de cette mafia. Donc nous irons jusqu'au bout de ce combat", a déclaré Dieudonné.

    "Je crois que notre combat est important ici, indispensable. C'est pour cela que nous le mènerons jusqu'au bout. Nous avons d'ores et déjà gagné de toute façon", a-t-il dit.

    Dieudonné était venu avec les principaux membres de sa liste à bord d'un bus avec lequel ils entendent mener campagne. Leur véhicule a été stoppé par la police à quelques centaines de mètres du ministère de l'Intérieur, qu'ils ont finalement rejoint à pied.

    Lui et ses partisans estiment avoir déjà atteint leur objectif, notamment médiatique, après la polémique déclenchée par le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, qui a évoqué la possibilité de faire interdire la liste de Dieudonné, qu'il a qualifiée "d'antisémite".

    "Aujourd'hui beaucoup de gens qui n'ont jamais fait l'effort de prendre leur carte d'électeur, pensent que les élections ne servent à rien. Ce sont des jeunes. On a un gros potentiel et ce n'est pas "one shot". On ne va pas s'arrêter aux européennes. Ce n'est que le début du combat. Nous sommes entrés en résistance", a de son côté déclaré l'essayiste polémiste et ex-membre du Front national Alain Soral.

     AFP. 13/05/09

  • Le Pape face au cri des enfants du camp d'Aïda, à Bethléem

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    Grillages, barbelés, mirador et mur de séparation - 13 mai 2009
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    Enfants du camp d'Aïda - 13 mai 2009
    Au pied du mur de séparation, Benoît XVI a passé une heure mercredi 13 mai au coeur du camp de réfugiés palestiniens d’Aïda. À cette occasion, le président Abbas a lancé un appel direct aux Israéliens pour la paix

    Sofia a 16 ans, de grands yeux verts. Pour l’occasion, elle a mis une magnifique robe traditionnelle palestinienne, rouge et or. Sofia danse devant Benoît XVI, dans la cour de l’école des Nations unies. Que voudrait dire au Pape cette jeune Palestinienne, née ici, dans le camp d’Aïda ?

    « Que nous sommes des enfants, et que nous voulons avoir la même vie que les enfants du monde entier. » Sofia regarde ensuite le mur, construit par les Israéliens, qui se dresse, avec son imposant mirador, à quelques mètres de l’école qui accueille le pape. Cette école qui accueille Benoît XVI se trouve tout près du check-point. Plusieurs fois détruite, elle est devenue l’un des endroits les plus dangereux du camp.

    Sofia ne connaît pas la terre de sa famille, en Israël, de l’autre côté de Jérusalem : « Je ne peux pas y aller. Je veux être journaliste, pour pouvoir raconter », affirme-t-elle avec ses grands yeux décidés. Son amie préférerait, elle, devenir ingénieur : « Oui, pour construire des maisons. »

    « Nous voulons leur montrer qu’il y a un avenir possible, explique Mokacem, leur maître de danse, que l’on peut sortir des idées toutes faites sur la violence et l’horreur. » La musique mélange Beethoven, puis le son du muezzin et des battements de cloche : « Pour montrer que nous pouvons vivre ensemble, musulmans et chrétiens. »

    Devant le pape, les jeunes danseurs virevoltent, portant au-dessus de leurs têtes des clés géantes, symboles, pour les réfugiés, des maisons perdues. La famille de Mokacem est dans l’autre camp, celui de Deiheisha, où Jean-Paul II s’est rendu en 2000.

    « La visite du Pape, les vieux nous en ont parlé pendant longtemps, c’est important », explique le jeune homme, musulman comme tous les habitants du camp. Mokacem n’attend rien de « magique » de la venue de Benoît XVI. Simplement, le geste lui fait plaisir : « Un homme aussi grand dans la religion, qui prend de son temps pour venir nous voir, c’est une marque de respect et une chance, on lui montre un peu de notre vie et de ce que l’on est. »

    À quelques mètres de là, tout contre le mur, Sofia montre l’emplacement de la première estrade, celle que les responsables du camp avaient d’abord prévue pour le pape, et qu’ils ont dû enlever, à la demande des Israéliens, car elle était trop "collée" au mur... L’emplacement est cependant resté, symbolique, avec ces quelques mots « Welcome Pope in Aida camp ».


    Les témoignages se succèdent devant le pape, dans ce pauvre décor, détaillant les difficultés de la vie au camp. Benoît XVI écoute, attentif, touché. Entre deux saynètes avec des enfants, un responsable cite le poète Mahmoud Darwich : « Nous ne voulons plus être des victimes, mais seulement des gens ordinaires. »

    Des ballons noirs, portant le nom des villages rasés en 1948 à la création de l’État d’Israël, sont lâchés. Abirtad, une croix autour du cou, brandit le portrait de son mari, Fadi, 29 ans, arrêté par l’armée israélienne il y a trois mois. « Nous ne savons même pas quelles sont les charges retenues contre lui. Peut-être que le pape peut nous aider », veut-elle croire. Puis Benoît XVI a échangé quelques mots avec deux familles de prisonniers palestiniens...
    Isabelle DE GAULMYN et Karim LEBHOUR, à Bethléem


    La-Croix.com - 13 mai 2009
    En cage comme des animaux...

  • "Welcome Pope in Aida Camp"

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    Dans le camp de Aïda - 13 mai 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    A Aïda, Benoît XVI a parlé dans la cour d'une école dominée par un tronçon en béton, haut de huit mètres, de la "barrière de séparation" qui empiète sur les terres palestiniennes...

    Après avoir vu la "barrière de séparation" de près, il a affirmé avant de quitter Bethléem que les murs "peuvent être abattus".

    "Il est d'abord nécessaire d'ôter les murs construits autour de nos coeurs, les barrières érigées contre nos voisins" a insisté le Pape, qui "attend ardemment de voir se réaliser la paix et la réconciliation dans ces terres tourmentées".

    Quelque 4.600 réfugiés, originaires de 43 villages rasés par les forces israéliennes lors de la création de l'Etat hébreu en 1948, s'entassent dans le camp d'Aïda.

    AFP. 13/05/09

  • L'enquête sur le meurtre de Jonathan Coulom (10 ans et demi) est relancée

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    L'étang de Porte-Calon où été retrouvé le corps de Jonathan - le manoir de Porte-Calon a été aménagé en logements et galerie d'art 

    Depuis plus de cinq ans, l’enquête sur l’enlèvement et le meurtre de Jonathan Coulom, 10 ans et demi, est dans l’impasse. Le petit garçon avait disparu dans la nuit du 6 au 7 avril 2004 d’un centre de vacances de Saint-Brévin-les-Pins où il séjournait pendant une classe de mer.

     

    Son corps entravé et lesté d’un parpaing avait été retrouvé dans un étang le 19 mai 2004 à Guérande.


    Récemment, la juge d’instruction du tribunal de Saint-Nazaire, Aline Bironneau, s’est rendue en Allemagne avec des enquêteurs gendarmes. La piste d’un tueur en série allemand avait déjà été évoquée avant d’être écartée, elle est de nouveau d’actualité. Un nouveau témoignage recueilli sur le site Internet ouvert l’an dernier accrédite la thèse de la présence d’une berline avec des plaques d’immatriculation d’outre-Rhin à proximité du manoir de Porte-Calon, à Guérande, au moment des faits.

    Ils sont toujours onze gendarmes à enquêter sur le meurtre de Jonathan. Officiellement, ce déplacement ces jours derniers de la juge et des enquêteurs fait partie des « échanges réguliers pour faire le point » avec les officiers du bureau de la police criminelle allemande, qui avaient alerté leurs homologues français à l’époque sur des similitudes entre l’affaire Jonathan et un tueur d’enfants en Allemagne.
    Un tueur qui sévit depuis les années 1990 et pénètre à chaque fois dans des lieux clos, comme des internats, des centres de vacances ou des campings pour enlever de jeunes garçons avant de les abuser. Un homme qui a déjà tué au moins à quatre reprises dans son pays. Un homme prudent utilisant toujours gants et masque, qui a commis ses crimes lors des congés scolaires. Le déplacement de la juge a été l’occasion de « rencontrer les autorités judiciaires locales », confirme la gendarmerie.

    La date de la mort était erronée

    « Cette piste allemande n’a jamais été abandonnée », insiste encore la gendarmerie qui travaille aussi « sur le tueur de proximité ». Car pour dissimuler le corps dans l’étang du manoir de Guérande, il faut bien connaître les lieux, car cette pièce d’eau n’est pas visible de la route. Le corps du petit Jonathan y avait été retrouvé entravé de liens pouvant laisser penser qu’il s’agissait de noeuds marins. La région regorge de ports de pêche ou de professionnels de la mer. Des noeuds sans doute réalisés par un gaucher d’après les experts.
    Mais surtout, les gendarmes de la cellule "Jonathan" ont dû reprendre presque de zéro le travail d’enquête initial, car il était fondé sur une chronologie erronée de la mort de l’enfant. Jonathan aurait été tué bien plus tôt que ce que les premières expertises avaient révélé, laissant entendre que le petit garçon avait été séquestré pendant plusieurs semaines.
    Le parisien.fr - 10 mai 2009
    Un tueur isolé ou un réseau pédophile bien protégé?

     

  • Benoît XVI: sa biographie en images

    http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Dossiers/pape/slideshow/BenoitXVI/index.shtml 

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    Joseph Ratzinger âgé de cinq ans (1932)
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    Avec son frère Georg (g) lors de leur ordination le 29 juin 1951 à Freising (Bavière)
  • Pêcheurs du soir aux Lecques

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    Plage des Lecques (Var) - 11 mai 2009
    (Photo EB)
    Cliquez sur la photo pour l'agrandir

  • Découverte exceptionelle d'un papyrus hébraïque vieux de 2000 ans

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    Cette découverte a été rendue possible grâce à une opération spéciale de l’office de répression de la contrebande d’antiquités de l’Autorité Nationale des Antiquités avec le concours d’une unité de commandos de la Police des frontières.

    Il s’agit d’un document très ancien, écrit sur un parchemin de type papyrus, en caractères hébraïques antiques propres à l’époque du Second Temple. Ce style très caractéristique d’hébreu primitif a été identifié principalement sur les Manuscrits de la mer Morte. Le papyrus n’est pas entier. Il a sans doute été roulé pendant de très longues années et conservé dans des conditions inadéquates ce qui a entraîné l’érosion de sa partie extérieure. La partie qui a été sauvée est d’une dimension de 15 sur 15 centimètres. Le texte qui en résulte est composé d’une quinzaine de lignes, écrites de droite à gauche. La première ligne est particulièrement claire. On peut y décrypter l’inscription suivante : « l’an 4 après la destruction de la Maison d’Israël ». Cette référence permet de supposer qu’il s’agit sans doute de l’an 74 de l’ère chrétienne si l’auteur de ces lignes évoquait la destruction du Second Temple de Jérusalem par Titus en 70.

    Une autre éventualité serait que la référence soit celle de l’écrasement de la Révolte de Bar Kohba dans le désert de Judée, à Massada quelques années plus tard, en l’an 135, ce qui daterait ce papyrus de l’an 139. On peut par la suite déceler le nom d’une femme, Myriam fille de Jacob ainsi que le nom Massalav, qui semble être le nom de son lieu de résidence. Il s’agit sans doute de la localité antique de Salavim. D’autres noms propres – prénoms et noms de famille apparaissent par la suite dans ce manuscrit qui semble être un document juridique traitant de la renonciation d’une veuve sur certains de ses biens.

    Amir Ganor, le chef l’office de répression de la contrebande d’antiquités de l’Autorité Nationale des Antiquités d’Israël a déclaré que cette découverte revêtait une importance nationale, scientifique et historique.

    Il s’agit en effet de la première fois qu’un document fait expressément référence à la destruction du Royaume d’Israël au début de l’ère chrétienne par l’Empire romain. « Nous sommes en présence d’un témoignage rare de la présence du peuple d’Israël sur sa terre il y a deux mille ans avant qu’il ne se soit dispersé pour un long exil jusqu’à sa rédemption avec la création de l’Etat d’Israël » a-t-il déclaré.

     L'écho d'Israël  09/05/09- Source : Ambassade d’Israël à Paris