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Blog - Page 1770

  • Une retraite dorée pour Daniel Bouton

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    Après le scandale de l'affaire Kerviel, après les stock-options attribués puis finalement abandonnés, le président de la Société générale Daniel Bouton est au coeur d'une nouvelle polémique qui concerne cette fois le montant de sa prochaine retraite. 

    Daniel Bouton pourrait voir sa retraite s'élever à près d'un million d'euros par an quand il cessera son activité.

    C'est le site internet de l'hebdomadaire l'Express qui révèle ce chiffre s'appuyant sur le  «document de référence 2009» déposé auprès de l'AMF (Autorité des marchés financiers) et  le rapport 2008 du groupe transmis à l'Autorité des marchés financiers.

     

    Cette somme correspondrait à la fois au montant des pensions attribuées au titre de mandataire social et à celles du régime surcomplémentaire de retraite dont il bénéficie. 

    Selon le document de référence, «le montant total des sommes provisionnées ou constatées par la Société générale au 31 décembre 2008 (...) aux fins de versement de pensions, retraites ou autres avantages à des mandataires sociaux de la Société générale (Daniel Bouton, Frédéric Oudea, Séverin Cabannes, Didier Alix et deux administrateurs indépendants) s'élève à 32,93 millions d'euros».

    «La Société générale ne fournit pas le détail, mais cela représente en moyenne 5,5 millions pour chacun d'entre eux», ajoute l'Express.fr.

    «La banque a pris pour hypothèse le versement d'une pension pendant 23 ans, ce qui permet de calculer le montant moyen de la retraite» de chacun, soit «240.000 euros par an».

    M. Bouton a par ailleurs conservé ses droits au régime surcomplémentaire de la retraite des cadres, selon l'Express.fr. Or, «à la date du 12 mai 2008, M. Bouton avait ainsi acquis des droits à pension à la charge de la Société représentant 58,2% de sa rémunération au titre de 2007», laquelle s'élevait à 1.250.000 euros, indique le document de référence 2009.

    Ces droits représentent donc une somme de 727.500 euros, qui s'ajoute aux 240.000 euros.

    Le parisien - 31.03.09

  • S'est-il pendu tout seul par accident? Une hypothèse mais pas de preuve

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    Aire de jeux du foyer Alizé de Pamfou- Les DEUX poignées de la corde se seraient coincées entre des lattes de bois... On voit mal où et comment...
     

    Une aire de jeux nichée au milieu des arbres, au coeur d’un village du sud de la Seine-et-Marne. C’est dans ce cadre paisible que s’est déroulé un tragique accident, hier après-midi. Vers 14 h 15, un garçon de 7 ans de la maison d’enfants Alizé, à Pamfou, près de Melun, a été retrouvé pendu sur un toboggan dans le jardin de ce foyer qui accueille des enfants de 5 à 12 ans, placés par la Direction des affaires sanitaires et sociales (Ddass).


    « Lorsque l’éducateur l’a aperçu, il était inerte »


    Le garçonnet était en train de jouer, une corde à sauter enroulée autour du cou, lorsqu’il s’est élancé du haut du toboggan. Les deux poignées de la corde se sont coincées entre deux lattes en bois qui encadrent le haut du toboggan. L’enfant est resté pendu jusqu’à ce qu’on le découvre, inanimé. « Il s’est probablement rompu les cervicales au niveau de la nuque », avançait hier soir un magistrat du parquet de Melun.
    Des enfants et un adulte étaient présents sur l’aire de jeux au moment du drame, mais aucun ne l’aurait vu glisser sur le toboggan, la corde autour du cou. « Lorsque l’éducateur l’a aperçu, il était déjà inerte », confirme le parquet.
     
     Immédiatement, les éducateurs du foyer ont tenté de réanimer le garçon en lui donnant les premiers secours, relayés quelques minutes plus tard par les sapeurs-pompiers. En vain.
    « Les enfants ayant assisté à la scène ont pris en charge par une cellule psychologique », indique le conseil général de Seine-et-Marne, qui finance en partie ce foyer. « Nous avons expliqué à tous les enfants ce qui s’est passé », souligne Céline Dugast, directrice adjointe par intérim de la maison d’enfants.
    Les éducateurs et les témoins qui ont découvert l’enfant ont été entendus par les enquêteurs. Hier soir, les parents de la jeune victime devaient être entendus par la brigade de recherches de la gendarmerie de Melun. « Les gendarmes devront déterminer si un défaut de surveillance a eu lieu », précise le parquet.

    Un défaut de surveillance présumé est également au coeur d’une enquête sur un précédent drame ayant endeuillé, le 19 septembre dernier, un autre foyer Alizé. Ce matin-là, une puéricultrice du foyer de l’enfance de Rubelles, près de Melun, découvrait le corps sans vie d’Abdel, 7 mois. Le bébé avait le visage ensanglanté et présentait deux bosses, l’une au niveau du front, l’autre sur la partie basse du crâne.
    Après avoir entendu le personnel de l’établissement, les enquêteurs ont fini par apprendre qu’un garçonnet turbulent avait été vu près du berceau, peu avant la découverte du drame. Toutes les pistes convergent vers un enfant de 5 ans, lui aussi pensionnaire du foyer. Malgré un profil violent et agressif, il n’aurait pas fait l’objet d’une surveillance particulière. L’instruction judiciaire est toujours en cours.
     
    Le parisien -30 mars 2009

     

  • De l'air pur!

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    Plage de Saint-Cyr-Les Lecques (Var) - au fond, la Madrague et la Pointe Grenier -23 mars 2009
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    Le Bec de l'Aigle de la Ciotat vu des Lecques - 23 mars 2009
    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

  • La ruée vers l'or noir du pôle Nord - Quand le "réchauffement du climat" génère une autre pollution...

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    La station de Val Gamburtseva
    Les écologistes se tiennent cois... L'argent leur ferme le bec...

  • Marine Le Pen se désolidarise de son père au sujet du "détail"

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    Selon la vice-présidente du Front national, les chambres à gaz ne sont pas un "détail" de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale.

    « Non, je ne pense pas que cela soit un détail de l’histoire », a-t-elle déclaré vendredi 27 mars sur France 5, lors de l’enregistrement de l’émission Ripostes, qui sera diffusée dimanche.

    Mercredi, Jean-Marie Le Pen avait soutenu, devant le Parlement européen, que les chambres à gaz constituaient "un détail" de la Seconde Guerre mondiale, réitérant des propos qui lui avaient déjà valu une condamnation judiciaire, et provoquant un véritable tollé dans l’enceinte strasbourgeoise.

    Celle qui aspire à la succession de son père à la tête du FN, et qui semble vouloir "dédiaboliser" son mouvement a insisté pour marquer sa différence : « Je dis ce que j’ai toujours dit : je ne partage pas sur ces événements la même vision que mon père ». Toutefois, Marine Le Pen précise que « Jean-Marie Le Pen n’a jamais nié aucun des événements de la seconde guerre mondiale » et voudrait simplement que l’on donne la même importance à toutes les victimes de la guerre. Il « ne nie pas, ni la réalité du génocide juif, ni l’ensemble des événements de la seconde guerre mondiale », a-t-elle martelé.

    « La spécificité de la Shoah en a fait un symbole de la seconde guerre mondiale. Lui, pupille de la nation, cherche en réalité à élargir la mémoire collective à l’ensemble des victimes. Il le fait sûrement de manière maladroite », ajoute-t-elle.
    Source: AgoraVox -28 mars 2009

  • Un home-jacking qui finit bien: il tire sur un des cambrioleurs et le tue

    Une fois n’est pas coutume, un home jacking finit bien. Dans le cas présent, la victime légalement armée a protégé les siens en tirant sur les malfrats.

    La morale de cette histoire: quand on est armé chez soi, on peut s’éviter le tabassage et le viol (Castres), ou encore l’incendie de sa maison (Oignies).

    Hier après-midi, vers 14 heures, dans la zone artisanale de la Vignerolles à Pélissanne, dans le pays salonais, quatre hommes cagoulés, gantés et armés se sont introduits dans une maison où se trouvaient deux couples.

    Les quatre victimes ont été braquées, ligotées et baîllonnées comme c’est souvent le cas lors d’un “home jacking”. Le propriétaire, âgé d’une soixantaine d’années, aurait réussi à défaire ses liens. Il se serait alors muni d’un fusil de chasse, un calibre 16, et aurait tiré sur un des agresseurs, âgé d’une trentaine d’années, le tuant sur le coup. Il aurait également blessé un deuxième homme.

    Les trois cambrioleurs ont aussitôt pris la fuite, laissant leur auto sur place. Ils se seraient précipités à l’extérieur et auraient arrêté un véhicule conduit par une femme, circulant non loin de là. Ils se sont ensuite enfuis avec l’automobile volée. Dans l’après-midi, un homme blessé par balle a été amené au centre hospitalier de Salon-de-Provence. La brigade de recherche de la gendarmerie de Salon, appuyée par la section de recherche de Marseille, est en charge de l’affaire. Hier soir, elle n’était pas encore en mesure de dire s’il s’agissait de l’un des trois braqueurs.

    Quant aux victimes, elles ont été longuement entendues hier pour mettre en lumière les circonstances du drame...

    Après avoir recueilli les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un vol à main armée qui aurait dégénéré. Les quatre voleurs auraient été surpris de voir autant de monde dans la maison et auraient alors paniqué. En fin de journée, la gendarmerie était encore présente sur le lieu de l’homicide pour recueillir des indices et prélever toutes traces susceptibles de faire avancer l’enquête.

    Quant au maire, Pascal Montécot, il se disait hier soir “navré que de tels actes se produisent sur la commune. On fait tout pour éviter ce genre de tragédie mais parfois certaines affaires nous dépassent. Je tiens à souligner la grande réactivité des gendarmes, présents très rapidement sur les lieux du drame.”

    Ami-France - 29.03.09

  • A Marseille, le carnaval "Pile ou Face"!

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    Le Carnaval de Marseille aura lieu cette année le 4 avril à 14h30 au Rond Point du Prado, avec les 8 mairies de secteur et plus de 4000 participants attendus autour du thème Pile et Face.

    Le carnaval est devenu un événement incontournable de la Ville de Marseille. Il rassemble chaque année près de 100 000 spectateurs dans une ambiance festive et colorée !

    Pour sa 20ème édition, le thème du carnaval sera Pile et Face. Un jeu auquel se prête avec passion les 8 compagnies qui pilotent chacune un secteur. Tous les arrondissements mettent la main à la pâte pour nous concocter un événement grandiose. 6 à 9 mois de préparations ont été nécessaires à la création de cette oeuvre collective. Compagnies, associations, maisons de quartiers, écoles, centres aérés, collectifs... vous donnent à voir le côté Pile et le côté Face de ce carnaval. Au total c'est près de 4 000 carnavaliers qui défileront tout au long du Prado entraînés par les performances rythmiques de la Battu-Kassaw de 250 percussionnistes non-valides et valides de l'association Carnapa.

    Chaque secteur a préparé son cortège avec son propre thème : Jeux, terre et mer, il était une fois, énergie bio... seront représentés, dansés, déguisés pendant une heure avant de rejoindre le Parc Borély pour le grand final. Dans ce parc à la française, le public pourra assister à la construction chorégraphiée d'un gigantesque Totem et découvrir deux spectacles différents sur une même musique. Une scène ouverte sera également mise à disposition des secteurs pour servir de vitrine et de lieu d'expression aux artistes de leurs quartiers.

    Jazz, chant lyrique, musique orientale, slam, charleston, hip hop... le carnaval de Marseille c'est avant tout une opération collective représentant la diversité de notre ville !

    Fréquence Sud.fr

  • Xavier Darcos se joint à la meute pour cracher sur le Pape

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    Obéissant à ses maîtres...
    Soucieux de redorer son blason ministériel terni par son incompétence personnelle, Xavier Darcos le politicien qui sert de ministre de l’Education est venu, à son tour, cracher son petit venin frelaté contre le pape.

    “Aller dire en Afrique qu’il ne faut pas utiliser le préservatif, c’est criminel.” a-t-il cru bon d’affirmer arguant de sa position d’ancien ministre du développement pour usurper une prétendue compétence scientifique sur le sujet.

    Aucun commentateur n’a osé faire remarquer que si le pape a choisi l’Afrique pour dénoncer le mythe du danger zéro avec le préservatif, c’est parce que le préservatif exige un niveau d’hygiène et de connaissance du virus pour être réellement efficace.

    L’Eglise, qui est très présente en Afrique pour lutter contre l’épidémie meurtrière, sait par expérience que la méconnaissance d’une utilisation unique, de l’impossibilité de le laver ou la nécessité d’une hygiène parfaite fait des ravages.

    Sans parler de ceux qui peuvent croire que “le préservatif évite le sida” parce ce serait une sorte de talisman qu’il faut avoir sur soi ou garder précieusement dans la chambre.

    La question que pose cette affaire est en réalité d’une autre nature.


    Visiblement tous les ministres du gouvernement Sarközy se relayent, comme s’ils s’étaient donné le mot, pour médire contre le Souverain pontife.

    Obéiraient-ils à une consigne ? Et si oui, d’où pourrait-elle venir?

    AMI-France- 29 mars 2009

  • Un gosse de 7 ans retrouvé pendu sur un tobbogan...

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    Un enfant de 7 ans a été retrouvé pendu sur un toboggan sur lequel il jouait, dimanche en début d'après-midi, au Foyer Alizé de Pamfou (Seine-et-Marne).

    Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame s'est produit «vers 14 h 15», lorsque l'enfant qui jouait avec d'autres a grimpé sur un toboggan, «avec une corde à sauter autour du cou».

    Les poignées de la corde à sauter sont restées «coincées entre deux lattes en haut» au moment où il glissait sur le toboggan. L'enfant s'est débattu avant de trouver la mort. L'intervention des pompiers n'a pas pu le sauver.

     


    Cette mort tragique serait, selon une source judiciaire, «totalement accidentelle».

    Les éducateurs, ainsi que des témoins de la scène «choqués», étaient toujours entendus par les enquêteurs en fin d'après-midi. La direction du Foyer Alizeé, un établissement public départemental qui accueille des enfants mineurs placés sur décision de justice, devait l'être un peu plus tard. 

    Joints par l'AFP, les responsables du foyer n'ont pas souhaité faire de commentaire. Les parents seront également entendus.

    L'enquête, confiée à la brigade de recherches la gendarmerie de Melun, dira si «on peut évoquer un défaut de surveillance» dans ce «malheureux accident», mais aucune plainte n'avait été déposée a priori dimanche en début de soirée.

     Leparisien.fr avec AFP -29 mars 2009

    Que d'enfants  qui meurent à cause de la négligence ou de la sottise des adultes chargés de les surveiller...

  • Oui-oui à 95,2%! Sarközy est bien content!

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    A Mayotte le 29 mars 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en intégralité)

    Nicolas Sarközy a exprimé dimanche sa "satisfaction" de voir le oui l'emporter à Mayotte au référendum sur l'accession de l'île au statut de département français, estimant qu'il s'agissait "d'un moment historique pour Mayotte et les Mahorais".

     

    "Le président de la République a pris connaissance avec satisfaction des premiers résultats de la consultation organisée à Mayotte sur le changement de statut. Tout semble indiquer que les Mahorais ont confirmé à une très forte majorité leur volonté, exprimée depuis cinquante ans, de voir leur île se doter du statut de département", selon un communiqué diffusé par l'Elysée.

    Pour le chef de l'Etat "c'est un moment historique pour Mayotte et pour les Mahorais. C'est un rêve porté par plusieurs générations qui se réalise ce 29 mars 2009".

    A l'occasion de ce scrutin, Nicolas Sarközy a rappelé que "la France, depuis 1958, s'était engagée à maintes reprises à ouvrir un processus institutionnel devant permettre à Mayotte d'accéder au statut de département d'Outre-mer". "La parole de l'État se devait d'être, enfin, respectée", a-t-il ajouté.

    Aux termes de ce référendum, Mayotte doit devenir en 2011 le 101e département français - et le 5e département d'outremer (DOM) - étape ultime d'un processus entamé en 1974, lorsque les Mahorais avaient décidé de rester français, quand les trois autres îles des Comores optaient pour l'indépendance.

    "Avec un nouveau statut et grâce au travail de tous les Mahorais, Mayotte pourra construire les bases d'un développement prospère et durable, en lien avec ses partenaires régionaux de l'Océan Indien", a conclu Nicolas Sarközy.

    Le gouvernement des Comores, avec le soutien de l'Union africaine (UA), considère cette consultation dans un "territoire occupé" comme "nulle et non avenue"...

    Nous aussi!

  • Chirac et Veil luttent contre le négationnisme dans les pays arabes...

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    Jacques Chirac a participé, vendredi à l'Unesco avec Simone Veil, au lancement du projet Aladin, initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah.

    L'ancien président de la République prône l'enseignement de la Shoah dans les pays arabes.

    «Le drame de la Shoah interdit l'oubli. Il impose la pudeur. Il fait exploser la colère au cœur de chaque homme de bonne volonté, lorsque la Shoah est contestée.» Silencieux depuis plusieurs mois, Jacques Chirac a choisi de s'exprimer sur un thème qui avait déjà marqué sa présidence.

    Le 27 mars 2009, à l'Unesco, l'ancien chef de l'État a apporté un soutien appuyé au projet Aladin initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Un projet destiné à lutter contre le négationnisme, en particulier dans les pays arabes.

    Jacques Chirac a insisté sur le fait qu'il ne s'agissait pas de vouloir « faire porter aux pays musulmans une culpabilité qui n'est pas la leur». Il a cependant souligné l'importance de «faire connaître la Shoah, pour la faire sortir du silence que l'on a fabriqué autour d'elle, dans beaucoup de pays». Pour lui, les raisons de ce silence sont simples : «Évoquer la Shoah risquait de susciter dans ces pays un sentiment de sympathie pour les Juifs et l'existence d'Israël. Alors, a-t-il dit, on l'a cachée.»

    L'ancien président s'est inquiété du fait que «les conflits incessants du Proche-Orient servent aujourd'hui de prétexte à une nouvelle haine d'Israël. Elle est en train de devenir une nouvelle haine des Juifs ; cette haine se répand», a-t-il observé. Elle peut être le début d'un nouveau cauchemar. Chirac insiste : «Il n'y aura pas de paix au Proche-Orient tant qu'il n'y aura pas de reconnaissance et acceptation de l'État d'Israël.» Et ajoute : «Mais il n'y aura pas reconnaissance mutuelle réelle sans assentiment des peuples sans une compréhension plus intime.»

    Celui qui avait reconnu la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs, dans son discours du Vél'd'Hiv, en juillet 1995, estime que ce projet Aladin s'inscrit dans le cadre du combat qu'il mène à la tête de sa propre Fondation pour le dialogue entre les cultures. Ce projet, sur son site Internet, propose un contenu pédagogique en plusieurs langues, dont le turc, l'arabe ou le farsi, sur l'histoire de la Shoah et celle du judaïsme.

    Mais Jacques Chirac ne s'est pas seulement adressé à cette partie du monde, soulignant, dans son intervention, que «nul pays, nulle culture ne sont immunisées contre la tentation du génocide». Il a par ailleurs souligné, une nouvelle fois, que «nous ne devons jamais accepter comme démocratiques les partis qui propagent la haine». «L'accord trouvé entre libéraux, démocrates chrétiens, socialistes et communistes dans l'après-guerre pour rejeter les partis de la haine doit être considéré comme un acquis définitif de la démocratie européenne», a-t-il ajouté.

    Le Figaro - 27 mars 2009

    La Shoah est un acquis définitif de la démocratie européenne

  • Mayotte: une future population d'assistés

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    Mayotte - référendum du 29 mars 2009
    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Les habitants de Mayotte votaient dimanche pour faire de leur petite île de l'Océan indien le 101e département français et le 5è DOM, dernière étape d'un long processus entamé en 1974, dont ils espèrent qu'il leur garantira la stabilité et une amélioration de leur niveau de vie.

    Sous un ciel bleu et une chaleur accablante, les Mahorais se rendaient à la mi-journée dans les 130 bureaux de vote répartis dans l'île, les femmes drapées dans leur "salouva", grand tissu aux couleurs lumineuses, assorti au "kichali", voile porté sur la tête, et les hommes chapeautés du "kofia", couvre-chef traditionnel que l'on retrouve dans tout l'archipel des Comores.

    "Aujourd'hui est un jour important. Nos aînés se sont battus pour rester dans la France. C'est à nous de finir le travail", explique Youssoufou Majouai, gardien de gymnase de 39 ans, devant le bureau de vote installé dans une école du quartier populaire de M'Gombani, dans le centre de Mamoudzou.

    Le passage du statut de "collectivité départementale" en département d'outre-mer, qui devrait être effectif en 2011, est la dernière étape d'un processus entamé en 1974, lorsque Mayotte a choisi de rester française alors que les trois autres îles de l'archipel optaient pour l'indépendance.

    Avec un PIB trois fois inférieur à la Réunion, mais neuf fois supérieur à ses voisins immédiats, Mayotte espère aussi tirer de nouveaux bénéfices de la départementalisation.

    "Il faut que les gens aient enfin ici les mêmes droits qu'en métropole", estiment en coeur Guillaume Leconte, 28 ans, métropolitain résident à Mayotte et sa compagne malgache Fanjia Ratsimandresy, 31 ans. "Nous avons un enfant et nous ne touchons pas d'aide, il faut que ça change", dit-elle.

    AFP. 29.03.09

    Les mêmes droits mais aussi les mêmes devoirs!

  • Saint Guillaume de Norwich - Meurtres rituels

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    (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

  • La méditation de Thaïs - MASSENET

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    Jules Massenet, compositeur français (1842-1912)

    podcast

    Thaïs est un opéra en trois actes de Jules Massenet, livret de Louis Gallet, d'après le roman homonyme d'Anatole France. Créé à l'Opéra de Paris, le 16 mars 1894.

    Le violon solo est joué par la jeune Anne-Sophie Mutter (18 ans) avec l’orchestre philharmonique de Berlin sous la direction de Herbert von Karajan (1908-1989).

    Enregistrement de 1981.

  • Retour au bled fissa!

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    Leur résidence à Brétigny-sur-Orge
    Ils n'ont pas eu besoin de Martin Hirsch pour trouver leurs "emplois jeunes"!
    Ils détruisaient les boîtes aux lettres, brisaient les vitres, brûlaient les voitures, menaçaient les habitants… Pendant six mois, un groupe de jeunes a empoisonné la vie d’une résidence de Brétigny-sur-Orge (Essonne). La police y a mis un terme mardi, interpellant cinq personnes âgées de 16 à 20 ans. Ils sont considérés comme les meneurs.

    Depuis octobre dernier, des jeunes de la résidence du 51, avenue Allende avaient pris pour habitude de se regrouper dans les halls des immeubles. « Ça pourrissait l’ambiance. Ils squattaient, fumaient, buvaient jusqu’à 4 heures du matin. On retrouvait les bouteilles vides, des papiers gras », dit Raymond*. Dans cette résidence modeste, les locataires hésitent à parler. « Des bêtises de gamins », élude Fatih, mal à l’aise, avant d’admettre : « Ils ne m’ont jamais embêté mais un jour, un voisin les a engueulés : ils lui ont cassé ses quatre fenêtres. »

    « Régler ça aux fusils »

    Selon les témoignages recueillis par les forces de l’ordre, les jeunes n’hésitaient pas à mettre en pratique leurs menaces de représailles. Des reproches sur le bruit ? Ils tambourinaient à votre porte à n’importe quelle heure de la nuit. Vous insistiez ? Ils menaçaient « de régler ça aux fusils » ou de mettre le feu à votre voiture. Une demi-douzaine de véhicules ont ainsi brûlé sur le parking. Une pelleteuse sur un chantier voisin a connu le même sort.

    Ces jeunes seraient coupables d’une longue liste de dégradations. Les globes de verre pour l’éclairage, dans les parties communes, disparaissaient et servaient de projectiles contre les voitures de police. On les soupçonne aussi d’avoir mis le feu à des poussettes sous un escalier. La fumée noire avait alors provoqué la panique. Hier, la cage d’escalier était toujours en travaux. Le bailleur, France Habitations, estime avoir subi pour 25 000 € de dégradations.

    Ce sont les policiers du commissariat de Brétigny qui se sont emparés de l’affaire. Pendant cinq mois, il a fallu collecter les faits et convaincre les habitants de témoigner. Résultat : mardi matin, une quarantaine de fonctionnaires ont interpellé cinq jeunes, dont trois mineurs.
    Les policiers ont ainsi mis la main sur un fusil de chasse, des jantes volées et un ordinateur rempli de photos étonnantes. Les jeunes y posent avec des billets et des armes dans les halls. Un cliché montre le fusil et des cartouches formant le chiffre 91. Toujours sur l’ordinateur, les policiers ont retrouvé un clip de rap amateur. « Je fais mon rap de gangsters », dit le refrain. Le parquet a ouvert jeudi une information judiciaire. Les cinq interpellés sont interdits de territoire à Brétigny.

    * Les prénoms ont été changés.

     

    Le Parisien - 28 mars 2009

  • VIDEO Sida: le doute

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    Un document capital diffusé une fois en 1996 sur Arte mais depuis introuvable.

    Pour tout un chacun, il est communément reconnu que la cause du Sida est un virus, le HIV, qui détruit le système immunitaire des personnes infectées. Or, depuis l’identification du virus dit du Sida, voilà aujourd’hui onze ans, il n'a pas été possible pour la communauté scientifique, d’expliquer et de démontrer précisément, l’étiologie du virus. Cette question essentielle divise largement les chercheurs toujours en quête d’une explication. De ce fait, scientifiquement parlant, la théorie du virus HIV comme cause du Sida, n'est alors qu’une hypothèse. Soutenue il est vrai par la majorité des chercheurs, mais cela reste néanmoins une hypothèse.

    Pour cette raison certains chercheurs, comme le Professeur Luc Montagnier de l`lnstitut Pasteur, ou le Professeur américain Robert Root-Bernstein de l’université du Michigan, ont invoqué l’implication d’autres agents dans la maladie, les cofacteurs, en attribuant qu’un rôle secondaire au virus HIV. Ce n’est également qu’une hypothèse.

    D'autres chercheurs sont allés plus loin, et avancent que le virus HIV n’est pas la cause du Sida. Pour ces chercheurs, appartenant à l’élite scientifique, toutes les connaissances accumulées sur le Sida au cours de ces dix dernières années, permettent d’affirmer que ce n’est pas une maladie infectieuse, et que son évolution pathologique et épidémiologique le prouve. Leur hypothèse est que le Sida est une maladie due à plusieurs facteurs liés au mode de vie des personnes atteintes, qui provoquerait un désordre immunitaire irréversible.

    Dans ce film consacré au Sida, il ne s’agit pas bien sûr de tenter de démontrer quelle est la théorie qui l’emporte sur l’autre, mais plutôt de faire un état des lieu des connaissances, des doutes, et des interrogations qui persistent après toutes ces années de recherche. Pour cela nous développerons les arguments qui questionnent la cause du Sida. Nous lèverons le voile sur la controverse qui règne, presque à huis clos, au sein de la communauté scientifique. Et à travers les portraits des principaux acteurs qui animent ce débat, nous tenterons de comprendre pourquoi ils n’acceptent pas ce qui reconnu par tous.

    Altermedia.info - 28 mars 2009

     

  • Mayotte: 101ème département de l'Hexagone

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    Les habitants de Mayotte, cette île de l'océan indien, communauté d'Outre-Mer française située entre l'Afrique et Madagascar, votent dimanche pour décider si leur île doit devenir département. Un référendum sans suspense tant le camp du "oui" domine pour arrimer un peu plus le territoire à la France, promesse à la fois de stabilité et d'amélioration du niveau de vie.
     
    La départementalisation est la dernière étape d'un processus entamé en 1974, lorsque
    Mayotte a choisi de rester française alors que les trois autres îles de l'archipel des Comores optaient pour l'indépendance. "Tout le monde votera oui, parce que nous voulons devenir des vrais Français, avec tout ce que cela implique de droits équivalents. J'ai vécu 16 ans à la Réunion : je vois bien la différence avec ce que nous vivons ici", assure Mohamed, fonctionnaire de 39 ans.
     
    Dans une rare unanimité, tous les partis politiques représentés au conseil général, présidé par l'UMP, font campagne commune, organisant des rassemblements en plein air, où les femmes en tenue traditionnelle viennent chanter pour le "oui" sous des fanions bleu-blanc-rouge. Les quelques têtes qui émergent dans le camp du non sont celles de responsables religieux qui craignent une "acculturation" de l'île, qui pratique un islam modéré, et qui redoutent la fin progressive des cadis, tribunaux qui disent le droit au nom du coran. Avec un PIB trois fois inférieur à la Réunion, mais neuf fois supérieur à ses voisins des Comores, Mayotte, où la moitié des salariés travaillent pour le secteur public, espère tirer de nouveaux bénéfices de la départementalisation.

     
    Mais le gouvernement n'a pas caché aux Mahorais que le rattrapage avec la métropole mettrait du temps à se faire sentir : le revenu de solidarité active (RSA), l'allocation de parent isolé et l'allocation de solidarité spécifique ne seront mis en place qu'à partir de 2012, à un niveau qui sera seulement le "quart" de ce qu'ils représentent en métropole ou dans les DOM, avant une montée vers l'égalité sur 20 à 25 ans. Parallèlement, certains impôts aujourd'hui inexistants vont apparaître à partir de 2014, comme la taxe foncière et la taxe d'habitation. Et des pratiques culturelles anciennes vont être bousculées, avec la fin définitive de la polygamie, la disparition du tuteur matrimonial ("wali") et la réduction des attributions du "cadi" (juge musulman).
     
    A l'extérieur en revanche le scrutin est vu d'un très mauvais oeil par le gouvernement de l'Union des Comores, soutenu par l'Union africaine, la transformation de Mayotte en département devant mettre fin à toute possibilité de retour dans son giron de la quatrième île de l'archipel.

    LCI.fr- 28.03.09

    Un nouveau boulet à traîner pour la France!  Ils ne veulent devenir "français" que pour l'argent!

    Le Peuple français n'a pas été consulté...

  • L'avion de Sarközy a un "incident mécanique": tout le monde est resté "très détendu"...

    Le président, qui s'apprêtait mercredi soir à décoller pour l'Afrique, a dû changer d'avion après un problème survenu sur un réacteur alors que l'appareil roulait déjà sur le tarmac.

    «Aucune panique». C'est le secrétaire d'Etat à la Coopération et à la francophonie Alain Joyandet qui raconte l'incident : alors que Nicolas Sarkozy s'apprêtait mercredi soir à décoller pour l'Afrique pour une tournée dans trois pays africains (la République démocratique du Congo, le Congo et le Niger), il a dû brusquement changer d'avion.

    Selon ce membre du gouvernement, un «incident mécanique» est survenu sur un réacteur alors que l'appareil roulait déjà sur le tarmac de l'aéroport militaire de Villacoublay, près de Paris. «Nous roulions sur le tarmac quand nous avons entendu un gros bruit. Mais le moteur n'a pas pris feu. L'avion s'est immobilisé. Deux ou trois camions de pompiers sont arrivés vers nous mais ne sont pas intervenus».

    D'après le site Bakchich.info, qui a révélé l'information et obtenu une confirmation des faits par l'Elysée samedi matin, une enquête va être ouverte sur un incident qui, à quelques minutes près, aurait pu prendre des proportions plus graves.

     

    «Tous les passagers sont restés très détendus»

     

    Le chef de l'Etat, ses ministres, ainsi que la vingtaine de personnes présentes à bord de l'avion sont descendus. Une heure plus tard, tous reprenaient un autre avion, direction Kinshasa. Selon Alain Joyandet, «le président comme les autres passagers sont restés très détendus».

    Le chef de l'Etat était accompagné notamment de la ministre de l'Economie Christine Lagarde, de celui du Travail, Brice Hortefeux, ainsi que d'Alain Joyandet lui-même et de la secrétaire d'Etat chargée des Droits de l'Homme, Rama Yade.

    Le Figaro - 28 mars 2009

  • Noblesse de l'artisanat européen: les fonderies de cloches

    Héritière d'un artisanat né en l'an mil au pied des Abruzzes, la fonderie Marinelli est le fournisseur officiel des cloches du Vatican ainsi que la plus ancienne entreprise familiale italienne, mais la rareté de la main d'oeuvre pourrait menacer ce savoir-faire ancestral.

    "La première cloche signée d'un Marinelli date de 1339, mais le village d'Agnone a une tradition de fondeurs qui remonte à dix siècles", raconte à l'AFP Armando Marinelli, propriétaire de l'entreprise nichée sur une colline de la petite région du Molise (sud).

    Sombre et poussiéreux, l'atelier n'a rien de prétentieux: au milieu de tas d'argile, de briquettes et de bois, quatre ouvriers s'activent, remuant un foyer de braises où sèchent de petites formes grises qui serviront à mouler des cloches miniatures.

    "Le Vatican nous a conféré en 1924 le titre de fonderie pontificale et l'Eglise représente aujourd'hui 90% de nos commandes. Notre plus grande cloche a été créée pour le Jubilé de l'an 2000: cinq tonnes et six mètres de circonférence", raconte fièrement M. Marinelli.

     

    "Une cinquantaine de cloches sont fondues ici chaque année, parfois moins lorsqu'il y a de grands modèles", explique un des plus anciens ouvriers, Antonio Delli Quadri, dans une pièce recouverte du sol au plafond d'empreintes de plâtre représentant en creux madones, saints et frises décoratives.

    Une fois démoulées, ces ornementations religieuses en cire rouge sont apposées sur une "fausse cloche" de terre que l'on recouvre d'argile. Un feu allumé à l'intérieur de la structure fait fondre la cire selon la technique de la "cire perdue", et le décor de la future cloche apparaît alors en négatif sur la chape.

    C'est entre cette chape et une forme légèrement plus petite que sera coulé le bronze fondu à 1.200 degrés.

    "Une fonderie de cloches est tout sauf une chaîne de montage, il faut avoir la passion de créer", souligne Armando Marinelli, la quarantaine, propriétaire avec son frère Pasquale de l'entreprise familiale considérée comme la plus ancienne d'Italie et la deuxième au niveau mondial, selon la revue américaine Family Business.

    "Le problème est de trouver de la main d'oeuvre: beaucoup de jeunes viennent et se lassent", explique-t-il. L'entreprise emploie une douzaine de salariés et fait partie des douze grandes fonderies encore existantes en Europe.

    "Notre principale crainte est aussi que la dynastie familiale s'arrête, on y pense constamment. J'ai trois jeunes enfants, pour l'instant l'atelier n'est pour eux qu'un terrain de jeux!", s'exclame Armando Marinelli.

    "Mon arrière-grand-père était déjà fondeur de cloches, mais malheureusement je serai le dernier car mes deux enfants font complètement autre chose, c'est comme ça", renchérit Antonio Delli Quadri, yeux bleus pétillants sous un casque de cheveux blancs.

    Son secret d'une cloche au timbre parfait? "Sa base, d'où part le son, ne doit pas être chargée d'ornements, et ses proportions doivent répondre à des règles mathématiques très précises. Et un bon fondeur doit être capable d'offrir la gamme chromatique complète", sourit-il.

  • MAYOTTE: exigeons un référendum! Pétition à signer

    http://www.contribuables.org/campagnes-petitions/exigeons-un-referendum-sur-mayotte/?camp=NL071

    Monsieur le président,

    Vous demanderez l’avis des Mahorais, dimanche 29 mars, par référendum sur la transformation de leur collectivité départementale en DOM …

    Mais les Français ne seront même pas consultés pour se prononcer sur l’extension de leur territoire.

    Comment pouvez-vous envisager de créer un nouveau DOM dans la tourmente actuelle ?

    Comment pouvez-vous accepter de jeter notre argent dans l’Océan indien en pleine crise financière, à un moment où nous ne sommes même pas en mesure de financer la dette publique de l’Etat ?

    Car c’est bien aux Français que vous ferez appel lorsqu’il sera question de financer MAYOTTE !

    L’alignement des aides sociales avec la Métropole ne fait aucun doute : RMI, aide de retour à l’emploi, allocations familiales, tout est écrit d’avance :
    - Un habitant sur 4 est en situation irrégulière
    S’il fallait régulariser ces 60 000 personnes, ce serait les contribuables qui paieraient.

    - 2/3 de sans-emploi « officiels », alors que le travail au noir bat son plein

    S’il fallait indemniser ces 165 000 chômeurs, ce serait les contribuables qui paieraient.

    Baissons les impôts et les dépenses publiques au lieu de dilapider notre argent à Mayotte !

    Monsieur Le président, soyez courageux et demandez-nous notre avis !

    Nous exigeons, nous aussi, de nous prononcer par référendum.

    Bien cordialement

    Contribuables associés

    Je viens de signer la pétition