http://www.dailymotion.com/video/x54kil_des-rabins-pédophiles_news
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La Mossad Mania envahit Israël
Depuis l'assassinat d'un cadre du Hamas à Dubaï, le service de renseignement israélien a gagné en popularité.
Le pays a beau nier sa participation au « Dubaïgate », beaucoup attribuent l'assassinat musclé d'un cadre du Hamas aux services secrets nationaux.
A l'origine du buzz, une vidéo, tirée de plusieurs caméras de surveillance. Deux hommes et une femme, lunettes noires, chapeau, perruque ou raquette de tennis, traversent un supermarché. Ils font mine de remplir leurs caddies, mais ils jettent des coups d'œil discrets dans tous les sens. On entend la femme dire qu'elle n'est « en rien impliquée », d'un air conspirateur. Soudain, le slogan percute l'écran :« Nous faisons des prix qui tuent. »
En matière de marketing, miser sur la reproduction d'un assassinat pourrait bien être une première. Les protagonistes sont reconnaissables : ils sont habillés comme dans la vidéo diffusée par la police de Dubaï, le lendemain du 20 février. La chaîne britannique ITN a même fait un reportage sur le sujet.Un commando de 27 agents déguisés s'y infiltrait dans un hôtel où se trouvait Mahmoud Abou Al-Mahbhouh, un responsable militaire du Hamas. Ce dernier aurait été en mission d'achat d'armement pour le mouvement islamiste palestinien. Il a été retrouvé mort dans sa chambre quelques minutes plus tard.
« C'est une sorte de provocation amusante », déclare le directeur de la chaîne de supermarchés à l'origine de la publicité, Mahsanei Kimat Hinam. L'homme ne cache pas son intérêt dans l'affaire :
« Durant le mois dernier, le monde entier a regardé des caméras de surveillance […] Il fallait qu'on se fasse remarquer. »
Il est vrai qu'en Israël, l'affaire du Dubaïgate a plutôt servi la réputation du Mossad, même si les services secrets continuent de nier leur responsabilité.« Faites pas chier le Mossad »
Un tee shirt pro Mossad (DR)« Le Mossad a retrouvé ses jours de gloire », déclare Ilan Mizrahi, un ancien directeur de l'agence. Depuis les évènements du 20 février, les produits dérivés affluent dans les magasins. Une marque de lunettes a sorti un modèle similaire à celles portées par des membres du commando et la vente de t-shirts « Faites-pas chier le Mossad » est partie à la hausse.
Dans un article du quotidien Ha'aretz, un homme qui ressemble beaucoup a l'un des agents de la vidéo raconte comment sa vie a changé :
« Les gens me félicitent dans la rue. »
Au-delà du délire commercial, l'assassinat a réveillé les vocations. Selon le site officiel des services de renseignements israéliens, les demandes d'emplois ont explosé depuis le 21 janvier.
Le site en a profité pour renouveler la formulation de son offre :
« Vous avez une opportunité pour créer une nouvelle réalité où vous pourrez jouer le rôle principal. Si vous êtes intelligent et cultivé, vous pouvez faire la différence et remplir une mission nationale. Si vous pouvez rentrer en contact, charmer et influencer les gens - vous pourriez bien avoir les qualités que nous recherchons.Alliance - 13.03.10
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Le Vatican lance la contre-offensive face aux scandales de pédophilie
CITE DU VATICAN — Confronté à une cascade de révélations de scandales pédophiles au sein de l'Eglise en Europe, le Vatican a lancé samedi la contre-offensive, dénonçant un "acharnement" contre le pape Benoît XVI et minimisant l'étendue du phénomène.
"Il est plutôt évident que ces derniers jours, il y en a qui ont cherché - avec un certain acharnement à Ratisbonne et Munich - des éléments pour impliquer personnellement le Saint Père dans les questions des abus" sexuels mais "il est clair que ces efforts ont échoué", a déclaré samedi le porte-parole du Vatican, le père Federico Lombardi.
En évoquant Ratisbonne et Munich, le porte-parole fait référence au fait que le scandale de pédophilie en Allemagne a touché la chorale de Ratisbonne, dirigée de 1964 à 1994 par le frère du pape, Mgr Georg Ratzinger, et à la mise en cause du pape pour avoir hébergé en 1980 un prêtre soupçonné de pédophilie lorsqu'il dirigeait le diocèse de Munich.
Sur cette dernière affaire, le porte-parole souligne que l'archevêché de Munich a expliqué vendredi "comment l'archevêque (Joseph Ratzinger, futur Benoît XVI) était resté complètement étranger aux décisions à la suite desquelles des abus ont été vérifiés".
Selon l'archevêché, Mgr Ratzinger n'a été consulté que pour l'accueil du prêtre suspect pour suivre une thérapie. Le vicaire général de l'époque, Gerhard Gruber, a assumé "l'entière responsabilité" de l'affectation de ce prêtre dans une paroisse, reconnaissant "une grave erreur". Le prêtre avait en 1986 été condamné en justice pour abus sexuels sur mineurs.
La presse allemande n'a cependant pas été unanimement convaincue. Le pape "savait-il que ce prêtre retrouverait des fonctions" au sein de son archevêché "ou n'en savait-il rien, ce qui serait probablement une négligence ?", s'interrogeait samedi le quotidien berlinois Tagesspiegel, selon lequel "les deux hypothèses sont, pour dire le moins, peu reluisantes".
Par ailleurs, le Vatican s'est efforcé de relativiser le nombre de cas d'abus sexuels imputables à des hommes d'église.
Samedi, un haut responsable s'est livré à un calcul pour chiffrer à "environ 300" les cas de "véritable pédophilie, c'est-à-dire d'une attraction sexuelle pour des garçons impubères", commis par des prêtres ou religieux et remontés au Vatican entre 2001 à 2010.
Durant cette période, il y a eu "environ 3.000 accusations regardant des prêtres pour des crimes commis ces 50 dernières années", a déclaré Mgr Charles Scicluna, de la Congrégation pour la doctrine de la foi, dans une interview à Avvenire, journal de la conférence épiscopale italienne.
"Dans environ 60% des cas, on a plutôt affaire à des actes d'"éphébophilie", c'est-à-dire d'attraction physique pour des adolescents de même sexe. Dans 30%, de rapports hétérosexuels et pour les 10% restant, de véritable pédophilie", note le prélat, dans cette interview signalée par la salle de presse du Vatican.
"En neuf ans, les cas de prêtres accusés de pédophilie sont donc d'environ 300" sur "400.000 prêtres diocésains et religieux" dans le monde. "Trop certes, mais il faut constater que le phénomène n'est pas étendu comme on veut le faire croire", ajoute-t-il.
Le père Lombardi et Mgr Scicluna ont également assuré que le pape avait mené une action résolue contre ces crimes. "Sa ligne a toujours été celle de la rigueur et de la cohérence pour affronter les situations, même les plus difficiles", a affirmé le père Lombardi tandis que Mgr Scicluna relève qu'il "a géré avec fermeté ces affaires".
AFP - 12.03.10
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Trois colleurs d'affiche du FN roués de coups par 15 personnes
Affiche-riposte collée à Toulon(Cliquez sur l'affiche)En début d’après-midi, quartier Bon-Rencontre à Toulon, trois colleurs d’affiches du Front national (deux majeurs et un mineur) ont été pris à partie, poursuivis et roués de coups par une quinzaine de personnes qui sortaient du stade de Bon-Rencontre. L’un des auteurs présumé de l’agression a été arrêté et placé en garde à vue.
Var Matin - 13.03.10
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David Ben Gourion mérite-t-il une esplanade à Paris?
David Ben Gourion (né Grün) - 1886-1973Ce 13 avril 2010, en compagnie du président Israélien Shimon Pérès, le maire de Paris devrait inaugurer une esplanade "Ben Gourion" sur les Quais de Seine.Après une promenade déjà dédiée au premier Premier ministre israélien (de 1948 à 1963) et un parc portant le nom d'Yitzhak Rabin, l'Etat d'Israël s'installe encore un peu plus dans le cœur de la ville lumière. Yasser Arafat, qui avait partagé le Nobel de la Paix avec Rabin, et la Palestine dans son ensemble, attendent toujours de Paris pareils gestes de reconnaissance. De plus, ce n'est pas un prix Nobel de la Paix que Monsieur Delanoë s'apprête à célébrer le mois prochain. Loin de là : David Ben Gourion est l'un des plus importants leaders du mouvement sioniste israélien."Si j'étais un leader Arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal ; nous avons pris leur pays. Il est vrai que Dieu nous l'a promis, mais comment cela pourrait-il les concerner ? Notre dieu n'est pas le leur.
Il y a eu l'antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute ? Ils ne voient qu'une seule chose : nous sommes venus et nous avons volé leurs terres. Pourquoi devraient t-ils accepter cela ?"
Cité par Nahum Goldmann dans "le Paradoxe Juif", page 121Alter Info - 13.03.10
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Affiche censurée: la riposte s'est organisée!
Partout en France les militants Frontistes, loin d’être découragés sont sortis dès hier soir pour coller la riposte ! Ici, une photo d’un collage réalisé en Champagne-Ardenne par l’équipe de Bruno Subtil(Cliquez sur la photo pour l'agrandir)Les ligues pseudo-antiracistes mais vraies ligues anti-françaises veulent interdire l’affiche FNJ dénonçant l’islamisme et la prolifération des minarets en France ?Qu’à cela ne tienne ! Nous dénoncerons donc, par l’affichage, la scandaleuse censure qui frappe indignement le Front National ! Et inutile de dire que, jusqu’à ce matin encore, nos équipes de collage FN Toulon labourent le terrain jusqu’au dernier moment pour porter haut et fier la drapeau de la France Française et du Front National !
Le gouvernement UMPS, les pseudo-ligues, la racaille et toute la chienlit unie dans la profit et la haine de tout ce qui est français ne fera jamais taire la voix des Français libres, la voix du peuple français, la voix de Jean-Marie LE PEN ! Aujourd’hui, la liberté d’expression, c’est le Front National, le seul à dire la vérité aux Français !
Nations Presse Info - 13.03.10
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Acharnement contre Benoît XVI - Schwartzenberg: "Le pape doit s'expliquer"
Roger-Gérard Schwartzenberg (PRG)Le pape Benoît XVI, mis en cause ces derniers jours pour avoir hébergé un prêtre soupçonné de pédophilie lorsqu'il dirigeait le diocèse de Munich en Allemagne, "doit s'expliquer", a estimé le président d'honneur du Parti radical de gauche (PRG).
"Il serait souhaitable que le pape consente à s'expliquer sur ces différents faits, dont certains sont sans doute survenus à son insu. Car la loi du silence ne peut être la loi de l'Eglise", a écrit Roger-Gérard Schwartzenberg dans un communiqué.
Outre l'accueil en 1980 dans son diocèse de Munich (il l'a dirigé de 1977 à 1982) d'un prêtre soupçonné d'abus sexuels et qui allait être condamné par la suite, plusieurs "décisions contestables" de Joseph Ratzinger alias (sic) Benoît XVI sont recensées par l'ancien ministre.
Il cite "la réintégration de l'évêque négationniste Mgr Williamson, l'engagement de la procédure visant à béatifier puis à sanctifier Pie XII qui a gardé le silence face aux crimes nazis", ou encore le scandale de pédophilie a touché la chorale de Ratisbonne (Allemagne), dirigée de 1964 à 1994 par le frère du pape, Mgr Georg Ratzinger.
Aujourd'hui le Vatican a lancé la contre-offensive face à cette cascade de révélations, dénonçant un "acharnement" contre Benoît XVI. "Il est clair que ces efforts (pour mettre en cause le pape) ont échoué", a déclaré son porte-parole, le père Federico Lombardi.Le Figaro - 13.03.10 -
Les jeunes gens - Un contrôleur SNCF blessé avec un couteau
Un contrôleur SNCF a été blessé d'un coup de couteau cet après-midi sur la ligne Mantes-la-Jolie/Saint-Lazare, deux jeunes gens étant interpellés à Villennes-sur-Seine (Yvelines) à la suite de cette agression, selon une source policière et la préfecture. Les deux personnes majeures, dont l'une serait l'agresseur, ont été placées en garde à vue au commissariat de Poissy (Yvelines).
Une dizaine d'agents SNCF avaient voulu contrôler des personnes montées sans billet dans le train aux Mureaux (Yvelines) et une altercation s'en est suivie, vers 14h15, selon les premiers éléments de l'enquête.L'un des jeunes gens armé d'un couteau a alors blessé un contrôleur à la main tandis que plusieurs comparses appelés à la rescousse ont donné des coups de poing à deux autres agents SNCF.
Le train s'est arrêté en gare de Villennes où les policiers, alertés, ont pu interpeller deux des agresseurs dont l'auteur présumé du coup de couteau. A la vue des policiers, plusieurs jeunes gens sont repartis en train vers les Mureaux.Le Figaro - 13.03.10
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Mgr Dubost: "quand le pain eucharistique est piétiné, c'est une profanation"
Mgr Michel DubostMgr Michel Dubost, évêque d'Évry-Corbeil-Essonnes, a fortement dénoncé sur le site de son diocèse (http://evry.catholique.fr) «l'étourdissant silence» qui entoure les profanations d'églises.
LE FIGARO. - Vous mettez en cause une différence de traitement médiatique entre les profanations d'églises d'une part et celles de mosquées et synagogues d'autre part ?
Mgr Michel DUBOST. - Il n'y a certes pas d'inscriptions antichrétiennes sur les églises comme il y a des inscriptions antimusulmanes ou antijuives. Ces faits ne sont pas signés de la même manière. Pour beaucoup d'élus c'est donc un cambriolage et non une profanation.
Mais quand le pain eucharistique est répandu par terre et piétiné, c'est une profanation ! Il y a là une difficulté de compréhension qui nous appelle à redire ce que nous croyons de l'eucharistie et de la présence réelle. Et ce n'est pas parce que le catholicisme en France fait partie des meubles qu'il ne doit pas dire qu'il a mal quand il a mal…
Pouvez-vous expliciter cette notion de «présence réelle» dans les églises catholiques ?
Pour moi, l'eucharistie «est» le corps du Christ alors que pour beaucoup de gens cela ressemble à du pain. Il est effectivement important que nous, chrétiens, nous manifestions davantage la place que nous donnons à l'eucharistie.
L'eucharistie, contenue dans le tabernacle qui a été forcé à Morangis, est-elle ce qu'il y a de plus sacré dans une église ?
L'eucharistie est pour nous la présence de Dieu. C'est le signe sacramentel de la présence de Dieu. Il n'y a pas plus sacré : si on viole l'eucharistie, on nous viole nous-mêmes et nous en sommes profondément blessés.
Vous être porteur d'un projet pour améliorer cette situation, mais vous regrettez que les pouvoirs publics n'y prêtent pas davantage attention ?
Ce projet comporte deux volets. D'une part, visiter toutes les églises pour faire un audit complet sur la question du vol. Et, second volet, mieux protéger l'eucharistie.
Les cambriolages étant souvent une des causes des profanations, il faut d'abord les éviter en protégeant mieux les édifices. Cela ne veut pas dire «fermer» les églises car, paradoxalement, je pense qu'il faut ouvrir les églises pour mieux les assurer en veillant, évidemment, à la sécurité des éléments importants.
Le Figaro - 12.03.10
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Un jour avant les élections, Najlae Lhimer de retour en France...
(Cliquez sur la photo)«Je suis énormément contente». Affichant une mine réjouie, Najlae Lhimer, la lycéenne marocaine sans papiers expulsée en février de la France vers le Maroc et autorisée à revenir par le président Nicolas Sarkozy, est arrivée ce samedi matin à Orly à 11 h15.
Partie à 8 heures de Casablanca, elle a été accueillie par une fanfare et de nombreux bouquets de fleurs. Elle a ajouté: «je ne m'attendais pas à autant de monde».
Une cinquantaine de personnes, parmi lesquelles des membres du réseau Education sans frontières (RESF) tenant des photos de la lycéenne, l'attendaient à l'aéroport.«Grâce à eux, ça a fait bouger les choses», a également affirmé Najlae, faisant allusion aux nombreux soutiens qui ont défendu son retour en France. Elle a ajouté qu'elle avait suivi la mobilisation en sa faveur à distance avec internet depuis le Maroc.
Un visa d'un an
Une dizaine de jeunes du lycée Françoise-Dolto à Olivet (Loiret), où la jeune fille est scolarisée, ont déroulé une banderole, sur laquelle on pouvait lire «le pays des gendarmes et des préfets t'as expulsée. Bienvenue Najlae dans celui de la solidarité et de la fraternité».
Najlae Lhimer a rappelé qu'elle avait obtenu un visa d'un an, et a dit vouloir continuer ses études «jusqu'au bout, jusqu'où je peux aller».
Elle a par ailleurs interpellé les journalistes sur le sort d'Hassan Bouyahyaoui, lycéen expulsé en mars 2009 et dans une situation similaire, en demandant qu'il revienne en France.
Expulsée après avoir porté plainte
Le 20 février, Najlae Lhimer s'était rendue à la gendarmerie de Château-Renard (centre de la France) pour porter plainte pour maltraitance contre son frère, mais elle avait été placée en garde à vue et immédiatement expulsée de France, car elle faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français remontant au 24 novembre 2009.
«Je n'oublierai jamais cette triste journée du le 20 février, lorsque je suis arrivée à la gendarmerie de Château-Renard pour porter plainte contre mon frère, qui m'avait battue», s'est rappelée la jeune Marocaine. «Les gendarmes m'ont aussitôt placée en garde à vue et mise dans un avion pour Casablanca».
Lundi 8 mars, journée de la femme, Nicolas Sarkozy s'était dit «prêt à l'accueillir en France si elle le souhaite». «Je dormais lorsqu'un journaliste m'a informée que le président m'a autorisé à retourner en France. J'avais l'impression d'être dans un rêve. Je ne m'attendais pas du tout à cela», a-t-elle poursuivi.
Mercredi, la jeune Marocaine avait obtenu un visa, délivré par le consulat de France à Rabat.
Un séjour marocain difficile
«Je reprends mes études lundi. Mon séjour au Maroc était dur. J'avais l'impression d'être une étrangère», a-t-elle expliqué. «J'ai passé l'essentiel du temps entre Rabat et Casablanca. C'est une famille d'accueil qui m'a hébergée à Rabat. Je n'ai pas vu mes parents qui sont à Oujda (nord-est) et je n'ai pas de rapports avec eux».
«Depuis, je vois la vie différemment et me sens plus mature. Ces expulsions sont injustes parce qu'on a vécu là-bas. Je suis arrivée en France en 2005, à l'âge de 14 ans», s'est indignée la jeune fille.
Une nouvelle vie chez les parents d'une amie
«Je n'ai plus de relations avec ma famille et je ne veux pas en avoir. En 2005, ils m'ont dit d'arrêter mes études après la 3e et menacé de me marier de force», a affirmé la jeune Marocaine.
«Je vais descendre à Paris et ensuite j'irai chez M. et Mme Parizot à Montargis (centre), qui sont les parents de ma meilleure amie. Ce sont eux qui m'ont envoyé le certificat d'hébergement et m'ont soutenue depuis mon expulsion», a-t-elle conclu.
Le Parisien - AFP - 13.03.10
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Agression barbare d'un détenu à Fleury-Mérogis
"Une attaque d’une sauvagerie inouïe." C’est en ces termes qu’est décrite l’agression dont a été victime Valentin S., le 14 février, dans la cour de promenade du bâtiment D1 de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne). Il est environ 14 heures, ce dimanche, quand ce prisonnier de 35 ans, placé en détention provisoire pour des faits de violence, rejoint la promenade.
Aussitôt, il est pris à partie par un détenu dont il aurait agressé le frère, quelques mois plus tôt, dans un autre bâtiment de l’établissement. Une bagarre commence. Un cercle se forme. Les surveillants, alertés, tentent en vain de saisir les détails de la scène.
« Le temps qu’ils interviennent, tout est allé très vite, relate une source pénitentiaire. L’agresseur de Valentin lui a baissé le pantalon, puis le caleçon, et a tenté d’arracher à mains nues ses parties génitales.
» Bilan : fracture du corps caverneux et début d’arrachement des parties intimes. Copieusement tabassé, Valentin S. subit, en outre, des lésions périorbitales et un traumatisme crânien. Certains détenus auraient tenté de lui venir en aide. « Ils en ont été dissuadés par d’autres. » Il parvient à sortir tout seul de la cour. Après une semaine d’hospitalisation, Valentin S. a été transféré dans un autre établissement de la région parisienne.
A Fleury-Mérogis, qui demeure à ce jour le plus vaste établissement pénitentiaire d’Europe, les cours de promenade doivent être prochainement équipées de matériel de vidéosurveillance. Pour l’instant, en l’absence de caméras, tout ce qui s’y passe repose sur les témoignages visuels. A chaud, certains détenus, choqués, se seraient confiés à des surveillants. Mais, devant les gendarmes qui ont été saisis du dossier dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte par le parquet d’Evry , ils ont préféré garder le silence. « Aucun n’a osé donner l’identité de l’agresseur, relate une source judiciaire. Apparemment, Valentin S. n’avait pas beaucoup d’amis en détention. » Son agresseur présumé est toujours dans les murs. Faute de témoignages, l’enquête pourrait être classée sans suite. L’administration pénitentiaire, jointe hier, s’est refusée à tout commentaire.
Le Parisien - 13.03.10Ndb: On donne le prénom de la victime mais pas celui de l'agresseur...
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Le Front National fait appel - Le TGI de Marseille interdit les affiches "Non à l'islamisme"
Le juge des référés du tribunal de grande instance (TGI) de Marseille a ordonné vendredi le retrait des affiches intitulées "Non à l'islamisme" de la campagne de Jean-Marie Le Pen (FN), estimant qu'elles étaient constitutives d'un "trouble manifestement illicite". Ces affiches , diffusées par le mouvement jeunesse du FN, d'abord en région Provence-Alpes-Côte d'Azur et sur son site internet, puis visibles partout en France, représentent une femme intégralement voilée à côté d'une carte de France recouverte du drapeau algérien sur laquelle se dressent des minarets en forme de missiles, avec en titre "Non à l'islamisme".
Dans son ordonnance, la juge a estimé que "cette affiche est non seulement de nature à provoquer un sentiment de rejet et d'animosité à l'encontre d'un groupe de personnes dont sont visées les pratiques religieuses, les femmes et la nationalité, mais, en outre, s'adresse essentiellement à la jeunesse de nature plus influençable". "Cette affiche provocatrice est constitutive d'un trouble manifestement illicite", poursuit l'ordonnance, qui condamne le FN et Jean-Marie Le Pen "à faire procéder à son retrait de tous les supports sur lesquels elle a été placée, de quelque nature qu'ils soient, dans un délai de 24 heures puis sous astreinte de 500 euros par jour de retard".
Jean-Marie Le Pen est la tête de liste du Front national pour les élections régionales qui se déroulent les 14 et 21 mars.Le Point - 12. 03.10Ndb: Rappelons que le ministre algérien des Affaires étrangères lui-même était monté au créneau lundi soir, en demandant «officiellement» à l'Etat français «de prendre les dispositions qui s'imposent lorsque des symboles de pays étrangers sont mis à genoux».Le Front National, au vu du jugement censurant une affiche du Front National de la Jeunesse, apposée dans le cadre de la campagne électorale en cours et intitulée « Non à l’Islamisme », exprime son indignation devant cette violation gravissime de la liberté d’opinion et de la liberté d’expression, en période électorale.Il dénonce une décision prise sous la pression publique et menaçante du gouvernement algérien et du FLN, appuyés par Kouchner, ministre socialiste du gouvernement Sarkozy.
Il avertit solennellement les électeurs qu’il devient impossible d’évoquer ou de critiquer la politique d’immigration massive ni les dérives communautaristes qu’elle entraine.
Les patriotes sont bâillonnés sur ordre de l’étranger puisqu’il leur est interdit de dire non à l’Islamisme, à la burka, à la multiplication des mosquées cathédrales et au risque invasif mortel qui menace la France.
Le Front national interjette appel de cette décision et demande aux Françaises et aux Français de manifester dimanche dans les urnes leur révolte à ces méthodes dignes de l’ancienne Union Soviétique.
Nations Presse Info - 12.03.10
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Israël pointe des têtes nucléaires vers l'Europe
Le professeur Van-CrevelLa septième chaine israélienne a diffusé un entretien exceptionnel avec le professeur Martin Van-Crevel, spécialiste mondial de référence des guerres de basse intensité. Le professeur émérite de l’Université hébraïque de Jérusalem y a développé publiquement les propos qu’il tient depuis une dizaine d’années dans les cénacles fermés des académies militaires israéliennes et états-uniennes.
Selon lui, la continuation sur une longue période de la guérilla palestinienne aboutira inévitablement à l’effondrement de l’Etat d’Israël. C’est pourquoi, à terme, Tel-Aviv n’a d’autre choix que de « transférer » les arabes Israéliens et les Palestiniens apatrides hors de frontières sûres (c’est-à-dire non seulement hors des frontières de 1948, mais aussi des territoires occupés depuis 1967 et idéalement de Cisjordanie et de la bande de Gaza). Dans la cas où les Européens s’opposeraient à une telle déportation, Tel-Aviv n’aura d’autre choix pour survivre que de détruire des capitales européennes sous le feu atomique, étant entendu que les Européens ne pourront pas riposter sans tuer leurs amis Palestiniens.
L’auteur de The Transformation of War [1] a insisté en soulignant que, d’ores et déjà, des têtes nucléaires israéliennes sont pointées vers Rome et d’autres capitales européennes pour rendre la menace crédible et le « transfert » des Palestiniens possible.
Le professeur Martin Van-Crevel aime à se référer à la devise du général Moshe Dayan, dont il est le biographe officiel : « Israël doit toujours apparaître comme un chien enragé, trop dangereux pour les autres »
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[1] Version française : La Transformation de la guerre (Editions du Rocher, 1998).
voltairenet.com - 11.03.10
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Bouclage total de la Cisjordanie pour 48 heures - Frappes israéliennes sur Gaza
Une colonie israélienne dans les Territoires occupés (Cisjordanie)(Cliquez sur photos et dessin pour les voir en totalité)Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a ordonné le bouclage total de la Cisjordanie pour 48 heures, à partir de vendredi et jusqu'à samedi minuit, a indiqué un porte- parole de l'armée.
C'est la première fois depuis deux ans qu'une telle mesure est prise alors qu'aucune célébration n'est prévue en Israël.
Le bouclage strict a été décidé «pour motifs sécuritaires», compte tenu d'un risque d'attentats, encore selon le porte-parole de l'armée israélienne. Il a pris effet à minuit dans la nuit de jeudi à vendredi.
(L'armée israélienne boucle, elle, systématiquement la Cisjordanie pour chaque fête juive).
Frappes israéliennes dans la bande de Gaza
L'aviation israélienne a lancé deux raids dans la nuit de jeudi à vendredi contre des cibles à Khan Younis et à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, faisant plusieurs blessés.
20minutes.fr - 12.03.10
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Nucléaire israélien: l'Europe à l'abri?
Selon un communiqué de l’AFP (08/03/2010), Israël annonce faire appel à la France pour la construction d’une centrale nucléaire (Conférence internationale sur le nucléaire civil, Paris, 09/03/2010). Il s’agit d’un « projet commun avec la Jordanie voisine, sous la supervision de la France qui fournirait la technologie ». La même dépêche s’empresse de rappeler que « Israël n’est pas signataire du Traité de non-prolifération nucléaire et qu’il n’adhère pas non plus au projet d’un Moyen-Orient dénucléarisé que défend le Président américain Barack Obama ». Sans doute pour relativiser la portée du nucléaire civil israélien, il est précisé également que « l’État hébreu s’est doté de 200 ogives nucléaires ainsi que de missiles à longue portée ».
On a vite compris le but de cette conférence : continuer à diaboliser et isoler l’Iran qui, lui, signataire du Traité de non-prolifération, est pourtant soumis à des sanctions à la demande d’Israël. Pourtant les nombreuses inspections confirment le caractère civil du nucléaire iranien. L’autre but est de nous faire « oublier » le nucléaire militaire sioniste que les gouvernements occidentaux (soumis au sionisme) se gardent bien de vouloir inspecter.
Nous voulons vous parler de ce nucléaire israélien, le nucléaire militaire, jamais inspecté, rarement mentionné, qui est la réelle menace non seulement pour le Moyen-Orient mais également pour la Russie et l’Europe. Ce sont les socialistes français (gouvernement Guy Mollet, avec Maurice Bourgès Maunoury, Ministre de la Défense Nationale à l’époque) qui ont offert l’arme nucléaire à Israël en 1956 lors de l’agression coloniale franco-anglaise contre l’Égypte (affaire dite de Suez). Le prix à payer pour la participation de l’entité sioniste à l’agression mais aussi la preuve d’une adhésion sans complexe des socialistes français au sionisme. Toute cette affaire s’est faite à l’insu des autres membres du Gouvernement, de l’Assemblée et du Sénat, et bien entendu du Peuple français. Les socialistes français portent devant l’Histoire la terrible responsabilité d’avoir introduit l’arme nucléaire au Moyen-Orient en l’offrant à Israël (offerte et non vendue !). Depuis, grâce au soutien des États-Unis, de l’Union Européenne et surtout de la complicité active des réseaux sionistes dans le complexe militaro-industriel mondial, Israël est aujourd’hui une puissance nucléaire : 200 têtes selon les experts, et des missiles à longue portée qui en font une puissance stratégique autonome.
Ce ne sont pas seulement les États du Moyen-Orient, la Turquie et l’Iran qui peuvent être des cibles, mais également la Russie et l’Europe. De plus, selon le quotidien Libération (14/10/2003), Israël dispose de 3 sous-marins nucléaires équipés de lance-missiles. Aujourd’hui, le nucléaire israélien fait courir au monde le principal risque de guerre, d’autant plus que le lobby sioniste (largement présent dans les sphères gouvernementales et médiatiques) cherche partout, notamment en France, à entraîner d’autres nations dans sa guerre.
Longtemps, le nucléaire israélien a été tabou pour le grand public. Peu mettait en garde le monde contre un tel danger. Un homme courageux, le physicien et pacifiste israélien Mordechai Vanunu, a beaucoup aidé à briser le tabou. Technicien à la centrale nucléaire de Dimona (Israël), il alerte l’opinion en présentant plusieurs photos des laboratoires et services au quotidien britannique Sunday Times. Kidnappé à Rome en 1986 par le Mossad, condamné à Tel-Aviv en 1988, il ne sera libéré qu’en 2004. Dix-huit ans de prison dans la « seule démocratie du Moyen-Orient » pour avoir dénoncé, preuves à l’appui, ce dont on se doutait. Depuis, des officiels israéliens ont reconnu à mi-mot l’existence du nucléaire.
En ce domaine aussi, les grands médias appliquent le deux poids deux mesures. Chaque jour l’opinion est intoxiquée au sujet du « nucléaire iranien », à usage civil selon les organismes internationaux de contrôle. Aujourd’hui, dans la propagande de l’USraël, le « nucléaire iranien» joue le même rôle que les fameuses « armes de destruction massive » avant l’attaque contre l’Irak : préparer l’opinion mondiale à une agression contre l’Iran. Ainsi, Israël, un pays non signataire du Traité de non-prolifération, refusant un Moyen-Orient dénucléarisé, refusant toute inspection… pousse à la guerre contre une nation qui elle, signataire dudit Traité, accepte des inspections permanentes. Malgré cela l’Iran est soumis à l’injuste embargo décidé par Tel-Aviv.
Trop souvent, les Européens (notamment les Français) pensent que la question du nucléaire israélien ne concerne que la région du Moyen-Orient et l’Iran. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, ils se croient à l’abri de toute guerre, limitant souvent leurs préoccupations politiques aux questions économiques et sociales. Pourtant l’Europe n’est pas à l’abri. Les nombreuses zones d’ombre qui continuent à entourer les attentats du 11 septembre, le récent assassinat d’un leader palestinien à Dubaï, démontrent amplement que le sionisme ne reconnait aucune frontière. Il s’est donné le droit de frapper où bon lui plaît. Pour cela il compte sur l’impunité que son lobby lui fournit depuis plus de 60 ans. Nous avons déjà attiré l’attention sur le risque d’un nouvel 11 Septembre, cette fois en Europe. Un tel crime permettrait à l’USraël de relancer sa machine de guerre en cherchant à unir les Européens autour de Washington et Tel-Aviv en vue d’une nouvelle agression. Chaque année de nombreux composants destinés au nucléaire (voir par exemple le site en ligne du Financial Times, repris par l’agence de presse Belga en date du 19/06/2008) disparaissent sans que cela n’alerte outre mesure les gouvernements. On connait l’importance des réseaux sionistes dans le domaine de l’armement sophistiqué et des protections dont ils disposent. Voilà pourquoi ce nouvel 11 Septembre en Europe pourrait bien être nucléaire. Et bien entendu la « traçabilité » de l’arme du crime conduirait comme par hasard à des commanditaires… musulmans.
Sommes-nous devenus « conspirationistes » ? Certainement pas. Mais n’oublions jamais que quelqu’un qui aurait parlé du 11 Septembre une semaine avant qu’il ne se produise n’aurait pas été cru ! Et pourtant…
Les Intransigeants - 12.03.10
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Gaza: enfants et civils utilisés comme boucliers humains par Israël
Une unité d’élite de l’armée de l’occupation israélienne avait utilisé un enfant palestinien comme bouclier humain, l’obligeant à ouvrir des bagages suspects.
En effet, la radio israélienne a rapporté, hier jeudi 11 mars 2010, que le procureur militaire israélien a présenté un chef d’accusation contre deux soldats de l’unité spéciale Gholani qui avaient participé dans la dernière guerre agressive israélienne menée contre Gaza. Ils sont accusés d’avoir pris des civils en boucliers humains.
Le chef précise que les deux soldats ont obligé un enfant palestinien de neuf ans seulement à ouvrir des sacs suspects. L’opération s’est effectuée en janvier 2009, dans la zone de Tel Al-Hawa, au sud de la ville de Gaza.
L’enquête a commencé selon la demande de l’organisation des Nations Unies pour la protection des enfants.
Notons que plusieurs organisations politiques et juridiques dont Amnesty International avaient confirmé l’utilisation de civils palestiniens comme boucliers humains, les obligeant à rester dans des lieux dangereux occupés par les forces israéliennes d'occupation.
Alter Info - 12.03.10
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Rien ne va plus! Les CAF "au bord de l'implosion"...
Le personnel est submergé par les dossiersCaisses obligées de fermer pour écluser les dossiers en attente, téléphones sonnant dans le vide, allocataires au bord de la crise de nerfs... Les Caisses d’allocations familiales (CAF) , submergées de demandes du fait de la crise, craquent de tous côtés.Dans une lettre confidentielle , que nous nous sommes procurée, envoyée le 26 février à Xavier Darcos, ministre du Travail, le président du conseil d’administration de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF), Jean-Louis Deroussen, alerte sans détour le gouvernement sur le fait que, « depuis juillet 2009, la demande sociale explose ».
« En ce début d’année 2010, la situation des CAF semble s’aggraver dangereusement », à tel point « que l’ensemble de l’institution est proche de l’implosion », conclut-il. Pis, poursuit cette missive, même la mise en place de « dispositions à l’ampleur inédite », comme la « réduction de l’offre de service en accueil physique » ou la « multiplication des CDD » n’a «pas permis de rétablir durablement un équilibre qui demeure très fragile ». Ces derniers mois, plusieurs syndicats avaient déjà tiré la sonnette d’alarme, pointant la charge de travail accrue des 36 000 agents. Dans le Val-de-Marne, des centres ont dû fermer dix jours, fin 2009, afin de digérer les retards. En Seine-Saint-Denis, les retards de versement ont parfois atteint plusieurs mois.
Les versements de RSA menacés
Aujourd’hui, la crise s’est propagée à tout le réseau. Et pour cause… selon une note d’information interne, que notre journal a pu consulter, le nombre de visites dans l’une des 123 CAF a bondi de 14,8 % en 2009, le nombre de pièces à traiter a progressé de 10,9 %, tandis que le nombre d’appels téléphoniques, lui, grimpait de 36,6 %!
« A ce rythme, les retards de versement, notamment pour le RSA, vont se multiplier », s’alarme un directeur.Dans sa lettre, Jean-Louis Deroussen, lui, réclame « instamment » que le gouvernement revoie « les moyens alloués à la branche famille », d’autant qu’en 2010 les CAF se verront confiées de « nouvelles charges » comme les impayés de loyers, le RSA jeunes ou la CMU complémentaire. Contacté hier, l’entourage de Xavier Darcos attend d’avoir « des précisions supplémentaires sur ces surcharges avant de se décider » et rappelle que « les 1 200 créations de postes décidées lors de la création du RSA commencent à arriver sur le terrain ». Beaucoup ne seront là qu’en 2011 : chaque nouvelle recrue doit être formée pendant dix-huit mois avant d’être opérationnelle.
Le Parisien - 12.03.10
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Drogue et armes lourdes: 14 interpellations dans une cité de Saint-Ouen
Cité Arago à Saint-OuenDes armes lourdes, 15 kg de cannabis et 14 personnes interpellées. C'est le bilan d'une grosse opération de lutte contre le trafic de stupéfiants menée ce vendredi matin à la Cité Arago, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Plusieurs dizaines de policiers du commissariat de Saint-Ouen et des renforts de la BAC (brigade anti-criminalité départementale) ont fait une descente dans ce quartier où deux personnes avaient été tuées lors d'une fusillade le 26 septembre dernier.
Lors des perquisitions, les enquêteurs ont découvert deux pistolets 9 mm, un calibre 45 et un mitrailleur. L'un des policiers, attaqué par un pitbull, a été légèrement blessé. Le chien a été abattu par ses collègues.Le parisien - 12.03.10 -
Une surdélinquance des jeunes issus de l'immigration
Actes peu graves commis suivant les origines ethniques:Source: Sébastian Roché(Cliquez sur les graphiques pour les voir en totalité)Jusqu'il y a peu, il était difficile d'évoquer la surdélinquance des jeunes issus de l'immigration sans qu'une telle attitude passe pour une stigmatisation. Il y a quelques mois, M. Christian Delorme, le « curé des Minguettes » évoquait ainsi cette situation : « En France, nous ne parvenons pas à dire certaines choses, parfois pour des raisons louables. Il en est ainsi de la surdélinquance des jeunes issus de l'immigration, qui a longtemps été niée, sous prétexte de ne pas stigmatiser. On a attendu que la réalité des quartiers, des commissariats, des tribunaux, des prisons impose l'évidence de cette surreprésentation pour la reconnaître publiquement. Et encore, les politiques ne savent pas comment en parler »27(*).
L'enquête de délinquance autorapportée conduite en 2000 par M. Sébastian Roché a apporté des précisions sur cette question. Elle montre que la majorité des délits peu graves sont commis par des adolescents dont un parent ou les deux parents sont nés en France (68 %). Une forte minorité des actes peu graves sont commis par des personnes dont les deux parents sont nés hors de France (32 %).
Pour les actes graves, la situation est un peu différente. Les adolescents dont les deux parents sont nés hors de France commettent 46 % des actes graves.
Lorsque la question est posée aux adolescents qui vivent dans les HLM, les jeunes d'origine maghrébine représentent 39 % des actes peu graves et 47 % des actes graves.
Ces chiffres mettent en relief le fait que les actes de délinquance des adolescents maghrébins sont fréquents. Toutefois, ils ne permettent pas de statuer sur la surdélinquance des jeunes issus de l'immigration car ils ne tiennent pas compte du poids relatif des différentes populations en fonction de leurs origines.
Cette analyse complémentaire a cependant été faite par Sébastian Roché et confirme une surdélinquance des jeunes d'origine maghrébine par rapport à ceux d'origine française, comme en témoignent ces graphiques.
27(*) Le Monde - 4 décembre 2001
http://www.senat.fr/rap/r01-340-1/r01-340-117.html
Bienvenue au Sénat
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VIDEO Marine Le Pen demande la suppression de la HALDE
http://videos.tf1.fr/infos/2010/marine-le-pen-s-en-prend-a-la-halde-5767062.html
12 mars 2010