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Blog - Page 1847

  • La glace a poussé de 30% en un an dans l'Arctique!

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    Les scientifiques alarmistes, qui prédisaient que le Pôle Nord pourrait être « libre de glace » cet été à cause du réchauffement climatique, ont été embarrassés quand on leur a révélé que la glace arctique a en fait augmenté d'environ 30 pour cent en un an depuis août 2007.

    En juin, de nombreuses voix éminentes de la communauté scientifique exprimaient leur peur de la fonte massive des calottes polaires. Parmi elles, David Barber de l'Université du Manitoba, disait au National Geographic Magazine, « Nous prévoyons effectivement que cette année le Pôle Nord pourrait être libre de glace pour la première fois de l'histoire. »


    « Cet été, les prévisions, et les épisodes inhabituels de fonte précoces tout autour de l'Arctique, sonnent comme un avertissement lugubre sur la rapidité de la dégradation des régions polaires à cause du changement climatique, » ajoute l'article.


    En février, M. Olav Orheim, directeur du Norwegian International Polar Year Secretariat, déclarait à Xinhua : « Si la température moyenne de cette année en Norvège égale celle de 2007, la calotte glaciaire dans l'Arctique se dispersera entièrement, ce qui est fort possible à en juger par la situation actuelle. »


    Comme d'habitude, la réalité ne s'est pas accordée au matraquage médiatique des oiseaux de malheur du climat.


    Selon les données recueillies par le NASA Marshall Space Flight Center et l'université de l'Illinois, l'étendue de la glace arctique était 30 pour cent plus grande le 11 août 2008 qu'elle ne l'était le 12 août 2007. Il s'agit d'une estimation prudente, basée sur une projection cartographique.



    Représentation de l'augmentation de la couverture glaciaire au Pôle Nord en un an depuis août 2007

    Rapportée par The Register, la vidéo ci-dessous met en lumière les différences entre ces deux dates. Comme vous pouvez le voir, la glace a augmenté dans pratiquement chaque direction depuis l'été dernier, avec une forte poussée dans le nord de la Sibérie. Notez aussi que la région autour du passage du Nord-Ouest (à l'ouest du Groenland) a vu une extension importante des glaces. Quelques îles de l'archipel canadien sont entourées par plus de glace qu'elles ne l'étaient durant l'été de 1980. »
    Voir la vidéo : youtube.com/v/cKLiHWRaJU4&hl=en&fs=1


    Mais qu'en est-il de l'Antarctique, au sud ? Les chiffres nous disent que, depuis le mois d'août 2007, la calotte glaciaire s'est étendue dans l'année de près d'un million de kilomètres carrés.


    Comme le note l'article de The Register, « L'Arctique n'a pas subi la fonte prédite par le NSIDC et le Norwegian Polar Year Secretariat. Il en est même loin. En plus, certains graphiques actuels et communiqués de presse du NSIDC semblent moins que prudents. Ils ressemblent à une forme persistante de surestimation concernant la perte de glace arctique. »


    La tendance au refroidissement général de la planète est à présent évidente, tandis que l'activité des taches solaires, le principal moteur du changement climatique, se réduit à presque rien.


    Comme nous le signalions la semaine dernière, un grand observatoire qui mesure les cycles du Soleil depuis plus de 200 ans, prévoit que la moyenne de la température mondiale baissera de deux degrés dans les deux prochaines décennies, tandis que l'activité solaire s'amenuise jusqu'à s'arrêter et que la planète se refroidit considérablement, annonçant potentiellement le début d'une nouvelle ère glaciaire.


    Pendant que les médias, Al Gore et les organismes politisés comme le GIEC font de l'alarmisme sur le péril du réchauffement climatique et demandent aux pauvres et à la classe moyenne de payer des taxes sur le CO2, des données scientifiques solides et les preuves circonstancielles indiquent une nette tendance au refroidissement.


    Il reste à voir comment les défenseurs d'un réchauffement climatique créé par l'homme tourneront cela. Peut-être qu'ils continueront tout simplement à suivre leur tactique habituelle, en prétendant que tout événement géologique ou météorologique, qu'il s'agisse d'ouragans, de tremblements de terre, de sécheresses ou d'inondations, d'augmentation ou de diminution de la température, et même des 30 pour cent de croissance de la calotte glaciaire polaire, sont le résultat de ce diabolique gaz vivifiant que nous expirons, le CO2.



    Original : www.prisonplanet.com/arctic-ice-grows-30-per-cent-in-a-year.html
    Traduction libre de Pétrus Lombard pour Alter Info



    Mercredi 20 Août 2008
  • VIDEO "Pour la liberté du monde"!

    http://www.dailymotion.com/video/x6hu9x_hommage-aux-soldats-tombes-en-afgha_news

  • Le père de Julien Le Pahun en appelle au gouvernement

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    Dix cercueils dans la chapelle ardente: l'oeuvre criminelle de Sarközy

    Julien Le Pahun allait avoir 20 ans ce mercredi. Il était originaire de Montévrain, en Seine-et-Marne, et avait trois frères et sœurs. Il s'était engagé en juin 2007 dans le 8ème régiment de parachutistes d'infanterie de marine à Castres et avait rejoint en juillet 2008 les forces de l'Otan en Afghanistan. Lundi, il faisait partie des soldats français engagés dans de violents combats contre les talibans. Et il figure au nombre des dix tués dans les rangs français.

    Aujourd'hui, son père raconte. "Je l'appelais quasiment tous les jours. Il avait très peur et la dernière fois que je l'ai entendu vendredi il m'a raconté qu'ils étaient passés dans un corridor et que s'il y avait eu des talibans, ils seraient tous morts. Je pense que c'est ce qui s'est passé lundi", a-t-il précisé.

    "Beaucoup de questions"

    Joël Le Pahun assure qu'il "ne compte pas en rester là" et qu'il demandera au président de la République Nicolas Sarkozy "de (leur) expliquer ce qui s'est réellement passé car il y a beaucoup de questions".

    Pour lui, "il faut que le gouvernement arrête d'envoyer des enfants se faire tuer, se faire trucider dans un stand de tir organisé car pour une première mission, c'était mission impossible. On n'envoie pas des enfants qui n'ont qu'un an de formation sur un front qui est horrible. Protégeons les autres enfants pour que ça ne se reproduise plus jamais et envoyons plutôt des troupes aguerries...

    Joël Le Pahun s'interroge par ailleurs : "Nous n'avons pas les mêmes intérêts économiques que les Etats-Unis pour justifier notre présence en Afghanistan, alors pourquoi sommes-nous le suppôt des américains ?".

    LCI.fr - 20 août 2008

     

     

     

     

  • VIDEO Morts à cause de Sarközy

    http://www.dailymotion.com/video/x6hun2_sarkozy-assassin_news

    Unissons notre peine et notre colère à celles des familles endeuillées

  • CETTE SALE GUERRE QUI N'EST PAS LA NÔTRE

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    A Kaboul, mains dans les poches... 20 août 2008

    Un Boeing C135 médicalisé, parti de Kaboul et transportant 11 des 21 soldats français blessés lors de combats lundi contre les talibans en Afghanistan, s'est posé mercredi à 10h52 à l'aéroport de Paris-Orly.


    L'appareil avait quitté Kaboul à 01h38 GMT (03H38 heure de Paris).


    Les soldats sont accueillis par le secrétaire d'Etat chargé de la défense et des anciens combattants, Jean-Marie Bockel et par le chef d'état-major de l'armée de terre, Elrick Irastorza.

    Cinq d'entre eux seront transférés à l'Hôpital d'instruction des armés (HIA) Béguin à Saint-Mandé (Val de Marne), tandis que l' HIA Percy de Clamart (Hautes Seine)accueillera les six autres militaires blessés .

    «Ces militaires ont été blessés par balles ou par des éclats, deux d'entre eux ont été blessés dans un accident de blindé, ils souffrent de blessures de moyenne gravité, ils allaient bien, mais ils ont besoin de suivi», a affirmé la médecin-chef Anne Robert, chef du Sirpa Santé.

    «Les blessés qui sont restés à Kaboul sont les militaires les moins touchés», a-t-elle ajouté.

    Les corps des dix soldats tués lors de cette embuscade devraient être rapatriés mercredi, a affirmé M. Bockel.

    L'armée n'a pas encore communiqué l'identité des victimes, issues de régiments basés à Castres (Tarn), Calvi (Haute-Corse) et Noyon (Oise).

    Le secrétaire d'Etat à l'Outre-Mer, Yves Jégo, et le délégué interministériel Patrick Karam ont toutefois nommé deux des soldats tués, le Réunionnais Anthony Rivière, du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine de Castres, et le Néo-Calédonien Baouma Melan, du Régiment de marche du Tchad installé à Noyon.

     

    Le chef de l'Etat accompagné du ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner et du ministre de la Défense Hervé Morin, était arrivé à 08H00 (03H30 GMT) à l'aéroport de Kaboul, et s'était aussitôt rendu en hélicoptère au camp Warehouse, quartier général du commandement régional de Kaboul de la Force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf) de l'Otan.

    Après avoir passé en revue un détachement du Régiment de marche du Tchad, qui constitue l'ossature du bataillon français de Kaboul, le président français et les deux ministres se sont recueillis devant les cercueils des dix soldats, dans la chapelle ardente dressée dans le camp.

    Nicolas Sarközy s'est entretenu avec des militaires du 8e Régiment parachutiste d'infanterie de marine (8e RPIMa), qui lui ont raconté l'embuscade et les combats contre les talibans, dans la vallée d'Uzbeen du district de Saroubi, à 50 km à l'est de Kaboul.

    Une centaine d'insurgés islamistes avaient pris en embuscade une unité de reconnaissance se déplaçant à pied sous un «feu nourri», tuant aussitôt neuf soldats dans les rangs français.

    Il a fallu l'intervention d'une force de réaction rapide et un soutien aérien rapproché pour dégager les troupes. Une trentaine d'insurgés auraient été tués, selon Hervé Morin.

    Un dixième soldat est mort mardi dans la même zone, lorsque son véhicule blindé s'est renversé.

    Il s'agit de l'attaque la plus meurtrière pour l'armée française depuis l'attentat contre l'immeuble le Drakkar à Beyrouth en 1983 (58 morts).

    Le président américain George W. Bush a présenté mardi ses condoléances aux familles des soldats tués et adressé «à tous les Français» ses «remerciements sincères pour les sacrifices qu'ils ont faits, et pour l'engagement de la France à participer au maintien de l'ordre en Afghanistan».

    Nicolas Sarközy s'est ensuite rendu à l'hôpital du camp, où il a rencontré 10 des 21 soldats blessés dans les combats de lundi, dont certains devaient être rapatriés mercredi matin à Paris.

    M. Sarközy, qui avait décidé en avril de renforcer le contingent français en Afghanistan, a réaffirmé sa détermination à poursuivre la lutte contre le «terrorisme» aux côtés des Américains dans le pays.

    Il aura un entretien à huis clos avec le général Michel Stollsteiner, commandant français des troupes internationales dans la région de Kaboul, avant de rencontrer le président afghan Hamid Karzaï au Palais présidentiel.

    Environ 3.000 militaires français sont actuellement engagés en Afghanistan, au sein de l'Isaf, principalement à Kaboul et dans la province de Kapisa, au nord-est de la capitale.

    Avant le drame de lundi, 13 militaires français étaient morts en Afghanistan depuis 2001, dans des accidents, opérations ou attentats. Le dernier avait péri le 21 septembre 2007, dans un attentat suicide à la voiture piégée à Kaboul.

    Quelque 176 soldats étrangers, en majorité américains, sont morts en Afghanistan depuis le début de l'année, selon un décompte de l'AFP basé sur les communiqués militaires.

    Les talibans ont lancé une insurrection meurtrière depuis qu'ils ont été chassés du pouvoir à la fin 2001 par une coalition internationale emmenée par les Etats-Unis.

    Les violences ont redoublé d'intensité depuis près de deux ans malgré la présence de 70.000 soldats de deux forces multinationales, celle de l'Otan et l'autre sous commandement américain (Operation Enduring Freedom).

    Le Parisien- AFP. 20.08.08


    Le président français Nicolas Sarközy a , par ailleurs, quitté Kaboul mercredi en début d'après-midi, après une visite éclair où il a demandé aux soldats français de «relever la tête», au nom du «combat contre le terrorisme», après la mort de 10 des leurs.
  • Julien aurait eu 20 ans aujourd'hui

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    Julien Le Pahun
    Il devait fêter aujourd’hui son vingtième anniversaire. Tué en mission, Julien Le Pahun, originaire de Montévrain (Seine-et-Marne), s’était engagé à 18 ans dans le 8 e régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa), à Castres. Il avait rejoint en juillet les forces renforcées de l’Otan en Afghanistan.
      « L’armée, c’est un défi qu’il s’était lancé à lui-même, témoigne un membre de son entourage. C’était un gamin pas bien épais, souriant, qui aimait les gens. » A chaque permission, le jeune homme rentrait en Seine-et-Marne pour faire la fête avec ses copains. Amateur de rap, il s’essayait à ses heures perdues à l’écriture.
    Hier midi, deux gradés et le maire de Montévrain sont venus annoncer à sa mère, vendeuse, et à son père, employé de bureau, la nouvelle de sa disparition.  Ses amis ont passé une partie de la journée à leurs côtés. Julien laisse une soeur et deux frères cadets. L’un d’eux voyait en lui un « héros » depuis son départ pour la guerre lointaine.

     

    Le Parisien- 20 août 2008

  • Le Sénat russe se réunit pour discuter de l'indépendance de l'Ossétie/Abkhasie

    Senaki soldats russes tranquiles.jpg
    Soldats russes à Senaki (Georgie) 19 août 2008

    La chambre haute du Parlement russe se réunira lundi en session extraordinaire pour discuter de la reconnaissance de l'indépendance des régions séparatistes géorgiennes d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud, a rapporté mercredi l'agence officielle russe Ria Novosti.

    «Le 25 août nous nous réunissons spécialement en session extraordinaire sur cette question», a déclaré à Ria Novosti la vice-présidente du Conseil de la Fédération (chambre haute russe), Svetlana Orlova.

        
    Le Conseil de la Fédération est «prêt à reconnaître» l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud, avait déclaré plus tôt mercredi le président de la chambre haute, Sergueï Mironov, cité par l'agence Interfax.

    Si une décision positive est prise, la question sera transmise pour confirmation au président russe Dmitri Medvedev, a précisé Mme Orlova, citée par Ria Novosti.

    «Cette question peut être résolue dans des délais assez brefs», a-t-elle déclaré.

    L'Ossétie du Nord, région russe voisine de l'Ossétie du Sud, a adressé au Sénat une demande écrite de reconnaissance de l'indépendance de l'Ossétie du Sud, a affirmé un autre vice-président de la chambre haute, Alexandre Torchine.

    «Comment ne pas examiner cette question, alors qu'une des régions russes, l'Ossétie du Nord, a adressé à notre chambre une demande écrite de reconnaissance de l'indépendance de l'Ossétie du Sud ?», a-t-il déclaré.

    «Il est bien sûr indispensable que nous réagissions à cela», a-t-il affirmé.

     

    Leparisien.fr avec AFP- 20.08.08

  • Carla et les ours des Pyrénées

    L'article du Nouvel OBS:

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/people/20080818.OBS7730/carla_bruni_soutient_les_defenseurs_de_lours.html?idfx=RSS_notr

  • Les Olim quittent la Géorgie pour Israël

    75 nouveaux immigrants (Olim) sont arrivés de Géorgie en Israël il y a une semaine, la plupart ont été envoyés à Bat Yam ou à Ashdod. Le ministère de l’Intégration a approuvé un programme spécial pour ces immigrants : aide pour l’apprentissage de l’hébreu, financement du loyer et aide à trouver un emploi (tous les immigrants reçoivent de l’aide dans plusieurs domaines, selon les circonstances, l’aide peut être augmentée).

    Les personnes nécessiteuses se trouvant parmi les immigrants recevront une bourse de plusieurs milliers de shekels. Selon l’Agence juive (AJ), 120 immigrants de plus se préparent en Géorgie et viendront en Israël dans les prochains mois.

    La famille Mamisashvili a abandonné sa maison dans la capitale Tbilissi et est venue en Israël la semaine dernière. Le couple, âgé de la trentaine, et leurs deux enfants âgés de 3 et 8 ans, ont été logés au kibboutz Messila dans le nord du pays, dans le cadre d’un programme de l’AJ et du mouvement kibboutzique.

    Madame Mamisashvili s’est déjà rendue à Jérusalem, elle a expliqué : « Je sens que je suis rentrée chez moi. Ici je n’ai pas peur si une guerre éclate. En tant que citoyenne israélienne je ferai tout pour défendre la nation. Je sens que nous sommes arrivés à la maison et je sais que tout se passera bien ».

    Monsieur Mamisashvili a raconté que les habitants du kibboutz l’ont accueilli avec beaucoup de chaleur, « J’ai beaucoup de famille en Israël, j’ai entendu des histoires sur leur intégration et j’ai été surpris par le comportement des gens envers nous. Les gens viennent, nous rendent visite, nous apportent des habits et des objets pour la maison et on nous a même invités à un repas de shabbat. Ca réchauffe le cœur ».

    Netia Zorshvili, mère de deux enfants, habitait la ville de Gori, centre des combats entre la Géorgie et la Russie et actuellement sous occupation russe. Netia a raconté au site d’information Ynet : « Notre maison a explosé et s’est écroulée. Mon père m’a pris avec mes enfants et ma mère à Tbilissi et est retourné pour chercher quelques affaires. Maintenant il ne peut plus sortir de là bas car les Russes ont fermé les accès à la ville. Mais lui aussi viendra car il n’a pas le choix. Il ne nous reste rien ».

    Zorshvili et ses enfants ainsi que sa mère, sa sœur et sa famille se trouvent actuellement au centre d’intégration d’Ashdod. « Nous sommes venus sans rien, même pas des habits pour nous changer. Il est difficile de décrire l’enfer que nous avons vécu. Je suis quotidiennement en contact avec mon père et il me dit qu’il ne sort pas de la maison ou de ce qu’il en reste. Nous sommes très inquiets ».

    Dans les prochains jours, Zorshvili, ses enfants et sa mère devraient louer un appartement et recevoir une bourse puisqu’ils sont restés dépourvus de tout.

    « Je suis encore sous le choc, mais j’espère que nous nous débrouillerons. Je suis comptable et j’espère trouver du travail ».

    Arouts 7 - 19 août 2008

    Voir blog d'Hervé Ryssen:  http://www.herveryssen.com/?p=121

  • Un signe? Le plafond du Parlement européen s'est effondré

    Communiqué de Presse de Jean-Claude MARTINEZ :
    Député Européen, Vice-Président du Front National

    La main invisible d'Adam Smith fait effondrer le plafond du Parlement européen

    Le Parlement européen, temple de la religion de la "concurrence pure et non faussée", de la "rentabilité maximale", de la "course au profit", et de "l'amputation des dépenses publiques", vient de découvrir les conséquences de cette idéologie folle. Le plafond de l'hémicycle du Parlement à Strasbourg s'est effondré, comme s'était effondré le plafond d'un des bâtiments de Roissy, comme s'effondrera, un de ces jours, la verrière du Parlement européen à Bruxelles qui s'est déjà fissurée, parce que, chaque fois, la même cause est en action dans des appels d'offres où la multinationale gagnante est toujours celle qui emploie le moins de personnel, le moins qualifié, avec les matériaux les meilleur marché, les délais les plus raccourcis, dans le total mépris de la sécurité. Puisque la loi est celle de la rentabilité.

    Les députés européens viennent de recevoir là une leçon sans frais. À la différence des 14 803 papys et mamies de l'été 2003, ayant payé, eux, de leur vie, lors de la canicule, les conséquences de cette idéologie criminelle du tout marché, de l'économisme débridé et de l'ultra libéralisme sauvage qui a empêché et empêche toujours les maisons de retraite d'avoir les personnels nécessaires et les équipements indispensables. Puisque, là encore, au nom de la rentabilité, les dépenses publiques sont amputées.

    Ce n'est pas que le plafond du Parlement européen qui s'est effondré. Ce sont les hôpitaux publics, les équipements ferroviaires, le maillage du pays en services publics, les laboratoires de recherche, les universités françaises ensevelies dans les profondeurs du classement de Shanghai et l'économie de l'Europe où la croissance, elle aussi, s'effondre parce que partout et toujours l'ultra libéralisme et la main invisible d'Adam Smith font "la misère des nations".

    14 août 2008

  • L'embuscade des talibans à Saroubi

    C'est dans une «embuscade bien montée» des insurgés talibans que la France a perdu lundi à l'est de Kaboul dix soldats, qui venaient d'arriver depuis peu en Afghanistan, a raconté mardi le chef d'état-major des armées, le général Jean-Louis Georgelin.

    L'opération s'inscrivait dans «une mission de reconnaissance de l'ensemble» de la région centre du pays, dont la France a pris le commandement début août, à environ 50 km à l'est de la capitale afghane, a indiqué le général lors d'une conférence de presse.

    Les forces s'étaient engagées «sur la route qui traverse du sud vers le nord la vallée d'Uzbeen», dans le district de Saroubi.

    Au total, «une centaine d'hommes» étaient mobilisés : une section du 8e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa), un détachement de l'armée afghane, une section du Régiment de marche du Tchad, une section du 2e Régiment étranger de parachutistes (REP), ainsi que des membres des forces spéciales américaines.  A 2.000 mètres d'altitude, sur «une piste extrêmement rocailleuse» et en lacets, par «une chaleur suffocante» et «dans une atmosphère extrêmement poussiéreuse», avant que la nuit ne complique encore la situation, «ça a été extrêmement difficile», a reconnu le général.

    Les soldats français impliqués n'avaient été déployés sur ce théâtre qu'«en juillet».  «Arrivé à proximité d'un col vers 13 h 30 locales (09 heures GMT), le chef de section a fait débarquer l'élément de tête de sa section pour aller reconnaître à pied» le site. C'est alors qu'il s'avançait que le «feu nourri» des forces insurgées s'est déchaîné, tuant aussitôt neuf soldats dans les rangs français.

    «Le chef de section a été blessé à l'épaule tout de suite, ce qui a contribué aussi à la désorganisation». Bien approvisionnés en munitions, les talibans ont ensuite visé la base d'appui restée en arrière, «mais sans causer davantage» de victimes. «Un schéma d'embuscade classique», résume le chef d'état-major.

    S'est ensuite «engagée une série de combats qui ont duré jusque tard le soir», sur «un terrain extrêmement favorable pour l'ennemi». «Les appuis aériens ont été apportés par la coalition», a-t-il ajouté.  Le plus dur a ensuite été de «récupérer l'ensemble des blessés et des autres éléments de la section qui avaient été dispersés» lors de l'embuscade. A «02H30 locales», c'était chose faite, a souligné le général Georgelin.

    Après que deux sections eurent «ratissé la zone», a pu commencer dans la foulée l'évacuation des blessés, conduite grâce à des hélicoptères Caracal. Mardi matin, alors que les militaires français et leurs alliés «revenaient sur la base de Saroubi», ils ont été «à nouveau pris à partie» par les insurgés. Mais sans avoir à déplorer de victimes de leur côté.  Le dixième soldat tué a trouvé la mort bien plus tard, mardi matin à 05H30 locales, quand s'est retourné son véhicule blindé lors d'une «opération de récupération des blessés».

     

    AFP- 19 août 2008

    Hommage à ces soldats.

    Mais ces Français sont morts pour une guerre qui n'est pas la leur.

     

     

  • VIDEO Les Ossètes de France sont très inquiets

    http://www.kewego.fr/video/iLyROoafYeOl.html

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    Laura Arys-Djanaeva est présidente de l'Association Ossète en France. Elle exprime au figaro.fr ses inquiétudes après l'offensive militaire géorgienne sur l'Ossétie du Sud.

    Vidéo ajoutée le : 10-08-2008 11:45:49

     

  • Rama a pris du poids!

    Rama Yadé 4 juillet 2008.jpg
    Mutine!

    La secrétaire d'Etat aux Droits de l'Homme, Rama Yade, s'entretiendra avec le dalaï lama le 22 août près de Lodève (Herault) et lui exprimera sa "solidarité" avec son "combat courageux", a-t-elle annoncé mardi à l'AFP.

    "Je rencontrerai le dalaï lama, comme je l'ai toujours indiqué. Je l'avais déjà confirmé le 13 août dernier. Depuis, ce rendez-vous a été fixé avec le bureau de représentation du dalaï Lama au matin du 22", à l'occasion de l'inauguration d'un temple bouddhiste près de Lodève (Hérault), a déclaré Mme Yade.

    "A cette occasion, je m'entretiendrai avec lui", a-t-elle précisé.

    "Je considère ma rencontre avec le dalaï lama comme un triple témoignage, venu du fond du coeur: je lui dirai mon respect pour le chef spirituel qu'il est, mon admiration pour l'homme de paix qu'il est, et ma solidarité pour le combat courageux qu'il mène depuis tant d'années", a expliqué la secrétaire d'Etat.

    Le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, doit également rencontrer le dalaï lama vendredi en compagnie de l'épouse du président de la République, Carla Bruni-Sarközy, près de Lodève, a indiqué lundi une source diplomatique.

    Interrogée sur la possibilité d'une rencontre conjointe, Rama Yade a répondu : "Je ne sais pas à quelle heure il (Bernard Kouchner) le voit. On va voir ça ensemble".

    "Ma position a le mérite de la cohérence et de la constance", a insisté Rama Yade. "J'ai dit depuis le mois de mars, au plus fort de la répression au Tibet, que je rencontrerai le dalaï lama. J'avais dit que les portes de notre pays lui seront toujours ouvertes et si c'est une visite pastorale, je le recevrai volontiers et sans réserve", a-t-elle poursuivi.

    Mme Yade a indiqué que son initiative avait reçu le feu vert du président Sarközy. "Quand au mois de mars, on avait parlé d'une possible rencontre avec le dalaï lama lors de sa visite pastorale en août, il m'avait tout de suite accordé sa confiance, en disant oui. Quand j'ai reconfirmé le 13 août, pareil. De mon point de vue, il a toujours été en accord avec mes positions", a-t-elle déclaré.

    La présidence de la République avait annoncé le 6 août que Nicolas Sarközy ne recevrait pas le dalaï lama au cours de sa tournée à vocation pastorale en France, qui doit durer jusqu'au 23 août.

    Pékin avait mis en garde M. Sarközy contre les conséquences sur les relations franco-chinoises d'une telle rencontre. Jeudi encore, la Chine a appelé la France à gérer "prudemment" la question tibétaine, en évitant "toute perturbation" de nature à compromettre les relations franco-chinoise à l'occasion de la visite du dalaï lama.

     

     

  • La Russie ne reçoit pas d'ordre de l'OTAN

    AFP. 19 août 2008. L'incertitude sur le retrait russe de Géorgie persistait mardi malgré un départ très médiatisé d'un convoi de blindés alors que l'Otan réunie d'urgence pour soutenir Tbilissi a durci le ton contre Moscou.

     
    Char russe à Zugdidi ouest de la Géorgie 19. 8.jpg
    Char russe sur la route de Zugdidi (ouest de la Géorgie) 19.08.08
    Le secrétaire général de l'Otan Jaap de Hoop Scheffer a accusé la Russie de ne pas respecter "pour le moment" le plan de paix négocié par le président français Nicolas Sarkozy et accepté par les deux pays.

    L'Otan "n'a aucun signe de retrait russe de Géorgie" pour le moment, a-t-il poursuivi à l'issue d'une réunion extraordinaire des ministres des Affaires étrangères des 26 pays membres à Bruxelles pour soutenir la Géorgie.

    La France est "très déçue" de l'attitude de la Russie, a renchéri le chef de la diplomatie Bernard Kouchner.

    Les forces russes calqueront leur "rythme" de retrait de Géorgie sur celui du retour des militaires géorgiens dans leurs cantonnement, a répliqué le représentant de la Russie, Valery Loschinine, devant la Conférence du désarmement à Genève.

    "Le rythme de nos actes futurs dépendra de la façon dont Tbilissi s'acquittera de ce que l'on attend d'elle", a-t-il déclaré, soulignant qu'"à ce jour il n'y a pas de confirmation du plein retour des forces géorgiennes dans leurs cantonnements".

    Sur le terrain, une colonne de blindés russes près de la ville géorgienne stratégique de Gori entre l'est et l'ouest a pris la direction de la Russie, présentée par les militaires russes comme "l'une des premières colonnes à quitter la Géorgie", a constaté un journaliste de l'AFP.

    Un lieutenant-colonel russe a donné devant les caméras de télévision l'ordre à cette colonne comprenant sept blindés, trois chars et deux camions militaires de la 58e armée russe, transportant 120 soldats, de prendre la direction de Tskhinvali, en Ossétie du Sud, et de continuer ensuite vers le nord, jusqu'à Vladikavkaz (Russie).

    Des départs de troupes russes surviennent "bien entendu au même moment en plusieurs endroits différents" pour retrouver leurs lieux de cantonnement, a affirmé le porte-parole de l'armée de terre, le colonel Igor Konachenkov.

    Les Géorgiens ont aussitôt dénoncé "un show destiné à créer une illusion de retrait".

    "Aucun char, aucun soldat russe n'a quitté la Géorgie", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère géorgien de l'Intérieur Chota Outiachvili.

    Points positifs, quinze prisonniers géorgiens ont été échangés contre cinq russes sur un pont d'Igoïeti, un village distant d'une trentaine de kilomètres de Tbilissi, a constaté un journaliste de l'AFP.

    Et Moscou et Tbilissi ont donné leur accord sur l'envoi immédiat de 20 observateurs militaires supplémentaires dans "la zone de conflit adjacente à l'Ossétie du Sud", république séparatiste géorgienne. L'OSCE avait déjà avant le conflit neuf observateurs militaires en Ossétie du Sud.

    Sur la route d'Igoïeti à Gori, les militaires russes semblaient toutefois renforcer leurs positions en posant des blocs de béton autour des points de contrôle, a constaté un journaliste de l'AFP qui a vu des dizaines de blindés et camions.

    En Géorgie occidentale, un journaliste de l'AFP a observé des mouvements de convois militaires venant de la base géorgienne occupée de Teklati (ouest) vers le territoire séparatiste d'Abkhazie.

    Cette crise risque d'envenimer encore plus les relations entre la Russie et l'Otan.

    "Nous avons décidé que nous ne pouvons pas continuer "comme si de rien n'était" ("business as usual")", ont souligné les ministres des Affaires étrangères de l'Otan.

    Une déclaration qui n'est "pas objective et reflète un parti pris", a aussitôt estimé le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, pour qui "l'Alliance a en réalité pris (le président géorgien Mikheïl) Saakachvili sous sa protection".

    Moscou a mis en garde contre des "problèmes" dans la coopération entre la Russie et l'Otan, qui porte sur l'aide russe en Afghanistan, les possibilités de transit aérien, ainsi que la lutte contre le terrorisme et la non-prolifération, a rappelé le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Alexandre Grouchko.

    Dans la journée, la marine russe a annoncé qu'elle annulait sa participation à des manoeuvres prévues en mer Baltique dans le cadre du partenariat avec l'Otan et a signifié qu'elle ne pourrait accueillir comme prévu une frégate américaine en septembre en Extrême-Orient.

  • 10 soldats français tués hier en Afghanistan: morts pour l'Oncle Sam!

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    Nicolas Sarközy se rend sur place dès ce soir mais n'entend pas changer de cap.

    Que s'est-il passé ?
    Un violent accrochage a eu lieu entre soldats français et talibans en Afghanistan, à Saroubi (50 km de Kaboul).


    "La vallée de Kapisa correspond au lieu le plus chaud en Afghanistan, explique Frédéric Encel, géopolitologue sur Europe 1. C'est un endroit truffé de grottes, pour les talibans, c'est du pain béni." Rien de fortuit dans cette fusillade: les talibans ont monté une embuscade contre les forces occidentales à l'aide de mines et de roquettes, si l'on en croit leur porte-parole. Toujours selon lui, l'OTAN a riposté par des frappes aériennes pour dégager les blessés.

    Lundi soir, une source de l'état major français des armées à Paris avait affirmé qu'une "opération est en cours qui a débuté dans la journée de lundi impliquant des soldats français en Afghanistan".

    Nicolas Sarközy a indiqué qu'il se rendrait sur place dès ce mardi soir, pour "pour  assurer aux militaires français engagés que la France est à leurs côtés". "Ma détermination est intacte. La France est résolue à poursuivre la lutte contre le terrorisme, pour la démocratie et la liberté. La cause est juste, c'est l'honneur de la France et de ses armées de la défendre", a-t-il indiqué.

    Quel est le bilan ?
    10 soldats ont été tués. Il s'agit de soldats appartenant au 8ème régiment de parachutistes d'infanterie de marine, au 2ème régiment étranger de parachutistes et au régiment de marche du Tchad, selon le président de la République. 21 autres militaires ont été blessés. Un avion-hôpital est prêt à partir depuis l'aéroport d'Istres (de type Morphée, d'après le site du Point).


    Combien y a-t-il de Français engagés en Afghanistan ?
    Ils sont environ 3.000 actuellement engagés au sein de l'Isaf (Force internationale d'assistance à la sécurité), principalement à Kaboul et dans la province de Kapisa, au nord-est de la capitale.

    Depuis 2002, 14 militaires français ont été tués dans des accidents, opérations ou attentats. Le dernier en date avait péri le 21 septembre 2007, dans un attentat suicide à la voiture piégée à Kaboul.

    Réaction très vives côté politique:
    "La France n'a rien à faire en Afghanistan" tonne Jean-Marie Le Pen.

    (Sources: BFM-TV, AFP, RTL, Europe 1, lepoint.fr)- 19 août 2008


  • Les services secrets géorgiens préparent des attentats

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    MOSCOU, 19 août - RIA Novosti. Le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB), Alexandre Bortnikov, a accusé mardi les services secrets géorgiens de préparer des attentats dans le sud de la Russie, annonçant le renforcement des dispositifs de protection antiterroriste.

    "Dans le contexte où la situation opérationnelle s'aggrave, où les forces armées géorgiennes agressent des localités sud-ossètes et des soldats de la paix russes déployés dans la zone du conflit, où nous sommes informés des attentats terroristes en préparation par les services secrets géorgiens et des intentions des chefs de gang d'intensifier leurs activités criminelles dans le Caucase du Nord, j'ai prescrit aux commissions antiterroristes et aux états-majors opérationnels régionaux ainsi qu'au Service fédéral des frontières de prendre les mesures qui s'imposent pour renforcer la protection antiterroriste des bâtiments administratifs, des infrastructures de transports, des sites industriels et énergétiques, des sites sensibles et peuplés, tout particulièrement dans le District fédéral du Sud", a affirmé M. Bortnikov, lors d'une session du Comité antiterroriste national qu'il préside.

     


  • La chaîne russe RTVi bloquée en Géorgie...

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    MOSCOU, 19 août - RIA Novosti. La Géorgie a bloqué RTV International (RTVi), seule chaîne russophone à n'avoir pas été interdite par la Géorgie après le déclenchement du conflit en Ossétie du Sud, rapporte la radio Echo de Moscou.

    Les dirigeants de RTVi ont reçu une lettre les avisant du caractère indésirable de la chaîne en Géorgie après la diffusion d'une interview du chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, critiquant les déclarations des autorités géorgiennes pendant le conflit en Ossétie du Sud.

    L'interdiction des chaînes et autres médias ne sert qu'à "cacher la vérité aux citoyens. Seuls les dirigeants totalitaires et autoritaires ont peur des médias indépendants et professionnels", a indiqué le rédacteur en chef de la radio Echo de Moscou Alexeï Venediktov.

    Depuis 1997, RTVi diffuse des chaînes télévisées en russe vers les Etats-Unis, l'Europe, le Proche-Orient, l'Afrique du Nord et l'Australie. RTVi a élaboré une série de projets communs avec la radio Echo de Moscou.